Cours 11 - Conférence avec travail TP Flashcards
VRAI ou FAUX
Agresseur sexuel d’enfant et pédophiles sont synonymes.
FAUX
Une minorité seulement des agresseurs sexuels d’enfants répondent aux critères diagnostiques de la pédophilie, et la plupart des individus diagnostiqués comme pédophiles ne passeront jamais à l’acte.
Bien que l’intérêt sexuel envers les enfants joue un rôle significatif dans la perpétration d’une infraction sexuelle, il est essentiel de souligner que confondre pédophilie et agression sexuelle sur enfant constitue une erreur.
Les 4 PROFILS DES AGRESSEURS SEXUELS et de troubles de la personnalité.
« Pédophiles » : Personnalité évitante, faible estime de soi. Sentiment d’être rejeté par les adultes et accueil perçu chez les enfants (plus accessibles et chaleureux).
Agresseurs de femmes : Traits antisociaux ou borderline. Violence et impulsivité liées à une incapacité à gérer les émotions.
Agresseurs intrafamiliaux : Recherche de contrôle absolu, souvent les plus colériques et violents,
Individus sadiques : Troubles schizoïdes ou évitants. Prévalence accrue chez les meurtriers sexuels et les agresseurs extrafamiliaux.
Individus sadiques :
Troubles schizoïdes ou évitants. Prévalence accrue chez les meurtriers sexuels et les agresseurs extrafamiliaux.
plutôt rare
Exemple, personne font agression sexu armée, volonté de vouloir faire mal à autre
Va s’y prendre de toutes les manières possible
Ex. poignadré 30 fois sa femme au lieu de 1 fois
Personnes qui va avoir des ritules assez précis
Avec prémiditation
Accompagner d’une grande colère en lui
Avoir peu empathie OU que personne à qui ont fait le délit représente notre colère
Agresseurs intrafamiliaux
Intrafam : inseste - de la même lignée
Intra fam (cousine, oncle, etc.)
Quand personne adulte commet agressions (sexu, exhubitionnisme, etc) quand vu chex adultes
Mais agresseur intrafam aux niveauc des enfants (moins des personnes colériques)
Depuis pandémie - contexte fermé - augmenter sig.
Pour les plus jeune, personnes qui ont besoin d’un grand besoin d’affection pas capable de l’avoir de son aprtenaire et vont le chercher avec les enfants dans les moments de soins.
Différence entre agresseurs de femmes et individu sadiques.
Différence entre agresseurs de femmes (antisociaux) vs individus sadiques : le contexte va permettre de déterminer (inconnu ou personne proche d’elle) comment il s,en ai pris pour que la victime participe (imposer ou séduction/jeu/promesse/chantage)
Sadique - je me fou de l,autre personne
Conclu : les violeurs ont u type plus narcissique, antisociale, = mépris
Aussi personne plus évitants et squizoite = dépend
Les 4 types de postures en interventions à avoir.
- Établir un cadre sécurisant et bienveillant pour l’expression des émotions.
- Aborder la sexualité de manière déculpabilisant et sans jugement.
- Maintenir une relation thérapeutique professionnelle et respectueuse (à quoi est attribuable le succès de l’intervention/de la thérapie)
- Adapter l’approche au contexte et aux besoins du patient.
1) Posture EMPATHIQUE
2) Posture CONTENANTE
3) Posture RÉPARATRICE
4) Posture NEUTRE
Définir la posture EMPATHIQUE.
- Reconnaître et valider les émotions sans jugement.
- Favoriser un climat de confiance
Définir la posture CONTENANTE.
- Encadrer l’échange pour offrir sécurité et clarté.
- Poser des limites claires et cohérentes.
TPL = besoin de toujours les VOUVOYEZ
Si tutoies, ils vont exploser la ligne du professionnalisme.
Exemple posture contenante
Parents exhibitionniste aime parler de toute leur délits. Donc incapacité de faire l’évaluation de la personne.
Va devoir dire vous pouvez en parler pendant 5 minutes et on revient au processus d’évaluation. Vous pourrez en parler suite à notre évaluation.
Parle de l’encadrement et de la sécurité à Pinel
Définir la posture RÉPARATRICE.
- Restaurer les capacités relationnelles.
- Proposer des alternatives saines aux comportements problématiques
Posture réparatrice
Ex. client qui est rpuignant envers hygiène. Important de l’aborder et d’expliquer impact que ça a sur la relation thérapeutique. Important aussi de les dire (bien les dire).
Définir la posture EMPATHIQUE.
- Maintenir une distance émotionnelle et professionnelle.
- Écouter activement sans imposer de jugement.
Qu’est-ce que le traitement efficace combine?
Il vise en quoi?
Un traitement efficace combine :
1) une évaluation approfondie,
2) une relation thérapeutique solide et
3) des interventions adaptées.
Il vise à :
a) responsabiliser le patient,
b) à développer des alternatives comportementales saines,
c) à prévenir les rechutes pour un changement durable et éthique.
RÉSULTATS DES TRAITEMENTS :
Sans traitement : 17 % de récidive. Avec traitement : 3-8 %.
GROUPE A
Approche clinique pour la personnalité PARANOÏAQUE
Établir un cadre thérapeutique sécurisant, axé sur la validation et la transparence.
Psychoéducation et restructuration cognitive ciblée pour réduire les biais cognitifs
Demande une très grande alliance thérapeutique de pouvoir être en mesure d’être dans le parapluie avec client.
Difficulté à faire confiance au autres = important de considérer quand travail avec clienèle
Particulièrement important de les valider et d’être transparent avec eux (manque de transparence va être perçu comme activateur de paranoia). Transparent de manière thérapeutque (veut pas aussi donne trop de contrôle)
p.ex. transparence envers le processus qui s’enveint pour lui. Exmple un client qui demande quand est-ce qu’il va sortir, ce qu’il peut faire ou non. Ou dire ce qu’on va dire aux autres intervenantes.
Perceptions erronés : aller au bar, voit un couple. Dit que femme regarde monsieur, femme parle mari, mari le regarde. Client fait un fuck you au couple. Selon lui il s’est contenu, mais en thérapie tout de suite dit que tout le monde est contre lui.
Déni resposnabilité ; toujours la faute de sautres. Trèes difficule ppur eux de reconnaitre leur par de repsonsabilité
GROUPE A
Approche clinique pour la personnalité SCHIZOÏDE
Encourager une exploration des relations émotionnelles et des valeurs sociales liées à la sexualité.
Introduire des thérapies cognitivo-comportementales (TCC) pour travailler sur les fantasmes.
Détachement social qui peut être lié à un manque aussi d’expérience social (donc se détache plus il en vivent), donc contiunellement insatisfait
Ne voit pas nécessairement les autres avec méfiance
Aussi faible expression émotionnel (communaiuté, idéentifier émotions, leurs besoins) de part faible emotionnel - va etre diff de rentrer en relation
Pas qu’il ne veulent pas, plus désintérêt à foce de vivre des mauvaises intéractions (bcq isolement, mais désir de vivre des relations à distance - ce qui explique le voyeurisme)
Pas désintéresser avec les autres 9quand même une curiosité envers les autres, leur fontonnnement) mais peur de le vivre eux.
Exemple client, plsu à l’aise avec ado que adulte, plus à l’aise avec animaux que ado, plus à laise avec ordinateur que animaux
Exmemple qq qui a eu uen relation de 10 ans avec sa jument
Délit d’aller sur le dark web par curiosité tout en maintenant distance.
En dessous, intérêt envers autres, mais pas avec relation avec autres
À cause de leur faible expresison émotionnelle, percu comme plus détaché, mais ils sont là à un certain niveaux
Souvent comme des observaterus détachés de leur besoins, satisfactions, etc
Assez observateur mais en retrait
GROUPE A
Approche clinique pour la personnalité SCHIZOTYPIQUE
Soutien à l’apprentissage des compétences sociales.
Travailler sur la compréhension des normes sociales et des limites relationnelles.
Techniques de relaxation pour réduire l’anxiété liée aux interactions sexuelles.
Souvent des délits qui sont dans le manque de la considération de l’autre, mal compris le consentement de l,autre.
Bcq de délit en ligne (distribution, prostitution)
Exemple client : commencer parler qq sur internet, se sont vu, donner de la drogues (alors que jeune était mineure). Vicitme pris sont téléphone à certain poitn, dit que sa mère la cherchait. Client prit de panique et l’a laissé su un coin de rue.
Exempe : personne qui votn filmer avec leur télphone
Qui n evont pas respecte rla bulle de l’autre, être intrusif
D’où l’improtance de leur apprendre les compétences sociales (de la plus base base - la bulle de un et autre, consentement
Exemple d’intervention, prendre ficelle, demande de faire une bulle au sol et leur demander de parler de leur bulle et comment ils voient les autres dans leur bulle
Qqch qui est appris au primaire, mais souvent fait avec adultes qui on schizotypique
Concomitant avec spectre TSA ; mal interptété, difficulté dans les relations sociales
Comportements maladroits (mais vivent quand même anxiété dans interaction sociale et sexuelle).
GROUPE B
Approche clinique pour la personnalité LIMITE
Stabiliser les émotions avec la TCC ou la thérapie dialectique comportementale (DBT).
Renforcer les limites personnelles et enseigner des techniques de gestion de l’impulsivité. (surtout ses clients là qui est important de mettre un cadre claires (ex. Tutoyer vs vouvoyez), limites personnels pour que eux puisse réussir à le faire)
Aborder les distorsions cognitives liées aux relations sexuelles et au consentement (restruscturation cognitive).
GROUPE B
Approche clinique de la personnalité NARCISSIQUE
Travailler sur l’introspection et la reconnaissance des impacts des comportements sur autrui.
Introduire des exercices pour développer l’empathie.
Approche clinqiue
Personnes avec qui ont doit faire des exercices pour dévelopeer de empathie (difficile) - ils ont peu d’empathie mais pas zéro, donc capable de travailler. Ex. comment toi tu te sentirais si X, okay alors comment une autre personne pourrait se sentir.
Comment personnes narcissique vient demander de l’aide. Remarque qu’ils viennent car ils veulent aider le thérapeutre. Je veux t’aider dans ta pratique parce que je auis spéciale.
Vont venir avant leur procédure juidicaire (pour cette raison)
Utilisation fréquente de la sexsomnia comme justification de agression sexuelle alors que pas de dx
Déjà vient client que + thérapie avançait, + comportements augmentaient. Ciblé avec moment juste avant la thérapie. Traitement était une manière de se déculpabilisé, disait que s’il se fait arrêter il va dire qu’il a un suivi à Pinel.
Ce qui nuit = le renfoulement narcissique ( + c’est grand, + risque de déli)
GROUPE B
Approche clinique pour la personnalité HISTRIONIQUE
Encourager une exploration approfondie des motivations derrière les comportements sexuels.
Renforcer la différenciation entre attention saine et comportements problématiques.
Client qui arrive dans le bureau é tu vas tlm être fière de moi. Au tim, jeune ado j’ai pris une photo sous sa jupe, mais je savais que tu allais pas être fière donc je l’ai effacer
Démontrer besoin attention du thérapeutre et
Aussi vu des gens qui mentait d’avoir commis des délits sexuelles pour avoir notre atteniton
Vu en clinqiue
Des gens qui vont des commentaires sur apparence de thérapeutre
GROUPE B
Approche clinique pour la personnalité ANTISOCIALE
Établir des conséquences claires pour les comportements nuisibles.
Interventions axées sur la réduction des impulsions et la compréhension des normes sociales.
Réapprentissage et régulation des comportements.
Vu clinqiue :
Exploitation sexuelle
Proxinetisme
Agression sexuelle
Tentative de justifer comportmeents déviants par propre vitimisation
Pas de considération de l’autre (ex. proxinétisme). Pas empathie envers autre
Pas nécessairement pour lui, mais justye antisociale
GROUPE C
Approche clinique pour la personnalité ÉVITANTE
Travail progressif sur la construction de l’estime de soi et des compétences relationnelles.
Techniques de désensibilisation pour diminuer l’anxiété sociale et sexuelle.
Encourager des stratégies socialement adaptées pour exprimer les désirs sexuels.
Approche clinqiue ;
Travailler estime de soi qui est très fragile
GROUPE C
Approche clinique pour la personnalité DÉPENDANTE
Renforcer l’autonomie et la capacité à établir des limites saines.
Favoriser une réflexion sur les droits et le consentement dans les relations sexuelles.
GROUPE C
Approche clinique pour la personnalité OBSESSIONNELLE-COMPULSIVE
Travailler sur la flexibilité et la tolérance à l’incertitude dans les relations sexuelles.
Techniques de gestion des compulsions et exploration d’une intimité émotionnelle plus authentique.
Sexualité ritualisée : client que son rituel était envoi de photo
Il avait un contrôle excessif de l’envoi 9comment il est positionné, comment la chambre est dans photo, comment la discussion se déroule pour arriver à un échange de photo)
Difficultés à sortir des règles mentalement établies
Qu’est-ce que ton travail avec ta clientèle t’a appris sur la société dans laquelle on vit?
LACUNES DANS ÉDUCATION ÉMOTIONNELLE ET SEXUELLE :
Les notions de consentement, de gestion des émotions et de communication ne sont pas systématiquement enseignées.
- souvent répété,
- Si seulement j’avais appris ça plutôt
- Gestion émotions, consentement, etc.
L’INFLUENCE DES NORMES SOCIALES :
Les attentes culturelles concernant les rôles de genre, les dynamiques de pouvoir et la
performance sexuelle jouent un rôle dans la construction des comportements sexuels
problématiques
- attentes culturelles envers rôle de genre
- Important de prendre en considération
- D’en parler avec clients et travailler avec eux
STIGMATISATION ET OBSTACLES À L’AIDE :
La stigmatisation des comportements sexuels déviants freine souvent l’accès à l’aide. Cela
perpétue le cycle de leurs comportements problématiques. Une approche humaniste, axée
sur la réhabilitation plutôt que sur la punition, peut leur offrir un espace sécurisant pour
travailler sur eux-mêmes.
Message clé en lien avec l’éducation dans la société.
Importance d’une éducation plus inclusive et accessible, qui normalise les conversations sur les relations, les émotions et la sexualité saine.
Est-ce qu’il t’arrive de te buter à une cliente que tu crois que tu ne pourras pas aider? Que faire à ce moment-là?
RECONNAITRE SES LIMITES PROFESSIONNELLES
Certains cas dépassent nos compétences ou nécessitent une spécialisation spécifique. Parfois, un client peut ne pas être prêt ou capable de s’engager dans un processus thérapeutique.
ACTIONS POSSIBLE
Supervision clinique : Partager le cas avec un superviseur ou un pair peut offrir une perspective extérieure et des idées pour ajuster l’approche.
Consultation interdisciplinaire : Travailler avec d’autres professionnels (psychologues, psychiatres, travailleurs sociaux) pour explorer des options complémentaires.
Réorientation vers un service spécialisé (Modèle RBR) - Il y a des cas qui vont dépasser nos connaissances. Faut reconnaitre nos limites
Importantce de rester empathique: Adopter une posture non-jugeante et maintenir un respect pour l’humain derrière le comportement, même en l’absence de progrès apparents.
Message clé envers nos limites en intervention
Nos limites ne signifient pas un échec, mais une opportunité de réévaluer et de connecter nos clients aux ressources les mieux adaptées.
Quels sont tes trucs d’intervention?
Approches adaptées à la clientèle :
- Modèle RBR (Risque de récidive - Besoin - Réceptivité au traitement)
- Modèle de vie saine (si je travaille avec le client à être satifait dans sa vie, diminue le risuqe de récidive)
Construire une alliance thérapeutique solide :
Techniques d’écoute active, validation émotionnelle et création d’un espace non-jugeant
Psychoéducation :
Informer les clients sur le consentement, la gestion des émotions, les limites, et les attentes sociales
Exercices concrets :
- Journaux émotionnels ou comportementaux : identification et analyser leurs émotions en temps réel.
- Pratiques de relaxation : Techniques de respiration ou visualisation pour gérer les pulsions ou l’anxiété.
- Exercices de mise en situation : Simulation de scénarios relationnels pour renforcer les compétences interpersonnelles.
- Techniques d’impacts: Utiliser des éléments symboliques et tangibles pour aider à rendre un concept plus accessible dans les contextes d’apprentissage ou d’intervention
Message clé pour l’intervention en général
Chaque client est unique. Adapter ses interventions à leurs besoins spécifiques est essentiel pour obtenir des résultats durables.