Cours 8 Dév. socio-affectif - préscolaire Flashcards

1
Q
  1. Compréhension de soi et dev. affectif
    1.1. Concept de soi

-Influence grandement le dév. socio-affectif
- Se base sur quoi?
[3 1/2ans]
[4 ans]
[5 ans]

  • Quelques contributions positives (2)

[2ans]
- Récits évaluatifs =
[4ans]

A

Conscience de soi (self-awareness) corporelle (bébé) → psychologique

Représentation mentale… “moi”
Ce qui définit qui je suis, un
ensemble d’habiletés, d’attributs,
d’attitudes, de valeurs

  • se base sur les caractéristiques phys. ; émotions et attitudes
  • comprends le sens des termes asssociés aux traits (mais pas de la personnalité)
  • évaluation correspond à celle de leur mère

1) Attachement sécurisant = se décrit plus à 5 ans.
2) Conversation parent-enfant élaboratives = focaliser sur le états internes (p. ex. évoquer quand il se remet d’une émotion douloureuse)

→ parents donnent de l’information au cours de ces conversations. [règles, attentes, évaluation de l’enfant]
= imprègnent concept de soi des valeurs culturelles
→ Le concept de soi persiste (peut s’imaginer dans le futur)

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2
Q

Variations culturelles des récits et le concept de soi

Concept de soi émergeant:
- comment se décrivent-ils (Asie vs Amérique)?

A

a. Chinois: 5 fois plus de récits sur méfaits, leur impact
b. ÉU: minimise méfaits, attributions +
Aspirations : Obligation sociale c. Estime de soi

Enfants chinois: accent sur appartenance, devoir
Enfants US: descriptions personnelles

  • On va davantage excuser
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2
Q

1.2. Émergence de l’estime de soi (ES) = ?

Âge préscolaire: 2-6ans
- différent que scolaire (le concept tel qu’on le connait)
- Se surestime t-il?

Parents:
- échafaudage

A

= Jugements que l’on porte sur notre propre valeur, et les sentiments liés à ces jugements.

  • oui: évaluations spécifiques (différentes activités); ≠ globales. Il distingue mal compétence réelle c. désirée

→ Attentes réalistes, scaffolding, encouragement (motivé)
[c. critique (abattu, honteux)]

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2
Q

1.3. Développement affectif
A) Développement cognitif et compréhrnsion des émotions

  • juge cause des émotions vers…
  • Interprète émotions à partir du compt mais…

Parents :

  • style d’attachement
  • soutient à apporter
A

A)
Avec l’amélioration langage, représentations mentales, concept soi : améliorations
- [4-5 ans] (surtout facteurs externes au début)
Réalise lien entre pensées et émotions ; Aide à soulager les autres (ex. câlin)

  • Mais difficile d’interpréter quand signes
    contradictoires (choisit, focalise sur 1 aspect)

Discussions élaboratives, attachement sécurisant nomme, explique (scaffolding)
reconnaît émotions de l’enfant compromis, négotiation lors des conflits
… compétence émotive, prosocialité
Communique émotions auprès amis/fratrie = Associé à des relations positives; être apprécié

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2
Q

B) Auto-régulation émotive

  • importance du langage
  • stratégies rapportées →
  • contrôle volontaire : vital, pouqrquoi?
    Prédit quoi ?

Tempérament difficile
Inhibition, distraction + difficile
Anxiété, irritation… =

  • Parentage :
A


- Limiter stimuli sensoriels
- Se parler, se réconforter
- Changer de but
Les «explosions» diminuent (grâce au contrôle volontaire) Prédit coopération
Capacité à porter «masque émotif»

Masque + plus facile, cultures les encouragent (promouvoir bonnes relations sociales)

= défi de bien s’entendre avec autres
Parentage :
Gérer propres émotions, suggestions/explications stratégies

Risque si parents expriment peu d’émotions +, nient les émotions de l’enfant, gèrent mal propre colère
Ces enfants sont cibles de parentage inefficace (situation abusivent)

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3
Q

C) Émotions reliées au concept de soi (2)

  • Un mot sur les évaluations
  • Quoi faire ?
  • Les deux émotions sont associées à quoi?
A

Sensibilité accrue aux critiques et éloges, avec dév. concept soi
1.Fierté
2. culpabilité:
→ dépend encore autres (quand ressentir)

-Si jugements très fréquents, ces émotions trop intenses
-Focaliser sur ce qui peut être amélioré; décrire, informer c. juger la valeur de l’enfant

Honte (dépression, agression)
c.
Culpabilité (niveau adéquat: ajustement social)

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4
Q

D) L’empathie

  • utilisent davantage les mots pour la communique
    a)→ empathie cognitive =
    b)→ empathie émotive =
    - Quel est son abstacle?

vs sympathie qui est restraint à la douleur, empathie s’échelonne à tous les étas

  • Parentage : facteurs protecteurs pour la promouvoir?
A

a)→ (comprendre émotion de l’autre) mène à altruisme (tenter consoler)

b)→ (ressentir avec) : risque détresse personnelle (ne cherche pas à apaiser l’autre)
*Piètre auto-régulation émotive

  • Attachement sécurisant, sensibilité, modèle souci de l’autre c. style colérique, insensible et punitif
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5
Q
  1. Relation avec les pairs
  • Habiletés sociales progressent rapidement
  • Évolution des jeux (4)

*Voir maturité cognitive du jeu (pp. 21)
[0-2ans]
[3-6ans]
[2-6ans]

A

Sociabilité, période préscolaire (Parten) 1) Jeu solitaire + fréquent*
2) Jeu parallèle (près un de l’autre) ;
* Jeu parallèle: utilisé pour se joindre aux autres, se reposer
3) Jeu associatif (activités séparées, mais échanges)
4) Jeu coopératif (but commun)

→Apparaissent dans cet ordre, mais co-existent
* Jeux fonctionnel [Mouv. simple, répétitif, avec ou sans objet]
*Jeux constructifs [créer qqch]
*Jeux faire semblant [jouer aux rôle/imaginés]

La qualité (c. quantité) dans le jeu évolue
Pour chaque type de jeu: la maturité cognitive évolue

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6
Q

2.1 Sociabilité
1) Enfants inhibés/anxiété sociale:
2) Enfants impulsifs:

  • Comprend/contrôle émotions, répondre signaux autre dans
  • Jeu socio-dramatique: (filles > gars)
  • Jeux de bagarre: (gars > filles)
    Gains compétence émotive 1 an plus tard
  • Variations culturelles

_____________________

  • Un ami ?
    Changent fréquemment (slm 40% mm), pas de notion de confiance
    Amis à la maternelle: contribue à l’ajustement social et académique (base sécurisante : diminu le stress)
A

1) observent longuement
Parents: surprotection, critique, contrôle excessif du jeu (c. les encourager patiemment à aller vers enfants)

2) jeu solitaire répétitif
Certains préfèrent simplement jouer seuls (ni anxieux; ni impulsifs); activité positive et constructive; sociables.

  • Harmonie en groupe c. autonomie individuelle
    Sociabilité se manifeste différemment (ex. coopération, grand groupe, proximité en Inde)
    Jeu perçu par parents «divertissement» ? encourage moins le faire-semblant (c. ceux qui voient des bénéfices)

→ Jeux de rôle moins encouragé dans villages et tribus, jeu reflète qq scripts quotidiens c. jeu plus inventif
mais dév. social est aussi bon…
Hypothèse: Imagination moins importante quand les enfants participent déjà dans le monde des adultes?
_____________________

  • «Quelqu’un qui t’aime bien, qui
    joue avec toi, et partage ses jouets» → plus encourageants et expressifs émotionnellement envers amis
  • contribue à l’ajustement social et académique (base sécurisante?)
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7
Q

2.2. Maturité sociale et ajustement scolaire

  • Dépend de (4)
A

Être accepté, se faire des amis … meilleure participation… meilleurs apprentissages/performance
«Pré-requis » sociaux pour l’école

1.Tempérament
2.Qualité parentage
3. Qualité des expériences en classe
4. Éducatrices (pré-scolaire): Chaleur et sensibilié = IMP., surtout pour enfants au temp. difficile
prédit compétence sociale des enfants, même à la maternelle

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8
Q

2.3 Résolution de problèmes sociaux

  • Grande amélioration ;
    a) [ 2 à 4 ans ]
    b) [5 à 7 ans]
  • Grand impact sur les relations avec pairs
    [Dodge et Crick]
    Quels indices perçus?
    Interprétation juste?
    But ↑ ou ↓ relation?
    Stratégies efficaces?
  • Exemples d’interventions? = effets sur coopération, compréhension des émotions, solutions, communication
A

Conflit: occasion d’apprendre! Entre amis ++
Résolution de problème social: générer et mettre en pratique stratégies pour résoudre problème et que les deux partis soient satisfaits

  • augmentation des émotions positives et des comportement pro-sociaux lors des négociations
  • Persuasion, compromis, stratégies alternatives dès

[Étapes reliées à compétences sociales] : apprentissage
* modèle de traitement de l’information

  • Comprendre les émotions d’autrui, planifier action, générer des stratégies efficaces, anticiper les conséq.(activer pour pratiquer)
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9
Q

3.1 Psychanalyse

  • Discipline inductive et sens moral*
    Après méfait, le parents doit…
  • Efficace dès :
  • Associé à quoi?
A

C’est plutôt la discipline inductive qui facilite le dév. moral

- souligner l’impact du geste posé sur l’autre
- faire remarquer la détresse de l’autre
- clarifier que c’est lui qui en est la cause
- expliquer (ajuster niveau difficulté) avec chaleur 
    - insister  [2 ans] Associé à - de méfaits; + de confessions,  + réparations et + prosocialité

Elle motive l’enfant à se conformer aux principes moraux (raison avec requête = sens, impact de nos geste). À la longue, l’enfant créer un script [dissuaader des transgression/ être puni/rejeté]

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9
Q
  1. Le sens moral
  • Trois perspectives théoriques
    1.
    2.
    3.
A

Distinguer le bien du mal, accommoder besoins autres

Signes chez les petits
3 mois «préfèrent» personnage gentil !
1½ an, s’attend à partage juste
2 ans, langage: juge propre comportement,
celui des autres
Début de la moralité à l’âge préscolaire
- contrôle externe (adultes),
- puis standards, principes internes

1.Psychanalytique: aspect émotif
2. Apprentissage social: comment apprend
3. Cognitivo-développementale: raisonnement

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10
Q

3.1 Psychanalyse
- Fomation de la conscience =
- Développement de la morale : âge? Comment/motivation à bien agir ?

a) amour conditionnel : conséquence sur la conscience et emotion associé
b) La punition et la menace : conséquence sur le dev. moral

A

6.1 La conscience (surmoi) se forme en s’identifiant au parent du même sexe

→ Dev. moral complété vers 5-6 ans X [ en vrai plus tôt]
→ Obéir au surmoi pour éviter la culpabilité, début de la morale, et est motivé par peur de perdre parent X

a) conditionnel : associé à de la culpabilité excessive, risque d’être niée (diminue conscience)
b) La punition et la menace : associés à un moins bon développement moral chez l’enfant (plus de méfaits, moins de culpabilité suite aux transgressions : est souhaité)

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11
Q

2.4 Influences parentales sur les relations avec les pairs

1) Directe
2) Indirecte

A

1) Organise des activités formelles entre pairs
Modèle: initier contact, bon hôte
Conseils: comment agir avec autrui

2)Attachement sécurisant, Communication sensible et riche émotivement, Jouer, même niveau, Jeu de même sexe lié plus fortement aux compétence sociales

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12
Q

3.1
Discipline inductive (suite)
→ Contribution de l’enfant
- tempéramment a) inhibié b) impulsif
→ Le rôle de la culpabilité
- Induire la culpabilité basée sur l’empathie, bon ou mauvais?

A

→Les caractéritiques de l,enfant influence le parentage. Il est plus facile pour un parent avec un enfant empathqiue d’exercer la discipline inductive.
a) stratégies douces suffisent
b) stratégies douces = non, stratégies pouvoir = non: Relation fermeté inductive = oui

→Freud pensait que la culpabilité etait un motivation pour entreprendre des geste moraux [prosociabilité]
- Mauvais = influence à être coercitif. Il est mieux d’aider l’enfant à gérer ses sentiments et l’orienter vers une rectification, réparation.

13
Q

3.2 Théorie de l’apprentissage social

  • Caractéristique d’un bon modèle (3)
    Avoir eu modèles prosociaux est lié à la prosocialité
    Impact surtout bas âge
  • À 3 ans: le désir d’imiter prédit quoi? =

Effets des punitions
- Facteurs risque utiliser punitions

*Ne change pas vraiment, plus intense à l’age préscolaire-scolaire parce que l’enfant grandit

A

→ On met l’accent sur l’importance d’un bon modèle et d’un renforcement du geste moral, pas slm du cond. opérent (les deux).

  • Chaleur et sensibilité
    Compétence et pouvoir
    Cohérence entre ce que adulte dit et fait

= prédit comp. et émo. moraux

1-Obéissance c. Intériorisation
2-Problèmes de santé mentale (enfant, ados, adultes)
3-Effets secondaires indésirables:
4-Modèle d’agression
5-Entraîne colère, focalise sur propre détresse (≠ sur sa victime)
6-Apprend à éviter l’adulte qui punit
7-Renforcement pour l’adulte ! Pente glissante vers abus
8-Risque de transfert intergénérationnel

Facteurs risque utiliser punitions : SSE faible, prob. santé mentale, moins éduqués, conflits conjugaux

14
Q

3.2 Théorie de l’apprentissage social

  • Conséquences différentielles des punitions corporelles :
    [Approbation culturelle, contexte chaleureux
    Sens: «pour mon bien» (c. victime d’agression)]
A
  • Études : probl. externalisés enfants de nombreuses cultures
  • Autre étude:
    Afro-américains (c. caucasiens)
    Comp. difficiles ne prédisent pas punition
    PAS relié aux probl. externalisés futurs

Impact pire si parent froid/rejetant; le fait même s’il désapprouve

Discipline positive est beaucoup plus efficace

15
Q

3.2 Théorie de l’apprentissage social

Alternatives aux punitions corporelles (2)

A

“Time Out ”/retrait (temps pour retrouver son calme)
Retrait de privilèges
Plus efficaces si
- Constance
- Contexte de relation chaleureuse
- Raisons, explications

a)Relation positive

b)Stratégies positives ;

1-Voir une transgression comme occasion d’enseigner
2-Prévenir les occasions d’inconduites (plutôt que guérir)
3-Expliquer la raison derrière les règles
4-Inclure l’enfant dans les routines et tâches de la famille
5-Quand enfants obstinés, reconnaître leur émotion et suggérer compromis, résolution de problème
6-Encourager les comportements matures
7-Être sensible aux ressources physiques et émotives de l’enfant (faim? fatigue?)

* respect, coopération, proximité… engagement relation
16
Q

3.3 Perspective cognitivo-dev.

Impératifs moraux et convention sociale : dégagent du sens, activement, de leurs expériences
- Les distinguent comment?

  • Parents: adaptent niveau de langage
    histoires avec morale encouragent prosocialité et le sens moral de l’enfant ; Quoi d’autre contribue?
A

→ une offense morale =
- Pairs réagissent fortement
- Adultes soulignent les droits/sentiments des victimes
→ une convention sociale =
- Pairs réagissent moins fortement
- Adultes demandent l’obéissance, sans explication

Cognition, langage contribuent… expériences sociales aussi ! Conflits (possessions, droits) = occasions de former idées sur la justice et l’équité
Observent comment adultes gèrent offenses,discutent enjeux moraux

16
Q

3.3 Perspective cognitivo-dev.

[3ans]
[4ans]

A

→ Les enfants sont des penseurs actif. Dès l’âge préscolaire, ils posent des jugements moraux basés sur [équité/justice]

  • tient compte de l’intention
  • distingue/vérité mensonges, distingue impératifs moraux et conventions so et choix personnels
17
Q
  1. L’aquisition des rôles sexués
    4.1 Les stéréotypes de genre

le genre est une catégorie formée avant d’étiqueter correctement les sexes

4.2 Croyances et compt stéréotypés

A

4.1 [2 à 13ans]= hausse des stéréotypes

4.2
- Association de jouets, habits, couleurs
- Vers 3-4 ans : croyances deviennent fortes et rigides

18
Q

Influence des compt et croyances stéréotypés

a) env.
1.
2.
3.
-Style d’influence diffère (force c. persuasion)
4.

b) bio.

A

a) Environnement :
1. Famille attentes, habiletés, jouets offerts, intéraction,etc.
- pire chez gars. [Mieux si parents agissent selon valeurs moins stéréotypées, chez parents même sexe, si fratrie de sexe opposé]
2. Enseignants Filles: davantage encouragées activités structurées. Garçons: plus d’attention, d’éloges (pour académique) et de désapprobations
Attentes: «les garçons vont moins bien se conduire»
3. pairs du mm sex
Plus jeu avec même sexe, acquisition rôles accentuée. Complimenté; Critiqué ou ignoré si non (surtout gars)
Fille au style affirmatif : reçu avec agressivité
2 «sous-cultures» ; sexes
4. Télé

b) Biologie
→ Perspective évolutionniste, liée aux fonctions adaptatives des hommes de compétiotionner (dominer) et femme de donner des soins aux enfants (être sensibles)
→ Hormones : Androgène + prénatal = renforce les tendances nat. bio.

19
Q

La constance du genre
=permanence du genre, basée sur la biologie, non altérée par apparences, activités

  • étapes (3)
  • Impact de la constance du genre sur l’identité sexuée:

→ À quel point endosse stéréotypes influence?
Théorie du schéma du genre (traitement info)
[Remarquer (1), Schéma (2), Appliquer à soi (3)]

→ Différences individuelles: Genre est-il saillant?
(à quel point applique schémas de genre à nos expériences)
- Conséquences associées
1)
2) ex: j’aime pas les carottes donc toutes les fille non plus!

A

1) Identité du genre (étiqueter propre sexe, celui autrui)
2) Stabilité du genre (stable dans le temps)
3) Cohérence/continuité du genre (pas altéré par apparence, activité)

= faible

→ Comment pressions sociales et cognition de l’enfant affectent, ensemble, les rôles sexuels
- Tôt, remarque préférences stéréotypées, les organise en schémas du genre (catégories M; F); pour interpréter leur monde. Dès qu’on identifie notre propre sexe, on sélectionne les schémas qui y correspondent et on les applique à soi-même.

→ Utiliser schéma du genre : FILTRE pour traiter info, motive à se conformer, guide compt. stéréotypé
1) Distortion de la mémoire pour compt. sex. imcompatible
2) Ajoute propre préférences aux biais du stéréotype

19
Q

4.3 Identité de genre

→ Androgène =
- identité masculine ou androgène ont…

-Comment se développe-t-elle?
a) selon app. so.
b) selon cogn.-compt

  • Constance du genre =
A

Encadre les traits, image de soi relative fem/masc

→ score élevé au deux types
- meilleure estime de soi et adaptation

a) acquiert compt., et les organise en une image de soi
b) acquiert constance du genre, qui guide compt.

20
Q

Enfants transgenres

  • Dysphorie de genre :Ne doit pas être confondu avec les enfants qui affichent un comportement non conforme au genre. = ?
  • Thérapies assoicées?
A

→ Individus insatisfaits de leur sexe à la naissance et s’identifient fortement à un autre genre

Thérapies visant à supprimer le comportement d’identité d’un autre genre donnent de mauvais résultats.Thérapies doivent plutôt viser à permettre aux enfants de suivre leurs penchants identitaires de genre et à aider les parents à protéger leurs enfants de la négativité des autres.

21
Q

Le contrôle psychologique =

Ex.:
intrusion
manipulation
culpabilisation
acceptation conditionnelle

A

Contrôler non pas les comportements, mais le «monde intérieur» de l’enfant
(ses émotions, pensés, intérêts)

21
Q

4.4 Diminuer les stéréotypes

→ Âge préscolaire: croient que ce sont ______ qui déterminent le genre (limites cognitives)

  • Comment éviter rigidité des schémas du genre, qui restreignent activités, apprentissages? (6)
A

[ pratiques culturelles]

  1. Éviter exposer stéréotypes à la maison (ex. repas)
  2. Offrir deux types de jouets, couleurs
  3. Éviter langage stéréotypé, médias
  4. Souligner les exceptions
  5. Expliquer que les intérêts (pas sexe) déterminent activités
  6. Classe: temps jeu libre mixte
22
Q
  1. Les styles parentaux

5.1 Pratiques parentales
Approche catégorielle (4) et dimentionnelle (2)

  • Catégories de Baumrid
    1.
  • Implque que les parents résistent à….
    a)Pour les enfants impulsif :
    b) Pour les enfants inhibés :
    2.
    3.
    4.

*Expliquer chaque catégories (voir notes)

A
  1. Démocratique + : associé à ajustement et maturité, ES+, persévérence, etc.
    a) coercition et incohérence
    b) surprotection
  2. Permissif : associé à impulsivité, désobéir, peu de persévérence
  3. Autoritaire : associé à anxiété, hostilité, dépendance ES
  4. Désengagé - : associé à antiso., faible performance de l’autorégulation sur TOUS LES ASPECTS DU DÉV. = négligence
  • Dimentions :
    a) Acceptation et chaleur
    b) Cadre vs laisser faire
    c) Soutien de l’autonomie vs contrôlant
23
Q

Modèle parents impliqués et chaleureux

-Procurent des modèles…?
1- Les aspects de soutien (l’acceptation, l’implication, raisonnement) sont des facteurs de ________.
2- Quand les demandes et choix correspondent aux habiletés de responsabilisation de l’enfant : favorise _____.

A
  • modèles de préoccupation bienveillante, de confiance et d’auto-régulation

-Il est plus probable que les enfants respectent et internalisent le contrôle qui semble juste et raisonnable (pas arbitraire).

1- résilience (face au stress et à la pauvreté).

2- sentiment compétence (facilite l’ES et la maturité sociale).

24
Q

5.2 Variations culturelles et pratiques parentales

  • Hispanophones, chinois, afro. am.
A

Pratiques associées aux croyances, valeurs, buts (déterminés par la culture, la religion, SSE, etc.)

Ex. parents Chinois (+ directifs, moins expressifs) si contrôle coercitif/psychologique: même effets délétères

Ex. pères Hispaniques (+ impliqués, chaleureux)

Afro-Américains et faible SSE:
discipline stricte, attente obéissance immédiate, besoin dans quartier dangereux? Voir encadré (sens, effets)