COURS 7 - PROCÉDURES D'ANALYSE DES ITEMS Flashcards

1
Q

Quels sont les deux critères à tenir compte lors d’épreuves d’évaluation de « performances » cognitives?

A
  • La difficulté des items

- Leur discriminabilité

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2
Q

Vrai ou faux : l’indice de difficulté le plus courant est probablement de « d-index »

A

Faux. C’est le « p-index ».

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3
Q

L’indice de difficulté est simplement le rapport entre le nombre de personnes qui réussissent l’item et _____.

a) Le nombre de personnes qui l’ont échoué
b) Le nombre de personnes dans la population
c) Le nombre de personnes qui l’ont passé
d) Les personnes qui sont les plus « fortes »
e) Aucune de ces réponses

A

c) Le nombre de personnes qui l’ont passé

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4
Q

L’indice de difficulté x 100 donne le pourcentage de _____.

a) Sujets qui ont passé l’examen
b) Items « faciles »
c) Items « difficiles »
d) Performance totale à l’item
e) Aucune de ces réponses

A

e) Aucune de ces réponses : le pourcentage de réussite à l’examen

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5
Q

L’indice de difficulté varie entre ______ et ______.

a) ______ signifie qu’un item est toujours _______ (_____% de réussite)
b) ______ signifie qu’un item est toujours ________ (_____% de réussite)

A

L’indice de difficulté varie entre 0 et 1.

a) 0 signifie qu’un item est toujours échoué (0 % de réussite)
b) 1 signifie qu’un item est toujours réussi (100 % de réussite)

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6
Q

Vrai ou faux: pour l’indice de difficulté, si l’on garde que des items faciles (p élevé), l’épreuve permet de différencier les sujets les plus “forts”.

A

Faux: si l’on garde que des items faciles (p élevé), l’épreuve ne permet de différencier que les sujets les plus “faibles”.

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7
Q

Si l’on garde que des items difficiles (p trop faible) l’épreuve ne permet pas de différencier les sujets.

A

Faux: si l’on garde que des items difficiles (p trop faible) l’épreuve ne permet de différencier que les sujets les plus “forts”.

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8
Q

L’indice de discrimination le plus courant est probablement le « ___ ».

a) p-index
b) d-index
c) s-index
d) b-index
e) Aucune de ces réponses

A

b) d-index

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9
Q

a) Plus l’indice de discrimination est proche de 1, plus l’item ______.
b) Plus l’indice de discrimination est proche de 0, ________.

A

a) discrimine les personnes

b) moins il différencie les personnes

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10
Q

Un item ayant un d-index faible (ou même négatif) va nuire surtout à __________ du test.

a) La validité
b) La fidélité
c) L’hétérogénéité
d) La concordance
e) Aucune de ces réponses

A

e) Aucune de ces réponses : l’homogénéité du test

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11
Q

Vrai ou faux : un bon indice de discrimination serait 0,5 et plus.

A

Faux: un bon indice de discrimination est 0,40 et +

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12
Q

Pour les épreuves de personnalité ou des tests qui ne sont pas de « performance », à quoi s’intéressons-nous?

a) La fidélité
b) L’hétérogénéité
c) L’homogénéité
d) La concordance
e) Aucune de ces réponses

A

c) L’homogénéité du test

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13
Q

Vrai ou faux : étant la meilleure théorie abordant les indices et métrologie des tests, on utilise surtout la théorie classique des tests.

A

Faux: c’est pas la meilleure, mais c’est celle qu’on utilise

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14
Q

Vrai ou faux : on peut utiliser les notions d’indices et de métrologie des tests, particulièrement la validité, selon plusieurs modèles théoriques de mesure.

A

Vrai

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15
Q

Avec quoi est en lien l’homogénéité d’un test?

a) La validation
b) La fidélité
c) L’hétérogénéité
d) La mesure
e) Aucune de ces réponses

A

a) La validation

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16
Q

Quels sont les deux grandes catégories de modèles de la théorie des réponses aux items (TRI), qui sont l’opposé l’un de l’autre ?

A
  • Les modèles paramétriques

- Les modèles non paramétriques (NP)

17
Q

Vrai ou faux : un des avantages de la théorie des réponses aux items (TRI) est qu’elle requiert une expertise statistique beaucoup plus poussée que la théorie classique des tests.

A

Faux: c’est plutôt un désavantage

18
Q

Vrai ou faux : la théorie classique des tests nécessite des échantillons importants pour avoir vraiment une bonne indication des caractéristiques d’un item.

A

Faux: c’est plutôt pour la théorie des réponses aux items (TRI).

19
Q

La plupart des informations actuelles portant sur les qualités « métrologiques » s’appuient sur la _______.

a) TCT
b) TRI
c) Validation
d) Fidélité
e) Aucune de ces réponses

A

a) TCT

20
Q

Vrai ou faux : la théorie classique des tests débute avec Spearman en 1914.

A

Faux: elle débute avec Spearman en 1904.

21
Q

D’une manière générale, l’objectif de la théorie classique des tests est ________.

A

de comprendre et d’améliorer la fidélité (la fiabilité) des tests psychologiques.

22
Q

Lorsqu’on parle de la théorie du « score vrai », de quoi parle-t-on?

a) Modèles paramétriques
b) Modèles non paramétriques (NP)
c) Théorie des réponses aux items (TRI)
d) Théorie classique des tests (TCT)
e) Aucune de ces réponses

A

d) Théorie classique des tests (TCT)

23
Q

Vrai ou faux: l’hypothèse initiale de la TCT par Spearman est qu’il est impossible d’obtenir une mesure complètement exempte d’erreurs.

A

Vrai

24
Q

Soit l’équation suivante : X = T + ε

Que veulent dire les variables?

A

X = score observé à un test

T = vrai score du sujet

ε = erreur non-systématique

25
Q

Vrai ou faux : le score observé à un test n’est pas nécessairement le score vrai.

A

Vrai

26
Q

Vrai ou faux: les scores les plus “loin” du score observé sont moins probables et plus on s’éloigne du score vrai, plus cette probabilité augmente.

A

Faux: les scores les plus “loin” du score observé sont moins probables et plus on s’éloigne du score vrai, plus cette probabilité diminue.

27
Q

Ceci introduit le concept d’intervalle de confiance :

L’importance (la _________) des intervalles de confiance dépend de ______. Plus _______ (ε) est faible, plus la mesure sera ________ (= plus le score ________ a de très forte chance d’être ____________).

A

L’importance (la taille) des intervalles de confiance dépend de l’erreur de mesure. Plus l’erreur (ε) est faible, plus la mesure sera précise (= plus le score observé à de très forte chance d’être proche du score vrai).

28
Q

Quand on se demande si la probabilité que le score d’un participant reflète son score vrai, on fait généralement référence ________.

a) à l’erreur de mesure
b) au degré de confiance
c) à la fiabilité du test
d) à l’intervalle de confiance
e) Aucune de ces réponses

A

d) à l’intervalle de confiance

29
Q

Vrai ou faux : l’intervalle de confiance sert à déterminer un intervalle dans lequel il est vraisemblable que la valeur observée s’y retrouve.

A

Faux: l’intervalle de confiance sert à déterminer un intervalle dans lequel il est vraisemblable que la vraie valeur (score vrai) s’y retrouve.

30
Q

Vrai ou faux: on obtient l’intervalle de confiance en calculant deux limites (inférieure et supérieure) auxquelles est associée une certaine assurance de contenir la vraie valeur (inconnue).

A

Vrai

31
Q

Vrai ou faux : l’intervalle de confiance sert notamment à trouver la valeur vraie.

A

Faux: on n’aura jamais la valeur vraie.

32
Q

Les degrés de confiance les plus couramment utilisés sont _______, _______ (_____) et _______ (_____).

A
  • 90%
  • 95% (0,05)
  • 99% (0,01)