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PSY1095 > Cours 7 > Flashcards

Cours 7 Flashcards

1
Q

Cours 7 : Développement social et émotif 2-3 ans

Les grandes avancées
sociales et émotives?
(4)

A

•Conscience accrue de soi et des autres

•Suite du développement émotionnel

•Début du contrôle des impulsions et du développement moral

•Sociabilité accrue et formes d’interactions sociales plus matures

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Q

La conscience de soi :

-Grâce à ?, les enfants deviennent conscients d’eux-mêmes comme individu, stable à travers les contextes: peuvent se former une représentation non seulement des objets, mais des individus aussi.

  • Représentation mentale de ?
A
  • la permanence de l’objet et aux capacités représentationnelles
  • Représentation mentale de qui je suis, de « moi »
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3
Q

La conscience de soi :

  • ce qui définit qui je suis : (5)
A
  • mes habilités,
  • attributs,
  • caractéristiques,
  • mes qualités et
  • mes défauts
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4
Q

La conscience de soi :

  • À cette période : caractéristiques?
  • Plus tard (âge scolaire): caractéristiques?
A
  • caractéristiques observables
  • caractéristiques psychologiques
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5
Q

La conscience de soi :
- vers 20 mois
- vers 2 ans
- Entre 18 et 30 mois

  • Grâce à ces bases, ils développent plus tard?
A

•Vers 20 mois ils se reconnaissent dans le miroir (selon le test du point rouge).

•Vers 2 ans ils se reconnaissent sur des photos et utilisent « je » et « moi »

• Entre 18 et 30 mois ils développent la capacité de sa placer dans des catégories simples : enfants/adultes, filles/garçons, etc.

  • un concepts de soi psychologique
  • L’estime de soi
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6
Q

D’où vient le concept de soi?

A

Relations d’attachement à la petite enfance

•Attachement sécurisant: concept de soi plus favorable

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7
Q

D’où vient le concept de soi?

Conversations parent-enfant « élaboratives »?
- 4

A

• Focaliser sur les états internes de l’enfant, lui poser des questions sur comment il s’est senti

• Parler des causes et des conséquences des états internes

• Évoquer des épisodes où l’enfant a réussi à se remettre d’une émotion douloureuse

• Ces conversations devraient débuter lors de cette période pour favoriser le développement du soi psychologique au préscolaire

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8
Q

La compréhension des autres :

  • À cet âge les enfants démontrent une conscience et une compréhension grandissantes des autres
  • 4 fait le démontrant
A

■ Partage des découvertes (veulent que les autres portent attention à un objet nouveau)

■ Démontrent une certaine capacité à répondre aux désirs et aux préférences des autres….

■ … même quand ceux-ci sont différents des leurs

■ Comprennent la notion de possession

Tout ceci donne lieu à des interactions sociales beaucoup plus sophistiquées

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9
Q

Développements émotifs

  • Le tempérament est?
A

un peu plus stable que lors de la petite enfance: réactions émotionnelles de plus en plus stables à travers le temps et les contextes

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10
Q

Développements émotifs :

  • Certains enfants: ?
    (2 types d’affects)
A
  • Certains enfants: beaucoup d’affect positif et d’intérêt pour la nouveauté (facile à gérer pour les adultes)
  • Autres enfants: prédominance d’affect négatif (irritabilité), de timidité ou de difficulté à s’adapter à la nouveauté. Risque développemental si parents expriment peu d’émotions positives, nient les émotions de l’enfant, gèrent mal leur propre colère
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11
Q

Développements émotifs

  • Les enfants deviennent de plus en plus conscients et ouverts aux signaux émotifs négatifs des?
  • Ils utilisent ceci pour guider?
  • Plus marqué à partir?
A
  • autres, l’un des premiers signes de l’empathie
  • leur comportement (éviter de provoquer colère ou tristesse)
  • de 3 ans
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12
Q

Développements émotifs

  • Les enfants de 2-3 ans démontrent de ? lorsqu’ils font ou sont sur le point de faire quelque chose d’interdit

• Font des ? spontanées

• Début du?

A
  • l’anxiété de déviance
  • auto-correction
  • développement moral
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13
Q

Développements émotifs :

  • Les émotions “fondamentales” de la petite enfance (joie, peur, surprise, colère, tristesse) sont?
A
  • sont mieux gérées; les enfants peuvent supporter de plus hauts niveaux d’activation émotive, sont submergés moins aisément
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14
Q

Développements émotifs :

  • Les émotions “secondaires” ?
  • honte?
  • fierté?
A

Les émotions “secondaires” émergent:

• Émotions auto-évaluatives (« self-conscious emotions »), qui requièrent une certaine conscience objective de soi et une connaissance des standards

• Honte: auto-évaluation négative
• Fierté: auto-évaluation positive

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15
Q

Les débuts du contrôle des impulsions :

  • L’âge de 18-24 mois voit les tout débuts de?
  • Développement des?
  • Au départ, pour ce faire l’enfant a besoin de?
  • Petit à petit à partir de 2-3 ans, ? émerge, permettant à l’enfant de suivre des directives en ?
A

• L’âge de 18-24 mois voit les tout débuts de la capacité à contrôler ses impulsions

• Développement des lobes frontaux: nécessaire mais insuffisant

• Au départ, la présence d’adultes est nécessaire pour ceci (régulation externe).

• Petit à petit à partir de 2-3 ans, l’auto-régulation émerge, permettant à l’enfant de suivre des directives en l’absence de surveillance adulte

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16
Q

Auto-régulation :

• Une première étape est de ne pas émettre les?

• Une seconde étape consiste à émettre les ? ? et ? socialement, mais ? ou ?

• Progression de l’obéissance engagée (pendant cette période) à? (débute ici mais se consolide au préscolaire)

A

• les comportements interdits

• Une seconde étape consiste à émettre les comportements convenables et désirables socialement, mais ennuyants ou désagréables

•l’internalisation des règles

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17
Q

Progression développementale dans l’auto-régulation

  • Obéissance engagée définition?
  • L’obéissance engagée ouvre éventuellement la porte à?
A

Obéissance engagée:
- Obéissance enthousiaste aux directives des parents.

  • l’internalisation
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18
Q

Progression développementale dans l’auto-régulation

  • l’internalisation?
A

Internalisation:
- Intégration des normes de comportements des parents à ses propres normes.

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19
Q

Développement moral :

  • L’enfant doit commencer à?
  • ? Constitue le tout début du respect de l’ordre social.
  • ceci jette les bases ?
A

■ L’enfant doit commencer à internaliser les règles qui lui ont été inculquées de l’extérieur jusqu’alors.

■ Apprendre les règles de la vie en société, à la maison et/ou à la garderie, constitue le tout début du respect de l’ordre social.

■ Ceci jette les bases du développement moral.

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20
Q

Développement moral :

  • Toutes premières manifestations: très tôt! : vision enfant sur personnage gentil et justice
    (3 mois, 14-18 mois, 18 mois, 21 mois)
A

■ 3 mois: préfèrent un personnage qui aide

■ 14-18 mois: aident spontanément… même quand cela n’a aucun bénéfice pour eux

■ 18 mois: s’attendent à un partage juste

■ 21 mois: préfèrent aider une personne bien
intentionnée

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21
Q

Développement moral :

  • Ces rudiments de moralité feraient partie de notre ?: fonction ?
A
  • héritage évolutionniste
  • adaptative
22
Q

Développement moral :

Mais: limites à la moralité naturelle :

  • si geste moral ne?
  • si geste moral implique?
  • aider à ses ? est ? Chez les petits
  • donc, développement moral à besoin d’être ?
A

■ Si geste moral ne donne ni n’enlève rien à l’enfant:
OK (bénéfice non nécessaire)

■ Si geste moral implique une perte personnelle, le gain personnel peut l’emporter sur la moralité

■ Aider à ses propres dépens est rare chez les petits

■ Donc, développement moral a besoin d’être façonné

23
Q

Développement moral :

  • Traditionnellement, le développement moral a été vu comme un processus?
  • 2 perspectives
A

Traditionnellement, le développement moral a été vu comme un processus par lequel les règles et les valeurs sont imposées à un enfant par ses parents et les autres adultes: la moralité émane de l’extérieur.

  • Perspective psychanalytique
  • Perspective de l’apprentissage social
24
Q

Développement moral

Plus récemment, plusieurs chercheurs en développement proposent?

  • une perspective
A
  • Plus récemment, plusieurs chercheurs en développement proposent que les enfants internalisent naturellement les règles et les valeurs: la moralité émane de l’intérieur.
  • Perspective cognitive-développementale
25
Q

Perspective psychanalytique?

Freud croyait que:

  • L’enfant est un réservoir de?
  • L’enfant serait motivé par?
  • L’émotion centrale que l’enfant tente d’éviter est?

Très peu d’appuis empiriques pour les idées de Freud, sauf pour?

Utiliser les émotions pour favoriser le développement moral de l’enfant se fait idéalement par?

A
  • L’enfant est un réservoir de pulsions; le travail des parents est d’aider l’enfant à les contrôler.
  • L’enfant serait motivé par la peur de la punition ou de perdre l’amour parental
  • L’émotion centrale que l’enfant tente d’éviter est la culpabilité
  • Très peu d’appuis empiriques pour les idées de Freud, sauf pour l’importance des émotions, telles la culpabilité.
  • Utiliser les émotions pour favoriser le développement moral de l’enfant se fait idéalement par discipline inductive.
26
Q
  • La discipline inductive?
    (5)
  • et elle fait quoi? Permet quoi?
A

Après un méfait de l’enfant:

  • faire remarquer la détresse de l’autre
  • souligner l’impact du geste posé sur l’autre
  • clarifier que c’est l’enfant qui en est la cause
  • explications fournies avec gentillesse et ajustées au niveau développemental
  • insister: il est important d’écouter les explications et de ne pas recommencer

Dès 2 ans, ce style de discipline diminue les méfaits et augmente les actes de réparations

27
Q

La discipline inductive :

  • La discipline inductive facilite le développement moral parce que?
    (3)
A

■ explique comment se conduire (info qui peut être utilisée dans le futur)

■ met l’accent sur l’impact du geste, encourage donc l’empathie

■ le rationnel donné peut motiver l’enfant à adopter de bons comportements: il comprend la logique des standards de comportement (facile l’internalisation)

28
Q

La discipline inductive :

  • Les bienfaits de la discipline inductive sont vrais en moyenne, mais varient selon les enfants: (3)
A

■ les enfants génétiquement prédisposés à l’empathie réagissent particulièrement bien à la discipline inductive

■ pour les enfants anxieux/timides: stratégies douces suffisent (discipline inductive, mais tout en douceur, sans besoin d’insister)

■ pour les enfants impulsifs et peu timides: la discipline très douce a peu d’impact. La discipline inductive doit être ferme et répétée.

  • Donc: adapter la discipline inductive au tempérament de l’enfant.
29
Q

Perspective de l’apprentissage social?

Selon cette perspective: (3)

  • Le comportement acceptable est enseigné?
  • MAIS le bon comportement doit avoir?
  • Les enfants apprennent aussi par?

On sait maintenant que: (1)
- La ?, a très peu d’effets positifs à long terme, et beaucoup d’effets négatifs

A

■ Le comportement acceptable est enseigné directement, par l’utilisation de récompenses sélectives et de la punition.

■ MAIS le bon comportement doit avoir lieu avant de pouvoir être renforcé

■ Les enfants apprennent aussi par imitation et sur la base des récompenses et punitions qu’ils observent (processus vicariant)

On sait maintenant que:

■ La punition, surtout si elle est dure (s’emporter, crier) ou corporelle (gifler) a très peu d’effets positifs à long terme, et beaucoup d’effets négatifs

30
Q

Alternatives à la punition dure?
- 5

A

■ Le retrait dans un lieu ennuyant (« time out »)

■ Le retrait de privilèges

■ Une relation parent-enfant chaleureuse où les règles sont expliquées à l’enfant

■ Constance des règles: dans le temps et entre les adultes

■ Reconnaître l’émotion de l’enfant

31
Q

Perspective cognitive-développementale?

Selon cette perspective: (5)

  • Les enfants s’intéressent aux?
  • Au préscolaire, poseront des?
  • Ici vers 2-3 ans; l’enfant éprouverait surtout du?
  • En faisant ceci, il en viendrait graduellement à?
  • Clé?
A

■ Les enfants s’intéressent aux règles sociales et souhaitent s’y conformer

■ Au préscolaire, poseront des jugements moraux, basés sur concepts de justice, d’équité

■ Ici vers 2-3 ans; l’enfant éprouverait surtout du plaisir à coopérer avec les adultes qui sont agréables et gentils avec lui

■ En faisant ceci, il en viendrait graduellement à s’approprier les règles (préscolaire)

■ Clé: communication parent-enfant (ex., expliquer la raison derrière les règles)

32
Q

Interactions entre les enfants :

  • Les interactions avec d’autres enfants deviennent de?
A

• de plus en plus présentes pendant cette période.

33
Q

Interactions entre les enfants :

• Progression du jeu social (de cette période à la période préscolaire): (4)

A

• Jeu solitaire: non-social mais observation des autres

• Jeu parallèle: jouent côte à côte avec les mêmes objets, sans tenter de s’influencer

• Jeu associatif: activités séparées mais avec commentaires et échanges de jouets

• Jeu coopératif: jouent véritablement ensemble, avec un but commun (ex: jeu socio-dramatique, construction)

34
Q

Interactions entre les enfants :

  • Les étapes du jeu social apparaissent dans cet ordre? Mais ?
A

Les étapes du jeu social apparaissent dans cet ordre (solitaire, parallèle, associatif, coopératif), mais co-existent

35
Q

Interactions entre les enfants :

  • Le jeu solitaire et parallèle ne diminuent pas beaucoup en fréquence à mesure que ?
A
  • que le jeu associatif et coopératif apparaissent.
36
Q

Interactions entre les enfants :

  • Le jeu solitaire demeure fréquent même au ? et n’est généralement pas ?
A
  • Le jeu solitaire demeure fréquent même au préscolaire et n’est généralement pas inquiétant
37
Q

Sophistication
(ou maturité) cognitive?
(3 évolutions qui s’observe dans les 4 types de jeu)

A

• jeu fonctionnel (mouvements simples et répétitifs, peu d’élaboration)

• jeu constructif (créer une histoire, construire un objet)

• jeu de « faire-semblant » (jeux de rôles, etc.)

38
Q

Interactions entre les enfants : influence impact aide des parents

  • Le tempérament a une forte influence sur la sociabilité: ?
  • Mauvaise réponse adulte: ?
  • Bonne réponse adulte: ?
  • Éventuellement: ?
A

• Le tempérament a une forte influence sur la sociabilité: les enfants ont de la difficulté à se joindre aux groupes d’enfants

• Mauvaise réponse adulte: critique, brusquerie, surprotection

• Bonne réponse adulte: encourager doucement, patiemment, l’enfant à s’approcher graduellement des autres

• Éventuellement: lui donner l’opportunité de se faire au moins un bon ami

39
Q

Interactions entre les enfants :

  • Les enfants jouent de plus en plus ensemble (jeu associatif, coopératif), mais?
  • Ce sont tout de même les fondations du?
A

• ne distinguent pas encore les amis des partenaires de jeu

• comportement social et des relations d’amitié (qui émergeront vers 4 ans; cours 9)

40
Q

Influences parentales sur les relations avec les pairs :

  • Directes : 3
  • Indirectes: 3
A

Directes :
- Organiser des activités entre enfants
- Être un modèle (ex., gentillesse)
- Conseils: comment agir avec autrui

Indirectes :
- Attachement sécurisant
- Communication sensible et riche émotivement
- Jouer, se mettre au nivea de l’enfant

41
Q

Les relations parent-enfant :

Vers 2 et 3 ans, les parents sont confrontés à deux grandes tâches?

L’équilibre entre ces deux aspects est crucial?

A
  • Soutenir l’exploration du monde à laquelle l’enfant se consacre (autonomie)
  • Établir des limites appropriées pour l’enfant
  • L’équilibre entre ces deux aspects est crucial: procure un cadre clair et rassurant, à l’intérieur duquel l’enfant peut expérimenter à loisir
42
Q

Les tâches des parents :

  • Il est très largement reconnu que les ? très précis ont peu d’importance: comme? (2)
A

Il est très largement reconnu que les comportements très précis ont peu d’importance:

  • accepter ou refuser tel ou tel comportement spécifique
  • à quel âge donner quelle permission
43
Q

Les tâches des parents :

  • Ce qui prédit l’adaptation ultérieure de l’enfant est le ton général de la relation: ?
A
  • des règles claires, constantes et raisonnables communiquées à travers une relation chaleureuse et affectueuse
44
Q

L’implication paternelle?

A

• Dans nos sociétés occidentales, plusieurs pères ont tendance à devenir plus impliqués avec les enfants vers 12-24 mois

• Le comportement paternel est parfois de nature différente de celui des mères (p.ex., plus de jeux)……

• … et n’est ni plus ni moins important

45
Q

Mesure de l’implication paternelle?

A

• Traditionnellement, vision grossière: père interagit ou pas avec l’enfant

• Par la suite, vision quantitative (ex., fréquence hebdomadaire par activité: donner le bain, accompagner à divers endroits, lire des histoires)

• Maintenant, vision qualitative : quelle est la qualité affective des échanges père-enfant?

46
Q

Qualité de l’implication paternelle prédit: (6)

A

• Attachement
• Compétence sociale
• Auto-régulation
• Développement du langage
• Fonctions exécutives
• Réponse cortisolaire, sommeil
• Etc.

47
Q

L’importance de l’implication paternelle

A

• Se retrouve dans diverses cultures

• Se retrouve dans divers groupes socio- économiques

• S’additionne aux influences maternelles (donc, ne fait pas que compenser pour des lacunes maternelles!)

48
Q

L’importance des premières années :

  • La période 12/18-30 mois voit l’émergence de: (4)
A

■ Un sens de soi et des autres

■ Des émotions plus complexes et mieux gérées

■ La capacité à contrôler ses impulsions

■ Les tout premiers rudiments de la conscience morale

49
Q

L’importance des premières années :

  • Ceci fait de l’enfant un?
  • Les adultes ont un?
A

Ceci fait de l’enfant un partenaire social plus sophistiqué

Les adultes ont un rôle substantiel à jouer dans ces développements

50
Q

L’importance des premières années :

  • Pendant ce temps, le cerveau est?
  • Les expériences sociales décrites ont?
  • Elles laissent donc une?
  • qui influencent la suite de?
A

■ Pendant ce temps, le cerveau est en plein développement, les connections inter-régions s’établissent, l’émondage des synapses est constant

■ Les expériences sociales décrites ont un impact très substantiel sur ces processus neuronaux

■ Elles laissent donc une marque dans les structures neurobiologiques de l’enfant…

■ …. qui influencent la suite de son développement socio-affectif ET cognitif

51
Q

Prochaines étapes
Ce bagage cognitif, socio-affectif et neurobiologique constitue la base sur laquelle les prochains développements vont s’appuyer:
■ Concept de genre
■ Amitiés véritables
■ Régulation émotionnelle et comportementale
■ Cognition sociale
■ Raisonnement, attention et mémoire

A

…

PSY1095 (8 decks)

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