Cours 7 Flashcards

1
Q

Notre perception visuelle nous offre une représentation ___________ de l’environnement. Pourtant, l’image qu’enregistre notre rétine est ________________ ; elle ne représente pas la ___________

A

tridimensionnelle.
bidimensionnelle
profondeur

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2
Q

Comment notre système visuel arrive-t-il à établir une représentation de la profondeur à partir de l’information bidimensionnelle que constitue l’image rétinienne?

A

Avec 3 types d’indices :
1- Indices oculomoteurs : cues based on our ability to sense the position of our eyes and the tension in our eye muscles.

2- Indices monoculaires : cues based on the visual information available within one eye

3- Indices binoculaires : cues that depend on visuel information within both eyes.

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3
Q

Indices oculomoteurs

A

Accomodation et angle de convergence

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4
Q

Accommodation et angle de convergence fonctionnement

A

Objets lointains : les faisceau lumineux arrivent en parallèle, le cristallin focalise les rayons au niveau du point A (sur la rétine)

Lorsque les objets sont proches, le point de focalisation est situé derrière la rétine. Il faut donc un processus qui permet de mieux focaliser les rayons.

Ce processus est l’accommodation. En se contractant, les muscles ciliés donnent une forme bombée au cristallin pour focaliser l’image des objets proches.

Angle de convergence et accommodation : ils varient en fonction de la distance nous séparant de l’objet.

Ces indices ne sont utiles que pour des objets relativement près (2-3 mètres ou moins) puisque l’angle de convergence et l’accommodation ne varient que très peu au-delà de cette distance. (on peut ressentir la tension sur le cristallin, c’est donc comme ça qu’on peut avoir une indice de la distance).

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5
Q

Indices moconulaires : deux classes

A

Indices monoculaires picturaux et mouvement

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6
Q

Indices monoculaires picturaux (8)

A
  • Occlusion
  • Hauteur relative
  • Ombrage
  • Taille relative
  • Taille familière
  • Perspective aérienne
  • Perspective linéaire
  • Gradient de texture
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7
Q

Indices mococulaire pictural : occlusion

A

Un objet sera vu comme étant plus près si son image recouvre partiellement celle d’une autre

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8
Q

Indice monoculaire pictural : hauteur relative

A

Un objet sur le sol sera perçu comme plus éloigné s’il est plus haut dans le champ visuel

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9
Q

Indice monoculaire pictural : ombrage

A

Avec de l’ombrage, la position des sphères localisées au-dessus de l’échiquier est plus claire.

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10
Q

Indice monoculaire pictural : taille relative

A

on aura tendance à percevoir un objet comme plus près si l’image qu’il projette sur la rétine est plus grande.

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11
Q

Indice monoculaire pictural : taille familière

A

notre connaissance de la taille habituelle d’et combinée avec la taille de l’image rétinienne nous informe sur la distance nous séparant d’un objet

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12
Q

Indice monoculaire pictural : perspective aérienne

A

Elle survient lorsque des objets éloignés apparaissent plus flous et ont une teinte légèrement bleue (lié au fait que lorsqu’un objet est éloigné, les faisceaux lumineux doivent traverser plus d’air et de particules (pollution) ce qui distord la lumière).

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13
Q

Indice monoculaire pictural : perspective linéaire

A

Le point de convergence s’appelle le point de fuite. Celui-ci est unique pour l’ensemble d’une image

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14
Q

Indice monoculaire pictural : gradient de texture

A

Les surfaces qui nous entourent ne sont pas parfaitement uniformes, elles comportent des contrastes locaux, la texture. La taille des éléments de texture sur une surface ainsi que la distance séparant ces éléments diminuent graduellement avec une augmentation de la distance.

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15
Q

Indices monoculaires liés au mouvement

A
  • Parallaxe de mouvement
  • Dévoilement et recouvrement
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16
Q

Indice monoculaire : parallaxe de mouvement

A

La vitesse d’un objet éloigné est plus petite sur notre rétine qu’in objet proche (objet proche : se déplace sur une - grande distance sur notre rétine dans la même période de temps)
As we move, nearby objetcs appear to glide rapidly past us, but more distant objets appear to move more slowly.

  • Si notre regard est fixé sur un point donné de l’environnement (c’est le cas le + courant), les objets plus près que ce point de fixation ont un mouvement apparent en direction opposée à notre déplacement.
  • Les objets plus éloignés que ce point de fixation ont un mouvement apparent dans la même direction que notre propre déplacement. La vitesse de ces mouvements apparents augmente avec la distance séparant un objet du point de fixation oculaire.
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17
Q

Indice monoculaire : dévoilement et recouvrement

A

Le recouvrement d’objets situés à des distances différentes est modifié par nos déplacements dans l’environnement. Un objet dont la surface recouverte change avec notre déplacement est situé plus loin que l’objet qui le recouvre.

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18
Q

Indices de profondeur : profondeur relative

A

occlusion : de 0 à + de 0 mètres
recouvrement : de 2 à + de 20 mètres
Hauteur relative : de 2 à + de 20 mètres
Perspective aérienne : + de 20 mètres

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19
Q

Indices de profondeur : profondeur absolue

A

Taille relative : de 0 à + de 20 mètres
Gradient de texture : de 2 à + de 20 mètres
Parallaxe de mouvement : de 0 à 20 mètres
Accommodation : de 0 à 2 mètres
Convergence : de 0 à 2 mètres

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20
Q

Indices binoculaires

A

Étant donné leurs positions différentes, nos deux yeux voient le monde sous des points de vue différents.
- Disparité binoculaire
- Horoptère
- Stéréoscopie

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21
Q

Indice binoculaire : disparité binoculaire

A

Différence entre les yeux au niveau de la projection rétinienne d’un objet.
Lorsque vous regardez deux personnes, l’une étant plus proche de l’autre, leurs projections rétiniennes ne sont pas semblables et forment un angle dit de disparité.

22
Q

Indice binoculaire : horoptère

A

Cercle imaginaire passant par le point de convergence binoculaire et par les deux yeux. Les objets situées à l’horoptère ont des projections rétiniennes homologues (c.-à-d. projections sur des points correspondants de la rétine de chacun des yeux). Ils présentent donc une disparité binoculaire nulle.

23
Q

Indice binoculaire : stéréoscopie

A

Impression de profondeur reposant sur la disparité binoculaire.
- La contribution de la stéréoscopie à la perception de la profondeur a été démontrée par l’utilisation du stéréoscope. Le stéréoscope est un mécanisme permettant de projeter deux images prises sous des points de vue légèrement différents de façon séparée à chacun des yeux (c’est-à-dire présentation dichoptique).
- L’observation dichoptique d’images stéréoscopiques donne lieu à une impression de profondeur plus riche que celle disponible lors de l’observation monoculaire.

23
Q

Indice binoculaire : stéréoscopie

A

Impression de profondeur reposant sur la disparité binoculaire.
- La contribution de la stéréoscopie à la perception de la profondeur a été démontrée par l’utilisation du stéréoscope. Le stéréoscope est un mécanisme permettant de projeter deux images prises sous des points de vue légèrement différents de façon séparée à chacun des yeux (c’est-à-dire présentation dichoptique).
- L’observation dichoptique d’images stéréoscopiques donne lieu à une impression de profondeur plus riche que celle disponible lors de l’observation monoculaire.

24
Q

Physiologie : des neurones dans le cortex pariétal du singe ont une sélectivité à quoi?

A

À l’inclinaison en profondeur des surfaces (qui est signalée par un gradient de texture). Ces mêmes neurones présentent en même temps une sélectivité à la disparité binoculaire. Ils semblent donc avoir comme fonction de signaler la profondeur et ils utilisent une variété d’indices de profondeur à cette fin.
(Absolute disparity is the angle between the corresponding point on the right eye for the left-eye image of Lee and the actual location of the image on the right eye).

25
Q

Qu’ont démontrés des expériences électrophysiologiques menées chez le rat et le singe?

A

Elles ont démontrés l’existence de cellules dans le cortex visuel dont le champ récepteur binoculaire est sélectif à la disparité rétinienne. Ces cellules démontrent une préférence pour la stimulation simultanée des deux yeux en des points présentant une disparité binoculaire spécifique. Le degré de disparité binoculaire préféré varie d’une cellule à l’autre.
Environ la moitié des neurones de V1 ont une sélectivité à la disparité binoculaire. Ce pourcentage augmente dans l’aire V2

26
Q

Rivalité binoculaire

A

Lorsque la différence entre les stimulations reçues par chaque oeil est trop grande, il y a impossibilité de fusion binoculaire, ce qui entraîne la rivalité binoculaire - suppression de la vision d’un oeil, avec alternance périodique.

27
Q

Spécialisation fonctionnelle : taille

A
  • Angle visuel
  • Constance de la taille
  • Invariance taille-distance
28
Q

Angle visuel

A
  • L’angle d’un objet p/r à l’oeil de l’observateur.
  • Il dépend de la taille et de la distance de l’objet
  • Plus un objet est près, plus son angle augmente et plus sa représentation sur la rétine est grande (donc plus grande place occupée sur rétine = objet plus près (dépend du stimulus aussi).
29
Q

Constance de la taille

A

Maintien de la taille apparente d’objets, en dépit de changements de grandeur de l’image sur la rétine (p. ex., éloignement)
Les changements de distance et de taille rétinienne s’équilibrent.

30
Q

Invariance taille-distance (et expérience)

A

On détermine la taille apparente grâce à deux indices :
- La distance perçue
- La grandeur de l’image sur la rétine

Les perceptions de distance et de taille sont indépendantes.

(Avec image doc p.7) : l’observateur est à l’intersection de deux couloirs. Le cercle lumineux à évaluer se trouve dans le couloir de droite, à une distance de 3 à 36 mètres.
Un cercle de comparaison lumineux se trouve dans le couloir gauche à 3 mètres de distance.
À chaque essai, l’observateur devait ajuster le diamètre du cercle de comparaison (gauche) pour le faire correspondre au cercle à évaluer (droite).
*Les stimuli avaient tous le même angle visuel.

La première partie de l’expérience a fourni aux observateurs des indices de profondeur.
- Leurs jugements de taille étaient basés sur la taille physique du cercle
- La partie 2 de l’expérience n’a fourni aucune information sur la profondeur (avec seulement un oeil, avec un trou pour épier, ou sans ombre)
- Leurs jugements de taille étaient basés majoritairement sur la taille des images rétiniennes.

The results of this experiment indicate that size estimation is based on the actual sizes of objets when there is good depth information, but that sizes estimation is strongly influenced by the object’s visual angle when depth information is eliminated.

31
Q

Illusion Mûller-Lyer : explication + limite

A

Des lignes droites avec des ailes vers l’intérieur semblent plus courtes que les lignes droites avec les ails vers l’extérieur. Les lignes ont en fait la même longueur.

Pourquoi cette illusion se produit-elle?
- La constance de taille mal appliquée : cette constance qui fonctionne en 3D est mal appliquées pour les objets 2D.
- Les observateurs perçoivent inconsciemment les ailes comme appartenant aux coins extérieures et inférieurs.
- Les coins extérieurs seraient plus proches et les coins intérieurs plus éloignés.

L’illusion fonctionne même avec des cercles, et non des coins, alors ceci est une limite de l’explication.

32
Q

Illusion Ponzo

A

La même image est placée sur des voies ferrées à deux endroits.
Ici, l’animal le plus éloigné apparait plus grand que le plus près, mais les deux ont en réalité la même taille.

Une explication possible : la constance de taille mal appliquée.

33
Q

Chambres d’Ames

A

Deux personnes de taille égale semblent de taille très différente dans cette pièce.

La salle est construite de telle sorte que :
- La forme ressemble à une pièce normale lorsqu’elle est vue d’un seul oeil.
- La forme réelle a le coin gauche 2x plus loin que le coin droit.

Une explication possible :
- L’invariance taille-distance : l’observateur pense que la pièce est normale. Les femmes seraient à la même distance.
- La femme de gauche a un angle visuel plus petit. La distance perçue étant la même, sa taille perçue est plus petite.

Une autre explication possible :
- La taille relative : la perception de taille dépend de la taille par rapport aux autres objets. Une femme remplit la distance entre le haut et le bas de la pièce. L’autre femme ne remplit qu’une partie de la distance.
Ainsi, la femme de droite paraît plus grande.

34
Q

Illusion de la Lune

A

La lune apparait plus grande à l’horizon que lorsqu’elle est plus haute dans le ciel.

Une explication possible :
- Théorie de la distance apparente.
La lune à horizon est entourée d’indices de profondeur tandis que la lune plus haute dans le ciel n’en a pas.
L’horizon est perçu comme plus éloigné que le ciel - appelé “ciel aplati”.
Puisque la lune dans les deux cas a le même angle visuel, elle doit paraitre plus grande à l’horizon.

Une autre explication possible :
- Théorie du contraste de taille angulaire
La lune semble plus petite lorsqu’elle est entourée d’objets plus grands. Ainsi, la grande étendue du ciel le fait paraître plus petit.

L’explication réelle est probablement une combinaison d’un certain nombre d’indices.

35
Q

L’image rétinienne des objets est souvent ?

A

partiellement cachée par d’autres, ambiguë ou dégradée.

36
Q

La forme de la projection rétinienne des objets change selon _________________ et sa taille change selon _________________

A

le point de vue
la distance

37
Q

Structuralisme (Wundt)

A

La perception repose sur l’addition de sensations élémentaires (tous les éléments perçus).

38
Q

Qu’y a-t-il en opposition au structuralisme proposé par Wundt? Que dit cette théorie?

A

La théorie de la Gestalt qui suggère que nos perceptions sont liées directement à nos sensations.
Le tout diffère de la somme de ses parties.

39
Q

Les lois Gestalt d’organisation perceptuelle

A
  • Loi de simplicité
  • Loi de similarité
  • Loi de bonne continuité
  • Loi de proximité
  • Loi de sort commun
  • Loi de familiarité
  • Loi de région commune
  • Loi de connectivité
  • Loi de synchronie
40
Q

Loi de simplicité

A

Tout ensemble de stimulus est vu de telle façon que la structure résultante est la plus simple possible.

Les anneaux olympiques illustrent cette loi de simplicité. Nous le percevons comme 5 cercles associés (a) et non pas comme un enchevêtrement d’autres formes plus compliquées (b).

41
Q

Loi de similarité

A

Des éléments similaires sont groupés ensemble.

Lorsque des éléments ont la même forme, ils sont regroupés et engendrent la perception de colonnes et non pas de ligne.
Lorsque tous les éléments sont similaires, il n’y a pas de perception évidente des lignes ou des colonnes.
Lorsque des éléments sont colorés de la même manière, ils sont regroupés et engendrent la perception de colonnes et non pas de lignes.

42
Q

Lois de bonne continuité

A

Exemple du nœud celtique qui est perçu comme une seule corde qui s’entremêle par-dessus et par-dessous.

43
Q

Lois de proximité

A

Des éléments proches les uns des autres sont regroupés ensemble.

Ici, nous percevons des lignes, car les éléments sont plus proches sur le plan horizontal que sur le plan vertical.

44
Q

Lois de sort commun

A

Des éléments disparates en mouvement seront regroupés ensemble s’ils ont un mouvement commun

45
Q

Lois de familiarité

A

Des éléments disparates ont tendance à être regroupés s’ils forment une structure qui est reconnaissable.

46
Q

Loi de région commune

A

Les éléments à l’intérieur d’une région commune seront perçus comme groupés ensemble

47
Q

Loi de connectivité

A

Les éléments interconnectés seront perçus comme formant un tout

48
Q

Loi de synchronie

A

Des événements synchrones, qui apparaissent et disparaissent en même temps, sont perçus comme reliés entre eux.

49
Q

Les lois GESTALT d’organisation perceptuelle

A
  • Vision de niveau intermédiaire (“middle vision”) : effectue cette intégration.
  • La vision intermédiaire se distingue de la vision vision précoce, ou de bas niveaux, dont le rôle est d’encoder les propriétés locales de la stimulation.
  • Elle se distingue également de la vision de hauts niveaux, dont la fonction est d’interpréter les scènes visuelles et de reconnaître les objets.
50
Q

Bien que l’organisation perceptive soit un atout important pour le système visuel, il arrive que l’application de ces principes nuise à ?

A

la détection de certains objets (camouflage)
Ces principes de regroupement font qu’ici le fond et le hibou sont groupés ensemble et le hibou se confond avec le décor.

Il arrive également que certins principes d’organisation perceptive soient en conflit les uns avec les autres. De tels cas mettent un lumière la nécessité d’un processus décisionnel qui détermine l’interprétation de l’objet à partir des conclusions offertes par chaque mécanisme (c.-à-d. principe).

Il arrive à l’occasion que notre système perceptif ne puisse prendre une décision finale sur l’organisation du stimulus, comme dans le cas des figures ambuguës (c’est-à-dire des figures qui offrent plus d’une interprétation possible).