Cours 6 L'approche biologique Flashcards

1
Q

D’où est parti la compréhension scientifiques des bases biologiques de la personnalité ?

A
  • L’accident de Phineas Gage, accident de construction ferroviaire. Lien entre corps et personnalité, interconnexions profondes entre le fonctionnement cérébral et celui de la personnalité.
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2
Q

Qu’est-ce qui caractérise le tempérament?

A

Le comportement, car les psychologues ne comprennent pas encore précisement la relation entre les profil physiologiques héréditaires et les phénotypes comportementaux.

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3
Q

Qu’est-ce qu’un phénotype comportemental?

A
  • Caractéristiques observables déterminées par les gènes, mais dont la forme finale dépendra de l’environnement durant le développement.
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4
Q

Qu’est-ce que la supposition sur le tempérament ?

A
  • L’expérience sociale est limitée à la naissance, donc ne peut expliquer les différences elles doivent donc avoir une origine biologique
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5
Q

Temperament

A
  • Ensemble des tendances émotionnelles et comportementales d’origine biologique qui apparaissent tôt dans l’enfance.
  • Les différences qui apparaissent très tôt dans les tendances de l’enfant à expérimenter des émotions positives ou négatives, à devenir excité en réponse aux stimuli ou à retrouver son calme après avoir été troublé par un événement constituent des exemples de caractéristiques du tempérament.
  • Caractéristiques individuelles distinctives
  • Apparaissent tôt,
  • Assez stables,
  • Héréditaires
  • Bases biologiques.
  • Le tempérament est en interaction avec l’environnement dans lequel évolue l’individu. Par conséquent, l’expression du tempérament est fonction de ce qui est inné X le contexte environnemental. Dans le cadre du cours, ce qui est à retenir: le changement est possible mais l’apport de l’inné ne disparaît pas complètement, il “infléchit” le développement.
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6
Q

Qui sont les trois savants majeurs au XIX siècle ?

A
  • Darwin (similarité des expressions émotionnelles chez les êtres humains et les autres mammifères évolués),
    • L’origine des espèces au moyen de la selection naturelle
    • l’expression des émotions chez l’homme et les animaux.
  • Mendel (pose les fondements de la génétique moderne)
    • Recherches sur les hybrides végétaux
  • Galton (différence individuelles dans la personnalité et l’intelligence héritées, débat inné/acquis).
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7
Q

Quelle supposition est faite suite aux études longitudinales ?

A
  • Les caractéristiques psychologiques présentent du début à la fin de la vie auraient un fondement biologique.
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8
Q

The New York Longitudinal Study (1950)

A
  • Les trois types de tempérament infantiles :
    • le bébé facile: 40%

Humeur positive; régularité des fonctions; intensité faible ou modérée des réactions; adaptabilité et approche positive face aux situations nouvelles. Donc enfants faciles à s’occuper et à élever.

* **le bébé difficile: 10%**

Fonctions irrégulières; réactions intenses; tendance à se retirer face à la nouveauté; lenteur à s’adapter aux changements de l’environnement; humeur généralement négative et tolèrent mal la frustration. Ces enfants posent des défis à leurs parents

* **le bébé lent à démarrer: 15%** Faible niveau d’activité; tend à se retirer dans sa première exposition au stimulus nouveau; lent à s’adapter; plutôt d’humeur négative. * Relations entre ces tempéraments précoces et des caractéristiques de la personnalité à l’adolescence.
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9
Q

New York Longitudinal Study 1950 et +
Buss et Plomin (1975, 1984)

A

À partir des évaluations des parents, identification de quatre facteurs/dimensions du tempérament (EASI)

  1. Émotivité (excitabilité et détresse dans situations perturbatrices)
  2. Activité (vigueur des mvts moteurs et nervosité)
  3. Sociabilité (ouverture/timidité)
  4. Impulsivité (dimension abandonné par la suite).

Les données de la recherche de Buss et Plomin ont permis de confirmer:

  • La relative constance du tempérament et ses bases largement génétiques
  • La plus grande similarité, dans les évaluations maternelles, des jumeaux monozygotes (vrais jumeaux) que des jumeaux dizygotes (faux jumeaux).

Par contre:

Cette recherche avait cependant la faiblesse de reposer sur des observations parentales plutôt que sur des mesures plus objectives du tempérament.

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10
Q

Kagan et al. les enfants inhibés et non inhibés

A

1. Mesures objectives du tempérament

  • En laboratoire
  • Instruments permettant d’enregistrer les réactions des bébés à des stimulus

2. Différences entre les nouveau-nés

  • Enfant inhibé 20%: Enfant hautement réactif.Réagit aux personnes ou aux événements non familiers par la réserve, l’évitement et le désarroi; il met plus de temps à se détendre dans des situations nouvelles; et présente plus de peur et de phobies inhabituelles.
  • Enfant non inhibé 40%: Enfant faiblement réactif. Prend plaisir et réagit avec spontanéité aux situations nouvelles, et se montre facilement souriant et enjoué.

3. Suivi dans le temps (étude longitudinale_

Enfants inhibés et non inhibés évalués à :

  • ­14 mois, 21 mois, 4 ans, 5½ ans
  • ­Les corrélations sont significatives entre les âges

En somme, il y avait de solides preuves de la stabilité du tempérament et des indices quant aux éventuelles assises biologiques des différences de tempérament.

Par contre:

Les travaux de Kagan montrent aussi que le tempérament peut changer dans une certaine mesure.

Tempérament = une prédisposition issue de l’hérédité: Influencée par l’environnement et les actions /pensées du sujet

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11
Q

Les régions du cerveau responsable de la régulation de la réponse émotionnelle ?

A
  • Amygdale (réponse à la peur et la surprise, stahmine) et le cortex frontal (agit sur le fonctionnement de l’amygdale).
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12
Q

La biologie évolutionniste

2 types de causes biologiques du comportement

A

1- Les causes immédiates : Explication relative aux comportements associés aux processus biologiques prenant place de manière actuelle dans l’organisme

  • Ma peau bronze au soleil
  • Je suis empathique quand quelqu’un me raconte une de ses épreuves difficiles

2- Les cause originelles : Explication du pourquoi. Les raisons fondamentales

  • Pourquoi ma peau bronze au soleil? Dans quel but? D’où vient ce processus biologique?
  • Pourquoi suis-je empathique? À quoi sert l’empathie chez les humains? D’où vient vient l’empathie
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13
Q

Sur quoi repose les causes originelles ?

A
  • Elles reposent sur le principe que certaines caractéristiques biologiques des organismes vivants sont plus adaptées que d’autres dans un environnement donné. Les organismes possédant ces caractéristiques sont plus susceptibles de survivre, de se reproduire et d’être les ancêtres des générations futures. Au fil des générations, le pourcentage de la pop. possédant ce mécanisme bio adaptatif augmente sans cesse.
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14
Q

Quels sont les 4 aspects du fonctionnement humain vue par la psychologie évolutionniste ?

A

1- Les caractéristique de l’esprit humain qui ont évolué et perdurent sont celles parvenant à résoudre les problèmes faisant obstacle à la reproduction.
2- Ces mécanismes mentaux évolués ont une valeur adaptative aux modes de vie qui ont eu cours pendant des siècles lorsque nos ancêtres étaient des chasseurs/cueilleurs.
3- Les mécanismes psychologiques évolués sont spécifiques à un domaine.
4- L’esprit humain comprend de multiples dispositifs de traitement de l’information, des modules, ayant la charge de traiter un domaine précis de la vie.

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15
Q

Mécanismes biologiques évolués

A
  • Chacun des mécanismes psychologiques fondamentaux qui, selon la perspective évolutionniste résultent d’une évolution sélective, c’est à dire qu’ils existent et perdurent parce qu’ils se sont révélés favorables à la survie et à la reproduction.
  • La perspective évolutionniste a pour prémisse de base la survie et la reproduction de l’espèce. Les mécanismes évolués sont ceux qui favorisent la survie et la perpétration de l’espèce humaine. En ce sens, la détection de la tricherie serait un mécanisme qui a permis à l’espèce de se préserver puisqu’autrement, la tricherie aurait favoriser des individus (et leur survie) au détriment d’autres.
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16
Q

La différence entre les sexes

Théorie de l’investissement parental et Théorie de la probabilité de parentalité

A

BUT : COMMUN – Gène égoïste (Dawkins, 1976)

MOYENS : DIFFÉRENTS – Probabilité de parentalité ou l’investissement parental

Les femmes : Théorie de l’investissement parental

  • Effort reproductif élevé
  • Portent l’enfant (sûres que ce sont leurs enfants)
  • Accouchent d’un être totalement dépendant
  • Doivent s’occuper de l’enfant pendant de nombreuses années
  • Pour que ses gênes perdurent, la femme doit s’allier à un homme qui protégera la famille et pourra pourvoir à ses besoins
  • Indices indiquant que l’homme pourrait subvenir à ses besoins et à ceux de ses enfants (ressources, protection, etc)
  • Ne veut pas perdre cette source de protection, car sa progéniture pourrait mourir (ses gênes ne perdureraient pas)
  • Jalousie émotive à son protecteur/pourvoyeur va s’occuper d’une autre femmes et d’autres enfants ( gênes)
  • La «valeur de l’homme en tant que partenaire» devrait être fonction moins de sa valeur reproductive que des ressources qu’il pourra fournir, évaluées selon sa capacité à gagner de l’argent, son ambition et son ardeur au travail.

Les hommes: Théorie de la probabilité de parentalit

  • Effort reproductif faible
  • Ne portent pas l’enfant
  • Pour que ses gênes perdurent, l’homme doit s’assurer que la femme sera une bonne «porteuse»
  • Indices extérieurs indiquant que la femme fera des enfants forts

o Ne veut pas entretenir un enfant qui n’est pas le sien (pas de moyen de savoir si la femme porte l’enfant d’un autre)

o Jalousie sexuelle à chasteté/ fidélité

  • La «valeur de la femme en tant que partenaire» devrait être fonction du potentiel reproductif que suggèrent sa jeunesse et sa beauté physique. Il devrait également valoriser chez elle la fidélité pour augmenter la probabilité de sa paternité.
17
Q

La différence entre les sexes

L’étude de buss sur la jalousie (1989)​

A

Les hommes et les femmes devraient différer en ce qui a trait aux événements qui suscitent leur jalousie.

Hypothèses:

  • Les hommes devraient être plus touchés par l’infidélité sexuelle et par ce qui affecte la probabilité de paternité
  • Les femmes, par l’infidélité émotionnelle et par la menace de perdre des ressources.

Méthode:

  • 37 échantillons de population,
  • 10 000 individus vivant dans 33 pays,
  • 6 continents et 5 îles
  • Formidable diversité géographique, culturelle, ethnique et religieuse.

Les hommes:

  • Accordent une plus grande importance que les femmes à la beauté physique et à la jeunesse relative de leurs partenaires éventuels,
  • Ce qui confirmait l’hypothèse voulant que les hommes valorisent davantage que les femmes le potentiel reproductif de leurs partenaires éventuels.
  • La prévision selon laquelle les hommes devraient valoriser davantage que les femmes la chasteté des partenaires éventuels s’est réalisée dans 23 des 37 échantillons,
  • Ce qui confirmant jusqu’à un certain point cette hypothèse.

Les femmes:

  • Accordent une plus grande valeur que les hommes à la capacité financière des partenaires éventuels (dans 36 échantillons sur 37), à des traits comme l’ambition et l’ardeur au travail (dans 29 des 37 échantillons),
  • Ce qui confirmait l’hypothèse voulant que les femmes valorisent davantage que les hommes la capacité de fournir des ressources.
18
Q

Que tente de comprendre la psychologie évolutive?

A
  • En intégrant la biologie évolutive et la psychologie, la psychologie évolutionniste tente de comprendre les origines de nos comportements et de nos traits de personnalité. (Étant donné son cadre théorique évolutif, elle s’intéresse plus particulièrement aux comportements qui ont une valeur adaptative et qui assure la survie des individus)
19
Q

Que pourrais être un concept central de la psychologie évolutionniste ?

A
  • Les facteurs biologiques déterminent les différences entre les sexes.
20
Q

Théorie de la probabilité de parentalité

A
  • Les femmes ont toujours la certitude que les enfants sont les leurs, les hommes non, donc se préoccupent plus des rivaux sexuels et accordent plus grande valeur à la chasteté du partenaire.
21
Q

Un petit mot sur la théorie évolutionniste

A
  • Mécanismes psychologiques évolués sur des milliers d’années
  • Changement sociaux très importants dans les 100 dernières années
  • Tendances naturelles qui sont de moins ne moins importantes depuis que les femmes s’éduquent et travaillent
  • Elles peuvent subvenir aux besoins de leur famille sans pourvoyeur
22
Q

Génétique comportementale

A
  • Discipline qui tente de déterminer la part génétique dans les comportement qui interessent les psychologues, principalement en comparant le degré de similarité entre des individus présentant divers degrés de similarité biologique génétique
  • 3 Méthodes de recherche: L’étude de jumeaux, L’étude d’adoption et L’étude de croisement sélectif
23
Q

La relation gènes/comportement est directe ou indirecte ?

A
  • Indirecte, les gènes agissent sur le fonctionnement physiologique du corps.
24
Q

Les gênes et la personnalité

Trois sortes d’études

A

1.Étude de croisement sélectif 🌿

Utilisé avec plantes et animaux, mais pas humain. Méthode de recherche servant à établir des relations entre les déterminants génétiques et le comportement par le croisement de générations successives d’animaux possédant une caractérisitque particulière.

2.Études de jumeaux 👭

Comparer des vrais jumeaux (MZ) de faux jumeaux (DZ) pour déterminer l’importance des gênes dans l’attribut étudié.

3.Étude d’adoption 👨‍👩‍👧

Comparer des personnes partageant des gênes, mais élevés dans des familles différentes afin de déterminer l’importance de l’environnement.

25
Q

Études de jumeaux 👭

A
  • L’étude des jumeaux est intéressante car elle nous permet de départager l’effet des gênes d’autres types d’influences.
  • Différence entre jumeaux identiques (MZ) et jumeaux fraternels (DZ)
    • ­100% des gênes partagés
    • ­Environ 50% des gênes partagés

Comme les jumeaux MZ ont un bagage génétique identique, toute différence entre eux devrait s’expliquer par des différences environnementales.

  • Cela est particulièrement vrai dans le cas des jumeaux élevés séparément, comme ceux qui ont été adoptés par des familles différentes;

Bien que les jumeaux DZ soient génétiquement différents, ils ont en commun de nombreux facteurs environnementaux, ce qui donne aux chercheurs une certaine emprise sur l’environnement

En étudiant à la fois des jumeaux MZ et des jumeaux DZ, il est possible d’évaluer les effets des environnements différents sur le même génotype, ainsi que les effets des génotypes différents s’exprimant dans le même environnement ou dans des environnements similaires.

26
Q

Résultats études de jumeaux 👭

A
  • Plus la similarité génétique est grande, plus la similarité du QI augmente.
27
Q

L’études de croisements sélectifs

A
  • Méthode de recherche servant à établir des relations entre les déterminants génétiques et le comportement par le croisement de générations successives d’animaux possédant une caractéristique particulière (lignée d’animaux stables quant à la caractéristique désiré).
28
Q

Étude d’adoption

A
  • Méthode de recherche utilisée pour établir des relations entre les déterminants génétiques et le comportement en comparant des frères et des soeurs biologiques élévé ensemble avec des frères et soeurs élevés séparément (adoptés). Ce type d’étude est généralement combiné avec des études de jumeaux.
29
Q

Coefficient d’héritabilité

A
  • Estimation de la part de variance qu’on peut attribuer aux déterminants génétiques pour une caractéristique donnée.
  • Mesurée d’une façon particulière dans une population déterminée.
  • Réfère à la proportion de variabilité d’un trait (intelligence) attribuable aux gènes au sein d’une POPULATION.
  • Le coefficient d’héritabilité (H2) est la part de variance des résultats observés attribuables à des facteurs génétiques.
  • Il est une estimation de la variance (expliquée par des facteurs génétiques) dans la population faisant l’objet d’étude (il n’indique donc PAS le degré auquel une caractéristique individuelle est expliquée par des facteurs génétiques)
  • Des études ont rapporté que l’héritabilité globale des traits de personnalité est grossièrement estimée à 40%.
  • Le tableau 9.2 (p.256) présente le H2 dans une population donnée – le coefficient d’héritabilité réfère à la variance (interindividuelle) expliquée par les facteurs génétiques DANS UNE POPULATION DONNÉE.

Appliquée à un individu, les caractéristiques sont toujours expliquées à la fois par des facteurs génétiques et environnementaux.

Résultats de recherche :

2 constats

Il est difficile de trouver des traits psychologiques dont on puisse pourver de manière irréfutable qu’ils ne subissent aucune influence génétique et ce dans tous les domaines

Pour prequest tout les les traités étudiés, du temps de réaction à la religiosité, une part importante des variations entre individus est liée aux variations génétiques.: ce fait n’a plus à être démontré.

30
Q

Approche biologique: Important à noter

A

L’individu n’est pas condamné par ses gênes

Le développement de la personnalité s’opère par l’interaction entre la nature (gênes) et la culture (environnement).

Point de vue de Jérôme Kagan

  • Tempérament = prédisposition / vulnérabilité potentielle
  • Pour avoir un portait complet, on doit aussi s’intéresser aux stimuli/environnements déclencheurs.

L’approche biologique ne constitue pas un modèle unifié ou exhaustif de la personnalité

L’étude des aspects biologiques montre qu’une partie de ce que nous sommes est déterminé par nos gênes.

  • Nos traits, nos psychopathologies, etc.

Des avancées en neuropsychologie commencent à montrer comment certains systèmes biologiques agissent sur le fonctionnement humain et suggère des possibilités de modification par les expériences.

31
Q

Le paradigme de la génétique moléculaire

A
  • C’est utilisées pour déterminer quels gènes sont associés aux traits de personnalité. Vise à montrer comment des variations sur le code génétique modifient une substance ou un système biologique pour produire à son tour des effets psychologiques.
32
Q

Les environnements partagés et les environnements non partagés

A
  • Environnement partagé : les expériences communes vécues dans la famille. Effet négligeable sur la perso.
  • Environnement non partagés : les expériences uniques à chacun des membres de la fratrie à l’int et l’ext de la famille. Effets important sur la personnalité.
33
Q

Les 3 types d’interactions nature-culture ?

A

1- Les mêmes expériences environnementales peuvent avoir des effets différents sur des individus au bagage génétique différent. Interaction passive.
2- Des individus au bagage génétique différent peuvent susciter des réactions différentes dans un même environnement.
3- Les individus aux constitutions génétiques différentes choisissent créent des environnements différents.

34
Q

Neurotransmetteurs

A
  • Toute substance chimique qui transmet l’information d’un neurone à l’autre en traversant l’espace synaptique (comme la dopamine et la sérotonine)
35
Q

Les 3 choses nécessaires pour le progrès de la compréhension des systèmes neuraux ?

A

1- Identifier une caractéristique psychologique qui nous intéresse
2- Posséder suffisamment de connaissances sur la neuro-anatomie et la physiologie pour formuler des hypothèses sur les processus cérébraux qui contribuent à cette caractéristique psychologique
3- Posséder une technologie permettant de mesurer des aspects pertinents des processus cerebraux

36
Q

Que pouvons nous dire sur chacun des hémisphères après les découverte de Richard Davidson sur la prédominance hémisphérique ?

A
  • Hémisphère gauche est prédominant dans l’affectif positif
  • Hémisphère droit est prédominant dans l’affectif négatif
37
Q

Modèle de tempérament à trois facteurs de Clark et Watson

A

Modèle selon lequel les différences de tempérament entre les individus peuvent se ramener à 3 superfacteurs. AN (affectivité négative) AP (affectivité positive) et DOL (Désinhibition ou inhibition)

  • AP : l’action de la dopamine, Le taux élevé de dopamine est associé au comportement d’approche à l’égard d’un stimulus d’incitation positive dit récompense et le déficit de dopamine et le manque de dopamine au manque de motivation d’incitation à obtenir une
  • Dol : sérotonine les êtres humains qui on un faible de taux de sérotonine son enclins à l’aggressivité et consomment davantage des substances qui activent la dopamine, comme l’alcool. L’alcool est associé a une diminution du fonctionnement de la sérotonine.
  • AN : moins connue, anxiété
  • AN élevé : beaucoup d’émotions négatives; perçoivent le monde comme menaçant, problématique et pénible.
  • AN faible : calmes, émotionnellement stables et contents d’eux-mêmes.
  • AP élevé : interagissent avec l’environnement, apprécient la compagnie des autres, actifs, gaieté, enthousiasme associé à l’action de la dopamine qui est la substance du bien-être.

récompensse.Sensibilité du système biologique de signaux de récompensse

  • AP faible : réservés, socialement distants, manquent d’énergie et de confiance
  • Dol élevé : impulsifs, téméraire, axés sur les émotions et les sensations du moment
  • Dol faible : prudent, évitent les risques et le danger.
38
Q

Plasticité

A
  • Capactié que possède le système neurobiologique de changer au fil des expériences, temporairement et pour de longues périodes, tout en restant à l’intérieur des paramètres génétiques, et cela afin de répondre aux exigences adaptatives.
39
Q

Le cortex préfontal médian

A

S’active quand on réfléchit sur nous même ou on porte un jugement sur nous même.