Cours 4 Carl Rogers, Phénoménologie Flashcards
Fondement de la théorie de la personalité de Carl Rogers
- La nature du soi et la tension entre la volonté d’être soi même et celle de vouloir être aimé.
- Relève de l’approche phénomènologique, qui s’intéresse à l’expérience individuelle et subjective du monde, à l’expérience phénomènologique de la personne.
- Aussi appellé théorie humaniste, mettre en lumière le potentiel de l’humain à se réaliser.
Champ phénomènal
- Perception et expérience subjective du monde
- La zone de perception qui définissent notre expérience-est un expérience subjective. La personne construit ce monde intérieur expérientiel, et sa construction réflète non seulement le monde extérieur de la réalité, mais aussi le monde intérieur de ses besoins, de ses croyances et de ses buts personnels.
- Les besoins psychologiques personnels façonnent les expériences subjectives, que nous interprétons de façon objectivement réelle.
Phénomènologie
- Étude de l’expérience humaine; en psychologie de la personnalité, approche qui porte sur les perceptions et expériences subjectives de soi et du monde
Soi (ou concept de soi)
- Ensemble des perceptions et significations accodées au soi, au moi ou au je.
- Le soi est un sous-ensemble du champ phénoménal que l’individu reconnaît comm étant le moi ou le je.
- Le soi ou le concept de soi représente une configuration organisée et cohérente des perceptions.
- Bien qu’il évolu le soi conserve toujours ce caractère configuré, intégré et organisé.
- Parce que ce carctère organisé perdure dans le temps et caractérise l’individu, le soi est une structure de personnalité
- Accessible à la conscience (conscience de soi)
Soi idéal
Concept de soi que la personne souhaite posséder; notion clé de la théorie de Rogers
- Se voir et se projeter dans la vie
- Ce qu’on voudrait être
- Doit être réaliste
- Nous aide à nous améliorer et donne un sens à notre vie
- Peut être constructif ou destructeur
- Plus l’écart entre le soi et le soi idéal est grand, plus la personne est malheureuse (car toujours en situation d’échec)
- En lien avec les exigences envers soi
Les gens concoivent naturellement non seulement leur soi au présent, mais aussi leur soi potentiel à venir. Ils génèrent donc une structure organisée deperception mon seulement de leur soi actuel mai aussi du soi idéal qu’ils aimeraient être.
Comprend les perceptions et significations susceptibles de correspondre au soi et celle auxquelles la perosnne accorde une grande valeur.
Notre perception de nous même comprend deux composantes distinctes; le soi que nous croyons être actuellement et le soi que nous nous voyons devenir un jour.
Technique du Q-sort,
L’évaluation du concept de soi
- Instrument d’évaluation qui invite la personne à classer des énoncés selon une distribution normale; utilisée par Rogers pour mesurer des énoncés relatif au soi et au soi idéal
- Faite avec des cartes avec des énoncés qui décrit des caractéristiques personnelles. ex: se fait des amis facilement. Les particpants choisissent ce qui correspond le mieux.
- Consititue un juste milieu entre les instruments de mesure fixe et les instruments de mesure flexibles.
- Permet de décrire les individus de manière singulière, en mettant de l’avant ce qui est unique, idiosyncratique dans leur profil de personnalité.
- Plus il y a écart entre le soi et le soi idéal moins il y de congruence et ça peut servir d’évaluation sur l’efficactié de thérapie car idéalement après la thérapie l’écart devrait être réduit.
Différentiateur sémantique
- Conçue pour mesurer les attittudes et déterminer la signification des concepts plutôt qu’ent tant que test de personalité.
- Le questionnaire invite les répondants à évaluer un conept sur diverse échelles de sept points définies par des adjectif bipolaires comme ‘‘bon/mauvais’’
Actualisation de soi (autoactualisation)
- Tendance fondamentale de l’organisme à s’actualiser, à se maintentir et à s’améliorer, et à réaliser son potentiel; concept mis de l’avant par Rogers et d’autres représentants du mouvement humaniste.
- Le concept englobe la tendance de toutes personne à réduire ses besoins, ses tensions, mais insiste sur le plaisir et la satisfaction que procurent les activités enrichissantes pour l’organisme.
Cohérence de soi
- Concept rogérien désignant l’absence de conflit dans la perception du soi.
- Les gens aspirent à la cohérence du soi et à un sentiment de congruence entre leur soi et leur expérience de vie.
- L’organime ne cherche pas à obtenir du plaisir et éviter la douleur, mais bien à maintenir la structure soi.
- L’individu se donne un système de valeur don le coeur est l’évaluation du soi.
- Le comportement est cohérent par rapport au concept de soi, même si ledit comportement est peu satisfaisant. (prophétie autoréalisatrice)
Congruence
- Concept rogérient désignant l’absence de conflit entre le concept de soi et l’expérience, c’est a dire entre ce que les gens ressentent et comment ils se perçoivent.
Incongruence
- Concept rogérien désignant l’existence d’une divergence ou d’un conflit entre le concept de soi et l’expérience.
- Le résultat est l’anxiété
- Les mécanismes de défense servent à défendre le soi pour prévenir la perte d’une perception cohérente et intégrée du soi
Subception
- Mécanisme rogérien par lequel la personne perçoit un stimulus sans en avoir une représenation consciente.
- Lorque nous percevons une expérience comme étant menaçante parce qu’ell entre en conflit avec notre concept de soi, il arrive que nous ne permettion pas qu’elle devienne consciente
La déformation
- Selon Rogers, mécanisme de défense qui consiste à modifier l’expérience pour la rendre conforme au concept de soi.
Le déni
- Mécanisme de défense posé par Freud et Rogers qui bloque la prise de conscience des sentiments menaçants
- Pour Rogers, le déni sert à préserver la structure du soi de la menace en niant son expression consciente.
La recherche en matière de cohérence du soi et de congruence
- Les individus présentant un grande variabilité entre leur rôles avaient tendance à être plus anxieux et plus dépressifs et à avoir une faible estime de soi.
- Une grande variabilité de soi peut être mauvaise pour la santé mentale, parce qu’elle peut être le signe d’un manque d’intégration du soi fondamental.
- La justesse de la perception et des souvenirs des stimuli se rapportant au soi semble être en fonction de la concordance ses stimuli avec le concept de soi.
- La tendance ç maintenir la cohérence dans une
- Prophétie autogérée
- L’expérience psychologique peut donc parfois suplanter la simple tendance hédonique de vouloir se sentir mieux