cours 6 Flashcards
courir ou marcher pour reduire toutes causes de mortalité
courir ++ réduction vite, marcher faut plus de temps à marcher pour avoir effet
lorsque MA, faut bcp exercice 400min par semaine
montre etude où activité physique et demence (personne sans demence)
- 1 740 personnes âgées de 65ans+
- Sans MCI ni démence
- Suivi sur 6,2 ans
- Activité physique ≥ 3x/semaine -» 13/1000 / an
- Activité physique < 3x/semaine -» 20/1000 / an
ceux + que 3 fois semaine exercice more likely to be dementia-free than those who exercice less 3 times a week
montre meta-analyse sur activité physique et la prevention du déclin cognitif
L’activité physique prévient de manière systématique et significative le déclin cognitif
-Les hautement actifs physiquement montrent 38% moins de risque de présenter un déclin cognitif
-Les modérément actifs ont aussi montré un risque 35% moins important de déclin cognitif
dans etude transversale, que remarque-ton sur ainés, déficit cognitifs et exercice physique
Les personnes âgées « actives » montrent moins de déficits cognitifs associés à l’âge (vs. jeunes) que les aînés sédentaires.
comment est l’attention chez les + en forme
Meilleure attention préparatoire et rapidité d’exécution chez les plus en forme.
l’exercice aérobique permet quoi (4)
L’exercice aérobique (6 mois) qui permet d’améliorer les capacités cardiorespiratoires a un effet bénéfique sur le fonctionnement cognitif chez les aînés sans troubles cognitifs.
Effet observé sur : fonctions motrices, vitesse de traitement de l’information, mémoire à long terme, attention.
L’association observée entre augmentation des capacités cardiorespiratoires et amélioration du fonctionnement cognitif suggère un lien causal.
aérobie ou résistance ? (4)
Les plus grandes tailles d’effet sont observées avec les entraînements combinés (aérobie + résistance),
de durée modérée (30-45 min), au long cours (6 mois et +).
Plus grands bénéfices sur les tâches exécutives ou qui requièrent du contrôle attentionel (ex : inhibition, attention divisée, alternance)
est ce que le niveau de fitness est important pour s’améliorer
des fois oui mais des fois non, ici on voit une nette anélioration du temps de reponse (vitesse psychomotrice) chez les lower fit
effet de 3 mois de aerobic training pour perfo stroop effect
la différence est enorme pour ceux entrainé (corrélé avec le VO2max)
quel est un autre bénéfice de l’activité physique
augmente la qualité de vie
Pas seulement une question d’aérobie…
quest ce qui est important dentrainer aussi et ce qu’on voit (2)
Entraîner la force musculaire peut aussi mener à des améliorations de la performance cognitive!
- Amélioration de la performance mnésique et de l’abstraction verbale chez 62 aînés vivant dans la communauté (Cassilhas, et al., 2007) après un entraînement en résistance d’intensité modérée à élevée (3x/sem pendant 6 mois).
- Améliorer au test de Stroop (fonctions exécutives) dans un échantillon de 155 femmes âgées de 65 à 75 ans (Liu-Ambrose, et al., 2010) après un entraînement progressif de la force (2 sets de 6-8 répétitions) sur 12 mois (1 ou 2 x/sem).
est ce que cest juste l’activité aérobique qui mène à de l’amélioration?
Différents types d’exercices (aérobie, contrôle moteur, force, flexibilité, etc.) peuvent engendrer un effet bénéfique sur la cognition (inhibition) des aînés sédentaires.
comment ca fonctionne, mecanisme physiologiques
quest ce que cause l’exercice physique au niveau du cerveau (5)
- Flux sanguin cérébral augmenté à l’exercice modéré-intense (20-25% du sang pompé par coeur va au cerveau pendant exercice physique)
- Dysfonction vasculaire (pu de plasticité vasculaire) (altérée par l’âge) diminue avec exercice.
- Flux et fonction vasculaire maintenus chez les actifs.
- Meilleure hémodynamie
- Meilleure réactivité cérébrovasculaire
on sait que l’exercice physique augmente la fonction cognitive, mais est ce que ca peut diminuer la démence
une fois la demence installée, on sait pas si l’exercice physique change les biomarqueurs de la demence:(
Impacts de l’activité physique sur la cognition : via quels mécanismes? (2)
- Effets indirects : amélioration du sommeil, réduction du stress (voir Heijnen et al., 2016), changements dans la diète, diminution des maladies chroniques (ex : cardiovasculaires), qui sont tous des facteurs qui influencent les fonctions neurocognitives.
- Effets directs de l’exercice sur le cerveau