cours 6 Flashcards
vrai ou faux, les programmes de prévention doivent s’appuyer sur :
1. des critères d’efficacité
2. des critères de planification
Vrai
nomme les critères d’efficacité sur lesquelles ont doit se baser pour les programme de prévention.
- Programmes doivent être globaux : agir à plusieurs niveaux (ex. école, famille), avec stratégies diversifiées, sur principaux facteurs de risque et de protection (cibles) du développement des jeunes.
- Interventions doivent proposer contenus appropriés et adaptés : selon phases de dév des jeunes (ex: 1e / 2e secondaire), interventions s’appuient sur fondements scientifiques et sont reconnues pertinentes selon les recommandations d’experts.
- Interventions à l’abris d’effets paradoxaux (effets contraires à ce qui est attendu = effets iatrogènes)
nomme les critères de planification sur lesquelles ont doit se baser pour les programme de prévention.
- Interventions répondent à besoins réels: correspond bien à la problématique. Se fait grâce à une recension de la littérature sur les prévalences et les conséquences du problème.
- Objectifs du programme clairs et reliés aux cibles d’intervention : portent sur les processus ou implantation du programme (objectifs opérationnels) et sur ses effets proprement dits (objectifs du programme). Pour déterminer les objectifs : recension de la littérature, consultation auprès d’intervenants clés, sondage d’opinions, etc.
- Cibles d’intervention retenues en fonction de leur importance et potentiel de changement: repérer la situation qui fera l’objet d’une intervention (facteurs de risque et/ou de protection sur quoi on désire agir)
- Façons d’intervenir retenues (interventions) cohérentes avec les objectifs : élaboration d’un modèle logique
- Méthodes et stratégies d’intervention retenues reposent sur bases théoriques : Choisir théories qui conviennent le mieux aux objectifs du programme
- Protocole d’évaluation (de l’implantation et des effets) avant implantation des interventions, pour assurer atteinte des objectifs visés : Évaluation doit être mentionnée dans Modèle logique
créer un modèle logique prend deux tâches: la définition des éléments du modèle et la détermination des liens entre ces éléments, explique.
- définition des éléments: décrire les activités du programme, les groupes cibles, les résultats à court terme (qui mesurent l’atteinte des objectifs spécifiques), les résultats à moyen terme (qui mesurent l’atteinte des objectifs intermédiaires), les résultats à long terme (qui mesurent l’atteinte des objectifs généraux)
- Liens entre les éléments: Chaque activité doit s’accompagner d’au moins un résultat opérationnel (extrant) mesurable quant aux services offerts (types de services offerts et usagers auxquels ils s’adressent)
Chaque résultat à court, moyen ou long terme doit être lié à un changement correspondant visé par le programme
que veut dire APTE?
APTE pour Activités de Prévention des ToxicomaniEs
la prévention primaire / universelle qui vise à réduire l’incidence vise quelle clientèle?
- Apte de groupe : 2e à 3e secondaire «profil A» et 4e à 5e secondaire «profil B»
- Apte Parents (des ado)
- Apte Enseignants (du secondaire)
la prévention secondaire / ciblé qui vise à réduire l’incidence vise quelle clientèle?
- APTE individuel : élèves du secondaire avec problème de toxicomanie en émergence (feux jaune)
que veut dire SPA?
substances psychoactives
vrai ou faux, Apte de groupe et Apte Individuel sont basés sur la théorie psychosociale de “l’adaptation du Modèle intégratif de la prédiction comportementale” de Fishbein et Yzer.
vrai
qu’est ce que la théorie psychosociale de “l’adaptation du Modèle intégratif de la prédiction comportementale” de Fishbein et Yzer?
Elle dit que pour modifier la consommation de SPA, il faut modifier les croyances pro consommation (facteurs de risque) et renforcer les croyances anti consommation (facteurs de protection), qui sont les cibles des interventions.
Pour bien cibler les croyances, quelle sont les 4 étapes que propose Sutton?
Étape 1: Identifier le comportement visé (consommer alcool, weed etc. au cours du prochain mois) et identifier la population cible (ado)
Étape 2: Identifier les croyances les plus saillantes dans la population cible par des questions ouvertes (focus groups auprès des ado)
Étape 3: faire une étude avec des questions fermées pr savoir quelles croyances sont les plus associées au comportement cible (enquête par questionnaire)
Étape 4: Analyser données de l’enquête pr savoir quelles croyances différencient le plus ceux qui adoptent le comportement cible de ceux qui l’adoptent pas. Ces croyances sont devenues les cibles des interventions préventives.
nomme un exemple d’interventions (activités) d’Apte de groupe.
Cinq activités interactives en groupe,en classe, qui touchent les Gr. les plus influent chez les jeunes: amis, famille, l’école, communauté, médias.
Visent la correction des croyances pro santé et le renforcement des croyances anti consommation. utiliser QUE les arguments scientifiquement validés pr contrer / renforcer les croyances des ado
quelles ont été les résultats de l’implantation de tous les programmes de la stratégie APTE?
- tt programmes ont été mis en œuvre comme prévu (fidélité de l’implantation)
- prgrm ont été bien reçus par les participants et les intervenants, comme en font foi des niveaux élevés de satisfaction.
- Les interventions sont à l’abris d’effets paradoxaux (iatrogènes) comme l’ont démontré les évaluations de chacun des prgrm.
quelles sont les facteurs prédictifs de la consommation de SPA?
- croyances
- attitudes
- normes subjectives
- efficacités personnelles «auto efficacité»
- intentions
sur quelles théories sont basées les interventions d’Apte individuel?
- l’adaptation du Modèle intégratif de la prédiction comportementale
- l’approche motivationnelle : pour créer des divergences
- l’approche cognitivo-comportementale : pour restructurer les cognitions (croyances pro santé) et offrir des stratégies pour modifier le comportement
- Media Priming Theory : renforcer les liens entre les croyances anti consommation et les facteurs qu’elles engendrent (attitudes, normes subjectives et efficacités personnelles “auto efficacité”)