cours 4 Flashcards

1
Q

comment peut-on définir le phénomène de la prophétie qui s’autoréalise ?

A

C’est lorsque la définition erronée de la situation qui provoque un nouveau comportement qui, une fois manifesté, fait en sorte que la définition erronée devient vraie.

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2
Q

Expliquez les étapes de la prophétie qui s’autoréalise en fonction des perceptions du percevant et de la cible

A
  1. Le percevant a une perception des caractéristiques de la cible
  2. Le percevant agit conformément aux attentes qu’il a face à la cible
  3. La cible réagit ou ajuste son comportement en fonction des actions du percevant
  4. il y a une confirmation des attentes du percevant
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3
Q

Mettez en parallèle la prophétie qui s’autoréalise et le paradigme de la confirmation béhavioriste. en quoi sont-ils distincts ? Donnez des exemples

A

La prophétie qui s’autoréalise est une prophétie qui se réalise sans qu’il y ait d’interaction entre une cible et un percevant. Par exemple, on lit son horoscope, il nous dit qu’on est chanceux. On va s’acheter un billet de lotto et on gagne.
Tandis que la confirmation béhavioriste est une prophétie qui se réalise lorsqu’il y a une interaction entre une cible et un percevant. Par exemple, l’expérience de la conversation téléphonique démontre que les femmes jugées attirantes par les hommes avaient une meilleure conversation, étaient plus enthousiastes,

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4
Q

Comment peut-on définir l’effet Pygmalion

A

L’effet Pygmalion peut seulement se produire en contexte scolaire ou en milieu sportif. C’est lorsque le professeur ou l’entraîneur modifie le concept de soi de l’élève/de l’athlète afin que celui-ci se conforme à ses attentes et à ses croyances le concernant. Ex : le frère de sophie était très brillant, je suis sur qu’elle l’est aussi. Donc se met a plus sourire a sophie, porter plus attention, etc. Sophie est très motivée et enthousiaste (confirme la croyance du début)

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5
Q

Décrivez l’étude concernant l’effet Pygmalion de Rosenthal & Jacobson, 1968

A

Début d’année: dire à des prof. que certains élèves de leur classe avaient une forte probabilité de faire de gros
progrès durant l’année car ils avaient obtenus de meilleurs résultats à un test de QI (les précoces). Les élèves sélectionnés au hasard ne présentaient pas de différence particulière avec les autres élèves. Une hypothèse est que le fait de dire au prof. qu’un élève était précoce et pouvait réaliser de gros progrès l’amenait
à développer une attente + envers cet élève. À la fin de l’année, on a fait passer le même test de QI, et on mesure la différence de performance (pré vs post). Les résultats des éleves précoces étaient plus élevés que ceux des autres. Les élèves dits précoces ont confirmé les fortes espérances placées en eux. Donc, la prophétie s’est accomplie (effet Pygmalion)

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6
Q

Quels sont les quatre facteurs qui doivent être présents

dans une salle de cours pour créer l’Effet Pygmalion?

A
  1. Climat
  2. Investissement
  3. Opportunité de répondre
  4. Rétroaction
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7
Q

Quel est l’effet contraire (négatif) de l’effet Pygmalion ?

A

L’effet Golem

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8
Q

Qu’est-ce que le phénomène de la corrélation illusoire ?

A

C’est la tendance à surestimer l’association entre deux variables qui sont légèrement ou pas du tout liées entres elles (ex: les superstitions). Donc, établir un lien ou une relation entre deux phénomènes indépendants l’un de l’autre (voir des corrélations là où il n’y en a pas)
Il pleut seulement les fins de semaines, les feux sont tous rouges lorsque l’on est en retard (mais c’est simplement parce qu’on le remarque plus)

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9
Q

Décrivez l’expérience de (Ross, Amabile & Steinmetz,

1977) sur l’erreur fondamentale attributionnelle

A

On place deux participants dans une salle. Entre les deux, il y en a un qui devient questionneur et l’autre devient répondant. Le questionneur écrit des questions de culture générale qu’il devra poser à au répondant. Même si l’assignation est aléatoire, les gens ne tiennent pas compte du rôle des facteurs situationnels (contexte, pige) pour évaluer les capacités des participants et affirment que le questionneur est celui qui est le plus instruit.

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10
Q

Qu’est-ce que le phénomène de l’erreur fondamentale attributionnelle ?

A

C’est la tendance à surestimer l’influence causale des facteurs dispositionnels et à déprécier le rôle des facteurs situationnels dans l’explication du comportement d’autrui (la personne est responsable de son comportement > la situation est responsable du comportement de la personne)

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11
Q

Qu’est-ce qu’une attribution ?

A

c’est une inférence ayant pour but d’expliquer pourquoi un événement a eu lieu ou encore qui a pour but d’expliquer le comportement d’autrui aussi bien que notre propre
comportement. C’est la cause perçue d’une événement ou comportement

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12
Q

Vrai ou faux ?

Une attribution est généralement subjective

A

Vrai,

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13
Q

Quels sont les impacts que peuvent avoir les attributions ?

A

Les attributions exercent une influence déterminante sur les comportements futurs même si elles sont subjectives

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14
Q

Pourquoi fait-on des attributions ?

A

Afin de mieux comprendre et contrôler son environnement social. Les attributions permettent de comprendre les causes d’un comportement ou d’un événement
et permettent de prédire son apparition (anticiper les
choses)

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15
Q

Nous faisons des attributions lorsque nous voulons protéger notre amour propre. Expliquez
(pourquoi fait-on des attributions?)

A

Lorsque l’on veut protéger et rehausser sa valeur personnelle et maintenir une bonne estime de soi (biais égocentrique) (c’est grâce à mes habiletés que j’ai réussis)

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16
Q

Nous faisons des attributions lorsque nous voulons nous présenter aux autres sous un meilleur jour. Expliquez (pourquoi fait-on des attributions?)

A

Nous faisons des attributions internes (succès) et attributions externes (échecs) afin de communiquer une
image positive de nous-mêmes aux autres (si s’échoue c’est la faute des autres)

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17
Q

Quand faire des attributions ? (dans 3 situations)

A
  1. Lorsque nous sommes incertains de nos sentiments (on ne connait pas la personne et on veut savoir à qui on a à faire)
  2. Lorsque l’on est témoin d’événements inattendus ou inhabituels (ex: voir qu’un se faire agresser = la personne est violente)
  3. Lorsque l’on vit un échec (c’est à cause du professeur que j’ai échoué)
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18
Q

Quels sont les deux principaux types d’attributions ?

A
  1. Causales

2. Dispositionelles/situationelles

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19
Q

Complétez la phrase suivante :

On utilise les attributions causales lorsque l’on recherche les causes d’un _______(3 éléments)

A
  1. événement
  2. succès ou échec
  3. Maque de contrôle sur l’environnement
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20
Q

Quelles sont les trois dimensions causales des attributions causales ?

A
  1. lieu de causalité (origine de la cause, interne vs externe)
  2. stabilité temporelle (stable vs instable)
  3. contrôlabilité (contrôlable vs incontrôlable)
21
Q

Décrivez les deux dimensions du lieu de causalité d’une attribution causale

A

a) interne à l’individu (s’attribuer la cause de l’échec, ex: je n’ai pas étudié assez fort)
b) externe à l’individu (ne pas s’attribuer la cause de son échec (ex: c’est à cause de mon professeur si j’ai échoué, il ne m’aime pas)

22
Q

Décrivez les deux dimensions de la stabilité temporelle d’une attribution causale

A

a) instable, la cause peut changer éventuellement (ex: je n’ai pas étudié assez fort, je vais me reprendre)
b) stable, la cause risque beaucoup moins de changer éventuellement (ex: j’ai échoué à cause de mon prof, ça risque peu de changer pcq ça dépend beaucoup de lui)

23
Q

Décrivez les deux dimensions de la contrôlabilité d’une attribution causale

A

a) contrôlable, la cause peut être contrôlée (ex: je n’ai pas étudié assez fort, je vais travailler plus)
b) incontrôlable, la cause ne peut pas être contrôlée directement par l’individu (ex: j’ai échoué à cause de mon prof, je ne peux pas contrôler sa perception, attentes, etc)

24
Q

Décrivez le fait d’obtenir une bonne note à un examen selon les trois dimensions suivantes :
cause interne, stable et contrôlable

A

j’étudie toujours fort

25
Q

Décrivez le fait d’obtenir une bonne note à un examen selon les trois dimensions suivantes :
cause externe, instable et incontrôlable

A

j’ai été chanceux

26
Q

Quelle est la dimensions causale additionnelle ? Expliquez

A

Celle de la globalité. C’est un généralisation inter situationnelle soit une cause récurrente de situation en situation ou une cause spécifique ou limitée à une situation bien précise (ex: avoir échoué à son examen, je ne réussis pas bien dans mes études vs j’ai de la difficulté en biologique mais je suis bon dans d’autres matières)

27
Q

Expliquez le style attributionnel global pessimiste ainsi que ces conséquences psychologiques (dans un contexte d’échec à un examen)

A

Les différences individuelles sont le résultat des attributions systématiques effectuées pour expliquer un échec. La cause de l’échec est considérée comme interne, stable et globale (j’ai échoué parce que je ne suis pas assez intelligent)
conséquences : détresse psychologique, baisse d’estime de soi et de la motivation

28
Q

Expliquez le style attributionnel global optimiste ainsi que ces conséquences psychologiques (dans un contexte d’échec à un examen)

A

La cause de l’échec est externe, instable et spécifique (j’ai échoué parce que la tâche était trop difficile, mais je suis habile dans d’autres tâches)
conséquences : moins de détresse psychologique, meilleure estime de soi et plus de motivation

29
Q

Quelle est la différence entre les attributions situationnelles et dispositionelles?

A

situationnelles : les comportements de la personne sont attribuables à la situation dans laquelle elle se trouve
dispositionnels : les comportements de la personne sont attribuables à sa personnalité, son tempérament, etc

30
Q

Vrai ou faux ?

Le biais de correspondance et l’erreur attributionnelle fondamentale sont des synonymes

A

Vrai ! Les deux correspondent à la tendance à surestimer l’influence des facteurs dispositionnels et déprécier le rôle des facteurs situationnels dans l’explication du comportement d’autrui. (blâmer les autres pour leurs comportements plutôt que la situation)

31
Q

Comment expliquer que le fait de bien connaître quelqu’un rend l’observateur moins susceptible de faire un biais de correspondance ou une attribution dispositionnelle à son sujet?

A

Le fait de bien connaitre quelqu’un permet de savoir qu’un comportement X (ex : être agressif, de mauvaise humeur) est inhabituel chez la personne. L’observateur va donc plutôt chercher à expliquer le comportement de la personne en fonction de la situation (il a une mauvaise journée) (vidéo de John de mauvaise humeur, ancienne collègue vs nouvelle stagière)

32
Q

Que permettent les attributions dispositionnelles ?

A

Elles permettent de déterminer dans quelle mesure l’action que vient d’accomplir un individu permet d’inférer des caractéristiques sur celui-ci (ex: voir quelqu’un se faire agresser, en déduire que la personne a une prédisposition à la violence)

33
Q

Quelles sont les deux théories classiques de l’attribution

pour expliquer les attributions dispositionnelles (vs situationnelles) ?

A
  1. Théorie des inférences correspondantes de Jones & Davis (attributions dispositionnelles émises par les observateurs)
  2. Théorie de Kelley (principe de covariation (Théorie Anova)
34
Q

Décrivez le concept central de la théorie des inférences correspondantes de Jones & Davis

A

Le concept central de cette théorie est le degré de correspondance. Soit la clarté de l’attribution en relation avec le comportement observé (degré decorrespondance entre le comp. observé chez un individu et sa prédisposition à manifester ce comp.)

35
Q

Décrivez en quoi consiste la théorie des inférences correspondantes de Jones & Davis

A

Le comportement de l’acteur peut être attribué à un de ses traits de personnalité (ex: donne un cadeau sans aucune occasion spéciale = générosité) donc attribution de correspondance dispositionnelle (élevé)
ou
Le comportement de l’acteur ne peut pas être
attribué à un de ses traits de personnalité (autres facteurs en jeux) (ex: donne un cadeau à noel) donc impossible de faire un attribution de correspondance dispositionnelle (faible)

36
Q

Selon la théorie des inférences correspondantes de Jones & Davis, deux facteurs sont déterminants dans l’attribution de correspondance. Lesquels ? Expliquez

A
  1. Choix de l’acteur : choisir d’adopter le comportement observé vs être forcé d’adopter le comportement observé
  2. Désirabilité sociale : le comportement adopté est en accord(ou pas) avec les normes de désirabilité sociale
37
Q

Complétez les phrases suivantes par rapport au degré de correspondance :

  1. Le fait d’avoir le choix d’adopter un comportement __
  2. Ne pas avoir le choix d’adapter un comportement __
  3. Le comportement adopté est en accord avec une norme de désirabilité sociale ____
  4. Le comportement adopté n’est pas en accord avec une norme de désirabilité sociale ___
A
  1. Le fait d’avoir le choix d’adopter un comportement : augmente le degré de correspondance
  2. Ne pas avoir le choix d’adapter un comportement : impossible de faire une attribution dispositionelle
  3. Le comportement adopté est en accord avec une norme de désirabilité sociale :
    diminue le degré de correspondance
  4. Le comportement adopté n’est pas en accord avec une norme de désirabilité sociale :
    augmente le degré de correspondance
38
Q

Qu’arrive-t-il lorsque que l’on infère que l’acteur avait le choix d’accomplir l’action alors que ce n’était pas
nécessairement le cas …?

A

C’est une erreur attributionnelle fondamentale !

39
Q

Décrivez globalement la théorie de Kelley (principe de covariation ou théorie Anova)

A

Le principe de la théorie repose autour de la question suivante : Comment des attributions sont émises lorsque
plusieurs sources d’info. se trouvent à notre disposition?
Un effet est attribué à l’une des causes plausibles avec laquelle il covarie. L’effet attribué à la condition qui est présente quand il se produit et absente quand il ne se produit pas (ex: sourires et clins d’oeil avec chandail rose, pas de réaction avec chandail vert. Effet : sourires et clin d’oeil, condition : chandail rose

40
Q

Quelles sont les trois déterminants (conditions) de la théorie Anova (principe de covariation)

A
  1. Consensus (comportement des autres dans la même situation)
  2. Distinction (comportement de la personne dans d’autre situations)
  3. Consistance (comportement habituel de la personne dans la même situation à d’autres moments
41
Q

Complétez les phrases suivantes par rapport aux conditions du principe de covariation :

  1. La plupart des individus agissent comme cette personne dans cette situation ____
  2. Aucun individu n’agit comme cette personne dans cette situation ____
  3. La personne agit de cette façon dans toutes les situations (ou activités) ____
  4. La personne agit de cette façon seulement dans cette situation (ou activités) _____
  5. La personne agit toujours de cette façon dans cette situation ___
  6. La personne n’agit généralement pas de cette façon dans cette situation _____
A
  1. La plupart des individus agissent comme cette personne dans cette situation : Consensus élevé
  2. Aucun individu n’agit comme cette personne dans cette situation : Consensus faible
  3. La personne agit de cette façon dans toutes les situations (ou activités) : distinction faible
  4. La personne agit de cette façon seulement dans cette situation (ou activités) : distinction élevée
  5. La personne agit toujours de cette façon dans cette situation : consistance élevée
  6. La personne n’agit généralement pas de cette façon dans cette situation : consistante faible
42
Q

Comment peut-on définir un biais attributionnnel ?

A

Attributions effectuées à notre sujet et au sujet des autres: influencées par des biais motivationnels et cognitifs

43
Q

Comment peut-on définir le biais attributionnel des acteurs ? Et celui des observateurs ?

A

Acteurs : attributions que nous faisons a notre sujet

Observateurs: attributions que nous faisons au sujet des autres

44
Q

Complétez le paragraphe suivant :
Le biais des acteurs est une forme de biais _________. Nous attribuons nos succès a des causes qui nous sont propres (attentes ______) mais nos échecs a des causes extérieures (attentes _____)

A

Le biais des acteurs est une forme de biais égocentrique. Nous attribuons nos succes a des causes qui nous sont propres (attentes internes) mais nos échec a des causes extérieures (attentes externes).
Ex: 60% = l’examen était trop difficile
95% = je suis bon

45
Q

Pourquoi peut-on dire que le biais attributionnel des observateurs est une erreur attributionnelle fondamentale ?

A

Car c’est une tendance à surestimer l’influence causale des facteurs dispositionnels et à déprécier le rôle des facteurs situationnels dans l’explication du comportement d’autrui (ex: vidéo je crois ce que je vois)

46
Q

Pourquoi sommes-nous sujets à l’erreur attributionnelle fondamentale (biais attributionnel observateur)? (4 éléments)

A
  1. Besoin de contrôler et de prédire notre environnement (facteurs internes plus facilement contrôlable que facteurs externes)
  2. Besoin de justice sociale (on est responsable de la situation dans laquelle on se trouve)
  3. Attention centrée sur le personne (vs sur la situation) on a donc plus de chances de lui attribuer les actes observés
  4. Manque de motivation ou de ressources cognitives pour corriger l’inférence dispositionnelle (percevant occupé sur le plan cognitif ne tient pas compte des facteurs situationnels)
47
Q

Quelles sont les différences entre les attributions émises

par les acteurs et les observateurs?

A

Dans le biais acteur-observateur, les acteurs ont tendance a attribuer leurs comportements aux pressions de la situation. Tandis que les observateurs ont tendance a attribuer ces mêmes comportements aux dispositions personnelles des acteurs, ce qui crée une source de conflits interpersonnels. (ex: j’ai oublié d’appeler mon chum pcq je suis trop occupée a étudier mais lui dit que c’est parce que je suis négligente)

48
Q

Comment peut-on expliquer ce biais acteur-observateur ?

A

A cause de la quantité d’information a la disposition des des 2 attributeurs (acteurs et observateurs).

  • L’observateur connait peu l’acteur et observe son comportement dans une seule situation. (donc le comportement est attribué aux dispositions de l’acteur)
  • D’un autre coté, l’acteur se connait bien il sait donc que son comportement est dû a la situation dans laquelle il se trouve (contrairement a ses dispositions personnelles)