Cours 4 Flashcards

1
Q

Qu’est-ce qu’une attitude ?

A

L’évaluation générale, positive ou négative d’une personne à l’égard d’un objet psychologique

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2
Q

Deux caractéristiques de l’attitude ?

A

la direction : caractère positif ou négatif d’une attitude à l’égard d’un objet
l’intensité : permet de mesurer à quel point une attitude est extrême

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3
Q

Le degré d’enracinement d’une attitude est liée à ?

A

La certitude subjective : conviction relative qu’à un individu d’être dans le vrai

La centralité : position occupée par une attitude dans la hiérarchie de l’ensemble de nos attitudes

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4
Q

Quelles sont les 2 types d’attitudes ?

A

Explicite : accessible à la conscience, contrôlable, facilement exprimable

Implicite : association inconsciente entre l’objet d’attitude et l’évaluation qu’on en fait.

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5
Q

Qu’est-ce que le conditionnement évaluatif ?

A

association entre un stimulus neutre et un autre stimulus positif ou négatif.
Il peut modifier les associations + ou - qui existent à l’égard d’un objet d’attitude

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6
Q

Qu’est-ce que la simple exposition ?

A

La répétition d’un stimulus rend son traitement automatique et produit un sentiment plaisant

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7
Q

Qu’est-ce que l’apprentissage sociale ?

A

L’observation des attitudes et des comportements des autres
nous nous comparons aux autres pour évaluer si notre vision de la réalité est correcte ou non. L’apprentissage social est plus efficace avec les personnes qui sont semblables à nous

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8
Q

Qu’est-ce que la conditionnement opérant ?

A

L’expression d’une attitude est renforcée ou punie . Un comportement devient plus ou moins probable selon les conséquences qui y sont associés

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9
Q

Comment les attitudes sont-elles formées ? (4)

A

Conditionnement évaluatif,
simple exposition,
apprentissage social, conditionnement opérant

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10
Q

Quels sont les 2 objectifs des études sur le changement d’attitudes ?

A

Comprendre ce qui se passe lorsque le changement se produit
mettre en lumière les stratégies susceptibles de le provoquer

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11
Q

Selon Hovland, il y a 3 étapes dans le traitement du message susceptible de produire un changement d’attitude …?

A

attention
compréhension
acceptation

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12
Q

Quel est le rôle primordial du renforcement ?

A

il incite l’individu à adhérer au message.

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13
Q

Quelles sont les variables étudiées par Hovland et son équipe ?

A

Qui (la source) dit quoi (le message) à qui (le public) et comment (le canal)?

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14
Q

Les caractéristiques de la source ?

A
  • Crédibilité
  • L’attrait
    -La similarité
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15
Q

Les caractéristiques du message ?

A
  • Appel à la raison ou aux émotions
  • Bilatéral ou unilatéral :
  • Répétition
    -Message direct ou indirect
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16
Q

Les caractéristiques du public ?

A
  • Niveau intellectuel ou d’instruction
    Niveau d’attention : la distraction
17
Q

Les caractéristiques du canal ?

A
  • En général, l’interaction directe est plus efficace que les autres canaux
    -Les messages complexes sont plus persuasifs lorsqu’ils passent par les médias écrits
    -Les médias, en particulier électroniques, ont une influence indirecte, mais réelle
18
Q

Quelles sont les 2 théories de la constance cognitive ?

A

la théorie de l’équilibre (Heider) et la théorie de la dissonance cognitive (Festinger)

19
Q

Qu’est-ce que la constance cognitive ?

A

le besoin de présume de l’être humain de garder une cohérence interne. (changer = stresseur), notre système préfère être le plus stable possible)

20
Q

Qu’est-ce que la théorie de l’équilibre de Heider ?

A

Lorsque nos relations avec les autres sont déséquilibrées, nous sommes motivés à rétablir l’équilibre.

La recherche de la consistance cognitive obéit à la loi du moindre effort : le moyen le moins coûteux pour rétablir l’équilibre sera choisi.

21
Q

Quelle est la théorie de la dissonance cognitive ?

A

La dissonance cognitive se produit lorsqu’il y a incohérence :
- Entre 2 éléments cognitifs liés au même objet d’attitude (croyances contradictoires)
- Entre son attitude et son comportement (sont en opposition)

Plus les cognitions sont importantes plus l’état de tension est désagréable, et plus la personne sera motivé à la réduire sa dissonance.

**occasion d’évoluer, de changer d’attitude, d’augmenter le sens critique.

22
Q

Que faire pour réduire la dissonance en raison de l’exposition à l’info ?

A

-Changer son comportement, ses attitudes ou croyances
-Rationaliser

23
Q

La dissonance en raison d’une justification insuffisante : quand on a plus d’excuse, c’est quoi ?

A

amené à s’exprimer ou à agir de façon contraire à son attitude, il ressentira un état de dissonance l’incitant à changer son attitude de manière à la faire correspondre à ce qu’il dit ou fait.

Plus les facteurs externes susceptibles d’inciter à l’action sont forts, plus faible sera le changement d’attitude (quand la cause d’un comportement ne relève pas de facteurs externes, l’individu la cherche en lui-même.)

24
Q

La dissonance en raison d’une prise de décision : quand on ne peut pas s’être trompé, c’est quoi ?

A

Une fois leur décision prise, les gens ont tendance à valoriser l’objet choisi et à dévaloriser l’objet rejeté.

25
Q

Quel est le modèle de la vraisemblance de l’élaboration cognitive ?

A
  • La clé du changement d’attitude n’est pas dans l’environnement, mais dans la tête des gens.
    • L’être humain ne traite pas de la même façon les informations selon qu’elles passent par la voie centrale ou la voie périphérique.
26
Q

Voie centrale vs voie périphérique

A

Centrale : fait réfléchir la personne, les arguments sont importants, processus cognitifs complexes, traitement élaboré de l’info

Périphérique : c’est l’enrobage qui détermine la persuasion

27
Q

Qu’est-ce qui incite les gens à vouloir partager leurs idées ?

A

degré de conviction à l’égard de leurs idées (la confiance d’être sur le droit chemin). Cette certitude comprend 2 aspects soit la clarté (l’impression de bien connaître l’attitude que l’on a à l’égard d’un objet) et l’exactitude (impression que c’est valide).