cours 3 et 4 Flashcards

1
Q

vrai ou faux, l’apparence physique d’une personne est habituellement le premier et parfois le seul indice pour se former une impression sur elle.

A

vrai

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2
Q

vrai ou faux, les comportements et les expressions non verbales que nous observons chez l’autre nous fournissent des informations pour former notre impression.

A

vrai

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3
Q

Les yeux envoient des messages sur la qualité de l’interaction et de la relation, explique les type de regard.

A
  1. Regard maintenu : perçu comme honnête, direct, amical, aimable ou intéressé.
  2. Regard fuyant : perçu comme non amical, louche, évasif, indifférent ou timide.
  3. Regard fixe et soutenu : peut être perçu comme colérique, hostile ou dominateur; ou peut être perçu comme amoureux ou très intéressé.
  4. Regard vers le bas : perçu comme triste, honteux ou soumis.
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4
Q

il y a une influence sur nous provenant des comportements / expressions non verbales. Donne des exemples de ces derniers.

A
  1. à travers le regard
  2. à travers les comportements
  3. les gestes, mouvements, posture
  4. le toucher (epaules, fesses, mains etc)
  5. influence du contexte (violoniste dans metro)
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5
Q

qu’est ce qu’une attribution?

A
  • Jugement (INFÉRENCE, DÉDUCTION) porté sur une personne, une situation, un événement, interprétation personnelle de la réalité.
    -elle peut etre faite pour:
    1. les autres = attribution de l’observateur ou hétéro-attribution;
    2. pour soi-même = attribution de l’acteur ou auto-attribution.
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6
Q

quelles sont les 3 types d’attributions?

A
  1. Attributions causales
  2. Attributions dispositionnelles
  3. Attributions de responsabilité
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7
Q

qu’est ce qu’une attribution causale?

A

But : déterminer les causes d’un comportement, d’un événement, d’un succès ou d’un échec ou expliquer un manque de contrôle sur l’environnement.

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8
Q

qu’est ce qu’une attribution dispositionnelle?

A

But : déterminer les caractéristiques d’un individu à partir d’une action qu’il vient d’accomplir.

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9
Q

qu’est ce qu’une attribution de responsabilité?

A

But : déterminer le niveau de responsabilité d’un individu par rapport à un acte qu’il a commis ou à un événement qui s’est produit.

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10
Q

quelles sont les 3 caractéristiques à considérer pour savoir si on peut utiliser la théorie des inférences correspondantes?

A
  1. Utiliser seulement dans les cadre d’attribution dispositionnelles
  2. Seulement dans les cas d’une attribution faite par un observateur (pas sur nous même)
  3. Quand on a 1 seule observation de la cible (de la personne)
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11
Q

qu’est ce que les “effets distinctifs”?

A
  • ce sont les conséquences qui découle uniquement de l’action que la personne a choisi de faire en comparaison aux autres actions que la personne auraient pu faire. (ex de la sortie du jeudi soir, 3 options, cinéma = être diverti, distinct de genre resto ou l’effet est plutôt meet new friends)
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12
Q

qu’est ce que la théorie de la covariation?

A

Théorie qui explique l’attribution par la perception d’un lien entre le comportement et la cause avec laquelle il varie dans le temps.

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13
Q

dans la théorie de la covariation, il y a 3 dimensions d’information, lesquelles?

A

1) Consensus : comportement de la personne observée est comparé au comportement des autres personnes
2) Distinction : comportement que personne observée adopte par rapport à l’entité est comparé au comportement qu’elle adopte par rapport à d’autres entités
3) Constance : comportement de la personne observée à ce moment précis est comparé au comportement qu’elle adopte à d’autres moments semblables (même entité)

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14
Q

dans la théorie de la covariation, dans quelle cas peut-on faire une attribution À LA PERSONNE?

A
  • Si le consensus est faible. Autrement dit, si la personne est la seule à faire ce comportement
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15
Q

dans la théorie de la covariation, dans quelle cas peut-on faire une attribution À L’ENTITÉ?

A
  • Si la distinction est élevée. Autrement dit, si la personne a un comportement particulier avec cette entité
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16
Q

dans la théorie de la covariation, dans quelle cas peut-on faire une attribution AUX CIRCONSTANCES?

A
  • Si la constance est faible. Autrement dit, si la personne a un comportement différent maintenant avec cette entité
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17
Q

qu’est ce que l’approche pragmatique?

A
  • cette approche stipule que nous raisonnons en utilisant des raccourcis mentaux. Ceux-ci sont des stratégies cognitives qui nous permettent de porter des jugements plus rapidement et avec moins d’efforts cognitifs
  • on part d’un événement → indentification cause → Recherche d’indices confirmatifs / présence lien de cause à effet
  • l’utilisation de raccourcis mentaux augmente le risque d’erreurs
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18
Q

qu’est ce que l’approche du traitement de l’information?

A

Cette approche stipule que nos attributions sont affectées par notre façon de mémoriser et de traiter les infos. Elle s’intéresse aux processus de l’attention, l’acquisition, l’emmagasinage, la récupération, la catégorisation, etc.

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19
Q

vrai ou faux, la théorie de la motivation à l’accomplissement correspond toujours au POV de la personne qui fait l’attribution

A

vrai

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20
Q

explique la théorie de la motivation à l’accomplissement.

A

évenement → attribution → dimensions causales (lieu de causalité, contrôle, stabilité) → conséquences cognitives affectives → motivation résultante

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21
Q

qu’est ce que la résignation acquise?

A
  • État psychologique qui résulte de la venue fréquente d’événements désagréables incontrôlables par la personne qui les vit menant à des états émotionnels, cognitifs et motivationnels déficitaires
  • Conséquences : auto-attributions négatives, tristesse, passivité, apathie, inhibition
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22
Q

qu’est ce qu’un biais d’attribution?

A
  • émettre des attributions qui semblent rompre avec la logique
    -Lorsque l’attribution est faite par l’observateur :
    1. Erreur d’attribution fondamentale
    2. Biais de responsabilité injustifiée
  • Lorsque l’attribution est faite par l’acteur :
    1. Biais de complaisance
    2. Autohandicap
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23
Q

parmi les biais d’attribution, qu’est ce que l’erreur d’attribution fondamentale?

A
  • Tendance à exagérer l’importance des facteurs dispositionnels (internes) et à sous-estimer l’influence des facteurs situationnels (externes) dans l’explication du comportement d’autrui.
  • Quand on juge comportement dune autre personne sans tenir compte du contexte, mm si causes externes son évidentes
  • implique sois le jugement rapide sois l’effet de saillance
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24
Q

parmi les biais d’attribution, qu’est ce que l’erreur d’attribution fondamentale?

A
  • Tendance à exagérer l’importance des facteurs internes (dispositionnels) et à sous-estimer l’influence de la situation (externes) dans l’explication du comportement d’autrui.
  • Quand on juge comportement dune autre personne sans tenir compte du contexte, mm si causes externes son évidentes
  • implique sois le jugement rapide sois effet de saillance
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25
Q

qu’est ce que l’effet de saillance (saillance perceptive)?

A

tendance à attribuer une influence plus importante aux personnes qui sont perceptiblement en évidence
(participant vue de face plus important)

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26
Q

parmi les biais d’attribution, qu’est ce que le biais de responsabilité injustifié?

A
  • Tendance à porter le blâme à la victime plutôt qu’à la cause réelle
  • se produit davantage si conséquences sont graves (rape vécu)
  • Explications :
    Assurance quant à l’impossibilité que ça nous arrive.
    Surcharge émotive qui nuit à la réflexion.
    Croyance en un monde juste.
    Biais rétrospectif.
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27
Q

parmi les biais d’attribution, qu’est ce que le biais de complaisance?

A
  • Tendance à attribuer nos succès et bons comportements à des facteurs dispositionnels (internes) et nos échecs et mauvais comportements à des facteurs situationnels (externes) (c lui qui a start)
  • Explications :
    Pour protéger notre estime de soi.
    Pour faire bonne impression aux autres.
    Influence de nos attentes.
    Influence du biais égocentrique jumelé à une perception positive de soi (liés à mémoire)
28
Q

qu’est ce qu’un biais retrospectif?

A

Fausse impression qu’on connaissait déjà une info nouvelle. Ceci nous amène à surestimer le fait qu’un événement passé aurait pu être anticipé

29
Q

qu’est ce qu’un biais egocentrique?

A

Biais qui amène un individu à exagérer dans ses souvenirs la part qu’il a pris dans des activités collectives

30
Q

qu’est ce qu’un mauvais jumelage cognitif?

A

justement le biais egocentrique donc exemple le fait de jumeler l’échec à des causes externes et la réussite aux causes internes

31
Q

parmi les biais d’attribution, qu’est ce que l’autohandicap / l’handicap intentionnel?

A
  • Création d’une excuse toute prête en cas d’échec ou pour se valoriser davantage après un succès.
    ex: Ex : prétendre d’être malades, anxieux, déprimés
  • Deux types d’autohandicap :
    1. Revendiqué : revendiquer la présence d’obstacle avant de s’engager dans une tâche.
    2. Comportemental : mettre de l’avant des obstacles à sa propre réussite avant de participer à une tâche
  • Explications :
    Pour protéger notre estime de soi.
    Pour faire bonne impression aux autres.
32
Q

quelles sont les différences entre acteurs ou observateurs ?

A
  • L’observateur a tendance à expliquer le comportement de l’autre par des raisons dispositionnelles.
  • L’acteur a tendance à expliquer son propre comportement par des raisons situationnelles.
33
Q

qu’est ce que la théorie gestalt?

A
  • les processus de la perception et de la représentation mentale traitent spontanément les phénomènes comme des ensembles structurés et non comme une simple addition ou juxtaposition d’éléments. (on voit mosaique, pas chaque carreaux)
  • “le tout est plus grand que la somme de ses parties”
34
Q

suite à l’étude menée par Asch avec la liste de traits nommées, quelles en sont les conclusions?

A
  1. Il y a une interaction entre les traits observés. (Ex agressif accompagner de certain autre mots ben aura pu le mm sens)
  2. Certaines caractéristiques ont un plus grand impact que d’autres dans le processus de formation d’impression. Un “effet de centralité” est observé.
  3. L’ordre de présentation des caractéristiques influence notre perception globale = effet de primauté observé
35
Q

qu’est ce que l’effet de centralité et l’effet de primauté?

A

centralité = Les infos auxquelles nous accordons plus d’importance influencent davantage le sens donné aux autres infos reçues.
primauté = Les premières infos reçues sont mieux retenues et elles influencent le sens donné aux infos obtenues par la suite

36
Q

qu’est ce que l’inférence correspondante?

A

attribution qui correspond au comportement directement observé (personne dans une situation négative well correspond a personne péjorative)

37
Q

qu’est ce que l’approche associative?

A
  • on commence par évaluer chaque caractéristique PIS ENSUITE après évaluation on voit le tout
  • Chaque caractéristique est évaluée selon sa présence et selon l’importance qui lui est accordée
  • contraire de théorie pragmatique
38
Q

selon l’approche associative, quelles sont les facteurs influençant le poids accordé à chacun des traits de quelqu’un?

A
  1. La source de l’information. (info plus fiable)
  2. La valence de l’information. (positif ou négatif)
  3. La normalité de l’information. (si inhabituel ou nn)
  4. La séquence des informations recueillies (effet de primauté)
39
Q

explique brievement l’approche cognitive?

A
  • Selon cette approche, quand il y a des choses qui se ressemble, on les associe, on les regroupe (pr former un trait) et ça nous donne une première impression, on voit pas comme un tout tt de suite, on combine des infos car font du sens ensemble.
  • Avec le temps on aura plus d’info, plus de traits, donc on fait d’autre regroupement… jusqu’aaa arriver a un ensemble globale
40
Q

De quoi dépend l’exactitude de nos premières impressions?

A
  1. Les indices visuels donné par la personne observée (caractéristiques physiques, tenue vestimentaire, comportements et expressions non verbales).
  2. Le fait que certains traits de personnalité s’accompagnent de comportements particuliers.
  3. Les propos exprimés verbalement par la personne.
  4. Notre volonté à être exact.
  5. Notre connaissance des risques d’erreur.
  6. L’utilisation de stratégies mentales efficaces.
  7. Exactitude globale (juger de manière trop générale)
  8. Exactitude circonscrite (MD serieux AU WORK pas tjr)
41
Q

dans les biais confirmatif, il y a le concept de confirmation d’hypothèse, explique.

A

Tendance à chercher, interpréter et créer les informations qui supportent les croyances existantes.

42
Q

dans les biais confirmatif, il y a le concept de persistance de croyance, explique.

A

Tendance à discréditer les informations qui contredisent les croyances existantes et à réinterpréter les faits de manière à confirmer ces croyances initiales.

43
Q

dans les biais confirmatif, il y a le concept de “prophétie qui s’autoréalise”, explique.

A
  • Processus par lequel les croyances d’un percevant par rapport à une autre personne l’amènent à adopter certains comportements qui amènera l’autre personne à se comporter de façon à confirmer les croyances initiales du percevant.
  • Tendance des personnes à se comporter conformément aux attentes qu’on a d’elles, ce qui augmente les probabilités que ces attentes se réalisent.
44
Q

qu’est ce que le biais lié à l’âge?

A

les adultes d’un âge moyen ont une vision plus équilibrée des rapports personne-situation, peut-être due à la grande complexité cognitive qui marge cet âge.

45
Q

vrai ou faux, nous faisons usually les attributions les moins coûteuses en énergie et en temps. Des idées simplistes ou même fausses sont plus rassurantes que l’absence d’idée

A

vrai

46
Q

qu’est ce que la formation d’impressions?

A

processus par lequel nous organisons divers éléments d’information se rapportant à une personne afin de former un tout

47
Q

Nous pouvons discerner les traits de personnalité à partir de 3 sources, lesquelles?

A
  1. Les informations fournies par le comportement
  2. Les caractéristiques de la situation où s’inscrit le comportement
  3. L’apparence physique
48
Q

qu’est ce que l’intégration de l’information?

A

Processus cognitif par lequel nous combinons les traits d’une personne afin d’en avoir une perception unifiée.

49
Q

quelles sont les étapes de la perception d’autrui (qui mène à avoir une impression de kkl)?

A

Éléments perçus = sois par apparence physique, comportement, contexte → processus d’attribution → traits → processus d’intégration → impression

50
Q

qu’est ce qu’une corrélation illusoire?

A

perception d’une corrélation entre deux variables alors qu’il n’en existe pas. → si les corrélations illusoires se maintiennent, c’est notamment par ce que nous avons tendance à remarquer ce qui confirme notre idée première, mais pas ce qui l’infirme.

51
Q

qu’est ce que le raisonnement contrefactuel?

A
  • reconstruire mentalement la réalité en essayant d’imaginer des actions différentes que usual menant à des conséquences aussi différentes. → peut :
  • aider quelqu’un à sortir de la rumination mentale
  • envisager des options que la confirmation des croyances lui ferait ignorer
  • permet de s’ajuster en vue d’actions futures et de déterminer d’autres stratégies que celles utilisées jusque-là avec plus ou moins de bonheur.
  • Peut briser notre cercle vicieux de la persistance des croyances par réinterprétation et de modifier notre perception
  • Peut-être ascendant et descendant
52
Q

qu’est ce que l’effet projecteur?

A

C’est de surestimer l’attention que les autres nous accordent
Ex : les gens passent beaucoup moins de temps que vous ne le pensez à vous observer au moindre mouvements.

53
Q

qu’est ce que le biais de fausse unicité?

A

Biais amenant l’individu à considérer comme exceptionnels ses attributs positifs

54
Q

qu’est ce que le biais de faux consensus?

A
  • Biais amenant l’individu à considérer ses attributs négatifs comme plus répandus qu’ils ne le sont en réalité.
  • Ne joue pas seulement sur les attributs négatifs, mais aussi lorsque nous aimons bcp une personne connue, à surestimer la proportion des gens dans la population qui partagent notre admiration.
55
Q

qu’est ce que la théorie de l’affirmation de soi?

A

lorsqu’on porte atteinte à une dimension de son estime de soi, la personne essaiera de valoriser d’autres dimensions d’elle-même qui n’y sont pas reliées.

56
Q

qu’est ce que la comparaison descendante?

A
  • tendance à se comparer à des personnes que l’on juge inférieures à soi pour relever son propre niveau.
57
Q

vrai ou faux, la comparaison sociale ne sert pas seulement à se définir, mais à se confronter dans l’idée qu’on est meilleur, plus riche, plus beau, plus compétent, et ainsi de suite.

A

vrai

58
Q

qu’est ce que la comparaison ascendante?

A
  • tendance à se comparer à des personnes que l’on juge supérieures à soi.
  • On se sent dévalorisé lorsqu’on ne réussit pas aussi bien que ses pairs dans une activité où on met beaucoup d’efforts
  • Lorsque la comparaison porte sur une personne que nous considérons comme supérieure à nous, mais dont nous nous sentons très proches sur le plan psychologique, il peut se produite un effet d’identification qui accroît notre estime de soi → les personnes cherchent à apprendre comme les autres s’y étaient prises pour surmonter l’épreuve, afin de garder l’espoir d’y parvenir à leur tour.
59
Q

vrai ou faux, seules les personnes modérément dépressives ont une perception adéquate de la réalité → se rappelle des informations tant positives que négatives à leur sujet

A

vrai

60
Q

vrai ou faux, une évaluation de soi positive est associée à de bonnes habiletés sociales et une bonne santé mentale ou physique puis permet de s’adapter à des expériences difficiles

A

vrai

61
Q

qu’est ce que le sentiment d’auto-efficacité selon Bandura?

A

niveau de confiance dans sa capacité de réussir qu’une personne ressent avant d’entreprendre une tâche

62
Q

qu’est ce que le sentiment d’efficacité collective?

A

La confiance en soi d’un leader se transmet par contagion, à l’équipe et crée un sentiment d’efficacité collective qui, à son tour, améliore la performance d’équipe.

63
Q

vrai ou faux, une trop grande estime de soi peut se traduire par le narcissisme, ce qui rend difficile le contact avec les autres et nuit à l’individu lui-même.

A

vrai

64
Q

vrai ou faux, Leary dit que l’être humain est un animal social et être apprécié par autrui est un besoin primaire. Le renforcement du sentiment d’être apprécié par autrui et d’appartenir une communauté rehausse l’estime de soi (sentiment d’appartenance).

A

vrai

65
Q

selon Leary, qu’est ce que la théorie de la gestion de la terreur?

A
  • l’estime de soi répond à la peur la plus fondamentale de l’être humain, celle qui domine toutes les autres sources d’angoisse, la peur de la mort.
  • à la suite de manipulations expérimentales, démontraient en guise de défense une baisse de l’estime de soi ainsi qu’une tendance à réaffirmer leurs valeurs personnelles et culturelles, notamment leurs valeurs religieuses.
66
Q

quelles sont les 3 conséquences des préjugés?

A

1) Les préjugés se conforment d’eux-mêmes, ce qu’on appelle les prophéties autoréalisatrices
2) Les préjugés perturbent les personnes qui en font l’objet, parce qu’elles appréhendent de les confirmer
3) Les préjugés ont des conséquences néfastes sur le bien-être psychologique.

67
Q

qu’est ce que la menace du stéréotype?

A

Appréhension / crainte éprouvée par les membres d’un groupe minoritaire parce que leur comportement pourrait confirmer un stéréotype culturel