Cours 3 Flashcards
On accepte que … étude sur … ai tord.
1 sur 20
Système Dopaminergique Mésolimbique
* Situé dans …
l’Aire Tegmentale Ventrale (ATV)
Système Dopaminergique Mésolimbique
* Situé dans l’Aire Tegmentale Ventrale (ATV)
* Projections nombreuses incluant le … (un des
ganglions de la base)
noyau accumbens
DA (dopamine) -> accumbens = … (sytème de la récompense)
renforcement
Phillips et collègues (2003)
* Associations apprises en lien avec indices liés à drogue (p.ex., lumière) produisent libération de dopamine dans ATV
* Libération de dopamine reliée à recherche de drogue
* Problème: … ?
Rôle du contexte ?
Récompenses naturelles partagent système neuronal avec dépendance (drogue) = problème
Contexte avec conditionnement amène libération naturelle de dopamine même sans injection de dopamine manuelle.
Psychopharmacologie ?
Étude de l’effet des drogues sur le système nerveux et le
comportement
Drogues ?
Composés chimiques administrés pour produire un effet sur le corps et/ou le comportement
Drogues psychoactives ?
Substances ayant la propriété d’altérer l’humeur, les pensées, et/ou le comportement
Drogues psychoactives : En intervention, utilisées pour … ?
améliorer conditions psychoneurologiques
Voies d’accès au SN ?
Voie orale
inhalation
injection
par la peau
Voie orale ?
- Sécuritaire, facile, et la plus
commune - Mais aussi la plus complexe
- En termes de barrières à traverser pour avoir un effet (passe dans estomac, enzymes, etc.)
- Implications pour la dose
Autres méthodes (…) produisent effets plus …
* Moins de … entre administration et site d’action désiré
inhalation ou injection
rapides
barrières
Barrière hématoencéphalique : rôle ?
Empêche la majorité des substances, incluant drogues, d’accéder au SNC via le réseau sanguin
Méthode la plus direct ?
injection drogue psychoactive dans cerveau
Cellules endothéliales des capillaires dans le corps (contrairement au cerveau) ne sont pas jointes de manière étanche : conséquence ?
Relativement facile pour un substance d’entrer et sortir du réseau sanguin
Au contraire, les cellules endothéliales dans le cerveau sont «tricotées serré», avec la présence des … (type de cellule gliale), forment une bonne barrière
astrocytes
plus difficile pour les molécule d’entrer dans le sang
Trois régions sans barrière ?
L’area postrema
La glande pinéale
L’hypophyse
L’area postrema permet aux substances toxiques dans le sang de … ?
déclencher une réaction de vomissement
La glande pinéale permet aux hormones d’agir sur cette structure et de moduler …
le rythme circadien qui est contrôlé par cette structure
L’hypophyse permet l’entrée dans le cerveau de composés chimiques pour … ?
pour sécréter les bonnes hormones
Difficultés à développer des drogues psychoactives : Les substances doivent être … ?
petites, sans charge électrique et soluble dans le gras
Sinon, elles doivent être structurellement similaires à d’autres molécules qui ont déjà un transport actif
* P.ex., acides aminés, glucoses, lipides
Élimination des drogues :
1- Drogues sont …
2- Sont ensuite …
*Certaines substances peuvent difficilement être éliminées
Peuvent s’accumuler dans l’organisme et devenir toxiques
P.ex., …
1- métabolisées dans reins, foie, intestins
2- excrétées via urine, selles, sueur, lait
maternel, et air exhalé
mercure, plomb
Différences individuelles aux drogues : facteurs ? (3)
- Âge
Personnes plus âgées relativement plus sensibles
Barrière et élimination moins efficaces - Taille
Personnes plus petites relativement plus sensibles
Relativement moins de fluides corporels,
diluant moins la substance - Sexe
Femmes plus sensibles
Même en contrôlant taille
Rôle des récepteurs hormonaux
Action des drogues au niveau synaptique : 2 types de drogues ?
● Agonistes : Substances qui intensifient l’action d’une synapse
● Antagonistes : Substances qui bloquent l’action d’une synapse
Types d’ingérence synaptique
- Synthèse d’un neurotransmetteur
- Stockage d’un neurotransmetteur
- Libération d’un neurotransmetteur
- Interaction avec un récepteur
- Inactivation d’un neurotransmetteur
- Recapture d’un neurotransmetteur
- Dégradation d’un neurotransmetteur
(voir livre)
Classification par effet
I. Sédatifs/anxiolytiques
II. Antipsychotiques
III. Antidépresseurs *
IV. Stabilisateurs d’humeur *
V. Narcotiques
VI. Psychostimulants *
VII. Psychédéliques et hallucinogènes *
- = ensemble
Vrai ou faux : La plupart sont des découvertes accidentelles ?
oui!
I - Sédatifs/anxiolytiques : 2 grandes familles ?
● Barbituriques / alcool
● Benzodiazépines
Benzodiazépines ?
○ Tranquillisants mineurs (légers)
○ Anxiolytiques
■ Réduisent anxiété (e.g., Valium)
■ Généralement pour usage à court terme
● Barbituriques / alcool
○ Produisent sédation et sommeil
○ Peuvent conduire à anesthésie générale, coma, et mort
Tolérance ?
○ Réduction de l’effet d’une drogue lors de prise
répétée
○ Une plus grande dose est requise pour produire l’effet initial
Tolérance croisée ?
○ Réponse à une nouvelle drogue réduite suite à tolérance à ancienne drogue
○ Suggère que les deux drogues partagent un site d’action
Tolérance croisée : exemple ?
barbituriques et benzodiazépines affectent le neurotransmetteur inhibitoire GABA
Récepteurs GABA :
* Excitation produit un influx d’ions …
Le récepteur GABAA a deux sites:
Site … : Alcool et barbituriques
* Influence sur influx Cl- (comme GABA)
Site … : Benzodiazépines
* Facilite liaison du GABA (augmente influx Cl-)
* Effet dépend de quantité de GABA présent
* Plus difficile de faire un surdose
du chlore
1- sédatif-hypnotique
2- Anti-anxiété
Récepteurs GABA : quand les 2 sites sont occupé en même temps … ?
effets des deux drogues s’additionne, risque mort
II - Antipsychotiques ? effet sur les récepteurs?
Tranquillisants majeurs (neuroleptiques)
Drogue qui bloque le récepteur de dopamine D2
Mécanisme d’action pas très bien compris
■ Réduction immédiate de l’activité motrice
■ À court terme, réduction des symptômes
psychotiques
■ Effet secondaire: dyskinésie (problème de
contrôle des mouvements)
Utilisés principalement pour “traiter” la
schizophrénie ?
II - Antipsychotiques
Théorie dopaminergique de la schizophrénie : propose que … ? pourquoi ?
Propose que les symptômes sont dus à une trop grande activité DArgique
Pourquoi ?
■ Antipsychotiques bloquent récepteurs
D2
■ Amphétamines relâchent dopamine et
peuvent produire des symptômes
similaires à schizophrénie
(Mais pas de démonstration univoque de
différences DA entre schizophrènes et contrôles)
III - Antidépresseurs : classes ? (3)
- Inhibiteurs des monoamines
oxidase (IMAO) - Antidépresseurs tricycliques
- Médicaments 2e génération
Dépression majeure : sx ?
Troubles de l’humeur caractérisés par ;
■ Sentiments prolongés de culpabilité, anhédonie
■ Altération alimentaire
■ Troubles du sommeil
■ Ralentissement de l’activité
■ Pensées suicidaires
Dépression majeure : Commune: ~…% de la population adulte
6
Dépression majeure : Plus fréquente chez femmes ?
oui!
Inhibiteurs des monoamines
oxidase (IMAO) ?
Empêche l’enzyme MAO d’inactiver des neurotransmetteurs tels dopamine, noradrénaline, et sérotonine
Antidépresseurs tricycliques
Médicaments première génération à structure
chimique en trois anneaux qui bloque les protéines
responsables de la recapture de la sérotonine
Médicaments 2e génération
Inhibiteurs Sélectifs de la Recapture de la Sérotonine
Empêche la recapture de la sérotonine par le terminal pré synaptique
Antidépresseurs :
* L’effet sur les synapses est rapide, mais l’effet thérapeutique prend des semaines… pourquoi?
stimule la neurogénèse dans l’hippocampe, long !
~…% des patients ne répondent pas aux antidépresseurs
20
IV – Stabilisateurs d’humeur : Drogues utilisées habituellement pour « traiter » le .. et la …
trouble bipolaire
personnalité borderline
IV – Stabilisateurs d’humeur : Le plus connu: … ?
lithium
○ De son vrai nom, carbonate de lithium
lithium : Contrairement aux autres stabilisateurs d’humeur, n’est pas un … ?
anticonvulsif
V - Narcotiques (analgésiques) : Drogues avec propriétés … ? (2)
sédatives (narcotique)
d’inhibition de douleur (analgésique)
V - Narcotiques (analgésiques) : classes ?
○ Opiacés
● Nalorphine et naloxone
● Héroïne
Nalorphine et naloxone ?
Antagonistes qui bloquent l’effet de la morphine
(p.ex., traitement des surdoses)
Héroïne
○ Opiacé synthétisé à partir de la morphine
○ Davantage soluble dans les gras que la morphine
■ Traverse barrière hématoencéphalique plus vite
Opiacés
■ La majorité dérivée de l’opium, un extrait de
graine de pavot
■ Substances pures dérivées du pavot
● Codéine: ingrédient de médicaments contre la toux et la douleur
● Morphine: antidouleur puissant
Endorphines ?
Hormone peptide agissant comme neurotransmetteur possiblement associé aux sensations de douleur et plaisir
Effets de quel neurotransmetteur sont reproduits par opiacés ?
Endorphines
VI - Psychostimulants : effets ? (3)
Augmentent l’activité motrice, l’humeur, et le niveau d’attention
VI - Psychostimulants : exemples ?
- Cocaïne
- Amphétamine (speed)
Cocaïne :
- Obtenue via la plante cocaïer
- Accoutumance élevée
- Empêche la recapture de dopamine
- Dérivés tels novocaïne utilisés comme anesthésiques locaux
Amphétamine (speed)
○ Agoniste de la dopamine: libère dopamine dans la synapse et bloque sa recapture
○ Utilisation
■ Au début, asthme
■ Révision académique
■ Augmentation niveau d’alerte, productivité
■ Perte de poids
■ Récréatif (MDMA) (performances)
Psychostimulants : Stimulants généraux augmentent … ?
l’activité métabolique cellulaire
Stimulants généraux : EXEMPLE ?
Caféine
Caféine ?
○ Inhibe l’enzyme qui dégrade l’adénosine monophosphate cyclique (AMPc)
■ Nom compliqué mais implication simple:
● Augmente le niveau de glucose dans cellule,
donc énergie, résultant dans activité métabolique accrue
VII - Psychédéliques et hallucinogènes : effets ?
Altération de la perception sensorielle et de l’activité cognitive
VII - Psychédéliques et hallucinogènes : 5 types principaux ?
○ Cholinergiques (e.g., nicotine)
○ Glutamatergiques (PCP, kétamine)
○ Noradrénergiques (e.g., mescaline)
○ Tétrahydrocannabinol (THC) (e.g., pot, hash)
○ Sérotoninergiques (e.g., LSD)
Quel est la nature de la tolérance à l’alcool?
3 types de tolérance ?
- Métabolique : Nombre d’enzymes requis pour dégradation augmente
- Cellulaire : L’activité des cellules devient moins susceptible à effet
- Apprentissage : Gens peuvent apprendre à contrôler les effets de l’alcool
Expérience en milieu carcérale :
Entre le …ième et le …ième jour de consommation d’alcool, … et les … ont diminué, même si les participants ont maintenu leur consommation.
Par la suite, l’alcool dans le sang et les signes d’intoxication ont … ; l’un ne correspond pas toujours à l’autre.
12 - 20
l’alcool dans le sang
signes d’intoxication
fluctué
Sensibilisation
Augmentation de la réponse suite à doses successives (mais égales)
Opposé de tolérance ?
Sensibilisation
Plus probable avec utilisation
occasionnelle ? sensibilisation ou tolérance ?
sensibilisation
Addiction / dépendance :
Abus de drogue ?
Usage répété d’une drogue non pas pour ses effets
thérapeutiques
■ Addiction = « obsession »
Addiction / dépendance :
Dépendance ?
○ Abus accompagné d’un besoin physique de la
drogue
○ Associée à tolérance et sevrage lors de l’arrêt de consommation
Stades de dépendance (3)
- Sensation de plaisir
- Apprentissage associatif
(Plaisir lié à plusieurs indices contextuels) - Valence incitative
(Les indices deviennent désirables eux-mêmes)
Stades de dépendance : deux systèmes ?
○ Vouloir : système dopaminergique mésolimbique
○ Plaisir : neurones opioïdergiques
Drogues associées à dommages physiques à long terme
Amphétamines
MDMA (“ecstasy”) : neurones sérotoninergiques
Méthamphétamine : neurones dopaminergiques
Cocaïne:
Nuit au flot sanguin cérébral
Phéncyclidine (PCP ou “poudre d’ange”):
Bloque récepteurs NMDA
Troubles perception/hallucinations
Molécule est proche parente de chlorhydrate de kétamine (effets apparentés)
Drogues NON associées à dommages à long terme
- LSD
- Marijuana
- Opiacés
Des drogues sont NON associées à dommages à long terme, mais …?
risques associés…
* Et dommages psychologiques (p.ex., psychose, troubles
anxieux)
Hormones ; Classification par structure
● Hormone stéroïde
● Hormone peptidique
● Hormones de l’homéostasie
● Hormones gonadiques (sexuelles)
● Hormones du stress (p.ex., glucocorticoïdes)
Hormone stéroïde
Hormone peptidique
Hormones de l’homéostasie
Hormones gonadiques (sexuelles)
Hormones du stress
Contrôle hiérarchique
Quatre niveaux
● Hypothalamus
● Hypophyse
● Glandes endocrines
cibles
● Organes et tissus
cibles
Hormones homéostatiques et exemple ?
L’équilibre des environnements intra- et extracellulaires sont essentiels pour la survie
P.ex., diabète
○ Incapacité du pancréas à sécréter suffisamment
d’insuline
○ Hyperglycémie: Niveau élevé de sucre dans le sang
■ Cellules n’utilisent pas le glucose et ne fonctionnent donc pas correctement
○ Hypoglycémie: Niveau faible de sucre dans le sang
■ Peut aller jusqu’à perte de connaissance, coma
Hormones gonadiques
● Nous affectent avant la naissance et toute notre vie
● Hypothèse organisationnelle (théorie de la différentiation)
○ Suggère que les hormones sexuelles altère la structure du SNC durant le développement
■ Exemple : testostérone masculinise le cerveau
Différences sexuelles
● Cerveau masculin légèrement plus gros (même en corrigeant pour le poids)
● Hémisphère droit plus large que gauche chez hommes
● Cerveaux de femmes ont flot sanguin et utilisation de glucose plus élevé
● Régions du corps calleux plus large chez femmes
● Régions du langage plus large chez femmes
● Hormones gonadiques associées à différences cognitives
○ Hommes > femmes tâches spatiales
○ Femmes > hommes tâches verbales
○ Performance des femmes varie selon cycle menstruel
■ Hormones gonadiques basses: performance spatiale supérieure à verbale
■ Hormones gonadiques élevées: meilleure performance verbale
■ Différences similaires liées à ménopause et grossesse
Stress ?
État d’éveil physiologique prononcé
Stresseur ?
Stimulus qui menace l’homéostasie et provoque l’excitation
(état d’éveil)
Réaction de stress ?
L’éveil physiologique et comportemental visant à réduire le stress
Réaction de stress : Deux séquences ?
Rapide: Via moelle épinière, activation du système nerveux sympathique et libération d’adrénaline
Réponse combat/fuite
Lente: Via cortisol, inhibition du système nerveux parasympathique, déséquilibre homéostatique
État de siège/mobilisation
(voir p.205)
Terminer une réaction de stress :
● Normalement, ces réponses sont …
● Contrôle (on/off) situé dans cerveau
○ Rôle clé de l’…
brèves
hypothalamus
Sapolsky (2003)
Hippocampe est impliqué dans la terminaison de la réponse : comment ?
Trop de cortisol endommage les neurones de l’hippocampe
Cercle vicieux
Cortisol -> hippocampe -> réaction non terminée -> cortisol…