cours 2.2 - dysphagie foreal Flashcards

1
Q

quelles sont les phases de la déglutition normale?

A
  1. phase pré-orale: ramener la nourriture à la bouche
  2. phase orale préparatoire: mastiquer le bol alimentaire
  3. phase orale de transport: décison d’avaler
  4. phase pharyngée: après avoir avalé, la nourriture est dans le pharynge
  5. phase oesophagienne: peristaltisme jusqu’à l’estomac
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2
Q

on a besoin d’un _______ en santé pour assurer les 3 premières étapes de la déglutition normalement

A

cerveau

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3
Q

vrai ou faux: la dysphagie est une maladie

A

faux, c’est un symptome

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4
Q

décris ce qu’est la dysphagie

A

difficulter à transférer les pilules, la salive ou la nourttirue de la cavité orale vers l’estomac par l’intermédiaire du pharynx et de l’oesophage

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5
Q

quelles sont les deux grandes classes de dysphagie?

A
  1. dysphagie haute ou pro pharyngée
  2. dysphagie basse ou oesophagienne
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6
Q

qu’est-ce qu’un dysphagie haute?

A
  1. dysphagie orale: difficulté à mastiquer ou préparer le bol alimentaire
  2. dysphagie pharyngée: difficulté à faire passer le bol alimentaire dans le pharynx
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7
Q

donnes des signes et symptomes liés à la dysphagie oro-pharyngée

A
  • toux, étouffement, suffocation post déglutition
  • toux retardée
  • raclement récurrents
  • gêne respiratoire
  • reflux nasal
  • angoisse
  • allongement du temps des repas
  • déshydratation (on veut pas boir de l’eau)
  • voix humide
  • amaigrissement
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8
Q

qu’est-ce que la déglutition?

A

ensemble de mécanismes qui nous permettent d’avaler les solides, liquides et de les faire passer de la bouche bers l’estomac

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9
Q

qu’est-ce que l’odynophagie?

A
  • brulure, gêne, blocage ou douleur à la déglutition
  • du à une inflammation, une érosion ou une irritation de la muqueuse
  • touche srtt pharynx mais oesophage aussi
  • par toujours lié à une affection sous-jacente (ex: tabac, ROH, drogues qui irritent les tissus…)
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10
Q

quels sont les 4 éléments essentiels à la toux efficace?

A
  1. grande inspiration
  2. fermeture des cordes vocales pour retenir l’air à l’interieur des voies respiratoires
  3. augmentation de la pression intrathoracique
  4. expulsion bruyante et soudaine
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11
Q

qu’est-ce qu’un etouffement?

A

difficulté à respirer en raison d’une obstruction des voies
respiratoires. Action d’étouffer, de faire mourir par asphyxie.

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12
Q

qu’est-ce qu’une suffocation?

A

fait d’étouffer, de perdre la respiration. Cette réaction peut être soit psychologique (anxiété importante), soit mécanique
(obstruction de la bouche, du nez ou des voies respiratoires).

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13
Q

qu’est-ce qu’une asphyxie?

A

manque d’oxygène, difficultés respiratoires.
Appauvrissement en oxygène dans l’organisme.

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14
Q

qui suis-je?

pasage d’aliments ou de boisson dans les poumons pouvant provoquer des infections

A

“fausse route”

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15
Q

donne la définition d’une fausse route en ORL

A

un trouble de déglutition
caractérisé par l’inhalation involontaire
de fragments d’aliments au cours de la
déglutition. Elle peut être d’origine
accidentelle ou pathologique. Au court
d’une fausse route, une partie du bol
alimentaire passe par le larynx au lieu
d’aller vers l’œsophage

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16
Q

qui suis-je?

Passage d’aliments, de salive, de sécrétions, de médicaments ou de liquides en dessous des cordes vocales (dans l’espace sous glottique/trachée).

A

aspiration

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17
Q

qu’est-ce qu’une aspiration silencieuse

A

une aspiration qu n’est pas suivie d’une toux reflex

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18
Q

quels sont les 5 risques reliés aux troubles de la déglutition?

AR

A
  1. étouffement - mort
  2. aspiration
  3. déshydratation pcq on ne veut plus boire
  4. dénutrition car diminution d’apport
  5. isolement - qualité de vie
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19
Q

décris un décès par asphyxie

A
  • obstruciton complète des voies respirstoires par un corps étranger
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20
Q

vrai ou faux: la dysphagie concerne principalement les vieux

A

en partie vrai, mais il ne faut pas oublier que ça touche aussi les bébés

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21
Q

chez les patients, quels sont les principaux risques d’etouffement

AR

A
  • aliments gros, ronds, adhésifs
  • les bébés et les personnes âgées
  • manger rapidement
  • manger seul
  • mastication limitée
  • nombre de maladies - surtout troubles cognitifs
  • dysphagie
  • effets secondaire de la médication (sur salivation, dentition, état d’éveil…)
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22
Q

entre les 2 dysphagiques, qui a le plus de risque d’étouffement?
1.Mme Tremblay, 78 ans, souffre de la maladie d’Alzheimer et présente une dysphagie modérée. Elle mange seule, mais devient souvent confuse au cours des repas et se distrait facilement. Elle prend également plusieurs médicaments qui provoquent une sécheresse de la bouche, rendant la mastication et la déglutition encore plus difficiles. Il lui arrive de tousser légèrement après avoir avalé, mais elle n’a jamais eu de véritable épisode d’étouffement.
2. M. Dupuis, 82 ans, a reçu un diagnostic de démence vasculaire et présente une dysphagie sévère. Il mange extrêmement lentement et doit se concentrer intensément sur chaque bouchée. Il prend de petites portions et mastique longuement pour éviter de faire une fausse route. M. Dupuis a tendance à oublier d’avaler ses aliments ou à les garder longtemps dans sa bouche. Bien qu’il ne montre pas toujours de signes évidents d’étouffement, il a déjà eu des épisodes d’aspiration silencieuse, ce qui le rend particulièrement vulnérable à la pneumonie par aspiration.

A

mme tremblay a un plus grand risque:
- troubles cognitifs
- mange seule
- se distrait
- effets secondaires de la médication

par contre, m. dupuis reste à surveiller, important de qualifier la texture et la grossseur de ses bouchées.

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23
Q

pourquoi les dysphagiques sont à risque de déshydratation? quelles en sont les conséquences possibles?

A
  1. car on aime plus boire, ou liquide
    épaissit (moins apprécié et satisfait
    pas tout ns besoins)
  2. en cas sévère:
    * Baisse de la TA 2aire à hypovolémie
    * Vertige, évanouissements
    * Augmentation des risques de formation de calculs rénaux
    * Troubles rénaux avec déséquilibre électrolytique et urine foncée
    * Troubles cardiovasculaires
    * Altération de régulation corporelle entrainant des problèmes physiologiques
    et métaboliques
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24
Q

quelles sont les risques liés à la déshydratation chez les personnes âgées?

A
  • Fatigue
  • Réduction de la performance cognitive
  • Baisse de la tension artérielle (vertiges et pertes d’équilibre = chutes)
  • Augmentation des risques de plaies de pression
  • Constipation et infections urinaires
  • Peut entrainer choc et de graves lésions internes (reins, foie, cerveau)
  • Mort
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25
Q

vrai ou faux: plus le patient est dysphagique, plus l’état d’hydratation est à surveillés.

A

vrai

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26
Q

vrai ou faux: Certaines études soutiennent que l’épaississement des liquides peuvent améliorer l’état d’hydratation et que les apports en liquides épaissis sont souvent suffisants pour satisfaire les besoins en eau de base

A
  1. vrai, certaines études soutiennent que l’épaississement des liquides peut améliorer
  2. faux, l’apport en liquides épaissis est souvent insuffisant pour satisfaire les besoins en eau de base
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27
Q

fais un résumé sur les points important liés au risque de deshydratation

AR

A
  • Chez nos patients dysphagiques, on doit se prononcer sur les risques de déshydratation
  • La déshydratation chez certaines personnes comme les personnes âgées fragiles peuvent avoir de graves conséquences irréversibles
  • Toutes les personnes âgées sont à risque de déshydratation, encore plus les
    dysphagiques
  • Plusieurs symptômes peuvent être causés par la déshydratation
  • Attention aux liquides épaissis, ils risquent de ne pas être suffisants pour satisfaire les besoins hydriques
  • L’état d’hydratation joue un rôle important pour :
    o L’état d’éveil, la performance cognitive, la tension artérielle, la qualité de la peau et elle prévient la
    constipation et les infections urinaires
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28
Q

qu’est-ce qu’une aspiration?

A
  • substance qui traverse les cordes vocales, à l’entrée de la trachée. les aliments passent alors vers les voies respiratoires et risquent de pénétrer dans les poumons
  • normalement, les cordes vocales se ferment pour empêcher tout passage vers les poumons: les muscles responsables de la déglutition ne fonctionnent pas correctement, permettant à des substances de pénétrer dans la trachée plutôt que d’être acheminées vers l’estomac.
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29
Q

quels sont les signes et symptomes d’une aspiration?

A
  • toux
  • dérhumage
  • voix rauque/mouillée
  • yeux mouillés
  • écoulement nasal
  • l’aspiraiton peut aussi être silentieuse: aucun signe

… non spécifiques à l’aspiration

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30
Q

quels sont les risques associés aux aspirations?

A
  • principalement rien!
  • parfois/rarement: pneumonie d’aspiration, atélectasie pulmonaire, abcès pulmonaire, fibrose pulmonaire… (en gros infections)
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31
Q

chez les sujets “normaux”, une aspiration est souvent reliée à ______

A

un état de conscience altéré

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32
Q

vrai ou faux: il est normal de s’aspirer, même en état de santé

A

oui, ça peut arriver à tout le monde. le problème est plutot relié aux aspirations récurrentes qui vont alorer augmenter le risque de pneumonie d’aspiration

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33
Q

quels sont les facteurs de risque associés à la PA (pneumonie d’aspiration)

A

(cause multifactiorielle)
- aspiration de sécrétions oropharyngées
- hygiène orale/maladies dentaires
- réduction de reflexe de toux
- alimentation entérale (hygiéne)
- diminution de l’état d’éveil
- cigarette
- personne âgée fragile
- autonomie à l’hygiène orale et à l’alimentation
- certains médicaments

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34
Q

quelles sont les mesures à prendre pour prévenir la pneumonie d’aspiration?

A
  • assurer une bonne hygiène orale
  • assurer une bonne santé nutritionnelle - optimiser la réponse immunitaire
  • respecter le choix du patient
  • ne pas oublier la qualité de vie chez la personne âgée
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35
Q

vrai ou faux: le diagnostic de pneumonie d’aspiration est imprécis

A

vrai

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36
Q

vrai ou faux: on peut intervenir sur tous les risques pour réduire la pneumonie d’aspiration

A

faux, pas tous: âge, condition générale, condition pulmonaire, condition cardiaque…

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37
Q

vrai ou faux: les changements de texture sont une bonne mesure à prendre afin d’aider avec les pnuemonies d’aspiraiton

A

faux: rien ne le prouve

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38
Q

décris la Spirale de dénutrition

A
  1. diminution d’appétit/difficulté à manger
  2. amaigrissement (anorexie, faiblesse)
  3. déficit immunitaire: diminution des protéines sanguines, infections urinaires, troubles psychiques infections respiratoire
  4. rosqie des complications médicales: plaies de pression, grabatisation, augmentation de la mortalité (trop tard pour agir)

AR

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39
Q

En quoi la dysphagie vient augmenter le rsique de dénutrition

A
  • augmentation du risque de régimes restrictifs = risques de dénutrition accrus
  • la dénutrition augmente significativement les risques de PA
  • la purée augmente les risques de dénutrition et de perte pondérale (perte de valeur nutritive)
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40
Q

quels sont les effets psychologiques pouvant être reliés à la dysphagie?

A
  • dépression
  • retrait
  • isolement
  • fardeau familial : sentir qu’on est un poids
  • qualité
    => plus la dysphagie est sévère, moins bonne est la qualité de vie.
41
Q

vrai ou faux: le risque d’asphyxie est le plus important parmi les 5 risques de la dysphagie

A

faux: Aucun risque n’est plus important que l’autre

42
Q

il faut se postionner sur chaque rsique liés à une évaluation en dysphagie. comment?

A
  • évaluation de l’état nutritionnel, incluant l’hydratation
  • évaluation clinique de la déglutition
  • évaluation d’un repas
  • évaluation paraclinique au besoin
  • partage avec l’équipe inter pour se positionner sur les 5 risques
43
Q

en une phrase, pourquoi est-ce compliqué de dépister une dysphagie?

A

car on parle de dépister un symptome sans savoir si le pt l’a réellement: on ‘a pas de standard de référence

44
Q

quelle est la différence entre un dépistage et une évaluation?

A
  • Dépistage : Repérer des cas potentiels dans une population saine et asymptomatique. Le dépistage ne donne pas un diagnostic définitif, mais indique si une personne a un risque élevé ou faible d’avoir une maladie.
  • Évaluation : Approfondir l’examen pour poser un diagnostic ou analyser la gravité d’une condition lorsqu’un problème est déjà suspecté. L’évaluation aboutit généralement à un diagnostic ou une conclusion précise, permettant de déterminer les traitements ou interventions nécessaires.

AR

ex: cancer du sein = 2 dépistages avant évaluation

45
Q

quels sont les qualités d”un test de dépisatge?

A
  1. simplicité de mise en oeuvre
  2. fiablitié
  3. reproductibilité
  4. validité: sensibilité, spécificité et valeurs prédictives
46
Q

quels sont les critères de validité d’un dépistage?

A
  • Comparaison des résultats à un examen de référence
  • Utilisation de la lecture en aveugle
  • Exposition de tous les pts à l’examen de réf
  • Description explicite de la méthode utilisée pouvant
    permettre de refaire le test
47
Q

à quoi faut-il être attentif pour dépister une dysphagie?

A
  • toux pendant les repas
  • voix ou yeux mouillés pendant les repas
  • autonomie au repas
  • problèmes pulmonaires antérieurs
  • refux d’aliments
  • réduction des apports
  • mauvaise hygiène orale
48
Q

quels sont les outils de dépistage de déglutition validés?(2)

A
  1. EAT-10
  2. le verre d’eau
49
Q

décris le “EAT-10”

A

EAT-10 (Eating Assessment Tool-10) est un outil de dépistage utilisé pour identifier les signes de dysphagie (troubles de la déglutition).
Il s’agit d’un questionnaire auto-administré composé de 10 questions, chacune notée sur une échelle de 0 à 4, où 0 signifie “aucun problème” et 4 signifie “problème grave”.
L’objectif est de mesurer les difficultés que les individus rencontrent lorsqu’ils mangent ou boivent, ainsi que l’impact de ces difficultés sur leur qualité de vie
si le score est supérieur ou = à 3, possibilité de problèmes de déglutition

questions:
1. mon problème de déglutition m’a fait perdre du poids
2. mon problème de déglutition retentit sur ma capacité à prendre mes repas à l’extérieur
3. avaler des liquides me demande un effort supplémentsire
4. avaler des aliments solides me demande un effort supplémentaire
5. avaler des comprimés me demande un efforts supplémentaire
6. avaler est douloureuc
7. le plaisir de manger est affecté par mes problèmes de déglutition
8. lorsque j’avale, les aliments de bloquent dans ma gorge
9. je tousse quans je mange
10. cela me stress d’avaler

50
Q

décris le test de la gorgée d’eau

A
  • étude réalisée avec 100 mL d’eau par le neurologue
  • on évalue la vitesse de déglutition (N= 10ml/sec)

  1. Voix mouillée ou toux
    * Sensibilité 48%
    * Spécificité 92%
  2. Vitesse de déglutition N = 10 ml/sec
    * Sensibilité 85%
    * spécificité 50%
51
Q

quelles sont les étapes à réaliser lors d’une évaluation clinique?

A
  1. évaluation de l’état nutritionnel:
    - Collecte de données (signes cliniques, labos, médications, …)
    - Analyser les données recueillies
    - Diagnostiquer l’état nutritionnel
    - Statuer sur le besoin d’un traitement nutritionnel adapté à l’état nutritionnel
    global
  2. évaluation de la déglutition
    - Évaluation de la capacité de mastication et déglutition
    - Évaluation d’un repas
    - Établir un diagnostic préliminaire de la dysphagie
    - Au besoin, évaluation paraclinique de la déglutition
    - Statuer sur le besoin d’un traitement nutritionnel adapté à la dysphagie incluant le choix de la voie d’alimentation
52
Q

vrai ou faux: on peut effectuer une évaluation nutritionnelle du patient avant d’évaluer sa déglutition sur demande

A

faux: on doit le faire

53
Q

ginette présente une aparaxie. qu’est-ce que ça veut dire?

indice: adolesent

A

incapable d’effectuer une action sur demande

54
Q

dans le formulaire d’évaluation nutritionnelle de déglutition, qu’est ce qu’on évalue en guise d’observations préliminaires?

A
  1. vision
  2. audition
  3. appareillage
    (communication et cognition)
  4. communication
  5. état cognitif
  6. état d’éveil
  7. comportement
55
Q

en ce qui concerne le comportemet du patient, quelles sont les attentes?

A

Le comportement n’a pas besoin d’être parfait. Il faut qu’il soit juste assez concentré pour être capable de manger et se centrer sur les aliments.

56
Q

en ce qui concerne la cavité buccale, qu’est-ce qu’on observe pour l’évaluation?

A
  1. dentition
    - dents manquantes?
    - dents naturelles? prothèses…
  2. état des gencives
  3. hygiène buccale
  4. autonomie à l’hygiène buccale
  5. salivation
  6. présence de résidus alimentaire avant essai
  7. sensibilité intra et péri orale
57
Q

qui suis-je?

muslces qui servent à l’ouverture de ls bouche

A

digastrique, mylo-hyoïdien, génio-hyoïdien.

58
Q

quel est un état normal des gencives?

A

elles doivent être roses et uniformes. Si une partie est rouge plus foncée et qu’elle est enflée, ce n’est pas normal

59
Q

comment on détermine l’hygiène de la bouche?

A

ne doit pas avoir de particule alimentaire ou une langue chargée de résidus ou plaque blanche

60
Q

comment on peut tester la salivation si on a des doutes?

A

avec un abaisse langue: normalement, il colle un peu sur la langue

61
Q

comment on peut tester la sensibilité buccale d’un patient?

A

on peut le tester avec tige montée ou l’abaisse langue. On peut aussi demander au patient s’il sent bien le chaud, le froid, les saveurs, … On débute par l’intra orale et on termine par les joues, lèvres.
La présence de nourriture d’un côté de la cavité orale = manque de sensibilité latéralisée.

62
Q

comment on évalue l’ouverture de la cavité orale?

A

mesurer la force et l’amplitude de l’ouverture avec la main en dessous du mandibule

63
Q

qu’est-ce qu’on évalue en observant la langue?

A
  • Demander de pointer dans toutes les directions pour tester les 8 paires de muscles intrinsèques et extrinsèques. Noter les anomalies
  • on évalue les 8 muscles, l’élévation verticale de l’os hyoïde et du layrnx.
64
Q

comment puis-je savoir si mon patients a des problèmes au niveau du muscule élévateur et tenseur du voile?

A

si altéré: voix nasale
si non fonctionnelle: plainte spontanée que les aliments remontent pas le nez.
Le À et le An en alternance ne font que tester la capacité de contraction de ces 2 muscles mais ne testent pas l’étanchéité vélo pharyngée.

65
Q

qui suis-je?

muscles impliqués dans l’abaissement du voile

A
  • muscle palatoglosse
  • muscule palatopharyngé
66
Q

comment on fait pour évaluer la capacité fontionnelle à l’abaissement du voile?

A
  1. si le musle orbicisire des lèvres est correct: gonfler/creuser les joues
  2. sinon, demander de garder une mini gorgée d’eau dans la bouche

en fait on teste l’étanchéité

67
Q

comment on évalue la santé des masseters?

A

Doigts sur les masséters et les muscles temporaux et demander de mordre. La contraction fait gonfler. Faire bouger le mandibule bilatéralement

68
Q

pourquoi on évalue l’allure des lèvres?

A

afin de qualifier la symétrie, la force de fermeture, force de préhension et l’étanchéité

69
Q

qui suis-je?

technique utilisée pour évaluer l’élévation du cartilage lors de la déglutition

A

technique à 2 doigts

70
Q

comment on effectue la technique à 2 doigts?

A

le clinicien place son index et son majeur sur la partie antérieure du cou de la personne, généralement juste sous le menton. L’index se trouve sur l’os hyoïde (un petit os en forme de fer à cheval qui se situe au-dessus du larynx), et le majeur se place sur le cartilage thyroïdien (la partie proéminente de la gorge communément appelée “pomme d’Adam”).
Observation du mouvement : On demande à la personne d’avaler. Pendant la déglutition, le larynx (incluant le cartilage thyroïdien) doit normalement s’élever puis redescendre. Le clinicien utilise ses doigts pour sentir et suivre ce mouvement

71
Q

comment on évalue la capacité d’un patient à s’éclaircir la voix

A

avec la bruyance de son dérhumage

72
Q

liste les fonctions respiratoires à évaluer et laryngées

A
  • élévation du cartilage
  • capacité de s’éclaircir la voix
  • particularité de la voix avant l’alimentation
  • état respiratoire
  • tabagisme
  • toux (entre les repas, spontanée, sur demande)
73
Q

vrai ou faux: le questionnaire à l’évaluation de la déglutition comporte aussi des questions concernant l’impacr socio-psychologique

A

vrai:
- retrait social
- qualité de vie

74
Q

vrai ou faux: lorsque le nutritionniste évalue la postrure du patient, il doit être entrain de manger

A

faux: L’ergothérapeute est le spécialiste du positionnement. Il faut donc seulement indiquer comment la personne est positionnée devant son repas.

75
Q

comment on évalue l’autonomie du patient?

A
  • tehcniques compensatoires (paille, ustensiles, vaisselle…)
  • ## autonomie générale aux repas (tenir les ustensiles, préparation du plateau…)
76
Q

quels sont la facteurs à observer pour évaluer la phase préparatoire orale du patient?

A
  1. grosseur des bouchées/gorgées
  2. ouverture de la bouche
  3. préhension labiale (devrait être capable de vider la fourchette/cuillère)
  4. mastication
  5. formation du bol alimentaire
  6. temps de préparastion
  7. vitesse de l’alimentation
  8. perception des saveurs
  9. sensibilité orale
  10. écoulement hors de la bouche
  11. apraxie soupçonnée
  12. réflexes archaïques (morsure, succion)
77
Q

qu’est-ce qu’on observe pour évaluer a phase orale de transport?

A
  • initiation du reflexe de déglutition
  • résidus buccaux après déglutition
  • déglutition fractionné (avale plsr fois la meme bouchée?)
78
Q

qu’est-ce qu’on observe pour évaluer la phase pharyngée de la déglutition du patient?

A
  1. régurgitation : aliments non acides qui reviennent dans la bouche ou par le nez
  2. élévation du cartilage thyroïdien
  3. douleur/brulure à la déglutition
  4. nourriture qui colle dans la gorge
  5. TOUX (avant, pendant, après déglutition)
  6. changement de voix, larmoiement
79
Q

lorsque j’évalue la phase pharyngée de déglutition de mon patient, quelle méthode j’utilise pour qualifier son élévation du cartilage thyroïdien

A

méthode à 2 doigts, qui évalue alors l’os hyoïde, le cartilage thyroïdien et le cartilage cricoïde.

80
Q

comment on évalue la tolérence au repas?

A
  • durée du repas (min)
  • fatigabilité
  • aliments délaissée
80
Q

qu’est-ce qu’on observe pour évaluer la phase phase oesophagienne de la déglutition du patient?

A
  1. impression de nourriture qui colle au niveau de la poitrine?
  2. impression de reflux GO?
  3. résultat de l’évaluation clinique: transit oesophagien calculé avec le stéthoscope (N=<13sc pour un liquide, N=<20 sc pour un solide)
81
Q

pour conclure l’évaluation de déglutition, qu’est-ce qu’on qualifie?

A

les 5 risques associés à la dysphagie (dénutrition, apiration, asphyxie, déshydratation, qualité de vie)

82
Q

pour déterminer un risque d’aspiration, on focus sur _____

A

voix mouillée, meilleur indicateur

83
Q

en ce qui concerne le risque d’asphyxie, quelles variables sont à évaluer?

A
  • aliments à risque (pain, viande, structure fibreuse complexe, endurance, 20 coups de mastication, sédation, immobilité, état dentaire, instabilité posturale, mobilité réduite, surveillance, condition respiratoire, alimentation rapide, …
84
Q

l’évaluation clinique de la déglutition doit être précédé de ____

A
85
Q

l’évaluation paraclinique de la déglutition doit être prédédée de ____

A
86
Q

l’ _ est souvent la seule évaluation possible chez les cas avec des troubles cognitifs

A
87
Q

une évaluation nutritionnelle complète (incluant déglutition) se conclue par un des diagnostics et sévérité de _

A
88
Q

quelles sont les étapes à suivre dans le traitement nutritionnel de la dysphagie

A
  1. choix de la voix d’alimentaiton
  2. choix de la consistance des liquides
  3. choix de la texture des solides
  4. choix des techniques compensatoires directes et indirectes
89
Q

vrai ou faux: lors d’une dysphagie sévère, la voie entérale peut être préscrite si le patient en ressent le besoin, surtout en cas de NPO

A
90
Q

en cas d’aspiration sévère, le patient doit être nourri en NPO

A
91
Q

quelles sont les 3-4 consistances pouvant être préscrites?

A
  • liquides clair
  • nectar (liquide un peu epais)
  • miel
  • poudinf
92
Q

vrai ou faux: à court terme, les liquides épaissis éliminent l’aspiration de liquides clairs et peut même prévenir la pneumonie.

A
93
Q

qui suis-je?

instrument de mesure empirique de l’écoulement d’un liquide

A
94
Q

plus la dysphagie est sévère, plus on se rapproche de la texture _

A

purée

tendre- - molle - hachée - puréé

95
Q

que faut-t-il considérer lors du choix de textures?

A
  1. l’état d’éveil et les variations
  2. la capacité masticatoire
  3. la force de la langue
  4. la coordination de mvts oraux
  5. la force de la fermeture vélo-pharyngé
  6. les symptômes lors des évaluations aux repas
96
Q

qu’est-ce qu’un semi-liquide ou un semi-solide?

A
  • liquide de consistance nectar ou miel ou solide réduit en liquide épais
  • difficileement aspiré à l’aide d’une paille, mais peut être versé

ne requiert aucune mastication

97
Q

qu’est-ce qu’un aliment multi phases?

A
  • aliments généralement plus liquides que solides qui inculent des quantités perceptibles de particules non liquides
  • cette texture doit forcer la langue à manipuler le bol alimentaire en 2 temps: propulsion des liquides vers l’oropharynx et déglutition, mastication des solides