Cours 2 : Les Besoins Physiologiques Flashcards

1
Q

Quelles sont les 3 besoins psychologiques?

A
  1. Autonomie
  2. Compétence
  3. Affiliation sociale
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Q

Je suis le besoin psychologique d’expérimenter de l’auto-détermination et de l’endossement personnel dans l’initiative et la régulation de ses comportements

A

Autonomie

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3
Q

Quand est-ce que nos comportements sont considérés comme étant «autonome» ?

A

Lorsque nos intérêts, préférences et désirs guident notre processus de prise de décision à nous engager ou non dans une activité particulière.

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4
Q

Définit ce qu’est le besoin psychologique de l’autonomie.

A
  • C’est le fait d’expérimenter l’auto-détermination et de l’endossement personnel (dans l’initiative et la régulation de ses comportements).
  • Reflète le désit d’avoir ses propres choix plutôt que d’être confronté à une détermination de ses actions par les évènements de l’environnement. (Action pour soi, pas pour faire plaisir à qqun d’autre)

Bref, autonomie = endossement interne de son comportement (aka «Je veux faire ceci…»

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5
Q

V ou F : Autonomie est synonyme d’indépendance

A

Faux

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6
Q

La motivation et le comportement sont autonomes lorsqu’ils découlent de …

A
  • des intérêts personnels de l’individu
  • de ses désirs
  • ses buts
  • ses valeurs
  • ses préférences
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7
Q

C’est quoi la différence entre un comportement autodéterminé VS contrôlé ?

A

Comportement autodéterminé :
- Nos intérêts, préférences et besoins guident notre prise de décision de nous engager ou non dans une activité

Comportement contrôlé (non-autodéterminé) :
- Une force extérieur exerce une pression pour que nous pensions, sentions ou nous nous comportions d’une certaine façon.

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8
Q

Quelles sont les trois qualités expériencielles qui définissent l’expérience subjective de l’autonomie ?

A
  1. Locus de causalité perçu interne
  2. Volition (se sentir libre)
  3. Choix perçu au cours de ses actions
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9
Q

Quelle qualité expériencielle définissant l’expérience subjective de l’autonomie est définie par :
- Une volonté sincère et sans pression de s’engager dans une activité

A

Volition

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10
Q

Quelle qualité expériencielle définissant l’expérience subjective de l’autonomie est définie par :
- La compréhension de l’individu de la source causale de ses actions motivées (Qui est en charge ? Qui décide ? C’est moi)

A

Locus de causalité perçu interne

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11
Q

Quelle qualité expériencielle définissant l’expérience subjective de l’autonomie est définie par :
- L’expérience subjective de pouvoir décider d’agir ou non, ou de suivre une ligne de conduite plutôt qu’une autre.

A

Choix perçu au cours de ses actions

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12
Q

Le locus de causalité perçu peut être interne ou externe.

Caractérise ce qu’est un locus de causalité perçu interne (ou «origine»)

A
  • Forte agentivité personnelle
  • Soi vécu comme source d’initiation et de régulation d’un comportement
  • Sentiment d’autonomie, de volition (avoir le choix) et d’endossement par rapport à ses actions
  • Actions motivés par : Agents motivationnels en soi (intérêt, valeur, objectif personnel)
  • UNE VRAIE AUTONOMIE PSYCHOLOGIQUE
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13
Q

Le locus de causalité perçu peut être interne ou externe.

Caractérise ce qu’est un locus de causalité perçu externe (ou «pion»)

A

Ce n’est pas nous qui endosse nos actions, c’est le contexte, donc :

  • Faible agentivité personnelle
  • Soi vécu comme contrôlé par les résultats souhaités, par l’environnement
  • Sentiment d’opression et de contrainte (pour plaire)
  • Agents motivationnels de l’environnement (ex : date limite, liste de corvées, quotas à attenidre)
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14
Q

Définit ce qu’est la volition.

A

C’est la façon dont les gens se sentent libres ou contraints lorsqu’ils font ce qu’ils veulent faire ou lorsqu’ils évitent ce qu’ils ne veulent pas faire

  • C’est le fait d’être exempte de pression quand engagé dans une activité («je veux faire ceci et je suis lobre de le faire ou non»)
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15
Q

Définit ce qu’est la sensation d’avoir le choix.

A

Sentiment subjectif que la personne a une flexibilité dans la prise de décision d’agir ou non, ou d’adopter une ligne de conduite plutôt qu’une autre.

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16
Q

Tous les choix de favorisent pas l’autonomie…

1. Quels types de choix ne favorisent pas l’autonomie ? Pourquoi ?

A
  1. Les choix de type «soit ceci ou cela», donc choix parmi les options offertes par autrui. Ce type de choix ne favorise pas l’autonomie, car on ne vit pas une expérience de choix quand c’est prescrit par d’autres personnes, on sent parofois la pression de faire un certain choix. Ne favorise donc pas l’autonomie, car pas un choix que t’aurais fait sans contrainte.
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17
Q

Tous les choix de favorisent pas l’autonomie…

  1. Quels types de choix favorisent l’autonomie ? Pourquoi ?
  2. Quelles sont les conséquences de ces types de choix ?
A
  1. Les vrais choix, donc les choix qui sont significatifs & qui reflètent les valeurs des individus.
  2. Renforcent :
    - Sentiment de satisfaction face au besoin d’autonomie,
    - La motivation intrinsèque,
    - L’effort,
    - La créativité, la préférence pour le défi
    - La performance
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18
Q

Les styles motivaitonnels peuvent soit soutenir l’autonomie ou être contrôlant.

Quel est le contraste dans les tons impersonnels selon le style motivationnel utilisé ?

A
  1. Style motivationnel qui supporte l’autonomie :
    Caractérisé par un ton impersonnel de compréhension…
    - «Je suis ton allié»
    - «Je suis là pour te comprendre»
    - «Je suis là pour te supporter dans ce que tu veux faire»
  2. Style motivationnel contrôlant :
    Caractérisé par un ton impersonnel de pression …
    - «Je suis ton boss»
    - «Je suis là pour te surveiller»
    - «Je suis là pour te changer et te socialiser»
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19
Q

Voici ingrédients qui aident à se sentir que son autonomie est soutenue.. Décrit les :

  1. Perspective
  2. Choix
  3. Exploration
  4. Auto-initiation
  5. Relationnel
A
  1. Perspective : Prendre le point de vue de l’autre personne et adopter son cadre de référence
  2. Choix : Donner un choix à la personne, leur permettre de s’engager dans le processus de prise de décision
  3. Exploration : Faire preuve de patience, laisser la personne essayer de nouvelles choses, faire des erreurs, aller à son propre rythme pour lui donner le temps d’apprendre et de s’ajuster
  4. Auto-initiation : Laisser la personne débuter l’activité quand elle veut par elle-même
  5. Rationnel : Fournir des informations, des explications et un motif significatif pour la personne pour qu’elle comprenne l’importance de cette activité et l’internalise dans son système de valeurs.
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20
Q

Voici les ingrédients qui font en sorte que la personne de sent contrôlée… Décrit les :

  1. Perspective
  2. Choix
  3. Exploration
  4. Auto-initiation
  5. Relationnel
A
  1. Perspective : Prendre seulement son propre point de vue et son propre cadre de référence (en ignorant/dégradant ceux de l’autre)
  2. Choix : Ne pas donner de choix à la personne ou lui fournir des options qui ne prennent pas en considération sa personne.
  3. Exploration : Réprimer les erreurs, demander à ce que la tâche soit réalisée d’une manière spécifique, donner un temps limite
  4. Auto-initiation : Mettre de la pression sur une personne pour qu’elle fasse la tâche
  5. Rationnel : Donner des ordres sans fournir de justifications
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21
Q

Comment on peut soutenir l’autonomie (6) ?

A
  1. Avoir un regard inconditionnel
  2. Fournir des CHOIX dans des limites et des règles spécifiques
  3. Fournir une logique rationnelle pour les tâches et les limites
  4. Fournir une rétroaction non-contrôlante sur la compétence
  5. Minimiser la pression et le contrôle
  6. Prévenir le fait que l’autre mette son intégrité en jeu dans l’activité ou la tâche

Descriptions :

  1. Avoir un regard inconditionnel :
    - Laisser place à l’expression des sentiments de l’autre
    - Valider l’expérience de l’autre
    - Cerner la façon dont l’autre vit la situation
  2. Fournir des CHOIX dans des limites et des règles spécifiques :
    Ex: parent-enfant = choix du moment de faire différentes tâches (devoirs).
  3. Fournir une logique rationnelle pour les tâches et les limites :
    Ex : parent-enfant = comprendre les raisons d’un règlement ou d’un interdit (la pire chose à faire est de dire «pcq j’ai dir non»)
  4. Fournir une rétroaction non-contrôlante sur la compétence
    Ex : parent-enfant = «bravo, tu t’es beaucoup amélioré depuis la dernière fois»… contrôlant (à ne pas faire) = «Tu as eu de bonnes notes, comme tu devais»
  5. Minimiser la pression et le contrôle … comme les critiques et les affirmations contrôlantes (ex : «il faut, tu dois faire»). Plutôt opter pour des affirmations moins contrôlantes comme «il est important de faire telle tâche pcq»)
  6. Prévenir le fait que l’autre mette son intégrité en jeu dans l’activité ou la tâche, car :
    - Limite la perception et l’orientation de la personne uniquement sur le comportement nécessaire pour atteindre la finalité désirée
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22
Q

C’est quoi la différence entre un contrôle interne/manifeste et externe/dissimulé ?

A

Contrôle interne/manifeste :
- Pouvoir sur l’autre : Surveillance, menace physique

Contrôle externe/dissimulé :
- Les critiques ayant une forme culpabilisante (pression pour répondre aux demandes d’être à la hauteur de qqun d’autre)
Ex: Si tu m’aimes, fait ça.

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23
Q

À une rencontre de parents hier soir, M et Mme Greene ont su que leur fille Sara a fait plus de progrès qu’attendu depuis la dernière rencontre. Tout le monde espère qu’ele continuera à s’améliorer afin qu’elle ne redouble pas son année.

Suite à cette rencontre, plusieurs choses peuvent être décidées parmi les suivantes. Détemine si elles sont très/moyennement contrôlant, moyennement/supportant de l’autonomie.

  1. Lui dire qu’elle fait aussi bien que les autres enfants de la classe maintenant
  2. Augmenter son argent de poche et de lui promettre un vélo si elle continue de s’améliorer
  3. Lui parler à propos de la rencontre de parents, et de lui laisser savoir qu’ils sont au courant de sa plus grande indépendance à l’école et à la maison
  4. De continuer de mettre l’accent sur le fait qu’elle doit travailler fort pour avoir de meilleures notes.
A
  1. Moyennement supportant de l’autonomie
  2. Très contrôlant
  3. Supportant de l’autonomie
  4. Moyennement contrôlant
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24
Q

On peut voir que dès la maternelle le type de structure scolaire mis en place manipulent/opressent/découragent/contôlent les élèves… Comment ?

A
  • Donner beaucoup de «devoirs»
  • Donner des congés de devoirs, retirer des privilèges (pas de récréation), donner des punitions (retenue), faire des menaces
  • Donner des rétroactions comparatives uniquement axées sur la performance (appeler les élèbes par ordre de notes : le meilleur va se mettre bcp de pression pour maintenir sa position; le dernier va se sentir mal dans sa peau)
  • On évalue, on classe les enfants constamment
25
Q

Comment faire en sorte que le système d’éducation ait plus de structures (au lieu d’être aussi contrôlant) pour les enfants?

A
  • Savoir ce qu’on va faire
  • Activités organisées
  • Règles inhérentes à l’activité
  • Routine = sécurité (pas avoir de plan de cours anxiogène)
26
Q

Est-ce que c’est avantageux d’avoir beaucoup de choix ? Pourquoi ?

A

Non, trop de choix n’est pas nécessairement approprié. Le choix peut être une source de motivation lorsque les options rencontrent les besoin d’autonomie, de compétence et d’affiliaiton.

Pourquoi ? Malgré que plus de choix ça peut être très attirant, habituellement il y a une pression sociale contextuelle. Si tu veux prendre le temps de faire un choix éclairé, tu vas passer beaucoup de temps au kiosque (saveurs de confitures). Dans un contexte de vente, comme ça tu te sens mal de faire perdre du temps à la personne du kiosque et des gens qui attendent après toi, t’as une pression sociale de choisir qqch, ce qui va faire en sorte que tu ne te sens pas à l’aise de faire un choix et tu vas, pas conséquent, rien acheter.

27
Q

C’est quoi le besoin psychologique de compétence ?

A

Se sentir efficace dans ses intéractions avec l’environnement, càd :

  • Reflète le désir d’exercer et d’accroître ses compétences et capacités
  • Ce faisant, reflète le désir de rechercher et maîtriser des défis optimaux (appropriés au développement) —>Génère une volonté de rechercher ces défis optimaux
28
Q

C’est quoi la différence entre un défi et un défi optimal ?

A

Défi = peut être trop facile ou trop difficile, ne parle pas au niveau des compétences de la personne.
- Ex: «Peux-tu y arriver?», «Peux-tu danser?», «Peut-tu courir 1km sans flancher?»

Défi OPTIMAL = vraiment axé par rapport aux compétences de la personne. Habiletés personnelles = point de référence.
- Ex : «Peux-tu faire mieux que la dernière fois ?»

29
Q

Quelles sont les conditions environnementales clés pour favoriser la compétence ?

A
  1. Défi optimal et flow
  2. Structure :
    - infos à propos des voies menant au résultat souhaité,
    - soutien & orientation dans la poursuite de ces voies
  3. Rétroaction:
    - préparer le terrain pour le défi
    - rétroaction sur la performance (pas sur la personne)
  4. Tolérance à l’échec :
    - faire des erreurs est essentiel pour optimiser l’apprentissage
    - l’échec offre des opportunités d’apprentissage
30
Q

C’est quoi le flow ?

A

C’est un état de concentration qui implique une absorption holistique dans une activité.

31
Q

Quelles sont les états subjectifs face au défi selon Clarke & Haworth ? (Classifie les par niveau de compétence à un défi : approprié, supérieur, inférieur & spécifie le niveau de difficulté du défi)

A

[Compétences appropriées à un défi]

  1. Flow (défi = difficulté élevée)
  2. Facilité (défi = difficulté modérée)
  3. Relaxation (défi = difficulté faible)

[Compétences supérieures à un défi]

  1. Éveil (défi = difficulté élevée)
  2. Contrôle défi = difficulté modérée)
  3. Ennui (défi = difficulté faible)

[Compétences inférieures à un défi]

  1. Anxiété (défi = difficulté élevée)
  2. Inquiétude défi = difficulté modérée)
  3. Apathie (défi = difficulté faible)
32
Q
  1. Quand est-ce que l’expérience du flow se produit ?

2. Explique c’est quoi l’expérience de flow

A
  1. À chaque fois qu’une personne utilise ses compétences pour surmonter un défi optimal.
  2. État de concentration qui implique une absorption globale et une implication profonde dans une activité. Expérience tellement agréable que la personne répète régulièrement l’activité dans l’espoir de vivre encore et encore cette dernière
33
Q

C’est quoi le caractère expérientiel du flow (comment on le ressent ?).

A
  • On est complètemenr investi dans ce que nous faisons - concentré
  • Un sentiment d’extase - être à l’extérieur de la réalité de tous les jours
  • Savoir que l’activité est faisable - que nos compétences sont adéquates pour la tâche
  • Un sentiment de sérénité - Pas d’inquiétude à propos de soi et un sentiment de croissance au-delà des limites de l’égo
  • Interporalité - entièrement concentré sur le présent, les heures semblent s’écouler en quelques minutes
  • Motivation intrinsèque - tout ce qui produit le flow devient sa propre récompense.
34
Q

Comment peut-on augmenter nos chances de vivre l’expérience de flow ?

A

Avec un environnement structuré.

Un environnement structuré fournit :

  • Des objectifs clairs
  • Des conseils utiles
  • Du feedback clair, constructif (descriptif, impersonnel) et qui renforce les compétences
35
Q

Je suis ce qui correspond à la quantité et à la clarté de l’information qu’offre un individu à un autre concernant ce qu’il faut et comment le faire (de manière à développer les compétences désirées et atteindre les résultats souhaités).

A

La structure

36
Q

En pratique, fournir une structure est un processus en trois étapes. Lesquelles ?

A
  1. Communiquer des atteintes claires et de hauts standards
  2. Aider l’autre à ajuster son comportement de façon à pouvoir répondre à ces attentes et standards
  3. Fournir une voie future vers un fonctionnement plus efficace
37
Q

Quelles sont les trois aspects d’un environnement structurant ?

A
  1. Attentes claires («Qu’est-ce qui est satisfesant ?»)
  2. Orientation («Est-ce que je fais bien ?»)
  3. Rétroaction («Est-ce que c’est bien ?»)
38
Q

C’est quoi un feedback (rétroaction) ?

A

C’est ce qui fournit l’information nécessaire dont les individus ont besoin pour formuler une évaluation cognitive de leur niveau de compétence perçu. (Nous aide à former une idée de nos propres compétences. Sans feedback, on ne sait pas si ce qu’on fait est bien ou non)

39
Q

Le feedback peut provenir de quatres sources… Énumère les.

A
  1. La tâche elle-même
  2. Les comparaisons de sa performance actuelle avec sa propre performance antérieure
  3. Les comparaisons de sa performance actuelle avec la performance des autres.
  4. Les évaluations des autres
40
Q

Voici les quatre sources de feedback :

  1. La tâche elle-même
  2. Les comparaisons de sa performance actuelle avec sa propre performance antérieure
  3. Les comparaisons de sa performance actuelle avec la performance des autres.
  4. Les évaluations des autres

Le(s)quelle(s) peut-on considérer comme destructive(s) ? Pourquoi ?

A
  • Les comparaisons de sa performance actuelle avec la performance des autres.
  • Les évaluations des autres

Elles sont destructives, car elles ne satisfont pas le besoin de compétence. Tu te sens en pression. T’es plus dans l’ouverture et l’engagement à l’apprentissage. T’es en mode autoprotection davantage, ce qui nuit au besoin de compétence.

41
Q

Donne trois raisons pourquoi on apprend plus de l’échec que du succès.

A
  1. L’échec pousse les individus à en identifier les causes (et y remédier)
  2. L’échec pousse les individus à réviser et mettre à jour la qualité de leur stratégies d’adaptation
  3. L’échec pousse les individus à réaliser leur besoin de conseils et d’orientation (ex : en recherchant des personnes ressousces qui sont experts dans un domaine pour nous aider à nous débloquer)
42
Q

Je suis un besoin psychologique d’établir des liens émotionnels et d’attachement significatifs avec autrui.

A

L’affiliation sociale

43
Q

Dans tes mots, c’est quoi l’affiliation sociale ?

A

Le désir d’êter impliqué et connecté émotionnellement dans des relations interpersonnelles chaleureuses (et que ça soit réciproque)

44
Q

À quoi sert le besoin psychologique d’affiliation sociale ? (Qu’est-ce que les gens recherchent essentiellement à travers des relations satisfaisante)

A
  • L’opportunité de se connecter à une personne d’une manière authentique, attentionnée, réciproque et émotionnellement significative.
45
Q

Quelles sont les deux conditions pour satisfaire le besoin d’affiliation ?

A
  1. Réactivité :
    (L’autre personne offre de la compréhension, de la validation et des soins)
  2. Lien social :
    (L’autre personne se souci de mon bien-être, m’apprécie)

[SURTOUT lorsqu’on a démontré son vrai-soi, son soi authentique]

46
Q

Pourquoi l’affiliation est importante d’un point de vue éducatif ?

A

Parce que l’affiliation fournit le contexte social pour :

  • Supporter l’internalisation
  • Promouvoir la vitalité et l’engagement (même lors d’impasses)
  • Promouvoir le bonheur (prévient la solitude et la dépression)
47
Q

Quelles sont les éléments clés du soutien à l’affiliation ? (Les 6 comportements quotidien qui prédisent si le besoin d’affiliation est satisfait par le prof)

A
  1. Conversation individualisée :
    - Mon prof est intéressé dans mes engagements, les choses que je fais à l’extérieur de la classe
  2. Soutien à des tâches :
    - Pendant que je travailles, mon prof m’encourage et a une idée du niveau de ma performance
  3. Promouvoir la coopération et le travail d’équipe :
    - Mon prof encourage les étudiants à apprendre à bien se connaître
  4. Démontre une attention délibérée :
    - Mon prof reconnaît le besoin de chaque étudiant dans la classe
  5. Démontre des soins :
    - Mon prof se soucie de moi
  6. Commumication amicale :
    - Mon prof est facile à parler avec
48
Q

Il y a deux types de relations … Quelles sont-elles ?

A
  1. Relation d’échange (pas proches avec ces gens, mais on est cordial)
  2. Relation communales (relations plus importantes)
49
Q

Décrit ce qu’est une relation d’échange

A

Relations d’échange :

  • Entre connaissances ou partenaires de travail
  • Pas d’obligation d’être concerné par les besoins ou le bien-être de l’autre
  • Correct d’être négligent ou insouciant face aux besoins de l’autre
  • Ce que les gens en tirent : un accord équitable sur des ressources matérielles (temps, argent)
  • NE SATISFONT PAS le besoin psychologique d’affiliation

PS: Certains mariages peuvent être dans cette catégorie (ex: s’entendent pas, mais ne peuvent pas se permettre de se laisser à cause de leur situation financière)

50
Q

Décrit ce qu’est une relation communale.

A
  • Entre les personnes qui se soucient du bien-être de l’autre (ex: amis, famille, partenaires amoureux)
  • Chaque partenaire se soucie des besoins de l’autre, et chacun veut soutenir le bien-être de l’autre. Les partenaires observent et surveillent activement les besoins de l’autre
  • SATISFONT le besoin d’affiliation sociale
51
Q
  1. Quelle condition environnementale implique le besoin d’autonomie ?
  2. Quelle condition environnementale satisfait le besoin d’autonomie ?
A
  1. Opportunités pour l’auto-détermination

2. Soutien à l’autonomie

52
Q
  1. Quelle condition environnementale implique le besoin de compétence?
  2. Quelle condition environnementale satisfait le besoin de compétence ?
A
  • Défi optimal

- Orientation et rétroaction

53
Q
  1. Quelle condition environnementale implique le besoin d’affiliation ?
  2. Quelle condition environnementale satisfait le besoin d’affiliation?
A
  1. Interactions sociales

2. Réactivité du partenaire

54
Q

Je représente le degré d’implication de la personne dans l’activité en cours.

A

L’engagement

55
Q

L’engagement se présente sous différentes formes… Lesquelles (4) ?

A
  1. Comportementale
  2. Émotionnelle
  3. Cognitive
  4. Agentique

(Voir diapo 60)

56
Q

Décrit le modèle motivationnel de l’engagement

A

L’engagement a besoin de :

  1. Soutien à l’autonomie : nourrit et satisfait le besoin psychologique d’autonomie
  2. Structure : nourrit et satisfait le besoin psychologique de compétence
  3. Implication : nourrit et satisfait le besoin pscyhologique d’appartenance sociale

Quand ces trois besoins sont satisfait, on voit un DEGRÉ d’engagement (comportemental, émotionnel, cognitif, agentique) —> Voir diapo 62

57
Q

Qu’est-ce qui arrive quand il y a un manque dans les trois besoins psychologiques ? (Avidité/Évitement)

  1. Autonomie
  2. Compétence
  3. Affiliation
Avidité = Il y a un manque important de ce besoin
Évitement = danger associé à la satisfaction de ce besoin (toxicité), qu’est-ce qui arrive si j’évite ce besoin.
A
  1. Autonomie
    - Avidité : Narcissisme, trouble alimentaire
    «J’ai besoin de toujours être en contrôle de ce que je fais»
    - Évitement : Dépendance
    «Avoir des responsabilités me fait peur»
  2. Compétence
    - Avidité : Narcissisme
    «Je suis déçu quand mon travail n’est pas apprécié»
    - Évitement : Faible estime
    «Quand je fais qqch de bien, j’évite la reconnaissance des autres»
  3. Affiliation
    - Avidité : Attachement anxieux, dépendance, trouble alimentaire
    «Je gagne de la confiance à avoir des amis qui ont des croyances semblables aux miennes»
    - Évitement : Attachement évitant
    «Ça me dérange d’être dans des relations proches avec des gens qui sont semblables à moi»
58
Q

Quelles sont les nutriments nécessaires aux bonnes journées et au bien-être positif

A
  1. Autonomie quotidienne
  2. Compérence quotidienne
  3. Affiliation quotidienne

(Bref, les trois besoins psychologiques, mais TOUS LES JOURS)