Cours 11 - L'intelligence Flashcards

1
Q

Quelle est la définition de l’intelligence ?

A

Absence de consensus universel

Termes communs

Changement dans les titres de tests (intelligence devient habiletés mentales)

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2
Q

Quel est le problème qu’entraine la définition de l’intelligence ?

A

Problème, car quand on veut mesurer qq chose, on veut savoir ce que l’on mesure

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3
Q

Vrai ou faux : Le QI est la même chose que les fonctions exécutives

A

Faux, mais sont reliés

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4
Q

Vrai ou faux : la mémoire fait partie de l’intelligence

A

Faux : mais corrélé avec le QI

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Q

Que représente g ?

A

L’intelligence générale

Ce qui requiert une manipulation mentale

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6
Q

Que peut-on conclure plus un test mesure bien g ?

A

Plus on considère que c’est une mesure pure de g

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7
Q

Quelles sont les corrélations entre la vie réelle et l’intelligence ?

A

Validité de critère

o Performance académique : on considère au primaire une corrélation de r = .5/.6

o Performance au travail : plus le travail est cognitivement complexe (prise de décision), plus la corrélation augmente, r = .5

o Autres critères comme santé ou criminalité : faire de meilleurs choix pour sa santé, criminalité est une corrélation négative de r = -.3 les personnes qui commettent des crimes ont tendance à avoir un QI plus faible : verbal plus bas que leur non verbal

*considère que r = .5 est fort / = 25 % de la variance

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8
Q

Qu’est-ce qui peut impacter la variance ?

A

 Variance provenant d’autres sources très importante surtout si présélection sur le QI ou sur une mesure indirecte du QI (p.ex. sélection bac psycho selon la cote r)

 La variance du QI va diminuer quand présélection p.ex. examen école privé est récapitulatif de ce qu’un enfant est supposé savoir, mesure indirecte du QI, présente comme un test scolaire, mais on sait qu’on va chercher plus le QI à
 Se poser la question si le fonctionnement scolaire est plus équitable que le fonctionnement du QI

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9
Q

Quelle est la théorie de Spearman ?

A
  • 2 facteurs: “g” et “s”
  • Emphase sur un facteur : “g”
  • Origine: corrélations et analyse factorielle avec les tests de QI

Dépendant de la stimulation donnée par l’environnement, les parents vont valoriser une compétence en particulier ou une occasion qu’il n’ont pu réaliser dans leur propre vie, l’enfant va le réaliser.

Les facteurs s et g sont une combinaison hérédité et environnement. Le g est au sommet. Aller voir la stimulation qui a été fait pour l’individu. Est-ce que la stimulation environnementale a été suffisamment adéquate ?

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10
Q

Quelle est la théorie des habiletés mentales primaires de Thurstone ?

A
  • Liste – (Tables 7.2, 7.3)
    o généralement: spatiale, numérique, verbale, raisonnement
  • Débat entre “g” et habiletés mentales primaires

Problème : analyse factorielle démontre une forte intercorrélation, donc difficile d’ignorer le facteur g qui ressort.

Les facteurs spécifiques sont très important et entre eux ils auraient qq chose de commun.

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11
Q

Quelle est la théorie de Guilford ?

A
  • Un autre modèle multifactoriel
  • Statut actuel
    o Largement discrédité méthodologiquement
    o Influence: pensée divergente (créative) vs convergente

Divergente : reflet de la créativité.

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12
Q

Qu’est-ce que les modèles hiérarchiques ?

A
  • Compromis
    o Entre “g” et habiletés mentales primaires
    o P.ex. si dyslexie, va être plus faible lors des tests verbaux
  • Permettre les deux
    o Facteurs séparés
    o “g” au sommet
  • Statut: Modèle dominant pour les tests de QI
    o P.ex. Échelles de Wechsler p.216
    o Les indices sont formées de sous-tests
    o Indices de compréhension verbale, mémoire de travail, raisonnement perceptuel, vitesse de traitement de l’information
    o Autrefois : compréhension verbale + MT = QI verbal / RP + VT = QI non verbal
    o Les indices sont devenus les facteurs hiérarchiques entre spécifique et g : niveau intermédiaire
    o S’en sert bcp, car parfois une certaine valeur diagnostique
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13
Q

Quel est le modèle de Cattel et Horn ?

A

o Cristallisée: développée par l’expérience, etc. Vocabulaire, connaissances
o Fluide: potentiel brut (comment le mesurer ?), pas affecté par l’expérience
 Matrices de Vernon car pas des choses que vous êtes supposés avoir appris au fil du temps
 Tests qui ne sont pas supposés être affectés par l’extérieur
 La limite entre les deux est parfois difficile à voir
 P. 185 illustration de ces modèles, ce sont des modèles hiérarchiques
 Pas automatique que non-verbal que c’est fluide
 Important quand enfants ont eu une sous stimulation dans leur environnement.

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14
Q

Quel est le modèle de Vernon ?

A

o G puis
 Verbal/Spatial puis QI verbal vs non verbal
 Facteurs spécifiques
 Droit versus gauche, pratique pour les lésions

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15
Q

Qu’est-ce que les théories développementales ?

A
  • Caractéristiques
    o Stages (marque changements qualitatifs), séquences, progression, âge
    o Qualitatif = un papillon n’est pas une grosse chenille, chenille à papillon est un changement de pensée
    o Figure 7.6
  • Piaget – La plus célèbre des théories
    o Table 7.3
  • Peu d’influence sur les tests
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16
Q

Qu’est-ce que les théories de traitement de l’information et modèles biologiques ?

A
  • Chevauchement entre les deux concepts, car le TI est rapide si le cerveau est adéquatement myélinisé, va diminuer absolument en vieillissant.
  • Notions de base
    o Information: traitement, l’env. est rempli d’informations et on décide sur quoi on met notre focus, doit aller relativement rapidement
    o Tâches cognitives élémentaires
     Temps de réaction (Fig 7.7)
     Paires de lettres (Fig 7.8)
     Vérification sémantique (Fig 7.9)
    Quand reconnait un vrai mot, appui sur la touche, donc mesure VTI
    o Modèles biologiques: fonctionnement du cerveau : myéline
     Le cerveau des personnes doués est moins actifs que les moins doués durant les tâches complexes : tu parviens à faire la tâche en dépensant moins de ressources – prends plus de ressources pour une personne moins douée
17
Q

Quelles sont les critiques envers les théories de traitement de l’information et modèles biologiques ?

A

Influence de la culture/ des différences individuelles/ du statut-socioéconomique

18
Q

Qu’est-ce que la théorie triarchique de Sternberg ?

A
  • 3 formes d’intelligence, mais les autres tests ne mesure que l’analytique (Uni y met bcp l’accent)
    o Pratique :
     Aider une personne atteinte de dépression à partir d’une théorie
    o Analytique
     Valorisée par le système scolaire p.ex. comparer 2 théories
    o Créative
     Crée ta propre théorie de la dépression
    Les individus apprennent plus lorsque c’est axé sur leur forme d’intelligence. p.ex. si tu es plus intelligence pratique, le bac en psycho de l’U de S n’y convient pas.
19
Q

Qu’est-ce que la théorie de l’intelligence multiple de Gardner ?

A

o Influence marquée dans le système d’éducation mais manqué de validité
o Les différentes formes d’intelligence – il y a tout de même la présence d’un facteur g
o A bcp d’influence dans le domaine de l’éducation : peut aider des jeunes à rester à l’école
o Le facteur g est en dessous du décrochage scolaire
o Est-ce que c’est encore du fonctionnement intellectuel comme le concevait Spearman ? Non mais maintenir une jeune motivé est plus important que le respect des concepts.

20
Q

Quel est le statut actuel des théories portant sur l’intelligence ?

A
  • Modèles hiérarchiques sont dominants pour les tests
    o G : QIG
    o P. 216 4 indices, QI global de la personne
    o Sous-tests correspondent aux facteurs spécifiques
  • Modèles du traitement de l’information
    o Surtout en recherche en processus cognitive
    o Peu d’influence sur la conception des tests
  • Modèles du développement Piaget
    o Peu d’influence sur la conception des tests
21
Q

Quels sont les postulats importants dans les différences de groupe ?

A

1 - Généralement, superposition des groupes

2 - Différences ne révèlent pas la cause

3 - Différences peuvent changer avec le temps

22
Q

Quelles sont les différences entre les sexes ?

A
  • Peu de différences au total
  • Habiletés spatiales supérieures chez les hommes : principale différence
  • Quelques différences verbales (F) et mathématiques (M), habituellement différences plus marquées vers la fin l’adolescence – puberté ou attentes culturelles (pressions liés à l’identité de son sexe sont peut-être plus intenses)? Si je ne correspond pas à l’idéal de mon groupe va me rendre moins attirant.
  • Plus grande variabilité des hommes (Figure 7.13)
    o Spécialement dans les extrêmes
23
Q

Quelles sont les différences entre l’âge ?

A
  • Figure 7.14
    o Augmentation pendant l’enfance : tout au long

o Maximum: 16-20 ans – attention score standardisé ne changent jamais ; la moyenne est toujours de 100, peu importe l’âge, pour avoir un score de 100 à 20 ans est bcp plus difficile en termes de tâche, plutôt qu’un score de 100 à 90 ans

o Plateau

o Période du déclin

 Dépend des habiletés
* Vocabulaire (mémoire sémantique, pas espace et de temps) vs vitesse de traitement de l’information va décliner bcp plus vite que le vocabulaire et les connaissances générales qui sont les dernières à déclinées
* vocabulaire est un test le plus résistant aux atteintes p.ex. pour évaluer traumatisme crânien

  • Études longitudinales ou transversales
    o Autres effets différents (ex: nutrition, scolarité), pas nécessairement la même alimentation et scolarité jeunes et personnes âgées, pas assez pour conclure influence
  • Effet Flynn

Chute progressivement. La vitesse de traitement de l’information est plus lent en vieillissant.
Peak = 20 ans.
Diminution au fil de temps.

24
Q

Qu’est-ce que l’effet Flynn ?

A

Observe que le QI dans les dernières décennies a tendance à augmenter, presqu’un ÉT à chaque génération, notre génération en moyenne est plus intelligente que nos parents d’environ 1 ÉT – ont davantage été stimulé, p.ex. bibliothèque vs google – l’information est maintenant plus accessible, meilleur nutrition aussi même si pas une relation parfaitement linéaire – un risque, la surnutrition ne fait pas de quelqu’un un génie

o L’environnement social est devenue plus complexe. Stimulation.
o Une amélioration de la nutrition aussi.
o Réduction du nombre d’enfant favorisant l’attention donné par les parents et la stimulation

25
Q

Quelles sont les différences entre les status socio-économiques ?

A
  • Définition du SES (catégories (riche moyen pauvre) ou continues (0 à l’infini))
  • Corrélations typiques
    o R 0,30 : le QI est un avantage pour un statut socio-économique plus élevé
  • Débat sur les raisons pour les differences
    o Culture, valeurs, etc. pression, ressources VS le QI mesure bien au sens où les aptitudes individuelles sont une ressource dans l’acquisition des ressources matérielles.
26
Q

Quelles sont les différences entre les groupes ethniques ?

A
  • Consensus sur l’existence d’une difference
  • Résultats typiques
    o Afro-Américain (-1 ET) QI = 85
    o Hispanique/Latino (-0,5 ET) QI= 92
    o Premières nations (-0,5 ET) QI= 92
    o Asiatique (+1 ET spatial) QI non verbal = 115
  • Débats intenses sur les raisons
    o Argument du biais de la pente (faux : les tests ne sont pas biaisés)
    o Hérédité vs environnement : à la fois des différences entre les individus et les groupes, à la fois génétique et env.
     Les conditions de la causalité de Kenny : les notions d’associations – isolation : se peut mais personne sélection avec certains gènes, devis très corrélationnel mais on ne peut pas établir une relation de causalité – pas une certitude
27
Q

Quels sont les consensus sur l’influence de l’hérédité et de l’environnement ?

A
  • L’un ou l’autre vs. interaction, grand débat mais c’est souvent une interaction ou une combinaison
    o Souvent environnement lié à l’individu : on assume que les étudiants sont le fruit d’un bon bagage génétique, souvent tendance à choisir un environnement qui va favoriser la stimulation cognitive et non l’inverse – les bons choix sont souvent associés au QI
    o Débat :
     Variance environnementale : si 0, la seule source de variation serait la génétique – p.ex. communisme à eugénisme,
     Variance hérédité : si tous des jumeaux génétiques, la seule source de variation serait l’environnement
     Ces sources varient – même à l’intérieur d’une famille, la variance environnementale n’est pas la même p.ex. être le plus jeune enfant
  • Moment de l’influence :
    o P.ex. ne veut rien savoir de la flute à bec à 5 ans il n’a pas le choix mais à 12 ans le parent va avoir plus de difficulté d’imposer quelque chose car la génétique prime plus,
    o Influence de l’environnement va être plus grande dans la petite enfance, et c’est plus la génétique qui est plus forte en vieillissant
  • Permanence : pas parce que c’est héréditaire que c’est automatiquement inchangeable
  • Traits affectés
    o Variance hérédité – QI
    o Personnalité hérédité : entre 40 et 60% de la variance de la personnalité serait génétique
28
Q

Quelle a été la méthodologie en matière d’influence héréditaire et environnementale ?

A
  • Jumeaux : mono vs dizygotes
    o La partie attribuable à l’hérédité et celle environnementale.
  • Indice d’héritabilité
    o proportion de la variance attribuable aux facteurs génétiques au sein d’une population
  • Variance intrafamiliale
    o Environnement similaire ou non ? pas identique pour deux enfants, environnement utérin
29
Q

Quels sont les résultats des études sur l’hérédité et l’environnement ?

A
  1. Héritabilité de l’intelligence: environ 0.60, l’hérédité semble plus importante que l’environnement et …
  2. Augmente avec l’âge de 0.40 - 0.60 à 0.60 - 0.75,
  3. Résultats pour “g” vs. habiletés plus spécifiques, plus un test est saturé en g ; plus la variance environnmentale serait plus importantes pour les habiletés spécifiques que pour les habiletés liées à g, dépend de la stimulation
    o Valorisation de certaines choses plus importantes dans certaines familles p.ex. le ski ou la lecture
    o La nature de g est plus l’aptitude à manipuler des symboles, le perroquet pourrait faire empan en droit mais pas empan envers, car celui-ci est plus saturé en g (génétique)
  4. Peu de variance interfamilles : d’une famille à l’autre, le QI est relativement similaire, donc en moyenne dans les famille, estime que c’est le fruit de l’instruction publique, bcp de variance intrafamiliale : la différence typique est près 1 ÉT, taille d’effet large.
    o Fruit du système d’éducation public ?
30
Q

Quel est l’histoire derrière nature/nurture ?

A
  • Débat Nature/Nurture (Purement culturel, purement héréditaire ou quelque part entre les deux)
    o Galton, Darwin etc.
     Perspective largement héréditaire
     Régression vers la moyenne : les parents ne transmette qu’une partie de leur gènes exceptionnels
     2 parents QI élevés vont avoir un enfant QI plus grand que la moyenne, mais pas plus élevé que ceux des parents
     Pour 2 parents QI faibles, enfant va avoir QI plus élevé que les parents, mais plus bas que la moyenne
    o La grande société des années 60
     Réparer les inégalités engendrées par la ségrégation (1865-1950)
     Premiers essais pour réduire les différences entre les groupes ethniques notamment au point du QI
  • How much can we boost IQ and Scholastic Achievement ? (Jensen, 1969)
    o Très peu puisque le QI est largement héréditaire, faire des interventions environnementales ne devraient pas influencé tant que ça
  • Straight talk about mental test (Jensen, 1982)
    o Les tests ne sont pas biaisés culturellement
31
Q

Qu’est-ce que The Belle Curve et ses résultats et conséquences ?

A
  • Bell Curve (1994): Les résultats sont amenés sur la place publique avec une forte saveur politique, devenu extrêmement controversé – la société devient de plus en plus stratifiée en fonction du QI, il y a 150 les opportunités de choix de partenaire était peu élevé mais aujourd’hui bcp de choix

o Stratification de la société en fonction du QI

 EX: QI conjugal r = 0,45
 Caractéristique la plus commune dans un couple : QI conjugal – lorsque corrélation entre 2 personnes d’un couple, la corrélation est de 0.45, et ce serait la caractéristique la plus commune au sein du couple, le QI va être très similaire donc la caractéristique similaire, plus similaire, plus va avoir tendance à être un couple et avoir des enfants, la sélection se fait bcp dans des QI similaires, stratifications car les opportunités de rencontre se font en fonction du QI, plus de chances de rencontrer quelqu’un qui va à l’uni parce qu’on est à l’un
i
 Cette tendance risque d’augmenter avec le temps

 Puisque le QI est héréditaire, séparation de la société en différentes strates, individus qui vont avoir des QI élevés vont se reproduire entre eux et vice versa

 Fécondité et QI (alarmiste) : si les individus avec faible QI ont bcp d’enfants, va affaiblir la moyenne de QI enfants américains, donc les américains vont devenirs plus stupides

  • Propose l’abolition des mesures égalitaires américaines : proposer, pour laisser davantage la sélection naturelle jouer dans l’ensemble de la société : faut absolument freiner la reproduction des personnes à faible QI et favoriser la reproduction des gens avec QI élevée – présuppose que si tu es pauvre tu as un QI faible : devient très politique et controversé
  • L’effet Flynn contredit cela
32
Q

Que se passe-t-il après The Bell Curve ?

A
  • Mainstream Science on intelligence (1994)
    o Reconnaît l’écart entre les blancs et noirs et souligne que des facteurs génétiques et environnementaux sont responsables
    o Les signataires sont les principaux chercheurs dans le domaine de l’intelligence
  • Intelligence, knowns and unknowns (Neisser, 1996)
    o Reconnaît l’écart entre les blancs et noirs mais souligne que nous n’avons pas les connaissances sur ce qui l’explique, donc probablement une part de chaque : insiste sur le probablement
  • 30 years of research on races differences in cognitive ability (Rushton et Jensen, 2005) Partisans de l’hérédité :
33
Q

Qu’est-ce que Minnesota Transracial Adoption Study ?

A

o Adoption par des familles blanches avec QI de 115

 Test à 7 ans :
 Enfant blancs biologiques non adoptés
* 117 moyen
 Enfants adoptés par des parents blancs. Ils ont 2 parents biologiques blancs
* 112
 Enfants adoptés par des parents blancs. Ils ont un 1 parent biologique blanc et 1 parent biologique noir
* 109
 Enfant adoptés par des parents blancs. Ils ont 2 parents noirs biologiques
* 97

  • Interprétation de Scarr et Weinberg qui s’y oppose
    o Les enfants noirs socialisés dans les familles blanches ont un QI supérieur à la moyenne nationale de 85
    o Donc, le QI est largement culturel
34
Q

Qu’est-ce que Minnesota Transracial Adoption Study part 2 ?

A

o Adoption par des familles blanches avec QI de 115
 Suivi à 17 ans
 Enfant blancs biologiques non adoptés
* 109
 Enfants adoptés par des parents blancs. Ils ont 2 parents biologiques blancs
* 106
 Enfants adoptés par des parents blancs. Ils ont un 1 parent biologique blanc et 1 parent biologique noir
* 99
 Enfant adoptés par des parents blancs. Ils ont 2 parents noirs biologiques
* 89

  • Interprétation de Rushton
     Le score de 89 est plus que la moyenne de 85 mais ne diffère pas de la moyenne des noirs au Minnesota
     Après la puberté, l’effet de l’environnement est diminué
35
Q

Comment tente-t-on d’expliquer les différences entre groupes ethniques ?

A
  • Histoire
    o Homo Sapiens 150 000 ans
    o Séparation de l’Afrique 100 000 ans (migrations)
    o Séparation Europe-Asie 41 000 ans (migrations)
  • Mouvement vers régions plus froides
    o Diminution de l’abondance de nourriture provoque :
    o Nécessité d’organisation sociale
     Vêtement, abris etc. planification des récoltes, les vêtements, les abris et entrainent :
    o Pression pour l’intelligence (Rushton et Jensen, 2005)
36
Q

Quels sont les conclusions en rapport avec le QI élevé de certains groupes juifs ?

A
  • Ex: QI de certains groupes de juifs serait environ +1 ET que celui des chrétiens
  • 3 hypothèses (Lynn, 2006) :

o Eugénisme : être moine est très intellectuel dans le christianisme, doivent demeurer célibataires
 Modèle du Rabbi intelligent en couple – il est encouragé à être en couple et avoir des enfants
 Modèle du Moine intelligent célibataire

o Persécution
 Pression pour la survie
* Anticiper quand le climat devient dangereux, sélectionne alors les individus

o Discrimination
 Occupations seulement pour les plus intelligents
* Prêt usuraire vs artisanat – bannit de certaines professions et occuper des transactions financières, si la personne n’est pas doué en math elle n’avait pas le possibilité de se reproduire car exécution

37
Q

Qu’est-ce que le problème de l’invariance ?

A

Il y a une différence entre l’invariance dans la prédiction et l’invariance de la mesure. Souligne que dans la controverse du QI, les gens soutiennent invariance même coefficient de prédiction dans le test et dans le critère. Pas de biais de la pente car les 2 droites de régression sont les même tant pour les blancs que pour les noirs.

Les normes qui sont faites auprès d’un groupe ne sont peut-être pas applicable à un autre groupe.

Pas vraiment d’étude sur l’invariance des tests de QI donc tout ce débat qui fait rage : on ne sait pas s’il est fondé.
R et J dit que c’est le reflet de la différence entre les deux groupes. On ne sait pas à quel point c’est un problème d’invariance, l’auteur dit que les chercheurs n’ont pas fait de tests d’invariance et que leurs critiques ne nomment pas cette omission, car ils ne tiennent pas compte de cela car ne sont pas des amateurs de psychométrie.

On tire souvent des conclusions sans avoir fait des tests d’invariance au niveau des mesures.

Tant que l’invariance n’est pas démontrée (avoir les mêmes propriétés dans les différents groupes), difficile d’émettre des constats.

p.ex. anxiété et dépression : les femmes scorent plus élevé, mais ce sont les hommes qui se suicide plus et la dépression est un facteur de risque : problème d’invariance. Ne peut pas dire que les femmes sont plus anxieuses et dépressives.

Pas parce que la corrélation est parfaite ou identiques entre les groupes ethniques que vous avez automatiquement un problème d’invariance. Nos mesures sont invariantes ou est-ce le reflet d’une vraie différence entre les groupe ? Toujours pas répondu.