Cours 11 : École italienne ; État des lieux au début du 20e Flashcards

1
Q
  1. Les positivistes italiens
    →1.1 Lombroso
    A) L’homme délinquant (suite)
    B) La femme criminelle (1895)
  2. 2 Ferri
  3. 2.1. Systématisation de l’identification des délinquants/ déterminisme
  4. 2.2. Sa pénologie
  5. 3 Garofalo
  6. L’état des lieux au début du XXe siècle

2.1 Réfutation du positivisme
A) Gabriel Tarde
B) Charles Buckman Goring

2.2 Mutations du libéralisme

A

► Médecin légiste, professeur de médecine légale à l’U. de Turin
Filiation avec la médecine est pas un point de détail
Base ses études sur l’autopsie, les causes de la mort
C’est l’une de ses autopsies qui va déclencher ses réponse sur le crime↓

► Autopsie du criminel Vilella: constate anomalies du crâne,
semblables à traits primitifs
‘’ sur une plaine désertique , l’éclair de la raison avait frappé!’’
Le crâne de villella a des défauts et des formes anormales; mains loin d’être totalement bizarres.
Lombroso dit que ces anomalies évoque le crâne des primates inférieurs
La présence de ces anomalies seraient reliées à la criminalité
Lombroso a l’impression d’être sur le bon chemin

Il entrepend une grande étude : comparer les carctérsitiques craniennes de criminels vs non criminels

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Q
  1. Les positivistes italiens
    1.1 Lombroso
    →A) L’homme délinquant
    B) La femme criminelle (1895)
  2. 2 Ferri
  3. 2.1. Systématisation de l’identification des délinquants/ déterminisme
  4. 2.2. Sa pénologie
  5. 3 Garofalo
  6. L’état des lieux au début du XXe siècle

2.1 Réfutation du positivisme
A) Gabriel Tarde
B) Charles Buckman Goring

2.2 Mutations du libéralisme

A

► Conclusion: il existe un type criminel reconnaissable à ses
stigmates crâniens
Donc il afforme un ‘‘type’’ ou une ‘‘race’’ criminelle
‘‘Type’’ criminel marqué par des différences bioogiques/physiologiques
Ces traits sont bien définis
Les criminels auraient des stigmates crâniens

Quel est le lien entre ces stigmates et le comportement criminel ?
Lombroso l’appuie sur l’atavisme
► Atavisme: réapparition de traits ancestraux qui ne sont pas présents chez parents immédiats
L’atavisme en génétique c’Est une forme de transmission génétique ds laquelle ‘individu hérite de traits génétiques ancestraux sans s’exprimer chez ses parents : réapparition de traits dans le patrimoine génétique ( ex. couleur de cheveux n shit)

► Anomalies criminelles = régression, réapparition de traits
similaires à ceux des primitifs, qui expliquent crimes
Lomborso va dire que ce qu’ont voit chez les criminels, c’Est l’apparation de traits génétiques primitifs disparus depuis longtemps
-Réapparition de ces traits = régression

Donc Lombroso va dire : ‘‘race’’ d’êtres primitifs, qui se conduisent comme on le faisiat à l’origine de l’humanité
Càd comme al ‘epoque ou c’était bien vu de se conduire mal

Donc le criminel = traits primitifs réapparus
Le déterminant de son comportement criminel est EN LUI.
C’est donc un criminel-né !

► Portée étendue de l’étude dans éditions subséquentes:
2 gré choses ?
Veut confirmer son idée
ses différences ne sont pas ttoutes au niveau du crâne.
On peut seuelemnt regarder la forme des oreilles, cheveux, longueur des membres, assez d’éléments anatomiques pour tjrs faire distinction entre cirminel et non cirminel

  • comparaisons élargies
    Plus grand bassin
  • nouvelles différences physiques
    Oreille,s etc. wahtever, cheveux, pas juste niveau du crpane
  • typologie par type de crime (aucune chance que ca se retoruve ds l’examen)
    1. Le voleur : des yeux obliques, peu de cehveux, nez plat ou croche
    (interesant de savoir qui va vouer tuer)
    2. Yeux froids, figés, nez = toujours gros, meurtire ra une machoire puissante et large, dents aiguisées avec beaucoup de poils (ressemble avc le loup fortuite)
    Information la plus importante : De manièr générale ; tous les criminels ont un trait partagé : des grandes oreilles : tous les criminels d’svoir des grandes oreilles

(vs avesz l’air émus devant cette révolution des savoirs)

Lombroso va réduire/nuancer sa position de sa part de criminels-nés
En 1876 ; la totalité des criminels sont des criminels-nés
Dans ses dernieres publications : c’est 1/3 de la population criminelle

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Q
  1. Les positivistes italiens
    1.1 Lombroso
    A) L’homme délinquant
    →B) La femme criminelle (1895)
  2. 2 Ferri
  3. 2.1. Systématisation de l’identification des délinquants/ déterminisme
  4. 2.2. Sa pénologie
  5. 3 Garofalo
  6. L’état des lieux au début du XXe siècle

2.1 Réfutation du positivisme
A) Gabriel Tarde
B) Charles Buckman Goring

2.2 Mutations du libéralisme

A

► Paradoxe de départ: comment la femme peut-elle
commettre moins de crimes considérant son infériorité?
(en fct de ce qui s’en vient je me protège)
-première production ‘‘scietnfiqiue’’ qui s’est penché sur la spécificité sur le cas féminin, première étude 100% penchée sur les femmes, geneèse de la délinqunace féminine

Femmes sont moins présentes ds le système de justice malgré le fait que sont inférieures aux hommes
De quelle nature est le paradoxe : ce qui marque le type délinquant c’Est une forme de primitivité, d’anomalie de régression.
La femme, face aux hommes, est ‘‘Clairement’’ moins évoluée, dont la facultés sont moins avancées
D,Où vient cette idée de la femme inférieure : plusieurs indicateurs

  • Physique sous-développé (coeur, musculature, etc.)
    Sang moins riche, cerveau petit, muscles moins développés, musculature, etc.
  • Sens moral inférieur (cruauté, vanité, mensonge, etc.)
    Elle pense moins, dotée d’intelligence médiocre
    Mais elle a des avantages : plus souvent cruelle, irracible, vaniteuse, mensonge instinctif
    ‘‘Lombroso a besoin de se de démêler ds ses menteries’’

Si criminalité = traits inférieurs
Donc pk la femme inférieure ne fait pas autant ou plus de criems ?

► Réponse: prostitution est la somme de tous les crimes par
son immoralité intrinsèque
L,acrobatie ; les femmes font des crimes bcp + graves !
empoisonnement , adultère, etc.
Qualitativement, la criminalité des femmes est bien pire que celles des hommes

Lombroso ne se formalise pas des comportements violents des femmes a cause d’instinct maternel et physique. Si ellesl e pouvaient ,les femmes seraient dangereuse
Donc la prostitue c’Est l’emblème de la criminalité

  • Prostituée partage caractère de l’homme criminel
    Prositutiton - strucutre cirminelle de la femme.
    Donc beaucoup de sens communs avc l’homme criminel
    Les prostituées sont insensibles au fait que ce qu’ils font est MAL
    Les prostituées sont à peine pubertes : goût du mal très tôt
    Résistent à tt forme de condamantion morale
  • Anomalies physiques marquent aussi déplacement
    vers le primitif
    Les prostitutées on souvent l’air d’un homme!
    ‘‘Lombroso dit pas certaines chose ?’’
    ‘‘assiégés par des monstres de crminalité dont il faudrait se méfier?’’
    Lombroso va dire : même si la prostituée présente autant de signe d’atavisme et d’immoralité que l’homme, faut admettre que la prostitution n’Est pas aussi dangereuse que les crimes des hommes pour la société.

-Prositution = représentation de l’infériorité de la femme; faut la protéger elle-même!
Pour ne pas risquer sa nature immorale, les femmes devraient être confinées à la maison pour déployer leur meillleur instinct(maternel)
Donc on limite la vie publique et la sortie des femmes incidemment on limite limite

On devrait limiter l’éducation des femmes pour éviter la participation à la vie publique

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  1. Les positivistes italiens
    1.1 Lombroso
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    B) La femme criminelle (1895)

1.2 Ferri
→1.2.1. Systématisation de l’identification des délinquants/ déterminisme
1.2.2. Sa pénologie

  1. 3 Garofalo
  2. L’état des lieux au début du XXe siècle

2.1 Réfutation du positivisme
A) Gabriel Tarde
B) Charles Buckman Goring

2.2 Mutations du libéralisme

A

► Systématise et étend l’identification des déterminants du
crime, produit par combinaisons de facteurs:
Accepte le déterminisme de Lombroso
Ferri a une approche MULTIFACTORIELLE
Les actions de l’E-H sont toujours le produit (conjugaison) de son organisme physiologique, de son psychisme, et du context social/physique où il est né/ il vit
Donc ça prend des approches biopsychosociales

C’est probablement ce qui va donner une décennie ou deux à l’époque positiviste.
Et bien on se serait fait infirmer vraiment rapidement.
Mais avec Ferri, avec sa volonter de GÉNÉRALISER les déterminants

Il STRUCTURE le savoir!

a) Facteurs criminogènes individuels
(constitution organique, hérédité, facteurs psychiques)
Criminel-né de lombroso

Psychiques : traits de personnalité anormaux et associés au criminel
Qui déterminent le compo. criminel et qui sont propres à certains indviidus

b) Facteurs physiques (cosmo-telluriques)
(climat, conditions météorologiques)
pk cosmo-telluriques ? → l’effet du temps qu’il fait sur les E-H.
C’est ici que Ferri insère les observations de Guerry/Quetelet
Les régularités déterministes font partie de ce qui peut causer le crime.
Intégré par Ferri ds ses facteurs.

c) Facteurs sociaux et économiques
(densité de la population, composition des familles,
système d’éducation, chômage, misère)
Familles : Familles nombreuses est plus suceptible de causer des crimes
-l’Éducation, très nette différence entre éducation obligatoire généralisée
-Pauvreté/chômage-misère; crée le crime, incite les personnes

Lien avec le positivisme → ces facteurs VONT CAUSER, sans exception, la criminalité
Permet à Ferri d’énoncer 2 lois pour lesquelles il va être très célèbre/reconnu: lois de la saturation et de la sur-saturation.
———————
► Déterminisme des facteurs permet d’énoncer deux lois:
- Loi de la saturation: constance relative de la criminalité
correspondant aux conditions normales de la société
C’est la conjugaison des facteurs donnés, niveau de crime
Tant que les conditions de cette société-là ne change pas

—-Si les facteurs déterminant le crime ne changent pas, et bien ils déterminent le crime de façon constante. Va se produire sir les facteurs sont là. Donc ce sont des facteurs relativement constants la criminalité.—
—S’OPPOSE à la probabilité : si la cause est présente, le phénomène DOIT se produire—
Donc Causes Présence X → présence Y de crime

  • Loi de la sursaturation: accroissement brusque de la
    criminalité causée par perturbations exceptionnelles
    (ex: révolution, guerre, catastrophe naturelle)

Une modification BRUSQUE de la saturation cause une hausse de la criminalité spontanée
Ce qui arrive avec cette saturation : si les changements sociaux se résorbent, normalement, cette saturation va redescendre puisque l’év perturbateur a disparu.

► Pour remplacer catégories pénales, classification criminelle à
partir d’observations cliniques, en cinq types:
‘‘sous l’égide de L’école positiviste’’

A. la plupart en fait + que 1
B. Les criminels se distinguent en fct de leurs facteurs déterminants del eur passage à l’acte
Entendu que tu peux avoir plusieurs déterminants

Différents types de criminels en fonction de la concentration de facteurs chez les individus
1. Aliéné / fou moral
Personne dont la cpacité de poser un jugement moral sur ses actions est absente
Pas la capacité de comprendre que ses actes sont immoraux

  1. Criminel-né
    Le primitif de Lombroso
  2. Criminel par transport de passion
    Agit sur les émotions vives ( crime passionnel)
    l’exemple du crime commis pendant le couple
  3. Criminel d’occasion(non pas parce qu’il est en spécial)
    Il s’offre aux conditions qui s’offre à lui, c’est un opportuniste qui ne peut pas résister à la tentation.
    On parle d’occasion, mais dès que l’occasion du délit se présente, il va agir(une des classes les plus importantes? Pour Ferri, la majorité des crimes)
  4. Criminel d’habitude
    Le ‘‘Récidiviste’’ Les gens qui reviennent continuellement en prison
    Pour Ferri, quelqu’un représentant d’un milieu social perverti
    Là où la pauvreté devient un déterminant, sont enclins, prompts à toujours commettre des crimes, son mode de vie; la normalité
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  1. Les positivistes italiens
    1.1 Lombroso
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1.2 Ferri
1.2.1. Systématisation de l’identification des délinquants/ déterminisme
→1.2.2. Sa pénologie

  1. 3 Garofalo
  2. L’état des lieux au début du XXe siècle

2.1 Réfutation du positivisme
A) Gabriel Tarde
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2.2 Mutations du libéralisme

A

► Pénologie positiviste basée sur la neutralisation

  • -Si les criminels ont pas le libre-arbitre, irrécupérables pcq crime indépendant de volonté, et bien peu à faire pour dissuader ou réhabiliter__ → change la conception de la PEINE
  • Neutralisation : crimine ne pourra nuire de nouveau → LA PEINE DE MORRRRRR

► La peine de mort est un outil d’assainissement social
nécessaire, en accord avec nature:
« (…) la loi universelle de l’évolution nous montre que le progrès de
toute espèce vivante est dû à une sélection continuelle opérée par la
mort de ceux qui sont les moins aptes à la lutte pour l’existence ; et
cette sélection peut dans l’humanité, et même, jusqu’à un certain
point chez les animaux, être opérée artificiellement, en hommage aux
lois de la vie, de même qu’elle s’opère naturellement.
Il serait donc conforme, non seulement au droit, mais aux lois
naturelles, que la société opérât dans son propre sein la sélection
artificielle, en extirpant les éléments nuisibles à son existence, les
individus antisociaux, non assimilables, délétères »
Enrico Ferri, La sociologie criminelle
Peine de mort doit être souhaitable, maintenue et soutenue
La peine de mort des déterministes c’est pas juste une peine, c’Est un outil
Faut arrêter de le voir comme une peine de justice
Mesre qui permet de se débarasser des éléments dangereux
-En accord avec la NATURE → reproduction des bonnes caractéristiques ( FORCE)
Même si ça rien à voir avec Darwin( darwinisme social)?
On élimine donc tout ce qui est pas bon : anormaux, criminels, malades mentaux, handicapés ,etc.
► À défaut de l’élimination physique, Ferri recommande
isolement indéterminé ou déportation
Ferri constate lui-même que la peine de mort n’est plus très en vogue
Devant ce constat, 2 alternatives :

  1. Déportation dans les colonies
  2. Enfermement Indéterminé ou jusqu’à ce que le criminel se soit débarrassé des causes de sa criminalité ( ce qui lui semble peu vraisemblable) à défaut d’éliminer les personnes

► Adversaire résolu de la prison comme peine générale, et du
système d’enfermement cellulaire en particulier
Son isolement indéterminé c’est une peine d’exception qui remplace la peine de morte
Pour lui, ça reste à abolir la prison, c’Est juste à défaut
Y’aurait des criminologues critiques qui seraient d’Accord
Il trouve la prison cellulaire inhumaine.

1.Il retire l’individu du milieu social et cela lui nuit pcq son milieu social est assez faible

ET AUSSI

  1. La prison provoque une forme spcéfiqiue d’aliénation ou de folie qu’Il appelle la folie cellulaire. L’idée qu’une personne ne veut plus ressortir, ou s’il ressort, est complètement dysfonctionel et ne peut plus vivre à l’Extérieur. Aujourd’hui, la sociologie carcérale va confirmer
    La prison ne fait qu’obscucir les choix difficiles mais néanmoins nécessaires qui doivent être faits face aux prisonniers ( on devrait les éliminer )

Le criminel est donc irrécupérable pour Ferri, c’Est la ‘‘face sombre’’ de l’école positiviste comparé aux classiques ( qui peuvent êre réhabilités)

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  1. Les positivistes italiens
    1.1 Lombroso
    A) L’homme délinquant
    B) La femme criminelle (1895)
  2. 2 Ferri
  3. 2.1. Systématisation de l’identification des délinquants/ déterminisme
  4. 2.2. Sa pénologie

→1.3 Garofalo

  1. L’état des lieux au début du XXe siècle

2.1 Réfutation du positivisme
A) Gabriel Tarde
B) Charles Buckman Goring

2.2 Mutations du libéralisme

A

► Rejette la définition légale/classique du crime: veut créer
classification scientifique et universelle (2e point s’opposant aux classicisites?)
la notion de’‘crime’’ l’intéresse. Plus intéressé à comment on définit un crime.

Il s’oppose aux classicistes aussi ! : Notion du crime = notion faussée
Vol mais par qui, à quel moment, de quelle façon ça veut rien dire. Il faut chercher les causes dans les déterminants
Donc Garofalo s’oppose à une définition strictement légale
Ne veut pas que ça soit une norme strictement traditionnelle, du tribunal

Propose une définition ‘‘scientifique’’ du crime.
Thus below

► Deux grandes catégories:
Acte moralement condamné/interdit par la majorité des E-H.
Acte qu’aucune société cvilisée peut accepter et ce peu impote des époques ou États
Actes mauvais en eux-même, TOUJOURS mauvais
Donc des VRAIS crimes qui produisent de VRAIS criminels !
Donc y a pas que ça des criminels déterminés ?

Pas tout les crime sont naturels ! On a pensé à tort que toute criminalité était naturelle,

a) Crimes de nature (de ‘‘vrais’’ crimes)
- vs pitié (violence)
Meurte, violences physiques

  • vs probité (vol)
    De vertu, honnêteté

b) Crimes artificiels
- motifs politiques ou économiques (contrebande, impôt)
évasion fiscale, etc.

  • Ça n’existe que parce que ces pratiques sont présentes. N’Est pas présent partout. Si ça n’existait pas, n’aurait pas été un vrai crime
  • Va inclure toute dissidence politique
  • C’est seulement pcq dans cet État précis alors quand dans le pays d’à côté c’Est un héros pcq dans d’autres pays c’est pas mis en application

-NE SONT PAS PRÉDÉTERMINÉS → c’est l’état qui les crée !
Et nont pas leur physiologie/psychée!
Cette distinction repose sur un jugement moral qui existe /N’existe pas
Repose sur quel genre de mouvement est vraiment universel
Désir de trouver des causes plus universelles que les lois, pour pouvoir mieux dire qui sont les ‘‘vrais’’ criminels, à qui on peut rattacher l’ensemble du corpus de Lombroso ?

► Résultats erronés, interprétations risibles, jugements moraux
grossiers, mais… (monon gênant qu’on veut pas sortir)
Pas les résultats qui sont importants en criminologie; ses résultats son faussés, ni interprétations, bref, c’est faible encorpus scientifique
C’est la façon d’approche le phénomène est nouvelle : c’est ça qui passe à l’histoire

► Héritage déterminant pour la constitution d’une discipline:
- objet d’étude
Simple : le criminel lui-même comme individu
De mesurer le délinquant, de le mesurer comme un objet d’étude ( merci aux institutions pour qu’on puisse l’étudier)

  • méthode
    La façon : on isole l’objet pour isoler les causes de son comportement
    C’est l’idée de la différence entre délinquants et non délinquants
    Qqchose qu’on trouve encore par exemple ds la délinquante sexuelle
  1. Idée de tester certaines hypothèse expérimentalement
    - approche–sSs
    Prpopose les différentes disciplines : Droit, médecine, sociologie
    Idée très présente qu’on ne peut pas avoir qu’une seule approche, toutes les disciplines peuvent contribuer conjointement à expliquer le phénomène

L’aspect ridicule et épeurant sont deux bons rappels des erreurs et excès à ne pas commetre
L’avantage d’avoir des fondateurs aussi imparfaits donnent des bonnes raisons de ne pas se tromper comme ils le font

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  4. 2.2. Sa pénologie
  5. 3 Garofalo
  6. L’état des lieux au début du XXe siècle

2.1 Réfutation du positivisme
→A) Gabriel Tarde
B) Charles Buckman Goring

2.2 Mutations du libéralisme

A

.► Deux critiques principales:
1- Revue des études: absence de stigmates communs
Le probème c’Est qu’aucune étude s’entend sur quelles différences.
Donc l’étendue des différences ? : c’est quoi toutes les différences → à chaque étude correspond son ensemble de stigamtes,

Pour Tarde, C’est le signe que la conclusion est plus importante que la démonstration

2- Absence de preuves sur les comportements primitifs
présomption italienne : ‘‘primitifs = se comporte comme des primitifs
Montrer
Brute insensible ?
Puisqu’on voit que même les primitifs(tribus) d’aujourd’hui ont des regles/normes, donc clairement on peut pas dire que c’est pas l’absence de normes et de sensibilité

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  2. 2 Ferri
  3. 2.1. Systématisation de l’identification des délinquants/ déterminisme
  4. 2.2. Sa pénologie
  5. 3 Garofalo
  6. L’état des lieux au début du XXe siècle

2.1 Réfutation du positivisme
A) Gabriel Tarde
→B) Charles Buckman Goring

2.2 Mutations du libéralisme

A

► Psychiatre et philosophe anglais, source du discrédit
du positivisme dans tradition anglo-saxonne

► The English Convict (1913), comparaison de 3000
condamné avec groupe contrôle, montre absence de traits
physiques distinctifs
‘‘statistiquement apparié : gr. âge, sexe, origine’’
relativement sensables entre les 2 groupes → sophistication supplémentaire
Plusieurs analyses; aidé par Carl PEARSON = R ! Le même !
Épaulé par des personnes qui lui permettent d’analyser correctement ces données
Pas de différences physiologiques entre condamnés et non condamnés

'’Chicago : écologie urbaine’’
d’autres ; ‘‘psychologie : p-t des pulsions propres à tous les individus mais qui chez certains trouvent une maniere deviante, correspond ;a une structure depersonnalité mais qui juste trouve une expression’’ → explosion des savoirs et approches, dans tous nos cours, scientifiquement, ce qui vient ,c’Est ce qui a tt remplacé

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  4. 2.2. Sa pénologie
  5. 3 Garofalo
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2.1 Réfutation du positivisme
A) Gabriel Tarde
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→2.2 Mutations du libéralisme

A

► Enjeu fin XIXe/début XXe siècle: conditions de vie et de
travail des ouvriers
Économiqueemnt : crises économiques, usines qui ferment en série, créent une base de chômage énorme. Donc est-ce à dire que les patrons qui sont responsables de la criminalité ? Ça montre que y’a un problème structurel très grave

Les conditions de vie ne repondent pas aux promesses libérales

► Rappel: faiblesse de l’assistance au XIXe siècle produisait
conditions de vie précaires, réponse pénale peu productive

► Structures, mécanismes d’assistance et d’intervention se
mettent progressivement en place:
- Par le bas: mutualismes, coopération et union/syndicats
( la population, travailleurs)
Mutualisme : caisses de secours, si l’un d’entre eux se blesse, peut vivre ra^ce à ça
Donc caisses populaires qui permettent d’épargner

  • Par le haut: interventionnisme étatique
    (‘État)

► Conséquence: avec filet social et hausse du niveau de vie,
recul de l’automatisme pauvreté/criminalité
État-providence : structures mises pour améliorer le niv
Assurances,
Aide sociale (aide aux méanges)

Pourquoi on fait ça ?
1.Y a un aspect de valeur. La classe politique change radicalement. Forme de sensibilité aux revendications populaires, ce qui explique pk on a infléchi le role de l’état

L’autre aspect intéresssant :

  1. Si la population n’a pas les moyens de participer à la vie économique, si la population est pauvre, qui va les acheter, non seulement la population pauvre, qui va acheter les produits ? Si le système n’a pas de consommateur, il ne peut pas fonctionner!
    Le corollaire del ‘État-providence, c’Est la société de consommation. Le pouvoir, le niveau d’achat de la population soit suffisant pour permettre à la production de continuer.

Ce qu’on a compris au 19e siècle : laisser des gens pauvres mourir ^ca sert à grand chose
Et c’est économiquement tout à fait valble

Conséquence : on en profite ts les jours, le niveau de vie a monté de façon spectaculaire, moyens pour vivre, face aux maladie, et à partie de là : cette association classique de logique répressive s’est éteinte de plus en plus

Pour être remplacée par un autre type de criminalité : les statistiques criminells ?
L’infraction dominante : encore vrai au 20e, mais la tendnace baisse, inclure les années 20, etc.

Les chiffre de désordre baissent jusque dans les années 1950,
La cause principale d’incarcération : délits de véhicules à moteur : Pour avoir un véhicule, faut de l’argent

Le niveau de vie a changé les priorités criminelles, les excès propres à la conduite automobile, jusqu’à la possesson de drogue, etc. ds les années 60

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