Cours 11 Flashcards

1
Q

Quel cadre conceptuel est important dans l’intervention à tous les niveaux ?

A

L’intersectionnalité

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2
Q

Qu’est-ce qu’un privilège ?

A

Une position de pouvoir et/ou l’absence d’un obstacle

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3
Q

Qu’est-ce que des oppressions ?

A

Marginalités, discrimination et/ou présence d’un obstacle

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4
Q

Quelle est la définition de l’intersectionnalité ?

A

Cumul de différentes formes de dominations ou de discriminations fondées notamment sur son race/ âge / sexe / religion / orientation sexuelle / sa classe sociale / ou ses capacités physiques.
Existe à la fois sur le plan individuel, social, et systémique.

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5
Q

Nommez et expliquez 4 des 6 facteurs sociodémographiques qui influencent la connaissance de soi et de notre fonction sexuelle, et donc, de la présence ou pas de dysfonctions sexuelles

A
  1. ÂGE (connaissance, expérience, affirmation, vieillissement) :
    - vagin = jeune adulte, post-partum et ménopause
    - pénis = après 40 ans
  2. GÉNÉRATION (ouverture, connaissance, +/- de trans/homo/biphobie, sexualité prémaritale) : génération récente = + ouverture
  3. ÉDUCATION (niveau faible d’éducation moins d’ouverture et de connaissances)
  4. STATUT SOCIOÉCONOMIQUE (prédicteur d’une moins bonne santé mentale et physique, accessibilité limitée, instabilité / stress quant aux besoins de base)
  5. STATUT RELATIONNEL (Célibataires > Couples quant à la prévalence des dysfonctions sexuelles)
    - niveau de confiance, d’intimité, d’engagement ; ingrédients favorables à se laisser aller et à diminuer la place de la performance
  6. CONTEXTES DÉVELOPPEMENTAUX PERTINENTS (Culture et religion : p. ex., liens avec parents, messages (in)directs quant à la sexualité, aux genres, aux orientations sexuelles, au mariage et divorce)
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6
Q

Pourquoi il est important d’utiliser le modèle biopsychosocial avec les personnes vieillissantes ?

A

Parce que leur difficultés sont multifactorielles

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7
Q

Nommez et expliquez 3 des 5 facteurs psychosociaux notables du modèle biopsychosocial utile pour comprendre les DS des personnes âgées

A
  1. TRANSITIONS DE VIE (p. ex., retraite, départ des enfants du foyer familial, veuvage, deuils)
  2. ÉDUCATION SEXUELLE → Connaissances / méconnaissances quant à la sexualité
  3. HABITUDES SEXUELLES → possible deuil de leur pratiques sexuelles passées, encourager à développer de nouvelles pratiques
  4. SANTÉ MENTALE → bcq de symptômes de dépression chez les personnes âgées que l’on a tendance à diminuer
  5. LE MILIEU dans lequel les personnes âgées se trouvent impacte grandement leur sexualité, ex : CHSLDUC
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8
Q

Nommez et expliquez 2 des 4 facteurs biologiques notables du modèle biopsychosocial utile pour comprendre les DS des personnes âgées

A
  1. MÉDICAMENTS (effets secondaires)
  2. ÉTAT COGNITIF (consentement et dangerosité) → ex : avoir de la démence ne permet pas forcément de consentir adéquatement / respecter adéquatement le consentement des autres
  3. MALADIE (p. ex., diabète, problème cardiaque, cancer)
  4. Effet de l’ÂGE sur la fonction sexuelle
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9
Q

Nommez et expliquez 2 des 4 influences socioculturelles quant aux dysfonctions sexuelles

A
  1. Importance et place accordée au travail
    - Épuisement, stress, performance
    - Rythme de vie (réveil, métro, travail, métro, dodo… peu de place à autres choses)
  2. Prévalence de difficultés au niveau du désir sexuel plus importante chez les personnes s’identifiant comme femmes
    - Possiblement lié à la charge mentale, double standard quant à la sexualité
    - Valeurs et croyances (p. ex., vision négative de la sexualité → inconfort / mal être par rapport au fait d’être sexuel‧le)
  3. Théorie des scripts sexuels
    - Normes sociales → scripts sexuels à répéter
    - Dynamique de pouvoir
  4. Moulent notre conception et vision de la sexualité
    - p. ex identité de genre, expression de genre, performance sexuelle, éducation sexuelle reçue, messages négatifs ou haineux intériorisés
    - Représentativité dans son entourage et médias usuels (validation, identification + tôt, - mettre des mots, compréhension)
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10
Q

Qu’est-il important de faire en intervention quant aux influences socioculturelles ?

A

Faire le tri de ce qui leur appartient et ce qu’iels ont intégré (amoindrir le conflit interne et nos propres réactions)

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11
Q

Qu’est-ce que le modèle Queer :
- sépare (1)
- déconstruit (2)
- reconnait (4)

A

Sépare le sexe du genre et
+ reconnaît leur caractère socialement construit

Reconnaît la diversité sexuelle et de genre
Reconnaît la fluidité sexuelle et de genre
Reconnaît différentes configurations relationnelles (p. ex., polyamour)

Déconstruit la structure : sexe- genre-désir
Déconstruit la binarité traditionnelle des genres et des sexualités

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12
Q

Qu’est-ce qu’il est important à retenir quant au modèle queer en intervention ?

A

Ne pas assumer l’identité de genre ou l’orientation sexuelle des personnes
Ne pas chercher non plus à obtenir une réponse claire et précise
Ces concepts sont complexes et il est important de laisser les personnes se définir comme elles le souhaitent, en temps et lieu.

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13
Q

À quoi est-ce que cette définition fait référence :
Présence, absence ou continuum d’une attirance sexuelle et/ou affective envers des
personnes du même sexe/genre ou de sexe/genre différent

A

Orientation sexuelle

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14
Q

À quoi est-ce que cette définition fait référence :
Désir de former une relation romantique, d’être en couple avec une personne d’un
ou plusieurs genres

A

ORIENTATION ROMANTIQUE

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15
Q

À quoi est-ce que cette définition fait référence :
l’expérience intérieure et personnelle que chaque personne a de son genre. Il s’agit du sentiment d’être une femme, un homme, les deux, ni l’un ni l’autre, ou d’être à un autre point dans le continuum des genres.

A

IDENTITÉ DE GENRE

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16
Q

Quelle approche a été créée en réaction au modèle pathologisant et médical des diversités de genre et/ou sexualités

A

APPROCHE AFFIRMATIVE

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17
Q

En quoi est-ce que l’approche affirmative touche le confort et le langage ?

A

Confort
- Montrer à la personne qu’on est confortable d’aborder le sujet pour renforcer sa propre aisance à le faire

Langage
- Adopter un langage inclusif et compréhensif, vérifier auprès de la personne
- Connaissances
- Être autonome dans l’acquisition de connaissances, éviter que le poids retombe sur les épaules de la personne

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18
Q

Quelles sont les 2 objectifs des interventions conçues selon l’approche affirmative ?

A
  1. réduire les facteurs de stress minoritaire de manière environnementale, interpersonnelle et individuelle;
  2. renforcer les ressources et les stratégies d’adaptation et de résilience de manière individuelle et interpersonnelle
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19
Q

Expliquez 4 des 6 principes de l’approche affirmative

A
  1. Mettre en évidence comment les symptômes de dépression et d’anxiété peuvent être des réponses normales au stress minoritaire;
  2. Reconnaître comment les expériences en lien avec le stress minoritaire peuvent enseigner aux personnes appartenant à une minorité sexuelle des leçons négatives sur elleux-mêmes
  3. Permettre aux personnes appartenant à une minorité sexuelle de faire face efficacement à l’injustice et les répercussions du stress minoritaire;
  4. Aider les personnes appartenant à une minorité sexuelle à construire des relations solidaires et authentiques
  5. Promouvoir les forces uniques chez les personnes appartenant à une minorité sexuelle;
  6. Comprendre les identités croisées (intersectionnalité) comme des possibles sources de stress et de résilience .
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20
Q

Pourquoi est-ce que l’on dit que l’expérience des DS et de leurs traitements va être vécu de manière subjective chez les patient‧e‧s de la diversité de genre/sexuelle ?

A

Expérience subjective en raison de plusieurs facteurs
Si chirurgie affirmative → types de chirurgie et rétablissement
Dysphorie absente/présente
Facteurs psychologiques (p. ex., trauma)

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21
Q

Quelle est la dualité pouvant être ressentie chez les patient‧e‧s de la diversité de genre/sexuelle quant à la dysphorie de genre et les dysfonctions sexuelles ?

A

Diminution de la dysphorie de genre vs. Augmentation des dysfonctions

Augmentation de la dysphorie de genre vs. Absence de dysfonction

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22
Q

VRAI OU FAUX

La dysphorie de genre est présente chez toute les personne trans ayant une dysfonction sexuelle

A

FAUX : L’un peut venir avec ou sans l’autre, ils sont dissociables ; la dysphorie de genre n’est pas systématiquement présentes chez les personnes trans

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23
Q

À quoi est-ce que cette définition fait référence : souffrance significative exprimée chez un sujet vis à vis de l’écart ressenti entre son identité de genre et son sexe assigné à la naissance

A

Dysphorie de genre

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24
Q

À quoi est-ce que cette définition fait référence : souffrance significative exprimée chez un sujet vis à vis ses organes génitaux

A

Dysphorie quant aux organes génitaux

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25
Q

Quelle est l’impact de la dysphorie corporelle sur la sexualité de certaines personnes trans ?

A

Certaines personnes trans ont rapporté qu’iels ne pouvaient pas apprécier leur sexualité à cause de leur dysphorie corporelle.

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26
Q

Qu’est-ce que rapportent les personnes trans qui vivent de la dysphorie de genre chronique quant à leur sexualité (2) ?

A

rapportent plus d’ inactivité sexuelle et des difficultés orgasmiques.

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27
Q

Complétez :

Les femmes trans qui vivent davantage de dysphorie de genre rapportent moins de _____ ______ que les femmes trans avec pas ou peu de dysphorie de genre

A

Les femmes trans qui vivent davantage de dysphorie de genre rapportent moins de DÉSIR SEXUEL que les femmes trans avec pas ou peu de dysphorie de genre

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28
Q

Expliquer le lien entre “traitements affirmatifs du genre”, “dysphorie de genre” et “satisfaction sexuelle”

A

Traitements affirmatifs du genre → DIMINUTION de la dysphorie de genre → PLUS de satisfaction sexuelle, MÊME si certaines dysfonctions sexuelle peuvent apparaître ou se maintenir

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29
Q

Qu’elle est l’impact de l’hormonothérapie sur l’intérêt/excitation sexuelle chez les hommes trans / trans masc

A

L’hormonothérapie augmente le désir sexuel, l’excitation sexuelle et la fréquence d’activités sexuelles chez les hommes trans.

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30
Q

Qu’elle est l’impact de l’hormonothérapie sur l’intérêt/excitation sexuelle chez les femmes trans / trans fem

A

L’hormonothérapie diminue le désir sexuel et la fréquence d’activités sexuelles chez les femmes trans

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31
Q

Qu’elle est l’impact de la chirurgie affirmative du genre sur l’intérêt/excitation sexuelle chez les femmes trans / trans fem

A

Certaines rapportent un nombre plus élevé de rapports sexuels, plus de désir sexuel et plus d’excitation sexuelle après une chirurgie affirmative du genre

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32
Q

Quelle est la conséquence de la vaginoplastie chez les femmes trans / trans fem - sur leur fonction sexuelle

A

Des difficultés de lubrification vaginale sont possibles post vaginoplastie et sont associées à plus de détresse.

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33
Q

VRAI OU FAUX

Une étude montre toutefois que la diminution du désir sexuel (par l’hormonothérapie) ne cause pas de détresse pour la majorité des femmes trans au sein de l’échantillon.

A

VRAI !!

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34
Q

VRAI OU FAUX

Une étude montre toutefois que l’augmentation du désir sexuel (par l’hormonothérapie) ne cause pas de détresse pour les hommes trans

A

FAUX : Une étude montre toutefois que certains hommes trans éprouvent de la détresse quant à leur désir sexuel élevé.

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35
Q

Qu’elle est une des problématiques sexuelles les plus rapportées chez les hommes et les femmes trans ?

A

La difficulté à atteindre l’orgasme

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36
Q

Quelle est la prévalence d’hommes trans rapportant des difficultés orgasmiques

A

Près de 43% des hommes trans rapportent des difficultés orgasmiques (hommes n’ayant pas eu de chirurgie affirmative)

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37
Q

VRAI OU FAUX

Les orgasmes des hommes trans sont plus longs à atteindre, mais durent plus longtemps

A

FAUX :

Les orgasmes des hommes trans sont plus courts, mais plus intenses !
Ce sont les orgasmes des femmes trans qui sont longs à atteindre, mais qui durent plus longtemps

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38
Q

VRAI OU FAUX :

25-79% des femmes trans décrivent une diminution de l’intensité et de la durée des orgasmes après la vaginoplastie par rapport à leur expérience pré vaginoplastie

A

FAUX :
25-79% des femmes trans décrivent une AUGMENTATION de l’intensité et de la durée des orgasmes après la vaginoplastie par rapport à leur expérience pré vaginoplastie

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39
Q

VRAI OU FAUX

La prévalence du trouble de l’orgasme est moins élevé chez les hommes trans ayant subi une chirurgie affirmative du genre que chez ceux sous hormonothérapie uniquement

A

VRAI

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40
Q

Quelle serait la prévalence des hommes trans /transmasc rapportant des douleurs vulvaires ?

A

environ 10%

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41
Q

Qu’est-ce qui pourrait expliquer le fait que, des 10% des hommes trans rapportant des douleurs vulvaires, 62% d’entre eux sont en traitement d’hormonothérapie ?

A

Changements génitaux connus associés à la prise de testostérone :
- hypertrophie clitoridienne
- l’atrophie vaginale
- diminution de l’épaisseur de l’épithélium vaginal

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42
Q

Quel est l’impact de la douleur vulvaire sur la dysphorie de genre ?

A

La douleur vulvaire peut provoquer ou maintenir une dysphorie importante chez les personnes trans

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43
Q

VRAI OU FAUX

Les Sx de douleurs vulvaires chez les hommes trans sont similaires que ceux des femmes cis

A

VRAI

44
Q

VRAI OU FAUX

Les femmes trans ayant reçu une chirurgie (vaginoplastie) ressentent beaucoup moins de douleurs pendant les rapports sexuels par rapport aux femmes trans sous hormonothérapie sans chirurgie.

A

FAUX : Les femmes trans AYANT REÇU une chirurgie (vaginoplastie) ressentent beaucoup PLUS de douleurs pendant les rapports sexuels par rapport aux femmes trans sous hormonothérapie SANS chirurgie.

45
Q

Quelles sont les prévalences des femmes trans ressentant des douleurs pendant les relations sexuelles et celle des femmes trans ressentant des douleurs après les relations sexuelles

A

PENDANT = 27%
APRÈS = 17%

46
Q

Qu’est-ce qui pourrait expliquer les douleurs GÉNITO-PELVIENNE OU À LA PÉNÉTRATION chez les femmes trans ayant une vaginoplastie ?

A
  1. cicatrices intravaginales
  2. manque de dilatation vaginale au cours de la première année postopératoire
47
Q

Nommez 4 informations importantes à retenir sur la réalité des personnes intersexes quant à l’intervention sexologique ?

A
  1. Les personnes intersexes sont extrêmement différentes entres elles (donc difficile de faire de généralités)
  2. Difficultés dépendent selon les chirurgies / mutilations génitales subies
  3. Plusieurs ne savent pas qu’iels sont intersexes avant d’essayer d’avoir des enfants
  4. Plusieurs ne savent pas avoir subi des chirurgies / mutilations d’assignation de sexe en enfance
48
Q

Complétez :
Une étude réalisée auprès de 39 individus intersexes, dont 28 sexuellement actif‧ve‧s
- ___% des personnes actives sexuellement présentaient des difficultés sexuelles
- Surtout chez les celles ayant subies une _______ _______ en enfance → anorgasmie

A

Une étude réalisée auprès de 39 individus intersexes, dont 28 sexuellement actif‧ve‧s
- 100% des personnes actives sexuellement présentaient des difficultés sexuelles
- Surtout chez les celles ayant subies une CHIRURGIE CLITORIDIENNE en enfance → anorgasmie

49
Q

VRAI OU FAUX
Le trouble de l’intérêt ou de l’excitation sexuelle et trouble de l’orgasme est moins prévalent chez les femmes hétérosexuelles cis que chez les femmes lesbiennes cis

A

FAUX : Moins prévalent chez femmes lesbiennes cis que chez femmes hétérosexuelles cis
ET Détresse significative moins élevée

50
Q

Complétez : les activités sexuelles des femmes lesbiennes cis seraient plus ____, plus _____ et plus _____

A

Activité sexuelle plus ÉLEVÉE, plus LONGUE et plus VARIÉE (baisers, fantasmes, masturbation, sexe oral, sexe vaginal, sexe anal etc.)

51
Q

Lesbian bed death : mythe ou réalité?

A

SEMI :
- Diminution + accrue de l’activité sexuelle que les couples hétéros
- Toutefois, niveau de satisfaction stable.

52
Q

Pourquoi est-ce que la satisfaction relationnelle/sexuelle est stable même s’il y a une diminution de l’activité sexuelle en vieillissant chez les couples lesbiens ?

A

Maintien et augmentation d’actes sexuels/affectifs qui contribuent à la connexion émotionnelle et moins reconnus par la littérature

53
Q

VRAI OU FAUX :

Diminution du désir sexuel post-ménopause similaire, MAIS niveau satisfaction sexuelle serait + maintenu chez les femmes lesbiennes cis que les femmes hétéro cis

A

VRAI

54
Q

VRAI OU FAUX

La douleur liées à la pénétration peut être écartée chez les femmes lesbiennes cis lors de l’évaluation

A

FAUX : Environ 70% des femmes lesbiennes cis rapportent pratiquer entre elles la pénétration vaginale et 20% rapportent pratiquer la pénétration anale - donc possibilité d’avoir des douleurs lors de la pénétration

55
Q

VRAI OU FAUX

Les zones douloureuses quant au trouble lié à la douleur génito pelvienne ou à la pénétration diffèrent entre les femmes hétérosexuelles et celles lesbiennes (cis)

A

FAUX : Zones douloureuses ne diffèrent pas entre femmes lesbiennes et hétéros

56
Q

VRAI OU FAUX

Le niveau de douleur quant au trouble lié à la douleur génito pelvienne ou à la pénétration diffèrent entre les femmes hétérosexuelles et celles lesbiennes (cis)

A

VRAIishhhh : comparable ou plus faible chez lesbiennes cis versus hétéros cis

57
Q

Qu’est-ce qui expliquerait que malgré que les Sx du trouble lié à la douleur génito pelvienne ou à la pénétration, les lesbiennes cis aurait une satisfaction relationnelle et sexuelle plus élevée que les hétéros cis ?

A

Rôle de la COMMUNICATION
Chez les couples de femmes lesbiennes cis, la communication (qualité, et non la qté) serait associée la perception que la douleur a moins d’effet sur la relation et la sexualité

58
Q

VRAI OU FAUX

Il y a une grande différence quant à la diminution du désir sexuel entre les HARSAH et hommes hétéros cis

A

FAUX : Peu ou pas de différence significative entre hommes cis hétéros et HARSAH

59
Q

Nommez 3 caractéristiques différentes à considérer quant à la diminution du désir sexuel chez les HARSAH ?

A
  1. Activité sexuelle + fréquente et avec plus de partenaires différents
    → quelle est la perception subjective du client‧e du nb de partenaire par semaine/mois “normal” selon elleux ?
  2. Plus de couples non monogames
  3. Déclin moins important de la sexualité avec le temps
60
Q

VRAI OU FAUX :
Quant au trouble érectile, il n’y a peu ou pas de différence significative entre hommes cis hétéros et HARSAH
+ expliquer pk

A

FAUX : Prévalence plus élevée chez les HARSAH (jusqu’à 2X que les personnes cis-hétéro)

Pourquoi : Anxiété de performance
- Comparaison entre partenaires
- Rigidité pénienne nécessaire aux rapports anaux
- Variabilité dans les relations intimes: l’anxiété du départ n’aurait pas le temps de disparaître graduellement

61
Q

VRAI OU FAUX :
Quant à l’éjaculation précoce ou retardée, il n’y a peu ou pas de différence significative entre hommes cis hétéros et HARSAH

A

Prévalence moins élevée chez les HARSAH

*un peu contradictoire au niveau de l’éjac retardée selon la lecture non ?

62
Q

Quel serait un atout des HARSAH quant à l’éjaculation retardée ?

A

stimulation plus fréquente de la prostate

63
Q

Qu’est-ce que l’anodyspareunie ?

A

douleur environ 75% du temps et anticipation de la douleur quant à la pénétration anale
*Attention à ne pas banaliser la douleur liée à la pénétration anale

64
Q

VRAI OU FAUX :

L’anodyspareunie est un trouble sexuel peu fréquente dans la communauté HARSAH

A

VRAI : Prévalence à vie d’environ de l’ANODYSPAREUNIE = 14% chez les HARSAH

65
Q

Nommez 2 raisons qui pourraient expliquer l’anodyspareunie

A
  1. Étroitesse du sphincter anal
  2. Absence de lubrification naturelle
66
Q

Nommez 2 manières de diminuer les risques de ressentir des douleurs lors de la pénétration anale (atout chez les HARSAH)

A
  1. préparation graduelle de l’anus (stimulation orale / digitale, massage anal, entrée progressive du pénis)
  2. usage de dilatateurs anaux et lubrifiants
67
Q

Nommez au moins 2 facteurs de risques additionnels pour les HARSAH quant aux dysfonctions sexuels ?

A
  1. Âge moins élevé,
  2. Nb de partenaires moins élevé, (c’est tellement contradictoire ???)
  3. Célibat,
  4. Santé physique moins élevée (surtout si ITSS)
68
Q

Comment est-ce que les personnes ACES se différencient des personnes ayant un trouble du désir ?

A

En comparaison aux personnes avec un dx trouble du désir, les personnes qui cotent à une échelle d’asexualité diffèrent sur PLUSIEURS plans :
- célibat
- relation romantique sans sexualité
- niveau de désir et de fantasme à vie
- faible détresse
- source de détresse
- pas d’intérêt pour une intervention
- ne pas vouloir une intimité physique de tout type
- sx dépressifs plus bas

  • Différences qui tiennent en comparant avec personnes ayant un dx « de tout temps »
69
Q

VRAI OU FAUX + expliquez

Il est possible d’être asexuel‧le, mais d’avoir une relation romantique (donc ne ne pas être aromantique)

A

VRAI : Orientation sexuelle sur un continuum varié et hétérogène =
- Orientation romantique, statut relationnel, présence et contenu des fantasmes, masturbation, etc.

70
Q

Pourquoi est-ce que l’on dit que les personnes ACES ont un statut de double minorité et quelle en est la conséquence ?

A

double minorité = Ne pas appartenir à la culture hétérosexuelle prédominante NI à la culture sexuelle prédominante au sein de la communauté LGBTQ

Conséquence = +++ détresse
- Isolement et sentiment de devoir s’effacer
- Historique de coercition sexuelle et relations non consentantes à considérer

71
Q

Quelle est le modèle de Meyer concernant le stress ?

A

stress minoritaire

72
Q

Quels sont les 3 processus de la conceptualité du modèle de stress des minorités de Meyer ?

A
  1. Externe → Événements stressants comme les expériences de victimisation ou de discrimination liées à l’orientation sexuelle)
  2. Trans/Homophobie intériorisée → Homophobie tournée contre soi même / honte profonde de son orientation sexuelle
  3. Attentes internes de victimisation/discrimination → Croyance que l’environnement aura systématiquement des comportements stigmatisants
73
Q

Quelle mécanisme est le plus utilisé quand on cherche à expliquer les difficultés sexuelles chez les personnes LGBTQ+ et pourquoi ?

A

Le stress minoritaire
EX :
victimisation = hypervigilance
ne pas être out par peur de discrimination = ne pas avoir une sexualité satisfaisante.

74
Q

Nommez 2 exemples de comment peut être vécu le stress minoritaire en lien avec l’HÉTÉROSEXISME ET le CISSEXISME ?

A
  • Affirmation de l’hétérosexualité/cissexualité comme norme sociale ou comme étant supérieure aux autres identités de genre/orientations sexuelles
  • Pratiques sociales qui occultent la diversité des orientations et des identités sexuelles dans les représentations courantes, dans les relations et les institutions sociales, entre autres en tenant pour acquis que tout le monde est hétérosexuel ou cisgenre
75
Q

De quelle manière est-ce que l’on peut facilement rendre nos questions moins hétérosexistes et ciseexistes en clinique ?

A

Utilisé un langage inclusif et posée des questions ouvertes au lieu de choix de réponses. EX :

Êtes-vous en relation intime avec une ou des personnes ? au lieu de Avez-vous une femme? Avez vous un mari?

Comment définiriez-vous votre orientation sexuelle ? au lieu de Êtes-vous hétérosexuel ou homosexuel ?

76
Q

Qu’est-ce que l’homophobie intériorisée ?

A

Homophobie tournée contre soi même (sentiments de honte, peut inclure de la discrimination envers les personnes plus affichées)

77
Q

Comment se traduit la féminophobie chez les FARSAF ?

A

peur de paraitre « trop » féminine et d’être considérée comme une lesbienne non légitime, remise en question par autrui

78
Q

À quoi est-ce que le terme NO FEM fait référence sur des plateformes de rencontre comme GrindR ?

A

« pas d’hommes efféminés »

79
Q

Nommez 2 exemple d’agression psychologique spécifique à la communauté LGBTQ+

A

Menace de dévoiler l’orientation
Intimidation et exclusion sociale accrue en milieu scolaire

80
Q

VRAI OU FAUX

plus de la moitié des individus issus des minorités sexuelles rapportent avoir vécu une agression sexuelle au cours de leur vie

A

VRAI : 63% des individus issus des minorités sexuelles rapportent avoir vécu une agression sexuelle au cours de leur vie

81
Q

VRAI OU FAUX

Les taux d’agressions sexuelles sont moins élevés chez les femmes bisexuelles et lesbiennes que chez les femmes hétérosexuelles

A

FAUX : Les taux sont plus élevés chez les femmes bisexuelles et lesbiennes

82
Q

Quelle facteur augmente le risque d’être victime d’agression sexuelles chez les individus issus de la diversité sexuelle ?

A

Le fait d’être issus des minorités raciales

83
Q

VRAI OU FAUX :

12 % des étudiants LGBTQ ont rapporté de la violence dans leurs fréquentations au cours des 12 derniers mois

A

FAUX : 43,5 % des étudiants LGBTQ ont rapporté de la violence dans leurs fréquentations au cours des 12 derniers mois

84
Q

Même si les prévalences de violence dans les relations intimes sont similaires entre les personnes LGBT+ et les hétérosexuelles, comment est-ce que cela se différencie ?

A

+ de répercussions négatives chez les individus LGBTQ+
* Rôle de l’isolement et l’homophobie internalisée

85
Q

Nommez au moins 4 répercussions psychologiques (négatives) d’être LGBTQ+ que l’on peut voir en clinique

A
  • Sentiment de honte qui freine l’envie d’affirmation
  • Difficultés identitaires (peur d’explorer ce que l’on aime)
  • Peur d’être perçu e comme étant gai (ou pas assez pour l’exprimer)
  • Difficultés à assumer ses relations intimes et amoureuses → pour nous, et notre entourage
  • Dysfonctions sexuelles
  • Aversion sexuelle
86
Q

VRAI OU FAUX

Il y aurait une plus grande prise de risques sexuels chez les jeunes hétéros que LGBTQ+

A

FAUX : Plus grande prise de risques comparativement aux jeunes hétérosexuel-le-s, les jeunes LGBTQ+ ou en questionnement indiquent des niveaux plus élevés de :
- comportements sexuels à risque (p ex partenaire inconnu, absence de protection)
- consommation de drogue et d’alcool (atténuer sentiment de honte)
- d’absentéisme scolaire (désir de se retirer par victimisation ou sentiment de rejet)

87
Q

Nommez 3 des 4 facteurs environnementaux (de protection) qui favoriserait la résilience chez les personnes LGBTQ

A
  1. Visibilité de la diversité sexuelle dans le milieu scolaire :
  2. Aborder en classe
  3. Intégration des individus s’identifiant comme LGBTQ+
  4. Soutien :
    a. Intervenant‧e agissant contre la LGBTQ+phobie
    b. Réactions positives au coming out
    c. Présence d’un groupe/d’une
88
Q

Nommez 1 des 3 facteurs de mobilisation (de protection) qui favoriserait la résilience chez les personnes LGBTQ

A
  1. Capacité d’autodéfense
  2. Implication sociale en lien avec la lutte à la LGBTQ+phobie
  3. Visibilité parmi le groupe/ la communauté LGBTQ+
89
Q

Nommez 2 des 4 facteurs personnels (de protection) qui favoriserait la résilience chez les personnes LGBTQ

A
  1. Acceptation de l’orientation sexuelle
  2. Estime de soi
  3. Capacité d’ajustement psychologique
  4. Attachement sécurisant
90
Q

Dans quelle communauté spécifique est-ce qu’il y aurait une plus grande prévalence de dysfonctions sexuelles en lien avec la prise d’anabolisants + expliquez

A

Le phénomène serait + présent dans la communauté gaie, où la représentation du corps de l’homme tend à être uniforme et mésomorphe

*les hommes gais et bisexuels seraient généralement moins satisfaits de leur masse musculaire, désireraient être plus musclés
*L’insatisfaction corporelle accrue serait associée à une plus grande prise d’anabolisants qui nuisent à la fonction érectile

91
Q

Mise à part la prise d’anabolisant, quelle type de pratique sexuelle liée à l’usage de substance peut être un facteur de risque quant au fait d’avoir des DS ?

A

Le Chemsex

92
Q

Qu’est-ce que le Chemsex ?

A

Participation à des activités sexuelles sous l’influence de substances

93
Q

Quels sont les principales drogues associés au Chemsex ?

A

Crystal Meth (Tina) , Cocaïne, GHB, MDMA

94
Q

Mise à part le Crystal Meth (Tina) , Cocaïne, GHB, MDMA, quelle autre type de drogue peut être associé au Chemsex ?

A

Poppers : nitrites d’alkyle

95
Q

Quels sont les effets recherchés par l’usage de Poppers (nitrites d’alkyle) dans le Chemsex ?

A

relaxant, euphorisant, propriété vasodilatatrice, désinhibition

96
Q

Quels sont les avantages de l’usage de Poppers (nitrites d’alkyle) quant a la sexualité (Chemsex) ?

A

facilite la pénétration anale réceptive et atténue la douleur

97
Q

Quels sont les risques de l’usage de drogue quant a la sexualité (Chemsex) ?

A
    • Activités sexuelles non protégées
  1. Danger de dépasser la limite de son confort physique et douleur non désirée (p‧ex., douleur rectale, abrasions au pénis)
  2. Peut servir de panacée pour un trouble du désir, sans toutefois régler le problème
98
Q

Quel type d’approche est-ce que l’on devrait prioriser lorsque l’on traite quelqu’un qui consomme ?

A

Approche de réduction des méfaits

99
Q

Quels seraient les 2 sujets que l’on devrait questionner lors du traitement d’une personne qui consomme ?

A
  1. Pourquoi la personne consomme-t-elle en contexte de sexualité?
  2. Avantages/coûts pour elle à le faire : amener la personne a réaliser l’impact par elle-même et respecter sa décision (que ce soit d’arrêter ou non) !
100
Q

Pourquoi on priorise le fait d’amener la personne a décider elle-même si iel veut poursuivre la consommation de drogue malgré les difficultés potentielles que cela peut amener (selon l’approche de réduction des méfaits) ?

A

Si la personne sent que c’est son choix, moins d’impuissance /frustration

101
Q

Qu’est-ce qu’il est important de ne pas sous-estimer quant au traitement d’une personne qui consomme ?

A

Ne pas sous estimer la centralité du plaisir pour certain‧e‧s
p. ex. : plus d’énergie, plus facile de connecter avec autrui, plus facile de s’accepter en tant que personne, pousser ses limites, vivre de nouvelles expériences et sensations

102
Q

Expliquer le processus entre la consommation de drogue et l’impuissance ? (pas nécessaire d’être précis‧e)

A
  1. Consommation de drogues
  2. Changement dans la pression artérielle + 3. Muqueuses plus sèches qui peuvent causer de la douleur
  3. Difficultés érectiles
  4. Difficulté à mettre un condom
  5. Relations sexuelles non protégées ou plus “bottom”, ou évitement
103
Q

Expliquer le processus entre la consommation de drogue et du trouble du désir ? (pas nécessaire d’être précis‧e)

A
  1. Consommation de drogues
  2. Changement des neurotransmetteurs : Sérotonine / Dopamine
  3. Changement de l’humeur les jours suivant la consommation : Irritabilité / Dépression
  4. Trouble du désir suivant les changements neurochimiques
104
Q

Expliquer le processus entre le fait d’avoir le VIH et du trouble du désir ? (pas nécessaire d’être précis‧e)

A
  1. Infection au VIH
  2. Traitement antirétroviraux (Pendants plusieurs années)
  3. Hyoigonadisme chez certains individus
  4. Déficit en testostérone
  5. Trouble du désir
105
Q

Nommez 2 des 4 pistes d’interventions sexologiques avec des personnes issus de la diversité de genre et/ou sexuelle + expliquez

A
  1. Laisser l’espace à la personne pour se déployer (dans tous ses questionnements!)
    - Respecter le besoin de s’émanciper d’une case et d’avoir une complexité qui nous est propre
  2. Créer un lien de confiance et un filet de sécurité
    - Safe space authentique
    - Attention à la re traumatisation
    - Réseau parfois restreint
  3. Favoriser l’empowerment
    - Souligner les forces personnelles
    - Identifier les services offerts
    - Briser l’isolement
    - Client‧e = expert‧e de sa réalité
  4. Faire usage de discrétion et de jugement clinique
    - Ce n’est pas parce que l’on comprend/identifie quelque chose chez lea client‧e que ce sera thérapeutique de lui communiquer!
    - Garder en tête la FONCTION de notre intervention
    - Respecter le rythme et l’agentivité de la personne