cours 10 Flashcards

1
Q

La douleur est:

A
  • Universelle (ou presque, syndrome particulier de gens qui ne la ressentent pas)
  • Complexe
  • Invisible (on ne peut pas la voir, mesurer)
  • Source de détresse
  • Adaptative
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2
Q

La douleur chronique affecte près de ____________de la population adulte au Canada

A

20%

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3
Q

La douleur chronique est non soulagée dans plus de ____________ des cas de la population.

A

55%

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4
Q

Quelles sont les deux fonctions de la douleur? Donnez une description pour chaque.

Ces deux fonctions font en sorte que la douleur est ___________________.

A

Fonction d’alarme: permet de signaler un problème avec un organe interne

Fonction protectrice: permet d’éviter des stimuli ou des actions qui causeraient des lésions/être dangereux
Ex: le feu brûle, on enlève notre main

Adaptative

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5
Q

Donnez la définition de la douleur selon IASP (2020).

A

La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à une lésion tissulaire ou potentielle, ou à ce qui ressemble à une telle lésion.

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6
Q

Dans la définition de la douleur de IASP (2020), que veut dire “potentielle”?

A

Cela veut dire que la blessure peut ne pas être présente actuellement pour savoir qu’il y a de la douleur.

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7
Q

Quel est le débat concernant la provenance de la douleur?

A

La douleur doit toujours provenir du corps/influx vs elle est créée par l’esprit/cerveau.

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8
Q

Donnez 6 précisions à la définition de la douleur.

A
  1. La douleur est toujours une expérience personnelle, influencée par des facteurs biologiques, psychologiques et sociaux.
    Exemple: sexe (perception de la douleur différente), anxiété (jour bcp sur la perception de la douleur), SSE.
  2. La douleur ne peut pas être inférée à partir de l’activité de neurones sensoriels, c-a-d que la douleur ne peut pas être mesurée directement.
  3. Le concept de la douleur est appris par l’expérience personnelle.
    Notre cerveau apprend à avoir mal, une fois appris, on a plus tendance à le revivre que s’il ne l’avait pas appris.
  4. L’expression d’une expression de douleur doit être respectés (nous devons la considérer)
  5. Malgré son rôle adaptatif, la douleur peut produire des effets indésirables sur la fonction et le bien-être psychologique et social (à long terme).
  6. L’expression verbale de la douleur est seulement une des façons d’exprimer la douleur.
    L’impossibilité d’exprimer la douleur n’empêche pas qu’une personne/animal puisse avoir de la douleur.
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9
Q

Quelles sont les deux composantes de la douleur?

A
  • Sensoridiscriminative
  • Motivoaffective
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10
Q

Décrivez la composante sensoridiscrîminative de la douleur.
Donnez des exemples.

A
  • Décrire/qualifier la douleur
  • Qualité (élance, pique, brûle), intensité (1-10) et caractéristiques spatio-temporelles (localisation et durée) de la douleur.
  • Combien est votre douleur de 1 à 10? Est-ce que vous ressentez une douleur constante ou des élancements?

Exemples:

  • « Après six mois, Catherine rapporte que la douleur est présente tous les jours et qu’elle est même plus intense qu’avant la chirurgie ».
  • Ex :J’ai vraiment mal sur le côté de mon pied.
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11
Q

Décrivez la composante motivoaffective de la douleur.
Donnez des exemples.

A
  • Émotions autour de la douleur
  • Désagrément associé à la perception d’une menace pour l’intégrité corporelle qui incite à réagir à la source de la douleur (jusqu’à quel point j’ai peur que quelque chose cloche).
  • Pensées, émotions et comportements
  • Retirer sa main exposée à la chaleur en ressentant la sensation désagréable de douleur.
  • Comportements adoptés par rapport à la compréhension de la douleur, comportement qui va découler de l’évaluation de la douleur.

Exemple:
- « Catherine se dit découragée et exprime qu’elle panique lorsqu’elle ressent de nouveau les sensations associées à sa douleur.»).

  • Ex : J’ai peur de ne pas être capable de travailler.
  • Ex : stress, car encore de la douleur pour un pied qui était cassé mais mtn guéri, mais après avoir consulté le médecin lui dit que c’est ok donc le désagrément diminue comparé à avant la consultation, car cette douleur est normale.
  • Ex : mon pied ne va jamais se rétablir si j’évite de marcher dessus
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12
Q

Que déclenche la stimulation douloureuse?

A

Elle déclenche l’activation l’activation des récepteurs somatosensoriels périphériques, les nocicepteurs, pour signaler le problème.

Cellules qui vont détecter la douleur à l’endroit où se trouve la blessure et envoie le signal au cerveau que quelque chose fait mal. Vraiment une blessure externe.
Décodage de l’influx nerveux par le système nerveux.
(Examen)

– Fibres A-delta (réaction rapide, aigue et localisée)
– Fibres C (réaction lente, diffuse et continue)

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13
Q

Quelles sont les deux types de fibres associées au décodage de la douleur?

A

– Fibres A-delta (réaction rapide, aigue et localisée)
– Fibres C (réaction lente, diffuse et continue)

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14
Q

Qu’est-ce que la nociception?

A

Activation des récepteurs périphériques par des stimuli dommageables pour les tissus, ou qui deviendraient dommageables s’ils perduraient dans le temps, et traitement de cette information par le système nerveux

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15
Q

Donnez un exemple de nociception sans douleur.

A

Le soldat blessé au champ de bataille : analgésie (soulagement de la douleur induite par le stress, le cerveau ne la ressent pas sur le coup)

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16
Q

Donnez un exemple de douleur sans nociception.

A

La douleur du membre fantôme : même plusieurs années après une amputation, certains patients rapportent de la douleur au niveau du membre amputé

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17
Q

Qu’est-ce que la douleur aiguë?

A
  • Douleur « ordinaire » ou « nociceptive »
  • Temporaire
  • Facilement traitée, relativement bien soulagée
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18
Q

Qu’est-ce que la douleur chronique?

A
  • Dure depuis au moins 3 mois ou au moins 3X en 3 mois
  • Réponse prolongée et anormale à la nociception
  • Difficilement traitée (traitement multidisciplinaire, psychologique, occupationnel, etc.)

Une des conditions qui nécessite le plus de prise en charge de plusieurs professionnels en même temps

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19
Q

Quels sont les deux types de douleur chronique?

A
  • Douleur chronique récurrente : reviens (ex : migraines)
  • Douleur chronique persistante : reste toujours là dans le temps
    Autre exemple : avoir mal lorsque debout mais pas quand assis.
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20
Q

Expliquez les premières théories de la douleur.

A
  • Au début, on la comprenait comme la nociception : Modèles simples de stimulus-réponse.
  • La douleur est une réponse automatique à un stimulus externe
  • Selon ce modèle : il existe une voie directe entre la source de la douleur et une aire cérébrale qui détecte cette sensation.
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21
Q

Quelles sont les limites des premières théories de la douleur?

A
  • Ne peuvent pas expliquer la variabilité interindividuelle dans l’expérience de la douleur

Expérience de Beecher (1956)
Ex : plusieurs avaient la même blessure/type, mais c’était au niveau de la douleur (ex : intensité) pas tout le monde l’expérimente de la même façon.

Ex : Comparer soldats avec civils : blessé à la guerre (héro/du positif rattaché à la blessure)/accident de voiture : les gens qui ont une signification positive à leur blessure rapportait moins de douleur pour une blessure similaire.

  • Les premiers modèles ne prend pas en compte les facteurs psychologiques dans l’expérience de la douleur (seulement composante sensoridiscriminative)
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22
Q

À qui devons-nous la théorie du portillon?

A

Ronald Melzack

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23
Q

Décrivez la théorie du portillon.

A

Il y a la nociception, mais plusieurs choses viennent influencer (augmenter/diminuer) l’expérience de la douleur
Le circuit neuronal de la douleur n’est pas un « one-way »

Un « portillon » situé dans la moelle épinière ouvert ou fermé à différents degrés module l’expérience de douleur détectée par le cerveau.

24
Q

Nommez trois sources d’informations concernant la théorie du portillon.

A
  1. L’activité des nocicepteurs tend à OUVRIR la porte
    Expérience de douleur augmentée
  2. L’activité des fibres périphériques tend à FERMER la porte.
    Expérience de douleur diminuée
    Ex : frotter sur la place où on a mal, stimuler les fibres autour diminue la douleur.
  3. Les influences centrales descendantes du cerveau (ex : pensées, perceptions) des circuits efférents peuvent OUVRIR ou FERMER la porte.
    Augmenter ou diminuer la perception de la douleur
25
Q

Concernant les influences descendantes du cerveau, celles qui OUVENT la porte proviennent du _________________ et __________________ l’expérience de la douleur et modulent la perception de la nociception.

Nommez ces influences.

Ces éléments sont tous des conséquences de quoi?

A

Cerveau
Augmentent

  • Anxiété, inquiétudes, tension
  • Dépression
  • Focus sur la douleur
  • Ennui, désœuvrement

Conséquences de la douleur chronique (expérience de la douleur réelle, mais augmentée par d’autres facteurs).

26
Q

Concernant les influences descendantes du cerveau, celles qui FERMENT la porte __________________ l’expérience de la douleur et modulent la ________________________________.

Nommez ces influences.

Elles sont utilisées pour quel type de douleur?

A

Diminuent
Perception de la nociception

  • Émotions positives
  • Relaxation
  • Repos
  • Concentration ou distraction
  • Engagement dans des activités significatives

Utilisé pour la douleur chronique, mais on l’utilise quand même à la douleur aiguë.

27
Q

Comment mesure-t-on la douleur avec l’expérience subjective?

A

La douleur ne se mesure pas!

28
Q

Comment mesurer la douleur selon l’expérience sensoridiscriminative?

A
  • Décrire la douleur (ex: mal à combien sur 10?)

MAIS, un 6/10 n’est pas la même chose pour tout le monde, mais on peut comparer une personne avec elle-même (ex: hier, j’avais mal à 6, adj à 3.)

29
Q

Comment mesurer la douleur selon l’expérience motivoaffective?

A

Déterminer à quel point al douleur est dérangeante
Ex: activités quotidiennes, s’empêcher de faire quelque chose.

30
Q

Nommez différentes stratégies pour mesurer la douleur.

A
  • Mesures auto-rapportées
  • Observations (ex: réflexes, comportements de se tenir le bras)
  • Mesures psychophysiologiques (rythme respiratoire, température de la peau, etc.)
  • Imagerie cérébrale pour mesurer la nociception.
31
Q

Quand on mesure la douleur, on mesure quoi?

A
  • Seuil de perception
  • Seuil de douleur
32
Q

Qu’est-ce que le seuil de perception?

A

La plus faible intensité perceptible, à quel moment je ressens une sensation (qui n’est pas nécessairement désagréable)

33
Q

Qu’est-ce que le seuil de douleur?

A

La plus faible expérience de douleur, à quel moment la nociception va devenir de la douleur pour la personne.

Très différent d’une personne à l’autre, ex: ethnie, sexe, etc.

34
Q

Nommez les méthodes d’évaluation auto-rapportées.

A
  • Échelles analogiques, numériques, catégorielles (sensoridiscriminative)
  • Journal de bord (motivoaffective)
  • Questionnaires
  • Melzack ou Mc Gill questionnaire: description verbale, intensité, patron douleur (sensoridiscriminative)
  • Aspects cognitifs (Pain beliefs and Perceptions Inventory): croyances associées
35
Q

Décrivez la méthode de l’échelle analogique et numérique.

A
  • La personne se positionne sur la barre (barre qui va de “pas de douleur” à “la pire douleur au monde”).
  • On peut comparer une personne à elle-même ou à un groupe
  • Encore là, la pire douleur possible peut ne pas être la même pour tous, dépend aussi de l’expérience de vie. C’est donc assez flou comme mesure.
36
Q

Décrivez la méthode du journal de bord.

A

Beaucoup utilisé dans l’évaluation, mais aussi dans le traitement, étudie la variation dans le temps de la douleur, et quand elle est +/= élevé, ce qui va aider.

Pour la composante motivoaffective.

37
Q

Décrivez la méthode de l’imagerie cérébrale.

A

Mesure la nociception (activité du système nerveux en lien avec la douleur, l’influx nerveux envoyé au cerveau)

38
Q

Nommez et décrivez les différents traitements de la douleur.

A
  • Anesthésie: abolition complète de la sensation (ex: chirurgie). N’a plus mal, mais n’a pas de sensations non plus.
  • Analgésie: réduction ou disparition de la douleur suite à une stimulation normalement douloureuse (ex: morphine, antidouleurs, etc.). Efficace avec la douleur aigue, mais pas avec la douleur chronique.
  • Pour la douleur chronique, il est recommandé un traitement multidisciplinaire.
    ex: Ergothérapeute, psychologie, kinésio, etc.
39
Q

Quel modèle est le mieux validé sur le plan scientifique (parmi les approches psychologiques) dans la prise en charge de la douleur?

Sur quels principes cette théorie est-celle fondée?

A

La thérapie cognitivo-comportementale.

Fondée sur les principes d’apprentissages.

40
Q

Quels sont les trois grands paradigmes de la TCC

A

1e, 2e et 3e vague.

41
Q

PREMIÈRE VAGUE.

Sur quoi est-celle axée?

En quoi constitue son traitement?

A

Axée sur les comportements associés à la douleur pour mieux la gérer.
Utilisaient le renforcement (mtn avec autre chose)

Traitement: considitonnement opérant.
* Diminution des comportements douloureux
Comports qui expriment la douleur, qui va faire émettre les comportements de soutien ou de prise en charge

  • Hausse des comportements reliés au mieux-être
42
Q

Dans la première vague de la TCC, décrivez:

  • Le renforcement positif
  • Le renforcement négatif
  • La punition positive
  • La punition négative
A

Renforcement positif :
« Certaines bonnes choses arrivent quand j’ai mal et n’arriveraient pas autrement »

  • Sollicitude et intérêt des proches
  • Prises en charges (matérielles, financières, émotionnelles, etc.)
  • Contacts avec le milieu médical
  • Construction d’une identité spéciales
  • Repos
  • Médication

Renforcement négatif :
« Quand j’ai mal, certaines mauvaises choses n’arrivent pas alors qu’elles arriveraient autrement »

  • Prise en charge par les proches d’activités désagréables (tâches ménagères, corvées administratives)
  • Dispense de certains tracas (files d’attentes, stationnement, stress lié au travail)
  • Attentes de productivité

Punition négative :
« Quand je n’ai pas mal, je perds des bonnes choses »

  • Reprise de activités quotidiennes
  • Perte du soutien des autres
  • Disparition des aides financières ou reprise du travail

Punition positive :
Quand je fais des activités, des mauvaises choses se produisent »

  • Si une activité ou un mouvement coïncide avec l’apparition de la douleur, cette activité va petit à petit être évitée pour enfin disparaître
  • Critiques de l’entourage suite aux améliorations (t’es capable…)
43
Q

Sur quoi est axée la 2e vague de la TCC?

A

Les pensées, la thérapie cognitive et comportementale.

44
Q

À qui devons nous le modèle du traitement de l’information (cognitif)?

A

Truck, Meichenbaum et Genest (1983)

45
Q

Expliquez la thérapie cognitive de Turk, Meichenbaum et Genest.

A

La personne vit des événements:
- Le monde
- Les autres
- Expériences personnelles
- Antécédants
- Avenir
- Moi

Elle va avoir des pensées:
- Attitudes
- Règles
- Exigences
- Croyances
- Image
- Significations

Ces pensées vont impacter ses émotions et comportements.

Émotions:
- Sentiments bénéfiques
- Sentiments nuisibles
- Sensations physiques (ex: tremblements, palpitations, vertiges, etc.)

Comportements:
- Action constructive
- Action contre-productive

Les comportements ont un effet sur l’univers personnel de la personne (événements).

46
Q

Comment est-ce que la dramatisation de la douleur se définit-elle?

A

Un état mental ou une perception amplifiée de ses symptômes douloureux.

47
Q

Quelles sont les émotions associées à la dramatisation de la douleur? Donnez des exemples.

A

Amplification, impuissance, rumination
- « C’est atroce: j’ai l’impression que je n’irai jamais mieux »
- « J’ai peur que la douleur s’intensifie
- « Je ne pense qu’à ça »

48
Q

À quoi la dramatisation de la douleur est-elle associée?

A
  • Un niveau plus élevé de douleur
  • Un haut niveau d’incapacité (s’empêcher de faire activités sociales, loisir, professionnel) et la qualité de vie est faible.
  • Un niveau élevé de comportements douloureux
  • L’utilisation des services de santé et de durée de l’hospitalisation
  • L’augmentation de la médication analgésique.
49
Q

Plus la personne a ____________ de la douleur, plus elle va la ressentir de _______________.

A

Peur
Façon importante

50
Q

Quelles sont les interventions cognitives de la 2e vague de la TCC?

A
  • La restructuration cognitive (comme la diffusion cognitive, défaire les généralisations, défaire les scénarios catastrophiques)
  • La distraction (car se focusser sur la douleur l’amplifie)
  • La résolution de problème (pas pour résoudre la douleur en tant que telle, mais le problème qu’apporte la douleur)
51
Q

Sur quoi est axée la troisième vague de la TCC?

A

Elle est axée sur les émotions

52
Q

En quoi constitue la thérapie ACT?

Nommez 3 auteurs qui y sont associés.

A

La thérapie d’acceptation et d’engagement (Acceptance and commitment therapy, ACT à prononcer comme « acte ») constitue certainement une approche prédominante dans les thérapies de troisième vague.

  • Steven Hayes, Ph.D.
  • Kirk Strosahl, Ph.D.
  • Kelly Wilson, Ph.D.
53
Q

Expliquez l’acceptation de la douleur.

A

Voir schéma,

L’acceptation de la douleur permet de poursuivre ses activités et diminuer les émotions positives et continuer l’engagement dans les activités

Tolérer la situation telle qu’elle est en ce moment, qu’elle fait partie de la vie pour l’instant avec son intensité

Douleur + lutte (évitement) = souffrance

Réduction des sx vs améliorer la qualité de vie: Il y a des moment où on ne peut pas réduire la douleur et les symptômes, mais on peut améliorer la qualité de vie en dépit de la douleur
Réengager la personne dans sa vie

54
Q

Qu’arrive-il lorsqu’il n’est pas possible de réduire la douleur et les symptômes?

A

Il y a des moment où on ne peut pas réduire la douleur et les symptômes, mais on peut améliorer la qualité de vie en dépit de la douleur
Réengager la personne dans sa vie

55
Q

Accepter est bénéfique pour la __________________ et ______________

A

La santé physique et mentale

56
Q

Qu’augmente l’acceptation?

A

qualité de vie
santé mentale
fonctionnement cognitif
emploi

57
Q

Que diminue l’acceptation?

A

intensité de la douleur
incapacité physique
visites chez le médecin
analgésiques
anxiété reliée à la douleur
dépression