cours 1 agents de socialisation Flashcards

1
Q

schéma du processus bidirectionnel des parents

A
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Q

schéma du processus bidirectionnel des pairs

A
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3
Q

les pourcentages du soutient émotionnel des adultes

A

*
73,9 % rapportent recevoir du soutien émotionnel de la part d’un adulte.
*
59,4 % de la part de leur mère (figure maternelle).
*
43,1 % de la part de leur père (figure paternelle).
*
29,5 % de la part d’un autre membre de la famille élargie (adulte).
*
13,4 % de la part d’un enseignant, entraîneur sportif, tuteur, etc.
*
15,3 % d’une autre source.

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4
Q

les pourcentages du soutient émotionnel des pairs

A

*
87,5 % rapportent recevoir du soutien émotionnel de la part d’autres jeunes.

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5
Q

que se passe-t’il à l’adolescence dans l’unité familiale

A

L’adolescence est une période de changement et de réorganisation des relations familiales.

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6
Q

la théorie des systèmes familiaux

A

*
Les relations au sein des familles changent le plus radicalement pendant les périodes où les membres individuels de la famille ou les circonstances de la famille changent -l’équilibre de la famille est rompu.
*
Lorsqu’un changement se produit dans le système, il y a un recalibrage vers le statu quo.

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7
Q

de quoi émerge les dynamiques et défis au sein de la famille

A

Les dynamiques et défis au sein de la famille émergent donc non seulement des besoins évolutifs de l’adolescent.e mais aussi de ceux des parents, ainsi que des nécessités de l’ensemble du système familial.

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8
Q

qu’est-ce qui peut bouleverse rl’unité familiale

A

Processus développementaux en parallèle(p.ex.la puberté rencontre la crise de la quarantaine’ ou la ménopause).

Changements biologiques

Adolescents : croissance physique rapide, maturation sexuelle
VS
Parents : préoccupations concernant leur propre corps et leur attrait physique

Réflexions sur l’avenir

Adolescents : Horizons illimités
VS
Parents : portes fermées, “plateau professionnel”

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9
Q

Santé mentale des parents

A

Près du 2/3 des parents décrivent l’adolescent comme étant la période ‘parentale’ la plus difficile.

La santé mentale des parents impactent l’enfant

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10
Q

Plus les parents croient au stéréotype de l’adolescent.e difficile, plus :

A

Ils s’attendent à ce que leur propre enfant s’y conforme

La relation avec leur enfant se dégrade

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11
Q

en réalité sur les stéréotypes

A
  • oui il y a plus de conflits et de tensions car l’individu se développe dans son identité et souvent sur des choses banales
  • mais en moyenne les ados se sentent proche de leurs parents (difficultés plus à l’enfance)
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12
Q

L’exposition aux conflits conjugaux a des effets néfastes sur le développement des enfants :

A

1.Les enfants sont plus affectés lorsqu’ils en sont conscientsque lorsque le conflit est caché (en particulier lorsqu’il est hostile, physiquement violent ou effrayant).

2.Les enfants sont plus affectés négativement lorsque le conflit conduit à des sentiments d’insécurité ou de culpabilité.

3.Les conflits conjugaux affectent plus négativement l’adolescent lorsqu’ils perturbent la qualité de la relation parent-enfant.

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13
Q

schema impact du divorce

A

Bien que le divorce puisse diminuer
le bien-être (par exemple, les
résultats scolaires, l’adaptation
psychosociale), l ‘impact du divorce
lui-même est faible.

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14
Q

schema qualité des relations

A

La qualité des relations qu’un
adolescent entretient avec les adultes
importants de sa vie compte plus que
le nombre d’adultes présents à la
maison.

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15
Q

schéma processus vs résultats

A

C’est le processus de divorce, et non
la structure familiale qui en résulte,
qui a le plus d’importance pour la
santé mentale des adolescents.

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16
Q

schéma Composante
génétique

A

Influences génétiques potentielles :
les adolescents issus de foyers
divorcés peuvent hériter de certains
traits (par exemple, prédisposition à
la dépression ou à la toxicomanie)
qui ont pu influencer la décision de
leurs parents de divorcer.

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17
Q

schéma Conséquences

A

Les conséquences négatives du
divorce sont liées à de nombreux
facteurs qui ne sont pas
spécifiquement dus au fait d’être un
parent isolé (par exemple,
l’exposition aux conflits conjugaux, la
désorganisation ou la perturbation
de l’éducation des enfants,
l’augmentation du stress dans le
ménage souvent due à la perte de
revenus).

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18
Q

schéma Stress familial et pauvreté

A
19
Q

Stress familial et pauvreté

A

-La pauvreté prolongée nuit à l’efficacité parentale( plus sévères, plus déprimés, moins impliqués, moins cohérents, plus conflictuels.)

Cela peut avoir des effets négatifs sur l’adaptation des adolescent.e.s

-Augmentation de l’anxiété et de la dépression, problèmes de conduite plus fréquents, baisse des résultats scolaires, comportement moins prosocial.

-plus susceptibles d’être exposés à la violence, de se sentir étrangers à l’école et d’être exposés à des niveaux élevés de stress (charge allostatique)

20
Q

Familles immigrantes et racialisées
Au Québec, plus de 15% de la population est née à l’extérieur du Canada

A

Parfois, les conceptions des parents immigrés en matière de responsabilités familiales entrent en conflit avec l’orientation plus individualiste caractéristique de la culture occidentale et avec la culture axée sur les pairs de nombreux jeunes.

21
Q

qu’est-ce que le familialisme

A

Les adolescents qui valorisent le familialisme sont plus susceptibles de développer des valeurs prosociales, moins susceptibles de souffrir de dépression et moins susceptibles d’être impliqués avec des pairs antisociaux (influençant ainsi la consommation d’alcool et de drogues).

22
Q

qu’est-ce que la dissonance générationnelle

A

lorsque l’adolescent a adopté les valeurs et les attentes de son nouveau pays alors que les parents les ont moins adoptées.

Fréquente chez les immigrant.e.s de 2e ou 3e générations.

Associé avec des conflits familiaux importants et des défis identitaires.

23
Q

Évolution des relations avec les pairs TEMPS PASSÉ AVEC LES PAIRS

A

*
Forte augmentation du temps passé avec les pairs
*
Diminution considérable du temps passé avec les parents

24
Q

Évolution des relations avec les pairs SUPERVISION ADULTE

A

*
Les adolescents fonctionnent plus souvent sans la supervision de leurs parents
*
Les adolescents sont plus mobiles (p.ex. autobus, permis de conduire)
*
Désir d’autonomie, indépendance

25
Q

Évolution des relations avec les pairs TAILLE DES GROUPES

A

*
Enfance : les groupes de pairs sont relativement restreints (3-4 enfants à la fois)
*
Adolescence : émergence de cliques (c’est-à-dire d’un plus grand collectif de pairs)
*
Les cliques développent généralement leurs propres minicultures, telles que des façons particulières de s’habiller, de parler et de se comporter.

26
Q

Évolution des relations avec les pairs GROUPES GENRÉS

A

*
Enfance : les groupes de pairs sont généralement séparés en fonction du sexe.
*
Adolescence : augmentation des amitiés entre les adolescents assignés à un même sexe à la naissance.
*
Début du secondaire

27
Q

Évolution des relations avec les pairsGroupes genrés

A
28
Q

Évolution des relations avec les pairsPourquoi les groupes de pairs évoluent-ils? 3 grandes catégories

A

Biologique :
Psychologique :
Social :

29
Q

pourquoi les groupes de pairs évoluent-ils? biologique

A

La puberté stimule l’intérêt pour les relations amoureuses et éloigne les adolescents de leurs parents.

30
Q

pourquoi les groupes de pairs évoluent-ils? psychologique

A

Les changements cognitifs mènent à une compréhension plus sophistiquée des relations sociales (catégorisation des bandes (crowds), compréhension de l’intimité).

31
Q

pourquoi les groupes de pairs évoluent-ils? Social :

A

Le cadre plus vaste et plus anonyme de l’école secondaire oblige les adolescents à trouver des personnes qui (selon eux) partagent des valeurs et des intérêts communs.

32
Q

La sélection des amis

A

Les adolescents sont attirés les uns par les autres en raison de leur ressemblance initiale.

33
Q

la socialisation avec les amis

A

Les adolescents se ressemblent parce que les groupes d’ami.e.s s’influencent mutuellement (p.ex. musique, vêtements, activités).

34
Q

Les causes les plus courantes de rupture d’amitié :

A

Jalousie

Incompatibilité

Trahison

Agressivité

Les amitiés sont beaucoup plus susceptibles de se terminer entre secondaire 1 et secondaire 2 qu’à des âges plus avancés.

35
Q

Cliques, bandes et pression des pairs
Les groupes de pairs sont organisés en deux structures :

A
  • Les cliques : Petits groupes (2 à 12 individus) définis par des activités
    communes et par l’amitié (par exemple, le fait de se connaître depuis
    longtemps).
  • Les bandes (Crowds): Groupes plus importants, plus vaguement définis,
    basés sur la réputation (par exemple, “sportifs”, “intellos”) et NON basés
    sur l’amitié ou l’interaction sociale.
36
Q

*
Les adolescents acquièrent des compétences sociales au sein des cliques

A

Comment être un bon ami

Comment communiquer efficacement

Comment être un leader

Comment apprécier la compagnie de quelqu’un

Comment rompre une amitié

Les bandes contribuent davantage au sentiment d’identité et au concept de soi des adolescents.

37
Q

schéma des Cliques s’engageant dans des activités antisociales (gangs)

A
38
Q

différence l’effet des bandes au début de l,ado et la fin

A
  • hyérarchie
    -imitation des comportements des membres sociaux élevés
    -meilleur sentiment d’identité après renforcement de comportement de suivre la foule
39
Q

différence entre la popularité sociométrique et popularité perçue

A

Popularité sociométrique
L’étendue auquel une personne est appréciée par ses pairs (Likeability).

Influencée par:
-Compétences sociales
-Convivialité
-Sens de l’humour

popularité perçue:
-Se rapporte au statut social de la personne.
-Les facteurs déterminants sont variables et en constante évolution.
-Les adolescents sont tendance à se lier d’amitié avec des pairs ayant un niveau de popularité similaire au sein de l’école.

40
Q

Le rejet des pairs et l’absence de liens d’amitié est associé avec des/d’ :

A

*
Symptômes dépressifs
*
Difficultés externalisées (p.ex. troubles du comportement)
*
Utilisationdesubstances
*
Défisinterpersonnels
*
Difficultés académiques

41
Q

schéma rejet et intimidation

A
42
Q

le schéma intimidation

A

Plusieurs jeunes rapportant de la victimisation rapportent également intimider d’autres jeunes (cycle).

  • Les programmes de lutte contre l’intimidation à l’école ont des effets faibles mais significatifs lorsqu’ils sont mis en oeuvre à l’école primaire, mais n’ont plus d’effet
    après secondaire 1.
  • Les programmes de lutte contre le harcèlement scolaire peuvent même entraîner une recrudescence des actes d’intimidation à l’école secondaire.
43
Q

Les adolescents qui sont fréquemment victimes de cyberintimidation font état d’un niveau élevé de :

A

Détresse

Colère-Honte

Agressivité

Difficultés de sommeil