Cours 1 Flashcards

1
Q

Quels sont les trois cibles d’étude de la criminologie (3)?

A

Le crime, le criminel et la criminalité.

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Q

Qu’est-ce qu’un comportement qui contrevient aux normes sociales à un temps et un lieu qui n’est pas sanctionné pour les adultes?

A

Un comportement de délinquance statutaire

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3
Q

Qu’est-ce qu’un comportement qui contrevient aux normes sociales à un temps et un lieu, sanctionné pour les adultes, qui n’est pas en violation avec une disposition du Code criminel?

A

Un comportement de déviance.

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4
Q

Qu’est-ce qu’un comportement qui contrevient aux normes sociales à un temps et un lieu, sanctionné pour les adultes et qui est en violation avec une disposition du Code criminel?

A

Un comportement de délinquance “criminelle”.

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5
Q

Qu’est-ce qu’un comportement qui contrevient aux normes sociales à un temps et un lieu, sanctionné pour les adultes, qui est en violation avec une disposition du Code criminel et qui ne cause pas dommage à autrui?

A

Un comportement de déviance.

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6
Q

Qu’est-ce qu’un comportement qui contrevient aux normes sociales à un temps et un lieu, sanctionné pour les adultes, qui est en violation avec une disposition du Code criminel et qui cause dommage à autrui?

A

Un comportement délinquant.

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7
Q

Quelles sont les quatre composantes des comportements antisociaux (4)?

A

La délinquance, les troubles externalisés, la déviance et l’agression.

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8
Q

Quels sont les trois principaux troubles externalisés liés aux comportements antisociaux (3)?

A

Le trouble des conduites, le trouble oppositionnel et le tdah.

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9
Q

Définis l’origine multifactorielle de la délinquance.

A

Les comportements délinquants sont influencés par plusieurs facteurs criminogènes.
Ces facteurs sont imbriqués dans le temps et s’influencent entre eux.

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10
Q

Définis l’agression proactive.

A

Agressivité dans le but d’obtenir quelque chose

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11
Q

Définis l’agression réactive.

A

Réaction à quelque chose qui est perçu menacant/humiliant

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12
Q

Définis l’agression directe.

A

Se fait directement envers quelqu’un

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13
Q

Définis l’agression indirecte.

A

Se fait indirectement envers quelqu’un.

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14
Q

Nomme les éléments importants à retenir lorsqu’on fait un plan d’intervention (4).

A
  • Public cible
  • Objectifs du plan
  • Moment de l’intervention
  • Actions concrètes
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15
Q

Quels sont les objectifs principaux que peut avoir un plan d’intervention (4)?

A

Promouvoir, prévenir, traiter et réhabiliter

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16
Q

Un plan d’intervention se base sur quelles ressources importantes (3)?

A
  • Les théories
  • Les études de devis observationnel (identification des facteurs criminogènes)
  • Les études cliniques (impact de la diminution des facteurs criminogènes ou de l’augmentation des facteurs de protection)
17
Q

Comment s’influence les ressources importantes d’un plan d’intervention?

A

Elles s’influencent toutes tout le temps : les nouvelles trouvailles des études modifient les théories, ce qui enclenche d’autres études…Cercle vicieux

18
Q

Qu’est-ce qu’on entend par données officielles?

A

Données rapportées par des institutions publiques comme le gouvernement.
Définition du prof : Les données officielles sont des statistiques issues des institutions publiques travaillant auprès des jeunes ayant commis un acte criminel, ayant été arrêtés par un policier.ère ou ayant fait l’objet d’un jugement de la Cour (ex., Chambre de la jeunesse).

19
Q

Quelles sont les forces des données officielles, notamment en lien avec l’abondance d’informations et la précision de ces informations sur les tendances de la criminalité (2)?

A
  • Beaucoup d’informations sur les tendances de la criminalité
  • Mesure modérément exacte de la prévalence des crimes, surtout sur les tendances générales sur les crimes graves et les formes plus sévères de certains crimes contre les biens
20
Q

Quelles sont les limites des données officielles concernant les connaissances des institutions publiques, la relation avec la prévalence réelle des conduites criminelles et les biais possibles (3)?

A
  • Ignorance d’une bonne partie des actes criminels de la part des institutions publiques
  • Sous-estimation de la prévalence réelle des conduites criminelles
  • Biais des données associées au traitement de l’information connus par les institutions publiques
21
Q

Qu’est-ce qu’on entend par données auto-rapportées?

A

Données rapportées par les individus eux-mêmes en répondant à des questionnaires.
Définition du prof : Les données auto-rapportées sont obtenues en interrogeant les jeunes sur leurs comportements délinquants. Les jeunes peuvent répondre à des questionnaires ou prendre part à une entrevue. La plupart des données auto-rapportées se concentrent sur la délinquance commise au cours de l’année précédente pour minimiser les problèmes de mémoire et sont, pour la plupart, anonymes ou confidentielles.

22
Q

Quelles sont les forces des données auto-rapportées, notamment liées à la documentation des infractions, au coût et à l’exactitude des informations (3)?

A
  • Permettent de documenter toutes les infractions connues ou non par les institutions publiques
  • Peu couteuse à obtenir
  • Fournissent des informations modérément exactes sur la délinquance juvénile de faible sévérité.
23
Q

Quelles sont les limites des données auto-rapportées concernant la peur de représailles, le type d’infractions recherché et les infractions qui ne mériteraient pas d’intervention policière (5)?

A
  • Sous-estimation de la délinquance grave
  • Crimes graves pas mentionnés par peur de représailles
  • Mesures se concentrent sur infractions mineures
  • Répondants signalent souvent des actes qui ne seraient pas considérés par les policiers comme méritant une intervention
  • Plupart des enquêtes ne réussissent pas à inclure dans leurs échantillons les jeunes manifestant un nombre plus grand de comportements de délinquance et de plus grande sévérité
24
Q

Qu’est-ce qu’on entend par données de victimisation?

A

Données obtenues en demandant à une population leurs expériences en tant que victimes d’actes criminelles.
Définition du prof : Les données de victimisation sont obtenues en demandant aux personnes de tous âges de dévoiler leurs expériences en tant que victimes d’actes criminels, tels que des voies de fait graves, des agressions sexuelles ainsi que des vols.

25
Q

Quelles sont les forces des données de victimisation concernant la documentation des infractions et les informations qu’elles fournissent (2)?

A
  • Permettent de documenter toutes les infractions connues ou non par les institutions publiques
  • Fournissent beaucoup d’informations sur les expériences et les caractéristiques des victimes d’actes criminels
26
Q

Quelles sont les limites des données de victimisation, notamment en lien avec l’âge de la population, l’absence d’information de certains délits et certains groupes ayant des taux élevés de victimisation et la peur des représailles/la honte (4)?

A
  • Généralement rapportées par des personnes de 18 ans et plus
  • Absence d’information sur les délits dits « sans victimes apparentes »
  • Exclusion de certains groupes ayant des taux élevés de victimisation criminelle
  • Plusieurs victimes d’actes criminels préfèrent ne pas rapporter leurs expériences