CM1 - Mme Beaupain Flashcards

1
Q

AMO - Bilan de la communication et du langage dans le cadre des handicaps moteurs, sensoriels ou mentaux

A

AMO 40

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Q

AMO - Education précoce à la communication et au langage dans les handicaps de l’enfant de type sensoriel, moteur, mental

A

AMO 13.6

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Q

AMO - Education ou rééducation de la communication et du langage dans les handicaps de l’enfant de type sensoriel, moteur, mental

A

AMO 13.8

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4
Q

Définition polyhandicap - Décret n°89-798 du 27 octobre 1989

A

Handicap grave à expressions multiples avec déficience motrice et déficience mentale sévère ou profonde, entraînant une restriction extrême de l’autonomie et des possibilités de perception, d’expression et de relation.

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5
Q

3 éléments nécessaires à la mise en place de la communication

A

Perception
Expression
Relation

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6
Q

Définition polyhandicap - Zucman et Tomkiewicz (1992)

A

Association de déficiences graves avec retard mental moyen, sévère ou profond entraînant une dépendance importante à l’égard d’une aide humaine et technique permanente, proche et individualisée.

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7
Q

Définition polyhandicap - Haute Autorité de Santé (2005)

A

Constitue un handicap, au sens de la présente loi, toute limitation d’activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d’une altération substantielle, durable ou définitive d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d’un polyhandicap ou d’un trouble de santé invalidant.

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8
Q

Polyhandicap - 2 notions

A

Toute limitation d’activité

Restriction de participation à la vie en société

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9
Q

Troubles associés

A
Épilepsie 
Troubles sensoriels 
Troubles somatiques
Troubles du comportement
Troubles du sommeil
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10
Q

Épilepsie

A

40 à 50% des sujets polyhandicapés

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11
Q

Troubles sensoriels

A

Vision et audition

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12
Q

Troubles somatiques

A

Problèmes respiratoires
Troubles nutritionnels et digestifs avec des troubles de l’élimination
Fragilité cutanée
Troubles orthopédiques

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13
Q

Troubles du comportement

A

Stéréotypies
Replis sur soi-même
Auto-agressivité
Formes d’autisme

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14
Q

Conséquences du polyhandicap

A
  • Restriction extrême de l’autonomie de vie du sujet polyhandicapé
  • Dépendance profonde au quotidien (pour tous les gestes de la vie quotidienne)
  • Conséquences globales, sévères et durables, constituant un grand handicap
  • Difficultés de communication notamment, entrave considérable au développement social.
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15
Q

Communication

A

Mise en commun d’un savoir, d’une information.

Action permettant de communiquer, d’établir une relation avec autrui, de transmettre un message à quelqu’un.

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16
Q

Canaux de communication

A

Verbale

Non verbale

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17
Q

Communication verbale

A

Le code doit être commun aux deux interlocuteurs.

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18
Q

Communication non verbale

A
  • Accompagne et complète la communication verbale
  • Renforce la bonne transmission du message verbal
  • Permet une meilleure compréhension
  • Exprime les sentiments, les émotions et les valeurs.
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19
Q

Communication non verbale - mode de communication à part entière

A

Chez le jeune enfant durant la période pré-linguistique

Pour les personnes polyhandicapées dont le langage verbal est inexistant ou rudimentaire

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20
Q

Les mimiques

A

Renvoient à un état, à une émotion, à une humeur.
Renforcent et crédibilisent un message.
Permettent de modifier la signification du message (ironie)

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21
Q

Deux types de gestes

A

Gestes co-verbaux

Gestes conventionnels

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22
Q

Gestes co-verbaux

A

Accompagnent la parole et n’ont pas de sens pris isolément

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23
Q

Gestes conventionnels

A

Sont porteurs d’une signification particulière

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24
Q

Mimiques efficaces en termes de communication

A

Expressions faciales

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25
Q

Les postures en rapport avec la verticalité

A

Extension

Contraction

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26
Q

Les postures en rapport avec le mouvement

A

Vers l’avant

Vers l’arrière

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27
Q

Définition perception

A
  • Résulte d’un processus physique et psychique qui utilise nos cinq sens
  • Consiste à recevoir, à l’aide de ces sens, des images, des impressions, des sensations, et de les comprendre
  • Permet d’avoir une représentation interne de ce qui se passe à l’extérieur
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28
Q

La qualité de la perception va dépendre de

A

Facteurs physiques :

  • Efficience de la vue, de l’ouïe, du toucher, du goût et de l’odorat
  • Âge

Facteurs psychiques :

  • Motivation
  • Capacités de discrimination et de différenciation
  • Expériences passées, permettant de mieux percevoir ce que l’on connaît déjà
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29
Q

Capacités de perception - polyhandicap

A

Réduites
Troubles sensoriels
Troubles intellectuels et cognitifs

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30
Q

Troubles sensoriels

A

Empêchent de bien recevoir l’information et par conséquent de comprendre ce que nous voulons dire.
Capacités perceptives peu efficientes
Communication interindividuelle perturbée

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31
Q

Troubles intellectuels et cognitifs

A

Limité dans la compréhension de l’autre, que ce soit

en terme de parole, de geste, de regard ou de comportement.

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32
Q

Définition expression

A

Appartient au domaine de la communication.
Fait d’exprimer ses sentiments, ses réflexions et ses pensées.
Les modes d’expression sont variés : langage oral et/ou écrit, le corps, l’art.

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33
Q

Expression - déficience motrice

A

– Empêche la mobilisation des muscles bucco-faciaux nécessaires. L’articulation est souvent laborieuse.
– Atteinte de la commande motrice du reste du corps : toute réalisation de gestes, de mimiques est perturbée.
– Les troubles de la posture rendent difficiles voire impossibles les capacités d’expression et d’échange.

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34
Q

Expression - déficience intellectuelle sévère

A

QI compris entre 20 et 34

Vocabulaire et syntaxe rudimentaires

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35
Q

Expression - déficience intellectuelle profonde

A

QI inférieur à 20
Implique peu voire pas de langage oral
Accès au symbolisme inexistant
Pas de permanence de l’objet la plupart du temps
Parole limitée à une articulation défectueuse voire incompréhensible, aucune construction syntaxique.
La communication par la voie verbale est quasi-impossible.

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36
Q

C’est l’association des deux types de déficiences (motrices + intellectuelles) qui va gêner la production du

A

LO

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37
Q

Relation définition

A

Résulte d’un rapport existant, dans le domaine de la communication interindividuelle, entre deux personnes. Elle existe surtout par le biais de la communication : on détermine la relation que l’on partage avec quelqu’un via un ou plusieurs échanges. La relation renvoie aussi, dans un domaine autre que celui de la communication, à la question de dépendance, d’influence, d’interaction.

38
Q

Expression - déficiences

A

Motrice

Intellectuelle sévère à profonde

39
Q

Polyhandicap : restriction des capacités de relation

A

Troubles du tonus entraînant des troubles posturaux
Déficiences intellectuelles et cognitives
Restriction extrême de l’autonomie

40
Q

Troubles du tonus entraînent des troubles posturaux

A

Hypotonie axiale

Hypertonie

41
Q

Hypotonie axiale

A

Chute de la tête en avant

Altère le contact visuel

42
Q

Hypertonie

A

Se manifeste par des mouvements spastiques des membres ou une extension de la tête
Limite l’efficacité de l’échange

43
Q

Relation - Déficiences intellectuelles et cognitives

A
  • Les thèmes de conversation plutôt limités pour la personne polyhandicapée
  • La vitesse de traitement d’une information
  • Utiliser un autre canal que celui du langage
44
Q

Restriction de l’autonomie

A

Relation d’ordre aidant/handicapé

45
Q

Déficience intellectuelle sévère

A

Possibilité d’un accès à un langage oral, un vocabulaire et une syntaxe rudimentaires peuvent être acquis mais insuffisamment riches pour entretenir un échange de qualité.

L’acquisition de ce type d’expression nécessite des compétences sensorimotrices, conceptuelles et linguistiques.

46
Q

Déficience intellectuelle profonde

A

Pas d’accès au LO

47
Q

Mode d’expression adopté par tout être humain dès la naissance

A

Langage originel

48
Q

Langage originel

A

Il permet de se faire comprendre grâce au corps, le comportement étant porteur de sens.

Il regroupe :
– le comportement non oral : les mimiques, le regard, la posture, les émotions, la manière d’exprimer ses besoins, les gestes à valeur symbolique, la désignation
– le comportement vocal : les cris, les pleurs, les vocalises, le protolangage

49
Q

Polyhandicap et langage

A
  • Peu de communication par la voie verbale

* Canal non verbal efficient et utilisable : l’accès au langage originel est préservé.

50
Q

Langage originel, acte de communication ?

A
  • Intentionnalité de la communication et l’entretien d’une relation
  • Mettre du sens sur chacune des manifestations non verbales
  • Déterminer la nature des besoins et les associer à un comportement spécifique
  • Difficulté à distinguer les manifestations non verbales pertinentes des troubles du tonus et de la posture, des gestes involontaires, des mouvements spastiques.
51
Q

Élément qui aide à interpréter les manifestations non verbales de la personne polyhandicapée

A

Le contexte

52
Q

4 formes principales de communication sur le versant réceptif

A

Verbale
Symbolique
Vocale
Contextuelle

53
Q

Trame d’évaluation

A
Entretien parental
Évaluation du comportement général
Évaluation des capacités perceptives
Évaluation des pré-requis à la communication et de la communication expressive
Évaluation de la communication réceptive
54
Q

Objectifs de l’évaluation

A

Proposer des stimulations adaptées afin d’éviter le développement d’un surhandicap

La communication est l’affaire de tous et à tout moment. Elle doit s’inscrire dans un projet global de la personne, dans une démarche de respect, de dignité et de progrès.

55
Q

L’entretien parental permet de recueillir des informations sur

A
  • Ses capacités et son mode de communication
  • Le ressenti des parents face àla communication de leur enfant
  • Le niveau de compréhension de l’enfant
  • Ses intérêts, ses jouets préférés, ses peurs

Le maximum d’informations sur les moyens, les fonctions, les thèmes et les contextes de communication doit être récolté.

56
Q

Evaluation du comportement général

A
▪ Comment se comporte l’enfant avec une personne inconnue ? Et avec des personnes familières ? 
▪ Capacité à entrer en relation et qualité générale de l’interaction ?
▪ Comment réagit-il à la séparation ?
▪ Est-il fatigable ?
▪ Est-il calme ou agité ?
▪ Est-il coopérant ou opposant ?
▪ Comment gère-t-il les transitions ?
▪ Comment réagit-il aux consignes ?
57
Q

Evaluation des réactions aux stimuli auditifs

A
  • Stimuli sonores non verbaux (boîte à meuh, clochette, maracas, tambourin, xylophone, feuille froissée, etc.) : on observera la réaction, l’orientation, et s’il est capable d’utiliser l’objet en question.
  • Stimuli musicaux : réaction à la musique
  • Stimuli vocaux : réaction à la voix, orientation vers la personne qui parle, réaction au prénom, réaction à la chanson, réaction aux bruits de bouche.
58
Q

Evaluation des réactions aux stimuli visuels

A
  • Réactions aux objets : couleurs, lumières, formes
  • Réactions aux visages
  • Attirance par le mouvement ou la fixité
  • Poursuite visuelle : de face, de côté, pour les objets, pour les personnes, bulles, lumières.
59
Q

Evaluation des réactions aux stimuli tactiles

A
  • Sur les deux modalités : toucher/être touché
  • Réaction aux objets : balles de textures différentes, réaction à la pâte à modeler, texture sableuse, en grains, lisse, douce, rêche, préférence pour le chaud ou le froid
  • Réaction au toucher humain
60
Q

Evaluation des réactions aux stimuli gustatifs et olfactifs

A
  • Différentes odeurs : aliments, gomme, encre, bois

- Différents goûts : sucré, salé, épicé

61
Q

Evaluation des capacités perceptives

A

Auditifs
Visuels
Tactiles
Gustatifs et olfactifs

62
Q

Adaptation à l’environnement

A
Le locuteur
Le moment de la journée et le vécu du jour
L'installation
Le contexte sonore et visuel
La prise de médicaments
La présentation de notre message
63
Q

Installation du thérapeute par rapport au patient

A

En face à face

À la hauteur de la personne

64
Q

La communication expressive doit être évaluée sur deux plans

A

Les moyens utilisés par l’enfant pour communiquer (moyens non-verbaux)
La fonction communicative de cette utilisation

65
Q

Observations - fonction communicative non-verbale

A
Regard
Posture
Expressions faciales, mimiques, praxies
Gestes symboliques
Utilisation des objets et jeux
Vocalisations
66
Q

Gestes symboliques

A

Conventionnels (oui/non de la tête, lever les bras pour être porté)
Symboliques (au revoir, envoyer un baiser)
Pointage

67
Q

Communication expressive/réceptive, la plus difficile à évaluer ?

A

Réceptive

68
Q

Evaluation de la communication réceptive, de la compréhension

A

Compréhension non-verbale
Compréhension de consignes simples
Compréhension lexicale : désignation

69
Q

Évaluation de la compréhension non-verbale

A
  • Compréhension contextuelle et réaction émotionnelle, comportementale ou vocale à ce contexte
  • Gestes (symboliques, conventionnels)
  • Éléments supra linguistiques (intonation, volume, rythme)
  • Compréhension des mimiques et expressions faciales
70
Q

Évaluation de la compréhension de consignes simples - avec ou sans

A

Aide contextuelle
Aide gestuelle
Support visuel
Guidage des mouvements

71
Q

Pour faire de la compréhension lexicale, il faut vérifier préalablement que

A

L’enfant peut pointer, donner ou désigner du regard

72
Q

L’évaluation de la désignation se fera avec ou sans

A

Aide contextuelle, gestuelle et visuelle

73
Q

Tester la compréhension lexicale à partir

A
  • D’objets simples et prototypiques
  • Des photographies ou images, au début très simples et dépouillées puis de plus en plus détaillées. Puis on pourra tester la sensibilité aux pictogrammes.
  • Choisir des supports adaptés (objets, photos, images ou pictogrammes), pour tester des mots isolés simples et courants de diverses catégories
74
Q

Grille d’évaluation développée par Dominique Crunelle

A

Grille d’évaluation de la communication de la personne handicapée

75
Q

Cette grille d’évaluation est appelée la démarche CHESSEP

A

Communication grand Handicap, Évaluer, Situer, S’adapter, Élaborer un Projet individualiser

76
Q

Communication réceptive

A
Sensorielle
Contextuelle
Vocale
Symbolique
Verbale
77
Q

Communication Réceptive Sensorielle (CRS)

A
Auditives
Visuelles
Tactiles
Gustatives
Olfactives
Vibratoires
78
Q

Communication expressive

A
Globale
Par Désignation
Symbolique
Vocale
Verbale
79
Q

Expression des besoins physiologiques et des émotions par

A

Mimiques
Posture
Regard

80
Q

Communication Expressive Symbolique (CES)

A
  • Sur demande
  • Sur imitation
  • Spontanément
  • En situation
  • Gestes symboliques : non, oui, au revoir, bravo, attention, coucou, etc.
81
Q

Échelle de cotation - grille d’évaluation

A

De 0 à 4

82
Q

La grille d’évaluation de la communication de la personne handicapée permet de réaliser un profil de communication permettant de

A
  • Visualiser les points forts
  • Faciliter les prises de décision concernant : les objectifs prioritaires de rééducation, les pratiques à développer avec l’enfant
83
Q

Élaboration du projet personnalisé - les démarches ?

A

1- Les démarches disciplinaires
2- Les démarches transdisciplinaires
3- Les démarches prioritaires

84
Q

Démarches disciplinaires correspondent au

A

Projet Thérapeutique

85
Q

Démarches disciplinaires en orthophonie

A
  • la mimique,
  • la poursuite oculaire,
  • l’acquisition du oui/non,
  • l’accès à un code photographique ou pictographique
86
Q

Démarches transdisciplinaires

A

Chaque professionnel contribue à atteindre un objectif commun.
Exemple : mise en place d’un code de communication à partir de photos familières, pour un enfant qui a des capacités de désignation et de reconnaissance de photos.

87
Q

Démarches transdisciplinaires - compétences requises

A
  • Installation adaptée (rôle du kiné)
  • Stratégie de désignation (rôle de l’ergo)
  • Connaissance des photos (rôle des parents, éducateurs, personnel de quotidien)
  • Connaissance du vocabulaire (rôle de l’ortho)
88
Q

Essentielle pour que la mise en place d’un code pictographique ou à base de photos soit efficace

A

Connaissance du vocabulaire

89
Q

Élaboration du projet personnalisé - règles à observer

A
  • Une véritable dynamique de concertation
  • La nomination d’un référent pour ce projet
  • L’inscription de ce projet dans le temps
  • Son réajustement régulier
  • Sa précocité
90
Q

Démarches prioritaires

A
  • Partir des besoins de l’enfant

- Proposer une communication fonctionnelle