Chapitres 1-3 Flashcards

1
Q

C’est quoi la bioétique (définitions)

A

Désacaccord sur déf, éthymologiquement, Van Rotter, Science de la survie fait appelle a une étique de vie et de vivant, Kennedy institude of ethics restrain a biomédicale et restrait a étique applicable

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2
Q

Étique et champ biomédical (3)

A

Étique clinique, étique de la recherche, étique des politiques de la santé

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3
Q

Étique clinique et 3 poles

A
  • Étique clinique concerne les droits et devoir des professionneles de la santé et du patient
  • Étiqe clinique concerne décisions, conflits de valeurs et incertitudes auquels professionnels de la santé font face dans l’attribution des soins à leurs patients

3 poles:
1. Thérapeutre
2. Société
3. Patient

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4
Q

Étique de la recherche

A

L’expérimentation sur les etre humains:
Il y a plusieurs exemples de cas de dérapage dans l’histoire humaine

Deux types d’expériementation humaine:
a) Guérir un malade en particulier (
b) Développement des connaissances

Troix dillemmes:
1) Bien etre individu/société (Tension entre protection des personnes et développement de connaissances)
2) médecin chercheur/médecin soignant (tension entre intérets du médecin soignant et du médecin chercheur)
3) Exigences des patient face a un nouveau traitement/ nécessiter d’évaluer les nouveaux traitements (tension entre pressions des patients et devoir professionnel du médecin) - Patient veulent avoir nouveaux traitments mais médecins doivents donner traitements qui ont été évaluer

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5
Q

Étique des politiques de la santé

A

1) Santé publique: stratégie de prévention, protection et promotion sand discriminer population
2) Système de soins: Organismation concrète de soins équitablement
3) Répartition des ressources et accès aux soins égales
4)Respet de liberté et diginit. dans campagne pulicitaire , promouvoir produits sans affecter comportement des gens face a une affaire nécessaire

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6
Q

Définition vaste de la bioétique

A

La bioéthique «se préoccupe de toutes les conditions qu’exige une gestion responsable de la vie, particulièrement de la vie humaine, dans le cadre des progrès rapides et complexes du savoir et des technologies biomédicales».
Elle «cherche à rendre compte […] de l’ensemble complet des conditions dont il faut tenir compte pour le développement harmonieux des individus et de la collectivité».

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7
Q

Repères historiques

A

Traditions de réflexion sur la médecine et sur les soins de santé
a) Éthique médicale et infermière
b) Éthique philosophique
c) Éthique religieuse

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8
Q

Éthique médicale et infirmière

A
  • développent une déontologie professionnelle.
  • Cette tradition forme des normes de conduites dans la profession infirmière et comme médecin, il y en a provinciale, mondiale

1) Éthique médicale: Serment d’Hippocrate. Crée 500 ans avant J.C, contient 2 parties:
Engagement corporatiste des médecins
Code d’éthique

Éthique infirmière: The Nightingale pledge (1893)
Le serment Nightingale A Londre, floren Nightingale commence la première école infermière
1) Engagement auprès des malades ;
2) Engagement de protéger les standards de la profession et d’aider les médecins.

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9
Q

Étique philosophique

A
  • développe des aspects plus théoriques (Avant l’ère Chrétienne)
    ØLa rationalité et définition de l’humain
    Aristote
    Before bioethic was more about théories, analyse, maintenant bioéthique est plus morale et éthique de la situation
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10
Q

Éthique religieuse

A

développe la
Ancien testament mort dans les mains de Dieu
Les missions religieuses: années 60, travaille infirmier, bien de l’éducation et médecin, prêtre influence médecins en confession
🍇 Casuistique : l’analyse de cas avec des enjeux moraux dans le cadre de la confession. (discussion ou le prêtre donne des conseils. L’église contrôle ceux qui font partie de cette institution, les règles s’imposent de plus en plus, les prêtres suivent une recette faite par les leaders de l’institution.
🍇 Morale de la situation

Mais tensions entre le « cas par cas » et les autorités de l’Église qui veulent faire respecter des principes universels.
Principe de base qui peuvent être changer selon le cas OU des règles rigides qui sont toujours appliqué

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11
Q

Développements récents

A

a) Développement technoscientifique
b) Émergence des droits de la personne ;
c) Modification relation médecin-patient ;
d) Montée du pluralisme moral

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12
Q

Développement technoscientifiques

A

1) Accès aux soins: Qui aura accès aux soins et qui
sera condamné à mort ? Hémodialyse

2) Transplantation :
① Don d’organes (qui aura accès ?) ;
② Succès de l’intervention (devrait-on continuer à pratiquer la transplantation ?) ;
③ Détermination de la mort (quand sommes-nous morts ?) (mort = nouveau critère = mort cérébrale au lieu de l’arrêt de l’arrêt respiratoire et circulation puisque si c’était pas cérébrale on pourra plus recueillir organes.

*Parfois les transplantations ne fonctionne pas car le corps rejette l’organe, éventuellement médicament anti-rejet inventer

3) Technique de réanimation: etrait du respirateur artificiel
4) Génie génétique: manipulation génétique ;

5) Techniques de procréation: le sperme congelé ; in vitro ; amniocentèse.

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13
Q

Émergence des droits de la personne

A

Ø (1948) Déclaration universelle des droits de l’homme ; Protégé contre autorité politique, plus tard c’est protégé contre innovations scientifiques, plus tard c’est les mouvement sociaux qui change les choses, droits de consommateur,
Ø Droit du patient à l’autonomie ; placer patient au centre de l’étique médicale

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14
Q

c) Modification relation médecin-patient ;

A

①Le nouveau rôle des hôpitaux ; docteur devient étranger aux patients, médecins regrouper dans les hôpitaux, médecin de vient plus a la maison du patient
②La prédominance de la science et des technologies ; Les diagnostiques, testes de laboratoire
③Développement de la spécialisation. Pas laisser de cotés les cycle d’ensemble de l’individue, méfiance au médecin inconnue, d’autres ont d’avantage à dire comme les infermière, patient, famille, avocats, les étitients, les phylosophes

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15
Q

d) Montée du pluralisme moral.

A

(Toute le monde ne pense plus de la même manière, révolution culturelle: société plus individualiste)

①Éclatement du consensus moral ;
②Société pluraliste ;
③Besoin d’une approche éthique séculière.

ØLaïque: approche étique séculaire (étique non religieuse)

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16
Q

d’où vient le jugement moral ?

A
  • Connaître, réfléchir, juger : aptitudes cognitives essentielles ;
  • Ressentir les choses : les sentiments, les passions, la pitié, la compassion, la sympathie, les émotions ;
  • Évolution biologique (éléments chimiques) ;
  • Évolution sociale (l’éducation et les normes) ;
  • Développement cognitif et psychologique chez l’individu. (qui ferait que dans la vie d’un individue on ne perçoit pas la même chosse dans les différents stades de notre vie: enfant vs adulte (référence de ceci dans l’étique de care)
17
Q

Définition de la morale

A

Science des moeurs, science normative (contrairement à la sociologie science descriptive), qui enseigne ce qu’il faut faire et ce qu’il ne faut pas faire, en termes de bien et de mal.
Définition de Mœurs: Habitude d’une société ou d’un individue afin de décider le bien ou le mal

18
Q

Définition de l’éthique

A

L’éthique a une prétention et une visée à fonder en raison des normes de conduite retenues ;
Elle cherche à penser une hiérarchie des valeurs ;
Processus rationnel par lequel on connaît, on juge et on hiérarchise des actions selon la référence au bien et au mal.
Hiérarchise: mettre par ordre d’importance
Avoir l’éthique:
Ørf : grecque (art de vivre)

Dans mes propres mots: L’éthique est un processus logique ou on connaît de l’information, on juge cette situation en référence au bien et au mal et on hierchase (donc on met en ordre d’importance) ce qui devrait être fait.

19
Q

Distinction entre la morale et l’éthique

A

« La morale commande, l’éthique recommande »
1) Le moraliste dit à ses semblables ce qu’ils doivent faire.
2) L’éthicien les aide plutôt à décider ce qu’ils feront.

« La morale commande, l’éthique recommande »
1) Le moraliste dit à ses semblables ce qu’ils doivent faire.
2) L’éthicien les aide plutôt à décider ce qu’ils feront.
Règles de conduite dictées vs adhésion à des valeurs hiérarchisées
Présentations de la philosophie (voir chap. sur la morale, pp. 17 sq)
André Comte

Les connotations fréquentes attachées aux mots:
Morale (on ne va pas nécessairement trop pensé – théologie (signification de textes sacré
comportement …………………
système fermée de normes …
religieux, confessionnel ……….
conservateur …………vers le passé………..

Éthique (science pratique)
Critiquer: évolue et change
théorie, science
questionnement ou théorie
séculier, pluraliste
prospectif, ouvert

20
Q

Critique de la distinction

A

①Pas de distinction étymologique ou historique entre la morale et l’étique ;
②Valorisation aujourd’hui du mot éthique ; (
③Plusieurs éthiques: cela signifie qu’il n’y aurait plus (aucun) de morale. (il y a plus de morale, on peut toute justifier avec des arguments alors on vie sont aucune valeur morale)

21
Q

Trois dimensions de l’éthique

A

①Questionnement :
²Ce qu’il faut faire, en considérant les notions de bien et de mal ;
²Justification rationnelle de l’action ;
²Visée de l’action.
②Systématisation :
²Théories éthiques ;
²Normes, règles ;
²Principes, valeurs, devoirs.
③Pratique (qu’est-ce que je fais concrètement, qu’est-ce que je fais pour appliquer ces principes)
²Application à des cas concrets ;
²La décision ;
²L’action.

22
Q
  1. La déontologie
A

Étymologie grecque:
Deon = devoir / Logos = science
ØScience des devoirs à accomplir.
ØEnsemble des devoirs que s’imposent des professionnels dans l’exercice de leurs fonction.
Ex. déontologie médicale.

23
Q
  1. Le relativisme : l’ennemi de l’éthique
A

Selon la pensée relativiste :
①Bien ou mal dépend du contexte, des mœurs (habitudes (d’une société, d’un individu) relatives à la pratique du bien et du mal), des valeurs de la société ; (pas de conception universelle de bien et du mal, c’est relatif)
②Conception universelle du bien ou du mal consiste seulement à élever nos préjugés au niveau de l’absolu. (conception du mal – tout le monde devrait pensé comme moi – sa fait qu’élevé nos préjugés) (tout le monde devrait agir selon nos opinions
Les différents cultures peuvent encore avoir la même opinion, a un moment donner il y a des limites.
L’étique n’existerait pas si chaque opinion était équitable et acceptable.
Il y a tu des actions qui sont UNIVERSELLEMENT bonne ou UNIVERSELLEMENT mauvaise?
Inceste: on savait que c’était mauvais mais on le fait encore

Question examen:
QU’est-ce que le relativisme dit et en quoi est-il en enconte avec l’étique?
Le relativisme dit que la conception universelle du bien et du mal est relatif et dépend du contexte, des mœurs et des valeurs de la société. Les conceptions universelles ne font que élevé nos préjuger. Le point de l’étique est de trouver des conceptions universelles sur un certain cas afin d’évaluer s’y il est bien ou mal alors s’ il n’y a pas de conceptions universelles, l’éthique n’existerait pas si chaque opinion était équitable et acceptable.

24
Q

Théories éthiques

A

①Éthique kantienne
②Éthique du care
③Éthique utilitariste

25
Q

Éthique kantienne

A

malade, tous motivations différentes mais il s’occupe de la même manière:
Leurs motivations sont:
- Caroline: Peur des opinions des autres et critique des autres, mais elle haie le faire (motiver par la peur)
- Mathieu: Très gentil dans sa nature, beaucoup de cœur, plaisir de s’occuper des autres, motiver par le plaisir (Motiver par le plaisir)
- Huong: Ne retire aucune satisfaction, mais elle le fait par sense d’obligation, on doit s’occupé d’un parent morale (conviction, doit le faire)

Kant crée un système universelle qui peut trouver la moralité dans l’homme et non basé sur textes sacré

26
Q

C’est quoi l’éthique Kantienne

A
  • N’a rien a faire avec les résultats des actions
  • Portée universelle de l’action
  • Éthique déontologique (du devoir)
  • Science de la morale (trouver des principes moraux a prori)
    Respect de la loi rationnelle (et non passionnelle) a priori

*Kant Essaye de crée un système presque mathématique: essaye de sortir un domaine au dela de la nature humaine, rien a avoir avec le monde (ou on est des être conditionner). Autodétermination, bonne volonté (agir selon principe moraux). On peut être morale si on suit la bonne volonté dans nos actes. Agissent selon

27
Q

Obligation et devoir

A
  • Les motivations de l’action sont importantes : les bonnes décisions pour les bonnes raisons.
    Qu’est-ce qui doit motiver l’action morale ? :
  • Je dois agir par obligation, c’est-à-dire par respect du devoir, qui est la loi morale.
28
Q

Respect de la loi morale, a priori

A

①Les conséquences de l’action ne déterminent pas la teneur morale de l’action. Elles n’ont, en fait, aucune importance.
②Car la loi morale est a priori.
③La seule chose qui peut être considérée comme morale : c’est LA BONNE VOLONTÉ.
④La bonne volonté, c’est d’agir par respect de la loi morale.soit la loi rationnelle

29
Q

LA BONNE VOLONTÉ

A
  • C’est d’agir par respect de la loi morale, qui est le respect de la loi rationnelle ;
  • La loi morale est déterminée par la raison seulement, libérée des déterminations naturelles (corps, passions, désirs, inclinations).
    ***Loi rationnelle sans pensé des conséquences de nos actions
30
Q

Impératif catégorique (1)

A

« Agit de manière telle que la maxime* de ton action puisse être érigée en loi universelle de la nature ».
ØContradiction logique
ØAutre exemple : faire une promesse…

Érigez la maxime de votre action en loi universelle
« On doit toujours dire la vérité » (Une maxime qui fonctionne)
u Constance dans le respect de maximes rationnelles ;
u Aucune préoccupation pour les conséquences de l’action.

31
Q

Impératif catégorique (2)

A

« Agis de façon telle que tu traites l’humanité, aussi bien dans ta personne que dans la personne de tout autre, toujours en même temps comme fin, jamais simplement comme moyen ».
Autrement dit : « Toujours considérer l’autre comme une fin en soi, jamais seulement comme un moyen ».

32
Q

Principe d’universalisation

A

ØUne maxime n’est donc pas morale si
①L’universalisation du principe rendrait la réalisation de l’action impossible ; (ex: vérité et promesse) - contradiction
②L’universalisation de l’action entraînerait la destruction de l’humanité ;
③L’universalisation de l’action irait à l’encontre des intérêts fondamentaux de tout être humain.

33
Q

Boogeyman et limites kantiennes

A

Faut toujours dire la vérité: Kant

34
Q

Cas du CCNE (comité consultatif national d’éthique de la France)

A

üDiagnostic préimplantatoire ;
üBébé-médicament.
Questions :
1. Quels sont les enjeux éthiques ? (concevoir un être humain dans le but de sauver un autre être humain)
2. En utilisant les outils théoriques de Kant, est-ce que cette action serait éthiquement acceptable ? (est-ce que je voudrais voire que ce principe soit impliquer dans TOUTE SITUATIONS)
a)Érigez la maxime de l’action en loi universelle. (agir selon le même principe que d’autres personnes devrait universellement).
Utiliser toute les moyens pour sauver la vie humaine
a)Jugez selon l’impératif catégorique (2).
On utilise l’embryon comme un moyen pour s’aider alors sa va a l’encontre de l’impératif catégorique
3. Qu’en pensez-vous ? (conséquence, décisions, points de vues, les limites)
On est pas d’accord avec les outils Kant
Réduire l’être humain a un objet
Si la maxime est acceptable, sa pourrait être appliquer dans autres cas