Chapitre 5 Flashcards
Qu’est-ce qu’une personne humaine ?
Deux réponses :
a) Tristram Engelhardt : personne humaine et rationalité
b) Lucien Sève : vision holiste de la personne humaine
Définition de la personne et rationalitéTristram Engelhardt
Définition de la personne par l’autonomie de la volonté
Distinction entre les personnes (respect inconditionnel) et les non-personnes (respect dépend de l’appréciation de la communauté)
Critiques
***Définition de la personne humaine (ressemble beaucoup a Kant`:
Décrit pas par biologique mais plutôt de la personne a avoir des normes universiallisable
Différences entre enfants jusqu’à l’age adulte
Toute les êtres humains ne sont pas automatiquement des personnes: Les gens qui ne peuvent pas porter
Une personne qui peut porter des jugements étiques, peuvent prendre connaissances, ceux qui ne peivent pas faire sa ne sont pas des personnes
Non personnes sont: fétus, malades mentaux, enfants, comas
Il cherche a donner des réponses dans des situations médicales réelle:
Gens avec comas est-ce qu’on les accorde opinions
Est-ce qu’on laisse une personne avec maladie mentale de décider pour elle-même alors lui donner un respect inconditionnelle mais ce n’est pas qu’on va lui accorder aucun respect
Qu’est ce que sa veut dire l’appréhasion de la communcauté: communauté peut décider ce respet
envers ces non personnes.
Critique:
Personne et non-personnes (extrême)
Vision holiste de la personne humaine Lucien Sève
Un individu : totalité organique indivisible (même et autre que chaque être humain) ;
Une personnalité : identité psycho- affective et sociale ;
Un sujet juridique et éthique.
***biologique: On reconnait une notion d’individue, le fait d’être même et autre que chaque être humain, science humaine (prend comme sujet de recherche autres humains) On est a la fois pareille et différents
Médecins et infermières (Devant un corps subjectif, anguoise, idées, identité psycho-affective et sociales)
Le droit: culture, morales, arts, juridicaire,
Unité de la personne
- Ces trois aspects sont liés dans une unité qui est la personne ;
- Il faut accorder une valeur à cette personne.
- Éthique kantienneEmmanuel Kant (1724-1804)Respect de l’autre
Sens négatif : m’abstenir de faire des actions qui portent atteinte à la liberté et à l’autonomie de l’autre ; - principe d’autonomie
Sens positif : Accorder une valeur aux entreprises et aux projets de l’autre, se soucier de son bonheur et manifester un intérêt positif pour ses fins à lui. – Principe bienfesanse
Principe d’autonomie
Pour soi-même
En droit
Faire ses propres choix
Liberté d’action
Droit de décider ce qui me convient
En éthique
Action responsable
Respect de l’humanité
Vis-à-vis d’autrui
Respecter son choix quel qu’il soit
Aider à faire un choix responsable
Application (1)Le modèle délibératif
Entre relation entre patient et médecins il y a 3 modèles de comment le médecin devrait se comporter:
1. Modèle paternaliste : présenter les faits pour que le patient opte pour une décision particulière. Une personne sait mieux que toi.
- Modèle informatif et libertaire (libertaire = caractère absolue à la liberté individuel) : attitude objective et froide. Donne toute l’information mais ne prend pas l’opinion du médecin (donne les faits mais aide pas dans ton choix de traitement)
- Modèle délibératif : Essayer d’accompagner l’autre dans ces choix et lui donner de l’autonome
- Devoir d’information
- Discussion entre le médecin et le patient.
- Responsabilité partagée-négociation.
- Égalité des partenaires selon les compétences de chacun.
- Avis médical versus choix personnel du patient.
Application (2) : Droit à l’information Droit du patient de savoir et de décider(pas seulement un devoir)
- Patients aptes : Consentement libre et éclairé (pas de manière coercitive (on t’oblige pas) et connaissance de cause) ;
- Patients inaptes (mineurs, comateux, handicapés mentaux, personne qui souffre de schizophrénie) : vont avoir un Consentement substitué (essayez d’avoir au moins l’assentiment des personnes concernées, entrez en conversation avec elles, expliquez-leur la situation même si la décision finale ne revient pas à elles). Parents ou tuteur (responsable de cet individus, tuteur est légalement capable de prendre décision pour cette personne) prendrait décisions
Patient participe quand même dans les choix faite sur lui
***Exceptions: cas d’urgence (on ne va pas demander au patient mais on va plutôt commencer traitements), Durant la épidémie on peut obliger les gens a s’isoler (le droit individuelle va entrer en conflit avec le droit collectif)
Application (3) Droit à la vie privée et à la confidentialité
Droit du patient sur la collecte, l’utilisation et la divulgation de renseignements personnels les concernant et sur l’accès à ces renseignements. (vient de code de déontologie des infermières)
Respecter la vie privée et protéger la confidentialité
À la lumière de ce que l’on vient de voir en ce qui concerne les limites au consentement (Patient inapte ou cas exceptionnelles), est-ce qu’il n’y aurait pas également, à votre avis, une limite au respect de la confidentialité ?
OUI!!! considéré le cas:
Jacques est séropositif et ne l’a pas dit à son épouse, Andrée. Laurette, son infirmière, lui demande de discuter avec Andrée de son état de santé, puisque cette dernière risque de contracter la maladie - de même que l’enfant qu’elle porte. Jacques refuse carrément de le dire à Andrée et menace de poursuivre Laurette en justice si elle divulgue l’information à son épouse.
Dilemme déontologique : préserver la confidentialité ou éviter des dommages graves à autrui ?
Quelle serait, selon vous, la responsabilité morale de Jacques ?
Dans le cas où Jacques refuse d’informer Andrée, quelle serait la responsabilité morale de l’infirmière ?
Pensez-vous que Laurette est obligée par la loi de divulguer cette information ?
Principe de bienfaisance
- Ne pas nuire ;
- Chercher le meilleur intérêt ;
- Faire du bien.
***Caractère obligatoire de la bienfaisance ? Jusqu’ou devons nous aller comme infermière pour sauver la vie d’une personne
Obligation morale
Le principe de bienfaisance impose le devoir d’agir pour assurer le bien-être des patients, ce qui comprend soulager (alléger) leur souffrance.
Cela implique de :
1. prendre au sérieux la douleur des patients (la douleur est relative à l’individu)
2. évaluer la douleur des patients ;
3. agir de manière appropriée pour favoriser le bien-être du patient
(p. ex. : soulager sa souffrance) ;
4. respecter les décisions éclairées que prennent volontairement
les patients (obligation légale).