chapitre 6 Flashcards

1
Q

Différents types de stimulis

A
  • chimique (olfactif, gustatif, osmotique, oxygénique, pH)
  • Mécanique (tactile, vibratile, auditif, pression, tension. musculaire)
  • Électromagnétique (lumière visible, ultraviolet, infrarouge, champs électrique, champs magnétique)
    -Thermique
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2
Q

Qui permet d’intégrer les différents types de stimulis ? Et qu’est-ce que l’intégfration de ces différents stimuli permet ?

A
  • Ce sont différentes cellules sensorielle qui vont répondre aux différents aspects de l,environnemnt. En intégrant ces multiples message, il sera possible d’obtenur une information précise.
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3
Q

Évolution des systèmes sensoriels des unicellulaires vs multicellulaires

A

Les unicellulaires par différents processus peuvent et ont développés des manière de répondre aux variation de leur environnement en pouvant analyser le gradient chimique, la lumière, le toucher, la température, le courant électrique ou encore la garvité. Le smulticellulaires pasr L,évolution ont plutôt eu une spécialisation cellulaire qui leur ont permis d’évoluer des cellules sensorielles spécialisée. Avec la conjocntion des systènmes de coordination neuraux, ils ont pu exploité ce système sensoriel pour évoluer dans leur environnement (integration),

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4
Q

Comment marche L’intégration nerveuse du système sensoriel

A

Toutes les informations snesorielles vont en fait se diriger vers el système nerveux centra;l aqu niveau de région spécialisée pour l’analyse de certains types de signaux spécifiques qui sont spécialisées dans l’analyse de certains types de signaux. Une majorité passera par le thalamus, à l’exception de l’olfactif et certains autres signaux., avant d’aller vers le cortex

Ainsi, chaque région cérébrale va traiter et recevoir un type d’information sensoriel

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5
Q

Qu’est-ce que les récepteurs sensoriels

A

Cellule, ou région d’une cellule, qui sera excitable et qui sera normalement activée apr un stimulus autre que l’activité synaptique

Ce sont des cellules qui sont spécialisées dans la détection d’un mode énergétique particulier et dans al conversion de l’énergie d’un stimulus en un signal nerveux.

La détection se fera au niveau de la membrane et sera induit par un récepteur membranaire qui changera de conformation selon l’Énergie du stimulus

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6
Q

Classification des récepteurs sensoriels selon le type de stimulus

A

(tout les animaux)
- Chémorécepteurs
- Mécanorécepteurs
- Photorécepteur
- Thermorécepteur

(quelques animaux)
- Électrorécepteurs
- Magnétorécepteurs

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7
Q

Classification des récepteurs sensoriels (description)

A
  • Selon la complexité du récepteur

1- Sur ce, le degré de myelinisation d,un axone de cellule sensorielle est indépendante de sa complexité donc ne sera pas en lien avec sa complexité. Il en convient que la complexité du récepeteur ne sera pas en lien avec la rapidité de la transmission du signal

2- D’autant plus, elles sont toutes spécialisés dans la conversion de l’énergie du stimulus en signal nerveux. Ce ne sera donc pas aussi dépendant de ce qu’elle va faire dans les grandes lignes. Cependant certaines seront complexes par le fait qu,elles sont encapsulées (terminaison nerveuse) dans du tissu conjonctif et d’autres par le fait qu’elles activent le signal nerveux par le transfert de neurotransmetteurs.

  • Selon la localisation du stimulus

1- extérorécepeteurs : capte ls siganuc du milieu extérieur à l’organisme
2- Intérorécepteur : capte le stimuli générés dans le milieu interne de l’organisme

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8
Q

les 2 catégories de cellules réceptrices et leur fonctionnement

A

Neurone sensoriel : détection stimulus et conversion en PA
1- stimulus détecté par ptoéine réceptrice
2. chnagment de conformation de la protéine réceptrice
3. changement de potentiel membranaire
4- Potentiel générateur créé (PG)
5- Pa si le seuil d’excitation est atteint

Cellule épithéliale sensorielle (détection signal et envoie du signal à un neurone afférent convertit PA)
1- Stimulus détecté par cellule
2. Potentiel gradué créé = le potentiel récepteur (calcium rentre)
3. Relâchement de NT dans al synapse (activée par Ca2+)
4. PG dans le neurone afférent
5. PA si seuil excitation atteint par PG

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9
Q

Stimulus adéquat vs sensibilité

A

Le stimulus adéquat est le type de stimulus spécifiquement détecté par un récepteur donné.

Cependant, certains récepteurs peuvent être excités par d’autres stimuli si le signal entrant est suffisant ou trop important.

On a par exemple l’oeil qui lorsqu’il y a une forte pressions dessus mènera à uen stimulation des photorécepteurs qui vont envoyer un signal à l’encéphale l’interpréttant comme un signal lumineux (flash lumineux observés même s’ils n’existent pas)

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10
Q

Récepteurs polymodaux

A

Ce sont des récepteurs naturellement sensibles à plusieurs types de stimuli
ex:
- Les ampoules de Lorenzini situées sur le nez des Chodrychtiens qui vont détecter le toucher, les champs électromagnétiques et les gradients de température

  • Nocicepteurs humaisnq ui sont responsables de la perception de la douleurs, qui répondent aux stimuli très forts (température, pression, produits chimiques, etc.) et les signaux de danger immédiats pour les tissus et l’intégrité de l’organisme (CONSCIENCE RISQUE DE DOULEUR INTENSE POUR ORG.)
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11
Q

organe sensoriel

A

c’est l’unité fonctionnelle des récepteurs qui sera une structure anatomique spécialisée dans la réception d,un type particulier de stimulus

C’est en général un regroupement de cellules réceptrice dans un organe donné et parfois des cellule sunoques dispersées dans la couche épithéliale (pas organe définis en tant que tel)

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12
Q

constitution des organes sensoriels

A

C’est un ensemnle de cellules réceptrice qui seront regroupées ou éparpillée et quyi sera composé de divers tissus non neuronaux (serventa u fonctionnement de l’organe (nutriments, déchets, etc.)

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13
Q

Étapes de réception et encodage du stimulus

A

1- absorpion de l’énergie du stimulus (mécanique, chimqiue, lumineux, etc)
2. transduction sensorielle = traduction du stimulus en signal (en signal électrique)
3. amplification du signal
4. conduction et intégration du signal (SNC)

–> implique une série d’opération discrètes dans la cellule réceptrice.

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14
Q

Description des étapes de réception et encodage

A

Absorption
- C’est la captation du signal environnemental (stimulus). Par exemple, ce qui va se produire est qu’un récepteurs d’étirement, qui ets un neurone sensoriel simple associé à une fibre musculaire spécialisée recouvrant une jonction abdominale, va avoir transmission d’une énergie mécanique au niveau de ses dendrites qui sont ramifiés au centre de la fibre musculaire. Ceci aura pour effet d’étirer les membrane plasmiques dendritiques. Dans ce contexte, le neurone sensoriel viendra mesurer l’amplitude de contraction du faisceau musculaire.

Transduction sensorielle
- À cette étape l’énergie du stimulus sera convertie en signal électrique après son absorption. EN fait, l’étirement des memnranes palsmiques dendritique aura pour effet d’ouvrir des canaux ioniques (principal Na+) permettant de faire apparaitre un courant dépolarisant générant un un potentiel générateur

Amplification du signal
- L’énergie générée sous forme de potentiel d’action est plusieurs fois supérieur à L’énergie fournie par le stimulus et absorbé au départ (dépendemment de l’intensité de l’étirement ; infraliminaire, petite fréquence, grande fréquence)

Intégration et conduction du signal
- Le signal devient interprétable par le système nerveux central et est acheminable à celui ci grâce àà la génération d’une suite de potentiels d’avction qui ont généré un train de potentiel d’action. À ce niveau,. la fréquence de ceux-ci déopendendra de l’amplitude du potentiel génératreur.

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15
Q

Caractéristqieus générales sur les stimulus

A
  • l’amplitude du potentiel récepteur codera pour l,intensité du stimulus
  • le potentiel récepteur qui dépasse le seuil excitation aura pour effet d’induire un PA
  • la fréquence des PA va coder pour l’intensité du stimulis
  • La durée du train de PA va coder pour la durée sur stimulus.
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16
Q

Champ récepteur

A

C’est la zone spécifique qui correspond à la région stimulée (ex: peau) qui va causer un effet sur les neurones afférents impliqués dans le sens sollicité (ex: toucher).

La taille de ce champ récepteur va varier selon le neurone et le nombre de dendrites de ce neurone. L’information qui provient du neurone afférent.pourra signaler seulement si le stimulus c’est produit dans son champ récepteur.

On en a un primaire et secondaire

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17
Q

Champ récepteur primaire vs secondaire

A

On aura le neurone primaire qui sera associé au champ récepteur primaire (innervé apr neurone sensoriel primaire)
et
Les neurones secondaires qui sont les neurones sensoriels du SNC qui vont être assocué à un champ récepteur secondaire. CE dernier résulte de l’association(fusion) de multiples champs récepteurs primaires. Ils sont docn associés à une neurone secondire qui reçoit des signaux de plsuieurs neurones primaires.

–> ex: trois champs primaire qui se superposent qui lorsque combinés ensemble composent un champs récepteurs secondaire (somme des 3 champs primaires,). CHauqe neurones associé à un champs récepteur primaire innervera, envoie message par PA’ la section au neurone secondaire situé dans la moelle épinierre (il reçoit l,esnemble des informations)

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18
Q

Localisation du stimulus

A

LOcalisation apr des neurones aux chamops récepteurs, inhibition latérale et localisation apr différence temporelle

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19
Q

Localisation par des neurones aux champs récepteurs primaires chevauchants

A

L’information relative au stimulus est codée dans le patron de potentiel d’action qui ets produit par de nombereux neurone aux champs récepteurs primaires chevauchants. Avec cette information, on peut faire un test de discrimination entre deux points et avoir un indicateur de la localisation du stimulus. On aura différentes zones avec une localisation plus facile que d’autre

Dans cette zone on va venir piquer avec un compa avec deux aiguille et on va analyser la réponse :

1- On peut avoir beaucoup de neurones primaires avec une secondaire qui est située dans la moelle épinierre. Plusiuers primaire convergent vers un même secondaire L un champ secondaire large
–> sur la cuisse on a des récepteurs large avec donc plusieurs neurones sensoriels primaire associé à un neurone secondaire ce qui a pour effet de diminuer les chances de detrminer la localisation des deux pics. on aura une précision moindre et l’impression d’avoir un seul point avec une piqure en ne sachant aps de quel neurone primaire provient l’information.

2- On peut avoir peu de neurones primaires et donc un champ récepteur secondaire plus petit. ceci va avoir pour effet d’activer une voie séparée qui sera perçue comme un stimuli distinct.
–> si on pique sur la main ou le visage, les champs récepteurs seocndaire sont plus petits car les neurones secondaire sont innervés par un seule neurone sensoriel primaire ou quelques uns. on peut donc discerner plus facilement l’information et localiser précisement d’où provient l’information

Il en convient que la surface du champ récepteur est + corrélées à la capacité de détecter des stimuli sur une grande surface et - corrélé à la capacité de discriminer des stimils sur une petite surface

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20
Q

Inhibition latérale

A

Le thalamus va localiser précisément la stimulation :

Par exemple si on stimule avec une aiguille et on pique au niveau de neurones primaires proches on remarquera un processus qui sera réalisé afin de préciser la localisation du stimuli. Cette raction a pour effet de nous faire ressentir une piqure au biveau de sa source et moins autour
- On va piquer à un point B entouré par un point A et C
–> le neurone primaire au point B sera fortement stimulé et aura un fort tonus comme rxt, le a et le c auront une réaction un peu plus faible mais tout de même présente à casue du fait qu,ils sont localisés à proximité de la source de stimulus.
–> une quantité plus grande de neurotransmetteur sera relâchée dans la synapse entre le neurone primaire et secondaire par le neurone b1 que a1 et c1
–> La récation forte au niveau du B@ va avoir pour effet de produire une action et un relâchement de neurotransmetteur inibitheur dans une synapse axoaxonique enntre les neurones A2-B2 et B2-C2 venant inhiber le relâchement de neurotransmetteurs de leur part et annuler la potentielle activation de sneurones tertiaires A3 et C3 (vont au thalamus)
—> le neurone B3 est stimulé de manière plus intense ce qui déclencge un PA. Juste l,information du B3 sera transmise au Thalamus

Ceci a pour effet d’augmenter le contraste entre le centre du champ récepteur par l’activation de la voie transmettrice du signal et l’inactivation de la voie transmettrice du signal pour la périphérie. On peut donc préciser la localisation du stimulus.

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21
Q

Localisation par différence temporelle

A

Le cerveau va utiliser la différence temporelle d’arrivée du son au cortex auditif gauche et droit –> on ne va pas marcher avec des champs de récepteurs, amnis en mesurant la différence de temps que ça prend pour intergrer l’information provenant de l’oreille droite et gauche (temps arrivent à gauche ou droite)

  • Si le son provient d’en face : la différence temporelle sera petite (plus c’est devant plus se sera petit)
  • Gauche : Les signaux sonores de gauche arriveront le cortex auditif droit en premier. Une difféence tempoirelle avec le cortex gauche sera de plsu en plus importante plus le son sera vers la gauche.

On peut donc indiquer avec ce processus la localisation d,un stimulus

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22
Q

Durée du stimulus - adaptation

A

Le signal sensoriel du même récepteur en réponse à un stimulus prolongé subit toujours une atténuation temporelle.

On aura deux classe fonctionelles de récepteurs sensoriels qui vont coder la durée du stimulus

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23
Q

Classe fonctionnels de récepteurs sensoriels

A

Pour un signal d’une. même intensité et durée:

Toniques : Ils s’adaptent lentement et continuent de déclencher des potentiels d’action, mais à une fréquence diminuée

Phasique : Ils s’adaptent rapidement et ils vont cesser de déclencher des potentiels d’actions après un certain temps

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24
Q

Chémorécepteurs

A

récepteurs sensibles aux substances chimiques en solution.

Ils seront nombreux et divers pour sentir l’environnement interne et externe
Ils ont été longtemps sous estimé (humain moins important que animaux)

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25
Q

2 grands types de chémoréception

A

olfaction : détecte compo chimique air
Goût : détecte compo chimique dissous

–> distinction dif pour animaux aqua

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26
Q

Système olfactif Vertébrés

A

Localisation : dans la cavité nasale

Organisation :

Couche de mucus avec des protéines qui lie les odeurs
Épithélium olfactif composé de récepteurs olfactifs avec des projections ciliées dans le mucus (dendrites dans liquide qui attrape les mol d’odeur) et des cellules de soutien
Bulbe olfactif qui intègre tous les signaux transmis par les récepteurs olfactifs

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27
Q

Organe vomeronasal des Vertébrés

A

Organe olfactif accessoire (entre les deux narines) responsable de la détection des phéromones permettant ainsi une communication interindividuelle par une déytections des signaux chimiques des individus étrangers.

rôle dans : la hierarchie sociale, la vie reproductrice (ex: reflexe de flehmen), les comportements sociaux (territoire)

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28
Q

Nez –> cerveau

A

les dendrits au niveau du mucus reçoivent une molécule odorante = PG = PA –> Nt vers le neurone sensoriel secondaire (interneurone) dans le bulbe olfactif dans la partie antérieur du cerveau (pas thalamus).

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29
Q

TRansduction du signal olfactif des Vertébrés

A
  1. odeur lie r.o
  2. changement de conformation du récepteur active une protéine G
  3. L’adénylate cyclase = activée, convertis l’ATP en AMPc
  4. l’AMPc produit ouverture caannux cationique (Na+ et Ca2+ entre)
  5. Potentiel générateur créé (=dépol)
  6. L’afflux de Ca2+ active canaux Cl- (sort = dépol augmente)
  7. Le potentiel générateur active canaux Na+ v-d permettant au PA d’être transmis vers un interneurone du bulbe olfactif (SNC)
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30
Q

Codage information olfactive chez les vertébrés

A
  • Génome a environ 1000 gènes qui code pour des récepteurs olfactifs
    –> Humains plus autre Vertéb.rs = environ 10 000 odeurs dif
  • ch. neurone olfactif exprime un type de gène de récepteur olfactif
  • On a des champs récepteurs chevauchants avec ch. récepteurs qui peuvent reconnaitre plus d’une odeur menant donc à l,excitation de plsrs neurones olfactifs à dif ° = ona. une combinaisons unique de neurone olfactifs activés avec une odeur ce qui permet une reconnaissance d’une odeur particulière

Le code qui est permis par L,assemblage des informations des différents neuroens olfactifs permettent de distinguer des milliards d’odeurs

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31
Q

Exemple canidés

A

bulbe olfactif 4x plus gros que l,humain avec donc 40x plus de cellules cérébrales dédiés à l’olfaction (encéphale 10x plus petit) et environ 2000 milions de récepteurs olfactifs ce qui ets 25x plus que humain)

On a donc une sensibilité accrue avec uen capacité de sentir une odeur à une cocnetration 100 millions de x plus faible que humain (ex: odeur 40 pieds sous terre, empreinte digitale vieille une semaine) et une excellente mémoire olfactive en ayant la capacité de reconnaitre l’odeur d,une personne sans effort, même après une longue absence

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32
Q

Système olfactif des Invertébrés

A

organe récepteur situés à dif endroits du corps avec des organes spécifiques comme les antennes ou d’autre qui sont plus isolés comme les sensilles isolée

Les sensilles sont des protubérance (déviation cuticule) circulaire en forme de cil. les orfactifs ont un pore qui permet d’entrer les odeurs à travers la cuticule

Détail récepteur olfactifs
- récepteur + protéine G (dendrite reçoit)
-ch. neurone olfactif exprime psrs type de gène de récepteur olfactif
- les récepteurs ont des séquences a.a ∆ entre groupe invertébrés

On a donc une évolution indépendant ch invertébrés avec des mécanisme d’actions variés

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33
Q

Système gustatif des Vertébrés

A

On possède deux éléments importants :

  • Les papilles gustatives :
    regroupement de bourgeons gustatifs situés à divers local de la cavité buccale ou à la surface du corps poyr les verténb.rs aquatiques (tête, barbillon, nageoires)

On en a 3 types : foliées (sur côté au fond), fungiformes(en avant) , circumvallées (au fond)

  • Le bourgeon gustatif :
    regroupement de cellules gustatives

On v avaoir 3 types de récepteurs gustatifs qui sont associés a différents goûts. Ces cellules vont avoir un pore qui permet de faire rentrer le goût à tarvers l’épithélium. Au centre de ce pore seront présent des microvillosités sensitives qui sont des memnbranes réceptrices de goûts. Ces dernière vont faire des synapse avec un neurone afférent qui va transm,ettre le signal à un interneurone du SNC.
À l’alentour, il y aura des cellules épithéliales de support qui vont aussi permettrre le renouvellement (ex: basale de type 4)

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34
Q

Mécanisme de transduction de signal gustatif des Vertébrés selon le goût

A

salé : ouverture canaux Na+ –> dépol qui ouvre Ca2+
- Le NaCl et consommé va faire qu’on ouvre Na+ = dépol cellule = ouvre Ca2+ Vd –> commande NT être libéré et action au niveau du synapse pour coder l’envois d’une signal nerveu au cerveau mange salé

acide : fermeture K+ –> dépol ouvre canaux Ca2+
- beaucoup de molécules H+ rentre et attache à des récepteurs K+ qui se ferment et emp^chent le K+ de sortir = dépol de la cellule = activation Ca2+ VD –> NT relâchée envois message au cerveau pour dire mioum acide

sucré : activation prot G –> fermeture canaux K+ –> dépol ouvre canaux Ca2+
- le sucre active une protéine G qui va activer l’adénylate ccylase ce qui transforme l’ATP en amp cyclique menant à une fermeture des canaux K+ par ajout de phosphate = dépol = ouverture Ca2+ VD –> NT relâchée qui va dire mioum sucré

amer : activation prot G –> PLC transforme PIP2 en Ip3 –> ouvre canaux Ca2+ intracell
- molcéule amer s’accroche è son récepteur spécifique qui active une protéine G qui va activer une phospholipase C qui va transformer le PiP2 en IP3. Ceci a pour effet de faire rentrer des ions calcium intracellulaire dans le cytoplasme (dans le réticulume endoplasmique) –> on relâche un autre type de NT qui dit mioum amer

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35
Q

Mécanoréceptions def
- mécanorécepteur, extéro, proprio, intéro

A
  • mécanorécepteur : sensible aux facteurs mécaniques comme le toucher, la pression, vibrations et étirement (On en a plsrs)
  • extérorécepteur : environnement ext.
  • Propriorécepteur : locomotion et posture
  • Intérorécepteur : environnement interne
36
Q

Fonctions des mécanorécepteurs

A

Ils vont transformer un signal mécanique en signal électrique.
Ils seront importants pour le contrôle du vol. cellulaire, le contrôle équilibre, le sens du toucher, l’audition

36
Q

@2 grands types de mécanoréceptions

A
  • toucher et pression avec les :
    récepteurs tactiles : toucher, pression et vibration surface corps
    propriorécepteur : position corps
    Barorécepteurs : pression dans la paroi des vaisseuax sanguins et organes internes
  • Équilibre et Ouïe
37
Q

Récepteurs phasique (toucher)

A
  • corpuscule de Meissner (surface_)
    Info: Il est situé sous l’épiderme de la peau glabre sous al forme d’une capsule conjonctive avec les dendrites enroulées et les neurolemnocytes(myéline)
    rôle : pression faible et toucher discrimant
  • Corpuscule de PAccini (profondeur)
    info : situé sous l’épiderme de la peau glabre sosu la forme dune capsule conjonctive avec les dendrites enroulées par des lamelles
    rôle : pressiin forte et étirement
  • Follicule pileux
    info : racine du poil
    rôle : détecter le mouvement du poil qui sera proportionnel au contact du pelage avec un obsatcle ou un objet
37
Q

Récepteurs tactiles des Vertébrés

A

Ce sont des mécanorécepteurs isolés et incorporés dans la peau qui peuvent être toniques ou phasique. Les neurones vont avoir le soma dans le ganglion de la racine dorsale. il y a aura différentes catégories à différentes fonctions

37
Q

Récepteurs tonique (toucher)

A
  • terminaisons libres
    info :situés sur le tissu et l’épithélium
    rôle : pression, thermique et chimique. Ce sont les nocirécepteurs (douleur)
  • Disques de Merkel
    info : épiderme basale avec des dendrites qui sont liées à des cellules rondes
    rôle : pression faible et toucher discriminant
  • Corpuscule de Ruffini
    info : conjonctif dermique et articulaire
    rôle : pression forte et étirement
38
Q

Récepteurs tactile des insectes

A

sensille trichoïde : protubérance circulaire en forme de cil
rôle : vibration et toucher
transmission : détection vibration/tocuher –>mouvement transfert à neurone par structure accessoire –> ouverture canaux ions sensible à étirement –> changement potentiel membranaire (PG) –> transmet PA au SNC

sensille campaniforme : protubérance circulaire en forme de dôme
ifno : ils sont organisés en grappes dans l’articulation des membres
transmission : trichoïde
rôle : détecte déformation cuticulaire liée au mpuvement permettant une coordination pour la locomotion

39
Q

Propriorécepteurs des Vertébrés (info)

A

Ce sont des mécanorécepteurs ds une articulation, muscle ou un tendon qui vont envoyer des info relatives à la locomotion, la posture ou encore le tonus musculaire.
- Ce sont des récepteurs toniques (continu info position corps)
- on en a dif : fuseau neuromusculaire neurotendineux et capsulaire

40
Q

Propriorécepteurs des Vertébrés (description)

A

fuseau neuromuculaire (tonique)
- info : à la surface de tous les muscle squelette
- rôle :: détecte longueur muscle (permet savoir où est, position, =, debré contraction)

fuseau neurotendineux
- info : point insertion tendon-muscle
- rôle : stimulé par changement de tension ds tendon

récepteur capsulaire
-info : capsule synoviale (synuvie = huile pour pas frottement)
rôle : info sur position et mouvement articulation

41
Q

Oreille des Vertébrés

A

c’est l’organe qui participe à l’ouïe et l’= des Vertébrés. Il est composé de 3 sections :
- oreille ext : pavillon + méat acoustique ext = réceptacle entrée son
- oreille moyenne : cavité emplie air avec tympan, marteau, enclume et étrier
- oreille interne : vestibule, cochlée qui forme une série de sacs et de canaux remplis de fluide (endolymphe)

42
Q

Variation interspécifique oreille

A

Les poisson, amphibiens, reptiles, oiseaux et quelques mammifères n’auront pas d,oreille externe et les poisson auront pas d’oreille moyenne.

43
Q

Ouïe des Vertébrés

A

Chez les poisson le son arruvera directement à l’oreille interne alors que chez les vertébrés terrestre on aura l’oreille moyenne et parfois externe.
L’oreille moyenne aura avec le tympan et l’osselet le rôle d’amplifier les vibrations sonores jusqu’à l’oreille interne
L’oreille externe sera un pavillon qui va agir comme un entonnoir qui va récolter les sons de l’air vers le canal aufitif.

44
Q

Mécanisme audition des Vertébrés (éléments)

A

Cochlée : cavité osseuse spiralée et conique de l’oreille interne remplie de fluide, endolymphe, qui abrite le récepteur de l’audition qui est l’organe spiral.

organe spiral : conduit cochléaire avec la lame basale (os avec lame basale qui a les cellules ciliés)

Nerf cochléaire : jonction des neurofibres afférentes des celluels sensorielles ciliées située entre le conduit cochélaire et la lame basale

45
Q

Mécanisme audition des Vertébrés (fonctionnement)

A

Amplification vibrations
1- tympan vibre à fréquence du son reçu
2. osselet à un système de levier qui va amplifier le son reçu (osselet tappe ds os cochlée)
3. on a une transmission de la vibration amplifiée à la fenêtre vestibulaire de faible surface par formation de vague ds liquide

Transmission
- Le son arrive sous forme de vibration. Dans l’oreille interne remplie de liquide il y aura formation de vagues, qui plus elles sont importante, plus elles auront des chance de faire bouger les cellules ciliées qui seront plus bougée et enverront donc un sons plus important. Les cellules ciliées seront bougées si le sons est dnas le champ auditif et s’il passe par le conduit cochl.aire faisnat donc bouger les cils de la cellule et envoyant donc un message. Ces cils sont situés sur la lama basiliaire. Le son qui sera envoyé, aigu (proche, haute fréqu) ou grave (loins, basse ferq) sera en fonction de la localisation des cellules ciliés activés sur la lame basilaire.

46
Q

perception auditive évolution

A

chaque sp. animal a un champ auditif qui la caracrtérise. ce champ sera en fonction de son milieu de vie et sa niche écologique. on aura une optimisation de la perception des bruits émis par les conspécifique.
Les humains, par exemple, on un champ qui ets quasi centrés sur la zone conversationelle.

47
Q

Ouïe invertébrés

A
  • évolution
    On a une variation interspécifique dans la capacité auditive avec certaines espèces qui N’ont aps d,organes et d’autres qui ont des organes de l’ouïe à plsrs endroits du corps
  • organe non spécialisé
    On a les sensille trichoïdes modifiées positionné sur tout l’exosuqelette qui vont vibrer avec l’onde sonore environnante et qui va le transmettre à un neurone sensoriel
  • organe spécialisé (3 catégories)
48
Q

organes spécialisée ouie insecte

A

organe de Johston
-info : base des antennes
- rôle : détecte des sons de conspécifiques (ex: cri appel des mâles)

organes tympanique
- inro : cuticule très mince déformable à dif endroits
-rôle : détecter sons environnants

organes supratympaniques
- info : sur les pattes, cuticule fine vibre en fct vibration, juste sur les pattes
- rôle : détecte des vibration dans l’air ou la terre

49
Q

Équilibre (def et fonction)

A

Détection de l’orientation du corps p/r à la gravité.

Fonctions :
important particulièrement pour aqua
absent chz certains taxons (ex: insectes_
vertébérs : équilibre et ouie situés dans le même organes
invertébérs : dans différents organes

50
Q

Équilibre chz invertébrés

A

statocystes : cavité remplie de fluide, dont la paroi est couverte de neurones mécanorécepteurs

statolithes : particules denses de carbonates de clacium

mécanisme (exemple homard, bol avec bille à int.)
- On a un changement de l’orientation de l’animal ce qui va faire bouger les statolithes, sur la paroi du statocyste, qui vont suivre la gravité. ceci va avoir pour effet d’envoyer, par la pression des billes, un signal sur le neurones snesoriel qui activent une protéine memnbranaire et mène à la dépolarisation du neurone envoyant aunsi un signal au SNC.

Pour les pieuvres on aura 3 cristas d’oreientation (tuyaux) différente et une macula. On a une pression dnas la macula suite au mouvement ce qui va faire bouger les billes

51
Q

oreille interne des Vertébrés

A

ensmeble composé de 3 canaux semicirculaires disposé en 3 plans perpendiculaires entre eux et joints à leur base par un renflement (ampoule) et une série de sacs (utricule et saccule)
parfois, chez certains vertébrés, le saccule aura un appendice portérieur qui est la lagena

52
Q

Fonction oreille interne vertébérs

A

Sens équilibre : ampoule, utricule et saccule qui contiennent des cellules ciliées mécanoréceptrices

sens ouïe : chez les oiseaux et les mammifères, la lagena est étendue (canal cohélaire/cochlée)

53
Q

cellule sensorielle ciliée des vertébrés def

A

cellules épithéliales modif qui ont des stéréocils à leur extremité qui vont convertir un signal mÉcnaique en changement de potentiel membranaire et en faisant un synapse avec un neurone afférent

54
Q

Fonctionnement cellules ciliée sensorielles (concept general)

A

Ces cellules vont avoir un potentiel de repos de -60 mV.

En temps normal de repos avec une tête droite, il y aura une netrée régulière de K+ menant è une dépolarisation qui va produire une entrée de Ca2+ libérant par la suite des NT vers le neurone afférant qui va générer un PA à une fréquence régulière

Dans les autres cas on aura une dépolarisation plus intense (NT vers afférent) ou une hyperpolarisation (pas NT). Ce sera selon le sens du mouvement des cils qui déterminera ce qui va se produire:

Si on bouge vers le chinociluym on aura plus de canaux K+ ouvert et donc une dépolarisation plus intense que la normale (plus de NT et plus de PA) alors que si on bouge vers el sens inverse on aura une hyperpolarisation comparativement à la normale (moins NT, moins PA).

55
Q

Fonctionnement cellules ciliée sensorielles (selon localisation)

A
  • Macule qui est soit l’utricule (macule horizon) et la saccule (macule verticale)
    Elle va composé des otholithes qui sont des pierres d’oreilles qui vont être posées sur une matrice gélatineuse située au-dessus d’une membrane recouverte de plsu de 100.000 cellules ciliées.

Par la disposition des macules, on va avoir une disposition des cellules ciliés dans deux plans différents ce qui va permettre de ressentir les mouvement en 2D.

rôle : détecter mouvement accélération et aura une stimulation lorsque le corps est en position penchée

  • Ampoule
    C’est une crista qui est une cupule qui contient une matrice gélatineuse en vis-à-vis d,une membrane qui contient de nbrx cellules ciliées. Les différents canaux vont permettre de détecter l,accélération dans un plan différent ce qui va permettre de ressentir les mouvements en 3D
    rôle : détecter l’accélération angulaire et est stimulée quand le corps est en mouvement circulaire
56
Q

Fonctions spécifique de l’utricule

A

mouvement constamt + repos
- on a une dépol partielle avec des PA généré à une fréquence moyenne

accélération avant
- les celluels ciliées sont penchées vers le long stérocil (kinocilium) ce qui a pour effet de faire une dépolarisation plus importante augmentant les PA

accélération arrière
- cellule penchent opposé kinocilium = hyperpol de la cellule = diminution forte PA

tête penchée vers l’avant
- comme accélération arrière, amis moins intense = diminution moyenne PA

tête penchée arrière
- comme accélération avant mais moins intene = augmentation moyenne PA

57
Q

fonction spécifique ampoule

A

Cellule ds gélatine entourée de liquide : selon mouvement liquide, pression dif
Mouvement constant et repos
- dépolarisation partielle avec des PA généré à uen dérquence moyenne

si on a une accélération ; chaque canal semicirculaire va avoir son ampoule orientée dans 1 plan dif et ce aprce que le fluide dans un canal particulier va bouger si un mouvement est effectué ds ce plan. Si on accélère le fluide ne bougera pas de la même manière dans tous les canaux.

Mécanisme
- le fluide du canal va pousser sur la paroi de l’ampoule et donc sur la cupule ce qui va stimuler les cellule ciliées du canal qui a le fluie en mouvement. On aura un changement de fre des PA dans les neurones afférents assoc.

On aura une dépolarisation et hyperpolarisation selon la direction du mouvement associé

À ce niveau le SNC pourra comparé la stimulation simultan;ée des 3 canaux pour déterminer la direction du mouvement (mal transport = mauvaise analyse)

–> si tourne sur toi même ch. semi circualire sera appuyé d’une manière dif

tourne tete droite = pousse sur paroi et bouge gélatine, si gauche = augmente si droite = diminue

58
Q

Sensorielle ciliée primates

A

Si tu tourne sur toi même on aura une accélération qui va bouger le liquide de l,endolymohe et va dépplacer la cupule ce qui va activer les cellules ciliée et exciter les neurones sensorielles. Quand on tourne le sens de l,endolymphe et oposée au sens de rotation. Quand on diminue la rotation, l’endolymphe va continuer de bouger mais dans le sens de la rotation ce qui va bouger la cupule à nouveau mauis dnas le sens opposé ce qui va inhiber les cellules sensorielles.

Chez les primates l’action simultanée de l’oreille interne, des ampoules et des macules permet à l’individu d’obtenir de l’information sontinue sur la position de son coprs p/r à l,environnement

59
Q

Neuromastres des Vertébérs aquatiques

A

CE sont des cellules ciliées associées à des cellules de soutien qui sont dans une capsule gélatienuse.
Elles vont permettre de détecter les mouvemenst dans L,eau (proie/prédateur)

Espèces : poisson, amphibien larvaire, amphibien aquatique adulte
localisation : sur la peau de manière diffuse (antérieurement surtout) ou sur la ligne latérale (trous qui font rentrer le liquide dans lequel baigne l,animal) – bouge gélatiene manière ou autre

60
Q

Photoréception def et fonction

A

Photorécepteur : récepteur sensible aux photons dont la longueur d’onde est incluse dans leur spectre de visibilité
- Signal lumineux transformé en signal électrique
- La longueur d’onde captée : 300 - 100 nm (humain = 350 - 750 nm)

61
Q

Évol photoréception

A
  • Les spectre étroit qui correspond aux longueurs d’ondes qui peuvent traverser les masses d’eau a participé à l’évolution de la vision chez les animaux aquatiques, car ils ont évolués en fonction de ce spectre étroit
  • on a évolué 2 lignée de photorécepteurs

photorécepteurs rhabdomériques présents dans les microvillosités membranaires chez la plupart des invert.br.s

photorécepteurs ciliaire qui sont dans une membrane de dérivation ciliaire, présent chez les vertébrés et quelques invertébrés.

62
Q

Organes photorécepteurs

A

Oeil : organe complexe qui est capable de détecter la lumière grâce à ses photorécepteurs avec un signal lumineux qui va être transformé en signal électrique.
On a une importante diversité structurale observée au sein de certains taxons aquatiques

63
Q

Aspect évolutif de la photoréception

A

premier stades évolutifs
- l’épithélium simple récepteur qui va inclure un écran pigmenté et des cellules photoréceptrices.
On aura des détecteurs de lumières suelement (présence/absence) –> important pour plancton

Évolution vers l’oeil vrai
- l’Épithélium modif récepteur en cupule optique différenciée Incurvation qui donne info sur degré de lumière)–> incurvation abvec eau dedans (passe ds liquide avant passer à cellule = focalsiation) avec une apparition par la suite d,accessoire optiques comme la lentille et la cornée (focalisation) qui permettent la formation d’image à la façon d’une caméra –> donne à la fin l’oeil cannelunaire (cornée, lentille, iris)

64
Q

Diversité structurale de l’oeil

A

oeil plat
- rétine palte (cellules photoréceptrices) avec un épithélium pigment. (ex: patelle)

oeil en tête d’épingle
- rétine courbée avec un épithélium pigmenté permettant de discriminer la direction et intensité lumineuse (ex:natile)

oeil vésiculaire/camérulaire
Lentille (cristalin) avec une rétine courbée et un épithélium pigmenté
permet d’augmenter la polarisation de la lumière ( = focalisation lumineuse)
ex: Mammifères

oeil convexe/composé
- Multitudes d’ommatidies ayant chacune leur propre lentielle
ex: arthropodes

65
Q

Oeil composé des insectes

A

ommatidies : unité fonctionnele de l’oeil compo qui a ch. leur propre lentielle cornéenne et cristalline permettant à ch. ommatidie de former une mini-image. L’image intégrée sera une composite en mosïque de mini-images (cristal =- focalise, rétine = augmente intensité de lumière)

Organisation
- cuticule modi en lentielle cornéenne ; cone cristallin, cellule rétinulaire photoréceptrices ; rhabdome = centre du cercel formé par les photorécepteurs rhabdomérique où se projettent leurs microvilli

crac
- vision très proche quelque mm de l’individu
- vision très précise (écehelle micro)
- vision panoramique (~360° chz libellule)
- ∆ des performances de vision selon nbr d’ommatidies de l’spé (1 à 30 00 selon sp)

66
Q

Oeil camérulaire des invertébrés

A

cristallin : lentille réfractant la lumière de sources multiples qui va pouvroi focaliser une source simple de lumière en un point donné de la rétine et qui va permettre la polarisation de la lumière

organisation rétine (forme incurvée)
- cellules photoréceptrices à la surface de la rétine
- cellules de support : entre les cellules photoréceptrices
- nerf optique : réunion des axones des cellules photoréceptrices, envoie vers cerveau

67
Q

Oeil camérulaire des vertébrés

A

parcours de la lumière travers l’oeil
- cornée –> humeur aqueuse –> pupille –> cristallin –> humeur vitreuse –> rétine

Caractéristqiues
- iris : composée de muscles lisses pigmentés qui entoure l’ouvertuire de la pupille, qui se contracte ou se dilate selon l’intensité de la lumière
- cristallin : focalise la lumière sur la rétine
- rétine : recouvre le fond du globe oculaire et est composé de cellules photoréceptrices, bipolaires et ganglionnaireé Il va faire des synapses avec les cellules bipolaires.
- choroide : membrane recouvre la rétine. Elle est nutritive (riche en vaisseaux sanguins) et protectrice (froid, réflexion lumière (pour pas la perdre, yeux chat ds noir ; absorbe en journée)

Permety de former une image de forte intensité, de mise en point (focusé), inverse

68
Q

Organisation de la rétine

A
  • cellules photoréceptrices située à l’arrière de la rétine
  • cellules bipolaires qui font la synapse avec les cellules photoréceptrices
    cellules ganglionnaires qui font l;a synapse avec les cellules bipolaires
    Nerf oiptique : jonction des axones des cellules ganglionnaires passant à la surface de la rétine (zone aveugle)
    interneurones : dans la cocuhe intermédiaire (avc cellules ganglionnaires et bipolaires)
  • horizontales (signal direct) et amacrines (modifie selon le degré de luminosité) –> couleur robe, dépend interprétation luminosité amacrine diminue ou intensifie
  • On a la macula/fovea qui est la section circulaire de la rétine où la lumière arrive directement sur les cellules photoréceptrices : vision aprfaite (ganglion et bipo sur le côté permettant de ne pas obstruer le voyage de la lumière)

photo–> bipo –> ganglionnaires –> axone (nerf optique) –> SNC

69
Q

Photorécepteurs des mammifères

A

1- Cônes
- sensibles à la lumière vive
Ils ont moins de photopigments, un temps de rèéponse rapide, une intégration sur une courte période

  • Jusqu’à 3 types d’opsine
    Ce sont les photopigments, ils sont tous sensible à une longeur d’onde dif (bleue, verte, rouge)
  • Ils sont une sensibilité réduite
    vision diurne et de couleur

2- Bâtonnets
- sensible à la lumière faible
Ils ont plus de photopigments , un temps de réponse lent (sombre –> lumière = prend temps) et une intégration sur une longue période
- 1 seul type d’opsine qui est la rhodopsine
- Une grande sensibilité : vision nocturne et en nuance de gris, permet le vision périphérique

–> les deux ont le même fonctionnement = synapse sur neurone bipolaire –> synapse sur ganglion –> nerf optique
–> termino est basée sur segment externe qui contient les photopigments
–> ce N,est pas un champ récepteur mais une portion de l,espace visuel échantilloné par la cellule ganglionnaire

70
Q

traitement info photorécepteurs

A

Bâtonnets : signal convergemts
- on aura plusiuers bâtonnets qui vont faire une synapse avec un neurone bipolaire et plusieurs neurones bipolaires qui vont faire une synapse avec une cellule ganglionnaire. La cellule ganglionnaire va être associée avec un champ récepteur qui va lui transmettre des signaux entrant de plsuieurs cellules photoréceptrice
Le résultat est donc une imahe peu détaillé avec une faible acuité visuelle
–> batonnet performanbt apr effet de convergence qui concentre l’info à un endroit

Cône : signal non convergent
- On aura un cône qui va produire une synapse avec un seul neurone bipolaire. ce neurone fera une synapse avec une cellule ganglionnaire. La cellule ganglionnaire sera donc associée à un champ récepteur qui reçoit des sugnaux entrants d’une seule cellule photoréceptrice
Le résu;tat est une image détaillée de haute définition et d’une grande acuité visuelle.

71
Q

Organisation des ohtorécepteurs

A

segment interne
- forte [] de mitochondries
- fournie É aux rxt photoréceptrices
- cils de connexion vers le segment externe

segment externe
- invagination cytoplasmique en disques
- enfouie ds la partie pigmentaire de la rétine
- réseau élaborée de photopigments

72
Q

Photopigments

A
  • rétinal et opsine : on a une diversité d’opsine
  • Plsuieurs types de pigments qui vont être contenus dans les disques et qui vont changer de forme en absorbant la lumière (change polarité cellule = bipo = PG et PA)

On aura une sensibilité aux différentes longueurs d’ondes captées

73
Q

Diversité structurale chz vertébérs - photorécepteurs

A
  • la forme du segment externe ne sera pas toujours bien différencié avec une distinction peu nette entre els cônes et bâtonnets
  • Les photopigments déterminent le type de photorécepteurs Avec des protpriété du photorécepteurs qui va dépendre du pigment qu’il va contenir
74
Q

diversité fonctionnelles des photorécepteurs

A

rhabdomérique (ex: bcp invertébrés)
- Voie de la phospholipase C: PIP2 –> DAG –> dépolarisation

ciliaires (ex: Vertébrés)
- voie du GMPc: PDE –> GMPc diminue = hyperpolarisation faible/forte
- faible si peu de lumière, mais pas forte si bcp de lumière

75
Q

Définition thermorécepteur (pas toutes sp)

A

récepteur sensible à la chaleur ou au froid avec 3 grands types de récepteurs
- sensible chaud
- sensible froid
- sensible au chaud extrême (Température contact > 30-45°C)

76
Q

Mécanisme thermoréception

A
  1. récepteurs du chaud : fossettes sensorielles des Reptiles (un peu comme rétine)
    - ils captent la chaleur radiant émise par un individu endotherme (Température constante)
    - capable de capturer une proie en obscurité tot. –> un peu comme audition (droute = stimule droite, gauche = gauche, tout droit = les deux)
  2. récepteurs du chaud et du froid des Mammifères
    - sensibles à un faible changement de température (ex: -0,05°C)
    - récepteurs spéciaux sur un neurone sensoriel afférent
    - récepteur lié à un canal cationique qui s’ouvre si le récepteur est activé –> génération de la dépol du neurone afférent
    Ce sont des récepteurs polymodaux :
    a. Les récepteurs TRPM8 sensible au froid et à un ligand chimique (menthe)
    b. les récepteurs TRPV1 sensible à la chaleur et à plsrs ligands chimiques (capsaïcine, composant de moutarde et wasabi)
77
Q

Électroréception -def

A

Électrorécepteur : récepteur sensible aux champs électriques
- Souvent retrouvé chz les org aquatqiue , puisqu’ils vivent dans un environnement rempli de champs électriques
–> poissons, amphibiens + Mammifères Monotrèmes
–> il permet de détecter l’environnement abiotique et biotique

78
Q

Mécanisme - électroréception

A
  • poisson faiblement électrique –> produit champ et le reçoit
    organe électrique qui ets un muscle avec un tissu nerveux modif
    cellules épithéliales modif dérivées de détecteur de pression ds la ligne latérale (detection est dif si metal (peut être org vivant) ou pas metal)
    rôle : communication intraspécifique et détection en eau trouble de l’environnement et des proies
  • Cas des monotrèmes
    Mécanoréception + électroréception simultanée
    On a des neurones sensoriels qui détectent les proies proches du bec
    C’est une evol indépendante des autres vertébérs
79
Q

Magnétoréceptions

A

Magnétorécepteurs : récepteur sensible aux champs magnétique
- rôle : navigation à l’aide du chhamp magnétique de la terre
- Qui :
Invertébr.s : certaines bactéries, drosophiles, abeilles, homards…
vertébrés : espèces migratrices (oiseaux, tortues, requins, raies, …)

80
Q

Mécanisme magnétoréception

A

Magnetite
- metal qui répond aux champs magnétiques, isolés dans certains neurones de l’épithélium olfactif de truites. Ils vont être en chaine ds la cellule ~ aiguille de boussole. (change de direction comme boussole) C’est un mécanisme de réponse neuronal qui n’est pas encore élucidé.

Autres mécanismes
- certains animaux vont être capables de répondre aux champs magnétiques qui ne possèdent pas de magnétite. Ce n’est pas encore élucidé (ex: pigeons)

81
Q

Indices navigation selon les sp

A
  • champ magnétique terrestre (expérience = casque sur pigeon)
    influence importante (mais pas exclusibe) chz pigeons
    influence chz certains Arthropodes (abeilles, drosophiles)
  • compas stellaire (astronomique) (position étoile, expérience = planétarium)
  • compas solaire (expérience = simule nuit + longue)
    influence majeure chz oiseaux et quelques arthropodes
    utilisation du rythme circadien
  • intégration vectorielle (expérience = déplace de quelque cm de son point d’arrivée = perdue car vecteur non comptabilisé)
    influence majeure chz invertébrés (fourmis, etc.)
    additionne vecteur = grande vecteur –> dirige plus rapidement vers nid
82
Q

Sytèmes sensoriels et rythmes circadiens

A

circadien : ∆ journaliè;re prévisibles de paramètres physio liés au cycle jour-nuit enduré par l’individu (plus froid matin que après mid, position soleil etc.)
–> les systèmes sensoriels permettent aux animaux de percevoir leur environnement (int et ext,) le plus distinctement possible

Intégration des info sensorielle
- Hypothalamus = horloge bio (change activité jour/nuit avc prod homrone)
–> contient + de 10.000 neurone et est le centre de l’horloge circadienne
Il active diverses glandes endocrines : hypophyse et glande pinéale

–> le compo et la physion animal = dépendant de sinfo sensorielles reçues