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Management des système d'information > Chapitre 2 Structure du SI > Flashcards

Chapitre 2 Structure du SI Flashcards

1
Q

Typologie des entreprises et influence sur la structure du SI

A

3 mode de commercialisation

  • Commerce de produit avec la grande distribution: usage d’EDI (échange de données informatisées) maîtrise des coûts logistiques et codification commune des objet.
  • e-commerce BtC: difficulté pour connaitre les clients et leurs besoins, problèmes de sécurité du paiement et de logistique
  • Commerce de produit et service BtB: devis et affaire suivit sur la durée, garantie et maintenance

2 modes de gestion:

  • gestion par affaire
  • gestion par produit

2 modes d’activité

  • Industrie de montage
  • Industrie de processus
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Q

Commerce de produits avec la grande distribution

A
  • Produit de consommation courante à la DLC : necessite un loud SI
  • Produit d’équipement à cycle de vie et à marge réduites: se caractèrise par des produit ayant des cycles de vie et une phase de maturité
  • Services et produit culturels
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3
Q

Caractéristique communes aux relation avec la distribution moderne en libre service

A
  • Éclatement de la notion client (linéaire, centrale d’achat, les magasin ne font qu’assurer la distribution)
  • Ouverture des SI (transmission d’information immédiate via les EDI; avantage désynchronisation de l’émission et de la réception du message, standardisation de la structure des messages, sécurisation de la transmission des message, existence d’un cadre contractuel entre partenaire, référentiel commun pour les produits et les acteurs)
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4
Q

Avantage de l’Echange de Données informatisées

A
  • désynchronisation de l’émission et de la réception du message,
  • standardisation de la structure des messages, -sécurisation de la transmission des message,
  • existence d’un cadre contractuel entre partenaire, référentiel commun pour les produits et les acteurs
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5
Q

Différents acteurs du passage d’une commande

A

Acteur:

  • passant la commande
  • destinataire de la commande
  • etant livré
  • recevant la facture,
  • réglant la facture
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6
Q

Difficultés de l’EDI

A
  • Recours à plusieurs logiciel (comunication, traduction,gestion commerciale…)
  • Nécessité d’une organisation rigoreuse chez les partenaire
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7
Q

Influence de l’utilisation de l’EDI sur les méthodes de gestion

A
  • Gestion par lots des articles

- Suivi des marges et dégradation

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8
Q

Problèmes posés par la commercialisation en B to C

A

L’existence d’un SI performant et adapté est un FCS car:

  • de nouvelles méthodes pour connaitre les clients et leurs besoin
  • le paiement, recherche de sécurité réciproque
  • la logistique: prise de commande et condition de livraison
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9
Q

Nouvelles méthodes pour connaitre les clients et leur besoins

A

Le fournisseur ne rencontre jamais ses client ni le produit ce qui peut être un handicap.
Pour contrecarrer ces désagréments il faut:
-Donner un choix plus vaste qu’en magasin
-Proposer un aperçu du produit (audio, visuel…)
-Une bonne disponibilité des produits en magasin
-Une rapidité dans la livraison
-Adapter le site au comportement des clients potentiels
-Utiliser les information collectées sur le site pour étudier le comportement des consommateurs
-Essayer de pousser la vente comme dans une sur face de vente en libre service

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10
Q

Comment résoudre le problème du paiement

A

Mise en place de protocole sécurisé, cryptage…

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11
Q

Comment résoudre le problème de logistique

A

Bien signifier:

  • la possibilité de se faire livrer à domicile
  • les délais de livraison
  • les coûts supplémentaire supporté pour la livraison
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12
Q

Commercialisation B to B, éléments caractéristiques

A
  • La négociation commerciale (elle est monnaie courrante et exempt de réglementation par rapport aux marché public)
  • Une charte portant sur la qualité
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13
Q

Quels sont les différents modes de gestion possible

A

Gestion par affaire
Gestion par produit
Gestion mixte

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14
Q

LA gestion par affaire

A

C’est un contrat de vente ayant un caractère unique d’où l’expression d’un cahier des charges pour le client et un devis pour le fournisseur.
Caractéristique susceptible d’en accroitre la complexité en termes de gestion
-durée
-complexité
-fractionnement de la facturation et des réglement
-CA réalisé sur le contrat
-charges affectées au contrat

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15
Q

La gestion par produit

A

Il s’agit de gérer la rentabilité de produits et services standard au catalogue de l’entreprise

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16
Q

Les différents type d’industrie existant

A
  • Industrie de montage

- Industrie de processus

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17
Q

Industrie de montage

A

CAO;
La fabrication se déroule en 2 étapes:
-confier la production de sous ensembles
-assemblage des sous ensembles

Comment optimiser la planification de la fabrication:
Il faut interfacer la CAO et la GPAO
Chaque modification aura des impacts en terme de
-modification de nomenclatures et de gammes de fabrication, sur les conditions d’achat
-intégration des SI des principaux fournisseurs qui sont partenaires
-interfacer la CAO
Il faut également obtenir la synchronisation des opération et un controle qualité de chaque éléments

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18
Q

Industrie de processus

A

1 ere phase: élaborer un mélange
2nde phase conditionner le mélange élaboré

Pas de recours au CAO

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19
Q

Influence des méthode de management japonaise sur les SI

A
  • JAT
  • Flux tendu/Flux tiré
  • Les fiches kanbans
  • Les cinq 0 olympiques
  • La méthode SMED
20
Q

Le JAT

A

Mener l’activité en fonction de la demande, sans stock et sans délai.
Il nécessite une info fiable et sans délai pour supprimer les stocks tout en assurant une disponibilité au délai le plus court des produits.

Avantage: réduit le délai de livraison du client

Fonctionnalité nécessaire à la mise en place d’un flux tendu

  • transmission instantanée de nouvelles commandes pour les intégrer dans le portefeuille
  • planification dynamique de la fabrication
  • gestion des flux matières correspondant au programme de fabrication
  • gestion de l’ordonnancement des équipes en fonction des cadence

Par ailleurs la notion de zéro stock n’est qu’un idéal, et la réduction des séries ne constiste pas à produire à l’unité

21
Q

Les flux tirés et tendus

A

Les flux d’activité sont tirés par la demande et sans stocks

22
Q

Les kanbans

A

Fiches suiveuses en cours des process, qui circulent de l’aval vers l’amont afin de garantir qu’on ne fabriquera pas de stock;
Besoin d’une automatisation de la gestion des fiches kanban au sein du SI afin de prévenir un entassement des fiches dans les atelier les plus lents

23
Q

Les 5 0

A

0 stock,0 délai, 0 panne, 0 défaut, 0 papier
Il en résulte:
-Une gestion informatique fiable et en temps réel des stock

24
Q

La méthode SMED

A

Réduction des durées de changement d’outils sur les machines afin de permettre la réduction des séries et donc la réduction des stocks intermédiaires et des délais de livraison b
Single Minute Exchange Of Dies

25
Q

Les nouvelles méthode de contrôle

A
  • Méthode ABC (activity based costing
  • Méthode ABM (activity based management
  • Desing to cost
26
Q

Quels sont les éléments constitutifs d’un SI

A
  • Des application opérationnelles pour gérer la transformation des flux entrant en flux sortant
  • Des applications décisionnelles pour aider les modules pilotes à prendre des décisions²
27
Q

Exemple d’application opérationnelle

A

Elles sont utilisées par le personnel opérationnels:

  • Gestion commerciale ou suivi des client
  • Gestion des achats et des approvisionnements
  • Gestion de la production
  • Gestion de la maintenance et des garanties
  • Paie et gestion des RH
  • Comptabilité et gestion financière
28
Q

Méthodologie de construction d’application opérationnelles evolutives

A

Facile de recourir à des logiciels standard du marché ou progiciel dans certains cas d’activité commune à de nombreuse entreprise (compta), Sinon développement de progiciel métier (bcp de paramétrage possible)

Le modèle se construit de la façon suivante:

  • Un enchaînement de processus
  • à chaque étape du processus une interaction avec un des acteurs
29
Q

La structure de données sous jacente au suivi des contrats d’achats-vente

A
  • Paramètres codifié (secteur d’activité)
  • Des objets de base
  • Des objets représentant des flux d’activité
30
Q

Quels applications comptable à la représentation des processus

A

On inscrit sur chaque flèche du processus les action comptable à effectuer dans le cadre de la mise en oeuvre du processus (saisie, paie, cotisation sociale, facturation, réglement…)

31
Q

Structure de données sous jacente au processus de tenue de la comptabilité

A
  • Paramètres codifiés (dossier multiple…)
  • Objets de bases ou pivots (Journaux auxiliaires, type de pieces, plans comptable…)
  • Objets représentation des flux d’activité
32
Q

Fonctionnement du logiciel de comptabilité

A
  • Saisie des écriture comptables
  • Dans un brouillard, pointage et modification
  • Lettrage
  • Ecritures rendues définitives
  • Obtention des documents comptables
33
Q

Fonctionnement du logiciel de GRH

A
  • Etablir des bulletins de salaires
  • Editer un journal de paie et le transférer en comptabilité
  • Ellaboration des déclarations fiscales et sociales périodique
  • Génération des réglements
  • Edition des fiches individuelles des salariés
  • Elaboration des déclaration annuelles des salaire
  • Gestion de la formation permanente
  • Gestion de la GPEC
34
Q

Fonction des solutions de gestion de production orientée métier

A
  • gérer la planification et l’ordonnancement de la production
  • assurer la traçabilité des opérations, depuis la réception des matières et composant jusqu’à la livraison du client
  • Calculer les coûts de production
35
Q

Objectifs des Systèmes interactifs d’aide à la décision (SIAD)

A
  • Fournir une information pertinente au niveau de hiérarchie du décideur
  • Fournir une information conforme au point de vue du destinataire
36
Q

Structure des données d’un SIAD

A

-Un SIAD s’appuie sur une base de données décisionnelles issue essentiellement des bases de données opérationnelle

L’infocentre constitue une banque de données partagées en réseau, oùu les données n’ont pas été modifiées sur le plan structurel par rapport au base de données opérationnelles

Le datawarehouse est une collection de donnée orientées sujet, intégrées, non volatiles et historisées
Le datawarehouse implique un nettoyage, une historisation automatiques de certaines données et leur synthèse

Le datamart est un magasin de données spécialisé, il concerne un sous ensemble de données particulier et homogène, ex: données commerciales clients

37
Q

Caractéristiques sur lesquels sont fondés les BDD relationnelles et décisionnelles

A

Les applications opérationnelles s’appuient sur des BDD relationnelle qui suppose une réponse à l’utilisateur donnée dans un temps acceptable et une non redondance des information

38
Q

Formalisme du MCD ou modèle Merise

A
  • Rectangle = entité
  • Cartouche du rectangle = nom de l’entité
  • Cadre du rectangle = propriété de l’objet
  • Cercle = association non poteuse de propriété (contrainte d’intégrité fonctionnelle si valeur modifiable dans le temps ou dépendance fonctionnelle si non modifiable dans le temps)
  • Ellipse = contrainte d’intégrité multiple (partie supérieur= nom de l’association (OU/ET)
  • Une cardinalité 1 à n élément concerné par l’entité
39
Q

Opération nécessaire à la construction de l’entrepôt de donnée

A
  • Historisation automatique de certaines données
  • Mise en place du nettoyage des données (suppression des données non pertinente)
  • synthèse des données (définition d’agrégats)
40
Q

Utilisation d’un ETL pour effectuer les transformations (phase)

A

Un ETL est un extract transform load
L’extraction est facilitée dans le cadre des BDD relationnelles notamment si elles sont homogènes.

Les 3 fonctions d’un ETL:

  • extract: extraire automatiquement des données contenues dans les tables d’une BDD
  • transform: procédure de transformation des données pour les rendre conformes aux besoins de la base de données décisionnelles
  • Load: Elle permet de créer les enregistrements dans les tables de la BDD décisionnelle, et doit fournir un état des anomalies permettant de détecter les données qui n’ont pas pu être intégrées
41
Q

Types de résultats obtenus des applications décisionnelles

A
  • Rapports (tableau de bord)
  • Hypercubes (structure de tableaux croisés multidimensionnelle correspondant au point de vue des décideurs et permettant l’interrogation libre des données)
  • Data mining: Modélisation exploratoires des données, s’appuyant sur différents algorithmes du domaine probabiliste ou sur la gestion de l’incertain
42
Q

Le reporting

A

Il fournit des tableaux, des tableaux transposés, des tableaux croisés, des graphiques
Le principe du reporting est d’exécuter la requête à chaque fois que l’on demande un rapport ainsi on dispose d’une information à jour en permanence: structurer les données d’un point de vue métier
faciliter la diffusion des résultats périodiques du système de rapport

43
Q

Les hypercubes

A

La constitution d’une structure multidimensionnelle OLAP, d’un agrégat de données afin de regrouper l’information

44
Q

Le data mining

A

A partir des volumes important de données il permet de définir des modèles pour leur donner du sens et aider à la prise de décision

45
Q

caractéristique de la forme normale décisionnelle

A
  • Non existence de hiérarchie cyclique dans le domaine

- Existence au sein d’un dossier d’une seul association portant les données numériques

46
Q

Démarche pour construire un SIAD au sein d’une organisation

A

Raison des échecs: absence de réflexion sur les besoin et construction des outils d’aide à la décision sur les bases opérationnelles
Il faut donc:
-cartographier les processus
-Définir les indicateurs pertinents
-Construire l’entrepôt de données
-Structurer les rapports (tableau de bord)
-Diffuser les rapports aux destinataires
-Ajouter les indicateurs demandés par les acteurs externes
Ex: diagramme d’Ichikawa

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