Ch10 - Théorie Sociocognitive p2 Flashcards

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1
Q

Les éléments cognitifs de la personnalité

A
  • Croyances,
  • objectifs,
  • normes d’évaluation
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Q

Schéma de soi?

A

Les schémas sont des structures de connaissance pour mettre de l’ordre ds ce qui serait autrement un fouillis chaotique de stimuli

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Q

Schémas (environnement)

A

Les schémas sont des structures mentales pour appréhender notre environnement - un réseau organisé de connaissances

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4
Q

Il y a-t-il 1 schéma de soi? Ou plusieurs schémas de soi?

A

Il y a plusieurs schémas de soi. Certains sont plus importantes que d’autres. Ils sont flexibles et en porosité avec l’environnement.

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5
Q

Ce que nous pensons de nous-mêmes conditionne une variété de phénomènes qui sont…

A

Les émotions, Les motivations, le flux des idées qui constituent notre vie mentale

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6
Q

Les individus font-ils des généralisation cognitives sur le soi?

A

Oui, comme ils le font pour tout le reste

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7
Q

Les schémas les plus importants portent sur…

A

Ils portent sur nous-mêmes

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8
Q

Les schémas sont acquis à travers…

A

Ils sont acquis à travers les interaction avec le monde social

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9
Q

Les schémas de soi sont uniques ou non?

A

Oui. Chaque individu crée ses propres schémas

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10
Q

Les schémas de chq individu est créée avec…

A

Avec ses expériences interpersonnelles, sociales et culturelles qui diffèrent de celles des autres

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11
Q

Auteure qui développe le concept du schéma de soi?

A

Hazel Markus

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12
Q

Dès que nous avons adopté des visions de ns-même (schémas de soi), il y a de fortes chances pour que ceux-ci soient maintenus? ou non?

A

Il y a de fortes chances que ces schémas soient maintenu. Il y a persistance des schémas de soi. (on sélectionne l’environnement avec qui on se tient, mais en même temps il a un impact sur ns)

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13
Q

Les schémas de soi orientent…

A

Ils orientent le traitement de l’information et constituent des préconceptions qui se renforcent elles-mêmes.

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14
Q

Lorsque qqun est structurer dans une vision négative d’eux même, une image positive est-elle reçue?

A

Non, elle n’est pas vu en tant qu’image positive. Elle n’est pas reçue. Il faut aller graduellement, si non on peut causer des comportements de sabotage afin de démontrer qu’il ne peut pas avoir une image positive.

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15
Q

Est-ce qu’on consolide notre schéma de soi?

A

Oui. on confirme et consolide des schémas de soi. (si on a fait une sélection mauvaises ds l’environnement, on fait alors un biais de confirmation d’une vision négative)

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16
Q

Le concept de soi est-il dynamique?

A

Oui, le concept de soi est dynamique. L’information sur le soi, qui se trouve ds la conscience, dicte le comportement à un moment ou à un autre. Et est en constante évolution. (+ on est vieux, + on est capable d’éliminer les situations toxiques)

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17
Q

On est tjrs différent selon…. (ns somme bcp de choses selon…)

A

selon le contexte et les personnes. (ns somme bcp de choses, ds bcp d’entroits et avec bcp de gens)

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18
Q

Dans une famille de représentations de soi, il peut y avoir un…

A

Il peut y avoir un prototype de soi. C’est un concept de soi dont ns pensons “c’est ce que je suis réellement” et des représentations de soi floues (aspects dont la relation exacte avec les autres aspects est moins claire) > il y a une constante et des aspects qui changent selon l’influence de l’environnement

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19
Q

2 motivations liées aux soi

A
  • Désir d’autovalorisation - Désir d’autovérification
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20
Q

Désir d’autovalorisation

A

Désir de se voir soi-même sous un jour positif

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21
Q

Désir d’autovérification

A

Désir d’obtenir d’autrui la confirmation ou la corroboration de notre vision de ns-même (solliciter d’autres personnes pour trouver de l’info confirmant des aspects de notre concept de soi)

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22
Q

La robustesse de l’image négative de soi

A

Les éléments positifs peuvent nuire à la santé s’ils entrent en conflit avec une image de soi négative et ébranlent l’identité négative de l’individu (pt causer des comp. de sabotage)

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23
Q

Comment est-ce que les dépressifs (ayant des représentation de soi négatives) utilisent l’autovérification?

A

Les dépressifs recourent à l’autovérification afin de chercher de l’information qui leu servira à entretenir leur image de soi négative et leur dépression.

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24
Q

Généralement, les gens entretiennent des relatons avec ceux qui les voient comme _____

A

Avec ceux qui les voient comme ils se voient eux-mêmes >autovérification

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25
Q

Les gens qui ont des images de soi positive sont-ils plus attachés à un conjoint qui a une bonne opinion d’eux ou à un conjoint qui a une mauvaise opinion?

A

Ils sont plus attachés à un conjoint qui a une bonne opinion d’eux.

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26
Q

Les gens qui ont des images de soi négatives sont plus attachés à un conjoint qui a une bonne opinion d’eux? ou une mauvaise opinion?

A

Ils sont plus attachés à un conjoint qui a une mauvaise opinion d’eux.

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27
Q

Qu’est-ce qui peut entraîner des différents modes de pensée, d’émotion et de comportement?

A

Les caractéristiques individuelles relatives aux objectifs. (les styles de personnalités)

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28
Q

Les objectifs d’apprentissage

A

Chercher à apprendre des autres afin d’accroître ses habiletés et de livrer un meilleur résultat

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29
Q

Les objectifs de performance

A

S’attacher à l’impression qu’on va produire; livrer une bonne performance devant ceux qui évalueront vos habilté

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30
Q

Quelles sont les 2 théories qui sont incompatibles/s’affrontent?

A

La théorie de l’entité La théorie incrémentielle

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31
Q

La théorie de l’entité

A

Les niveaux d’intelligence sont stables

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32
Q

La théorie incrémentielle

A

L’intelligence s’acquiert graduellement et change naturellement au fil du temps

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33
Q

Si on pense que les expérience ns permettent d’apprendre et de développer notre intelligence, alors notre attitude devant les succès et les échecs sera…

A

L’attitude sera plus positive (théorie incrémentielle = attitude+)

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34
Q

Si on pense que notre intelligence est non malléable, quelle ne peut pas apprendre, alors notre attitude devant les succès et les échecs sera…

A

L’attitude sera plus négative. On aura un sentiment de non-maîtrise qui entraînera des effets négatifs sur notre affect et comportements. (théorie de l’entité = attitude -)

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35
Q

Quelles types d’émotions sont réglables?

A

Les émotions malléables et maîtrisable

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36
Q

Quelles types d’émotions ne sont pas réglables? (peu réglables)

A

Les émotions immuables et incontrôlables

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37
Q

Comment est-ce que les individus règlent leur comportement?

A

Ils règlent leur comportement en déterminant si leurs actions sont conformes ou non aux normes internes liées au rendement. >On règle nos comportements à partir de normes (normes d’évaluations)

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38
Q

Normes idéales

A

Le résultat que les individus aimeraient idéalement atteindre

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39
Q

Normes imposées

A

Des obligations ou des responsabilités

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40
Q

Lorsqu’un individu détecte un écart entre la façon dont les choses se déroulent pour eux (le “soi réel) et une norme personnelle, ils ressentent des émotions _______

A

Ils ressentent des émotions négatives (grâce à l’écart)

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41
Q

Les écarts avec des normes différentes (idéales ou imposées) déclenchent des émotions ________

A

Déclenchent des émotions différentes

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42
Q

L’incapacité de combler l’écart entre le soi et le soi idéal est associé à…..

A

Il est associé à la tristesse et au découragement (dépression)

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43
Q

L’incapacité de combler l’écart entre le soi et le soi imposé est associée à….

A

Il est associé à l’agitation et de l’anxiété. (incapacité d’une norme = anxiété)

44
Q

La possibilité de ne pas remplir ses obligations a un résultat…

A

Un résultat négatif qui est menaçant

45
Q

Les cognitions sont…

A

-attributions -croyances -attentes -souvenirs relatif à soi ou à l’autrui

46
Q

Les cognitions (rôle)

A

Ils déterminent les émotions et les comportements de manière cruciale; par conséquent, on doit s’intéresser à ce que les gens pensent et disent d’eux-mêmes.

47
Q

Sans nier l’importance de certaines attentes et croyances générales, on s’intéresse surtout aux….

A

On s’intéresse surtout aux cognitions liées à certaines situations ou catégories de situations (la spécificité situationnelle de Albert Bandura et Walter Mischel)

48
Q

Les troubles psychopathologiques résultent de…

A

Ils résultent de cognitions inadaptées ou fausse. Ou de distorsions cognitives concernant le soi, les autres et les événements. Les divers troubles découlent de différentes cognitions ou de différentes façons de traiter l’information. (approche de restructuration cognitive - le fait qu’on traite l’info et la façon qu’on traite l’info vont déterminer notre cognition/croyance)

49
Q

Les cognitions erronées ou inadaptées occasionnent _________, qui engendrent ________. Il peut ainsi s’instaurer ______.

A

Ils occasionnent des émotions et des comportements problématiques, qui engendrent des cognitions problématiques. Il peut ainsi s’instaurer un cercle vicieux.

50
Q

Cercle vicieux

A

La personne va agir de manière à confirmer et conserver leurs croyances erronées, malgré leurs effets délétères sur le fonctionnement de la personne.

(les émotions sont les dernières a faire un changement)

51
Q

La thérapie cognitive

A

Le thérapeute et client travaillent en collaboration afin de déterminer quelles sont les cognitions erronées ou inadaptées qui engendrent des difficultés, puis de les replacer par des cognitions plus réalistes et plus adaptées. L’approche thérapeutique tend à être active, structurée et axée sur le présent

52
Q

Les approches cognitives ne considèrent pas l’inconscient comme un facteur important sauf…

A

Sauf dans la mesure où les clients peuvent ne pas être conscient de leurs façons habituelles de penser à eux-mêmes et à la vie.

53
Q

Les approches cognitives mettent l’accent sur…

A

Sur la modification de certaines cognitions problématiques plutôt que sur la modification globale de la personnalité

54
Q

Le comportement inadapté résulte d’un…

A

Résulte d’un apprentissage dysfonctionnel

55
Q

Conduites de sabotage

A

La personne qui s’attend à ce que l’intimité engendre de la souffrance et qui fait preuve d’hostilité à l’égard d’autrui -> provoque le rejet. Ce qui semble confirmer ses craintes (attentes) que l’intimité n’entraîne que rejet et déception.

56
Q

Autoévaluations dysfonctionelles

A

Faible sentiment d’autoefficacité ou sentiment d’inefficacité totale

57
Q

L’anxiété

A

Le sentiment d’être incapable de s’adapter à un événement menaçant.

58
Q

La dépression

A

Le sentiment d’inefficacité par rapport à l’obtention de résultats satisfaisants > Des normes personnelles démesurément élevées. L’autocritique excessive constitue souvent une composante majeure de la dépression

59
Q

Lorsque les personnes ont une humeur maussade, elles ont tendance à…….

A

Elles ont tendance à adopter des normes plus perfectionnistes

60
Q

Qu’est ce qui satisfait les personnes ayant une humeur maussade?

A

Seules les réalisations hors de l’ordinaire peuvent les satisfaire. La routine leur apporte un moins grand réconfort.

61
Q

Le fait de pouvoir sélectionner ds notre environnement indique quoi sur notre santé?

A

On a moins de problèmes de santés.

62
Q

Le problème de santé est inséparable à…..

A

Inséparable à notre niveau de stress. Une personne en santé ne fait pas de sabotage.

63
Q

Pour Bandura, la dépression survient lorsque…

A

Lorsque qqun se sent inefficace par rapport à un objectif, mais juge cet objectif raisonnable et croit qu’il pt continuer à essayer de l’atteindre

64
Q

(Pour Bandura) Les effets de l’écart entre les normes personnelles et le rendement sur l’effort et sur l’humeur dépendent de…

A

Ils dépendent du sentiment d’autoefficacité qu’éprouve l’individu et de sa manière de percevoir le réalisme et l’importance des normes personnelles ou l’objectif visé (pour pers. déprimé ; humeur dépend de l’écart entre normes personnelles et leur rendement à l’effort)

65
Q

Qu’est ce qui est bon pour la santé?

A

Entretenir un fort sentiment d’autoefficacité est bon pour la santé. Le contraire est mauvais pour la santé.

66
Q

Le processus de changement

A
  1. Nouveaux modes de pensées et de comportements 2. Applications des changements de manière générale et au long cours 3. Nécessité d’effectuer des changements ds le sentiment d’autoefficacité
67
Q

La thérapie sociocognitive privilégie surtout…

A

L’acquisition de compétences cognitives et comportementales grâce au modelage et à la participation guidée.

68
Q

Le modelage

A

Divers modèles exécutent les activités désirées, qui comportent des effets positifs ou du moins n’entraînent pas de conséquences négatives. (on utilise des modèles avec des activités et on met des gens ds des situations où il n’y a pas de conséquences négatives)

69
Q

Le facteur principal de changement personnel selon la théorie sociocognitive est…

A

La maîtrise des expériences pertinentes. (la mise en application de ce qu’on pense) (for Bandura -> communication verbale)

70
Q

Pour le progrès soient optimaux avec le modelage…

A

Les modes de comportement complexes sont décomposées et hiérarchisés en habiletés secondaires et en tâches secondaires de plus en plus difficiles.

71
Q

La participation guidée

A

On aide l’individu à acquérir les comportements du modèle et à les maîtriser. (on travail avec des modèles qui ne vit pas des conséquences du patient; ne va pas mourir en tenant un serpent)

72
Q

Le modelage et la participation guidée (le prob de la phobie des serpents). -> lien extrêmement étroit entre…

A

Lien entre les sentiments d’autoefficacité et les changements ds le comportement

73
Q

La maîtrise des expériences peut améliorer…

A

Elle peut améliorer le fonctionnement humain de manière plus fondamentale et plus durable la conversation. (expérience > conversation)

74
Q

Stress

A

Perception de l’individu qui juge que les circonstances dépassent ses capacités ou épuisent ses ressources et donc menacent son bien-être.

75
Q

Selon Lazarus, le stress suppose une évaluation en 2 étapes

A
  1. L’évaluation primaire
  2. L’évaluation secondaire
76
Q

Modèle transactionnel du stress de Lazarus et Folkman

A
77
Q

L’évaluation primaire

A

L’individu analyse les enjeux de la situation et cherche à déterminer s’il y a menace ou danger

(+ sit. semble insoluble, + il y a de stress)

78
Q

L’évaluation secondaire

A

L’individu tente de déterminer s’il pt faire qqch pour éviter de subir des dommages, ou pour en limiter l’étendu, ou encore pour tirer parti de la situation.

79
Q

Stratégies d’adaptation au stress

A
  • Stratégies centrées sur le problème
  • Stratégies centrées sur l’émotion
80
Q

Stratégies centrées sur le problème

A

Les tentatives de s’adapter à une situation stressante en modifiant ses caractéristiques.

(qu’est ce qu’on fait pour régler la situation)

81
Q

Stratégies centrées sur l’émotion

A

S’adapter en améliorant son état émotionnel interne, par exemple par la distanciation émotionnelle ou la recherche de soutien social.

(situations où on a pas bcp de contrôle?)

82
Q

Les stratégies d’adaptation pour composer avec des situations stressantes sont…

A

Elles sont à la fois stables et variables.

83
Q

Plus est élevée l’intensité déclarée du stress et des efforts pour s’y adapter…. (santé)

A

Moins la santé physique est bonne et plus ils sont susceptibles d’éprouver des symptômes physiologiques.

84
Q

Plus les individus ont l’impression de maîtriser la situation…. (santé)

A

Meilleur est leur santé physique et psychologique

85
Q

Quelle est la stratégie la plus adaptative pour la résolution de problème?

A

La résolution de problème inscrite ds un plan. (plan d’action)

Elle constitue une stratégie plus adaptative que la fuite ou l’évitement et que la confrontation.

(+ difficilte lorsque c’est une événement incontrolable)

86
Q

3 Phases de traitement

A
  1. Phase d’identification du problème
  2. Phase d’acquisition des habiletés
  3. Phase d’application et de suivi
87
Q

Phase d’identification du problème

A

1ere phase de traitement

> Prendre conscience des pensées automatiques négatives et génératrices de stress

88
Q

Phase d’acquisition des habiletés

A

2eme phase du traitement

> Relaxation et recours à des stratégies cognitives qui rendent le stress plus facile à gérer.

(planifier, s’organiser)

89
Q

Phase d’application et de suivi

A

3e phase de traitement

> Passage à la pratique par jeux de rôle et exercices de modelage + exercices en situation réelle.

(vérification. regarde si oui ou non ils ont été capable de mettre en pratique)

90
Q

1ère thèse de Ellis

A

Les individus réagissent émotionnellement non pas aux événements, mais à ce qu’ils croient par rapport à ces événements.

Un événement déclencheur (A) peut mener à une conséquence (C) comme une réaction émotionelle (on a des idées erroné/fou qu’on doit changer)

91
Q

Quelles sont des facteurs déterminants aux expériences et actions des individus?

A

Les systèmes de croyance qu’entretiennent les individus.

92
Q

2ème thèse de Ellis

A

Les croyances qui causent des détresses psychologiques sont irrationnelles,

des croyances que ne souhaiterait avoir, après réflexion, aucune personne rationelle, sachant que ces croyances la pousseraient assuément à la détresse psychologique.

93
Q

Raisonnement négatif (types)

A
  • Raissonnement erronés
  • Attentes dysfonctionnelles
  • Opinions de soi négatives
  • Attributions inadaptées
  • Distorsion de la mémoire
  • Attention inadaptée
  • Stratégies d’autodestructives
94
Q

La triade cognitive de la dépression (Aaron Beck)

A

La vie est sans espoir et cela atteint tout les aspect de ma vie. Il faut commencer par cette perception du monde. La cognition est une meilleure porte que l’affecte.

3 visions négatives:

  1. visions de soi négatives
  2. visions du monde négatives
  3. visions d’avenir négatives
95
Q

Les cognitions erronées (impacts)

A
  • Rendent la personne vulnérable à la dépression
  • Deviennent manifestes ds certaines conditions de stress

(la porte d’entré pour corriger sont les cognitions)

> La tâche de la thérapie est -> de modifier ces cognitions erronées, donc d’amener l’individu à prendre conscience des conditions ds lesquelles elles s’activent.

96
Q

Buts de la thérapie cognitive

A
  • Prendre conscience de ses pensées automatiques
  • Établir le rapport entre pensées, émotions et comportements
  • Apprendre à remettre en question les pensées automatiques
  • Substituer des interprétations plus réalistes
  • Identifier et modifier les schémas dysfonctionnels
97
Q

Les observations sont-elles scientifiques?

A

La théorie sociocognitive et la théorie des traits de personnalité ont été formulées à partir des ensembles de données scientifiques les plus importants et les plus systématiques. (parmis toutes les approches de la personnalité)

98
Q

Avantages

A
  1. Présente un impressionant dossier de recherche
  2. Prend en considération des phénomènes importants
  3. Évolue de manière constante et cohérente en tant que théorie
  4. Attire l’attention sur d’importantes questions théoriques
99
Q

Limites

A
  1. Ne constitue pas une théorie systématique et intégrée
  2. Recèle potentiellement des problèmes associés à l’utilisation de données provenant des autodéclarations verbales
  3. Exige une exploration et une élaboration plus poussées ds certains domaines (motivation, affects, propriétés du système organisationnel de la personnalité)
  4. Fournit des résultats plus préliminaires que concluants en ce qui concerne l’efficacité de la thérapie
100
Q

La théorie est-elle systématique?

A

La théorie sociocognitive n’offre pas de réseau d’hypothèses globales reliant systématiquement tous les éléments de la perspective théorie

Absence de description théorique globale de la personne ds son entièreté

101
Q

La théorie est-elle testable?

A

Oui.

Les théoriciens sociocognitifs ont défini leurs construit avec clarté et ont proposé des outils de mesure et des méthodes exprimentales qui permettent de tester leurs idées.

102
Q

La théorie est-elle complète?

A

Il y a des bouts qui ne sont pas couverts…

103
Q

La théorie (sociocognitive) aborde…

A
  • La motivation
  • Le développement
  • Le concept de soi
  • L’autocontrôle
  • Le changement comportemental
  • L’apprentissage des habiletés sociales et des autres compétences comportementales
104
Q

La théorie (sociocognitive) laisse de côté…

A
  • Les forces biologiques
  • Les désirs sexuels
  • Le désir de parentalité
  • Les conflits mentaux
  • Les sentiments d’aliénation ou l’anomie
  • Les préoccupations existentielles à propos de la mort
105
Q

La théorie a-t-elle des applications?

A

Ils l’ont mis en application pour solutionner des problèmes sociaux et soulager la détresse psychologique.

Aucune autre théorie de la personnalité ne peut targuer des succès remportés par les théoriciens sociocognitifs.

106
Q

Conclusion

A
  • L’ouverture face au changement manifestée par les théoriciens sociocognitifs
  • Les déficits neuropsychologiques ne sont pas intégrés au modèle