APSIC 2 Flashcards

Schizophrénie

1
Q

Chapitre 14

Décrivez les 4 phases de la schizophrénie

A

1: PHASE SCHIZOÏDE
Présence de signes schizoïdes, soient des signes qui apparaissent avant que la maladie devienne évidente

2: PHASE PRODROMIQUE
Transition des signes schizoïdes vers les signes prodromiques.
Les signes prodromiques montrent plus clairement le développement de la maladie.
La durée varie considérablement (peut s’étendre sur des années!).
La personne commence à montrer des signes d’une importante déterioration fonctionnelle.

**3: PHASE PSYCHOTIQUE AIGUE (ÉPISODE SCHIZOPHRÉNIQUE AIGU) **
Les symptômes psychotiques prédominent.
C’est une période d’épisodes aigues, soit une période d’exacerbation

4: PHASE RÉSIDUELLE
Période de rémission, la schizophrénie est une maladie chronique!
Les symptômes sont absents ou non-dominants.
Les symptômes positifs sont souvent moindres, mais les symptômes négatifs et cognitifs peuvent perdurer.

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2
Q

Chapitre 14

Nommez les signes schizoïdes vs prodromiques. Quelle est la différence?

A

SIGNES SCHIZOÏDES:
- Comportements ou traits de personnalité distinctifs
- Repli sur soi
- Relations sociales de pauvre qualité
- Comportements asociaux
- Personne réservée et introvertie
- Passivité
- Préférence pour les activités solitaires
- Évitement des interactions sociales (même avec famille)
- Désintérêt pour les relations (ex: amoureuses)
- Attitude distante et indifférente
- Peu d’importance accordée à l’opinion des autres
- Difficulté à collaborer dans un environnement d’équipe

SIGNES PRODROMIQUES:
- Retrait social
- Perturbation de la communication
- Désorganisation dans les habitudes quotidiennes et routines
- Comportements excentriques
- Négligence de l’hygiène et des soins personnels
- Affect émoussé ou innaproprié
- Idées “bizarres”
- Expériences perceptuelles inhabituelles
- Altérations des processus de la pensée (ex: discours désorganisé)
- Manque d’initiative
- Manque d’intérêt
- Manque d’énergie
- Anxiété croissante et non spécifique
- Préoccupations excessives
- Signes d’altération cognitive (ex: TOC)

Différence:
Les signes prodromiques témoignent d’une déterioration fonctionnelle marquée. Ils représentent un état pathologique évolutif qui suggèrent une transition vers la psychose.
Les signes schizoïdes ont un caractère plus stable et représentent des structures de la personnalité sans nécéssairement annoncer une psychose. Le fonctionnement général est préservé et ils ne causent pas nécéssairement de souffrance clinique.

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3
Q

Chapitre 14

Quels-sont les critères du diagnostique de la schizophrénie?

A

CRITÈRE A.
Deux ou + symptômes ci-dessous chacun présents dans une proportion significative pendant au moins 1 mois.
(Au moins un des 3 premiers doivent être présents :)
1) Idées délirantes
2) Hallucinations
3) Discours désorganisé
4) Comportement grossièrement désorganisé ou catatonique
5) Symptômes négatifs (aboulie ou diminution de l’expression émotionnelle)

CRITÈRE B.
Le niveau de fonctionnement dans un domaine majeur comme le travail, les relations interpersonnelles ou l’hygiène est passé d’une façon marquée en dessous du niveau avant le début du trouble.

CRITÈRE C.
Des signes continus du trouble persistent depuis au moins 6 mois.
Pendant cette période de 6 mois, les signes du critère A (symptômes de la phase active) doivent avoir été présents pour au moins 1 mois.
Sinon, des symptômes négatifs ou des symptômes atténués du critère A se manifestent pendant les phases prodromiques ou résiduelles.

CRITÈRE D.
Un trouble schizoaffectif, dépressif ou bipolaire avec manifestations psychotiques ont tous été exclus, pour des raisons comme:
- Pas eu d’épisode maniaque ou dépressif concurremment avec la phase active des symptômes
- Épisodes de troubles de l’humeur présents, MAIS présents seulement pour une courte période de temps et non sur la durée totale des phasea actives

CRITÈRE E.
Le trouble n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance

CRITÈRE F.
Diagnostic surajouté de schizphrénie est posé seulement si présence de symptômes hallucinatoires et délirants importants SI ATCD DE TROUBLE DU SPECTRE DE L’AUTISMES OU TROUBLES DE COMMUNICATION DANS L’ENFANCE)
Donc ce critère est bof important, c full spécifique…

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4
Q

Chapitre 14

Quels-sont les facteurs génétiques liés à la schizophrénie?

A

Les chercheurs ne savent pas quels sont les modes de transmission héréditaires. Toutefois, des chercheurs ont trouvés une combinaison de certains gènes (CDK4, MCM7 et POLD4) qui diffèrent de ceux du groupes témoin. Ceci pourrait être un biomarqueur génétique de la schizophrénie.
Je ne suis pas sur d’avoir vrm compris lol

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5
Q

Chapitre 14

Décris-moi l’hypothèse de la dopamine en lien avec la schizophrénie?

A

La maladie serait due à une trop forte activité neuronale associée à la dopamine. Cette suractivité exédentaire pourrait être liée à une production ou libération énorme de dopamine à la hauteur des terminaisons nerveuses, une augmentation de la sensibilité des récepteurs de celle-ci et à un nombre + élevé de récepteurs. Celle-ci est liée aux symptomes positifs. Cette hypothèse est confirmée chez certains patients lorsqu’on leur administre des antipsychotiques (médicaments qui viennent bloquer les récepteurs de la dopamine) qui viennent éliminer les symptomes positifs

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6
Q

Chapitre 14

Quel-est le lien entre le cannabis et la vulnérabilité génétique?

A

Des études ont montré que certaines personnes ayant les gènes COMT et AKT1 et qui consomment du cannabis sont plus à risques de faire une psychose, entre autre les adolescents. En effet, le cannabis peut provoquer des symptomes schizoïdes. De plus, chez les personnes ayant déja eu une psychose, le cannabis vient augmenter les symptomes.

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7
Q

Chapitre 14

Quels-sont les symptomes positifs observés chez un patient souffrant de schizophrénie?

A

Les idées délirantes sont des croyances fixes et fausses qui sont irrationnelles, la personne est convaincue qu’elles sont vraies malgré les preuves

  • Idées de persécution
  • Idées de grandeur
  • Idées de référence
  • Idées de controle ou d’influence
  • Idées somatiques
  • Idées nihilistes
  • Idées érotomaniaques
  • Idées mégalomaniaques
  • Idées à type de jalousie
  • Association incohérente d’idées
  • Néologismes
  • Association par assonnance
  • Salade de mots
  • Pensée circonstanciée
  • Pensée tangentielle
  • Persévération
  • Échoalie

Les hallucinations sont des perceptions sensorielles fausses sans association avec des stimulis externes réels, peuvent faire intervenir jusqu’au 5 sens, des illusions d’une fausse perceptions des stimulis externes réels
* Hallucinations
* Échopraxie

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8
Q

Chapitre 14

Quels-sont les symptomes négatifs observés chez un patient schizophrène?

A

Les symptomes négatifs viennent pertuber l’affect, soit l’état émotif intérieur de la personne et ses comportements. On peut l’observer par l’expression du visage, la gestuelle, l’intonation et le contenu du discours

  • affect inadéquat
  • affect neutre
  • affect labile
  • l’apathie
  • l’aboulie
  • l’anergie
  • l’alogie
  • l’anhédonie
  • manque d’intérets
  • l’anosognosie
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9
Q

Chapitre 14

Quels-sont les symptomes cognitifs observés chez un patient schizophrène?

A

Un déficit qui touche 7 sphères de la fonction cognitive, soit la mémoire opérationnelle, l’attention, la vitesse du traitement des pensées, l’apprentissage verbal, le raisonnement, la pensée abstraite et la résolution de problèmes

  • altération de la pensée abstraite
  • flexibilité cireuse
  • le balancement
  • la régression
  • les mouvements oculaires anormaux
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10
Q

Chapitre 14

Quels-sont les autres troubles du spectre de la schizophrénie?

A
  • Trouble délirant: Présence d’idées délirantes qui restent depuis au moins 1 mois, si présence d’hallucinations, restent en arrière-plan
  • Trouble psychotique bref: Apparence brutale de symptomes psychotiques après un stress psychosocial important, les symptomes durent au moins une journée, MAIS ne dépasse pas un mois. Stress tellement grand qui déclenche une perte de contact avec la réalité
  • Trouble schizophréniforme: même chose que schizophrénie, MAIS la maladie n’atteint pas 6 mois et la dégradation du fonctionnement social et des activités n’est pas nécessaires pour poser un diagnostique
  • Trouble schizoaffectif: Signes et symptomes de schizophrénie avec des symptomes important associé au trouble de l’humeur, soit de la manie ou dépression
  • Trouble psychotique induit par une substance ou un médicament: Présence d’hallucinations et d’idées délirantes qui sont déclenchées par une intoxication à une substance
  • Trouble psychotique du à une autre affection médicale: Hallucinations + idées délirantes en raison d’une affection médicale
  • Trouble catatonique du à une autre affection médicale: trouble métaboliques (acidocétose, hyperthyroïdie ect..) et trouble neurologiques (tumeurs, épilespsie, AVC ect…)
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11
Q

Chapitre 14

Quelles-sont les 10 objectifs que l’infirmière doit vérifier auprès d’un patien schizophrène afin de bien cibler ses interventions?

A

1.Fait preuve de sa capacité à s’engager dans une relation satisfaisante avec les autres
2. Reconnait que ses pensées modifient la réalité
3. Ne présente pas de comportement dangereux pour soi-même ou autrui
4. Se perçoit avec réalisme
5. Fait preuve de sa capacité à percevoir l’environnement correctement
6. Maintient son anxiété à un degré tolérable
7.Diminue l’importance accordée aux hallucinations auditives etr aux idées délirantes
8. Démontre sa capacitéé à accorder un minimum de confiance aux autres
9. Utilise une communication verbale appropriée avec les autres
10.Accomplit ses soins personnels de façon autonome

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12
Q

Chapitre 14

Quelles-sont les interventions infirmières en lien avec les hallucinations?

A
  • Observer les indices d’hallucinations (attitude d’écoute, rires ou conversation avec soi-même, arrêt au milieu d’une phrase), on peut demander entendez-vous qqchose d’autre?, entendez-vous d’autres voix?
  • Éviter de toucher la personne sans avertissement (elle peut percevoir le toucher comme un geste agressif et réagir en conséquence
  • Adopter une attitude d’acceptation et d’ouverture afin d’amener la personne à parler de son hallucination. Demandez qu’est-ce que les voix vous disent? (question importante pour éviter les blessures) Ces voix vous semblent-elles familières ou étrangères?
  • Aider la personne à comprendre le rapport entre son anxiété et les hallucinations. Si elle apprend à interrompre l’escalade de son anxiété, les hallucinations pourront être prévenues
  • Essayer de distraire la personne pour éviter l’hallucination (faire des activités et lui expliquer la situation réelle peut aider à revenir à la réalité)

Conseil: ne pas renforcer hallucination, on utilise l’expression “les voix” et non ils ou elles, expliquer que la perception n’est pas partagée (je comprends que les vois sont réelles pour vous, mais moi je n’entends aucune voix)

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13
Q

Chapitre 14

Quelles-sont les interventions infirmières à faire en lien avec la communication verbale altérée chez un patient schizophrène?

A
  • Tenter de décoder les modes de communications incompréhensibles, confirmier et clarifier (est-ce que vous voulez dire que…, si je vous ai bien compris…, je ne comprends pas ce que vous voulez dire, pourriez-vous me donner des explications?
  • Maintenir la régularité de l’affectation du personnel dans la mesure du possible
  • Le reflet des sentiments, ou verbalisation implicite (mettre des mots sur les sentiments qu’on perçoit chez la personne) ex: vous avez du trouver ça très dur quand votre mère est partie, vous vous êtez surement senti très seul
  • Anticiper les besoins de la personne et y répondre jusqu’à ce que la communication redevienne fonctionnelle
  • Orienter la personne dans la réalité, l’appeler par son nom, renforcer les aspects de la communication qui permettent de distinguer le réel et l’iréel
  • Donner les explications selon le niveau de compréhension de la personne. ex: prenez votre cuillère, mettez un peu de pommes de terre dedans et mettez la cuillère dans votre bouche
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14
Q

Chapitre 14

Quelles-sont les interventions infirmières à faire en lien avec le déficit de soins personnels chez un patient schizophrène?

A
  • Offrir du soutien pour les soins personnels
  • Inviter la personne à accomplir autant d’activités que possible de façon autonome + donner renforcement positif
  • Employer langage concret pour faire part de ses attentes, utiliser des phrases simples, indiquer toutes les étapes, vérifier compréhension de la personne, poser questions simples SANS infantiliser
  • Faire preuve de créativité pour amener la personne qui refuse de manger à s’alimenter, surtout quand elle croit qu’elle va se faire empoisonnée (lui offrir des aliments préemballés ou en boite, qu’elle va ouvrir elle-même)
  • Si ne fait pas soins d’hygiène, établir un calandrier structuré
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15
Q

Chapitre 14

Quelles-sont les interventions infirmières à faire en lien avec la pertubation des opérations de la pensée chez un patient schizophrène?

A
  • Accepter que la personne ait besoin de ses fausses convictions, accorder de l’importance à ses propos et lui préciser que sa conviction n’est pas partagée (elle doit comprendre que l’infirmière ne pense par que l’idée est réelle, MAIS qu’elle porte un intérêt à ce qui la préoccupe
  • Éviter toute argumentation ou réfutation, faire appel au doute raisonnable “je trouve cela difficile à croire”, la réfutation ne va pas aider les idées et peuvent gêner le développement d’une relation de confiance
  • Renforcer la réalité et se concentrer sur le réel, limiter longue rumination irrationnelle, parler des événements concrets et des personnes réelles
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16
Q

Chapitre 14.13

Quelles-sont les interventions infirmières à faire en lien avec une personne très méfiantes schizophrène?

A
  • Maintenir la régularité de l’affectation du personnel, se montrer honnête et tenir ses promesses
  • Éviter de toucher personne sans avertissement, demander consentement
  • Éviter de rire, murmurer ou de parler à voix basse quand la personne peut voir l’infirmière
  • Offrir aliments préemballés ou préparés par sa famille
  • Vérifier bouche pour s’assurer qu’elle prenne bien ses médicaments
  • Utiliser une approche affirmative, concrète, mais chaleureuse (si trop directives ou enthousiastes = méfiance)
17
Q

Chapitre 14.13

Quelles-sont les interventions infirmières à faire en lien avec le risque de violence chez un patient schizophrène?

A
  • Éviter stimuli intense dans environnement, favoriser un milieu apaisant (éclairage faible, nb de personnes restreint, décor simple, peu de bruit)
  • Observer souvent comportement de la personne de façon discrète pendant activités de routine
  • Évaluer présence d’idées suicidaires ou d’hallucinations donnant des ordres, retirer tout objet dangereux dans environnement
  • Avoir une attitude calme, quand anxiété de la personne augmente, proposer activité physique, parler de la situation, prendre médicament prescrit PRN
  • Avoir personnel suffisant si jamais personne met sa sécurité ou celle d’autrui en jeu
  • Si situation dégénère et que TOUTES les autres options ont échoué, utiliser mesure de controle (isolement ou contention)
18
Q

Chapitre 14.5

En quoi consiste les différents traitements psychosociaux pour la schizophrénie?

A

Psychothérapie individuelle: la TCCp devrait être offerte à tous les patients schizo qui ne répondent pas à 100% à la médication, qui ont symptomes réfractaires ou d’anxiété + dépression.
L’intervenant aide à faire le point sur les sources de dangers réels ou perçus, tente d’apprendre à la personne des méthodes pour améliorer la communication interpersonnelle, l’expression émotionnelle et la tolérance à la frustration
Stratégies qui donnent résultats les + positifs:
1. définir clairement les objectifs de la thérapie et la façon dont ils osnt mesurés
2. associer des renforcements positifs, négatifs ou aversifs aux comportements adaptés et inadaptés
3. utiliser des directives et des amorces simples et concrètes pour suciter comportements souhaités

La thérapie de groupe généralement inefficace lors de la phase aigüe, utilie pour la gestion à long terme. En groupe, la personne atteint l’interaction sociale, le sentiment de cohésion, la reconnaissance et l’évaluation des situations réelles

L’entrainement aux habiletés sociales aide personne avec difficultés en société (incapacité à percevoir correctement les réactions des autres), induir progressivement des habiletés simples et l’enseignement s’effectue par la répétition de comportements simples ajoutés les uns aux autres.
Processus se fait surtout avec des jeux de roles

La thérapie par remédiation cognitive et l’entrainement métacognitif la TRC est basée sur l’entrainement comportemental et vise l’amélioration des capacités dans certains domaines cognitifs commel’attention, la mémoire, la cognition sociale et les fonctions exécutives.
Demande exercices répétitifs et de la pratique

Thérapie familiale famille = ressource et partenaire de soins, en donnant à la famille des infos sur la maladie et sur les stratégies d’adaptation efficaces, les programmes psychoéducatifs réduisent les risques de rechute et d’émergence de la maladie mentale chez des proches en santé
Interventions aurpès de la famille:
1. établir une alliance étroite avec les membres de la famille
2. diminuer intensité émotionnelle présente dans la famille
3. augmenter efficacité des proches à déceler et à résoudre les problèmes
4. diminuer expression de la colère et de culpabilité chez la famille
5. favoriser attentes raisonnables de la part de la famille envers personne schizo
6. encourager famille à établir limites appropriées
7. promouvoir changements favorables relativements aux croyances + comportements de la famille

Les programmes de suivi intensif en communauté équipe qui comprend plusieurs professionels, soit psychiatre, infirmière, travailleur social, ergo, psychoéducateur, éducateur spécialisé, pair aidant et autres. Services donnés au domicile de la personne, équipe offre 3 contacts de 2h par semaine. Cette approche améliore l’intégration de la personne dans la communauté, acroit stabilité domiciliaire et réduit condamnations criminelles

19
Q

Chapitre 14.5.2

Quels-sont les deux formes de rétablissement possible chez une personne atteinte de schizophrénie?

A

Rétablissement fonctionnel au niveau du fonctionnement de la personne dans des domaines comme le travail, les relations et l’autonomie dans la vie quotidienne et dautres activités

Rétablissement en tant que processus ne vise pas de résultat final, personne peut poursuivre son rétablissement durant toute sa vie en collaboration avec un intervenant en déterminant ses objectifs selon ses valeurs personnelles ou ce qui lui donne une raison de vivre

20
Q

Chapitre 14.5.4

Quels-sont les différents effets secondaires observés suite à la médications chez un patient schizophrène?

A

Le blocage des récepteurs dopaminergiques diminues symptomes positifs, MAIS serait à l’origine des symptomes extrapyramidaux (parkinsonisme, akathisie, dystonie, dyskinésie tardive) et d’une augmentation tardive de la prolactine (galactorrhée, gynécomastie, dysfonction sexuelle, trouble menstruel)

21
Q

Chapitre 25

Quel est le rôle de l’infirmière dans les hopitaux de jour pour un patient en santé mentale?

A
  • Évaluation de la condition physique et mentale
  • Coordonnent les services
  • Dirigent des groupes
  • Des interventions de crise
  • Interventions de soutient individuel ou de groupe
  • Entretien motivationnel
  • Oriente les personnes vers les services que requiert leur état
22
Q

Chapitre 4.1.5

Quels-sont les différents critères qu’un patient doit remplir afin d’être apte à consentir aux soins?

A

1.Compréhension de l’information transmise
* La personne comprend-elle la nature de la maladie pour laquelle un traitement lui est proposé?
* La personne comprend-elle la nature et le but du traitement?
* La personne comprend-elle les avantages et les risques?
* La capacité de comprendre de la personne est-elle affecté par sa maladie?

  1. Appréciation de l’information sur le plan personnel
    * La personne est-elle capable de s’approprier l’information reçue sur l’ensemble des options, de l’appliquer à sa propre personne et faire preuve d’autocritique?
  2. Raisonnement sur l’information
    * La personne est-elle capable de comparer les risques et les bénéfices de chacune des options discutées, de peser le pour et le contre de chacunes d’entre elles et de justifier sont choix?
  3. Expression de son choix
    * La personne peut-elle communiqué un choix raisonné et constant?
23
Q

En quoi consiste la loi P-38?

A

Il s’agit d’une loi d’exception qui complète les dispositions du Code civil du Québec concernant la garde d’une personne, contre son gré, dans un établissement de santé et de services sociaux, y compris l’évaluation psychiatrique. La dangerosité est le seul critère d’application de cette loi et fait référence à l’état mental d’une personne et non à une maladie mentale précise. La personne demeure titulaire de ses autres droits.

Quoi : Mécanisme d’exception permettant de contraindre une personne à recevoir des soins contre son gré.
Quand : Si la personne est inapte à consentir, et qu’elle refuse catégoriquement un soin alors que son état de santé le nécessite.
Comment : Requête du médecin traitant et de l’établissement de santé devant la Cour Supérieure du Québec, qui doit établir entre autres la nature de la maladie à traiter, la nature et le but du traitement proposé, et la balance entre les bénéfices et les risques.
Durée : Fixée par le juge ; généralement entre 1 et 5 ans.