Approche sociocognitive - examen final Flashcards

1
Q

Quelle est la différence quant à la vision de la personne avant vs après Bandura p/r à l’apprentissage?

A

Avant: sujet passif, soumis à son environnement, mise en place de stimuli et/ou renforcement pour faire apparaître les bons comportements
Après: personne est un apprenant actif, capable d’influencer son propre processus d’apprentissage par sa façon de penser et d’imaginer l’avenir

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2
Q

Quel est le génie de Bandura, ce qu’il a proposé qui a eu le plus d’impacts?

A

Le concept de sentiment d’efficacité personnelle. Un clé d’intervention précise et accessible à tous pour favoriser apprentissage et acquisition de nouveaux comportements.

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3
Q

Comment le comportement et l’environnement s’influencent-ils entre eux?

A

Manière de penser influence comportements de l’individu mais aussi l’environnement dans lequel il évolue.

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4
Q

Qu’est-ce que la théorie sociocognitive partage avec la théorie des traits p/r à au type de données utilisé?

A

Philosophie scientifique basée sur les données probantes.

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5
Q

Nommer la différence entre la théorie des traits et sociocognitive p/r à l’intérêt face au fonctionnement normal vs pathologique.

A

Traits: décrie fonctionnement normal
Sociocognitive: fonctionnement normal et pathologique telle que les cognitions dysfonctionnelles pouvant être traitées en clinique

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6
Q

Selon Bandura, qu’est-ce qui détermine en partie nos conduites?

A

Nos buts, nos attentes, nos conduites.

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7
Q

Bandura a démontré la présence d’une porosité entre …

A

espace intérieur (variables internes: buts, valeurs, croyances) et l’influence du milieu extérieur (déterminisme réciproque)

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8
Q

Dans quel domaine l’efficacité personnelle est-elle centrale?

A

Éducation, formation des étudiants et importance quant à l’organisation sociale.

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9
Q

Comment le concept d’efficacité personnelle s’oppose dans la conception de Freud et Skinner?

A

Freud dit nous sommes dominés par les éléments inconscient mais on a pouvoir sur nos structures.
Skinner dit que l’environnement contrôle totalement notre conduite.

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10
Q

Dans quel domaine l’approche sociocognitive a-t-elle été utile?

A

Psychologie des organisations et du travail.

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11
Q

Quel type de thérapie a été influencé grandement par l’approche sociocognitive?

A

La thérapie cognitivo-comportementale = combinaison de théories et de méthodes visant à modifier le comportement et les cognitions

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12
Q

Pourquoi dit-on que la thérapie cognitivo-comportementale est intégrative?

A

Combinaison de bases traditionnelles avec des approches et techniques plus actuelles (pleine conscience et acceptation).

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13
Q

Quelle est l’héritage de l’approche sociocognitive sur le plan scientifique?

A

Contribue à tous les champs de la psychologie (psycho sociale, etc) et s’intéresse au fonctionnement cognitif (schémas qui influencent notre manière de traiter l’information de façon automatique)

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14
Q

Quelle est l’héritage de l’approche sociocognitive en lien avec la neuropsychologie?

A

On trouve des thérapies qui visent à modifier les cognitions du patient.

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15
Q

Quelle est l’importance de l’auto-efficacité?

A

C’est le fondement de la motivation, c’est de pense que la manière dont on agit va avoir un effet satisfaisant.

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16
Q

Vrai ou faux. L’approche sociocognitive n’est pas une théorie ayant chercher à décrire de manière exhaustive la personnalité.

A

Vrai. Elle s’intéresse plutôt à certaines cognitions ou des processus de la pensée essentielles pour comprendre la régulation du comportement.

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17
Q

Nommer les 2 auteurs les plus influents dans l’approche sociocognitive.

A

Mischel et Bandura

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18
Q

Quelle est la vision de l’être humain dans cette approche?

A

L’être humain possède des compétences et des capacités mentales supérieures qui font en sorte qu’il peut diriger activement sa vie et réguler son comportement au-delà des influences du moment.

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19
Q

Comment l’être humain peut diriger activement sa vie et réguler son comportement?

A

En utilisant ses processus cognitifs pour se représenter les évènements, prévoir l’avenir et choisir différents moyens d’action.

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20
Q

Pourquoi y a-t-il une coupure entre l’approche béhavioral de Skinner et l’approche sociocognitive?

A

Nous ne réagissons pas passivement à notre environnement. Grâce aux processus cognitifs, une personne peut s’extraire des contingences ayant agit dans le passé et diriger activement sa vie dans de nouvelles directions. Les représentations mentales sont au moins sinon plus importantes que les contingences externes pour comprendre le comportement.

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21
Q

Quelle est la différence avec l’approche des traits p/r à la stabilité des comportements dans les situations?

A

Traits: stables à travers les situations
Sociocognitive: comportements peuvent varier considérablement à travers les situations compte tenu de la capacité des individus à discriminer entre les situations et à interpréter chacune d’elles différemment en fct des attentes spécifiques

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22
Q

La mesure des traits de la personne pour prédire le comportement est …

A

inefficace.

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23
Q

Les situations amènent des fluctuations importantes dans le comportement que mesure des traits …

A

ne permet pas de prévoir.

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24
Q

Qu’est-ce que la spécificité situationnelle?

A

Croyances et attentes spécifiques à des situations précises. Comportement varie selon des patrons qui ne sont pas aléatoires, stable selon le type de situation.

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25
Q

Le comportement est le résultat de notre capacité à …

A

notre capacité à discriminer entre les situations et d’y réagir différemment en fonction des variables psychologiques activées par ces situations.

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26
Q

Qu’est-ce que l’empreinte comportementale?

A

Modes distinctifs (profils individuels) de relation situation-comportement.

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27
Q

Nommer sans décrire les 4 composantes clés de la structure de l’approche sociocogntive.

A
  • Croyances et attentes
  • Objectifs personnels
  • Normes d’auto-évaluation
  • Compétences et habiletés concrètes
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28
Q

Dans la structure, qu’est-ce que représente la composante des croyance et des attentes?

A

Témoigne de la façon dont on conçoit l’avenir. Anticipation qu’un scénario se concrétise dans une situation donnée.

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29
Q

Quelles sont les 2 types d’attentes?

A
  • D’instrumentalité (résultats): effets ou conséquences anticipées de l’émission réussie d’un comportement donné
  • D’auto-efficacité (SEP)
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30
Q

Dans la structure, qu’est-ce que représente la composante des objectifs personnels?

A

Évènement souhaité qui motive la personne à organiser sa vie sur de longues périodes. Ayant un objectif en tête, il sera plus simple de faire preuve de maîtrise de soi, accepter certains choix moins stimulants à court termes afin d’exercer un métier de rêve.

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31
Q

Dans la structure, qu’est-ce que représente la composante des normes d’auto-évaluation?

A

Normes que nous utilisons nous-même pour juger nos actions et nos réussites. Cette composante permet de comprendre les différences individuelles.

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32
Q

C’est l’interprétation des évènements ou les évènements eux-mêmes qui influence les réactions des gens? Pourquoi?

A

C’est l’interprétation des évènements. Nous avons tous des normes d’auto-évaluation différentes. Donc pour telle personne telle performance est ok mais pour une autre c’est insatisfaisant.

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33
Q

Dans la structure, qu’est-ce que représente la composante des compétences et habiletés concrètes?

A

Répertoire d’habiletés spécifiques que possède un individu et qui lui permettent d’agir avec plus ou moins d’efficacité selon les situations. Il ne s’agit pas préférences ou de traits mais d’aptitudes pour l’action.

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34
Q

Vrai ou faux. La composante de la structure qui à trait aux compétences et habiletés concrètes est général et s’applique pas qu’à une seule situation?

A

FAUX. Spécifique à la tâche ou au contexte. Compétences peuvent expliquer les fluctuation des comportements des situations (ex. confiant parler de sport mais pas de politique)

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35
Q
A
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36
Q

La personnalité peut être conçue comme un système …

A

cognitivo-affectif où les différentes composantes fonctionnent en interaction les unes avec les autres.

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37
Q

Quelle est la définition du sentiment d’auto-efficacité personnelle?

A

Perception que l’individu a de sa propre aptitude à composer avec des situations précises. Croyance sur sa capacité à réaliser une tâche donnée avec succès.

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38
Q

Qu’est-ce que le SEP permet de prédire?

A

Permet de prédire ce que les gens feront et le niveau de performance.

39
Q

Nommer les 3 caractéristiques du SEP.

A
  • Perception de ses capacités personnelles: seule prs elle-même peut dire ce qu’elle pense ou croit de ses capacités
  • Croyances p/r réalisation de comportements ou de tâches dans le futur: anticipation de notre performance dans un avenir proche, pas évaluation de performances passées
  • Évaluation de ses capacités dans une situation précise: doit avoir en tête tâche ou contexte précis lorsque procède à évaluation de ses capacités
40
Q

Donner des exemples de choses que le SEP influence.

A

Choix des tâches que l’on tente d’accomplir, fixation d’objectifs de performance plus élevés, quantité d’effort déployé pour réussir les tâches, persévérance devant les obstacles, conserver le calme dans des situations difficiles, etc.

41
Q

Qu’arrive-t-il si on a un SEP faible?

A

Niveau de performance faible, probabilité de produire le comportement est faible. Niveau de performance finale = niveau de compétence perçue au départ

42
Q

Vrai ou faux. Le SEP est une attente qui motive les actions spécifiques et qui permet aux individus de s’auto-réguler dans l’accomplissement des résultats souhaités.

A

VRAI

43
Q

Quelle est la différence entre le soi de Rogers et le SEP?

A

Soi: construit global ou unifié, tout éléments qui est ramené à soi et auquel est rattaché une valeur + ou -
SEP: ne repose pas sur conception d’un soi global fonctionnant de façon unifié, les micros-perceptions de nos habiletés sont plus déterminantes pour comprendre le comportement d’une personne

44
Q

Quelle est la distinction entre le SEP et les autres concepts liés au soi?

A

Ensemble des perceptions de soi, incluant habiletés et affects, dans différents domaines ou sphères de vie générales.
VS
SEP: pas un construit général, fait de sous-dimensions. Plutôt spécifique et dans un domaine précis, pas général

45
Q

Nommer 3 intérêts du SEP p/r au autres concepts de soi.

A
  1. Plus les croyances sont spécifiques à une tâche précise, plus elles permettent de prédire le niveau de performance
  2. Plus une cognition est spécifique, plus elle est malléable
  3. Le SEP est plus facile à cibler et à modifier que des perceptions plus générales comme l’estime de soi ou les concepts de soi
46
Q

Quelle est la différence entre l’estime de soi et le SEP?

A

Estime de soi: jugement personnel global que porte la personne sur son mérite ou sa valeur personnelle

SEP: ne se rapporte pas à des affects ou des émotions

47
Q

Qu’est-ce qui influence le SEP?

A
  • Performances passées ayant générées des expériences de maîtrise: décomposer tâche en sous-tâches, plus facile au plus difficile
  • Expériences vicariantes: regarder autres personnes réaliser avec succès une tâche –> donne confiance
  • Persuasion verbale: se faire dire qu’on est capable
  • Émotions ressenties: associé états psychologiques de calme ou sensations positives à la tâche/défi à relever (visualisation)
48
Q

Qu’est-ce que l’autorégulation?

A

Capacité de motiver son propre comportement: initier certains comportements, poursuivre ses objectifs et ajuster ses actions en fct de facteurs motivationnels

49
Q

Comment est-il possible de faire de l’auto-régulation?

A

Par la mise en œuvre de processus cognitifs: objectifs, attentes, SEP, normes d’auto-évaluation = ajuste le niveau d’effort

50
Q

Pourquoi dit-on que la personne est un agent causal?

A

Par ses propres processus cognitifs est capable de causer lui-même son comportement.

51
Q

Quelles sont les 3 choses en interaction constante dans le déterminisme réciproque?

A

Personne, environnement, comportement.

52
Q

Vrai ou faux. Selon Bandura, l’individu peut choisir ses comportements et ses environnements grâce à ses processus cognitifs.

A

VRAI

53
Q

Pourquoi dit-on qu’il y a une causalité à double sens?

A

Environnement peut façonner une personne autant qu’une personne peut modifier son environnement.

54
Q

Vrai ou faux. La personnalité n’est pas le résultat d’interactions dynamiques qui sont, au moins en partie, influencées par la motivation du sujet.

A

FAUX. La personnalité EST le résultat d’interactions dynamiques qui sont, au moins en partie, influencées par la motivation du sujet.

55
Q

Qu’est-ce qu’un schéma de soi?

A

Structure de connaissances sur soi qui oriente notre traitement de l’information. Est constitué de croyances personnelles sur soi et sur le monde qui se sont généralisées au fil du temps.

56
Q

Les schémas de soi sont-ils pareils ou différents?

A

Ils diffèrent pour chacun contrairement à la théorie du Big Five.

57
Q

Sommes-nous conscients de nos schémas de soi?

A

Pas nécessairement.

58
Q

Puisque Markus exclut l’auto-rapport comme méthode unique pour étudier les schémas de soi qu’on les gens, quelle autre mesure a-t-il utilisé?

A

La méthode des temps de réponse.

59
Q

Qu’est-ce que la méthode des temps de réponse?

A

Guide pour réagir de façon rapide aux stimuli de l’environnement, schéma accélère traitement de l’information. Si individu réponds plus vite à certains stimuli, c’est qu’il possède un schéma à propos des stimuli en question.

60
Q

Selon la méthode des temps de réponse, quels sont les propriétés des schémas de soi?

A
  • Accélérer le temps de réponse
  • S’auto-renforcer
  • Se maintenir dans le temps
61
Q

Selon les processus de consolidation et d’auto-confirmation des schémas, est-il nécessaire qu’un comportement soit émis pour qu’un schéma se consolide ou se renforce?

A

Il n’est pas nécessaire qu’un comportement soit émis pour qu’un schéma se consolide ou se renforce, la seule observation est un renforcement suffisant pour que schéma se consolide et se répète dans le temps.

62
Q

Le traitement de l’information est-il motivé?

A

Oui, il est motivé par les schémas.

63
Q

Quelles sont les 2 types de motivation fondamentales du traitement de l’information?

A

Tendance générale à l’auto-valorisation: traitement de l’information dans but d’augmenter son estime de soi
Tendance à l’auto-vérification: traitement de l’information dans but de confirmer sa vision du monde

64
Q

Comment la théorie de l’auto-vérification et la théorie de l’auto-valorisation affecte le traitement de l’information?

A

L’auto-vérification: permet faire de meilleures prédictions = la + importante pour comprendre l’acceptation du feedback et la plupart des rx cognitives
L’auto-valorisation: utilisée pour prédire les rx émotionnelles initiales au feedback

65
Q

Selon la théorie de Carol Dweck, les individus diffèrent quant à leur …

A

inclinaison particulière à poursuivre des objectifs.

66
Q

Vrai ou faux. Les types d’objectifs et les schémas sont instables et imprévisibles.

A

FAUX. Au contraire, les schémas et les types d’objectifs sont assez stables et prévisibles.

67
Q

Nommer et décriver les 2 types d’objectifs de la théorie de Carol Dweck.

A

Objectifs d’apprentissages: axés sur recherche de défis pour découvrir et maîtriser de nouvelles habiletés
Objectifs de performance: axés sur recherche de situations pour mettre en œuvre ses habiletés et être remarqué par autrui

68
Q

Dans la théorie de Carole Dweck, nommez et décrivez les 2 schémas qui sont des théories implicites de l’intelligence.

A

Théorie de l’entité: davantage tendance à concevoir intelligence et habiletés comme étant fixes et non modifiables. Objectifs de performance: prouve qu’on est bon, éviter échec, activité de la vie = occasions de se mettre à l’épreuve.
Théorie incrémentielle: conception de l’intelligence et des habiletés comme étant en développement au fil du temps et des expériences. Objectif d’apprentissage: chercher à entreprendre de nouvelles choses, activités de la vie = occasions de développer des habiletés.

69
Q

Quelles est la différence entre les normes idéales et imposées?

A

Normes idéales: associées au « soi idéal », ce que j’aimerais réaliser. Écart soi-soi idéal = tristesse et découragement.
Normales imposées: associées au « soi imposé », ce que je ressens l’obligation de réaliser. Écart soi-soi imposé = agitation et anxiété, incapacité à éviter une conséquence négative qu’on craint.

70
Q

Quels sont les 2 types d’approches selon les normes de rendement de Higgins?

A

Approche « promotion » utilisé par ceux qui ont tendance à recourir à des normes idéals: motivé par recherche de conséquences positives et les récompenses
Approche prévention » utilisé par ceux qui ont tendance à recourir à des normes imposées: motivé par l’évitement de conséquences négatives ou les punitions

71
Q

Donner la définition de l’apprentissage vicariant.

A

Apprentissage de façons d’être et d’agir par l’observation d’autrui. Capacité de développer des représentations mentales du comportement observé et de s’y référer par la suite. Emmagasinage mental d’actions observées, des conséquences associées à ces actions, et de cognitions ou de rx émotives observées chez autrui en lien avec le comportement ciblé.

72
Q

Quelle est la différence entre l’apprentissage pour les béhavioriste vs Bandura?

A

Béhavioristes: apprend par l’expérimentation directe, association de stimulus - récompenses
Bandura: apprend par simple observation de modèle

73
Q

Qu’est-ce bouscule la conclusion de l’étude de Bobo?

A

Bouscule l’idée que tout doit être renforcé pour être appris: positif car sinon apprentissage de comportements serait long et embêtant (ex. conduite automobile).

74
Q

Est-il seulement possible d’apprendre des comportements par l’apprentissage vicariant?

A

NON. Il est aussi possible d’apprendre des manières de penser, des normes d’auto-évaluation et toute sorte de compétence cognitive.

75
Q

Pourquoi le fait de porter attention à ce qu’il se passe dans environnement social et le milieu dans lequel on grandi et se développe est important?

A

Car nous apprenons beaucoup de choses par simple observation.

76
Q

Qu’est-ce que sont des croyances inadaptées?

A

Pensées automatiques, croyances irrationnelles, attente provenant de schémas inadaptés.

77
Q

Quel est le but avec les croyances inadaptées?

A

Corriger ces distorsions cognitives et les remplacer par des cognitions plus réalistes et adaptées.

78
Q

Selon Ellis, qu’est-ce qui cause problème dans les croyances inadaptées?

A

Ce sont les croyances absolues qu’il faut éliminer du discours interne des gens pour favoriser le bien-être et un meilleur ajustement à leur environnement

79
Q

Selon Beck, qu’est-ce qui cause problème dans les croyances inadaptées?

A

Le discours interne dénote une vision négative de soi, du monde et du futur, c’est ce qui cause problème. Triade cognitive (schéma) qui peut causer la dépression.

80
Q

Quelle solution propose Bandura pour les croyances inadaptées?

A

Il propose le rehaussement du SEP pour modifier le comportement des gens.

81
Q

Qu’est-ce que propose l’approche cognitive d’intervention comme solutions aux croyances inadaptées?

A

Identifier et éliminer les croyances, attentes ou schémas problématiques. Instaurer des cognitions qui seront bénéfiques et instrumentales pour réaliser des tâches ou atteindre des états désirés.

82
Q

Quelles sont les 3 vagues ayant contribuées à l’essor de la thérapie sur certaines cibles d’intervention particulière à un moment de l’histoire?

A

1ere vague: approches béhaviorales –> modifications des contingences pour changer les comportements
2e vague: approches cognitives –> prise en compte de processus de pensée. Instauration, modification ou élimination des croyances qui jouent un rôle causal
3e vague: approches centrées sur les émotions –> importance accordée aux émotions comme clé de compréhension et d’intervention

83
Q

Qu’est-ce que la thérapie cognitivo-comportemental?

A

Approche psychothérapeutique qui vise à modifier els comportements, émotions et/ou cognitions inadaptées en faisant appel à une procédure systématique et qui est orientée vers un ou des objectifs sur lesquels s’entendent le client et le thérapeute.

84
Q

Quels sont les 4 éléments clés des approches cognitivo-comportemental?

A
  1. Cibles d’intervention précise
  2. Démarche structurée et de courte durée
  3. Collaboration thérapeute - client
  4. Rôle actif du client dans la démarche
85
Q

Pourquoi l’approche cognitivo-comportemental est centrée sur l’action?

A

Car plusieurs petites réussites = meilleure façon de rehausser SEP et d’amener des changements durables.

86
Q

Quelles sont les 2 modalités d’intervention de Bandura? Indice: les 2 s’appuient sur le modèle d’apprentissage vicariant.

A
  • Modelage: observation d’un modèle pour acquérir le comportement, apprendre conséquences associées et le répliquer
  • Participation guidée: démontrer comportement au client, le guider dans la réalisation des tâches et lui faire vivre des expériences de maîtrise
87
Q

Quelles sont les 5 conditions à mettre en place pour augmenter le SEP?

A
  1. Choisir modèle auquel le client peut s’identifier
  2. Structurer méthodiquement les tâches en une série d’étapes de plus en plus difficiles
  3. s’assurer de faire vivre des petits succès au client en milieu contrôlé
  4. Fournir des occasions de pratique en milieu contrôlé
  5. Favoriser autonomie croissante chez le client dans la régulation de ses comportements
88
Q

Pourquoi il est difficile d’utiliser cette approche avec des cas complexes?

A

Ils ont beaucoup de mécanismes de défense, nie les choses = difficile de travailler avec eux uniquement avec des modèles sur les croyances, les attentes, les buts.

89
Q

Pourquoi il est difficile de travailler avec cette approche avec des personnes souffrant de dépression réfractaire?

A

Ils ressentent un vide. Difficile de travailler avec des buts car ils ont de la difficulté à les maintenir.

90
Q

Pourquoi pour traiter les cas complexes le clinicien a besoin de tous les outils des théories de la personnalité et pas seulement une?

A

Car il y a à la fois des problèmes d’attachement, des mécanismes de défense et des éléments génétique.

91
Q

Une des limites de cette théorie est qu’elle est optimiste p/r au degré de…

A

malléabilité des croyances sur lesquelles ont peut travailler.

92
Q

Qu’arrive-t-il si nous tentons de fixer une personnalité ou de décrire quelqu’un à partir de croyances spécifiques mais qu’on tente de le faire dans des situations où ils sont entrain d’apprendre?

A

On va peut-être être capable de saisir des partielles mais pas complètement si on fait abstractions des croyances plus générales qui les caractérisent.

93
Q

Pourquoi est-il possible de travailler avec un seul problème relativement bien mais quand rien ne va c’est difficile?

A

Modèle de Bandura est insuffisant pour composer avec les enjeux non nommés mais qui sont quand même là et agissent.