9.2 Flashcards

1
Q

Qu’implique la courbe de position sérielle?

A
l'effet de primauté
premiers items
hypothèse : montre le contenu de la MLT
l'effet de récence
derniers items
hypothèse : montre le contenu de la MCT
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2
Q

Quel était le but de l’étude de Murdock (1962) sur la courbe de position sérielle?

[The serial position effect of free recall]

A

Déterminer si le nombre de mots dans la liste influence la forme de la courbe de position sérielle.

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3
Q

Quels étaient les résultats de l’étude de Murdock (1962) sur la courbe de position sérielle?

[The serial position effect of free recall]

[Après avoir ajouté des mots dans la liste…]

A

L’ajout de mot ne fait qu’allonger le milieu de la liste…
La courbe reste donc constante :
l’effet de primauté et de récence persiste

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4
Q

Quelle est la capacité de la mémoire à long terme selon le modèle modal de mémoire d’Atkinson & Shiffrin (1968)?

A

Capacité illimé, incommensurable

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5
Q

Quelle est la cause de l’oubli de la mémoire à long terme selon le modèle modal de mémoire d’Atkinson & Shiffrin (1968)?

A

L’interférence

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6
Q

Quel état le but de l’étude de Rundus (1971) sur l’importance de la répition?

[Analysis of rehearsal processes in free recall]

A

Étudier la relation entre la répétition et les effets de primauté/récence

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7
Q

Quel était le rationnel de l’étude de Rundus (1971) sur l’importance de la répition?

[Analysis of rehearsal processes in free recall]

A

La répétition devrait être seulement reliée à la performance en MLT

Corrélé avec l’effet de primauté (MLT)
PAS avec l’effet de récence (MCT)

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8
Q

Quelles étaient les hypothèses de l’étude de Rundus (1971) sur l’importance de la répition?

[Analysis of rehearsal processes in free recall]

A

Concernant l’effet de primauté (MLT)
le nombre de répétitions (à voix haute) peut prédire la performance de rappel pour les premiers mots de la liste.
Concernant l’effet de récence (MCT)
le nombre de répétitions (à voix haute) ne sera PAS relié à la performance de rappel pour les derniers mots de la liste.

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9
Q

Quelles étaient les résultats de l’étude de Rundus (1971) sur l’importance de la répition?

[Analysis of rehearsal processes in free recall]

A

La probabilité de rappel est directement lié au nombre de répétition (au début de la courbe)
i.e., la répétition à un effet direct sur la “force” de la trace en MLT; donc processus nécessaire.
Il n’y a PAS de relation pour la fin de la courbe
i.e., pas besoin de répéter comme les items sont encore en MCT

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10
Q

Quelles étaient les interprétations de l’étude de Rundus (1971) sur l’importance de la répition?

[Analysis of rehearsal processes in free recall]

A

La répétition est un processus nécessaire afin de maintenir l’effet de primauté.
la répétition renforce les traces mnésiques en MLT
taux de répétition → mesure de force de la trace
Pour un rappel, la récupération doit venir de la MLT
La répétition n’est PAS un processus nécessaire pour l’effet récence.
Les mots ne sont pas répétés comme ils sont déjà en fin de liste, et sont donc disponibles pour le rappel.
i.e., ils sont en MCT

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11
Q

Quel est le processus de transfert principal de la mémoire à long terme et mémoire à court terme?

A

La répétition.

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12
Q

Quel était le but des études Glazner et Cunitz (1966) sur l’indépendance des systèmes récence/primauté?

[combinaison des expériences 1 et 2]

A

Prouver la relation entre :

effet de récence et MCT
effet de primauté et MLT
dans l’intention de démontrer une double dissociation entre ces systèmes.

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13
Q

Quel était le but de l’étude de Glazner et Cunitz (1966) sur l’indépendance des systèmes récence/primauté?

[Expérience 1 uniquement]

A

Éliminer l’effet de récence tout en maintenant l’effet de primauté.

[Permettrait de révéler une dissociation]

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14
Q

Quel était le rationnel de l’étude de Glazner et Cunitz (1966) sur l’indépendance des systèmes récence/primauté?

[Expérience 1 uniquement]

A

Si l’effet de récence est dû aux mots enregistrés en MCT, alors imposer un délai entre la fin de la liste et le signal de rappel devrait réduire l’effet.

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15
Q

Quel était l’interprétation de l’étude de Glazner et Cunitz (1966) sur l’indépendance des systèmes récence/primauté?

[Expérience 1 uniquement]

A

En demandant aux participants de compter entre la fin de la liste et du rappel :

les items en MCT sont oubliés = interférence
l’effet de récence est plus faible après un délai de 10 secondes, et disparait après 30 secondes
Les premiers items continuent d’être bien rapportés car l’effet de primauté est inchangé.
Il s’agit donc d’une preuve de dissociation.

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16
Q

Quel était le but de l’étude de Glazner et Cunitz (1966) sur l’indépendance des systèmes récence/primauté?

[Expérience 2 uniquement]

A

Augmenter l’effet de primauté tout en vérifiant si l’effet de récence est maintenue.

[Si non = dissociation]

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17
Q

Quel était le rationel de l’étude de Glazner et Cunitz (1966) sur l’indépendance des systèmes récence/primauté?

[Expérience 2 uniquement]

A

Si l’effet de primauté est dû à des ressources de mémorisation supplémentaires (i.e., répétition) pour des mots initiaux, alors lire la liste plus lentement améliorera l’effet.

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18
Q

Quel était l’interprétation de l’étude de Glazner et Cunitz (1966) sur l’indépendance des systèmes récence/primauté?

[Expérience 2 uniquement]

A

Une présentation plus lente des mots de la liste [permet plus de répétitions] augmente la capacité de rappel (effet de primauté).

Cependant, PAS d’effet sur les mots de fin de liste (effet de récence) comme la répétion n’est pas utilisée.

Démontre une dissociation entre MLT et MCT

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19
Q

Quel était la conclusion de l’étude de Glazner et Cunitz (1966) sur l’indépendance des systèmes récence/primauté?

Concernant les 2 expériences :

délai avant rappel
Taux de présentation plus lent

A

Démontration d’une double dissociation entre MLT et MCT

Preuves supportant le principe de deux systèmes de mémoire indépendants

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20
Q

Est-ce que la mémoire à court terme et la mémoire à long terme peuvent être considérés comme des systèmes indépendants?

A

Oui.

Surtout depuis les expérience de double dissociation de Glanzer & Cunitz (1966)

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21
Q

Quelles sont les caractéristiques de la mémoire explixite?

A

Capacité de rappel conscient des faits et événements
Affecté en amnésie
Permet la comparaison et contraste du matériel remémoré
encodage effectué par des relations entre items/événements
est représentationnelle
i.e., une façon de modéliser le monde externe
contient :
mémoire épisodique
mémoire sémantique

22
Q

Mémoire épisodique ou sémantique?

Événements spécifiques

A

Mémoire épisodique

23
Q

Mémoire épisodique ou sémantique?

Expérience personnelle unique (“autobiographique”)

A

Mémoire épisodique

24
Q

Mémoire épisodique ou sémantique?

Événements contrets

A

Mémoire épisodique

25
Q

Mémoire épisodique ou sémantique?

Encodé avec contexte (spécificité de l’encodage)

A

Mémoire épisodique

26
Q

Mémoire épisodique ou sémantique?

Acquis immédiatement (ici et maintenent)

A

Mémoire épisodique

27
Q

Mémoire épisodique ou sémantique?

permet le “voyage dans le temps mental” (conscience)
info temporelle
relations spatio-temporelles

A

mémoire épisodique

28
Q

Mémoire épisodique ou sémantique?

ne permet PAS :

le “voyage dans le temps mental” (conscience)
info temporelle
relations spatio-temporelles

A

Mémoire sémantique

29
Q

Mémoire épisodique ou sémantique?

Faits généraux/signification

A

Mémoire sémantique

30
Q

Mémoire épisodique ou sémantique?

Non lié à l’expérience (émotions/pensées/sensations)

A

Mémoire sémantique

31
Q

Mémoire épisodique ou sémantique?

Connsaissance abstraite

A

Mémoire sémantique

32
Q

Mémoire épisodique ou sémantique?

Extrait du contexte

A

Mémoire sémantique

33
Q

Mémoire épisodique ou sémantique?

Acquis progressivement dans de multiples contextes

A

Mémoire sémantique

34
Q

Est-ce que la mémoire sémantique apparait en même temps que la mémoire épisodique au cours du développement de l’enfant?

A

Non.

La mémoire épisodique apparaît plus tard dans le développement

35
Q

Est-ce la mémoire sémantique ou épisodique qui est généralement atteinte dans le cas d’amnésie?

A

La mémoire épisodique.

36
Q

Quel était le but de l’étude de Knowlton & Squire (1995)?

[Remembering and knowing: two different expression of declarative memory]

A

Montrer une différence dans l’oubli pour :

la mémoire épisodique (se souvenir)
la mémoire sémantique (savoir)

37
Q

Mémoire épisodique ou sémantique?

Se souvenir

A

Mémoire épisodique

38
Q

Mémoire épisodique ou sémantique?

Savoir

A

Sémantique

39
Q

Quels étaient les résultats de l’étude de Knowlton & Squire (1995)?

[Remembering and knowing: two different expression of declarative memory]

A

Une baisse de discriminalité plus forte pour les réponses “se souvenir” que “savoir”

40
Q

Quels étaient les conclusions de l’étude de Knowlton & Squire (1995)?

[Remembering and knowing: two different expression of declarative memory]

A

Les réponses “se souvenir” (mémoire épisodique) ont un pattern d’oubli différent des réponses “savoir” (mémoire sémantique).
Nous aurions donc deux types de mémoire explicite avec des caractéristiques différentes (oubli)
La mémoire épisodique devient sémantique avec le temps.

41
Q

Est-ce que la mémoire sémantique devient épisodique avec le temps?

A

Non, l’inverse.

La mémoire épisodique devient sémantique avec le temps

42
Q

Quel était le but de l’étude de Petrican et al. (2010) sur la mémoire épisidique et sémantique.

[Recollection and familiarity for public events in neurologically intact older adult]

A

Montrer une différence dans l’évolution de :

la mémoire épisodique (se souvenir)
la mémoire sémantique (savoir)

[Chez des participants moins âgés (58-69 ans) et plus âgés (74-85 ans)]

43
Q

Quels étaient les résultats de l’étude de Petrican et al. (2010) sur la mémoire épisidique et sémantique.

[Recollection and familiarity for public events in neurologically intact older adult]

A

Une dégration de la mémoire épisodique avec l’âge

Une augmentation de la mémoire sémantique avec l’âge

44
Q

Quels sont les conclusions de l’étude de Petrican et al. (2010) sur la mémoire épisidique et sémantique.

[Recollection and familiarity for public events in neurologically intact older adult]

A

La mémoire épisodique se dégrade avec l’âge
dû à la dégénerescence de l’hippocampe et du cortex frontal
Notre mémoire sémantique grandit avec l’âge
dû à l’accumulation des connaissances

45
Q

Quel était le but de l’étude de Sach (1967) sur l’oubli en mémoire épisodique et sémantique.

[Recognition memory for syntactic and semantic aspects of connected discourse]

A

Étudier la rétention d’information syntaxique et sémantique.

46
Q

Quel était le rationnel de l’étude de Sach (1967) sur l’oubli en mémoire épisodique et sémantique.

[Recognition memory for syntactic and semantic aspects of connected discourse]

A

Si le sens est encodé, un changement n’affectant pas le sens ne sera pas détecté.

47
Q

Quelles étaient les résultats de l’étude de Sach (1967) sur l’oubli en mémoire épisodique et sémantique.

[Recognition memory for syntactic and semantic aspects of connected discourse]

A

Lorsque la phrase critique est testée immédiatement, les participants sont excellent pour identidier tout type de changement (e.g., sémantique, passif, formel, identique).
à mesure que le temps passe, l’exactitude est réduite en général.
mais demeure plus élevée pour les changements sémantiques.

48
Q

Quelle était l’interprétation de l’étude de Sach (1967) sur l’oubli en mémoire épisodique et sémantique.

[Recognition memory for syntactic and semantic aspects of connected discourse]

A

Preuves pour un codage (surtout) sémantique en MLT explicite
La mémoire pour la signification du message est préservée jusqu’à un certain point
La mémoire pour la forme syntaxique du message disparait tranquillement à mesure que le temps passe

49
Q

Est-ce que le traitement descendant influence la mémoire épisodique ou sémantique?

Comment?

A

La mémoire épisodique.

Les attentes (i.e., connaissances sémantiques) peuvent diriger le faisceau attentionnel, et l’attention est important pour former une mémoire épisodique.

50
Q

Pourquoi est-ce que l’information épisodique enrichit-elle la mémoire sémantique?

A

Les faits avec signification personnelle sont plus faciles à mémoriser.