8.4 Évaluation du risque et des facteurs de protection Flashcards

1
Q

✓ À partir d’un suivi de 4 à 5 ans, le taux de récidive
des nouveaux délits sexuels reconnus officiellement
était de ____% pour l’ensemble des agresseurs.

A

✓ À partir d’un suivi de 4 à 5 ans, le taux de récidive
des nouveaux délits sexuels reconnus officiellement
était de 13,4% pour l’ensemble des agresseurs.

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2
Q

Vrai ou Faux ?

Le taux de récidive est plus élevé chez les pédophiles que chez les violeurs.

A

Faux.
✓ Ce taux était plus élevé chez les violeurs (18,9%)
que chez les pédophiles (12,7%).

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3
Q

Vrai ou faux ?

selon l’étude de Rice et Harris (1997), les
pédophiles demeurent à risque de récidive plus
longtemps que les violeurs.

A
Vrai.
▪ Harris et Hanson (2004) obtiennent des taux de récidive sexuelle officielle de:
✓ 14% pour une période de 5 ans.
✓ 20% pour une période de 10 ans.
✓ 24% pour une période de 15 ans.
✓ 27% pour une période de 20 ans.
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4
Q

La méta-analyse de Hanson et Buissière (1998) permet
d’apprendre que parmi les recherches couvrant de très
longues périodes de suivi (entre 15 et 20 ans), les taux
de récidive officielle n’excèdent presque jamais ___%.

A

40%

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5
Q

Vrai ou faux ?
À partir d’une période de suivi de 12 ans, le taux de récidive générale des agresseurs sexuels est
constamment plus élevé que celui des autres délinquants.

A

Faux.
À partir d’une période de suivi de 12 ans, le taux de
récidive générale des agresseurs sexuels est
constamment plus faible (moins de 10%) que celui
des autres délinquants.

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6
Q

Les ratios les plus récents d’agressions sexuelles non

déclarées se situent probablement entre __ et __%.

A

Les ratios les plus récents d’agressions sexuelles non

déclarées se situent probablement entre 60 et 80%.

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7
Q

Vrai ou faux ?

▪ Le Canada est le pays le plus avancé pour prédire la
récidive sexuelle.

A

Vrai

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8
Q

De quoi s’agit-il?
✓ Processus visant à évaluer et à tenter de limiter la
probabilité qu’un événement regrettable se
produise.

A

l’évaluation du risque de récidive

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9
Q

Pour procéder à l’évaluation du risque de récidive, on détermine 5 éléments. Quels sont-ils ?

A

▪ Pour ce faire, on détermine…
✓ Quels événements risquent de se produire.
✓ À quelle fréquence.
✓ Sous quelles conditions.
✓ Si ces conditions sont présentes.
✓ Quelles interventions réduiraient le risque.

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10
Q

Quelles sont les caractéristiques de l’évaluation du risque (3) ?

A

✓ Partie intégrale d’un système d’intervention et de
gestion du risque.
✓ Permet une approche individualisée.
✓ Assure une continuité pour la gestion du cas.

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11
Q

Le but ultime de l’évaluation est la ___________.

A

Le but ultime de l’évaluation est la prévention.

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12
Q

Le but ultime de l’évaluation est la prévention. Pour ce

faire, l’évaluation doit… (3)

A

Le but ultime de l’évaluation est la prévention. Pour ce
faire, l’évaluation doit…
✓ Indiquer le niveau de risque et les situations où le
risque de récidive est le plus élevé.
✓ Renseigner sur les besoins de traitement.
✓ Permettre l’élaboration de stratégies favorisant une
gestion efficace du risque

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13
Q

Vrai ou Faux ?
Certains des facteurs de risque liés à la récidive en général sont différents des facteurs de risque liés à la
récidive sexuelle.

A

Vrai

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14
Q

Qui suis-je ?
✓ Facteurs historiques associés avec le potentiel de
récidive.
✓ Facteurs qui ne peuvent être modifiés par une
intervention.

A

▪ Prédicteurs statiques

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15
Q

Qui suis-je ?
✓ Facteurs associés avec le potentiel de récidive, mais
que l’on peut changer. Ces facteurs sont ciblés en
traitement.

A

▪ Prédicteurs dynamiques

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16
Q

Il existe 2 catégories de prédicteurs dynamiques. Quels sont-ils?

A

✓ Stables: Caractéristiques changeantes, mais
persistantes et stables.
✓ Aigus: Changements rapides dans la condition de
l’agresseur ou dans son environnement qui peuvent
indiquer une récidive imminente. Ça peut aller jusqu’à
quelques semaines.

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17
Q

Qui suis-je ?

Facteurs qui étaient traditionnellement considérés
comme des prédicteurs de la récidive sexuelle, mais qui
se sont avérés sans lien avec celle-ci.

A

▪ Les « faux » facteurs de risque de la récidive sexuelle

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18
Q

De quoi s’agit-il?

✓ Négligence, violence sexuelle, physique ou
psychologique subie durant l’enfance.
✓ Déni/minimisation des délits commis.
✓ Manque d’empathie envers les victimes.
✓ Faible estime de soi.
✓ Dépression.
✓ Angoisse.
✓ Faibles habiletés sociales.
✓ Gravité des crimes commis.
✓ Trouble mental grave.
✓ Manque de motivation au début d’un traitement.
A

▪ Faux facteurs de risque

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19
Q

Vrai ou Faux ?

Les facteurs non criminogènes (faux facteurs) peuvent être ignorés lors du traitement.

A

▪ Ces facteurs ne devraient pas être ignorés en
traitement.
▪ Il est possible qu’un facteur non criminogène soit très
important pour un délinquant spécifique.
▪ Cependant, ces facteurs ne doivent jamais constituer les éléments centraux du programme de traitemen

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20
Q

De quoi s’agit-il ?
✓ Âge.
✓ Situation conjugale.
✓ Infraction répertoriée avec violence non sexuelle.
✓ Infractions antérieures avec violences non sexuelles.
✓ Infractions sexuelles antérieures.
✓ Prononcés de peine antérieurs.
✓ Condamnations pour infractions sexuelles sans
contact.
✓ Au moins une victime sans lien de parenté avec le
délinquant.
✓ Au moins une victime qui était inconnue.
✓ Au moins une victime de sexe masculin.

A

▪ Facteurs cotés à la Statique-99R

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21
Q

De quel instrument de mesure s’agit-il ?
✓ S’adresse à des sujets masculins adultes qui sont ou qui ont été condamnés pour une ou plusieurs infractions
sexuelles à l’égard d’enfants ou d’adultes.
✓ Le score total varie de -3 à 12 et réfère à 5 catégories de risque de récidive:
1) Niveau I: Risque très faible
2) Niveau II: Risque sous la moyenne
3) Niveau III: Risque dans la moyenne
4) Niveau IVa: Risque au-dessus de la moyenne
5) Niveau IVb: Risque bien au-dessus de la moyenne

A

▪ Statique-99R

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22
Q

De quel instrument de mesure s’agit-il ?
✓ Instrument spécifique aux évaluations des changements des agresseurs sexuels.
✓ Le score total varie de 0 à 26 et réfère à trois catégories:
1) Faible → 0 à 3
2) Moyen → 4 à 11
3) Élevé → 12 et +

A

▪ Stable 2007:

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23
Q

✓ Les facteurs _____ sont les meilleures cibles de
traitement.
✓ L’évaluation des facteurs ______ permet d’éclairer les
efforts liés au traitement et à la surveillance.

A

✓ Les facteurs stables sont les meilleures cibles de
traitement.
✓ L’évaluation des facteurs stables permet d’éclairer les
efforts liés au traitement et à la surveillance.

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24
Q

De quoi s’agit-il ?

1) Influences sociales importantes.
2) Problèmes sur le plan de l’intimité.
3) Maîtrise de soi en général.
4) Maîtrise de soi sur le plan sexuel.
5) Coopération dans le cadre de la surveillance.

A

Facteurs cotés à la Stable 2007:

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25
Q

Les facteurs de risque dynamiques _____ permettent
d’évaluer le risque à court terme, la proximité de la
récidive.

A

Les facteurs de risque dynamiques aigus permettent
d’évaluer le risque à court terme, la proximité de la
récidive.

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26
Q

Il existe 2 catégories de prédicteurs aigus. Quels sont-ils ?

A
1) Score lié à la récidive sexuelle ou violente
✓ Accès à des victimes.
✓ Hostilité.
✓ Préoccupations sexuelles.
✓ Refus de la surveillance.
2) Score lié à la récidive générale:
✓ Les 4 qui précèdent +
✓ Effondrement émotionnel.
✓ Écroulement des soutiens sociaux.
✓ Consommation d’alcool et/ou de drogue.
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27
Q

De quel instrument de mesure s’agit-il ?
✓ La cotation s’effectue de façon isolée pour chaque
élément.
✓ L’évaluateur doit déterminer s’il y a lieu ou non
d’intervenir: 0 → faible, 1 à 2 → modéré, 3 et + →
élevé.
✓ Items évalués à partir d’entrevues semi-structurées à
l’aide d’une grille d’évaluation.

A

▪ Aigu-2007

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28
Q

La Statique-99-R et le Stable 2007 sont des mesures qui

n’ont pas été validées auprès des … (3)

A

La Statique-99-R et le Stable 2007 sont des mesures qui

n’ont pas été validées auprès des délinquants atteints de troubles mentaux, les femmes et les autochtones.

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29
Q

Vrai ou Faux ?
Il est contraire à l’éthique de diffuser des scores bruts en
raison de la probabilité accrue de mauvaise interprétation
par les non spécialistes.

A

Vrai

30
Q

Même s’il n’a rien de changé, il faut recommencer
l’évaluation au bout de _ ans puisque l’évaluation du
risque est valide pour une période de _ ans.

A

✓ Même s’il n’a rien de changé, il faut recommencer
l’évaluation au bout de 2 ans puisque l’évaluation du
risque est valide pour une période de 2 ans.

31
Q

Quelles sont les 3 questions à se poser pour vérifier l’exactitude des informations ?

A

✓ Est-ce que l’information est obtenue de source
crédible?
✓ Est-ce que les informations contradictoires sont
réconciliées?
✓ Est-ce que l’information obtenue est suffisante pour
compléter une évaluation valide?

32
Q

▪ Une procédure d’évaluation du risque est considérée

bonne quand… (3)

A

✓ Elle produit des résultats constants.
✓ Elle est normative.
✓ Elle est transparente.

33
Q

▪ De plus, une bonne évaluation…(3)

A

✓ Protège les droits des clients.
✓ Augmente la sécurité du public.
✓ Assure la protection professionnelle de l’évaluateur.

34
Q

Vrai ou Faux ?
Chez les femmes qui agressent sexuellement, les taux de récidive sont nettement supérieurs à ceux des
hommes.

A

chez les femmes qui agressent sexuellement, les
taux de récidive sont nettement inférieurs à ceux des
hommes.

35
Q

Vrai ou Faux ?

Les facteurs de risque statiques et dynamiques sont mal connus chez les femmes.

A

Vrai

36
Q

Vrai ou Faux ?

Il existe un instrument développé pour évaluer le risque de récidive sexuelle des femmes.

A

Faux.

▪ Aucun instrument développé pour évaluer le risque de récidive sexuelle des femmes.

37
Q

Vrai ou Faux ?
Les outils destinés aux hommes peuvent utilisés auprès
des femmes.

A

Faux

▪ Outils destinés aux hommes ne peuvent utilisés auprès des femmes puisqu’ils surestiment le risque.

38
Q

Quels sont les prédicteurs (4) de la récidive violente et générale chez les femmes ?

A

✓ Nombre d’antécédents criminels.
✓ Jeune âge (moins de 30 ans).
✓ Abus de substances.
✓ Personnalité antisociale.

39
Q

Quels sont les prédicteurs (3) de la récidive sexuelle chez les femmes ?

A

▪ Récidive sexuelle:
✓ L’âge ne semble pas lié à la récidive sexuelle, sauf
pour les femmes condamnées pour des délits liés à la
prostitution. Pour celles-ci, le fait d’être plus âgées est
lié à leur récidive.
✓ Antécédents de maltraitance (non sexuelle) d’enfants
étaient associés à la récidive sexuelle, seulement pour
les femmes condamnées pour des délits impliquant un
contact sexuel avec la victime.
✓ Difficultés relationnelles qui s’expriment par la répétition de schémas relationnels dysfonctionnels et par l’abus de substances.

40
Q

Vrai ou Faux ?

Les CPJ présentent un risque élevé de récidive dans des délits avec contact.

A

Faux.

▪ Faible risque de récidive dans des délits avec contact.

41
Q

▪ Entre __ et __% des CPJ récidivent dans des délits liés à la PJ

A

▪ Entre 7 et 50% des CPJ récidivent dans des délits liés à la PJ

42
Q

Vrai ou faux ?

Chez les CPJ n’ayant jamais commis de délit avec contact, les outils d’évaluation tels la Statique-99R peuvent être utilisés sans apporter de
modification.

A

Faux.
▪ Concernant les DSM, les outils d’évaluation tels la
Statique-99R peuvent être utilisés sans apporter de
modification.
▪ Pour ceux n’ayant jamais commis de délits avec contact,
ces outils.ne peuvent être employés puisqu’ils n’ont pas
été validés auprès de cette population.

43
Q

________ (2015) ont développé le premier outil actuariel d’évaluation du risque de récidive pour les CPJ.

A

Seto & Eke

44
Q

Le _______________________ est une échelle de 7 items pour évaluer le risque des individus ayant commis au moins une infraction officielle de PJ.

A

Child Pornography Offender Risk Tool (CPORT)

45
Q

Quels sont les 7 items du CPORT ?

A

1) Âge du délinquant au moment du délit (35 ans et moins).
2) Antécédents criminels généraux.
3) Antécédents de délits sexuels avec contact (ou présente infraction).
4) Historique de bris de conditions (ou présente infraction).
5) Indication d’intérêts sexuels envers les enfants/adolescents.
6) Plus de garçons que de filles dans le contenu
pédopornographique.
7) Plus de garçons que de filles dans le contenu des autres
images montrant des enfants.

46
Q

Les recherches actuelles sur la récidive des CPJ ont deux limites principales. Quelles sont-elles ?

A

1) La période de suivi est généralement de courte durée.

2) Les échantillons incluent des DSM et des CPJ, ce qui ne permet pas d’établir les distinctions entres ces sous-groupes

47
Q

Vrai ou Faux ?
Le SAPROF seul peut être utilisé pour évaluer le
risque.

A

Faux.
✓ Le SAPROF seul ne peut être utilisé pour évaluer le
risque.

48
Q

Le SAPROF peut être utilisé aurpès de patients psychiatriques, de délinquants violents et/ou sexuels, et des hommes et femmes.

A

Vrai.

49
Q

Quels sont les buts du SAPROF ? (2)

A

1)Évolution des changements pendant le traitement
(Offrir des pistes d’intervention).
2)Évolution du risque de récidive (guide du jugement
clinique structuré et évaluation du risque de violence
et sexuel).

50
Q

Le SAPROF comprends 17 facteurs de protection regroupés en 3 grandes catégories. Quelles sont-elles?

A
  1. Facteurs internes (5)
  2. Facteurs de motivation (7)
  3. Facteurs externes (5)
51
Q

De quelle catégorie de facteur de protection s’agit-il ?

1) Intelligence.
2) Attachement sécurisant durant l’enfance.
3) Empathie.
4) Habiletés d’adaptation (coping).
5) Maîtrise de soi.

A. Facteurs internes
B. Facteurs de motivation
C. Facteurs externes

A

A. Facteurs internes

52
Q

De quelle catégorie de facteur de protection s’agit-il ?

6) Travail.
7) Activités de loisirs.
8) Gestion des finances.
9) Motivation à l’intervention.
10) Attitudes envers l’autorité.
11) Objectifs de vie.
12) Médication.

A. Facteurs internes
B. Facteurs de motivation
C. Facteurs externes

A

B. Facteurs de motivation

53
Q

De quelle catégorie de facteur de protection s’agit-il ?

13) Réseau social.
14) Relation intime.
15) Suivi sociojudiciaire.
16) Milieu de vie actuel.
17) Contrôle externe.

A. Facteurs internes
B. Facteurs de motivation
C. Facteurs externes

A

C. Facteurs externes

54
Q

Quels sont les 4 étapes de la cotation du SAPROF ?

A
  1. Codification des 17 facteurs (0 = absent; 1 =
    Partiellement présent; 2 = Présent)
  2. Acquis et buts sur lesquels il faut mettre l’emphase
    lors de l’intervention).
  3. Jugement final sur la protection (faible, modéré,
    élevé).
  4. Combinaison du jugement final sur la protection et de
    l’évaluation du risque qui a été fait à l’aide d’un
    instrument validé.
55
Q

Vrai ou Faux ?

Les agresseurs sexuels font plus souvent des aveux à la police que la plupart des autres types de délinquants.

A

Faux. Les agresseurs sexuels font moins souvent des
aveux à la police que la plupart des autres types de
délinquants.

56
Q

Un délinquant sexuel sur ____ confesse son crime
au moment de l’interrogatoire de police, du moins
au Québec.

A

Un délinquant sexuel sur trois confesse son crime
au moment de l’interrogatoire de police, du moins
au Québec.

57
Q

Décrivez le portrait type de l’agresseur qui confesse son crime à la police (6 éléments)

A

▪ Portrait type de l’agresseur qui confesse son crime à la
police
✓ Un homme de race blanche.
✓ Célibataire.
✓ Ayant fait une victime d’âge mineur.
✓ Ayant utilisé peu ou pas de violence à l’égard de sa
victime.
✓ Exprimant des remords.
✓ Présentant un profil de personnalité introverti.

58
Q

Vrai ou faux ?
Les recherches en arrivent à la
constatation que les agresseurs sexuels d’enfants, plus
particulièrement les pédophiles homosexuels
collaborent plus souvent avec la police que les violeurs.

A

Vrai

59
Q

▪ La rareté des confessions chez les délinquants sexuels

semble étroitement liée à deux principaux facteurs. Quels sont-ils ?

A

1) Les conséquences personnelles

2) L’attitude de l’enquêteur

60
Q

Nommez les 7 indices d”un pronostic favorable.

A

▪ Reconnaissance de l’ampleur de sa problématique.
▪ Version comparable à celle de la victime.
▪ Capacité de nommer ce qui a précédé les abus.
▪ Reconnaissance des fantaisies sexuelles déviantes.
▪ Reconnaissance des différentes techniques de
manipulation et de contrôle.
▪ Préoccupations liées à une possible récidive.
▪ Affects dépressifs liés à un sentiment de culpabilité et
non aux conséquences vécues depuis le dévoilement.

61
Q

Les taux d’aveux observés chez les
délinquants sexuels une fois qu’ils ont reçu leur
sentence varient entre ___% (pour les violeurs) et ___%
(pour les agresseurs sexuels d’enfants).

A

les taux d’aveux observés chez les
délinquants sexuels une fois qu’ils ont reçu leur
sentence varient entre 70% (pour les violeurs) et 98,7%
(pour les agresseurs sexuels d’enfants).

62
Q

Vrai ou faux ?

Les auteurs de crimes sexuels semblent plus sensibles aux conséquences personnelles que les autres types de délinquants.

A

Vrai

63
Q

De quoi s’agit-il ?

1) Ceux qui admettent sans résistances et pour qui la
dénonciation est une libération.
2) Ceux qui reconnaissent, mais minimisent les gestes, la
durée, etc.
3) Ceux qui ne se souviennent pas des faits, mais
admettent qu’ils sont possiblement survenus.
4) Ceux qui nient catégoriquement les faits, mais qui
finissent par les reconnaître après leur sentence ou
durent leur incarcération.
5) Ceux qui maintiennent la négation des faits, même
après l’incarcération en prétendant le complot.

A

Le continuum de l’aveux.

64
Q

Vrai ou Faux ?

Les délinquants sexuels sont deux fois plus nombreux à avouer leur crime à la police que les meurtriers.

A

Faux.

Les meurtriers sont deux fois plus nombreux à avouer leur crime à la police que les délinquant sexuel.

65
Q

Vrai ou Faux ?

Les meurtriers sexuels colériques avouent plus souvent leur crime à la police que les meurtriers sexuels sadiques.

A

Vrai

66
Q

Vrai ou Faux ?

Les agresseurs qui ont fait une victime de sexe féminin avouent plus souvent leur crime à la police.

A

Faux.

Les agresseurs qui ont fait une victime de sexe masculin avouent plus souvent leur crime à la police.

67
Q

Les sujets de race blanche sont __ fois plus nombreux à avouer leur crime que ceux d’une autre ethnie.

A

5

68
Q

Vrai ou Faux ?

Plus le Q.I. d’un agresseur sexuel est élevé, plus il aura tendance à faire des aveux à la police.

A

Vrai.

69
Q

Vrai ou Faux?

Les agresseurs sexuels qui éprouvent de la culpabilité sont plus enclin à avouer leur crime.

A

Vrai

70
Q

Les taux d’admission seraient __ fois plus élevés chez les agresseurs sexuels qui perçoivent l’attitude du policier comme étant humaine.

A

3