8- identification des mots (microprocessus) Flashcards

1
Q

Quels sont les deux voies de l’identification de mots pour les lecteurs?

A

Décodage et reconnaissance instantanée

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2
Q

Quels sont les différences entre le décodage et la reconnaissance instantanée?

A

Décodage : (assemblage, médiation phonologique, voie indirecte) Associe chaque graphème à un phonème, puis je relis le mot en entier. (couteux cognitivement)
Reconnaissance instantanée : (adressage, reconnaissance globale, voie directe) Quand on reconnaît rapidement un mot, pas besoin d’associer chaque graphème, on le sait juste en le regardant « p a p a ». Après l’automatisation des mots.

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3
Q

Lorsque l’enfant décode un mot, il fait 3 choses, lesquelles?

A
  • fait correspondre chaque graphème à un phonème, déterminer où sont les graphèmes
  • fusionner les phonèmes
  • associer la suite de phonèmes à un mot connu
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4
Q

Quels sont les différence entre un enfant qui fait du déchiffrage et du décodage?

A

Déchiffrage : En rester à la fusion des phonèmes, sans dégager de sens… (je m’arrête seulement à associer graphème-phonème, n’arrive pas avec la bonne prononciation) Arrive souvent à la difficulté de la langue.
[t] + [e] + [r] + [r] + [e] = te-re
Décodage : Associer la suite de phonèmes à un mot connu…
L’image avec le mot en dessous, lecture signifiante avec un contexte (un lexique).
[t] + [e] + [r] + [r] + [e] = terre

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5
Q

Nommer 6 particularités de la langue à connaître pour faciliter le décodage (truc, car peuvent être un obstacle lors du décodage de phonème).

A
  • Connaitre les graphèmes complexes (ex: ch, gn, ou, on, au, an …) Ex : attention dans banane, il n’y a pas le « an » et le « na » = ce pourquoi il est important d’avoir un contexte, une image.
  • Multiphonologie (ex: cerise/carotte) ex : bague « u permet le g dur, que je ne prononce pas »
  • Le « y » peut être remplacé par deux « i » (ex: crayon = crai-i-on)
  • Le « ll » fait le son « l » ou le son du « y » (ex.: ville, fille)
  • Le « e » fait « è » lorsque suivi par une consonne dans la même syllabe (ex: cherche = CVCC). E suivi par une consonne dans la même syllabe. Le « e » dépendamment de sa position, il fait des sons différents.
  • Le « o » ouvert lorsque suivi par une consonne dans la même syllabe (ex: sport = CCVC)
  • Etc.
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6
Q

Le décodage demande un _________ important, donc il est important que les jeunes _______ la reconnaissance instantanée.

A
  1. coût énergétique

2. automatisent

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7
Q

En 3 mots, qu’est-ce que la reconnaissance instantanée?

A

reconnaissance instantanée

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8
Q

L’élève ne reconnaîtrait pas la « forme globale » du mot, mais il le ___________. Le mot fait partie de mon lexique automatique.

A

le décode rapidement

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9
Q

Qu’est-ce que permet la reconnaissance instantanée sur le lexique?

A

l’enfant constitue son lexique orthographique.

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10
Q

Quel est le plus gros avantage de la reconnaissance instantanée?

A

La reconnaissance instantanée libère des ressources cognitives nécessaires à la compréhension.

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11
Q

Combien de fois l’enfant doit-il rencontrer le même mot avant que ce dernier ne fasse partie de son lexique orthographique?

A

3 à 8 fois (une fois que je l’ai vue, décoder, je vais être en mesure de le reconnaître) pour que le mot soit compris de façon instantanée, il doit être bien compris.

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12
Q

Vrai ou faux : la reconnaissance instantanée s’enseigne?

A

La reconnaissance instantanée ne s’enseigne pas : Auto-apprentissage (automatisation par la compréhension de l’enfant et son décodage)

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13
Q

Quels sont les 2 conditions nécessaire pour une reconnaissance instantanée?

A
  • Mot bien décodé : Associé à un sens et non déchiffré

- Mot décodé avec exactitude plusieurs fois : Choisir des lectures avec mots fréquents, répétition de l’information, etc

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14
Q

Que permet la grande fréquence de certains mots courts dan les textes?

A

Certains mots courts sont très fréquents dans les textes : Lorsque les enfants les reconnaissent instantanément, ils sont plus autonomes dans leurs lectures. Plus vite il décode des mots, plus vite ils vont comprendre ce qu’ils lisent.

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15
Q

Quels sont les 4 caractéristiques des mots fréquents qu’on voit dans les lectures pour enfants?

A
  • Courts (la, le, il, sa, se)
  • Graphèmes complexes (et, pour, voir, son, ses)
  • Sons complexes (cette, elle, bien)
  • Morphogrammes muets (dans, aux, donnent)
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16
Q

Pourquoi les mots abstraits sont important à travailler?

A

peuvent être difficiles à « mémoriser »
Petit mot qui peut jouer dans la réussite du décodage. C’est mot son abstrait (déterminant, pronom, préposition), difficile de ce les représenter.
Représente 50% des mots dans les textes en français.

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17
Q

Pour qu’un enfant comprenne un texte en profondeur, l’enfant doit reconnaître ___% des mots de son texte.

A

95%

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18
Q

Que pouvons-nous faire pour aider les jeunes à reconnaître les mots abstraits?

A
  • travailler en contexte (phrases)

- affiches dans la classe (mot-étiquettes) pour si référer au besoin

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19
Q

Quels sont les 3 approches pour enseigner la lecture?

A
  • Approche synthétique
  • Approche analytique
  • Approche mixte ou équilibrée
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20
Q

En une phrases, qu’est-ce que l’approche synthétique?

A

Part de la plus petite unité vers la plus grande : graphème, syllabe, mot, phrase, texte

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21
Q

Dire sur quoi est centré l’approche synthétique et donner une explication.

A

Approche centrée sur les correspondances graphèmes-phonèmes. : (avant d’arriver à lire des syllabes, on va passer en revue toutes les correspondances phonèmes-graphèmes)

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22
Q

Quels sont les points négatifs de l’approche synthétique?

A

très demandant et ça prend tellement de temps. à quoi sert lire c’est pour que le lecteur soit autonome.

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23
Q

Pourquoi la fusion des phonèmes est ce qu’on cherche à atteindre dans l’approche synthétique?

A

Fusion des phonèmes : réussir le décodage et conscience phonologique avant la fusion. L’enfant peut très bien décortiquer les sons, mais avoir de la difficulté de la fusion. Il est important de comprendre les sons qu’ils lisent pour pouvoir les fusionner par la suite.

24
Q

Quel est la première étape de l’approche synthétique?

A

D’abord les graphèmes simples (1 lettre) : Sons des lettres de l’alphabet

25
Q

Quel est l’ordre dans laquelle ont présente les lettres de l’alphabet pour l’apprentissage des graphèmes simples?

A
  • Voyelles en 1er (nom = son) : pour pouvoir rapidement former des mots et des syllabes
  • Consonnes (fricatives – faciles à percevoir - ou fréquentes – souvent dans les mots)
  • Lettres multi-phonologiques (c, g) plus qu’un son associé
26
Q

Quel est la deuxième étape de l’approche synthétique?

A

Ensuite les graphèmes complexes : Digrammes et trigrammes (ou-au-in-on-au-eau…) « lettre amoureuse »

27
Q

Donner des moyens de faciliter la mémorisation des correspondance graphème-phonème?

A

associant le graphème à un mot connu :
Affiches de lettres dans la classe : a-avion, b-baleine, etc.
Affiches sur les bureaux (au besoin) : plus accessible
Affiches particulières pour : graphèmes complexes (couleur), différentes graphies d’un même son, multi-phonologiques
Chaque enfant a leur alphabet sur leur pupitre

28
Q

Quel est la troisième étape de l’approche synthétique?

A

Fusion syllabique : déchiffrage de syllabes

29
Q

Nous commençons par la fusion de syllabes à structures simples, comment nous pouvons soutenir cette fusion?

A

Par :

  • Glissage : deux personnages qui se rencontrent (avec consonnes fricatives) imager la fusion syllabique. Ex : le f glisse jusqu’au a.
  • Décomposition : fusion de problèmes à l’oral en premier
  • Syllabaires : dés ou cahier découpé qui présente une consonne à gauche et une voyelle à droite.
30
Q

Pour la fusion syllabiques, après les syllabes simples, on attaque les syllabes complexes. Pouvez-vous donner un exemple de syllabes complexes?

A
  • CVC (jar, jour, etc.)
  • CCV (pli, bru, grin, etc.) plus difficile : ajout d’une voyelle (cra – cara) / suppression de la 2e consonne (cra- ca) / inversion de la consonne et de la voyelle (cra – car).
31
Q

Donner des moyens de soutenir la fusion de syllabes complexes?

A

Par : - Intervention axée sur le sens : Attention! L’enfant doit connaitre le mot!
- Intervention axée sur la démarche : séparer la lecture de la 1re consonne et augmenter la vitesse de lecture (fonctionne bien) répétition, de plus en plus vite pour venir plus rapidement.
- Rappeler qu’on doit lire de gauche à droite (peut pas changer les sons de place)
Approche intéressante puisque lorsque toutes les correspondances sont apprises, l’élève devrait pouvoir décoder n’importe quel mot pour arriver à lire des phrases et des textes.

32
Q

Quels sont les limites de l’approche synthétique?

A
  • Nécessite beaucoup de ressources cognitives (prend du temps)
  • L’enfant peut rester centré sur le code et ne pas se soucier du sens (déchiffrage au lieu de décodage) Beaucoup de particularités orthographiques qui peuvent rendre difficile l’accès su sens ils pensent seulement au déchiffrage plutôt qu’au décodage.
    L’élève peut seulement lire les mots pour lesquels les correspondances ont été apprises et ça prend énormément de temps avant qu’il soit autonome. = la lecture est peu significative!
33
Q

Qu’est-ce que l’approche analytique?

A

Part de la plus grande unité vers la plus petite (mot, syllabe, graphème)
Approche centrée sur la l’analyse de mots globaux (reconnaissance de segments de mots) Je prends un mot et je vais l’analyser et de reconnaître les graphème-phonème dans ce mot.

34
Q

Quel est le but commun entre les 3 approches?

A

Le but est que l’élève apprenne les correspondances graphèmes-phonèmes

35
Q

Qu’est-ce qui est super important dans l’approche analytique?

A

Le choix des mots à faire analyser aux élèves.

36
Q

Qu’elle approche nous ne devons pas confondre avec l’approche analytique?

A

Ne pas confondre avec « l’approche globale » qui misait exclusivement sur la reconnaissance instantanée (mots-étiquettes)

37
Q

Dans l’approche analytique, l’accent est mis dur la découverte des ________ à partir des ________.

A

L’accent est mis sur la découverte des syllabes à partir des mots globaux.

38
Q

Donner un exemple d’apprentissage avec le son (sa) selon l’approche analytique?

A

Présentation de plusieurs mots qui contiennent la même syllabe : savon, sapin, salade, « sa » Qu’est-ce qui a de pareil entre les mots? Les enfants doivent le trouver. Par extension, on va comparer avec les connaissances antérieures. Plonge plus rapidement dans la lecture.

39
Q

Qu’elle type de tableau nous pouvons construire pour aider les lecteurs débutants?

A

Construction d’un tableau des syllabes :

Les enfants pourront composer des mots à partir des syllabes de découvertes

40
Q

L’approche analytique suppose que les enfants vont « découvrir » quoi, par ses enseignements?

A

les associations phonèmes-graphèmes en les voyant souvent dans les syllabes.
→ba, be, bi, bo, bu : b = “b”

41
Q

Comment nous pouvons enseigner les sons complexes avec l’approche analytique?

A

Analyse de certains segments communs dans les mots (sons complexes) peut être aidant pour les enfants, car ce sont des son qui peuvent poser problème ce qui permet de libérer des ressources cognitives. Plus facile de les associer.

  • ette : étiquette, charrette, éprouvette, etc.
  • tion : attention, invention, nutrition, etc.
  • ouille : grenouille, gazouille, fripouille, barbouille, etc.
42
Q

Quels sont les avantages d’utiliser l’approche analytique?

A

Approche intéressante puisqu’elle diminue la charge cognitive

  • L’élève reconnait des syllabes (en a analyser plusieurs)
  • Reconnait des segments de mots plus complexes qui serviront à la relecture de plusieurs mots.
43
Q

Quels sont les limites (3) de l’approche analytique?

A
  • Pas d’enseignement systématique des relations phonèmes-graphèmes (doit les trouver par eux-mêmes, donc difficile de trouver beaucoup de mot complexe)
  • Demande une grande implication de l’enseignant : Choix des mots en fonction des différentes syllabes.
  • Risque de « blocage » de l’élève devant des mots nouveaux, car il n’y a pas de relation phonème-graphème, donc devant des syllabes plus difficiles peut arriver.
44
Q

Qu’est-ce que l’approche mixte demande aux enfants?

A

Approche qui demande à l’enfant d’analyser et de synthétiser (mélange entre les deux premières approches)

45
Q

Nommer quatre avantages de l’approche mixte?

A
  • Moins de ressources cognitives sollicités
  • Pas de blocage devant des mots ou segments de mots nouveaux
  • L’élève possède différentes stratégies pour lire les mots (plus j’ai d’outils pour reconnaître les mots, plus je suis compétent et incidence sur ma motivation à lire.
  • Sentiment de compétence plus élevé
46
Q

Lorsqu’on dit approche équilibré, qu’elle équilibre nous voulons aller chercher?

A
  • Enseignement explicite : correspondances phonèmes-graphèmes et Découverte par analyse, l’observation de mots (fréquents, significatifs)
    Syllabes et segments de mots (ien, ouille, ette, otte, etc.)
47
Q

Qu’est-ce qu’on cherche lors de n’importe qu’elle approche?

A

On cherche l’autonomie de l’élève dans un texte signifiant.

48
Q

Favoriser la lecture de ___________ pour que les élèves puissent utiliser le _________ afin de bien comprendre.

A

Favoriser la lecture de « vrais textes » pour que les élèves puissent utiliser le contexte afin de bien comprendre.

49
Q

Que veut-on dire par contexte, lorsque nous lisons?

A

Le contexte = les mots dans la phrase, l’illustration, etc. → Élément important de soutien pour l’apprenti-lecteur.

50
Q

Qu’est-ce qu’on veut développer chez nos élèves par rapport au contexte?

A

Habiliter à utiliser les illustrations et les mots autour qui va m’aider, donner des indices sur ce qui s’en vient.
ATTENTION, l’élève ne doit pas être dépendant des illustrations pour « lire » les mots.

51
Q

Utiliser et comprendre le contexte aide comment la lecture d’un texte?

A

Aide à décoder des mots plus complexes, des graphèmes complexes ou des dons complexes. = Lucas a dessiné un dinosaure. (il va s’aider avec essaie erreur et avec l’illustration)
Aide à la compréhension des morphogrammes muets = Le banc de parc est blanc. (Permet de voir si je prononce le « c » à la fin) Important d’avoir des phrases, un contexte et non seulement une liste de mots.
Permet d’anticiper certains mots dans la phrase.

52
Q

Quels sont les deux types d’indices qui nous permet d’anticiper certains mots dans la phrases?

A

 Indices syntaxiques et grammaticaux de la phrase (ordre et terminaison des mots) (masculin, féminin – est-ce que c’est un verbe)
 Indices sémantiques du texte

53
Q

Lorsque je lis : (le chat boit du …) elle indices je peux retirer pour prédire le mot qui manque?

A
  • Connaissances de la syntaxe prédit un nom masculin
  • Sens de la phrase prédit une boisson
  • Sens du texte précise la prédiction de ce que boit le chat : lait ou vin?
  • Parfois on poursuit la lecture et on se rend compte qu’on a fait une méprise sur le mot choisie. Nous permettons de comprendre ce que l’on lit.
54
Q

Le contexte nous permet aussi de comprendre le ____ de _____ mots.

A

Permet de comprendre le sens de mots nouveaux. Exemple : Minet boit du lait et se délecte. Il a l’air très heureux. On peut se poser des questions sur le contexte, on est capable de comprendre ce à quoi qu’on réfère.

55
Q

Qu’est-ce qui arrive si on ne tient pas compte du contexte?

A

Certains élèves tentent de « deviner » les mots à partir d’indices visuels (comprend pas le sens de la lecture ex : ils n’utilisent pas le contexte, il utilise les premières lettres du mot et ils vont deviner.
•Ils repèrent certaines lettres et « devinent » le reste
o1res lettres du mot : app…apapraître…appeler
oCertaines lettres à l’intérieur du mot : tasse / dessin
•La devinette est souvent utilisée sans tenir compte du contexte.
→ cela est signe de difficulté en lecture

56
Q

Quel type de situation de lecture nous devons encourager, qui encourage et facilite la compréhension en lecture.

A

Lecture authentique (signifiante) : lecture en contexte messages, instructions, recettes, livres, etc. (pour que l’enfant comprennent à quoi sa sert de lire)

57
Q

Qu’est-ce qu’on doit vérifier lorsqu’on propose une lecture à nos élèves qui travaillent la lecture autonome?

A
  • 16 ou 24 pages
  • Environ 100 mots
  • Texte et image séparés (simple de savoir où nous allons lire)
  • Mise en pages « aérée » (caractères assez gros et interlignes larges)
  • Allographes connus des élèves
  • Mots fréquents
  • Structure de phrase simple (phrases courtes)
  • Phrases qui se répètent (favorise la reconnaissance instantanée) Plus ils sont jeunes et débutant plus on veut que ce soit répétitif qui permet la reconnaissance instantanée.
  • Mots connus de l’élève (vocabulaire simple)
  • Thème connu de l’élève, Structure linéaire
  • Ordre chronologique