10-compréhension en lecture Flashcards

1
Q

Comprendre un texte c’est un texte c’est … et ça inclue 3 choses, lesquelles?

A

c’est pouvoir s’en faire une représentation mentale incluant :

  • Mes connaissances
  • Informations explicites du texte (ce qui est écrit dans le texte)
  • Informations implicites du texte ex : quand on lit entre les lignes (ce que je dois comprendre qui n’est pas nécessairement dit)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Qu’elles sont les 3 types de compréhension que nous pouvons faire lorsqu’on lit un texte ?

A
  1. Littérale (microprocessus, information explicite dans le texte, ce limite à ce qui est explicite)
  2. Inférentielle (intégration, macroprocessus ; ils vont chercher des informations implicites)
  3. Critique (macroprocessus, processus d’élaboration ; capable d’aller au-delà du texte, être capable de se faire une idée)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

La compréhension _______ n’est pas suffisante pour une compréhension approfondie des textes. Le lecteur doit être en mesure d’en dégager une compréhension ________ et _________.

A

La compréhension littérale n’est pas suffisante pour une compréhension approfondie des textes. Le lecteur doit être en mesure d’en dégager une compréhension inférentielle et critique.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

L’élève doit utiliser non seulement les microprocessus, mais aussi quels autre processus?

A

aussi les processus d’intégration, les macroprocessus et les processus d’élaboration.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Quelles connaissances, habiletés sollicitées dans les microprocessus?

A
  • Habiletés en décodage/reconnaissance instantanée

- Connaissance de la ponctuation

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

La maitrise des microprocessus permet quel type de compréhension?

A

Littérale

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Quels sont les 3 aspects à considérer dans l’analyse de microprocessus?

A
  • reconnaissance de mots (décodage, instantanée)
  • traitement par groupes de mots
  • microsélection (idée principale de la proposition /phrase)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Qu’est-ce qu’on veut dire par compréhension littéral? Qu’est-ce que je comprend et ne comprend pas?

A

Si les élèves ont réussi à identifier le mot, ils peuvent aller chercher l’information explicite dans le texte.
« Je vais comprendre ce qui est dit, mais pas capable de faire des liens entre les phrases, ne peut pas faire le résumé du texte. »

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Avec cette phrase Ex : Le chien noir est gentil. Quels questions je peux poser pour évaluer le microprocessus?

A

De quelle couleur est le chien? / De quel animal parle-t-on dans la phrase?

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Qu’est-ce qu’on ne doit pas utiliser dans une question ou référer dans une réponse, lorsqu’on parle de microprocessus?

A

Ne pas utiliser de pronom (ce n’est pas un microprocessus, trop difficile)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Quels sont les 5 choses qu’un enfant doit reconnaître lorsqu’on parle de microprocessus?

A
  1. Les élèves doivent aussi différencier les formes de phrases négatives et positives
  2. Reconnaître la ponctuation à la fin des phrases (. ! ? …)
  3. Reconnaître la ponctuation à l’intérieur des phrases (, : ;)
  4. Reconnaître la ponctuation liée aux dialogues «. » -
  5. Donc doit repérer dans un texte : questions, quand une personne parle, une énumération, etc.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

On estime qu’entre ________ des lecteurs fluides n’ont qu’une compréhension littérale du texte. Et qu’est-ce qui arrive dans ce cas?

A

10-15%

Ils sont en mesure de comprendre l’information explicite dans le texte, mais ne vont pas au-delà.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Qu’est-ce qui arrive si nous faisons

A

Certains élèves en difficulté passent ainsi sous le radar.
La compréhension littérale d’un texte n’est pas suffisante. Le lecteur doit dégager une compréhension inférentielle et critique.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Qu’elle sont les 3 choses que nous devons considérer quand on parle de processus d’intégration?

A
  • Utilisation adéquate des mots de substitution (aussi des inférences référentielles selon Giassion)
  • compréhensions des connecteurs, marqueurs de relation
  • formulation d’Inférences (certaines catégories)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

En gros, qu’est-ce qu’on veut faire dans un processus d’intégration?

A

permet de faire des liens entre les phrases et les propositions.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Qu’elles sont les 2 catégories de mots de substitution?

A
  • Mot ou syntagme qui reprend un élément antérieur dans un texte, Ex : lorsque Paul revient de vacances, il est toujours bien reposé.
  • Mot ou syntagme qui renvoie à un élément à venir dans un texte, Ex : lorsqu’il passe en ville, Paul s’arrête toujours à ce café.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

Laquelle des 2 catégories des mots de substitution est la plus difficile?

A

Les relations de type après sont difficiles à établir que celles de type avant.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

Les relations ________ sont plus difficiles à établir que les relations _________.

A

Les relations éloignées sont plus difficiles à établir que les relations adjacentes.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

Les relations dans lesquelles le pronom réfère à ____________ sont plus difficiles à établir que les relations dans lesquelles le pronom réfère à un ____________.

A

Les relations dans lesquelles le pronom réfère à une proposition sont plus difficiles à établir que les relations dans lesquelles le pronom réfère à un nom.

  • Julie n’a pas beaucoup dormi la nuit dernière. Ceci fait en sorte qu’elle n’est pas en forme aujourd’hui. « Ceci, réfère à une proposition complète ce qui est plus difficile »
  • Sophie est heureuse. C’est sa fête aujourd’hui.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

Compléter la phrase : La compréhension des mots de substitution est parfois nécessaire pour être en mesure de déterminer … (2 choses)

A

« qui parle » dans les dialogues

déterminer « qui » est le narrateur de l’histoire

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

Qu’est-ce qu’un marqueur de relation?

A

Des mots qui relient deux propositions, deux évènements ou deux phrases.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

Qui suis-je : Je suis difficile à comprendre pour les jeunes parfois jusqu’en secondaire 2.

A

les 20 connecteurs les plus fréquents

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q

Qu’est-ce qu’une métaphore?

A

une figure de rhétorique qui consiste dans l’emploi d’un mot concret pour exprimer une notion abstraite, en l’absence de tout élément introduisant formellement une comparaison. (Comprendre les expressions, façon de parler)
Ex : Il brûle d’amour pour elle. Cette femme est une perle.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q

Donner un exemple de comparaison?

A

cette personne est têtue comme une mule.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
Q

Que voulons nous dire par (production d’inférence)?

A

Cette combinaison (combiner des informations d’origine diverse) s’effectue grâce à la production d’inférences qui relient les différentes parties du texte et ajoutent des informations tirées de la connaissance générale du lecteur.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
26
Q

Que permet les inférences pour le lecteur?

A

Les inférences permettent de construire la représentation intégrée.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
27
Q

Vrai ou faux les inférences sont des informations qui ne sont pas explicitement données dans le texte.

A

vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
28
Q

Quels sont les 3 catégories d’inférences?

A
  • nécessaire/optionnelle
  • logique / pragmatiques
  • cohérence / élaboration
29
Q

Quel est la différence entre une interférence optionnelle et nécessaire.

A

Optionnelle : ne sont pas nécessaires à la compréhension du texte, mais elles le bonifient. Elles sont liées aux processus d’élaboration.
Nécessaire : Les enfants doivent les faire afin de comprendre le texte. Elles en assurent la cohérence (locale et globale).

30
Q

Quels sont les 3 catégories d’inférences nécessaires?

A

 Causales (sert à faire des liens)
Elles servent à comprendre les liens entre différentes parties du texte **Lorsqu’entre différentes parties du texte, elles sont plus globales parfois, donc pas de processus d’intégration. **
Référentielles
Il s’agit de repérer les référents liés aux mots de substitution
Lexicales
Elles servent à trouver le sens d’un mot en se référant aux éléments du contexte.

31
Q

Il faut faire attention au inférence nécessaire causale, pourquoi?

A

 Si elles assurent les - liens entre deux phrases, elles concernent les processus d’intégration (p.ex. Paul au parc)
 Si elles assurent les liens entre différentes parties du texte (p.ex. un problème et sa solution), elles sont liées aux macroprocessus.

32
Q

Qu’est-ce qu’une inférence logique?

A

Elles découlent directement du texte. Si le texte est bien compris, le raisonnement mènera nécessairement à la réponse.
Ex : J’avais deux poissons dans mon aquarium : Castor et Pollux. Castor est mort ce matin. / Inférence logique : Qui reste-t-il? (Liens avec les parties du textes ou des phrases)
Inférences logiques sont nécessaires à la compréhension du texte. Elles peuvent faire appel aux processus d’intégration, mais également aux macroprocessus (pour une compréhension globale)

33
Q

Qu’est-ce qu’une inférence pragmatique?

A

Elles dépendent des connaissances antérieures des élèves. Elles sont plus difficiles, surtout pour un élève avec moins de connaissances. Ces inférences sont généralement nécessaires à la compréhension du texte (pas toujours). Elles peuvent, elles aussi, faire appel aux processus d’intégration ou aux macroprocessus (pour une compréhension globale)
Peuvent être classées en différentes catégories selon le type de connaissances : lieu, agent, temps, action, instrument, objet, cause-effet, problème-solution, sentiment, attitude,…
Plus difficile pour les enfants qui ont peu de connaissance générale, car pour comprendre l’allusion, tu dois avoir des connaissances, car le texte ne l’explique pas.

34
Q

Une inférence de cohérence peut être locale ou globale, qu’est-ce que chacune signifie?

A

Inférences locales :
La compréhension des liens entre les phrases et les propositions, donc les processus d’intégration (ex : Paul qui se promène au parc)
Inférences globales :
La compréhension des éléments relatifs à l’ensemble du texte, donc les macroprocessus (ex : expliquer l’action d’un personnage par sa psychologie) – Permet de comprendre l’entièreté du texte.

35
Q

Une inférence de cohérence locale ou globale peut être _________, donc découler des éléments du texte, ou ___________, c’est-à-dire faire appel aux connaissances antérieures.

A

être logiques, donc découler des éléments du texte, ou pragmatiques, c’est-à-dire faire appel aux connaissances antérieures.

36
Q

Qu’est-ce qu’une inférence d’élaboration?

A

Les inférences d’élaboration en sont pas nécessaires à la compréhension du texte, elles sont liées aux processus d’élaboration.
***Ces catégories d’inférence ne sont pas exclusives : une inférence nécessaire peut relever de la logique et assurer la cohérence du texte.

37
Q

ATTENTION : Les inférences ne font pas exclusivement appel aux processus d’intégration, plusieurs inférences font également appel aux ___________ et aux ___________ .

A

plusieurs inférences font également appel aux macroprocessus et aux processus d’élaboration

38
Q

Pourquoi nous devons enseigner les inférences plus rapidement dans le programme scolaire?

A

Les enseignants du 3e cycle se plaignent souvent que les élèves éprouvent de la difficulté à faire des inférences, mais paradoxalement, on demande très peu aux élèves du début du primaire d’en produire parce qu’on considère que cette tâche est trop difficile.

39
Q

Qu’est-ce que nous pouvons faire pour travailler les inférences en classes?

A
•	Important de le travailler dès le préscolaire = lecture d’histoire, à l’oral on peut en faire (devinette – inférence pragmatique) 
•Questionner pendant la lecture
•Travailler leur connaissance générale
•Modéliser
oRepérer les indices à voix haute
oEffectuer l’inférence
oJustifier l’inférence
Important pour tous les processus de lecture d’être capable d’expliquer. Le réflexe des enfants est de trouver tout dans le texte, donc important de travailler avec eux.
40
Q

À quoi sert les macroprocessus?

A
  • Comprendre le texte dans son ensemble

- Comprendre les éléments littéraires / les éléments importants dans les textes courants

41
Q

Quelles connaissances, habiletés sollicitées dans les macroprocessus?

A

a. Utiliser la structure du texte
b. Trouver les idées principales
c. Résumer le texte

42
Q

Quels sont les 5 étapes d’un récit narratif?

A
La situation de départ
L’élément déclencheur
Les péripéties
Le dénouement
La situation finale
43
Q

Qu’est-ce que permet de connaître la structure du récit?

A

récit pour prédire ce qui se passera dans l’histoire et pour déterminer les éléments importants. Chez la plupart des lecteurs, connaissance du récit = intuitif

44
Q

Que permet l’enseignement du schéma du récit?

A

améliore la compréhension et le rappel du récit.

45
Q

Comprendre la structure du texte non-linéaire aide à la compréhension de quoi?

A
  • Combien y a-t-il de narrateurs?
  • Qui sont-ils?
  • Combien y a-t-il de récits?
  • Est-ce que ces récits sont parallèles?
  • À quel moment les histoires s’entremêlent?
  • Etc.
46
Q

Les structures de texte peuvent varier. Nommer 4 structures de textes et les expliquer?

A
  • Linéaire : Construction la plus simple, le récit « suit
    l’ordre chronologique de l’histoire.
  • Parallèle : « Dans une construction parallèle,
    plusieurs [ou seulement deux] récits se déroulent
    dans le même temps, ils peuvent être présentés par le texte, mais aussi par les illustrations »
  • Alternée : « Dans une construction alternée, les
    récits, sans être simultanés, s’entremêlent. Le lecteur
    doit suivre les changements de points de vue du [ou
    des] narrateur[s] »
  • Enchâssée : « Lorsqu’un récit intègre un autre récit, on parle de construction avec enchâssement. »
47
Q

Que veut t’on dire par dégager l’idée principale?

A

Retenir ce qui est important d’une page, d’un paragraphe, d’un chapitre, d’un texte, etc.

48
Q

Pourquoi trouver l’idée principale peut être difficile? Dire comment je peux aider l’enfant?

A

Difficile pour les enfants si l’idée principale n’est pas explicite : il doit l’inférer (cohérence globale).
Aider les enfants en les questionnant, en modélisant ce
qui m’amène à trouver l’idée principale. Surligner les informations importantes : on a tendance
à ne le faire qu’avec les textes informatifs.

49
Q

Qu’est-ce qu’on doit faire attention lorsqu’on pause des questions aux enfants?

A

Attention : ne pas surcharger l’élève avec les questions pour leur faire oublier le fil de l’histoire.

50
Q

Donner une définition de résumer un texte?

A

Être en mesure de raconter dans ses mots

l’histoire qu’on a lue.

51
Q

Quels habilités sont nécessaire pour résumer un texte?

A

Demande de connaître la structure de l’histoire
et d’avoir retenu les idées principales. Habileté nécessaire à développer pour assurer
une bonne compréhension globale du texte.

52
Q

Dans le cas des textes littéraires, l’élève doit être en

mesure de définir certains éléments littéraires, lesquelles?

A

Les personnages (Déterminer les personnages principaux, secondaires, Définir leurs caractéristiques physiques, psychologiques,
leurs actions)
Le temps : Durée (quelques jours, semaines, mois, années? Époque, moment de la journée, saison
Le lieu (Un ou plusieurs? Connu ou pas?)
Le(s) thème(s) : L’auteur avait-il un « message » à faire passer? Une morale?

53
Q

Que permet le processus d’élaboration?

A
  • faire des prédictions
  • utiliser ses connaissances antérieures
  • créations d’images mentales
  • réagir au texte (affectif)
54
Q

Le processus d’élaboration intervient quand lors de la lecture?

A

avant / pendant / après

55
Q

Qu’est-ce que demande ce le processus d’élaboration à l’élève? et fait appel à quels inférences?

A
  • Demande aux élèves de faire des liens avec leur vie
    (réaction au texte)
  • Fait appel aux inférences optionnelles et aux
    inférences d’élaboration (images mentales)
56
Q

C’est en lien avec quoi que nous faisons des prédictions avant et pendant le texte?

A
  • Avant la lecture, en lien avec les éléments du
    paratexte et ses connaissances antérieures. Paratexte : 1re et 4e de couverture, pages de garde, pages de titre, dédicace, avertissements, etc.
  • Pendant la lecture, en lien avec sa compréhension
    du texte et ses connaissances antérieures
57
Q

Vrai ou faux : Il n’est pas important de revenir sur les prédictions à la fin de la lecture?

A

FAUX : Attention!
Après la lecture, on doit revenir avec les élèves sur les prédictions. Déterminer si elles étaient juste ou non et pourquoi.

58
Q

Le processus d’élaboration fait appel aux

inférences optionnelles, expliquer pourquoi?

A

Ces inférences ne sont pas nécessaires à la
compréhension. Elles permettent tout de même de bonifier la
représentation du texte (images mentales par
exemple)
ex: la sorcière se promène sur son balai. - inférence optionnelle : Allure de la sorcière.

59
Q

À quoi servent les inférences d’élaboration?

A

«ne sont pas directement chargées d’assurer la cohérence de l’énoncé et donc moins obligatoires.
Elles enrichissent la représentation du texte en train d’être lu avec des informations non explicites qui spécifient le référent.» Elles sont davantage impliquées
dans la plausibilité du texte. ex: Marie est allée à la fête de son amie (inférence d’élaboration : Marie a probablement apporté un cadeau)

60
Q

Compléter la phrase : Les questions de
compréhension de
texte doivent…

A

elles doivent toucher aux différents processus de lecture soit microprocessus, processus d’intégration, macroprocessus. processus d’élaboration.

61
Q

Attention! Pour certains élèves qui éprouvent des difficultés en écriture (ou les élèves du 1er cycle
du primaire), il est pertinent de travailler, quoi?

A

la compréhension à l’oral

62
Q

Qu’est-ce qu’un processus métacognitifs?

A

Être conscient de ce que l’on fait lorsqu’on lit, savoir choisir les stratégies efficaces face à des difficultés

63
Q

Les difficultés en lecture peuvent être

associées à quoi?

A

une gestion déficitaire de la perte de compréhension.

64
Q

Quels sont les 3 actions à poser lors de processus métacognitifs?

A
  1. Détecter la perte de compréhension et
    déterminer la nature du problème, critères + ou – conscients: les mots (lexique) ; les idées (cohérence)
  2. Évaluer l’importance du problème en fonction
    du but ex.: mot inconnu qui n’entrave pas la compréhension
  3. Choisir une stratégie susceptible de régler
    le problème et en vérifier l’efficacité
    les stratégies peuvent être liées aux différents processus de
    lecture (micro, intégration, macro, élaboration, méta)
65
Q

Plusieurs stratégies, en lien avec les ___________ ________ __ _______,
peuvent être utilisées pour _______/_______ la compréhension.

A

Plusieurs stratégies, en lien avec les différents processus de lecture,
peuvent être utilisées pour favoriser/réguler la compréhension.

66
Q

Nommer des stratégies avant/pendant/après la lecture?

A

avant : se fixer un objectif, activer ses connaissances, survoler le texte
pendant : reconnaître un problème, clarifier sa compréhension
- se poser des questions
Après : confirmer ou informer les hypothèses, évaluer l’atteinte des objectifs, résumer les idées

67
Q

Pourquoi la lecture de textes littéraires ou courants par l’enseignant est primordiale?

A

afin de permettre de travailler à partir de textes plus

complexes que ce que l’élève est en mesure de lire par lui-même.

68
Q
L’enseignement des
stratégies de lecture peut se
faire de façon \_\_\_\_\_\_\_.
Il peut également se faire _ \_\_\_\_ _ \_\_\_\_\_\_\_ \_\_\_\_\_\_\_\_\_ à la suite de la
lecture de textes
authentiques.
A

L’enseignement des
stratégies de lecture peut se faire de façon explicite.
Il peut également se faire à travers la discussion collaborative à la suite de la lecture de textes authentiques.