8- age scolaire - cognitif, physique, langagier, atypique Flashcards
Le système scolaire….
-Lien avec bronfenbrenner :
-Actif sur le plan du microsystème
Et actif sur le plan du mésosystème (parent-personnel)
-Macro : règles, culture, qui passent par l’école
idée : l’école c’est très large
• L’approche psychométrique
• Alfred Binet voulait aider les enseignants à adapter leurs pratiques éducatives
Prémisse : si on identifie les enfants qui ont une intelligence plus faible, on peut les identifier plus rapidement
-Objectif pédagogique afin de s’adapter aux enfants et nos méthodes d’apprentissage
-Détournement de l’utilisation de ses tests : on veut approfondir les questions de nature-culture (et les ‘races’)
-Utilisation des tests pour les différences entre les ‘’noirs et les blancs’’ et ils ont obtenu des différences significatives.. pourquoi ?
-Questions biaisées
Ex : « qui est le président des États-Unis »
-On ne peut pas transposer ces questions dans des contextes culturels différents
• Utilisation controversée :
(car) • Mesure les connaissances acquises plutôt que l’habileté innée
- Capacité à emmagasiner de l’informatin
- Demande aux jeunes de définir des mots dans une liste de vocabulaire
- On mesure de façon patente les connaissances innées, car une liste de mots c’est une connaissance apprise, et non leur habileté innée à apprendre cette information-là
-Va donc varier en fonction de l’environnement : le vocabulaire qu’on apprend dépend de notre milieu social et de notre pays (ex. France)
- Tout de même, comment mesure-t-on les habiletés innées sans passer par les connaissances ?
- Toujours une difficulté qui persiste aujourd’hui.
- Notre capacité à traiter, organiser vs comment ça s’est manifesté
• Différences culturelles
-Si on veut faire un nouveau test, fait l’adapter à la culture et la langue.
-Les chercheurs vont dire que l’intelligence serait intrinsèquement liée à la culture
-Selon la culture, on va juger si une chose est plus ou moins utile que l’enfant l’apprenne….
Ex : ici on apprend aux enfant le crawl en premier, alors qu’en France, ils enseignent la brasse, le mouvement des bras est coordonné, comparativement au crawl qui exige de la force et de la vitesse
-Donc selon comment on réfléchit à notre culture, les Français vont dire la coordination est plus importante
-Donc ça change l’ordre d’apparition
-Même chose pour les mathématiques, francais…
• Les Afros Américains obtenaient des résultats inférieurs aux Américains caucasiens… (malgré les ajustements aux tests de QI
-Le maintien de ces différences était interprété comme étant la manifestation d’une nature différente chez certains chercheurs
- D’autres auteurs ont amené des hypothèses alternatives : « Y a-t-il des facteurs communs aux afro-américains qui expliqueraient mieux les résultats ? »
- En effet, ils partageaient certains facteurs qu’ils ne partageaient pas avec les caucasiens
- Implication de l’hérédité?
- Implication des facteurs environnementaux: revenu, alimentation, santé, stress, discrimination, pratiques parentales, stimulations cognitives, niveau de scolarisation…
Si on avait pris des caucasiens et qu’on les avait exposés à ces situations, est-ce que la même chose se serait produite ?
-Problème éthique ofc
10-15 ans plus tard, ces situations se modifient : leurs conditions se sont améliorées : et leurs résultats aux tests de QI ont augmenté.
Donc l’environnement a probablement une très grande importance sur le développement et les manifestations de nos capacités intellectuelles
• La vitesse d’exécution nécessaire à la réussite des tests actuels
- Souvent avec un chronomètre pour les tests de vocabulaire et de mathématiques
- Sur la base du résultat en temps, on va dire que l’enfant est plus ou moins intelligent
-La vitesse d’exécution c’est une ocmposante, mais c’est ut une composante assez importante pour qu’elle s’insère dans toutes nos mesures ?
• Exclut certaines habiletés: l’intuition créatrice, habiletés sociales, connaissance de soi…
- L’E-H est sociable… alors on pense que l’intelligence devrait avoir des répercussions sur ses habiletés sociales
- Si l’enfant n’est pas habile socialement, cela devrait-il faire partie de notre mesure de l’intelligence ? « pourquoi on les juge pas aussi importantes que les mathématiques » ?
• Aujourd’hui, les tests de QI semblent être de bons prédicteurs de la réussite
Scolaire
-Ça a du sens que ça concorde avec l’école, On base nos mesures selon la culture… selon ce qu’il est censé avoir appris dans son développement
•Le stade des opérations
concrètes
•Acquisition de la pensée logique
•L’enfant utilise des opérations
mentales pour résoudre des
problèmes concrets
•L’enfant est capable de se
décentrer
•Décentration: Capacité de prendre en compte plusieurs aspects d’une situation
Va pas philosopher, mais va résoudre des opérations mathématiques
•Le stade des opérations
concrètes
: théorie de l’esprit
à 3 ans il était pas capable – quand il transvide, y’a plus d’eau car le verre est plus haut.
- Il ne prend qu’UNE PERSPECTIVE
- Rendu au stade des opérations concrètes, il va dire que le verre est IAUSSI PLUS ÉTROIT, donc il prend en compte plusieurs aspects !
- Très utile comme capacité pour comprendre le pdv de vue de l’autre personne. Pourquoi ?
- S’il est capable de se décentrer de sa propre perspective, il va être capable d’aller voir ce qui se passe dans la tête de l’autre
•Le stade des opérations
concrètes :
•Opération sur les nombres: Capacité de
faire des opérations mathématiques
-juste nommé
•Le stade des opérations
concrètes :
•Classification : Capacité de constituer des
catégories (Sériation, Inclusion de classes)
-Chevaux vs chats
-Difficulté à comprendre que les chevaux et les chats font partie de la catégorie des animaux
-Sous-catégorisation; plus élaboré (tous les chats BLANCS)
-Pour parvenir à faire cela, l’enfant va utiliser deux nouvelles habiletés
-Sériation
-Selon le poids, selon la taille
-Inclusion de classe
Idée : on inclut, dans une classe, plus de détails
•Le stade des opérations
concrètes :
•Raisonnement
•Inductif: Généralisation d’observations faites sur quelques membres d’un groupe à l’ensemble des membres de ce groupe (nommé)
Ex. : les deux filles jouent à la corde à danser, elles doivent aimer ça, donc, toutes les petites filles (beh, pas tant ça mais bon, ça insulterait Popper¬¬)
•Déductif: Généralisation d’une prémisse
générale portant sur l’ensemble du groupe à quelques membres de ce groupe
-Piaget disait que les enfants n’étaient pas capable de raisonnement déductif (seulement à l’adolescence
- Appliuer à un plus petit nombre des connaissances s’appliqant à l’ensemble
- Sont capbles à la moitié du primaire haha, pas adolescence
•Le stade des opérations
concrètes : conservation
Compréhension qu’une même quantité demeure lorsqu’il y a transformation apparente de la substance, tant que rien n’est enlevé ou ajouté (Réversibilité, Décentration) -Il a besoin de décentration (prendre bcp de perspectives -Réversibilité = mentalement effectuer une opération inverse Autour de 6 ans, ils sont capables
Fonctions exécutives
Système de contrôle des pensées, émotions et
comportements permettant d’atteindre un but ou de résoudre des actions (problèmes)
• Comprend les capacités d’initiation, planification, inhibition , mémoire de travail,
résolution de problèmes, flexibilité cognitive, attention
Initiation = se lever le matin
Planification = prévoir plusieurs étapes
Inhibition = capacité d’arrêter, contenir un comportement ou une émotion
Ils vivent l’émotion, mais ils la gardent et ne l’expriment pas
• Attention (s’améliorent grandement)
• Sélective: Habileté à diriger consciemment son attention et à supprimer volontairement les réponses indésirables
-Un seul stimulus, malgré la présence de plusieurs stimuli
Même si dans la classe, plusieurs enfants font du bruit, tapent du pied, gribouillent
• Soutenue: Capacité à maintenir son attention sur un stimulus durant une période de temps prolongée
-En demande bcp à l’âge scolaire
Le parent va accepter le fait que son attention change
-À l’école, ce n’est pas accepté, l’enseignement va demander à l’enfant qu’il maintienne son attention sur le cours tout au complet
Métacognition
Compréhension du fonctionnement de ses propres processus mentaux
-ex : je suis bon en français mais pas en maths
• Métamémoire: Compréhension du fonctionnement de sa mémoire, permettant l’utilisation volontaire de techniques de rappel, telles la répétition, l’organisation, l’élaboration
-« je comprends comment j’apprends, comment je retiens de l’information »
-Techniques de mémorisation plus utiles
Ex. – Répétition va être plus ou moins bonne : si je me répète plusieurs fois un mot
- Organisation : Quand un enfant associe une nouvelle information à quelque chose qu’il connait déjà et qui va le classifier
- Animal et rhinocéros : catégorisation et ça va aider à apprendre
-Élaboration = La mettre en relation avec une information que je connais déjà
EX : Freud on maîtrise ça depuis le Cégep, on pourrait faire des liens entre eux : Piaget c’est plu cognitif, les deux ont des stades, ça nous apprendrait plus rapidement à apprendre les deux
(y’en avait un 4e mesemble dans le livre…
•L’amélioration du traitement de l’information favoriserait l’acquisition des
compétences du stade opératoire
-la mémoire de travail serait fortement impliquée dans beaucoup de tâches
-sont pas capables de garder en mémoire assez longtemps que c’était la même quantité d’eau : de conserver l’information assez longtemps pour revenir en arrière
•Le système nerveux:
•Création de nouvelles synapses et augmentation de la densité du cortex
cérébral…
•Dans les aires sensorielles et motrices: amélioration de la dextérité manuelle, meilleure coordination visuelle et motrice
Dextérité, coordination
•Dans le lobe frontal: amélioration de la mémoire de travail, des fonctions exécutives, de la logique et la planification
•Myélinisation accrue…
•Dans la formation réticulée, permettant la collaboration avec le lobe frontal: Améliore les capacités d’attention
•Dans les aires associatives: Augmentation de la vitesse de traitement de l’information
et de la mémorisation
-Augmenter sa vitesse de traitement
-Plus d’information en mémoire
•Latéralisation de la perception spatiale…
•Dans l’hémisphère droit: Améliore l’orientation spatiale, l’apprentissage des mathématiques et des stratégies de résolutions de problèmes
- ça peut varier selon les individus et le contexte environnemental.
- Mais le fait que ça se latéralise améliore notre capacité de comprendre notre environnement social, de s’orienter dans L’espace, etc. etc. Powerpoint
•Les habiletés motrices:
Augmentation de la coordination et du lien œil-main va venir augmenter toutes nos capacités motrices
•Motricité globale: implique tout le corps ou une grande
partie du corps, nécessite la contribution des muscles longs
•Amélioration de la coordination visuelle et motrice: Augmentation
des capacités sportives
-Augmentation des capacités sportives
Puisque y’a une densité du cortex grande myélinisation accrue, l’enfant est capable de faire les liens plus rapidement, et ce qu’il a vu et son mouvement, il va devenir plus performant
•Motricité fine: implique une région précise du corps,
nécessite la contribution de la dextérité et de la coordination
oeil-main
•Maturation du poignet: Permet d’écrire, de pratiquer d’un
instrument musical, de dessiner…
Le pratique des arts : (effets ?)
• La musique serait associée à une amélioration des fonctions exécutives (planification, inhibition, mémoire de travail), elle-même associée à une meilleure performance scolaire
¬-Fonctions exécutives
-Planification
-Mémoire de travail
-Se traduisant en de meilleures performances scolaires
- Raisons
- Liée au contexte : obligation d’attendre son tour favorisait le développement de l’inhibition
- Liée à la tâche : retenir une pièce en mémoire – Mémoire et fonctions exécutives
-Peu d’études – besoin de plus de recherches
• La pratique des sports:
• Santé physique • Obésité • Pression sanguine (hypertension) • Syndrome métabolique (cholestérol, diabète, inflammations, etc.) (nommés)
• Santé mentale • Dépression • Estime de soi -sentiment de compétence sportive -perception corporelle de soi
• Anxiété
-Mitigé dans les études
• Fonctions cognitives
• Résultats inconcluants
-Dans tous les cas, aucuns effets délétères
• Amélioration des performances en mathématiques
¬-Assez concluant
Raisons des résultats inconcluants
- Utilisation du groupe contrôle inappropriée : eux aussi recevaient une intervention physique; sport régulier à l’école
- Donc peut-être que quand on compare quelqu’un qui fait déjà un peu de sport il est possible qu’on ait un moins de différences et d’effet
- Différences entre les types d’activité physique, durée et contexte
- Ex : 1h de sport,
- avant un cours de mathématiques
- Cardiovasculaire vs musculaire
-Idée : le fait qu’on ait toujours comparé des groupes sportifs entre eux, avec des ACTIVITÉS différentes pourraient venir confondre les résultats
- Alors on pourrait se demander s’il existe des manières différentes de faire de l’activité physique qui augmenterait les capacités cognitives
- Intensité : Moyenne à élevé
- Aucun effet si c’est un faible niveau d’activité
- Étonnamment ? : les études qui regardent les performances en mathématiques, ce sont celles qui ont l’intensité et la fréquence les plus basses
- Comme si pour augmenter nos performances en mathématiques faudrait du sport mais pas très intense
-Fréquence ?
-Durée
-Type ?
Donc y’aurait des études qui viendraient stimuler des différentes capacités cognitives selon la dose et le type d’activité
Activité physique:
• Mécanismes d’action
• Augmente la disponibilité de
facteurs de croissance impliqués dans le maintien et la plasticité du cerveau (nommé)
-Hormones de croissance seraient stimulées par l’activité physique
-Avec le sport on pourrait maintenir une plasticité (même adulte)
• Augmente le métabolisme du système nerveux central (nommé)
• Au Canada, on considère que l’enfant a besoin d’un minimum de • 60 minutes de haute intensité • Plusieurs heures à intensité Légère 3x par semaine ?
-faut 1 heure de sport
- Si on met un objectif trop haut, les enfants ont peur et en feront encore moins
- au moins 3x par semaine
- Le mieux ce serait à chaque jour
- Enfant ne devrait pas être assis plus de 2 heures par jour
Quand on regarde ces recommandations-là, les enfants ont 2 périodes de 1h par cycles de 6 jours, alors qu’il va bouger moins de 2h dans le milieu scolaire
Faudrait l’impliquer à pratiquer un sport d’intensité élevée à chaque semaine
Pourquoi les données de la recherche ne s’Actualisent pas dans le système scolaire ?
-On pense que nos capacités académiques se développent principalement par l’enseignement du français
-Ils ont tendance à considérer que l’activité physique c’est une sous-matière et que ça aidera pas les performances scolaires
-On n’est psa encore sûr que ça va aider les fonctions exécutives, mais quand on augmente les périodes scolaires, ça n’affecte pas les période scolaires à la baisse
-Donc quand on réduit le nombre de cours de maths, français, etc. ça ne réduit pas leurs performances à l’examen
-
• Dans les écoles québécoises,
les enfants ont deux périodes
de sports par cycle de 6 jours
L’alimentation
• Dès la naissance, l’enfant préfère la nourriture sucrée et salée, indicatrice d’une teneur haute en calorie -La disponibilité calorique n’était pas la même antérieurement (1000 ans par exemple)
• 72% des enfants consomment
trop de sodium
-même si nos besoins ont changé, notre corps n’a pas évolué, donc 72% des enfants consomment trop de sodium, c’est le DOUBLE de la consommation recommandée
• Effets de l’alimentation • Obésité • Diabète • Cancers • Maladies du coeur • Dentition (nommés)
- L’enfant fait des choix par lui-même
- à l’épicerie
- Dans le garde-manger
• Sources d’influence
• La compétence alimentaire
- Le fait qu’il ait des onnaissances sur ce qui est sain et sur ce qui n’est pas sain
- QU’il ait des ompétences à se faire une collation par exemple
- Recommandation : faire à manger avec l’enfant
• Le style parental -démocratique = aliments sains ++ -Pourquoi ? -le style parental « alimentaire » Sont les caractéristiques du parent sur le plan alimentaire et son organisation Ex : ¬-Encourager ? -Restreindre ? -Choix alimentaires ? -Presser l’enfant à manger
Donc selon le comportement du parent et son positionnement face à l’enfant
Plus ou moins tendance à consommer des aliments sains
• Le marketing -Exposition à des publicités Ex : Études en neurosciences -Ne modifie pas la quantité de nourriture -Les fonctions exécutives sont amoindries(éteintes) par l’exposition à la publicité -Hypothèses : -Difficulté d’inhibition aux aliments ? Vs l’enfant non-exposé
• La culture
- accès à la nourriture
- Type d’aliments
Guide alimentaire 2007 vs 2019
2007 : 4 catégories
2019 : fusion (Lait-viande) en 3 catégories
-Influence de la recherche (faisant partie de la culture) Ex : -Les types d’aliments -Viande rouge + néfaste -Lait : avantages et désavantages
- proportions vs nombre absolu de grammes à consommer
- Raison : existence de différences individuelles dans l’appétit et les besoins caloriques
•Obésité infantile
•Facteurs de risque •Être né par césarienne •Habitudes de vie (alimentation, sommeil, activité physique) •Niveau d’éducation des parents •Expériences familiales adverses •Environnement social, le voisinage -ACCÈS à des parcs -confiance dans le voisinage : parents gardent l’enfant à l’intérieur
- (type)Interactions entre le parent et l’enfant dans les capacités de régulation
- -Référence à l’organisation
- -parent avec de bonnes capacités de contrôle (maîtrise de soi ? )
•Fonctions exécutives
(planification, inhibition,
résolution de problèmes)
-Planification pour se préparer un repas
-Parent avec stresseurs : disponibilité mentale amoindrie pour offrir un contexte alimentaire et sportif sain pour l’enfant
-Effet possible sur l’enfant : il n’apprend pas à s’organiser non plus
•Effets de l’obésité •Problèmes vasculaires •Diabète de type II •Espérance de vie écourtée •Diminution du revenu -discrimination et au rejet – difficulté à se trouver un emploi
- Rejet de discrimination
- Perturbation de l’image corporelle
- Faible estime de soi
- Dépression
–INTERVENTION PAS RAPPORT DE TARABULSY—
- Inhibition ? y’a 3 cours où on a parlé d’inhibition
- DIFFÉRENCE DANS L’UTILISATION DU TERME (exam?)
- Dans le domaine du TEMPÉRAMENT = encaisser, s’approcher de quelque chose
- Dans le domaine d’une tâche de traitement de l’information : se retenir de faire quelque chose
2–Théorie de l’esprit, fonctions exécutives, métacognition
-Sont 3 idées dans la même famille
-Fonctions exécutives : organisation, planifier, exécuter
-Mais aussi l’inhibition !
L’exemple du délais de gratification comme Lussier
- Métacognition
- Monitoring de son propre discours interne, capacité de revenir sur ses pensées, ses gestes, ses ocmportements et avoir un pas de recul
- Ces trois éléments sont en développement et sont toutes associées les unes aux autres
- Come pour la permanence de l’objet, prennent sens dans des contextes sociaux
- 2E POINT
- Question : est-ce que l’émergence de ces capacités sont en lien avec un élément DISCONTINU ? : est-ce qu’un enfant de 6 ans est une créature différente d’un enfant de 4 ans ? qualitativement différent ?
- Aucune répones exacte,
- 2e question :
- Si une discontinuité existe, comment est-il possible de savoir si tous les adultes atteignent les toutes les étapes du développement de la même façon ?
- SI un enfant N’atteint jamais la théorie de l’Esprit, il va y avoir des difficultés assez importantes dans son développement
- SOulèeve la possibilité que des capacités cognitives chez les adultes que pas tout le monde développe et on sera jamais capable de savoir si tout le monde les a ,car elles sont difficiles à expliquer
- Si ce ne sont pas tous les enfants qui atteignent la théorie de l’esprit, comment on le sait ?
- Si ca n’Existe pas et qu’On l’atteint pas, comment le sait-on?
- Pour comprendre la théorie de l’esprit, faut l’avoir atteint
3e- Biais dans nos apprentissages
-Nos retenons plus facilement des choses qui nous osnt les plus familières
Nous sommes portés à aller vers des choses que l’on connaît d’avance
-à moins que l’on est poussé à aller vers autres chose
-Donc, biais dans l’apprentissage (facilité nous attire) :
•L’évolution du langage expressif
•Précision du vocabulaire
-un même mot peut avoir plusieurs significations
Ex : porter un enfant, porter un manteau
•Augmentation des figures de style: comparaisons, métaphores
Lien avec théorie de l’esprit
-Faire des métaphores intéressantes pour l’autre
¬
•Vers 8 ans: apparition de la sémantique d’une phrase
•Sémantique: Compréhension du sens des mots et des phrases
-la phrase en elle-même a un sens, et le mot porter va varier selon le contexte de la phrase
-grâce à la sémantique de la phrase, l’enfant apporte des précisions à son vocabulaire
•Amélioration de la communication sociale
•Vers 6 7 ans, l’enfant raconte de courtes histoires personnelles axées sur les actions et leurs conséquences
-Peu d’élaboration sur le contexte
•Vers 7 8 ans l’enfant raconte des histoires plus complexes, suivant un ordre classique
-Début, milieu, fin
- Non maîtrise du temps :
- Une histoire se passant sur 3 ans, mais dont le contenu de l’histoire de varie pas (ex : personnage reste à 7 ans)
-difficultés à décrire l’environnement (décor, ville, etc.)
•En grandissant l’enfant ajoute des informations contextuelles (temps, décor…)
•Utilise rarement les tournures de phrases passives ou conditionnelles, ou des
raisonnements plus complexes (Cependant, quoique, toutefois)
-Phrases passives sont plus difficiles
-Nuances plus difficiles (raisonnement)
Littératie
•Aptitude à lire, à comprendre et à utiliser l’information écrite,
nécessitant la motricité fine (sans quoi l’enfant n’apprendrait pas) et des habiletés langagières (qu’il connaisse déjà certains mots) et cognitives
•Habiletés cognitives: mémorisation, orientation spatiale, métacognition…
-mémorisation = visuel et sonore
-Orientation dans l’espace (écriture c’est très spatial)
-Métacognition (résume c quoi la définition)