5- La petite enfance : tempérament et attachement Flashcards
L’idée du tempérament chez l’enfant : observation de base fondatrice
• La notion « d’approche » et de « retrait ». (Roth & Cohen, 1986)
• Ces deux tendances sont-elles le reflet de caractéristiques fondamentales de la
personne?
1986 : papier important qui porte sur la notion d’approche et de retrait : la base de ce papier vient dire : on a tous des façons de gérer le stress, de gérer quand qqch est présenté devant nous, de faire face à un défi
Mais à la base de toutes ces façons,
y’A soit une perspective d’Approche Ou une perspective de RETRAIT
Ne veut pas dire qu’une personne ne peut pas s’Approcher pour se retirer
Mais nos comportements semblent se diviser dans ces 2 façons là
À la base, y’a cette tendance plus naturelle pour certains de s’Approcher, et pour d’autres, de se retirer,
A vrm donné le ton de l’étude de l’Adaptation en lien avec les phénomènes de stress et de personnalité
- Important de constater que l’idée des caractéristiques individuelles provient de l’étude de la personnalité chez les adultes.
- On tente de comprendre de quelle manière les adultes deviennent ce qu’ils deviennent.
• On ne commence pas l’étude du tempérament à partir d’observations chez
les enfants. On commence à partir des différences qu’on voit chez les
adultes, on présume un héritage biologique qui est à la base de ces différences et on présume qu’on peut les voir durant l’enfance
l’idée de regarder les enfants ne part pas des enfants.
C’est une idée qui regarde les adultes et qui présument que ces différences proviennent de différences innées, biologiques, génétiques, etc. ET qui après ça pose la question : comment fait-on pour étudier ça chez les enfants ?
Lors du 1er cours, p-t que la psychologie serait différente si on avait dit : commençons avec les enfants et regardons ce qu’Ils deviennent.
Mais c’est pas qqch qu’on a fait.
On a pris les Adultes, on ap ris des éléments qui rassemblent la personnalité et on s’Est demandé : comment ça ramène à l’enfance ?
• Perspectives sur les différences inhérentes à la personnalité durant
les années 1950 – 80
Béhaviorisme et psychanalyse
• Les mécanismes d’apprentissage (opérant, classique)
• L’ensemble de la personnalité se veut un résumé de l’apprentissage réalisé
par la personne. (nommé)
ceux du modeling, de bandura, etc. sont des ÉLABORATIONS à partir de l’apprentissage
Parce que on est capable défaire des hypothèses, ce sont les mécanismes principaux qui ont cours durant le dév. Humain
• Peu de différences à la naissance, biologiques au plan des caractéristiques
des enfants sur les plan social, émotionnel ou cognitif.
• Seules nos expériences sont à la base de nos différences.
• Quel peut être le « danger social » de percevoir les différences
individuelles dans le tempérament comme étant fondées sur des
différences innées?
Questions:
- Faut qu’on mérite ce qu’on a
- Discriminer (situations de pouvoir et d’injustice )
• Comment l’adoption d’une approche behavioriste compense-t-elle pour ce
problème potentiel?
-Le béhaviorisme permet de donner une chance à tout le monde : en donnant les bonnes chances, un environnement de développement approprié, chance à tt le monde
•Comment Les psychanalystes percevaient le développement de la personnalité
Pour psychanalyse : c’est une perspective qu’on dit constructiviste et les différences des personnalités vont émerger selon la manière dont l’individu gère chacun des stades et elle va se manifeste dans l’équilibre qu’il établit entre le ÇA, la pulsion sexuelle agressive et le surmoi, qui est la moralité émergeante qui gère son intégration dans la société, la manière dont le moi gère ces équilibres À TRAVERS les stades, va donner lieu à l’émergence de traits de personnalité différents
• Le succès ou l’échec dans la manière de traverser ces stades est à la
base de la personnalité de l’individu.
• Tous arrivent dans le monde disposés à traverser ces stades. La manière dont
ils le font dépend de leur contact avec l’environnement.
Behaviorisme, psychanalyse et tempérament
_________________
Le succès ou l’échec provient surtout de la manière dont l’enfant se
représente les événements qui ont lieu à l’intérieur de sa famille
(mère/père).
• Approche constructiviste, expliquant les différences sur la base des
expérience.
• Sur le plan cognitif, le parallèle se fait avec les idées de Piaget.
Erikson l’est moins car elle intègre le besoin de s’adapter
Vygotsky l’est moins que Piaget car vygotsky prend en jeu la société dans laquelle l’enfant se développe
- Définition d’une perspective constructiviste:
- Un modèle de développement dans lequel tous s’insèrent, dans laquelle il y a peu de préoccupation pour les différences d’une personne à une autre, dans la manière de se développer. Tous passent par les mêmes stades. Avec les stades et l’exposition à l’environnement, la construction des connaissances et des habiletés de l’individu devient de plus en plus complexe.
• Encore ici, on cherche un mode général de fonctionnement de la
personne, peu enclin à expliquer les différences entre les gens,
plus enclins à généraliser les aspects globaux du développement. (nommé)
l’Affaire qu’on a dans ces approches : on essaie de comprendre de façon générale comment les gens sont en train de se développer
On est pas en train de sedamdner pourquoi on a une différence là et là, on se demande : quels sont les mécanismes qui gèrent toutes les différences ?
• Encore ici, il faut pouvoir distinguer la précision de ces énoncés –
dans une perspective développementale, est-ce que tous les gens
qui font face aux mêmes situations, se développent de la même
manière?
• Il faut aussi expliquer les différences entre les gens…
Similarités entre béhaviorisme et psychanalyse
•Dans les deux approches, on ne perçoit pas de prédisposition à la
naissance. (nommé)
On prétend que seules les expériences et les représentations des expée
• On prétend que seules les expériences(apprentissage), ainsi que les représentations
des expériences(Freud), ont un impact sur le développement de la
personnalité et des caractéristiques essentielles de la personne, à
travers le développement. (nommé)
(vraiment important)
Les béhavioristes et les psychanalystes ici se TROMPENT POUR LA MÊME RAISON : ils ne présument pas que y’A qqch que l’E-H amène à l’équation à sa naissance
C’Est pas exactement une notion de table rase (pour Freud) →la personne amène des mécaniques PRÉSENTES CHEZ TOUT LE MONDE
-Chez l’autre : c’est table rase et qu’apprentissage ()
Mais dans les 2 cas : rien que l’individu amène qui le distingue des autres
Est-on en train de dire : qqun est plus intelligent, ou pcq travail très très fort, né comme ça ?
Dans une perspective béhavioriste-psychanalyste, qu’est-ce qu’on risque de faire dans une perspective d’interverntion ?
• Si l’accent est sur l’environnement, la responsabilité pour les
difficultés de développement est également sur l’environnement et
l’apprentissage.
• Dans une perspective d’intervention, très souvent, on trouve les
causes des difficultés des enfants chez les parents.
Si on est en train de dire qu’un enfant est irritable, difficile à consoler, etc.
On va dire au parent : voici ce que vous devez faire, car on présume que le PARENT POUR INFLUENCER LE DÉV DE L’ENFANT
Si certains veulent être des enfants c’est agir sur les principaux LEVIERS D’INTERVENTIONS, le principal c le travail avec les parents et en-dessous de ça y’A l’hypothèse que l’enfant va être modifié par l’environnement, ce que la personne principale fait à son égard
Pour bcp de parents, dans les années 50-60 , bcp d’interventions ressemblent au fait de blâmer les parents.Si t’as des enfant squi luttent avec des enjeux développementaux c’est qu’est-ce que vous avez fait et qu’est-ce qu vous pouvez faire ?
Même aujourd’hui, trouble anxieux, etc. ON va tout de suite ramener l’idée que y’a qqch que tu peux faire en tant que parent. La question qu’on pose c’est est-ce que c’est ça que vous pouvez faire.
Ou y’a qqch qui fait en sorte que c’est plus difficile d’être le parent de cet enfant-là ?
Chess et Thomas (1956)
• The New York Longitudinal Study
• Descriptions maternelles des comportements des enfants,
chaque année, pendant 30 ans. (nommé)
• Approche venant des études sur la personnalité.
• Descriptions provenant d’autres personnes: pères, enseignants
surtout.
• Informations recueillies sur l’adaptation jusqu’à l’âge adulte.
On a traduit les items en fonction de comment on pensait que les enfants agissaient sur la base des traits de personnalité qui étaient en émergence :
Comment est-ce qu’un enfant qui devient anxieux agit quand il est plus jeune ?
Façons aussi de poser la question aux parents : travail pour gérer les items
Posé des questions au parent, etc. qui allaient nous aider à comprendre les origines du tempérament
Posé bcp de questions aux parents : comment EST votre enfant ?
On suit les traits qui émergent de ça
Appliqué parfois aux pairs, enfants, et on a recueilli les infos jusqu’à l’âge adulte
Y’a des ressemblances des problématiques entre les enfants et ce n’est pas possible que ce soit les parents qui fassent toujours les mêmes erreurs…….
Qqch d’autre qui doit faire e nsorte que les problématiques reviennent
Chess et Thomas (1956) : • Résultats majeurs:
• Stabilité dans les descriptions maternelles de l’enfant. (nommé)
On pose les questions à répétition au parent : y’A une stabilité et c’est là que ça devient intéressant si y’a stabilité ça peut vouloir dire que y’a des traits inhérents à l’enfant, peut vouloir idre que y’a qqch qui appartient à l’enfant
• Prédiction de certains phénomènes lié à la compétence sociale, la
réussite scolaire, l’intelligence, et les problèmes de
comportements à travers l’enfance, à partir des descriptions
maternelles.
Encore très intéressant : ça peut vouloir dire : si ce que l parent dit de son enfant es prédictif de choses qu’il devient, de son développement, peut-être que c’est pcq on est en train d’évaluer qqch qui est un trait inhérent à l’enfant (J’imagine que ce ne serait pas ce qu’il dit mais ce qu’il fait qui est important)
Si, à 6 ans, j’ai été capable de prédire son comportement à partir de ce que le parent disait
Si le tempérament n’était pas un vrai phénomène, ce que les parents DISENT devraient pas vouloir dire grand-chose
• Identification du phénomène du « DIFFICULT BABY » (l’enfant
irritable) comme étant le plus importants pour les parents.
Difficult baby est le plus important pour les parents
On peut comprendre, si on a un enfant qui pleure toujours, très exigeant, irritable, jamais satisfait, jamais content, toujours en demande, si vous êtes parent, ça peut être qqch de très compliqué
Si vous êtes parent, t’en as peut-être plus qu’un, t’as d’autres tâches à remplir, toutes sortes de différentes choses à gérer, la vie est chargée et t’as un enfant qui n’est pas content : ça peut devenir la dimension du tempérament qui prend le plus de place dans l’imaginaire du parent. Si on a un enfant ‘’facile’’ on peut comprendre comment ça peut être très aidant
• 8 autres dimensions tempéramentales identifiées (trois majeures,
dont la « slow to warm up »).
Enfant qui réagit lentement, qui s’allume lentement face à la stimulation, lent à réchauffer
• Diminution de la perspective du rôle des parents dans le développement
social et affectif en bas âge. L’enfant arrive avec des dispositions…
Chess et Thomas:
• Problèmes:
• Approche repose sur des questionnaires, questions posées à la
même personne.
Plus on répond à des questions semblables, plus on a tendance à répondre de façon semblable
On a une ‘’variance partagée par la mesure’’
• Peu d’accord entre père et mère.
Malgré tout le raffinement des mesures de tempérament y’a une similarité mais elle n’est pas aussi élevée qu’on pourrait penser compte tenu du fait qu’on parle du même enfant, et on est en train de parler de traits qu’on pense innés
Comment ça on perçoit des traits ? Est genre 25% de variance partagée, autour de 50% de corrélation, c’est les mêmes questions, c’est BCP de désaccord par rapport à cette mesure
Pourquoi les parents voient leur enfant différemment ?
Peut-être que la relation est différente car papa et maman ne sont pas ensemble dans les mêmes moment, sont des actions qui portent sur différents enjeux, si l’un joue avec et l’autre porte l’enfant, ce sont 2 types d’interaction,
Donc relation ET ENJEUX
Mais ça devient un ENJEU MAJEUR : est-ce que la relation vient colorer la capacité du parent d’identifier des traits qui sont censés lui être INNÉS
• Peu d’accord entre mère et observateurs externe à la famille.
Une des choses qu’on a faites c’est que l’un des questionnaire sur tempérament : est-on capable de faire émerger des traits tempéramentaux en laboratoire ? Est-ce que l’enfant irritable l’est plus ?
L’enfant lent à réchauffer est-il lent ?
On observe peu d’Accord quand on fait ^ca….
• Aucune distinction sur la source de l’émotionnalité manifestée
chez l’enfant (nature vs. nurture; voir Hane & Fox, 2006)
quand un parent dit : mon enfant est irritable, expérimentateur externe dit la même chose
Est-ce que nous savons d’où vient cette difficulté-là ?
C’est aussi envisageable que yer pas nécessairement né avec ces traits-là, on pourrait tjrs dire : yer devenu difficile
Si on est en 1975-80, on a comme le PLAN DE RECHERCHE des gens qui étudient le tempérament pour les 30 prochaines années
On va ajouter à ça la notion d’héritabilité et la biologie
Chess Et tHOMAS, Problèmes supplémentaires :
• Questions qui demeurent avec cette approche:
• Qu’est-ce que les parents rapportent lorsqu’on leur demande de compléter
une échelle de tempérament concernant leur enfant? (nommé)
est-ce que c’est la relation ? leurs défis personnels ? les vraies caractéristiques ? Même si l’item et la question dit : l’enfant est difficile à consoler ? 1-7, pourquoi y’e na si peu d’accord ?
• Des caractéristiques inhérentes(bio) à leur enfant ou le résultat d’un processus de
Socialisation(E), ou peut-être que les parents rapportent quelque chose de leur propres
dispositions? (Biais?)
• Pourquoi y a t-il si peu d’accord entre les observateur: pères, mères,
enseignants, pairs?
Kagan et coll : Hyupothèse de base
Il a défini le phénomène d’inhibition
• Le phénomène de l’inhibition comportementale et la
réactivité chez le nourrisson (Kagan et al. 1987; 1988).
• Hypothèse de base de Kagan: Les différences au niveau du
tempérament ne se situent pas dans la moyenne mais plutôt aux
extrémités de la distribution. (nommé)
• L’inhibition, la désinhibition et le développement de
troubles anxieux, de dépression et de troubles
d’hyperactivité et d’agressivité (Kagan, 1997; Kagan et
al., 1999; Kagan et al., 2007). (nommé)
sont en lien avec la façon dont l’enfant GÈRE LA NOUVEAUTÉ
quand on veut parle des trait d’une personne, pas bcp de différence dans la prédiction quand on regarde le milieu de la courbe, il a dit que y’avait 80 de similarité, si on prend les 10%, ca c’est les traits distincts, différents des autres, versus les 80% dans le milieu, si on veut faire de la prédiction, c’est pas les 80% qu’Il faut regarder
On a un 10% qui vont être très très différents des 10 % opposés
Le phénomène qui l’intriguait c’était la notion de réaction face à la nouveauté
C’est quoi ça ?
C’est l’idée que certains enfants sont hypersensibles, très réactifs à des changements dans leur environnement et Kagan a inventé des tâches de laboratoire pour tester la capacité des enfants de réagir dans des environnements : Ex. un Mobile, une débarbouillette mouillée
Y’a des enfants qui voient le mobile et partent à pleurer, sont très mal pris face aux émotions et d’autres sont super curieux
D’autres expériences : une tâche où on met l’enfant devant une caméra et un moniteur et une balle vient vers l’enfant et
Idée : La façon dont ils réagissent face à ces expérimentations indique leur tempérament, leur tendance à répondre d’une certaine façon
Des enfants craintifs et d’autres non,
Soutien empirique pour dire que y’a une contribution biologique à ce phénomène
Les jeunes pas du tout craintifs
Les gens pas craintifs : prennent des risques, vont pas écouter leur parent car ils sont très curieux, est-ce que le chien qui jappe va vrm me mordre ?
Dans ses travaux empiriques, il existe des catégoriques qui se distinguent mais
Kagan et collègues (années 1980)
• Dans ses travaux empiriques, fondées sur l’observation du
comportement, Kagan estime qu’il existe des catégories
de personnes qui se distinguent, entre autre mais pas
exclusivement, sur la base de leurs réactions
émotionnelles face à la nouveauté. (nommé)
• L’appartenance à ces catégories est d’abord innée, bien
que l’expérience peut jouer un rôle dans le maintien ou le
développement de cette réactivité émotionnelle (Hirschfeld
et al., 1997; Kagan et al., 2007). (nommé)
Les enfants qui répondent bcp ou peu à la nouveauté va tjrs COLORER la personnalité, mais c’est pas stable,
Dépend de la façon dont ils gèrent le tempérament de l’enfant
Une des choses que l’enfant a lutté ds son travail : y’a une capacité de répondre bpc ou PEU à qqch qui est nouveau (vous me suivez tu ?)
Mais c’est pas DÉTERMINANT, mais ça va tjrs rester , colorer mais CA se manifester SELON comment les PARENTS gèrent ou non ces comportements
p-t vous ^petes de la sorte que vous exagérez la détresse del ‘enfant, mais peut-être que le parent fait des choses qui va accentuer, empirer
Ex : le fait d’être craintif appartient à l’enfant, mais peut être empiré ou amélioré par le parent
Kagan : comment la mesure est faite
Kagan et collègues (années 1980)
• Observations fondées sur réponses de l’enfant face à des
événements nouveaux, frustrants ou imprévisibles:
• Une débarbouillette mouillée placée sur le nez.
• Rétention des bras.
Y’a des bébés pour qui ça leur fait rien, on pense que c’est en lien avec une disposition à la frustration
• Retrait d’une suce de la bouche de l’enfant.
Catastrophe et d’autres c comme si de rien n’était
2-3-4 mois
• Présentation d’un objet qui fait du bruit de manière imprévisible.
Petit rboot qui s’approche et recule
Y’a des enfants qui donnaient un coup au robot et des enfants qui pointaient le robot, c’est vrm particulier de voir comment les enfant réagissent différemment
- Présentation d’un objet qui se dirige vers l’enfant à vitesse (sur écran…).
- Retrait d’un objet d’intérêt pour l’enfant.
Kagan : problème de mesure
Kagan et collègues (années 1980) (problèmes de mesure de Kagan)
• Kagan distingue mal entre la réactivité qui provient de la
peur de la nouveauté et la réactivité qui provient de la
frustration.
colère, crainte, tristesse, très difficile !
Des fois on a des études qui présentent des distinctions qui présentent + de colère et de tristesse.
Qu’est-ce qui se passe chez un enfant qui a de la tristesse ? :
Prédisposition à la détresse ? dépression ? modèles comportementaux différents ?
Idée derrière cette question : notre conviction de tristesse et de colère, qu’on soit en mesure de les distinguer réellement
• Il les mélange ensemble sous la rubrique « réactivité ». (nommé)
• Or, les chercheurs ont plus récemment tenté de faire cette distinction, tant
dans le développement que dans les séquelles du tempérament réactif.
• On distingue surtout entre la « peur » chez l’enfant et la frustration.
La tristesse semble être mélangée à la frustration, mais moins mélangé avec la peur though
- Rothbart & Posner, 2007
- Leerkes & Crockenberg, 2003
Kagan : Résultats majeurs
Résultats majeurs:
• Prédiction des éléments suivants en lien avec le
développement social et affectif: (nommé)
(très important car on fait le lien avec les )
• Fonctions neuroendocriniennes (cortisol salivaire).
Ce fctr est en lien avec les évaluations de la réaction à la nouveauté
• Développement de l’anxiété et des troubles de l’internalisation.
Tout ce qui touche les phénomènes d’anxiété et dépression
Plusieurs études de Kagan font le lien un peu avant un an et ce qu’on voit à l’âge scolaire dans les phénomènes de dépression
• Désinhibition en lien avec externalisation.
ABSENCE D’INHIBITION = en LIEN AVEC EXTERNALISATION – déficit d’attention et développement de l’Agressivité
2 problèmes avec les études de Kagan :
1er problème • Peu de reproduction indépendante des résultats. (nommé)
• Hane & Fox (2006)
Il est en mesure de faire la démonstration que l’inhibition et réactivité à la nouveauté est associée aux soins que l’enfant reçoit et FOX c’est aussi un chercheur chevronné
Il dit : il semble avoir une forte charge développementale associée aux soins
• Résultats suggèrent que la réactivité puisse être associée à la qualité des soins
reçus.
2e problème • Peu de lien avec « impressions » ou rapports parentaux du
tempérament.
Les observations de m. kagan ne sont pas très associés avec les observations de m. kagan ()comprend pas )
- Focus sur une dimension très précise du tempérament.
- Est-elle si importante?
- Devrions nous regarder d’autres choses?
Avantage : on définit le phénomène clairement to cherche les ramifications de ce phénomène et non pas d’autres.
Le désavantage :
Dans quelle mesure cep phénomène est important dans le dév. Humain ? Il est important car on le voit facilement, on dit : il doit être important pour la suite du cheminement ? Mais c’est tu vrm la meilleure chose à regarder juste parce que c’est la chose la plus évidente ? <
En gros, même si c’est très très visible, faudrait regarder voir si c’est vrm important à regarder au final – y’a tu autre chose qui joue ?
_________________