7. Tonie chez l'individu malentendant Flashcards
La perception de la fréquence est-elle affectée chez l’individu malentendant ?
Oui
Compléter. La perception de la hauteur tonale, à la fois avec des sons purs et des sons complexes, est souvent plus ___________ que la normale chez
les auditeurs malentendants mais, comme pour de nombreuses capacités auditives, il existe une grande ___________ entre les
différents auditeurs (Moore & Carlyon, 2005)
faible
variabilité
L’étude de Moore and Peters (1992) a mesuré la discrimination de hauteur en utilisant des sons purs et des sons complexes. Quelles sont les deux conclusions principales auxquelles ils sont arrivés ?
- Grande variabilité de performance parmi les participants malentendants
- Discrimination fréquentielle plus faible que la normale chez les participants âgés avec une audition proche de la normale. Cela suggère un possible effet de l’âge qui serait indépendant de la perte auditive.
En ce qui concerne les sons complexes, Moore et
Peters (1992) ont également trouvé des résultats assez variables, à une exception près. Quelle est cette exception ?
Aucun participant avec des filtres auditifs plus larges que la normale n’a montré une discrimination
F0normale des sons complexes.
Vrai ou faux. Selon la théorie de la place, une sélectivité fréquentielle plus faible entraîne une meilleure perception de la hauteur tonale et des seuils de discrimination fréquentielle plus bas (meilleurs).
Faux. Une sélectivité fréquentielle plus faible devrait conduire à une moins bonne perception de la hauteur tonale et à des seuils de discrimination fréquentielle plus grands (pires).
Vrai ou faux. La déficience auditive s’accompagne souvent d’une meilleure sélectivité fréquentielle, sous la forme de filtres auditifs plus larges.
Faux. Les personnes ayant une déficience auditive ont généralement des filtres auditifs plus larges que la normale, ce qui signifie que leur capacité à séparer les fréquences est moins précise.
Quel est le principal résultat suggéré par les études de Glasberg & Moore (1990) et Patterson (1976) concernant les seuils de discrimination fréquentielle et les largeurs de bande des filtres auditifs ?
a) Les seuils de discrimination fréquentielle sont fortement corrélés avec la largeur des filtres auditifs.
b) Les seuils de discrimination fréquentielle ne sont que faiblement corrélés avec la largeur des filtres auditifs.
c) La largeur des filtres auditifs n’a aucune influence sur les seuils de discrimination fréquentielle.
d) Les seuils de discrimination fréquentielle dépendent exclusivement de la théorie de la place.
b) Les seuils de discrimination fréquentielle ne sont que faiblement corrélés avec la largeur des filtres auditifs.
Explication : Donc, la théorie de la place ne peut pas pleinement rendre compte de la perception de la hauteur tonale seulement.
Vrai ou faux. Les résultats de plusieurs études ont conduit à la conclusion qu’au moins certains auditeurs malentendants peuvent souffrir d’un déficit de codage temporel.
Vrai. Un exemple extrême de déficits du codage temporel se retrouve chez les sujets avec une neuropathie auditive.
Quel énoncé est vrai concernant la neuropathie auditive, selon Zeng, Kong, Michalewski et Starr (2005) ?
a) La discrimination de fréquence des sons purs à haute fréquence est altérée chez les personnes diagnostiquées avec une neuropathie auditive.
b) La perception de la modulation est généralement préservée chez les personnes atteintes de neuropathie auditive.
c) La discrimination de fréquence des sons purs à basse fréquence et la perception de la modulation sont généralement fortement altérées chez les personnes diagnostiquées avec une neuropathie auditive.
d) La neuropathie auditive n’affecte ni la discrimination de fréquence ni la perception de la modulation.
c) La discrimination de fréquence des sons purs à basse fréquence et la perception de la modulation sont généralement fortement altérées chez les personnes diagnostiquées avec une neuropathie auditive.
Vrai ou faux. Les auditeurs malentendants ayant une sélectivité fréquentielle plus faible souffrent d’une perception de la hauteur complexe plus faible.
Vrai.
Qu’est-ce qui limite (2) la résolution fréquentielle des implants cochléaires ?
La résolution fréquentielle des implants est limitée par
- Le nombre d’électrodes ou de canaux (entre 12 et 24)
- Les interactions de courant électrique entre les électrodes adjacentes.
Compléter avec le bon nombre. Par rapport à une audition normale, l’implant ne contient
(au maximum) que ______ électrodes physiques destinées à compenser la perte fonctionnelle de ___________ cellules ciliées internes. De plus, le signal acoustique entrant est filtré par un filtre passe bande pour accentuer les signaux vocaux, de sorte que seule une plage de fréquences d’environ ____ Hz à ______Hz est transmise (les plages exactes dépendent du fabricant de l’appareil et des
paramètres individuels du patient).
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