5. Les voies indirectes des maladies Flashcards

1
Q

Historique des voies indirectes des maladies

A
  • « l’âge de la pestilence et de la famine », où la mortalité était forte et uctuante et la médecine totalement inefcace, l’espérance de vie se situant, en moyenne, au-dessous de 30 ans.
  • « l’âge du recul des pandémies », durant lequel, grâce à l’invention d’une médecine enn efcace, l’espérance de vie augmente fortement, passant de moins de 30 ans à plus de 50.
  • « l’âge des maladies de dégénérescence et des maladies de société », où la mortalité, après avoir continué à régresser, tend à se stabiliser à un niveau très bas, la médecine restant inefcace face aux dé des maladies chroniques tandis que l’industrialisation et les mutations sociales qu’elle impose engendre de nouveaux risques.
  • Meilleure hygiène corporelle et autres choses qui vont permettre de réguler bcp plus facilement les mortalités
  • On arrive ensuite à une 3e phase où les raisons de la mortalité, il y en a des nouvelles qui apparaissent qui avant étaient cachées dans les autres (cancer masqué par les grandes épidémies)
  • Qd on enlève les grandes causes, il y a moins de morts, mais il y en a d’autres qui meurent pour d’autres causes.
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2
Q

Que peut-on dire de l’évolution du taux brut de mortalité en France depuis le milieu du XVIIIe siècle?

A

On peut voir une baisse de mortalité au cours de l’évolution. On peut constater une forte fluctuation d’une année l’autre notamment durant le 20e siècle, dû à une stabilisation des ressources alimentaires. L’industrialisation a aussi joué un grand rôle.

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3
Q

Qu’est-ce qu’a permis la Progression de la médecine?

A

Ici, on remarque une courbe qui a globalement la même forme avec une baisse de la mortalité liée à cette maladie.

On croit qu’une maladie existait, on trouve la manière de la guérir, alors ça chute. Les auteurs collent pour chaque graphique : la découverte de l’origine de la maladie et la découverte de leur traitement. Ici on voit que ça chute, après l’apparition du traitement on a une baisse de la mortalité. Mais cette baisse existait déjà depuis un siècle avant la découverte du médicament. C’est déjà car un phénomène n’a pas une cause. La disparation des maladies ne se fait pas que par le traitement mais aussi par la prévention de la maladie.

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4
Q

Quels ont été les modes de prévention pour la tuberculose ?

A
  • Modification des conduites alimentaires (organisme correctement alimenté se défend mieux, on évite l’apparition de la maladie, alors pas besoin de la soigner)
  • L’hygiène corporelle + installation d’hygiène
    • La norme aujourd’hui : se laver 1x par jour, c’est pas qch qui existe depuis lgt. Pdt lgt, on ne se lavait pas.
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5
Q

Schéma des Taux de mortalité standardisés par classes d’âge pour 100 000 habitants ; source : office fédérale de la statistique

A

Vie perdue = taux de mortalité avant 70ans

Mourir avant un certain âge c’est pas naturel.

On voit que les 3 causes de mortalités en bleus dans l’autre graph sont les causes des vies perdues.

On ne meurt plus de maladies contagieuses. La diffusion de bactéries est une part mineure de la mortalité (proportion de décès pour cette cause par rapport à d’autres causes de mortalités). Ce sont devenues des causes maitrisées. Mais si on ne meurt pas de maladies contagieuses, on meurt des maladies cardiovasculaires, d’appareil respiratoires, cancer ou accidents et ceci sont liés à nos modes de vie.

Question de la santé : avant plus un modèle biologique (lutter contre bactéries), alors que mtn c’est un modèle comportemental.

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6
Q

Schéma

A

Quels facteurs psychologiques causent quel comportement : agir sur les comportements pour que leurs modes de vies ne soient pas problématique ou alors s’ils veulent changer, les aider au niveau de leur comportement.

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7
Q

Quels sont les comportements?

A
  • Manque d’exercice physique (plus de 30-40min dans la journée où on fait un effort modéré ou intense) + sédentarité (longue période d’activité physique, corps qui fait rien). La sédentarité peut agir de manière négative indépendamment de l’activité physique à même si ce soir on va courir 2 heures, le fait d’être resté lgt assis, produit un effet négatif
    • De plus en plus aujourd’hui on distingue les 2
  • Alimentation: maladie cardiovasculaire
    • Quantité (trop, notamment quand on est très sédentaire comme les étudiants, on consomme très peu, alors on a besoin de très peu d’apports et souvent on mange trop pour ce qu’on a vrmt besoin)
    • Qualité : nourriture variée, on mange pas assez de légumes mais il y a des produits alimentaires quisont mauvais pour nous
  • Sexe : MST (sida)
  • Consommation de substances
  • Conduite routière
  • Prévention
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8
Q

Schéma montrant la différence entre les filles et les garcons

A

Alcool : progression bcp plus faible chez les filles, effet de l’âge et du sexe? cause culturelle, effet de normes, d’éducation, de stéréotypes qu’on peut lutter contre.

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9
Q

Schéma de la personnalité et du comportement de santé

A
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10
Q

Qu’est-ce que le Modèle « big Five » de la personnalité?

A

Modèle dominant qui dit simplement qu’on est différent les uns les autres sur 5 dimensions de personnalité :

  • Consciensiosité
  • Agréabilité
  • Névrosisme
  • Ouverture
  • Extraversion/introversion

Mnémotechnique : canoe

Généralement peu exploité en psychologie de la santé car peu prédictif des comportements spécifiques. A l’exception de la conscienciosité et d’une facette de l’extraversion : la recherche de sensation

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11
Q

Qu’est-ce que la Consciensiosité dans le Modèle « big Five » de la personnalité?

A
  • Un pattern stable de différences interindividuelles dans la tendance à maîtriser ses impulsions, à se donner des buts, à planier, à retarder les gratications et à suivre les normes et règles sociales.
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12
Q

Bogg et Roberts (2004). Méta-analyse de 194 études sur la relation entre consciensiosité et comportements de santé

A
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13
Q

Quels sont les travaux de Marvin Zuckerman sur le niveau optimum d’activité pour un organisme ?

A

A essayé de décrire la dimension de personnalité et il a identifié 4 domaines de manifestations

La recherche de sensation

À l’origine niveau optimum d’activité pour un organisme.

  • Évolution vers un trait de personnalité (5 facteurs)
    • Score global
    • Recherche de danger et d’aventure
    • Recherche d’expérience
    • Inhibition/désinhibition
    • Susceptibilité à l’ennui
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14
Q

Schéma de l’axe croyances-motivations-implémentations et les modèles socio-cognitifs?

A
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15
Q

Schéma avec exemple concret de l’axe croyances-motivations-implémentations et les modèles socio-cognitifs?

A

Fumer tue : va donner des motivations de ne pas fumer

Le commerce fonctionne beaucoup avec ce processus de croyances, motivations et implémentations.

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16
Q

Questions qu’on va ensuite se poser

A

Pas toutes les croyances sur le monde auront un impact sur la motivation.

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17
Q

Quelles croyances ?

A
  • Exemples :
    • La théorie des représentations sociales
    • Le Health belief model

On peut essayer de comprendre les phénomènes et ensuite jouer sur les leviers et savoir comment modifier les croyances.

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18
Q

Les croyances sont-elles motivantes ?

A
  • Exemples :
    • La théorie de l’action planiée
    • La théorie sociale cognitive
19
Q

Les motivations prédisent-elles les comportements ?

A
  • Exemples :
    • The health action process approach
    • La théorie de l’action planifiée
20
Q

Qu’est-ce que la notion de croyances et le health belief model?

A
  • La représentation mentale que nous faisons d’un élément de notre environnement ressemble à un réseau de caractéristiques (propriétés) associées à cet élément

Cancer sera associé à un certain nombre de croyances avec des propriétés communes car on va tous les considérer comme vrai avec un certain degré.

Surtout quand ça doit être considéré comme vrai ou faux, alors ce sera très motivant, alors que si c’est incertain on sera beaucoup moins motivé.

  • Pourquoi la notion de croyance est-elle si fondamentale ?
  • « If men define situations as real, they are real in their consequences »
  • A partir du moment où on considère que fumer provoque le cancer est vrai, peut importe que ce soit vrai ou pas ds la réalité, tant que j’y crois, cela va provoquer des comportements et des issues avec ces croyances même si en réalité c’est faux.
21
Q

Qu’est-ce que l’axe croyances-motivations-implémentations et les modèles socio-cognitifs?

A

Exemple d’une enquête sur la perception de la relation entre consommation de tabac et risque de cancer

Relation linéaire : la prob d’avoir une maladie grave liée au tabagisme augmente de manière linéaire en augmentant la consommation de tabac. Donc est-ce qu’à chaque fois qu’on diminue la consommation, on diminue la prob. C’est motivant pour les fumeurs qui fument bcp, car en fumer un peu moins sera déjà un grd gain.

Mais les gens n’ont pas ça dans la tête, eux ils ont une relation qui diminue. C’est la ligne plus foncée. Ils pensent que passé un certain seuil, fumer plus ou un peu moins est pareil, le risque ne change pas.

Si on compare la croyance et la réalité, on voit qu’il y a un décalage.

Ce qu’il se passe c’est que les décisions seront prises sur la base de ce modèle (faussé), alors ce sera pas la bonne croyance.

À droite, on voit ce que pensent les gens de B2, on voit que c’est assez comme la population (celle en bleue). Alors que la réalité c’est celle en noir.

22
Q

Qu’est-ce que le Modèle des croyances relatives à la santé?

A
  • historiquement le premier modèle socio-cognitif
  • conçu à partir des années 50 par des psychologues sociaux praticiens travaillant pour le service de santé publique américain
  • Codfrey M. Hochbaum, S. Stephen Kegeles, Howard Leventhal, and Irwin M. Rosenstock.
  • approche centrée sur « l’individu agissant » en fonction de sa représentation de la réalité (racines Lewinienne et phénoménologiques)
23
Q

Schéma de Rosenstock

A

Schémas qui reprennent tjrs les mêmes concepts.

Assez élaboré pour convenir à pleins de situations, il peut servir comme support d’interventions sur pleins de choses (cigarettes, spots de prévention) à bcp sont basés sur le concept du HBN.

24
Q

Exemple de recherche validant le HBM : Blue et al., 2002.

A
  • 207 salarié-e-s d’une université ont rempli un premier questionnaire dans le cadre d’une campagne de vaccination contre la grippe
  • A la n de la campagne ils/elles indiquent s’ils/elles ont ou pas réalisé la vaccination.
25
Q

Une première revue de Janz et Becker (1984) confirme la validité du HBM

A

On voit que pour la vulnérabilité perçue, il y a une effet significatif sur le comportement de santé ~80%. Il y a aussi un effet perçu de la vulnérabilité, de l’effet des bénéfices de l’action.

On avait déjà une méta-analyse qui montrait que le HBM avait bcp de bénéfices.

Rapport de causalité : comportements mesurés bien après la cognition. Toutes les études montraient des effets significatifs qui justifient l’utilisation massive en HBM pour la santé pour inciter les personnes à par exemple se faire vacciner.

26
Q

Mais une méta-analyse plus récente de Carpenter (2010) sur 18 études prospectives tempère cette conclusion

A

Ce qu’on constate : l’effet barrière et l’effet bénéfice est très fort.

La taille d’effet n’apparait pas bien. Catégoriser masque certains éléments. Mais les méta-analyses montrent la taille d’effet, on voit sa valeur et si c’est significatif.

La méta-analyse d’avant a surévalué la méthode HBM.

27
Q

Ce qui a été validé : ce qui va entrainer un comportement de santé :

A

On communique bcp sur la gravité et la vulnérabilité et on peut se questionner pour savoir si ça apporte qch d’utiliser cela. Car peut être ça ne va pas jouer un rôle dans l’engagement de la personne pour la prévention. Pour le HBM, la représentation de la maladie : les couts et les bénéfices du comportement sont des variables qui auront plus d’impact.

28
Q

Quelles sont les limites du HBM?

A
  • faible valeur empirique
  • un modèle du sens commun amélioré ?
  • dénition sommaire des concepts
  • se limite à (mal) prédire une tendance comportementale globale d’approche / évitement de la maladie
  • a peu évolué

Mais même s’il n’est pas bien, il est très connu

29
Q

Qu’est-ce que la théorie de l’action planifiée?

A
  • une théorie d’abord scientique puis pratique
  • développée depuis le début des années 70 par deux auteurs : Martin Fishbein et Icek Ajzen (première version theory of reasoned action)
  • l’une des théories les plus connues et étudiées en psychologie (3,248 articles dans Psycinfo, contre 1,658 pour le HBM)
  • en réaction au faible pouvoir prédictif des approches croyances -> comportements
  • un des postulats forts : les croyances ne prédisent pas les comportements mais les intentions comportementales
  • Graphiques de la théorie de l’action planifiée à savoir dessiné de tête è modélisation de la théorie
  • A droite : comportements, ce qui prédit le comportement. L’intention = motivation à faire le comportement et ce n’est pas la décision. C’est une force qui me met vers le comportement. La 1er action va donner, on aura un ressenti globale qui peut être important d’un sens ou d’un autre. si l’opinion est pas clairement énoncé, alors il y a une ambiguïté.
30
Q

Exemple avec les réglementations routières?

A

Pour nous sensibiliser à la question. Intention de respecter les réglementations routières, motivation à respecter les règles de la route. On voit qu’il y a des corrélations entre les variables socio-démographiques, l’expérience routière et le statut socio-économiques. Plus les personnes sont âgées, plus elles respectent et les filles ont plus d’intentions de respecter les règles que les garçons.

Plus on maitrise, plus on pense qu’on peut se permettre de pas respecter.

On voit que qd on contrôle avec l’attitude et le contrôle comportementale perçu, on voit que l’effet des variables distantes est proche de 0, on passe de 0.20 à 0.07. Alors que l’attitude et le contrôle comportementale prédisent l’attention.

31
Q

Rappel concernant la question du intention-behavior gap

A

22% de la variance du comportement expliquée par l’intention, alors que l’intention est supposée être le prédicteur immédiat du comportement.

32
Q

Qu’arrive bien à faire la TPB?

A
  • La TPB discrimine très bien les acteurs-enclins des abstinents-non enclins, mais très mal les acteurs-enclins des abstinents-enclins
  • Autrement dit :
    • on sait discriminer ceux qui ont l’intention de ceux qui ne l’ont pas,
    • ceux qui n’ont pas l’intention ne le font pas (d’où ef**ficacité des interventions qui générent l’intention),
    • parmi ceux qui ont l’intention seule une partie va le faire (d’où taille d’effet des interventions modeste),
    • la TPB ne permet pas de prédire laquelle.
33
Q

Que peut-on dire de l’implémentation?

A
  • Parmi ceux qui ont l’intention de faire quelque chose seule une partie va le faire (d’où taille d’effet des interventions modeste)
34
Q

Pourquoi peu de personnes vont réellement le faire?

A
  • des facteurs situationnels peuvent empêcher l’intention de se réaliser.
  • la personne peut changer d’avis.
  • une intention est un projet global qui doit passer par une phase d’implémentation pour être transformée en acte(s).
    • c’est cette hypothèse qui a récemment fait le plus l’objet de recherches à travers la notion d’implémentation de l’intention
35
Q

Quelle est l’Hypothèse de Gollwitzer ?

A

la réalisation d’une décision sera facilité si la personne associe celle-ci à un plan «si-alors» dans lequel elle précise quand, où et comment elle va réaliser le/les comportements qui lui permettent de faire ce qu’elle a décidé.

36
Q

Evolution de l’usage des modèles socio-cognitifs en promotion de la santé et en prévention des risques

A
37
Q

Evolution de l’usage des modèles socio-cognitifs en promotion de la santé et en prévention des risques

A
38
Q

Evolution de l’usage des modèles socio-cognitifs en promotion de la santé et en prévention des risques

A
39
Q

Campagne pour Love Life

A
40
Q

L’usage des modèles socio-cognitifs en promotion de la santé et en prévention des risques, Exemple d’intervention sur des groupes d’enfants

A
  • Intervention : les enfants réalisent des exercices les amenant à rééchir et élaborer sur les croyances.
  • Contrôle : les enfants réalisent des exercices similaires, mais les informations présentées portent sur le certicat d’aptitude cycliste
41
Q

L’usage des modèles socio-cognitifs en promotion de la santé et en prévention des risques, Exemple d’intervention sur des groupes d’enfants

3 types de beliefs

A

The behavioural beliefs

  • ‘Wearing a helmet while cycling to and from school would make me take care’
  • ‘Wearing a helmet while cycling to and from school would protect my head in an accident’.

The normative beliefs

  • ‘My parents think that I should wear a helmet while cycling to and from school’ ‘Most of the other cyclists at school think that I should wear a helmet while cycling to and from school’.

The control beliefs

  • ‘Even if I wanted to, I might not be able to wear a helmet while cycling to and from school because doing up and adjusting the straps is too much effort’ ‘Even if I wanted to, I might not be able to wear a helmet while cycling to and from school because there is nowhere to keep it during lessons’.
42
Q

L’usage des modèles socio-cognitifs en promotion de la santé et en prévention des risques, Exemple d’intervention sur des groupes d’enfants

Résultats

A
  • les auteurs montrent un effet bénéque de l’intervention sur certaines croyances liées au port du casque.
  • effet comportemental :
43
Q

L’usage des modèles socio-cognitifs en promotion de la santé et en prévention des risques

Exemple d’intervention basée sur l’implémentation de l’intention

A
  • centre de planning familial
  • les jeunes lles sont affectées aléatoirement à un groupe « implémentation » ou un groupe témoin
  • Implémentation : questionnaire questionnaire TPB plus questionnaire sur où quand comment elles pensent utiliser leur contraceptif
  • témoin : questionnaire TPB uniquement
44
Q

L’usage des modèles socio-cognitifs en promotion de la santé et en prévention des risques

Exemple d’intervention basée sur l’implémentation de l’intention

Résultats

A