2. consommateur et producteur, offre et demande Flashcards

(33 cards)

1
Q

la théorie du consommateur :

A

les consommateurs sont ceux qui demande les biens / services / soins de santé

les producteurs : ceux qui offrent les biens / services / biens de santé

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2
Q

Pour le consommateur, son objectif est de _______ sa satisfaction, son ______dans les limites de son budget

utilité
Rationnel

A

maximiser, utilité

Utilité : maximisation de sa satisfaction par rapport aux biens, combien il est prêt à donner pour être dans une certaine situation

Rationnel : cohérent, l’individu connait ses préférence et les classes, base sur la satisfaction retirée de la consommation du bien

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3
Q

vrai ou faux : la rationnalité du consommateur implique que celui-ci élabore un classement de ses préférences sur base d’un ensemble d’axiomes donc d’évidences logiques qui peuvent être démontré

A

faux, ils ne peuvent pas être démontré

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4
Q

l’axiome de comparaison
l’axiome de transitivité
l’axiome de dominance
l’axiome de substituabilité
l’axiome de stricte convexité

A

l’axiome de comparaison : classe en fonction de ses préférences ou de son indifférence, priorité entre ses options

l’axiome de transitivité : étant donné qu’un bien A est meilleur qu’un bien B, mais que le bien B est préférable à C, le A sera forcément meilleur que le C

l’axiome de dominance : on fait le choix le plus rentable , préférence pour consomme davantage

l’axiome de substituabilité : si j’ai deux paniers qui proposent la même chose, on peut se priver d’un panier si l’autre en a plus, on substitue un bien avec un autre

l’axiome de stricte convexité : si indifférence dans le choix des paniers -» préférence pour la moyenne ( si 8 film ou 2 chanson ou 8 chanson ou 2 film -x 5 chanson et 5 films)

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5
Q

la courbe d’indifférence (voir graphique) :

A
  • la courbe représente le même niveau de satisfaction
  • Point M : : la moyenne se trouve dans une courbe d’indifférence plus élevé, courbe plus élevé = meilleur satisfaction
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6
Q

la carte d’indifférence qui rassemble l’ensemble des courbes d’indifférences :

A
  • le niveau de satisfaction est croissant ; + on s’éloigne de l’origine + on augmente le niveau d’utilité mathématiser et construire une fonction d’utilité qui est croissante
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7
Q

la fonction d’utilité (U) vs l’utilité marginale (voir graphique) :

+ exemple

A

la fonction d’utilité : attribuer une valeur aux différents panier de consommation de telle sorte que les paniers les plus désirables ont des valeurs des courbes d’indifférence supérieures à ceux qui le sont moins

l’utilité marginale : décroissante, une unité supplémentaire de consommation apporte moins d’utilité ou de plaisir que la consommation de l’unité précédente

ex. manger 2 glace c’est super mais 3 c’est trop ou si j’ai soif je vais boire mais je vais arrêter après le troisième verre

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8
Q

les contraintes du consommateur : contraire budgétaire (voir graphique) :

A

le consommateur doit s’arrêter sur les choix accessibles qui lui offrent la satisfaction la plus élevé. Le revenu est une contrainte limitant sa consommation

  • Point A et C sur une courbe d’indifférence I1 qui est la plus basse : pour le même prix, le taux de satisfaction sera le même au même prix
  • Point E : au même prix ou la courbe d’indifférence la plus haute I2 donc, plus de satisfaction. Le point E est le meilleur car la courbe d’indifférence I3 n’est pas accessible
  • Point E : point de tangence entre la droite budgétaire et la courbe d’indifférence (panier idéal)
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9
Q

Quel est le rôle du prix :

A

ce qui doit être donné en échange d’un bien ou d’un service. Le prix indique la rareté du bien. Plus il est rare, plus il est cher.

Le prix d’équilibre est déterminé par rapport à la fréquence de demande et d’offre du bien / service.

Le prix donne une indication sur l’état de l’économie

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10
Q

la demande :

A

la quantité de bien ou de service qu’agent économique / entreprise décide d’acheter à un prix donné étant donné sa contrainte budgétaire

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11
Q

courbe de demande individuelle d’un bien (voir graphique)

A
  • pour un individu, voir quelle quantité d’un bien il va demander par rapport à un prix
  • fait varier un prix et on voit combien de tel produit je demande par rapport à cela
  • la courbe est incliné négativement car si le prix augmente, la demande baisse, la relation entre le prix et la demande est inverse
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12
Q

la courbe de demande collective d’un bien (voir graphique) :

+ exemple

A
  • la somme horizontale des courbes de demande ind.
  • l’addition entre plusieurs courbes de demande ind. qui sert à représenter la demande du marché en général

ex. lorsque le prix est de 4$ Théo est prêt à en acheter 8 et Lucie 4 donc la demande collective est de 12 mais il y a d’autre élément qui influence le niveau de la demande car Lucie a un budget de 20$ et Théo 85 $ donc facteurs variables déterminant le niveau de la demande

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13
Q

les variables déterminant le niveau de la demande :

A

le niveau du prix (plus le prix est élevé, moins il y a de demande), les revenus des consommateurs, les prix des biens substitués, les prix des biens complémentaires

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14
Q

les biens substitues vs complémentaires :

A

les biens substituts sont des biens qui peuvent substitués, remplacé par un autre bien en retirant la même satisfaction ex. Pepsi et coca

les biens complémentaires : biens dont il ne serait pas logique d’acheter l’un sans l’autre ex. raquette de tennis alors balle de tennis

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15
Q

les causes de déplacement de la courbe de la demande (8) :

A

différence de revenu : si j’ai + d’argent, je vais consommer + ce qui va déplacer ma courbe vers la droite. À l’inverse vers la gauche

différence du prix de substitut : une hausse du prix de l’un des biens accroit la demande de l’autre ex. Pepsi baisse et coca augmente + Pepsi

différence du prix du complémentaire : l’accroissement de l’un des deux biens va diminuer la demande pour l’autre ex. prix raquette augmente, - achète balle

différence de la composition de la population : en fonction de la population, la demande peut augmenter ex. population vielle + appareil auditif

différence des habitudes culturelles / préférences : ex. femme plus au travaille donc + garderie

différence de l’information : quelles info reçoit le consommateur ex. tv il faut manger 5 légumes, augmente le nombre de légume acheté

différence des conditions d’accès au crédit : faut savoir accéder aux crédits pour acheter une maison, banque va pas toujours offrir le prêt

différence des anticipations : si j’anticipe que je risque d’aller au chômage, je vais diminuer ma consommation

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16
Q

déplacement de la courbe de demande vs mouvement le long de la courbe :

A

mouvement : la courbe de la demande est donnée à des prix inférieurs correspond une consommation supérieur

déplacement : le prix est donné, la consommation est supérieur

les deux effets se combinent : déplacement de la courbe de demande et mouvement le long de la courbe. Augmentation de la demande et le prix qui a baissée

17
Q

Objectif du producteur :

A

objectif : maximiser ses profits et de minimiser les coûts

18
Q

profit, chiffre d’affaires et couts totaux

A

profit : au chiffre d’affaires moins les couts totaux

couts totaux : couts qui ne dépendent pas de la quantité produite ex. si tu vends 10 ou 20 auto , le prix de location de l’immeuble est le même.

Les couts variables : varient proportionnellement avec l’activité de l’entreprise ex. produit plus auto, donc utilise plus d’électricité

chiffre d’affaires : recette totales. Le prix de vente unitaire multiplié par les quantités vendus. Correspond aux bénéfices qui influence les coûts variables et fixe

19
Q

la loi de rendements décroissants :

A

lorsqu’on augmente un peu facteur de production alors que les autres restent fixes, la productivité baissera à un moment et le rendement de ses facteurs de production baisse

ex. ex. 1h 10 pages 2 H 12 pages mais au bout de 3h on n’est pas aussi productif, même en gardant le même cerveau (facteur fixe)

20
Q

la loi de rendements décroissants : le producteur :

A

le producteur a envi de maximiser le profit, savoir la quantité à produire qui dépend de la recette marginale et le cout marginale

21
Q

recette marginale vs cout marginal :

A

recette marginale : recette tirée par la firme de la vente d’une unité supplémentaire : ex. je vend 10 pizza à 5$, je vend encore une pizza donc le rm est 5$

cout marginal : coût de production de l’unité de bien supplémentaire : on voit combien cela m’a couté de produire l’unité de bien supplémentaire

Comparaison :

Si RM » CM, l’entreprise peut augmenter sa production car elle se fait des bénéfices, mais elle pourrait encore plus en faire

Si RM « CM : l’entreprise est en perte, il faut diminuer la production pour diminuer les couts

Si RM = CM : on est au profit maximal, on ne sait pas faire mieux sinon ce serait en perte

22
Q

L’offre et le courbe d’offre ind. d’un bien (voir graphique) :

A

quantité d’un bien / service qu’un agent économique est prêt à offrir aux différents prix possibles.

quand le prix augmente, l’entreprise augmente la quantité à vendre, car elle va en tirer bénéfice

le prix augmente, la quantité offerte aussi, et si les prix baisse, la quantité offerte baisse aussi

23
Q

la courbe de l’offre collective (voir graphique)

variables déterminants le niveau de l’offre
déplacement de la courbe d’offre
causes des déplacements
déplacement de la courbe d’offre vs mouvement le long de la courbe

A

la sommes horizontales de courbes d’offres ind. on peut voir à un prix donné combien les entreprises seraient prêt à offrir

variables déterminants le niveau de l’offre : niveaux du prix, cout de production (cout de travail, matière première), prix facteurs de contribution (dépend du fournisseur)

déplacement de la courbe d’offre : prix + donc + quantité : vers la droite -» augmente l’offre et contraire

cause des déplacements : diminue, prix des inputs, de la technologie, de l’environnement naturel, dans la disponibilité de crédit, des anticipations

déplacement de la courbe d’offre vs mouvement le long de la courbe :

  • mouvement : la courbe d’offre étant donnée, la quantité offerte augmente à des prix plus élevés
  • déplacement : le prix étant donné, la quantité offerte est supérieur
24
Q

la loi de l’offre et de la demande :

A

prédire les conséquences de certains changements

quand l’offre augmente plus que la demande, la quantité de biens à vendre est trop élevé et les prix baisses. Lorsque l’offre est restreinte mais que la demande est grande, les prix augmentent

mécanisme par lequel le prix et les quantités échangées d’un bien économique se forment sur son marché

25
loi de l'offre et de la demande : exemple avec fève de cacao :
augmentation du prix de fèves de cacao : à chaque augmentation, la quantité de chocolat souhaitent vendre baisse, coute plus cher donc déplacement de la courbe vers la gauche donc le chocolat coute plus cher et moins de produit
26
vrai ou faux : si les prix ne correspondent pas à celui de l'équilibre et qu'il est éventuellement trop élevé = on va revenir vers l'équilibre car les entreprises font concurrence et pour pas se retrouver avec du stock ils vont baisser les prix
vrai
27
vrai ou faux : si le prix est plus bas que le prix d'équilibre, les consommateurs sont en concurrence donc ils vont proposer un prix plus élevé
vrai
28
vrai ou faux : c'est une petite partie des consommateurs et des entreprises qui vont faire agir, et grâce à leur interactions, il va y avoir un prix d'équilibre
faux, tous les consommateurs et entreprises
29
valeur d'échange vs valeur d'usage :
valeur d'échange : le prix, à combien s'effectue l'échange valeur de l'usage : l'utilité qu'on va retirer du bien
30
C'est quoi le paradoxe de l'eau et du diamant :
sans l'eau on ne peut pas vivre, la valeur d'usage de l'eau est très élevé alors qu'on peut se passer du diamant. Cependant, le prix du diamant est plus élevé que l'eau c'est la valeur marginale de l'objet
31
valeur marginale de l'objet (voir graphique) + comparaison avec l'eau :
combien on est prêt à payer pour avoir une quantité supplémentaire pour ce bien concept de rareté : si on était dans le désert et qu'on voulait de l'eau, ce serait cher, on vit en abondance d'eau donc on n'est pas prêt à payer énormément pour avoir un verre d'eau supplémentaire
32
un regard critique sur la théorie du choix du consommateur : quatre critiques :
1. dans quelle mesure les hypothèses du modèle de base correspond à la réalité : En fait, le processus décisionnel réel du consommateur est différent mais le modèle de base demeure un instrument de révision fiable 2. les individus savent vraiment ce qu'ils aiment ? certaines chose oui et d'être non, influencé par l'effet de mode mais ça ne veut pas dire que ça remet en cause la théorie du consommateur 3. impossible de connaitre tous les prix de chacun des biens du marché : face aux prix on a toujours ce comportement où la demande augmente si le prix baisse 4. cette relation de préférence - prix est une relation complexe car il y a aussi les biens de luxe : on a un effet snobisme d'aimer les produits de luxe car ça donne un certain statut pour signaler qu'on a de l'argent
33
l'économie comportementale de Daniel Kahneman et les évidences (3) :
Il a débuté la branche comportementale de l'économie. Il a fait des tests de labo pour peaufiner la théorie du choix du consommateur : effet de dotation intitulé : les biens en notre possession ont une valorisation plus élevé. On tient à ce qu'on a aversion de la perte : la perte affecte l'individu ex. perd 100 $ triste car juste 1000 mais qlqun qui trouve 100 et qui avait 900 va être content biais en faveur du statut quo (point de référence de la personne) : compare sa situation présente à celle passée ou avec la situation souhaitée. L'utilité ne dépend pas uniquement du niveau absolu de la consommation mais surtout du point de référence. Préférence pour la solution par défaut