11. Flashcards
Quel est le crime moins rapporter?
La violence sexuelle est le crime le moins rapporter
Pourquoi la violence sexuelle et le crime le moins rapporter?
Non pas parce que les victimes pensent que la victimisation sexuelle est acceptable mais plutôt car ils sont réticents à s’engager dans le système de justice pénale car :
Peur de ne pas être cru
Ils se blâment
Désautonomisation
Victime secondaire
LES VICTIMES SONT INTÉRESSÉES PAR LA JUSTICE RÉPARATRICE :
–Celle-ci peut être en addition à la justice pénale ou comme alternative aux tribunaux.
–Surtout lorsque la victime connaît son agresseur.
–Cependant il y a un manque d’accès à l’information sur les programmes de justice réparatrice.
RÉSISTANCE : À la justice réparatrice
–Opposition public et professionnel.
–Préoccupation pour la sécurité de la victime et la victimisation secondaire.
–Spécialement en matière de violence basée sur le genre.
-Déséquilibre des pouvoir : on a peur que la justice réparatrice apporte une occasion d’encore exploité la victime
TOUTEFOIS ne pas donner accès à la justice réparatrice à la victime fait en sorte que on lui enlève encore quelque chose.
GUÉRISON :
–Les victimes participent à la justice réparatrice pour leur propre guérison personnel
o Bénéfice thérapeutique pour les victimes.
o S’inscrit dans le processus de réadaptation et de rétablissement. (Estime de soi, fierté, Efficacité, reprise de contrôle, automatisation. )
–Réponse aux besoins d’identité des victimes et au besoin d’efficacité et de contrôle.
RECONNAISSANCE :
–Reconnaissance de l’innocence de la victime.( arrêtent de se blâmer. Ce sent cru et entendu.)
–Reconnaissance du tort commis par l’agresseur. ( Remettre la faute sur l’agresseur.)
–Reconnaissance = réparation et satisfaction.
(Source de multiple réparation : rencontre avec l’agresseur lui-même, un agresseur suppléant ou bien la communauté. Réponse aux besoins d’acceptation de victimes/de connexion positive avec les autres.)
L’INFORMATION ET LA COMPRÉHENSION.
–« Pourquoi moi vite? Qu’est-ce que j’ai fait? Pourquoi? »
–Comprendre/donner un sens au monde qui nous entoure. (Idée contrôle sur sa vie.)
–Le dialogue avec l’agresseur ou l’agresseur suppléant permet à la victime d’obtenir des réponses à plusieurs de ses questions.
–Réponse aux besoins des victimes de comprendre la réalité.
PRÉVENTION/GARANTIE DE NON-RÉPÉTITION.
–La victime pense que la confrontation de l’agresseur avec les conséquences de la victimisation peut:
- Prévient leur propre révictimisation dans le futur (reprendre le pouvoir).
- Prévient la victimisation des autres.
-réhabilitation de l’agresseur.
-aider les autres victimes à guérir et à éviter de future victimisation.
-Réponse aux besoins de sécurité des victimes
LES DISCOURS DE VICTIMES RESSEMBLE AUX BESOINS FONDAMENTAUX DE L’HOMME :
– Identité positive
– Efficacité et contrôle
– Indépendance
– Connexion positive avec les autres à
– Compréhension de la réalité
– Sécurité
JUSTICE RÉPARATRICE COMPLÉMENTAIRE À LA JUSTICE PÉNALE :
–Pas nécessairement une alternative à la justice pénale mais bien complémentaires.
–Encourage la dénonciation : certaines victimes qui n’avaient pas encore rapporté le crime à la police se sont sentis prête à le faire à la justice réparatrice.
–Parfois les victimes ont choisi le dialogue victime-contrevenants au lieu de poursuites pénales ou après une condamnation pénale (complément).
–Parfois l’agresseur des victimes étaient décédés : la poursuite était donc pas une option pour elle ni le dialogue avec leur propre agresseur.
–Multiples sources de forme de réparation.
–flexibilité.
–Réponse aux besoins des victimes plutôt qu’au conséquences de l’infraction.
CRITÈRES/CONDITIONS DE LA JUSTICE RÉPARATRICE:
–Processus à l’initiative de la victime : participation à la JR est volontaire, mais lui donner l’information sur la JR est obligatoire.
–Préférablement intégré dans le soutien victime :Orienter dans le processus sur le besoin de victimes (reconnaître la victimisation multiples). Personnel hautement qualifié, spécialisé en victimologie.
Histoire Éric
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Histoire Dominique
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