Vocabulaire Flashcards

1
Q

Que veut dire pédagogie ?

A

C’est la relation enseignant/élève

Un pédagogue réfléchit à comment il enseigne.

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Q

Qu’est-ce que veut dire didactique ?

A

C’est la relation enseignant/savoir = représente l’enseignement.
Un didacticien organise les savoirs, les procédures, la progressivité.

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3
Q

Qu’est-ce que les attendus de fin de cycle ?

A

C’est la liste de ce que les enfants doivent être capable de faire en fin de C1, C2, C3.

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4
Q

Qu’est-ce que veut dire attitude ?

A

C’est la manière de faire, le comportement que l’on demande aux élèves.
On demande très souvent aux élèves d’être dans une attitude active.

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5
Q

Qu’est-ce qu’un consigne ?

A

C’est quand on indique à l’élève la tâche qui va devoir faire (elle peut être orale ou écrite). Elle doit être courte et précise. Elle implique forcément un travail de compréhension de l’élève.
A l’oral, on doit la dire de plusieurs manières.
A l’écrit, on doit la reprendre à l’oral puis la reformuler.
Il est indispensable de faire reformuler la consigne par les élèves.
La consigne vient toujours après le dispositif.
Il est important d’expliquer les mots de la consigne (particulièrement les verbes).
Chaque mot a son importance dans la consigne, attention à leur choix.

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6
Q

Qu’est-ce que la cognition ?

A

C’est ce qui représente le savoir = c’est ce que l’enfant sait.

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7
Q

Qu’est-ce que la metacognition ?

A

C’est lorsque je suis conscient que je sais.
C’est quand je suis capable d’expliquer ce que j’ai fait et comment je l’ai fait à quelqu’un d’autre. = faire preuve de metacognition

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8
Q

Qu’est-ce qu’un conflit sociaux-cognitif ?

A

C’est être en conflit avec d’autres élèves sur le savoir.

C’est échanger avec les autres pour expliquer et argumenter ses réponses/son travail.

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9
Q

Qu’est-ce que la contextualisation, la decontextualisation, la recontextualisation ?

A

La contextualisation c’est associé un savoir dans un contexte.
La decontextualisation c’est travailler sur un savoir précis.
La recontextualisation c’est réutiliser ce savoir dans un nouveau contexte.

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10
Q

Qu’est-ce qu’un apprentissage ?

A

Un apprentissage peut se faire par :
- répétition : alphabet, tables de multiplication
- immersion : les langues étrangères
- imitation : gestes, parole, mimique
- association : une musique, un coin regroupement, les rituels
- tâtonnement (démarche scientifique) :
• je pose un problème
• je fais des hypothèses
• je valide ou invalide ces hypothèses
-analyse (démanche analytique) :
-synthèse : chacun travaille sur un élément spécifique/précis de la notion puis on regroupe chaque travaux pour avoir une connaissance complète de la notion

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11
Q

Qu’est-ce qu’une compétence ?

A

C’est acquérir pour l’élève des savoirs.
Une compétence renvoie à toutes les compétences mentales = les savoirs, les savoirs faire, les savoirs être.
Une compétence est du côté de l’élève.
Il existe des compétences générales et des compétences spécifiques.
Les compétences sont dans les programmes et font le lien avec la notion d’évaluation.
Il faut réinvestir une compétence pour qu’elle soit acquise.

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12
Q

Que veut dire différenciation ?

A

C’est le fait d’organiser sa classe pour que chaque élève apprenne le mieux possible.

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13
Q

Que veut dire dispositif ?

A

C’est l’organisation précise que l’on va utiliser en séance (voir même séquence).
Ex : varier oral/écrit, l’individuel/ binôme/ collectif/ groupe.

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14
Q

Que veut dire étayage ?

A

(Soutenir, aider)

C’est l’intervention de l’adulte dans l’apprentissage de l’élève. On est constamment dans l’étayage.

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15
Q

Quels sont les six fonctions de l’étayage selon Jérôme Bruner ?

A
  • l’enrôlement : c’est susciter l’adhésion de l’enfant aux exigences de la tâche
  • la réduction des degrés de liberté : c’est simplifier la tâche en réduisant la difficulté du processus de résolution
  • le maintien de l’orientation : c’est faire en sorte que l’enfant ne change pas d’objectif durant la résolution de la tâche et qu’il conserve le but initialement fixé
  • la signalisation des caractéristiques dominantes : faire prendre conscience à l’enfant des écarts qui existent entre ce que l’élève réalise et ce qu’il voudrait réaliser
  • le contrôle de la frustration : essayer de maintenir l’intérêt et la motivation de l’élève en utilisant divers moyens et en se présumant d’un trop grande dépendance
  • la démonstration ou présentation des modèles de solution : présenter sous un forme «stylisée» la solution de l’élève, pour que l’élève tente de l’imiter en retour sous la forme appropriée
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16
Q

Que veut dire l’institutionnalisation ?

A

C’est une phase de la séance où l’on va se poser pour demander à la classe «qu’est-ce que l’on a travaillé ?», «qu’est-ce que l’on a compris ?»

Cela nous permet ensuite de voir comment l’on va rédiger notre leçon (= dessin, carte mentale)

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17
Q

Que veut dire évaluation diagnostique ?

A

Elle a lieu avant la séquence. C’est celle de départ pour voir où en sont les élèves.
Elles sont analysées par l’enseignant pour voir les idées reçues, les acquis.
Cela va donner les clés à l’enseignant pour guider sa séquence.

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18
Q

Qu’est-ce que l’évaluation formative ?

A

Elle a lieu pendant la séquence. C’est celle qu’on va faire en cours d’apprentissage (des questions, des exos, etc).
Elle permet de voir les élèves en difficulté et mettre en place la différenciation.

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19
Q

Qu’est-ce que l’évaluation critériée ?

A

Elle permet de travailler sur des critères (items).
Par exemple : la production d’écrit.
Il est important d’utiliser la grille de critères 2 fois :
- une fois pour se corriger (1er jet) = peut être fait en auto-évaluation, par l’enseignant ou en co-évaluation
- une deuxième fois pour voir ce que l’on a corrigé (2e jet)

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20
Q

Qu’est-ce que l’évaluation sommative ?

A

Elle a lieu après la séquence. Elle se fait à la fin de la séquence (qu’on peut coller dans un cahier d’évaluation par exemple).
Puis, on va utiliser cette évaluation pour utiliser les acquis des élèves.

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21
Q

Qu’est-ce que l’évaluation certificative ?

A

C’est une évaluation qui permet d’entrer dans les collèges ou pour les concours par exemple.

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22
Q

Qu’est-ce que l’évaluation par contrat de confiance ?

A

Cette évaluation permet d’évaluer les élèves mais les élèves savent sur quoi ils vont être évalués. On leur donne les items/critères qui seront à l’évaluation.
Par exemple on peut donner juste avant l’évaluation par contrat de confiance une fiche exercices qui aura les mêmes items que ceux de l’évaluation qu’on leur donnera.

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23
Q

Qu’est-ce que la différenciation ?

A

C’est le fait d’organiser sa classe pour que chaque élève apprenne le mieux possible.

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24
Q

Qu’est-ce qu’un dispositif ?

A

C’est l’organisation précise que l’on va utiliser en séance voir même en séquence.
C’est par exemple : varier l’oral et l’écrit, l’individuel / collectif / groupe

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25
Q

Qu’est-ce que l’institutionnalisation ?

A

C’est une phase dans une séance où l’on va se poser pour demander aux élèves qu’est-ce qu’on a travaillé et ce qu’on a compris.
Cela amène à réfléchir comment rédiger notre leçon.

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26
Q

Qu’est-ce qu’un objectif ?

A

C’est «ce que je me fixe» en tant qu’enseignant pour arriver à «ça». C’est quelque chose de précis.
L’objectif doit être donné aux élèves de façon claire, avec des mots simples.
Il est intéressant de donner aux élèves les objectifs et non pas les matières travaillées car cela permet de donner du sens aux apprentissages pour les élèves.

27
Q

Qu’est-ce qu’un obstacle ?

A

C’est toutes les difficultés que peuvent rencontrer les élèves = ce qui va les gêner.

28
Q

Qu’est-ce qu’une procédure ?

A

Cela correspond à «comment l’élève s’y prend pour arriver à faire quelque chose» = méthode

29
Q

Qu’est-ce qu’une phase (d’apprentissage) ?

A

C’est ce que l’on va retrouver dans la séance.

30
Q

Qu’est-ce que la remédation ?

A

C’est la phase finale que l’on retrouve à la fin d’un apprentissage et qui permet de travailler encore sur les erreurs que peuvent encore rencontrer certains élèves.

31
Q

Qu’est-ce que le savoir ?

A

Le mot savoir fait référence aux savoirs, savoir-faire, savoir-être.
Il existe :
- le savoir savant : c’est tout le savoir lié à une discipline
- le savoir à enseigner :
- le savoir enseigné :

32
Q

Qu’est-ce que la surcharge cognitive ?

A

C’est le lien avec la mémoire = c’est quand l’élève va «lâcher», va faire ce qui est demandé mais par exemple a oublié la consigne, etc
C’est un trop plein d’informations.

33
Q

Qu’est-ce qu’une situation problème ?

A

C’est une situation donnée qui va demander à chercher des procédures (différentes) pour résoudre cette situation.
Elle peut être donnée en groupe.

34
Q

Qu’est-ce qu’une variable (didactique) ?

A

C’est un élément que je vais pouvoir changer (= faire varier).
C’est-à-dire tout ce que l’on met en place pour différencier.

35
Q

Qu’est-ce que le Socle Commun ?

A

C’est la base définie par le gouvernement avec le travail à faire. Ce sont les capacités minimales que l’enfant doit acquérir au cours de toute sa scolarité.

36
Q

Quel est le domaine 1 du Socle Commun ?

A

Les langages pour penser et communiquer.

C’est le français, les langues, le corps, l’art, les mathématiques…

37
Q

Quel est le domaine 2 du Socle Commun ?

A

Les méthodes et outils pour apprendre.

C’est l’organisation du travail, documents, maitrise des outils numériques (recherche), outil d’écriture (dico, traitement de texte, correcteur)

38
Q

Quel est le domaine 3 du Socle Commun ?

A

La formation de la personne et du citoyen.

C’est l’histoire des arts, l’EMC…

39
Q

Quel est le domaine 4 du Socle Commun ?

A

Les systèmes naturels et les systèmes techniques.

Ce sont les sciences, la géographie (développement durable), l’EPS (la santé), les mathématiques

40
Q

Quel est le domaine 5 du Socle Commun ?

A

Les représentations du monde et de l’activité humaine.

C’est l’histoire-géographie, les repères spatiaux, les œuvres littéraires, les langues étrangères…

41
Q

Qu’est-ce que la progression ?

A

Elle se situe par rapport à ma classe et mes élèves.
C’est «comment je vais arriver à ma compétence».
La progression se trouve dans une séquence.

42
Q

Qu’est-ce qu’une programmation générale?

A

Elle fait référence aux programmes.
On va s’appuyer sur les programmes officiels pour organiser de manière logique l’ordre chronologique des compétences (des savoirs).
Elle fait référence au conseil de cycle = on se met d’accord avec les autres enseignants sur la programmation de l’année.

43
Q

Qu’est-ce qu’une programmation de classe ?

A

C’est comme une programmation générale mais cette fois c’est «comment moi, dans le classe, je vais programmer toutes ces notions».
Elle fait le lien avec les périodes.

44
Q

Qu’est-ce que l’étayage ?

A

C’est l’intervention de l’adulte dans l’apprentissage de l’élève.

45
Q

Quelles sont les différentes pédagogies qui existent ?

A
  • pédagogie différenciée : on pense en se disant que chaque élève est différent (prend pas le même temps, procédure différente…) = l’enseignant s’adapte
    Ex : fiches avec activités de niveaux différents
  • pédagogie de projet : à un moment dans la classe on un projet (pluridisciplinaire) et on a un but avec une échéance, une date butoir.
    On va aller chercher plusieurs matières, disciplines, compétences avec un même but.
    Ex : en français, projet sur un auteur (une expo), une présentation d’un événement historique devant les parents
46
Q

Quelles sont les 3 démarches (d’apprentissage/ d’enseignement) existantes ?

A

Transmissive, déductive et inductive

47
Q

A quoi correspond la démarche transmissive ?

A

L’enseignant connaît très bien le savoir/ contenu et le transmet aux élèves qui n’y «connaissent rien».
Les élèves sont plutôt dans une forme passive et doivent ensuite apprendre ce contenu et le réutiliser.

48
Q

Quels sont les points positifs d’une démarche transmissive ?

A

La rapidité

L’impression d’avancement dans la progression

49
Q

Quels sont les points négatifs d’une démarche transmissive ?

A

Favorise l’élite = on ne prévoit pas de différenciation donc ceux qui arrive pas à suivre sont mis de côté, «exclus»

50
Q

A quoi correspond la démarche déductive ?

A

L’enseignant va chercher des documents/ situations avec des tâches / des étapes qui servent à guider les élèves.
Les élèves vont être actifs mais très guidés dans une démarche «imposée».

51
Q

Quels sont les points négatifs de l démarche déductive ?

A

Difficile de décomposer en plusieurs étapes / tâches

L’élève est peu autonome car il est très guidé

52
Q

A quoi correspond la démarche inductive ?

A

L’enseignant est perçu comme un animateur. Il va proposer plusieurs situations qui favorise les échanges.
Ainsi, l’élève va pouvoir chercher et être acteur de ses savoirs.
Permet de faire travailler la coopération, créer des hypothèses, les valider ou invalider puis arriver à une synthèse de groupe qui permet d’expliquer, voir et comprendre comment d’autre on pu faire, etc
Les élèves s’approprient les notions donc le savoir.

53
Q

Quels sont les points positifs de la démarche inductive ?

A

L’élève est impliqué et s’investit

54
Q

Quels sont les points négatifs de l démarche inductive ?

A

La gestion du groupe classe

Démarche qui est très longue et qui demande du temps! = on avance très doucement

55
Q

A quoi correspond l’évaluation diagnostique ?

A

C’est celle de départ qui permet de voir où en sont les élèves. L’enseignant les analysent, regarde les idées reçus et les acquis des élèves.
Cela va donner les clés à l’enseignant pour le guider sur sa séquence.

56
Q

A quoi correspond l’évaluation formative ?

A

C’est celle qu’on v dire en cours d’apprentissage.

Elle permet notamment de «sortir» un groupe d’élèves en difficultés = différenciation

57
Q

A quoi correspond l’évaluation critèriée ?

A

C’est celle où l’on va travailler sur des critères (des items).
En production d’écrit par exemple. On peut utiliser ce qu’on appelle une grille d’évaluation, avec des critères

58
Q

A quoi correspond l’évaluation sommative ?

A

C’est celle que l’on retrouve à la fin de la séquence puis qu’on va utiliser pour noter les acquis des élèves

59
Q

A quoi correspond l’évaluation certificative ?

A

C’est celle qui est utilisée comme test d’entrée par exemple dans les collèges, les concours, etc.

60
Q

A quoi correspond l’évaluation par contrat de confiance ?

A

C’est celle qui va permet à l’enfant être évaluer mais ce dernier sait sur quoi il va être évalué (ainsi on lui donne les items précis sur lesquels il va être évalué)

61
Q

Quelles sont les évaluations existantes ?

A
Diagnostique 
Formative
Sommative
Critèriée
Certificative 
Par contrat de confiance
62
Q

Qu’est-ce que l’étayage ?

A

C’est l’intervention de l’adulte dans l’apprentissage de l’élève.
L’étayage est défini comme «l’ensemble des interactions d’assistance de l’adulte permettant à l’enfant d’apprendre à organiser ses conduites afin de pouvoir résoudre seul un problème qui ne savait pas résoudre au départ»

63
Q

Quelles sont les différentes formes de l’étayage selon Jérome Bruner ?

A
  • l’adulte qui va aider les enfants avec ENRÔLEMENT = motiver l’élève pour qu’il rentre dans l’activité = comment on démarre une activité
  • la réduction des degrés de liberté : on va partager la tâche, l’apprentissage en plusieurs étapes = l’enfant est guidé
  • maintien de l’orientation (en séance) : c’est quand certains enfants partent dans une autre direction (surtout en groupe et aussi possible en classe entière). On va recentrer les enfants sur la consigne
  • signalisation des caractéristiques dominantes = c’est l’écart entre ce qu’il sait faire et là où on pouvait l’emmener
  • contrôle de la frustration : maintenir la motivation sur ce qu’on est entrain de faire même si l’on vient «frustrer» l’enfant sur ce quoi il voulait partir
  • démonstration : on montre des modèles ou présentation de modèles