Tuméfaction osseuse Flashcards

Question 1

Q

Tuméfactions osseuses: fréquence

Answer

A

Pour la majorité d’entre vous, cette session sur les lésions bénignes ou malignes de l’os sera le seul temps consacré à cette matière dans votre formation.
La raison principale est le faible volume de ces pathologies, si on exclut les métastases osseuses.
Par exemple, en 2001, on estimait à 1,3 millions le nombre de nouveaux cas de cancer aux Etats-Unis.
De ce total, on dénombrait environ 8500 cas de sarcomes des tissus mous, et seulement 2500 cas de sarcomes osseux.
Les lésions malignes primaires de l’os ne représentent donc que moins de 0,5% des nouveaux cancers diagnostiqués.

Question 2

Q

Tuméfactions osseuses: quand se fait le diagnostic la plupart du temps?

Answer

A

Malheureusement, les patients porteurs de ce type de néoplasie sont trop souvent diagnostiqués tard dans leur évolution, avec un impact négatif sur leur survie.
Ceci peut s’expliquer par le délai avant la consultation médicale, par la subtilité ou la nonspécificité des symptômes rapportés par le patient, mais aussi par la non-connaissance de ces pathologies par le médecin consulté.
Un principe de base en médecine : on trouve ce que l’on cherche…

Question 3

Q

Tuméfactions osseuses: ce que couvre le cours

Answer

A

Nous toucherons également le chapitre des métastases osseuses, qui représentent la grande majorité des lésions malignes osseuses.
Ce cours se veut donc un survol des principales lésions bénignes et malignes de l’os.

Question 4

Q

Tuméfactions osseuses: notions de base - définir tumeur primaire

Answer

A

Néoplasie originant des cellules normalement présentes dans les structures locales.

Question 5

Q

Tuméfactions osseuses: notions de base - définir tumeur secondaire

Answer

A

Métastase.
En oncologie musculosquelettique, les métastases sont de très loin les tumeurs les plus fréquentes.

Question 6

Q

Tuméfactions osseuses: notions de base - définir sarcome

Answer

A

Néoplasie originant des tissus mésenchymateux.
Par opposition aux carcinomes, originant des cellules épithéliales.

Question 7

Q

Tuméfactions osseuses: notions de base - comment sont classifiées les tumeurs PRIMAIRES?

Answer

A

Les tumeurs primaires de l’os, qu’elles soient bénignes ou malignes, peuvent être classifiées selon le tissu d’origine.

Question 8

Q

TABLEAU CLASSIFICATION TUMEURS PRIMAIRES

Question 9

Q

Pour le tissu d’origine suivant, dire le nom de la tumeur PRIMAIRE: OS
- Bénin
- Malin

Answer

A

Bénin:
— ostéome
— ostéome ostéoïde
Malin
— Ostéosarcome

Question 10

Q

Pour le tissu d’origine suivant, dire le nom de la tumeur PRIMAIRE: CARTILAGE

Answer

A

Bénin:
— Enchondrome
— Ostéochondrome
— Chondroblastome
Malin: Chondrosarcome

Question 11

Q

Pour le tissu d’origine suivant, dire le nom de la tumeur PRIMAIRE: TISSU CONJONCTIF

Answer

A

Bénin: Firbome
Malin: Fibrosarcome

Question 12

Q

Pour le tissu d’origine suivant, dire le nom de la tumeur PRIMAIRE: TISSU ADIPEUX

Answer

A

Bénin: Lipome
Malin: Liposarcome

Question 13

Q

Pour le tissu d’origine suivant, dire le nom de la tumeur PRIMAIRE: VAISSEAUX

Answer

A

Bénin: Hémangiome
Malin:
— Hémangioendothéliome
— Angiosarcome

Question 14

Q

Pour le tissu d’origine suivant, dire le nom de la tumeur PRIMAIRE: AUTRES

Answer

A

Bénin:
— Tumeur à cellules géantes
— Kyste osseux
Malin: Sarcome d’Ewing

Question 15

Q

Tuméfaction osseuse: symptômes

Answer

A

Douleur
♦ Composante nocturne
♦ Progressive
♦ Reliée ou non à l’activité
♦ Traumatisme au préalable ?
♦ Secondaire à une fracture pathologique (au sein d’un os anormal)
Tuméfaction
Ankylose articulaire
Boiterie
Symptômes généraux (fièvre, sudations nocturnes, perte de poids)
— Rares dans le contexte d’une lésion primaire
— Plus fréquents dans le cadre d’une maladie métastatique ou d’une maladie lymphomateuse

Question 16

Q

Tuméfaction osseuse: symptômes - douleur
- provoqué
- évolution
- cause
- cause

Answer

A

Composante nocturne
Progressive
Reliée ou non à l’activité
Traumatisme au préalable ?
Secondaire à une fracture pathologique (au sein d’un os anormal)

Question 17

Q

Tuméfaction osseuse: symptômes - la douleur est secondaire à quoi?

Answer

A

♦ Traumatisme au préalable ?
♦ Secondaire à une fracture pathologique (au sein d’un os anormal)

Question 18

Q

Tuméfaction osseuse: symptômes - symptômes généraux - dans quel type de lésion?

Answer

A

Rares dans le contexte d’une lésion primaire
Plus fréquents dans le cadre d’une maladie métastatique ou d’une maladie lymphomateuse

Question 19

Q

Tuméfaction osseuse: examen clinique - inspection

Answer

A

Déformation ou voussure, œdème, augmentation du réseau veineux superficiel, rougeur, atrophie musculaire, épanchement intra-articulaire

Question 20

Q

Tuméfaction osseuse: examen clinique - palpation

Answer

A

♦ Chaleur
♦ Masse
♦ Perte d’amplitude articulaire
♦ Présence d’adénopathies

Question 21

Q

Tuméfaction osseuse: examen clinique - autres examens à faire

Answer

A

Examen neuro-vasculaire distal
Examen plus complet si suspicion de lésion métastatique (recherche d’un primaire)

Question 22

Q

Tuméfaction osseuse: utilité des laboratoires dans le dx

Answer

A

Les examens de laboratoires sont habituellement peu contributoires dans le diagnostic d’une lésion primaire de l’os.
Ils peuvent cependant aider dans le diagnostic d’une ostéomyélite ou de certaines autres pathologies (e.g. myélome multiple, hypercalcémie maligne, hyperparathyroïdie).

Question 23

Q

Tuméfaction osseuse: laboratoires - bilan de base

Answer

A

♦ Formule sanguine complète avec différentielle
♦ Vitesse de sédimentation (infection)
♦ Protéine C réactive (infection)
♦ Calcium, phosphore
♦ Phosphatase alcaline

Question 24

Q

Tuméfaction osseuse: laboratoires - autres (pas le bilan de base)

Answer

A

♦ Électrophorèse des protéines sériques et urinaires (myélome)
♦ Dosage des chaines légères libres sériques (myélome)
♦ Dosages des gammaglobulines (myélome)
♦ Dosage de la PTH (hyperparathyoïdie)

Question 25

Q

Tuméfaction osseuse: imagerie - importance pour le dx

Answer

A

La radiographie simple, avec vues orthogonales (habituellement vues antéro-postérieure et latérale), demeure l’outil le plus utile dans l’élaboration du diagnostic différentiel d’une lésion osseuse, malgré l’avènement de modalités plus perfectionnées.

Question 26

Q

Tuméfaction osseuse: imagerie - utilité pour le dx

Answer

A

Les trouvailles à la radiographie simple permette habituellement de déterminer le niveau d’aggressivité de la lésion.
La radiographie est plus utile pour les os longs que pour le squelette axial (où l’imagerie telle la tomodensitométrie ou l’IRM comporte un avantage).
La radiographie simple, avec vues orthogonales (habituellement vues antéro-postérieure et latérale), demeure l’outil le plus utile dans l’élaboration du diagnostic différentiel d’une lésion osseuse, malgré l’avènement de modalités plus perfectionnées.

Question 27

Q

Tuméfaction osseuse: imagerie - quelles vues pour la radiographie?

Answer

A

La radiographie simple, avec vues orthogonales (habituellement vues antéro-postérieure et latérale), demeure l’outil le plus utile dans l’élaboration du diagnostic différentiel d’une lésion osseuse, malgré l’avènement de modalités plus perfectionnées.

Question 28

Q

Tuméfaction osseuse: imagerie - questions auxquelles il faut répondre en voyant une lésion sur une radiographie

Answer

A

Voici les questions auxquelles il faut répondre en voyant une lésion sur une radiographie :
1) Quel est l’âge du patient ?
2) Localisation ?
3) S’agit-il d’une lésion unique ou multiple ?
4) Y a-t-il destruction osseuse ? Si oui, quel type ?
5) Y a-t-il une matrice ?
6) Y a-t-il une réaction périostée ? Si oui, la caractériser.
7) Y a-t-il extension du processus dans les tissus mous ?

Question 29

Q

Tuméfaction osseuse: âge - importance clinique

Answer

A

L’âge est un des facteurs les plus importants dans l’élaboration d’un diagnostic différentiel.
* Par exemple, pour une lésion agressive, le diagnostic différentiel diffère si le patient :
♦ Est un enfant : infection, ostéosarcome, sarcome d’Ewing, …
♦ Est un adulte de plus de 40 ans : métastase, lymphome, myélome, chondrosarcome…

Question 30

Q

Tuméfaction osseuse: âge - importance clinique - exemples

Answer

A

Par exemple, pour une lésion agressive, le diagnostic différentiel diffère si le patient :
♦ Est un enfant : infection, ostéosarcome, sarcome d’Ewing, …
♦ Est un adulte de plus de 40 ans : métastase, lymphome, myélome, chondrosarcome…

Question 31

Q

Tuméfaction osseuse: localisation - nommez-les

Answer

A

Os longs, os plats ou squelette axial
Épiphysaire, métaphysaire ou diaphysaire
Centrale ou eccentrique (pour la région métaphysaire)
Intra-corticale ou juxta-corticale

Question 32

Q

Tuméfaction osseuse: localisation - Os longs, os plats ou squelette axial - quels sont les tumeurs osseuses les plus fréquentes à ces endroits?

Answer

A

Ostéosarcome (fémur distal, tibia proximal et humérus proximal)
Chordome (sacrum, vertèbres, base du crâne)

Question 33

Q

Tuméfaction osseuse: localisation - Épiphysaire, métaphysaire ou diaphysaire - dire les types de tumeurs les plus fréquentes pour chacune de ces 3 localisation différentes

Answer

A

Épiphyse → chondroblastome, infection
Métaphyse → fibrome non-ossifiant, tumeur à cellules géantes, ostéosarcome, etc…
Diaphyse → granulome éosinophile, sarcome d’Ewing, etc…

Question 34

Q

Tuméfaction osseuse: nombre de lésions - types

Answer

A

unique
multiple

Question 35

Q

Tuméfaction osseuse: nombre de lésions - unique

Answer

A

Tuméfaction osseuse: nombre de lésions
Lésion primaire de l’os
Métastase unique

Question 36

Q

Tuméfaction osseuse: nombre de lésions - multiple - type

Answer

A

Dans un même os (dysplasie fibreuse, tumeurs vasculaires)
Polyostotique

Question 37

Q

Tuméfaction osseuse: nombre de lésions - multiple - dans un même os

Answer

A

dysplasie fibreuse
tumeurs vasculaires

Question 38

Q

Tuméfaction osseuse: Polyostotique de lésions - multiple - causes bénignes va malignes

Answer

A

Bénin : maladie de Paget, hyperparathyroïdie, dysplasie fibreuse, enchondromatose, ostéochondromatose,…
Malin : métastases, myélome multiple, tumeurs vasculaires,…

Question 39

Q

Tuméfaction osseuse: types de destruction osseuse - nommez-les

Answer

A

type I (géographique)
type II (mité ou «moth-eaten »
Type III (perméatif)

Plus on avance dans cette classification, plus la lésion a un comportement aggressif, mais pas nécessairement malin.

Question 40

Q

Tuméfaction osseuse: types de destruction osseuse - comparez les différents types

Answer

A

Plus on avance dans cette classification, plus la lésion a un comportement aggressif, mais pas nécessairement malin.

Question 41

Q

Tuméfaction osseuse: types de destruction osseuse - type I

Answer

A

géographique
a) contours sclérotiques
b) contours définis
c) contours mal définis

Question 42

Q

Tuméfaction osseuse: types de destruction osseuse - type II

Answer

A

mité ou «moth-eaten »

Question 43

Q

Tuméfaction osseuse: types de destruction osseuse - type III

Answer

A

perméatif

Question 44

Q

Tuméfaction osseuse: type de matrice - nommez-les

Answer

A

Non-visible sur R-X
Visible sur R-X

Question 45

Q

Tuméfaction osseuse: type de matrice - non-visible sur R-X

Answer

A

Fibreuse ou myxoïde

Question 46

Q

Tuméfaction osseuse: type de matrice - visible sur R-X

Answer

A

Chondroïde (tumeur formant du cartilage qui se calcifie. Les calcifications peuvent être punctiformes, en forme d’anneaux et de cercles, ou de C et J)
Ostéoïde (tumeur formant de l’os; aspect plus homogène)

Question 47

Q

Tuméfaction osseuse: type de matrice - visible sur R-X - définir chondroïde

Answer

A

tumeur formant du cartilage qui se calcifie.
Les calcifications peuvent être punctiformes, en forme d’anneaux et de cercles, ou de C et J

Question 48

Q

Tuméfaction osseuse: type de matrice - visible sur R-X - définir oestéoïde

Answer

A

tumeur formant de l’os; aspect plus homogène

Question 49

Q

Tuméfaction osseuse: réaction périostée - types

Answer

A

Il existe 2 catégories de réaction périostée :
- continue
- et interrompue

Question 50

Q

Tuméfaction osseuse: réaction périostée - différenciez réaction continue vs interrompue

Answer

A

De façon générale, une réaction continue démontre que l’os a eu le temps de s’adapter à la lésion, et qu’il reste capable de la contenir.
Une réaction interrompue signifie que la lésion n’est plus contenue, ce qui signe un niveau d’aggressivité supérieur.

Question 51

Q

Tuméfaction osseuse: réaction périostée - différenciez réaction continue vs interrompue - exemples

Answer

A

§ Continue : solide
§ Interrompue : triangle de Codman, lamellaire, perpendiculaire (« sunburst »)

Question 52

Q

Tuméfaction osseuse: extension dans les tissus mous - signification

Answer

A

L’extension d’un processus tumoral dans les tissus mous environnants est un autre signe d’un niveau plus élevé d’aggressivité.

Question 53

Q

Tuméfaction osseuse: extension dans les tissus mous - quel types de lésions peuvent être en cause?

Answer

A

Bien que plusieurs lésions malignes se présentent en ayant traversé le cortex (ostéosarcome, sarcome d’Ewing, lymphome, métastase, etc…), certaines lésions bénignes (tumeur à cellules géantes, fibrome chondromyxoïde) peuvent le faire aussi.

Question 54

Q

Tuméfaction osseuse: extension dans les tissus mous - quels outils permettent le dx?

Question 55

Q

Tuméfaction osseuse: extension dans les tissus mous - diagnostic

Answer

A

Tomodensitométrie :
§ Meilleure définition de l’os.
§ Permet de mieux apprécier la matrice.
Imagerie par résonance magnétique :
§ Meilleure évaluation des tissus mous et de la moëlle osseuse.
§ Plusieurs plans d’imagerie (axial, coronal, sagittal) permettant une meilleure visualisation de l’os atteint ainsi qu’une meilleure planification chirurgicale.

Question 56

Q

Tuméfaction osseuse: extension dans les tissus mous - diagnostic - TDM

Answer

A

Tomodensitométrie :
§ Meilleure définition de l’os.
§ Permet de mieux apprécier la matrice

Question 57

Q

Tuméfaction osseuse: extension dans les tissus mous - diagnostic - IRM

Answer

A

Imagerie par résonance magnétique :
§ Meilleure évaluation des tissus mous et de la moëlle osseuse.
§ Plusieurs plans d’imagerie (axial, coronal, sagittal) permettant une meilleure visualisation de l’os atteint ainsi qu’une meilleure planification chirurgicale.

Question 58

Q

Tuméfaction osseuse: extension dans les tissus mous - bilan d’extension

Answer

A

Tomodensitométrie pulmonaire
* Dans le cas de sarcomes osseux, le site de métastases à distance le plus fréquent est le POUMON.
Scintigraphie osseuse (99 Tc MD)
* Permet de déterminer si la lésion est unique ou multiple.

Question 59

Q

Tuméfaction osseuse: extension dans les tissus mous - bilan d’extension - TDM

Answer

A

Tomodensitométrie pulmonaire
* Dans le cas de sarcomes osseux, le site de métastases à distance le plus fréquent est le POUMON.

Question 60

Q

Tuméfaction osseuse: extension dans les tissus mous - bilan d’extension - Scintigraphie osseuse

Answer

A

Scintigraphie osseuse (99 Tc MD)
* Permet de déterminer si la lésion est unique ou multiple.

Question 61

Q

Tuméfaction osseuse: extension dans les tissus mous - bilan d’extension - Quoi faire s’il s’agit possible d’une métastase unique?

Answer

A

S’il s’agit possiblement d’une métastase unique, il faut alors rechercher le cancer primaire à l’origine de cette métastase, et s’assurer qu’elle est bien unique.
Ceci se fait habituellement par une TDM thoraco-abdomino-pelvienne et une scintigraphie osseuse, ou simplement par un TEP-scan.

Question 62

Q

Tuméfaction osseuse: biopsie - importance

Answer

A

Étape cruciale du diagnostic

Question 63

Q

Tuméfaction osseuse: biopsie - par qui elle est faite?

Answer

A

Devrait toujours être faite par ou bien en consultation avec le chirurgien-orthopédiste oncologue traitant.

Question 64

Q

Tuméfaction osseuse: biopsie - comment choisir le site de la biopsie?

Answer

A

Site de la biopsie est choisi en considérant l’approche chirurgicale utilisée pour réséquer cette lésion si cela s’avérait nécessaire, car le site de biopsie devra être excisé au moment de l’intervention finale.

Answer 63

A

Si la biopsie est faite de façon inadéquate, ceci peut mettre en danger le membre atteint, et même la vie du patient.

Answer 64

A

Fibrome non-ossifiant
Kyste osseux simple
Kyste osseux anévrysmal
Ostéomyélite
Fracture de stress

Answer 65

A

Probablement secondaire à un défaut dans la plaque de croissance (physe)
2 premières décades

Answer 66

A

Probablement secondaire à un défaut dans la plaque de croissance (physe)

Answer 67

A

Asymptomatique (découverte fortuite), sauf douleurs si à risque de fracture
Peut se présenter sous forme d’une fracture pathologique

Answer 68

A

♦ Os longs des membres inférieurs
♦ Contours géographiques, avec marges sclérotiques
♦ Corticale, eccentrique
♦ Souvent aspect en bulles de savon

Answer 69

A

Observation, puisque la majorité s’ossifie de façon spontanée.
Si douloureux, à risque de fracture ou fracturé, curetage et greffe +/- fixation

Answer 70

A

Lésion kystique remplie de liquide jaune-citrin clair
2 premières décades
Asymptomatique sauf si fracture pathologique

Answer 71

A

Lésion kystique remplie de liquide jaune-citrin clair
2 premières décades
Asymptomatique sauf si fracture pathologique

Answer 72

A

Lésion kystique remplie de liquide jaune-citrin clair
2 premières décades
Asymptomatique sauf si fracture pathologique

Answer 73

A

♦ Métaphyso-diaphysaire
♦ Humérus et fémur proximaux
♦ Lésion légèrement expansive, centrale, avec amincissement cortical
♦ Pas de réaction périostée sauf si fracture
♦ Septations à l’intérieur

Answer 74

A

♦ Parfois comblement de la lésion dans le processus de guérison de la fracture
♦ Injection de corticostéroïdes intra-kyste
♦ Curettage et greffe osseuse

Answer 75

A

Lésion beaucoup plus expansive que le kyste osseux simple
3 premières décades
Présentation : douleurs, fracture pathologique

Answer 76

A

Lésion beaucoup plus expansive que le kyste osseux simple
3 premières décades
Présentation : douleurs, fracture pathologique

Answer 77

A

Lésion beaucoup plus expansive que le kyste osseux simple
3 premières décades
Présentation : douleurs, fracture pathologique

Answer 78

A

Association, dans 30-50% des cas, avec une autre lésion (bénigne ou maligne)
♦ Dysplasie fibreuse, tumeur à cellules géantes, chondroblastome, ostéosarcome, …

Answer 79

A

♦ Métaphysaire, eccentrique, géographique (lytique)
♦ Aspect soufflé du cortex
♦ Pas de matrice, ni de réaction périostée
♦ Niveaux liquide-liquide à la tomodensitométrie ou l’IRM

Answer 80

A

♦ Curettage et greffe osseuse
§ Risque significatif de récidive
♦ Angio-embolisation, sclérothérapie (injection de substances dans le kyste pour le « scléroser »)

Answer 81

A

Risque significatif de récidive

Answer 82

A

injection de substances dans le kyste pour le « scléroser »

Answer 83

A

L’infection de l’os peut donner une lésion d’allure très aggressive, voire même maligne.
Le plus souvent causée par le Staphylococcus aureus (bien que l’agent causal peut varier avec l’âge et le type de patient )
Peut être de forme aiguë, sub-aiguë ou chronique

Answer 84

A

L’infection de l’os peut donner une lésion d’allure très aggressive, voire même maligne.
Le plus souvent causée par le Staphylococcus aureus (bien que l’agent causal peut varier avec l’âge et le type de patient)
Peut être de forme aiguë, sub-aiguë ou chronique

Answer 85

A

L’infection de l’os peut donner une lésion d’allure très aggressive, voire même maligne.
Le plus souvent causée par le Staphylococcus aureus (bien que l’agent causal peut varier avec l’âge et le type de patient)
Peut être de forme aiguë, sub-aiguë ou chronique

Answer 86

A

♦ plaie pénétrante
♦ par continuité (infection dans les tissus mous)
♦ par voie hématogène (chez l’enfant, métaphyse des os longs)

Answer 87

A

Perte des plans graisseux (tissus mous)
Destruction (aspect perméatif)
Réaction périostée
Formation de séquestre ou d’involucrum

Answer 88

A

abcès de Brodie

Answer 89

A

Forme sub-aiguë (abcès de Brodie)
§ Métaphysaire (enfant)
§ Zone lytique bien définie, avec marges sclérotiques
§ Peut être intra-cortical

Answer 90

A

Forme chronique
§ Épaississement des cortex, hétérogène
§ Sclérose avec zones lytiques
§ Peut se réactiver

Answer 91

A

♦ Drainage, lavage
♦ Antibiothérapie intra-veineuse (4 à 6 semaines)

Answer 92

A

Fracture dans un os normal suite à une trop forte demande (trauma répété)
Douleur insidieuse apparaissant avec l’activité, disparaissant au repos
Douleur habituellement très localisée
Os atteints : métatarse, tibia, col fémoral, bassin, etc…

Answer 93

A

Fracture dans un os normal suite à une trop forte demande (trauma répété)
**Douleur insidieuse apparaissant avec l’activité, disparaissant au repos
Douleur habituellement très localisée**
Os atteints : métatarse, tibia, col fémoral, bassin, etc…

Answer 94

A

Fracture dans un os normal suite à une trop forte demande (trauma répété)
Douleur insidieuse apparaissant avec l’activité, disparaissant au repos
Douleur habituellement très localisée
Os atteints : métatarse, tibia, col fémoral, bassin, etc…

Answer 95

A

♦ Peuvent être normales dans les premiers stades
— Scintigraphie osseuse (ou IRM) sera positive
♦ Apparition d’une réaction sclérotique, avec ligne radiotransparent

Answer 96

A

♦ Peuvent être normales dans les premiers stades
— Scintigraphie osseuse (ou IRM) sera positive
♦ Apparition d’une réaction sclérotique, avec ligne radiotransparent

Answer 97

A

♦ Repos
♦ Stabilisation chirurgicale (surtout au col fémoral)

Answer 98

A

Enchondrome
Ostéochondrome
Ostéome ostéoïde
Tumeur à cellules géantes

Answer 99

A

2ième tumeur bénigne de l’os en fréquence
Anomalie de la physe ?
Formation de cartilage hyalin mature, qui s’ossifie
Le plus souvent une découverte fortuite

Answer 100

A

2ième tumeur bénigne de l’os en fréquence
Anomalie de la physe ?
Formation de cartilage hyalin mature, qui s’ossifie
Le plus souvent une découverte fortuite

Answer 101

A

2ième tumeur bénigne de l’os en fréquence
Anomalie de la physe ?
Formation de cartilage hyalin mature, qui s’ossifie
Le plus souvent une découverte fortuite

Answer 102

A

2ième tumeur bénigne de l’os en fréquence
Anomalie de la physe ?
Formation de cartilage hyalin mature, qui s’ossifie
Le plus souvent une découverte fortuite

Answer 103

A

♦ Petits os des mains et pieds
♦ Fémur distal, tibia, humérus

Answer 104

A

♦ Contours géographiques (peut donner de l’amincissement cortical)
♦ Matrice cartilagineuse (sauf habituellement lytique a/n des mains & pieds)
♦ Le plus souvent monostotique
♦ Formes polyostotiques
§ Enchondromatose, ou maladie d’Ollier
§ Syndrome de Maffucci (idem + hémangiomatose)

Answer 105

A

§ Enchondromatose, ou maladie d’Ollier
§ Syndrome de Maffucci (idem + hémangiomatose)

Answer 106

A

Le risque de dégénérescence maligne est très faible, mais un peu plus élevé dans les formes polyostotiques.

Answer 107

A

♦ Observation
♦ Biopsie si suspicion de transformation maligne ou si possibilité de chondrosarcome de bas grade

Answer 108

A

Anomalie de la physe; assez commun (croissance cesse habituellement après la fermeture de la physe)
Douleurs par irritation mécanique, rarement par fracture de la lésion
Peut donner des déformations de l’axe des membres (surtout si présence de lésions multiples = ostéochondromatose)
Faible risque de transformation maligne

Answer 109

A

Anomalie de la physe; assez commun (croissance cesse habituellement après la fermeture de la physe)
Douleurs par irritation mécanique, rarement par fracture de la lésion
Peut donner des déformations de l’axe des membres (surtout si présence de lésions multiples = ostéochondromatose)
Faible risque de transformation maligne

Answer 110

A

Anomalie de la physe; assez commun (croissance cesse habituellement après la fermeture de la physe)
Douleurs par irritation mécanique, rarement par fracture de la lésion
Peut donner des déformations de l’axe des membres (surtout si présence de lésions multiples = ostéochondromatose)
Faible risque de transformation maligne

Answer 111

A

Anomalie de la physe; assez commun (croissance cesse habituellement après la fermeture de la physe)
Douleurs par irritation mécanique, rarement par fracture de la lésion
Peut donner des déformations de l’axe des membres (surtout si présence de lésions multiples = ostéochondromatose)
Faible risque de transformation maligne

Answer 112

A

♦ Pédiculé ou sessile
♦ Métaphysaire, pointe en s’éloignant de la physe
♦ Cavité médullaire de l’os est en continuité avec celle de la lésion
♦ Forme polyostotique : ostéochondromatose (transmission autosomale dominante)

Answer 113

A

Forme polyostotique : ostéochondromatose (transmission autosomale dominante)

Answer 114

A

♦ Observation
♦ Excision simple si symptomatique

Answer 115

A

Lésion bénigne qui produit de l’os réactionnel
Symptomatologie douloureuse importante, souvent nocturne, très améliorée par la prise d’ASA ou d’AINS
Majorité sont des lésions corticales dans les os longs
Diagnostic différentiel d’une scoliose douloureuse

Answer 116

A

Lésion bénigne qui produit de l’os réactionnel
Symptomatologie douloureuse importante, souvent nocturne, très améliorée par la prise d’ASA ou d’AINS
Majorité sont des lésions corticales dans les os longs
Diagnostic différentiel d’une scoliose douloureuse

Answer 117

A

Lésion bénigne qui produit de l’os réactionnel
Symptomatologie douloureuse importante, souvent nocturne, très améliorée par la prise d’ASA ou d’AINS
Majorité sont des lésions corticales dans les os longs
Diagnostic différentiel d’une scoliose douloureuse

Answer 118

A

Lésion bénigne qui produit de l’os réactionnel
Symptomatologie douloureuse importante, souvent nocturne, très améliorée par la prise d’ASA ou d’AINS
Majorité sont des lésions corticales dans les os longs
Diagnostic différentiel d’une scoliose douloureuse

Answer 119

A

♦ Réaction périostée solide, d’allure bénigne, avec petite lésion radiotransparente au sein de celle-ci (nidus)
♦ Le nidus est plus facilement identifiable à la tomodensitométrie
♦ Hypercaptation importante à la scintigraphie osseuse

Answer 120

A

♦ De choix : Ablation par radiofréquences (sous contrôle tomodensitométrique)
♦ Si impossible, excision du nidus par voie chirurgicale

Answer 121

A

85% après l’âge de 20 ans
Très rarement multicentrique
Douleurs, fracture pathologique
Même si lésion bénigne, donne rarement des métastases pulmonaires (2%)
Risque de transformation maligne très faible (sauf si radiothérapie)

Answer 122

A

85% après l’âge de 20 ans
Très rarement multicentrique
Douleurs, fracture pathologique
Même si lésion bénigne, donne rarement des métastases pulmonaires (2%)
Risque de transformation maligne très faible (sauf si radiothérapie)

Answer 123

A

85% après l’âge de 20 ans
Très rarement multicentrique
Douleurs, fracture pathologique
Même si lésion bénigne, donne rarement des métastases pulmonaires (2%)
Risque de transformation maligne très faible (sauf si radiothérapie)

Answer 124

A

85% après l’âge de 20 ans
Très rarement multicentrique
Douleurs, fracture pathologique
Même si lésion bénigne, donne rarement des métastases pulmonaires (2%)
Risque de transformation maligne très faible (sauf si radiothérapie)

Answer 125

A

85% après l’âge de 20 ans
Très rarement multicentrique
Douleurs, fracture pathologique
Même si lésion bénigne, donne rarement des métastases pulmonaires (2%)
Risque de transformation maligne très faible (sauf si radiothérapie)

Answer 126

A

♦ Lésion lytique pure, métaphyso-épiphysaire, eccentrique
♦ Fémur distal, tibia proximal, radius distal
♦ Pas de sclérose, ni de réaction périostée
♦ Peut s’étendre dans les tissus mous avoisinants

Answer 127

A

♦ Curetage agressif et greffe (ou cimentation) + traitement adjuvant (phénol, alcool, cautérisation,…)
♦ Risque de récidive locale élevé (15-20%)
♦ Parfois résection, si atteinte trop sévère de l’os et de la surface articulaire, ou si fragmentation lors d’une fracture pathologique

Answer 128

A

♦ Curetage agressif et greffe (ou cimentation) + traitement adjuvant (phénol, alcool, cautérisation,…)
♦ Risque de récidive locale élevé (15-20%)
♦ Parfois résection, si atteinte trop sévère de l’os et de la surface articulaire, ou si fragmentation lors d’une fracture pathologique

Answer 129

A

Ostéosarcome
Sarcome d’Ewing
Chondrosarcome

Answer 130

A

La plus fréquente (20%)
Pic d’incidence entre 10 et 25 ans

Answer 131

A

♦ douleurs, masse, fracture pathologique (plus rare)
♦ 10-20% d’emblée avec des métastases pulmonaires

Answer 132

A

60% autour du genou, +humérus proximal

Answer 133

A

♦ Plus fréquente (70%) : ostéosarcome dit « classique » (intra-médullaire de haut grade)
♦ Bas ou haut grade histologique, intra-médullaire ou juxta-corticale

Answer 134

A

Chez les patients de plus de 50-60 ans, il existe des formes d’ostéosarcomes secondaires
♦ Maladie de Paget
♦ Post-radique
♦ Dysplasie fibreuse
♦ Infarctus osseux

Answer 135

A

Chez les patients de plus de 50-60 ans, il existe des formes d’ostéosarcomes secondaires
♦ Maladie de Paget
♦ Post-radique
♦ Dysplasie fibreuse
♦ Infarctus osseux

Answer 136

A

♦ Lésion lytique, avec le plus souvent présence de matrice ostéoïde
♦ Métaphysaire
♦ Réaction périostée de type interrompue (sunburst, triangle de Codman)
♦ Extension dans les tissus mous

Answer 137

A

♦ Chimiothérapie néoadjuvante (pré-op)
♦ Résection large (avec marges saines)
♦ Chimio adjuvante (post-op)
♦ Peu de place pour la radiothérapie

Answer 138

A

♦ 65-75% survie à 5 ans
♦ Plus sombre (< 25%) si métastatique d’emblée

Answer 139

A

**Seconde en fréquence chez l’enfant après l’ostéosarcome
95% entre 4 et 25 ans**
Même présentation clinique que l’ostéosarcome, sauf que 1/3 auront de la fièvre avec leucocytose et vitesse de sédimentation élevée (simulant une infection)
15-30% sont métastatiques d’emblée
75% bassin et os longs

Answer 140

A

Seconde en fréquence chez l’enfant après l’ostéosarcome
95% entre 4 et 25 ans
Même présentation clinique que l’ostéosarcome, sauf que 1/3 auront de la fièvre avec leucocytose et vitesse de sédimentation élevée (simulant une infection)
15-30% sont métastatiques d’emblée
75% bassin et os longs

Answer 141

A

Seconde en fréquence chez l’enfant après l’ostéosarcome
95% entre 4 et 25 ans
Même présentation clinique que l’ostéosarcome, sauf que 1/3 auront de la fièvre avec leucocytose et vitesse de sédimentation élevée (simulant une infection)
**15-30% sont métastatiques d’emblée
75% bassin et os longs**

Answer 142

A

♦ Lésion centrale diaphysaire ou métaphyso-diaphysaire
♦ Aspect perméatif, sans matrice
♦ Réaction périostée d’allure aggressive
♦ Extension dans les tissus mous

Answer 143

A

♦ Chimiothérapie néoadjuvante (pré-op)
♦ Résection large (avec marges saines) ou radiothérapie pour les lésions difficilement accessibles (bassin, vertèbre), ou combinaison
♦ Chimio adjuvante (post-op)

Answer 144

A

♦ 65-75% survie à 5 ans
♦ Plus sombre (< 25%) si métastatique d’emblée

Answer 145

A

Tumeur maligne plus fréquente dans les 4 e, 5 e et 6 e décades
Localisée dans les régions métaphysaires des os longs, bassin et ceinture scapulaire
90% des formes centrales sont de bas grade histologique, avec un potentiel de récidive locale et de métastases plus limité. Cependant, dans les lésions de haut grade, ce risque est nettement plus élevé.
Lésions sous-diagnostiquées, car peuvent être radiologiquement peu agressives

Answer 146

A

Tumeur maligne plus fréquente dans les 4 e
, 5 e et 6 e décades
Localisée dans les régions métaphysaires des os longs, bassin et ceinture scapulaire
90% des formes centrales sont de bas grade histologique, avec un potentiel de récidive locale et de métastases plus limité. Cependant, dans les lésions de haut grade, ce risque est nettement plus élevé.
Lésions sous-diagnostiquées, car peuvent être radiologiquement peu agressives

Answer 147

A

Tumeur maligne plus fréquente dans les 4 e
, 5 e et 6 e décades
Localisée dans les régions métaphysaires des os longs, bassin et ceinture scapulaire
90% des formes centrales sont de bas grade histologique, avec un potentiel de récidive locale et de métastases plus limité. Cependant, dans les lésions de haut grade, ce risque est nettement plus élevé.
Lésions sous-diagnostiquées, car peuvent être radiologiquement peu agressives

Answer 148

A

Tumeur maligne plus fréquente dans les 4 e
, 5 e et 6 e décades
Localisée dans les régions métaphysaires des os longs, bassin et ceinture scapulaire
90% des formes centrales sont de bas grade histologique, avec un potentiel de récidive locale et de métastases plus limité. Cependant, dans les lésions de haut grade, ce risque est nettement plus élevé.
Lésions sous-diagnostiquées, car peuvent être radiologiquement peu agressives

Answer 149

A

♦ Tendance à être géographique, parfois avec expansion corticale
♦ Habituellement pas de sclérose
♦ Matrice variable (aucune visible, calcifications subtiles ou matrice chondroïde importante)
♦ Réaction périostée peu impressionnante

Answer 150

A

♦ Traitement purement chirurgical
♦ Pas de traitement adjuvant efficace
♦ Marges de résection doivent être saines

Answer 151

A

♦ Variable selon le grade (globalement, 75% de survie à 5 ans)

Answer 152

A

TOUJOURS Y PENSER CHEZ UN PATIENT ÂGÉ DE PLUS DE 40 ANS…

Answer 153

A

Recherche d’un primaire. Voici les plus fréquents :
§ Poumon
§ Prostate
§ Rein
§ Sein
§ Thyroïde

Answer 154

A

Recherche d’un primaire. Voici les plus fréquents :
§ Poumon
§ Prostate
§ Rein
§ Sein
§ Thyroïde

Answer 155

A

§ Généralement polyostotique
§ Aspect mité, mal défini
§ Densité variable, selon le primaire
♦ Lytique pure (poumon, sein, rein, thyroïde,…)
♦ Mixte lytique et blastique (sein, poumon, prostate,…)
♦ Blastique pure (prostate, sein, vessie,…)
§ Souvent pas de réaction périostée

Answer 156

A

§ Densité variable, selon le primaire
♦ Lytique pure (poumon, sein, rein, thyroïde,…)
♦ Mixte lytique et blastique (sein, poumon, prostate,…)
♦ Blastique pure (prostate, sein, vessie,…)

Answer 157

A

Sont très fréquentes dans les squelette axial, ceintures scapulo-humérales et fémurs proximaux
Sont rares distalement aux coudes et aux genoux

Answer 158

A

§ Analgésie adéquate
§ Selon le primaire (biphosphonates, hormonothérapie, chimiothérapie, etc…)
§ Traitement palliatif avec radiothérapie (soulagement de la douleur)
§ Évaluation du risque fracturaire, et fixation prophylactique si nécessaire
§ Fixation des fractures pathologiques
§ Si traitée chirurgicalement, la métastase devra aussi être irradiée, afin de réduire le risque de progression locale de la tumeur, ce qui pourrait mener à une détérioration fonctionnelle.

Answer 159

A

Il faut alors faire la distinction entre la douleur dite « tumorale », et la douleur « mécanique », i.e. associée à la mise en charge sur le membre atteint. Ce sont les patients avec une forte composante douloureuse mécanique qui bénéficieront le plus d’un traitement chirurgical (fixation prophylactique, ou préventive).
Certains critères radiologiques peuvent nous aider à déterminer le risque fracturaire d’une métastase des os longs (présence de lyse osseuse, 50% et plus d’atteinte du cortex, localisation au membre inférieur, région péritrochantérienne, …)

Answer 160

A

IMPORTANT : Toujours prouver le diagnostic de façon histologique (biopsie) avant d’initier un traitement, surtout s’il s’agit d’une lésion unique et le patient n’est pas connu avec une maladie métastatique.

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Tuméfaction osseuse Flashcards

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