Troubles reliés à l'utilisation de substances Flashcards
Identifier, en se référant aux critères utilisés dans le DSM 5, les manifestations cliniques en relation avec l’intoxication et le sevrage liés aux substances suivantes
Identifier, en se référant aux critères utilisés dans le DSM 5, les manifestations cliniques en relation avec l’intoxication et le sevrage liés aux substances suivantes (Lalonde 874 à 908) :
- Amphétamines
- Cannabis
- Cocaïne
- Anxiolytiques, hypnotiques, sédatifs
- Phencyclidine (PCP)
- Nicotine
- Inhalants et hallucinatoires
- Caféine
- Procéder à l’application de la démarche clinique dans un cas d’abus de substances présenté sur vignette
Définir: Substance psychoactive (SPA)
- Substance qui, une fois ingérée, modifie certains processus mentaux tel la cognition ou l’affect.
- Cette expression est neutre et désigne une catégorie complète de substances licites et illicites.
- L’expression « substance psychoactive » est préférée au terme « drogue » qui, dans le langage courant, désigne une substance illicite.
Définir: Substance psychoactive (SPA)
- décrire l’effets de la substance
- Substance qui, une fois ingérée, modifie certains processus mentaux tel la cognition ou l’affect.
- Cette expression est neutre et désigne une catégorie complète de substances licites et illicites.
- L’expression « substance psychoactive » est préférée au terme « drogue » qui, dans le langage courant, désigne une substance illicite.
Définir: Substance psychoactive (SPA)
- susbtance légale ou illégale?
- Substance qui, une fois ingérée, modifie certains processus mentaux tel la cognition ou l’affect.
- Cette expression est neutre et désigne une catégorie complète de substances licites et illicites.
- L’expression « substance psychoactive » est préférée au terme « drogue » qui, dans le langage courant, désigne une substance illicite.
Définir: Substance psychoactive (SPA)
- différence avec terme “drogue”?
- Substance qui, une fois ingérée, modifie certains processus mentaux tel la cognition ou l’affect.
- Cette expression est neutre et désigne une catégorie complète de substances licites et illicites.
- L’expression « substance psychoactive » est préférée au terme « drogue » qui, dans le langage courant, désigne une substance illicite.
Définir: Addiction
- Anglicisme médiéval désignant la servitude où tombe un vassal incapable d’honorer ses dettes envers son suzerain.
- Dépendance à l’égard d’un toxique (toxicomanie), mais aussi, par extension, d’une pratique (achats compulsifs) ou d’une situation sociale (relations affectives, travail intense).
- Sur le plan psychologique, l’addiction implique du désarroi devant la répétition d’un rapport à un objet vidé de sens par sa consommation abusive.
Définir: Addiction
- origine du mot
- Anglicisme médiéval désignant la servitude où tombe un vassal incapable d’honorer ses dettes envers son suzerain.
- Dépendance à l’égard d’un toxique (toxicomanie), mais aussi, par extension, d’une pratique (achats compulsifs) ou d’une situation sociale (relations affectives, travail intense).
- Sur le plan psychologique, l’addiction implique du désarroi devant la répétition d’un rapport à un objet vidé de sens par sa consommation abusive.
Définir: Addiction
- lien avec médiéval
- Anglicisme médiéval désignant la servitude où tombe un vassal incapable d’honorer ses dettes envers son suzerain.
- Dépendance à l’égard d’un toxique (toxicomanie), mais aussi, par extension, d’une pratique (achats compulsifs) ou d’une situation sociale (relations affectives, travail intense).
- Sur le plan psychologique, l’addiction implique du désarroi devant la répétition d’un rapport à un objet vidé de sens par sa consommation abusive.
Définir: Addiction
- c’est quoi?
- Anglicisme médiéval désignant la servitude où tombe un vassal incapable d’honorer ses dettes envers son suzerain.
- Dépendance à l’égard d’un toxique (toxicomanie), mais aussi, par extension, d’une pratique (achats compulsifs) ou d’une situation sociale (relations affectives, travail intense).
- Sur le plan psychologique, l’addiction implique du désarroi devant la répétition d’un rapport à un objet vidé de sens par sa consommation abusive.
Définir: Addiction
- addiction psychologique
- Anglicisme médiéval désignant la servitude où tombe un vassal incapable d’honorer ses dettes envers son suzerain.
- Dépendance à l’égard d’un toxique (toxicomanie), mais aussi, par extension, d’une pratique (achats compulsifs) ou d’une situation sociale (relations affectives, travail intense).
- Sur le plan psychologique, l’addiction implique du désarroi devant la répétition d’un rapport à un objet vidé de sens par sa consommation abusive.
Définir: Craving ou appétence
- Besoin impérieux du produit, ressenti par le sujet, en période de sevrage ou en période d’abstinence.
Définir: Craving ou appétence
- c’est quoi?
- Besoin impérieux du produit, ressenti par le sujet, en période de sevrage ou en période d’abstinence.
Définir: Comorbidité
- Présence simultanée de deux ou plusieurs diagnostics chez un même patient sans nécessité de lien causal.
- En psychiatrie, fait référence de façon générale à la concomitance de trouble lié à l’utilisation de substance et d’un autre diagnostic de l’axe I ou II.
Définir: Comorbidité
- c’est quoi?
- Présence simultanée de deux ou plusieurs diagnostics chez un même patient sans nécessité de lien causal.
- En psychiatrie, fait référence de façon générale à la concomitance de trouble lié à l’utilisation de substance et d’un autre diagnostic de l’axe I ou II.
Définir: Comorbidité
- définition en psychiatrie
- Présence simultanée de deux ou plusieurs diagnostics chez un même patient sans nécessité de lien causal.
- En psychiatrie, fait référence de façon générale à la concomitance de trouble lié à l’utilisation de substance et d’un autre diagnostic de l’axe I ou II.
Définir: Réduction des méfaits
- Approche de santé publique qui met principalement l’accent sur la réduction des conséquences négatives de la consommation plutôt que sur l’élimination de celle-ci ou sur l’abstinence.
Définir: Réduction des méfaits
- c’est quoi?
- Approche de santé publique qui met principalement l’accent sur la réduction des conséquences négatives de la consommation plutôt que sur l’élimination de celle-ci ou sur l’abstinence.
Dépendance / abus: DSM V
- Dépendance et Abus sont des termes du DSM IV remplacés par Trouble de l’usage de (…).
- Vous verrez en plénière la signification de ces termes que vous retrouverez dans les dossiers médicaux et encore dans le langage de certains cliniciens.
Définir: Dépendance et Abus
- Le DSM-5 offre une réforme des diagnostics des troubles des substances.
- Il présente maintenant ces troubles sous la forme d’un continuum, dont le spectre de sévérité débute par la consommation nocive de l’individu (abus), allant jusqu’à un tableau clinique plus grave incluant la prise compulsive d’alcool, la tolérance ou les symptômes de sevrage (dépendance).
Définir: Dépendance et Abus
- terme dans DSM-5
- Le DSM-5 offre une réforme des diagnostics des troubles des substances.
- Il présente maintenant ces troubles sous la forme d’un continuum, dont le spectre de sévérité débute par la consommation nocive de l’individu (abus), allant jusqu’à un tableau clinique plus grave incluant la prise compulsive d’alcool, la tolérance ou les symptômes de sevrage (dépendance).
Définir: Dépendance et Abus
- représentation dans le DSM-5
- Le DSM-5 offre une réforme des diagnostics des troubles des substances.
- Il présente maintenant ces troubles sous la forme d’un continuum, dont le spectre de sévérité débute par la consommation nocive de l’individu (abus), allant jusqu’à un tableau clinique plus grave incluant la prise compulsive d’alcool, la tolérance ou les symptômes de sevrage (dépendance).
Substance la plus consommée
L’alcool
Substance causant le plus de tr liés à l’usage dans la population générale
- L’alcool.
- On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes.
- L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko).
- En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %).
- En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).
- Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
Alcool
- L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l’usage dans la population générale et est la substance la plus consommée.
- On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes.
- L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko).
- En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %).
- En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).
- Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
Alcool: Proportion de la population consommant de l’alcool
- L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l’usage dans la population générale et est la substance la plus consommée.
- On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes.
- L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko).
- En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %).
- En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).
- Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
Alcool: Âge moyen de la 1ère consommation
- L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l’usage dans la population générale et est la substance la plus consommée.
- On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes.
- L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko).
- En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %).
- En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).
- Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
Alcool: Groupes d’âge où se trouvent les plus grands buveurs de boissons alcoolisées et sucrées
- L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l’usage dans la population générale et est la substance la plus consommée.
- On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes.
- L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko).
- En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %).
- En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).
- Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
Alcool: Proportion de la population ayant une dépendance à l’alcool
- L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l’usage dans la population générale et est la substance la plus consommée.
- On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes.
- L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko).
- En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %).
- En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).
- Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
Alcool: Proportion de la pop ayant une conso excessive d’alcool
- L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l’usage dans la population générale et est la substance la plus consommée.
- On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes.
- L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko).
- En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %).
- En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).
- Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
Alcool: Définition d’une conso excessive d’alcool
- L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l’usage dans la population générale et est la substance la plus consommée.
- On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes.
- L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko).
- En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %).
- En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).
- Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
Alcool: Conso excessive d’alcool - H vs F
- L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l’usage dans la population générale et est la substance la plus consommée.
- On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes.
- L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko).
- En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %).
- En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).
- Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
Alcool: Lien avec accidents de la route
- L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l’usage dans la population générale et est la substance la plus consommée.
- On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes.
- L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko).
- En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %).
- En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).
- Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
TUS: NT impliqués
- Effets lors de la consommation (aigu)
- Facilitateur de la transmission du système GABA
- Canaux CA2+ et K+
- Augmentation de la libération de peptides opioïdes
- Augmentation de la DA dans le système limbique
- Effet chronique
- Diminution de l’effet sur les récepteurs ionotropiques
- Concentration des récepteurs NMDA aux synapses activées par le glutamate
- Augmentation de la CRF et de ses récepteurs sur l’amygdale
TUS: NT impliqués
- Effet lors de la consommation (aigu)
-
Effets lors de la consommation (aigu)
- Facilitateur de la transmission du système GABA
- Canaux CA2+ et K+
- Augmentation de la libération de peptides opioïdes
- Augmentation de la DA dans le système limbique
- Effet chronique
- Diminution de l’effet sur les récepteurs ionotropiques
- Concentration des récepteurs NMDA aux synapses activées par le glutamate
- Augmentation de la CRF et de ses récepteurs sur l’amygdale
TUS: NT impliqués
- Effet chronique
- Effets lors de la consommation (aigu)
- Facilitateur de la transmission du système GABA
- Canaux CA2+ et K+
- Augmentation de la libération de peptides opioïdes
- Augmentation de la DA dans le système limbique
-
Effet chronique
- Diminution de l’effet sur les récepteurs ionotropiques
- Concentration des récepteurs NMDA aux synapses activées par le glutamate
- Augmentation de la CRF et de ses récepteurs sur l’amygdale
TUS: NT impliqués
- Effet aigu: impacts sur GABA
Facilitateur de la transmission du système GABA
- Blocage des récepteurs NMDA
- Trous de mémoire
- Erreurs de jugement
- Action sur les récepteurs GABA
- Sédation
- Incoordination
TUS: NT impliqués
- Effet aigu: impacts sur GABA - expliquez
Facilitateur de la transmission du système GABA
- Blocage des récepteurs NMDA
- Trous de mémoire
- Erreurs de jugement
- Action sur les récepteurs GABA
- Sédation
- Incoordination
TUS: NT impliqués
- Effet aigu: impacts sur GABA - éléments
Facilitateur de la transmission du système GABA
-
Blocage des récepteurs NMDA
- Trous de mémoire
- Erreurs de jugement
-
Action sur les récepteurs GABA
- Sédation
- Incoordination
TUS: NT impliqués
- Effet aigu: impacts sur GABA - récepteurs NMDA
Facilitateur de la transmission du système GABA
-
Blocage des récepteurs NMDA
- Trous de mémoire
- Erreurs de jugement
- Action sur les récepteurs GABA
- Sédation
- Incoordination
TUS: NT impliqués
- Effet aigu: impacts sur GABA - récepteurs GABA
Facilitateur de la transmission du système GABA
- Blocage des récepteurs NMDA
- Trous de mémoire
- Erreurs de jugement
-
Action sur les récepteurs GABA
- Sédation
- Incoordination
TUS: NT impliqués
- Effet aigu: 5-HT - expliquez
Potentialisation de l’action de la 5-HT sur les récepteurs 5-HT3
- À faible dose, cause les effets stimulants de l’alcool, et augmente la DA dans le moyau accumbens
TUS: NT impliqués
- Effet aigu: 5-HT - détaillez
Potentialisation de l’action de la 5-HT sur les récepteurs 5-HT3
- À faible dose, cause les effets stimulants de l’alcool, et augmente la DA dans le moyau accumbens
TUS: NT impliqués
- Effet aigu: Canaux
Canaux CA2+ et K+
- Modification de leur activité
TUS: NT impliqués
- Effet aigu: Canaux - nommez ceux impliqués
Canaux CA2+ et K+
- Modification de leur activité
TUS: NT impliqués
- Effet aigu: Canaux - expliquez
Canaux CA2+ et K+
- Modification de leur activité
TUS: NT impliqués
- Effet aigu: Peptides opioïdes
Augmentation de la libération de peptides opioïdes
- Ex : ß-endorphines et corticolibérine (CRF)
TUS: NT impliqués
- Effet aigu: Peptides opioïdes - expliquez l’effet
Augmentation de la libération de peptides opioïdes
- Ex : ß-endorphines et corticolibérine (CRF)
TUS: NT impliqués
- Effet aigu: Peptides opioïdes - donnez des exemples
Augmentation de la libération de peptides opioïdes
- Ex : ß-endorphines et corticolibérine (CRF)
TUS: NT impliqués
- Effet aigu: Dopamine
Augmentation de la DA dans le système limbique
- Pouvoir toxicomanogène de l’alcool (effet de renforcement)
TUS: NT impliqués
- Effet aigu: Dopamine - expliquez l’effet
Augmentation de la DA dans le système limbique
- Pouvoir toxicomanogène de l’alcool (effet de renforcement)
TUS: NT impliqués
- Effet aigu: Dopamine - expliquez
Augmentation de la DA dans le système limbique
- Pouvoir toxicomanogène de l’alcool (effet de renforcement)
TUS: NT impliqués
- Effet chronique: expliquez
- La consommation prolongée de grandes quantités d’alcool pourrait entraîner des changements adaptatifs durables, voire permanents, de la transmission synaptique cérébrale et modifier ainsi la réponse de l’individu à l’alcool
TUS: NT impliqués
- Effet chronique: Récepteurs ionotropiques
Diminution de l’effet sur les récepteurs ionotropiques
- Responsable de la tolérance acquise
TUS: NT impliqués
- Effet chronique: Récepteurs ionotropiques - expliquez l’effet
Diminution de l’effet sur les récepteurs ionotropiques
- Responsable de la tolérance acquise
TUS: NT impliqués
- Effet chronique: Récepteurs ionotropiques - rôle
Diminution de l’effet sur les récepteurs ionotropiques
- Responsable de la tolérance acquise
TUS: NT impliqués
- Effet chronique: Glutamate
Concentration des récepteurs NMDA aux synapses activées par le glutamate
- Favorisation de la crise convulsive chez la personne en sevrage
TUS: NT impliqués
- Effet chronique: Glutamate - expliquez l’effet
Concentration des récepteurs NMDA aux synapses activées par le glutamate
- Favorisation de la crise convulsive chez la personne en sevrage
TUS: NT impliqués
- Effet chronique: Glutamate - expliquez
Concentration des récepteurs NMDA aux synapses activées par le glutamate
- Favorisation de la crise convulsive chez la personne en sevrage
TUS: NT impliqués
- Effet chronique: Amygdale
Augmentation de la CRF et de ses récepteurs sur l’amygdale
- Augmentation de la sensibilité au stress et création d’un état émotif négatif
TUS: NT impliqués
- Effet chronique: Amygdale - expliquez l’effet
Augmentation de la CRF et de ses récepteurs sur l’amygdale
- Augmentation de la sensibilité au stress et création d’un état émotif négatif
TUS: NT impliqués
- Effet chronique: Amygdale - expliquez
Augmentation de la CRF et de ses récepteurs sur l’amygdale
- Augmentation de la sensibilité au stress et création d’un état émotif négatif
Étylisme: Rôle de la génétique
- La génétique est responsable d’environ 50 – 60 % de la prédisposition d’un individu à développer une dépendance à l’alcool.
- Ces gènes interagissent avec l’environnement pour amener le trouble relié à l’alcool.
- On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :
- 1.Le métabolisme de l’alcool
- 2.Le niveau de réponse
- 3.Les traits de personnalité
- 4.La présence de comorbidités psychiatriques
Étylisme: Importance de la génétique
- La génétique est responsable d’environ 50 – 60 % de la prédisposition d’un individu à développer une dépendance à l’alcool.
- Ces gènes interagissent avec l’environnement pour amener le trouble relié à l’alcool.
- On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :
- 1.Le métabolisme de l’alcool
- 2.Le niveau de réponse
- 3.Les traits de personnalité
- 4.La présence de comorbidités psychiatriques
Étylisme: Gènes
- La génétique est responsable d’environ 50 – 60 % de la prédisposition d’un individu à développer une dépendance à l’alcool.
- Ces gènes interagissent avec l’environnement pour amener le trouble relié à l’alcool.
- On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :
- 1.Le métabolisme de l’alcool
- 2.Le niveau de réponse
- 3.Les traits de personnalité
- 4.La présence de comorbidités psychiatriques
Étylisme: Rôle de la génétique
- caractéristiques phénotypiques
- La génétique est responsable d’environ 50 – 60 % de la prédisposition d’un individu à développer une dépendance à l’alcool.
- Ces gènes interagissent avec l’environnement pour amener le trouble relié à l’alcool.
-
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :
- 1.Le métabolisme de l’alcool
- 2.Le niveau de réponse
- 3.Les traits de personnalité
- 4.La présence de comorbidités psychiatriques
Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :
- Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
- Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
- Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
- La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques: Nommez-les
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :
- Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
- Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
- Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
- La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques: Métabolisme d’alcool
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :
- Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
- Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
- Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
- La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques: Métabolisme d’alcool - ethnicité
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :
- Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
- Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
- Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
- La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques: Métabolisme d’alcool - expliquez
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :
- Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
- Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
- Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
- La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques: Niveau de réponse
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :
- Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
- Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
- Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
- La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques: Niveau de réponse - expliquez
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :
- Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
- Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
- Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
- La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques: Niveau de réponse - éléments
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :
- Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
- Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
- Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
- La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques: Traits de personnalité
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :
- Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
- Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
- Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
- La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques: Traits de personnalité - expliquez
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :
- Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
- Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
- Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
- La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques: Traits de personnalité - lesquels?
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :
- Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
- Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
- Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
- La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques: Présence de comorbidités psychiatriques
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :
- Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
- Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
- Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
- La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques: Présence de comorbidités psychiatriques - lesquelles?
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :
- Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
- Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
- Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
- La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
Éthylisme: Étiologie
- Ce n’est qu’à travers des interactions plus ou moins favorables (social) que l’influence génétique peut exercer son effet.
- La consommation d’alcool à elle seule n’est pas suffisante pour provoquer l’apparition d’un trouble lié à l’alcool.
- Il est à noter que l’alcool est métabolisé au rythme approximatif d’une consommation à l’heure.
- Exemple à titre indicatif : une FourLoko prend environ 4h – 5h à être métabolisé en moyenne.
- De plus, l’exposition prénatale à l’alcool (il est à noter que jusqu’à 15 % des femmes continuent à consommer enceinte), en plus du risque d’alcoolisation fœtale, augmente le risque de trouble reliés à l’alcool :
- Prédisposition à un mode de comportement déviant ou antisocial
- Développement d’une vulnérabilité biologique spécifique à l’alcool
Éthylisme: Étiologie
- expliquez
- Ce n’est qu’à travers des interactions plus ou moins favorables (social) que l’influence génétique peut exercer son effet. La consommation d’alcool à elle seule n’est pas suffisante pour provoquer l’apparition d’un trouble lié à l’alcool.
- Il est à noter que l’alcool est métabolisé au rythme approximatif d’une consommation à l’heure.
- Exemple à titre indicatif : une FourLoko prend environ 4h – 5h à être métabolisé en moyenne.
- De plus, l’exposition prénatale à l’alcool (il est à noter que jusqu’à 15 % des femmes continuent à consommer enceinte), en plus du risque d’alcoolisation fœtale, augmente le risque de trouble reliés à l’alcool :
- Prédisposition à un mode de comportement déviant ou antisocial
- Développement d’une vulnérabilité biologique spécifique à l’alcool
Éthylisme: Étiologie
- Ce n’est qu’à travers des interactions plus ou moins favorables (social) que l’influence génétique peut exercer son effet. La consommation d’alcool à elle seule n’est pas suffisante pour provoquer l’apparition d’un trouble lié à l’alcool.
- Il est à noter que l’alcool est métabolisé au rythme approximatif d’une consommation à l’heure.
- Exemple à titre indicatif : une FourLoko prend environ 4h – 5h à être métabolisé en moyenne.
- De plus, l’exposition prénatale à l’alcool (il est à noter que jusqu’à 15 % des femmes continuent à consommer enceinte), en plus du risque d’alcoolisation fœtale, augmente le risque de trouble reliés à l’alcool :
- Prédisposition à un mode de comportement déviant ou antisocial
- Développement d’une vulnérabilité biologique spécifique à l’alcool
Éthylisme: Étiologie
- durée métabolisation
- Ce n’est qu’à travers des interactions plus ou moins favorables (social) que l’influence génétique peut exercer son effet. La consommation d’alcool à elle seule n’est pas suffisante pour provoquer l’apparition d’un trouble lié à l’alcool.
-
Il est à noter que l’alcool est métabolisé au rythme approximatif d’une consommation à l’heure.
- Exemple à titre indicatif : une FourLoko prend environ 4h – 5h à être métabolisé en moyenne.
- De plus, l’exposition prénatale à l’alcool (il est à noter que jusqu’à 15 % des femmes continuent à consommer enceinte), en plus du risque d’alcoolisation fœtale, augmente le risque de trouble reliés à l’alcool :
- Prédisposition à un mode de comportement déviant ou antisocial
- Développement d’une vulnérabilité biologique spécifique à l’alcool
Éthylisme: Étiologie
- durée métabolisation: exemple FourLoko
- Ce n’est qu’à travers des interactions plus ou moins favorables (social) que l’influence génétique peut exercer son effet. La consommation d’alcool à elle seule n’est pas suffisante pour provoquer l’apparition d’un trouble lié à l’alcool.
-
Il est à noter que l’alcool est métabolisé au rythme approximatif d’une consommation à l’heure.
- Exemple à titre indicatif : une FourLoko prend environ 4h – 5h à être métabolisé en moyenne.
- De plus, l’exposition prénatale à l’alcool (il est à noter que jusqu’à 15 % des femmes continuent à consommer enceinte), en plus du risque d’alcoolisation fœtale, augmente le risque de trouble reliés à l’alcool :
- Prédisposition à un mode de comportement déviant ou antisocial
- Développement d’une vulnérabilité biologique spécifique à l’alcool
Exposition prénatale à l’alcool
- De plus, l’exposition prénatale à l’alcool (il est à noter que jusqu’à 15 % des femmes continuent à consommer enceinte), en plus du risque d’alcoolisation fœtale, augmente le risque de trouble reliés à l’alcool :
- Prédisposition à un mode de comportement déviant ou antisocial
- Développement d’une vulnérabilité biologique spécifique à l’alcool
Exposition prénatale à l’alcool: Proportion des femmes enceintes continuant de boire
- De plus, l’exposition prénatale à l’alcool (il est à noter que jusqu’à 15 % des femmes continuent à consommer enceinte), en plus du risque d’alcoolisation fœtale, augmente le risque de trouble reliés à l’alcool :
- Prédisposition à un mode de comportement déviant ou antisocial
- Développement d’une vulnérabilité biologique spécifique à l’alcool
Exposition prénatale à l’alcool: Risques associés
- De plus, l’exposition prénatale à l’alcool (il est à noter que jusqu’à 15 % des femmes continuent à consommer enceinte), en plus du risque d’alcoolisation fœtale, augmente le risque de trouble reliés à l’alcool :
- Prédisposition à un mode de comportement déviant ou antisocial
- Développement d’une vulnérabilité biologique spécifique à l’alcool
Modèles cognitivo-comportemental pour expliquer la vulnérabilité individuelle face à l’alcool
- Théorie de la réduction de la tension : L’alcool crée un renforcement par sa capacité à réduire la tension (association entre l’alcool et la diminution de son état émotionnel négatif)
- Théorie de l’amortissement de la réponse au stress : limitation de la consommation aux moments où l’individu anticipe ou vit du stress (association à une diminution du stress). Il est à noter que cette théorie reconnaît les différences individuelles.
- Hypothèse de l’automédication : les effets psychotropes de l’alcool sur l’état psychologique de l’individu poussent certaines personnes à développer une dépendance à cette drogue.
- Ces trois modèles ont en commun de proposer que l’alcool entraîne une réduction de l’état de vigilance ou de l’anxiété physiologique et cognitive, constituant ainsi un renforcement négatif de la prise d’alcool (renforcement par la diminution d’un stimulus négatif).
Modèles cognitivo-comportemental pour expliquer la vulnérabilité iondividuelle face à l’alcool
- nommez-les
- Théorie de la réduction de la tension : L’alcool crée un renforcement par sa capacité à réduire la tension (association entre l’alcool et la diminution de son état émotionnel négatif)
- Théorie de l’amortissement de la réponse au stress : limitation de la consommation aux moments où l’individu anticipe ou vit du stress (association à une diminution du stress). Il est à noter que cette théorie reconnaît les différences individuelles.
- Hypothèse de l’automédication : les effets psychotropes de l’alcool sur l’état psychologique de l’individu poussent certaines personnes à développer une dépendance à cette drogue.
- Ces trois modèles ont en commun de proposer que l’alcool entraîne une réduction de l’état de vigilance ou de l’anxiété physiologique et cognitive, constituant ainsi un renforcement négatif de la prise d’alcool (renforcement par la diminution d’un stimulus négatif).
Modèles cognitivo-comportemental pour expliquer la vulnérabilité iondividuelle face à l’alcool
- Théorie de la réduction de la tension
- Théorie de la réduction de la tension : L’alcool crée un renforcement par sa capacité à réduire la tension (association entre l’alcool et la diminution de son état émotionnel négatif)
- Théorie de l’amortissement de la réponse au stress : limitation de la consommation aux moments où l’individu anticipe ou vit du stress (association à une diminution du stress). Il est à noter que cette théorie reconnaît les différences individuelles.
- Hypothèse de l’automédication : les effets psychotropes de l’alcool sur l’état psychologique de l’individu poussent certaines personnes à développer une dépendance à cette drogue.
- Ces trois modèles ont en commun de proposer que l’alcool entraîne une réduction de l’état de vigilance ou de l’anxiété physiologique et cognitive, constituant ainsi un renforcement négatif de la prise d’alcool (renforcement par la diminution d’un stimulus négatif).
Modèles cognitivo-comportemental pour expliquer la vulnérabilité iondividuelle face à l’alcool
- Théorie de l’amortissement de la réponse au stress
- Théorie de la réduction de la tension : L’alcool crée un renforcement par sa capacité à réduire la tension (association entre l’alcool et la diminution de son état émotionnel négatif)
- Théorie de l’amortissement de la réponse au stress : limitation de la consommation aux moments où l’individu anticipe ou vit du stress (association à une diminution du stress). Il est à noter que cette théorie reconnaît les différences individuelles.
- Hypothèse de l’automédication : les effets psychotropes de l’alcool sur l’état psychologique de l’individu poussent certaines personnes à développer une dépendance à cette drogue.
- Ces trois modèles ont en commun de proposer que l’alcool entraîne une réduction de l’état de vigilance ou de l’anxiété physiologique et cognitive, constituant ainsi un renforcement négatif de la prise d’alcool (renforcement par la diminution d’un stimulus négatif).
Modèles cognitivo-comportemental pour expliquer la vulnérabilité iondividuelle face à l’alcool
- Hypothèse de l’automédication
- Théorie de la réduction de la tension : L’alcool crée un renforcement par sa capacité à réduire la tension (association entre l’alcool et la diminution de son état émotionnel négatif)
- Théorie de l’amortissement de la réponse au stress : limitation de la consommation aux moments où l’individu anticipe ou vit du stress (association à une diminution du stress). Il est à noter que cette théorie reconnaît les différences individuelles.
- Hypothèse de l’automédication : les effets psychotropes de l’alcool sur l’état psychologique de l’individu poussent certaines personnes à développer une dépendance à cette drogue.
- Ces trois modèles ont en commun de proposer que l’alcool entraîne une réduction de l’état de vigilance ou de l’anxiété physiologique et cognitive, constituant ainsi un renforcement négatif de la prise d’alcool (renforcement par la diminution d’un stimulus négatif).
Modèles cognitivo-comportemental pour expliquer la vulnérabilité iondividuelle face à l’alcool
- ce que les modèles ont en commun
- Ces trois modèles ont en commun de proposer que l’alcool entraîne une réduction de l’état de vigilance ou de l’anxiété physiologique et cognitive, constituant ainsi un renforcement négatif de la prise d’alcool (renforcement par la diminution d’un stimulus négatif).
- Théorie de la réduction de la tension : L’alcool crée un renforcement par sa capacité à réduire la tension (association entre l’alcool et la diminution de son état émotionnel négatif)
- Théorie de l’amortissement de la réponse au stress : limitation de la consommation aux moments où l’individu anticipe ou vit du stress (association à une diminution du stress). Il est à noter que cette théorie reconnaît les différences individuelles.
- Hypothèse de l’automédication : les effets psychotropes de l’alcool sur l’état psychologique de l’individu poussent certaines personnes à développer une dépendance à cette drogue.
Profils de Cloninger: Nommez-les
Profils de Cloninger: Type 1 vs 2
- Type 1
- À début tardif (après 25 ans)
- Facteurs héréditaires moins lourds
- Facteurs psychosociaux à l’avant-plan
- Présentent peut de recherche de sensation
- Anxiété et dépression souvent comorbides
- Pronostic généralement meilleur
- Type 2
- Facteurs de risques importants (héréditaires)
- H avec profil de délinquance
- Connaît un début précoce
- Forts antécédents familiaux d’alcoolisme
- Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté
- Comorbidité avec personnalité antisociale
- Agressivité et haut niveau d’impulsivité
- Plus de problèmes judiciaires
- Pronostic généralement plus mauvais
- Facteurs de risques importants (héréditaires)
Profils de Cloninger: Type 1
- Type 1
- À début tardif (après 25 ans)
- Facteurs héréditaires moins lourds
- Facteurs psychosociaux à l’avant-plan
- Présentent peut de recherche de sensation
- Anxiété et dépression souvent comorbides
- Pronostic généralement meilleur
Profils de Cloninger: Type 1
- âge de début
- Type 1
- À début tardif (après 25 ans)
- Facteurs héréditaires moins lourds
- Facteurs psychosociaux à l’avant-plan
- Présentent peut de recherche de sensation
- Anxiété et dépression souvent comorbides
- Pronostic généralement meilleur
Profils de Cloninger: Type 1
- facteurs en cause
- Type 1
- À début tardif (après 25 ans)
- Facteurs héréditaires moins lourds
- Facteurs psychosociaux à l’avant-plan
- Présentent peut de recherche de sensation
- Anxiété et dépression souvent comorbides
- Pronostic généralement meilleur
Profils de Cloninger: Type 1
- ce que la personne recherche
- Type 1
- À début tardif (après 25 ans)
- Facteurs héréditaires moins lourds
- Facteurs psychosociaux à l’avant-plan
- Présentent peut de recherche de sensation
- Anxiété et dépression souvent comorbides
- Pronostic généralement meilleur
Profils de Cloninger: Type 1
- comorbidités
- Type 1
- À début tardif (après 25 ans)
- Facteurs héréditaires moins lourds
- Facteurs psychosociaux à l’avant-plan
- Présentent peut de recherche de sensation
- Anxiété et dépression souvent comorbides
- Pronostic généralement meilleur
Profils de Cloninger: Type 1
- pronostic
- Type 1
- À début tardif (après 25 ans)
- Facteurs héréditaires moins lourds
- Facteurs psychosociaux à l’avant-plan
- Présentent peut de recherche de sensation
- Anxiété et dépression souvent comorbides
- Pronostic généralement meilleur
Profils de Cloninger: Type 2
- Type 2
- Facteurs de risques importants (héréditaires)
- H avec profil de délinquance
- Connaît un début précoce
- Forts antécédents familiaux d’alcoolisme
- Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté
- Comorbidité avec personnalité antisociale
- Agressivité et haut niveau d’impulsivité
- Plus de problèmes judiciaires
- Pronostic généralement plus mauvais
- Facteurs de risques importants (héréditaires)
Profils de Cloninger: Type 2
- FDR
- Type 2
-
Facteurs de risques importants (héréditaires)
- H avec profil de délinquance
- Connaît un début précoce
- Forts antécédents familiaux d’alcoolisme
- Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté
- Comorbidité avec personnalité antisociale
- Agressivité et haut niveau d’impulsivité
- Plus de problèmes judiciaires
- Pronostic généralement plus mauvais
-
Facteurs de risques importants (héréditaires)
Profils de Cloninger: Type 2
- Homme
- Type 2
- Facteurs de risques importants (héréditaires)
- H avec profil de délinquance
- Connaît un début précoce
- Forts antécédents familiaux d’alcoolisme
- Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté
- Comorbidité avec personnalité antisociale
- Agressivité et haut niveau d’impulsivité
- Plus de problèmes judiciaires
- Pronostic généralement plus mauvais
- Facteurs de risques importants (héréditaires)
Profils de Cloninger: Type 2
- début
- Type 2
- Facteurs de risques importants (héréditaires)
- H avec profil de délinquance
- Connaît un début précoce
- Forts antécédents familiaux d’alcoolisme
- Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté
- Comorbidité avec personnalité antisociale
- Agressivité et haut niveau d’impulsivité
- Plus de problèmes judiciaires
- Pronostic généralement plus mauvais
- Facteurs de risques importants (héréditaires)
Profils de Cloninger: Type 2
- ATCD
- Type 2
- Facteurs de risques importants (héréditaires)
- H avec profil de délinquance
- Connaît un début précoce
- Forts antécédents familiaux d’alcoolisme
- Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté
- Comorbidité avec personnalité antisociale
- Agressivité et haut niveau d’impulsivité
- Plus de problèmes judiciaires
- Pronostic généralement plus mauvais
- Facteurs de risques importants (héréditaires)
Profils de Cloninger: Type 2
- ce que la personne recherche
- Type 2
- Facteurs de risques importants (héréditaires)
- H avec profil de délinquance
- Connaît un début précoce
- Forts antécédents familiaux d’alcoolisme
- Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté
- Comorbidité avec personnalité antisociale
- Agressivité et haut niveau d’impulsivité
- Plus de problèmes judiciaires
- Pronostic généralement plus mauvais
- Facteurs de risques importants (héréditaires)
Profils de Cloninger: Type 2
- comorbidités
- Type 2
- Facteurs de risques importants (héréditaires)
- H avec profil de délinquance
- Connaît un début précoce
- Forts antécédents familiaux d’alcoolisme
- Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté
- Comorbidité avec personnalité antisociale
- Agressivité et haut niveau d’impulsivité
- Plus de problèmes judiciaires
- Pronostic généralement plus mauvais
- Facteurs de risques importants (héréditaires)
Profils de Cloninger: Type 2
- ATCD judiciaire
- Type 2
- Facteurs de risques importants (héréditaires)
- H avec profil de délinquance
- Connaît un début précoce
- Forts antécédents familiaux d’alcoolisme
- Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté
- Comorbidité avec personnalité antisociale
- Agressivité et haut niveau d’impulsivité
- Plus de problèmes judiciaires
- Pronostic généralement plus mauvais
- Facteurs de risques importants (héréditaires)
Profils de Cloninger: Type 2
- pronostic
- Type 2
- Facteurs de risques importants (héréditaires)
- H avec profil de délinquance
- Connaît un début précoce
- Forts antécédents familiaux d’alcoolisme
- Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté
- Comorbidité avec personnalité antisociale
- Agressivité et haut niveau d’impulsivité
- Plus de problèmes judiciaires
- Pronostic généralement plus mauvais
- Facteurs de risques importants (héréditaires)
Éthylisme: Étiologie psychologique
- Un mot sur l’étiologie psychologique : le risque de développer un trouble relié à l’alcool commence bien avant la première consommation.
- Un style parental inadéquat et l’association à des pairs utilisateurs de substances favorise la survenue d’un trouble.
Éthylisme: Étiologie psychologique
- quand le risque débute-t-il?
- Un mot sur l’étiologie psychologique : le risque de développer un trouble relié à l’alcool commence bien avant la première consommation.
- Un style parental inadéquat et l’association à des pairs utilisateurs de substances favorise la survenue d’un trouble.
Éthylisme: Étiologies sociales
- éléments
- Adversité psychosociale
- Importance des facteurs environnementaux
- Facteurs culturels
- Facteurs protecteurs
- Différence H vs F
Éthylisme: Étiologies sociales
- Adversité psychosociale
- Si elle est importante durant l’enfance ou l’adolescence elle est associée à un risque accru de trouble lié à l’alcool
- Ex : exposition à des stresseurs majeurs, agressions, psychopathologie parentale, décès d’un parent, statut socio-économique familial défavorisé, instabilité résidentielle, difficultés d’apprentissage et de socialisation
Éthylisme: Étiologies sociales
- Adversité psychosociale: expliquez
- Si elle est importante durant l’enfance ou l’adolescence elle est associée à un risque accru de trouble lié à l’alcool
- Ex : exposition à des stresseurs majeurs, agressions, psychopathologie parentale, décès d’un parent, statut socio-économique familial défavorisé, instabilité résidentielle, difficultés d’apprentissage et de socialisation
Éthylisme: Étiologies sociales
- Adversité psychosociale: Nommez des exemples
- Si elle est importante durant l’enfance ou l’adolescence elle est associée à un risque accru de trouble lié à l’alcool
- Ex : exposition à des stresseurs majeurs, agressions, psychopathologie parentale, décès d’un parent, statut socio-économique familial défavorisé, instabilité résidentielle, difficultés d’apprentissage et de socialisation
Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs environnementaux
- L’influence environnementale est obligatoire pour que la génétique et les phénotypes puissent agir.
- La culture, les attitudes générales envers l’alcool, les habitudes de consommation des pairs, le niveau de stress et les mécanismes adaptation de ceux-ci sont particulièrement importants
- Un environnement familial à faible risque peut moduler l’impact d’un haut niveau génétique, prouvé par des études sur des jumeaux.
- Les adolescents et adultes démontrent une forte association de leur consommation à celle de leurs pairs.
- L’initiation à l’alcool selon l’âge est associée à des figures différentes ( ex : premières années du primaire → parent ou autre membre de la famille buveur)
- Si consommation à 11-14 ans → 4X plus de risque de développer le trouble à 20 ans.
- Les étudiants de niveau collégial et universitaire sont influencés par des perceptions erronées qui surévaluent la consommation normale.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs environnementaux: Son importance
- L’influence environnementale est obligatoire pour que la génétique et les phénotypes puissent agir.
- La culture, les attitudes générales envers l’alcool, les habitudes de consommation des pairs, le niveau de stress et les mécanismes adaptation de ceux-ci sont particulièrement importants
- Un environnement familial à faible risque peut moduler l’impact d’un haut niveau génétique, prouvé par des études sur des jumeaux.
- Les adolescents et adultes démontrent une forte association de leur consommation à celle de leurs pairs.
- L’initiation à l’alcool selon l’âge est associée à des figures différentes ( ex : premières années du primaire → parent ou autre membre de la famille buveur)
- Si consommation à 11-14 ans → 4X plus de risque de développer le trouble à 20 ans.
- Les étudiants de niveau collégial et universitaire sont influencés par des perceptions erronées qui surévaluent la consommation normale.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs environnementaux: Nommez ceux particulièrement importants
- L’influence environnementale est obligatoire pour que la génétique et les phénotypes puissent agir.
- La culture, les attitudes générales envers l’alcool, les habitudes de consommation des pairs, le niveau de stress et les mécanismes adaptation de ceux-ci sont particulièrement importants
- Un environnement familial à faible risque peut moduler l’impact d’un haut niveau génétique, prouvé par des études sur des jumeaux.
- Les adolescents et adultes démontrent une forte association de leur consommation à celle de leurs pairs.
- L’initiation à l’alcool selon l’âge est associée à des figures différentes ( ex : premières années du primaire → parent ou autre membre de la famille buveur)
- Si consommation à 11-14 ans → 4X plus de risque de développer le trouble à 20 ans.
- Les étudiants de niveau collégial et universitaire sont influencés par des perceptions erronées qui surévaluent la consommation normale.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs environnementaux: Famille
- L’influence environnementale est obligatoire pour que la génétique et les phénotypes puissent agir.
- La culture, les attitudes générales envers l’alcool, les habitudes de consommation des pairs, le niveau de stress et les mécanismes adaptation de ceux-ci sont particulièrement importants
- Un environnement familial à faible risque peut moduler l’impact d’un haut niveau génétique, prouvé par des études sur des jumeaux.
- Les adolescents et adultes démontrent une forte association de leur consommation à celle de leurs pairs.
- L’initiation à l’alcool selon l’âge est associée à des figures différentes ( ex : premières années du primaire → parent ou autre membre de la famille buveur)
- Si consommation à 11-14 ans → 4X plus de risque de développer le trouble à 20 ans.
- Les étudiants de niveau collégial et universitaire sont influencés par des perceptions erronées qui surévaluent la consommation normale.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs environnementaux: Ados et adultes
- L’influence environnementale est obligatoire pour que la génétique et les phénotypes puissent agir.
- La culture, les attitudes générales envers l’alcool, les habitudes de consommation des pairs, le niveau de stress et les mécanismes adaptation de ceux-ci sont particulièrement importants
- Un environnement familial à faible risque peut moduler l’impact d’un haut niveau génétique, prouvé par des études sur des jumeaux.
- Les adolescents et adultes démontrent une forte association de leur consommation à celle de leurs pairs.
- L’initiation à l’alcool selon l’âge est associée à des figures différentes ( ex : premières années du primaire → parent ou autre membre de la famille buveur)
- Si consommation à 11-14 ans → 4X plus de risque de développer le trouble à 20 ans.
- Les étudiants de niveau collégial et universitaire sont influencés par des perceptions erronées qui surévaluent la consommation normale.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs environnementaux: Initiation à l’alcool
- L’influence environnementale est obligatoire pour que la génétique et les phénotypes puissent agir.
- La culture, les attitudes générales envers l’alcool, les habitudes de consommation des pairs, le niveau de stress et les mécanismes adaptation de ceux-ci sont particulièrement importants
- Un environnement familial à faible risque peut moduler l’impact d’un haut niveau génétique, prouvé par des études sur des jumeaux.
- Les adolescents et adultes démontrent une forte association de leur consommation à celle de leurs pairs.
- L’initiation à l’alcool selon l’âge est associée à des figures différentes ( ex : premières années du primaire → parent ou autre membre de la famille buveur)
- Si consommation à 11-14 ans → 4X plus de risque de développer le trouble à 20 ans.
- Les étudiants de niveau collégial et universitaire sont influencés par des perceptions erronées qui surévaluent la consommation normale.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs environnementaux: Âge d’initiation au ROH - quel âge?
- L’influence environnementale est obligatoire pour que la génétique et les phénotypes puissent agir.
- La culture, les attitudes générales envers l’alcool, les habitudes de consommation des pairs, le niveau de stress et les mécanismes adaptation de ceux-ci sont particulièrement importants
- Un environnement familial à faible risque peut moduler l’impact d’un haut niveau génétique, prouvé par des études sur des jumeaux.
- Les adolescents et adultes démontrent une forte association de leur consommation à celle de leurs pairs.
- L’initiation à l’alcool selon l’âge est associée à des figures différentes ( ex : premières années du primaire → parent ou autre membre de la famille buveur)
- Si consommation à 11-14 ans → 4X plus de risque de développer le trouble à 20 ans.
- Les étudiants de niveau collégial et universitaire sont influencés par des perceptions erronées qui surévaluent la consommation normale.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs environnementaux: Étudiants collégiaux et universitaires
- L’influence environnementale est obligatoire pour que la génétique et les phénotypes puissent agir.
- La culture, les attitudes générales envers l’alcool, les habitudes de consommation des pairs, le niveau de stress et les mécanismes adaptation de ceux-ci sont particulièrement importants
- Un environnement familial à faible risque peut moduler l’impact d’un haut niveau génétique, prouvé par des études sur des jumeaux.
- Les adolescents et adultes démontrent une forte association de leur consommation à celle de leurs pairs.
- L’initiation à l’alcool selon l’âge est associée à des figures différentes ( ex : premières années du primaire → parent ou autre membre de la famille buveur)
- Si consommation à 11-14 ans → 4X plus de risque de développer le trouble à 20 ans.
- Les étudiants de niveau collégial et universitaire sont influencés par des perceptions erronées qui surévaluent la consommation normale.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs culturels
- Les groupes ethniques comme les Juifs, les Français, les Italiens et les Portugais, qui font boire à leurs enfants de petites quantités d’alcool lors de réunions familiales et qui dévalorisent l’ivresse tendent à avoir de plus faibles taux d’alcoolisme.
- La culture irlandaise ou autochtone incite souvent à l’intoxication hors du foyer, ce qui aboutit à une ivresse importante, mais limitée à la fin de semaine.
- Les attitudes envers la prise d’alcool ou l’état d’ivresse, le contexte d’initiation à la prise d’alcool, ainsi que la responsabilité personnelle envers les conséquences de l’alcoolisation sont parmi les facteurs culturels contribuant à l’installation ou non de troubles liés à l’alcool.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs culturels: Groupes ethniques
- Les groupes ethniques comme les Juifs, les Français, les Italiens et les Portugais, qui font boire à leurs enfants de petites quantités d’alcool lors de réunions familiales et qui dévalorisent l’ivresse tendent à avoir de plus faibles taux d’alcoolisme.
- La culture irlandaise ou autochtone incite souvent à l’intoxication hors du foyer, ce qui aboutit à une ivresse importante, mais limitée à la fin de semaine.
- Les attitudes envers la prise d’alcool ou l’état d’ivresse, le contexte d’initiation à la prise d’alcool, ainsi que la responsabilité personnelle envers les conséquences de l’alcoolisation sont parmi les facteurs culturels contribuant à l’installation ou non de troubles liés à l’alcool.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs culturels: Nommez les groupes dévalorisant l’ivresse
- Les groupes ethniques comme les Juifs, les Français, les Italiens et les Portugais, qui font boire à leurs enfants de petites quantités d’alcool lors de réunions familiales et qui dévalorisent l’ivresse tendent à avoir de plus faibles taux d’alcoolisme.
- La culture irlandaise ou autochtone incite souvent à l’intoxication hors du foyer, ce qui aboutit à une ivresse importante, mais limitée à la fin de semaine.
- Les attitudes envers la prise d’alcool ou l’état d’ivresse, le contexte d’initiation à la prise d’alcool, ainsi que la responsabilité personnelle envers les conséquences de l’alcoolisation sont parmi les facteurs culturels contribuant à l’installation ou non de troubles liés à l’alcool.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs culturels: Groupes ethniques ayant un faible taux d’alcoolisme + raison
- Les groupes ethniques comme les Juifs, les Français, les Italiens et les Portugais, qui font boire à leurs enfants de petites quantités d’alcool lors de réunions familiales et qui dévalorisent l’ivresse tendent à avoir de plus faibles taux d’alcoolisme.
- La culture irlandaise ou autochtone incite souvent à l’intoxication hors du foyer, ce qui aboutit à une ivresse importante, mais limitée à la fin de semaine.
- Les attitudes envers la prise d’alcool ou l’état d’ivresse, le contexte d’initiation à la prise d’alcool, ainsi que la responsabilité personnelle envers les conséquences de l’alcoolisation sont parmi les facteurs culturels contribuant à l’installation ou non de troubles liés à l’alcool.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs culturels: Groupes favorisant ivresse
- Les groupes ethniques comme les Juifs, les Français, les Italiens et les Portugais, qui font boire à leurs enfants de petites quantités d’alcool lors de réunions familiales et qui dévalorisent l’ivresse tendent à avoir de plus faibles taux d’alcoolisme.
- La culture irlandaise ou autochtone incite souvent à l’intoxication hors du foyer, ce qui aboutit à une ivresse importante, mais limitée à la fin de semaine.
- Les attitudes envers la prise d’alcool ou l’état d’ivresse, le contexte d’initiation à la prise d’alcool, ainsi que la responsabilité personnelle envers les conséquences de l’alcoolisation sont parmi les facteurs culturels contribuant à l’installation ou non de troubles liés à l’alcool.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs culturels: Attitude face à ROH
- Les groupes ethniques comme les Juifs, les Français, les Italiens et les Portugais, qui font boire à leurs enfants de petites quantités d’alcool lors de réunions familiales et qui dévalorisent l’ivresse tendent à avoir de plus faibles taux d’alcoolisme.
- La culture irlandaise ou autochtone incite souvent à l’intoxication hors du foyer, ce qui aboutit à une ivresse importante, mais limitée à la fin de semaine.
- Les attitudes envers la prise d’alcool ou l’état d’ivresse, le contexte d’initiation à la prise d’alcool, ainsi que la responsabilité personnelle envers les conséquences de l’alcoolisation sont parmi les facteurs culturels contribuant à l’installation ou non de troubles liés à l’alcool.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs protecteurs
- Encadrement parental supportant
- Accès limité à l’alcool
- Association à des pairs dont la consommation est faible
- Chez les femmes
- Sensibilité accrue aux effets sédatifs de l’alcool
- Perception de sanctions sociales plus sévères
Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs protecteurs: Parents
- Encadrement parental supportant
- Accès limité à l’alcool
- Association à des pairs dont la consommation est faible
- Chez les femmes
- Sensibilité accrue aux effets sédatifs de l’alcool
- Perception de sanctions sociales plus sévères
Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs protecteurs: Accessibilité
- Encadrement parental supportant
- Accès limité à l’alcool
- Association à des pairs dont la consommation est faible
- Chez les femmes
- Sensibilité accrue aux effets sédatifs de l’alcool
- Perception de sanctions sociales plus sévères
Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs protecteurs: Entourage
- Encadrement parental supportant
- Accès limité à l’alcool
- Association à des pairs dont la consommation est faible
- Chez les femmes
- Sensibilité accrue aux effets sédatifs de l’alcool
- Perception de sanctions sociales plus sévères
Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs protecteurs: Chez les femmes
- Encadrement parental supportant
- Accès limité à l’alcool
- Association à des pairs dont la consommation est faible
-
Chez les femmes
- Sensibilité accrue aux effets sédatifs de l’alcool
- Perception de sanctions sociales plus sévères
Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs protecteurs: Chez les femmes - effets de l’alcool
- Encadrement parental supportant
- Accès limité à l’alcool
- Association à des pairs dont la consommation est faible
-
Chez les femmes
- Sensibilité accrue aux effets sédatifs de l’alcool
- Perception de sanctions sociales plus sévères
Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs protecteurs: Chez les femmes - vision sociale
- Encadrement parental supportant
- Accès limité à l’alcool
- Association à des pairs dont la consommation est faible
-
Chez les femmes
- Sensibilité accrue aux effets sédatifs de l’alcool
- Perception de sanctions sociales plus sévères
Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F
- La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
- Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
- Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
- Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
- Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
- Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
- Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
- En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F: Particularités des F
- La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
- Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
- Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
- Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
- Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
- Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
- Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
- En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F: Lien avec cycle menstruel
- La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
- Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
- Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
- Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
- Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
- Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
- Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
- En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F: Au niveau des FDR
- La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
- Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
- Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
- Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
- Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
- Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
- Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
- En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F: Prévalence
- La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
- Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
- Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
- Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
- Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
- Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
- Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
- En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F: Prédisposition génétique
- La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
- Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
- Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
- Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
- Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
- Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
- Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
- En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F: Conséquences négatives de la prise de ROH
- La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
- Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
- Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
-
Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
- Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
- Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
- Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
- En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F: Conséquences négatives de la prise de ROH - Femmes
- La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
- Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
- Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
-
Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
- Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
- Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
- Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
- En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F: Concentrations sanguines de ROH
- La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
- Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
- Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
- Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
- Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
- Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
- Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
- En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F: Neurotoxicité
- La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
- Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
- Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
- Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
- Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
- Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme.
- Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
- Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
- En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F: Comorbidités
- La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
- Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
- Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
- Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
- Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
- Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
- Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
- En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F: Complications
- La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
- Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
- Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
- Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
- Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
- Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
- Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H.
- On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
- En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F: En conclusion
- La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
- Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
- Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
- Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
- Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
- Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
- Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
- En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
Catégories diagnostiques DSM-5 définissant les troubles liés à l’usage d’une substance
- Intoxication
- Sevrage
- Autres troubles induits (…)
Catégories diagnostiques DSM-5 définissant les troubles liés à l’usage d’une substance: Nommez-les
- Intoxication
- Sevrage
- Autres troubles induits (…)
Délirium de sevrage: C’est quoi?
- Il est à noter que lorsque l’on parle de délirium de sevrage, on fait référence aux critères de délirium, mais avec le spécificateur « causé par une substance ».
Critères dx du delirium
- A. Une perturbation de l’attention (c.-à-d. diminution de la capacité de diriger, focaliser, soutenir et déplacer son attention) et de la conscience (diminution de l’orientation dans l’environnement).
- B. La perturbation s’installe en un temps court (habituellement quelques heures ou quelques jours), représente un changement par rapport à l’attention et à la conscience de base et tend à fluctuer en sévérité tout au long de la journée.
- C. Une autre perturbation cognitive (p. ex., un déficit de la mémoire, de l’orientation, du langage, des habiletés visuospatiales ou des perceptions).
- D. Les perturbations des critères A et C ne sont pas mieux expliquées par un trouble neurocognitif préexistant, stabilisé ou en évolution et ne doivent pas survenir dans le contexte d’un niveau de vigilance très réduit, comme dans un coma.
- E. Mise en évidence d’après les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires que la perturbation est la conséquence physiologique directe d’une autre affection médicale, d’une intoxication ou d’un sevrage d’une substance (c.-à-d. une drogue ou un médicament) ou d’une exposition à un produit toxique, ou est due à de multiples causes.
Critères dx du delirium
- c’est quoi un déliurim?
- A. Une perturbation de l’attention (c.-à-d. diminution de la capacité de diriger, focaliser, soutenir et déplacer son attention) et de la conscience (diminution de l’orientation dans l’environnement).
- B. La perturbation s’installe en un temps court (habituellement quelques heures ou quelques jours), représente un changement par rapport à l’attention et à la conscience de base et tend à fluctuer en sévérité tout au long de la journée.
- C. Une autre perturbation cognitive (p. ex., un déficit de la mémoire, de l’orientation, du langage, des habiletés visuospatiales ou des perceptions).
- D. Les perturbations des critères A et C ne sont pas mieux expliquées par un trouble neurocognitif préexistant, stabilisé ou en évolution et ne doivent pas survenir dans le contexte d’un niveau de vigilance très réduit, comme dans un coma.
- E. Mise en évidence d’après les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires que la perturbation est la conséquence physiologique directe d’une autre affection médicale, d’une intoxication ou d’un sevrage d’une substance (c.-à-d. une drogue ou un médicament) ou d’une exposition à un produit toxique, ou est due à de multiples causes.
Critères dx du delirium
- comment s’installe-t-il?
- A. Une perturbation de l’attention (c.-à-d. diminution de la capacité de diriger, focaliser, soutenir et déplacer son attention) et de la conscience (diminution de l’orientation dans l’environnement).
- B. La perturbation s’installe en un temps court (habituellement quelques heures ou quelques jours), représente un changement par rapport à l’attention et à la conscience de base et tend à fluctuer en sévérité tout au long de la journée.
- C. Une autre perturbation cognitive (p. ex., un déficit de la mémoire, de l’orientation, du langage, des habiletés visuospatiales ou des perceptions).
- D. Les perturbations des critères A et C ne sont pas mieux expliquées par un trouble neurocognitif préexistant, stabilisé ou en évolution et ne doivent pas survenir dans le contexte d’un niveau de vigilance très réduit, comme dans un coma.
- E. Mise en évidence d’après les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires que la perturbation est la conséquence physiologique directe d’une autre affection médicale, d’une intoxication ou d’un sevrage d’une substance (c.-à-d. une drogue ou un médicament) ou d’une exposition à un produit toxique, ou est due à de multiples causes.
Critères dx du delirium
- durée de temps sur laquelle s’installe le délirium
- A. Une perturbation de l’attention (c.-à-d. diminution de la capacité de diriger, focaliser, soutenir et déplacer son attention) et de la conscience (diminution de l’orientation dans l’environnement).
- B. La perturbation s’installe en un temps court (habituellement quelques heures ou quelques jours), représente un changement par rapport à l’attention et à la conscience de base et tend à fluctuer en sévérité tout au long de la journée.
- C. Une autre perturbation cognitive (p. ex., un déficit de la mémoire, de l’orientation, du langage, des habiletés visuospatiales ou des perceptions).
- D. Les perturbations des critères A et C ne sont pas mieux expliquées par un trouble neurocognitif préexistant, stabilisé ou en évolution et ne doivent pas survenir dans le contexte d’un niveau de vigilance très réduit, comme dans un coma.
- E. Mise en évidence d’après les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires que la perturbation est la conséquence physiologique directe d’une autre affection médicale, d’une intoxication ou d’un sevrage d’une substance (c.-à-d. une drogue ou un médicament) ou d’une exposition à un produit toxique, ou est due à de multiples causes.
Critères dx du delirium
- symptômes qui s’installent au moment de la perturbation
- A. Une perturbation de l’attention (c.-à-d. diminution de la capacité de diriger, focaliser, soutenir et déplacer son attention) et de la conscience (diminution de l’orientation dans l’environnement).
- B. La perturbation s’installe en un temps court (habituellement quelques heures ou quelques jours), représente un changement par rapport à l’attention et à la conscience de base et tend à fluctuer en sévérité tout au long de la journée.
- C. Une autre perturbation cognitive (p. ex., un déficit de la mémoire, de l’orientation, du langage, des habiletés visuospatiales ou des perceptions).
- D. Les perturbations des critères A et C ne sont pas mieux expliquées par un trouble neurocognitif préexistant, stabilisé ou en évolution et ne doivent pas survenir dans le contexte d’un niveau de vigilance très réduit, comme dans un coma.
- E. Mise en évidence d’après les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires que la perturbation est la conséquence physiologique directe d’une autre affection médicale, d’une intoxication ou d’un sevrage d’une substance (c.-à-d. une drogue ou un médicament) ou d’une exposition à un produit toxique, ou est due à de multiples causes.
Critères dx du delirium
- types de perturbation
- A. Une perturbation de l’attention (c.-à-d. diminution de la capacité de diriger, focaliser, soutenir et déplacer son attention) et de la conscience (diminution de l’orientation dans l’environnement).
- B. La perturbation s’installe en un temps court (habituellement quelques heures ou quelques jours), représente un changement par rapport à l’attention et à la conscience de base et tend à fluctuer en sévérité tout au long de la journée.
- C. Une autre perturbation cognitive (p. ex., un déficit de la mémoire, de l’orientation, du langage, des habiletés visuospatiales ou des perceptions).
- D. Les perturbations des critères A et C ne sont pas mieux expliquées par un trouble neurocognitif préexistant, stabilisé ou en évolution et ne doivent pas survenir dans le contexte d’un niveau de vigilance très réduit, comme dans un coma.
- E. Mise en évidence d’après les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires que la perturbation est la conséquence physiologique directe d’une autre affection médicale, d’une intoxication ou d’un sevrage d’une substance (c.-à-d. une drogue ou un médicament) ou d’une exposition à un produit toxique, ou est due à de multiples causes.
Critères dx du delirium
- exclure quoi?
- A. Une perturbation de l’attention (c.-à-d. diminution de la capacité de diriger, focaliser, soutenir et déplacer son attention) et de la conscience (diminution de l’orientation dans l’environnement).
- B. La perturbation s’installe en un temps court (habituellement quelques heures ou quelques jours), représente un changement par rapport à l’attention et à la conscience de base et tend à fluctuer en sévérité tout au long de la journée.
- C. Une autre perturbation cognitive (p. ex., un déficit de la mémoire, de l’orientation, du langage, des habiletés visuospatiales ou des perceptions).
- D. Les perturbations des critères A et C ne sont pas mieux expliquées par un trouble neurocognitif préexistant, stabilisé ou en évolution et ne doivent pas survenir dans le contexte d’un niveau de vigilance très réduit, comme dans un coma.
- E. Mise en évidence d’après les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires que la perturbation est la conséquence physiologique directe d’une autre affection médicale, d’une intoxication ou d’un sevrage d’une substance (c.-à-d. une drogue ou un médicament) ou d’une exposition à un produit toxique, ou est due à de multiples causes.
Critères dx du delirium
- il faut mettre en évidence quoi?
- A. Une perturbation de l’attention (c.-à-d. diminution de la capacité de diriger, focaliser, soutenir et déplacer son attention) et de la conscience (diminution de l’orientation dans l’environnement).
- B. La perturbation s’installe en un temps court (habituellement quelques heures ou quelques jours), représente un changement par rapport à l’attention et à la conscience de base et tend à fluctuer en sévérité tout au long de la journée.
- C. Une autre perturbation cognitive (p. ex., un déficit de la mémoire, de l’orientation, du langage, des habiletés visuospatiales ou des perceptions).
- D. Les perturbations des critères A et C ne sont pas mieux expliquées par un trouble neurocognitif préexistant, stabilisé ou en évolution et ne doivent pas survenir dans le contexte d’un niveau de vigilance très réduit, comme dans un coma.
- E. Mise en évidence d’après les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires que la perturbation est la conséquence physiologique directe d’une autre affection médicale, d’une intoxication ou d’un sevrage d’une substance (c.-à-d. une drogue ou un médicament) ou d’une exposition à un produit toxique, ou est due à de multiples causes.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
- 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
- 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
- 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
- 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
- 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
- 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
- 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
- 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
- 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
- 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
- a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
- b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
- 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
- a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
- b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- c’est quoi?
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
- 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
- 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
- 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
- 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
- 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
- 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
- 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
- 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
- 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
- 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
- a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
- b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
- 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
- a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
- b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool: Impacts
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
- 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
- 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
- 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
- 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
- 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
- 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
- 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
- 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
- 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
- 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
- a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
- b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
- 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
- a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
- b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool: Nombre de manifestations nécessaires
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
- 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
- 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
- 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
- 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
- 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
- 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
- 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
- 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
- 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
- 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
- a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
- b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
- 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
- a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
- b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- durée
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
- 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
- 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
- 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
- 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
- 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
- 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
- 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
- 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
- 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
- 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
- a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
- b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
- 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
- a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
- b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- quantité alcool
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
- 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu.
- 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
- 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
- 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
- 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
- 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
- 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
- 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
- 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
- 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
- a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
- b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
- 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
- a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
- b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- contrôle sur consommation
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
- 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
- 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
- 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
- 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
- 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
- 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
- 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
- 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
- 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
- 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
- a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
- b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
- 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
- a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
- b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- perte de temps
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
- 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
- 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
- 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
- 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
- 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
- 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
- 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
- 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
- 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
- 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
- a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
- b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
- 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
- a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
- b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- craving
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
- 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
- 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
- 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
- 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
- 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
- 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
- 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
- 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
- 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
- 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
- a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
- b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
- 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
- a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
- b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- conséquences
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
- 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
- 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
- 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
- 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
- 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
- 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
- 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
- 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
- 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
- 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
- a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
- b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
- 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
- a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
- b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- consommation continue malgré quoi?
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
- 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
- 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
- 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
- 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
- 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
- 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
- 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
- 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
- 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
- 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
- a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
- b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
- 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
- a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
- b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- conséquences sur sphères de vie
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
- 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
- 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
- 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
- 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
- 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
- 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
- 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
- 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
- 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
- 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
- a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
- b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
- 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
- a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
- b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- danger associé
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
- 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
- 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
- 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
- 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
- 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
- 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
- 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
- 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
- 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
- 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
- a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
- b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
- 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
- a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
- b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- problèmes associés et réponse à ces problèmes
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
- 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
- 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
- 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
- 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
- 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
- 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
- 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
- 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
- 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
- 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
- a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
- b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
- 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
- a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
- b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- tolérance
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
- 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
- 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
- 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
- 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
- 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
- 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
- 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
- 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
- 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
- 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
- a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
- b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
- 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
- a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
- b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- tolérance: nommez les sx
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
- 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
- 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
- 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
- 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
- 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
- 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
- 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
- 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
- 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
- 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
- a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
- b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
- 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
- a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
- b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- sevrage
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
- 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
- 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
- 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
- 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
- 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
- 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
- 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
- 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
- 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
- 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
- a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
- b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
- 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
- a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
- b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- sevrage: nommez les sx
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
- 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
- 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
- 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
- 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
- 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
- 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
- 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
- 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
- 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
- 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
- a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
- b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
- 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
- a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
- b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- Spécifications
- Spécifier si :
- En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
- En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
- Spécifier si :
- En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité.
- Spécifier la sévérité actuelle
- Léger : Présence de 2-3 symptômes 303.90
- Moyen : Présence de 4-5 symptômes 303.90
- Grave :Présence de 6 symptômes ou plus.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- Spécifications: rémission
-
Spécifier si :
- En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
- En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
- Spécifier si :
- En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité.
- Spécifier la sévérité actuelle
- Léger : Présence de 2-3 symptômes 303.90
- Moyen : Présence de 4-5 symptômes 303.90
- Grave :Présence de 6 symptômes ou plus.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- Spécifications: Rémission précoce
-
Spécifier si :
- En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
- En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
- Spécifier si :
- En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité.
- Spécifier la sévérité actuelle
- Léger : Présence de 2-3 symptômes 303.90
- Moyen : Présence de 4-5 symptômes 303.90
- Grave :Présence de 6 symptômes ou plus.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- Spécifications: Rémission prolongée
- Spécifier si :
- En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
- En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
- Spécifier si :
- En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité.
- Spécifier la sévérité actuelle
- Léger : Présence de 2-3 symptômes 303.90
- Moyen : Présence de 4-5 symptômes 303.90
- Grave :Présence de 6 symptômes ou plus.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- Spécifications: Environnement protégé
- Spécifier si :
- En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
- En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
- Spécifier si :
- En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité.
- Spécifier la sévérité actuelle
- Léger : Présence de 2-3 symptômes 303.90
- Moyen : Présence de 4-5 symptômes 303.90
- Grave :Présence de 6 symptômes ou plus.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- Spécifications: Sévérité actuelle
- Spécifier si :
- En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
- En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
- Spécifier si :
- En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité.
-
Spécifier la sévérité actuelle
- Léger : Présence de 2-3 symptômes
- Moyen : Présence de 4-5 symptômes
- Grave :Présence de 6 symptômes ou plus.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- Spécifications: Sévérité actuelle - léger
- Spécifier si :
- En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
- En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
- Spécifier si :
- En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité.
-
Spécifier la sévérité actuelle
- Léger : Présence de 2-3 symptômes
- Moyen : Présence de 4-5 symptômes
- Grave :Présence de 6 symptômes ou plus.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- Spécifications: Sévérité actuelle - moyen
- Spécifier si :
- En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
- En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
- Spécifier si :
- En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité.
-
Spécifier la sévérité actuelle
- Léger : Présence de 2-3 symptômes
- Moyen : Présence de 4-5 symptômes
- Grave :Présence de 6 symptômes ou plus.
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- Spécifications: Sévérité actuelle - grave
- Spécifier si :
- En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
- En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
- Spécifier si :
- En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité.
-
Spécifier la sévérité actuelle
- Léger : Présence de 2-3 symptômes
- Moyen : Présence de 4-5 symptômes
- Grave :Présence de 6 symptômes ou plus.
Critères dx de l’intoxication à l’alcool
- A. Ingestion récente d’alcool.
- B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool.
- C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool :
- 1.Discours bredouillant.
- 2.Incoordination motrice.
- 3.Démarche ébrieuse.
- 4.Nystagmus.
- 5.Altération de l’attention ou de la mémoire.
- 6.Stupeur ou coma.
- D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
Critères dx de l’intoxication à l’alcool
- critère de base
- A. Ingestion récente d’alcool.
- B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool.
- C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool :
- 1.Discours bredouillant.
- 2.Incoordination motrice.
- 3.Démarche ébrieuse.
- 4.Nystagmus.
- 5.Altération de l’attention ou de la mémoire.
- 6.Stupeur ou coma.
- D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
Critères dx de l’intoxication à l’alcool
- changements
- A. Ingestion récente d’alcool.
- B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool.
- C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool :
- 1.Discours bredouillant.
- 2.Incoordination motrice.
- 3.Démarche ébrieuse.
- 4.Nystagmus.
- 5.Altération de l’attention ou de la mémoire.
- 6.Stupeur ou coma.
- D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
Critères dx de l’intoxication à l’alcool
- changements: types
- A. Ingestion récente d’alcool.
- B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool.
- C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool :
- 1.Discours bredouillant.
- 2.Incoordination motrice.
- 3.Démarche ébrieuse.
- 4.Nystagmus.
- 5.Altération de l’attention ou de la mémoire.
- 6.Stupeur ou coma.
- D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
Critères dx de l’intoxication à l’alcool
- changements: intensité
- A. Ingestion récente d’alcool.
- B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool.
- C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool :
- 1.Discours bredouillant.
- 2.Incoordination motrice.
- 3.Démarche ébrieuse.
- 4.Nystagmus.
- 5.Altération de l’attention ou de la mémoire.
- 6.Stupeur ou coma.
- D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
Critères dx de l’intoxication à l’alcool
- changements: débutent quand?
- A. Ingestion récente d’alcool.
- B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool.
- C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool :
- 1.Discours bredouillant.
- 2.Incoordination motrice.
- 3.Démarche ébrieuse.
- 4.Nystagmus.
- 5.Altération de l’attention ou de la mémoire.
- 6.Stupeur ou coma.
- D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
Critères dx de l’intoxication à l’alcool
- sx nécessaires
- A. Ingestion récente d’alcool.
- B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool.
- C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool :
- 1.Discours bredouillant.
- 2.Incoordination motrice.
- 3.Démarche ébrieuse.
- 4.Nystagmus.
- 5.Altération de l’attention ou de la mémoire.
- 6.Stupeur ou coma.
- D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
Critères dx de l’intoxication à l’alcool
- sx nécessaires: nommez-les
- A. Ingestion récente d’alcool.
- B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool.
- C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool :
- 1.Discours bredouillant.
- 2.Incoordination motrice.
- 3.Démarche ébrieuse.
- 4.Nystagmus.
- 5.Altération de l’attention ou de la mémoire.
- 6.Stupeur ou coma.
- D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
Critères dx de l’intoxication à l’alcool
- exclure quoi?
- A. Ingestion récente d’alcool.
- B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool.
- C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool :
- 1.Discours bredouillant.
- 2.Incoordination motrice.
- 3.Démarche ébrieuse.
- 4.Nystagmus.
- 5.Altération de l’attention ou de la mémoire.
- 6.Stupeur ou coma.
- D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
Critères dx du sevrage de l’alcool
- A. Arrêt (ou réduction) d’un usage d’alcool qui a été massif et prolongé.
- B. Au moins deux des manifestations suivantes se développent de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage d’alcool décrit dans le critère A :
- 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex., transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minutes).
- 2.Augmentation du tremblement des mains.
- 3.Insomnie.
- 4.Nausée ou vomissements.
- 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives.
- 6.Agitation psychomotrice.
- 7.Anxiété.
- 8.Crises convulsives généralisées tonicocloniques.
- C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
- Spécifier si :
- Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
Critères dx du sevrage de l’alcool
- critère de base
- A. Arrêt (ou réduction) d’un usage d’alcool qui a été massif et prolongé.
- B. Au moins deux des manifestations suivantes se développent de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage d’alcool décrit dans le critère A :
- 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex., transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minutes).
- 2.Augmentation du tremblement des mains.
- 3.Insomnie.
- 4.Nausée ou vomissements.
- 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives.
- 6.Agitation psychomotrice.
- 7.Anxiété.
- 8.Crises convulsives généralisées tonicocloniques.
- C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
- Spécifier si :
- Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
Critères dx du sevrage de l’alcool
- manifestations
- A. Arrêt (ou réduction) d’un usage d’alcool qui a été massif et prolongé.
- B. Au moins deux des manifestations suivantes se développent de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage d’alcool décrit dans le critère A :
- 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex., transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minutes).
- 2.Augmentation du tremblement des mains.
- 3.Insomnie.
- 4.Nausée ou vomissements.
- 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives.
- 6.Agitation psychomotrice.
- 7.Anxiété.
- 8.Crises convulsives généralisées tonicocloniques.
- C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
- Spécifier si :
- Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
Critères dx du sevrage de l’alcool
- manifestations: nommez-les
- A. Arrêt (ou réduction) d’un usage d’alcool qui a été massif et prolongé.
- B. Au moins deux des manifestations suivantes se développent de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage d’alcool décrit dans le critère A :
- 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex., transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minutes).
- 2.Augmentation du tremblement des mains.
- 3.Insomnie.
- 4.Nausée ou vomissements.
- 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives.
- 6.Agitation psychomotrice.
- 7.Anxiété.
- 8.Crises convulsives généralisées tonicocloniques.
- C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
- Spécifier si :
- Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
Critères dx du sevrage de l’alcool
- manifestations: débute dans quel contexte?
- A. Arrêt (ou réduction) d’un usage d’alcool qui a été massif et prolongé.
- B. Au moins deux des manifestations suivantes se développent de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage d’alcool décrit dans le critère A :
- 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex., transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minutes).
- 2.Augmentation du tremblement des mains.
- 3.Insomnie.
- 4.Nausée ou vomissements.
- 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives.
- 6.Agitation psychomotrice.
- 7.Anxiété.
- 8.Crises convulsives généralisées tonicocloniques.
- C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
- Spécifier si :
- Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
Critères dx du sevrage de l’alcool
- impacts
- A. Arrêt (ou réduction) d’un usage d’alcool qui a été massif et prolongé.
- B. Au moins deux des manifestations suivantes se développent de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage d’alcool décrit dans le critère A :
- 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex., transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minutes).
- 2.Augmentation du tremblement des mains.
- 3.Insomnie.
- 4.Nausée ou vomissements.
- 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives.
- 6.Agitation psychomotrice.
- 7.Anxiété.
- 8.Crises convulsives généralisées tonicocloniques.
- C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
- Spécifier si :
- Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
Critères dx du sevrage de l’alcool
- exclure quoi?
- A. Arrêt (ou réduction) d’un usage d’alcool qui a été massif et prolongé.
- B. Au moins deux des manifestations suivantes se développent de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage d’alcool décrit dans le critère A :
- 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex., transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minutes).
- 2.Augmentation du tremblement des mains.
- 3.Insomnie.
- 4.Nausée ou vomissements.
- 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives.
- 6.Agitation psychomotrice.
- 7.Anxiété.
- 8.Crises convulsives généralisées tonicocloniques.
- C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
- Spécifier si :
- Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
- Spécifier si :
- Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
Critères dx du sevrage de l’alcool
- spécifications
- Spécifier si :
- Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
Critères dx du sevrage de l’alcool
- manifestations: sont quand?
- A. Arrêt (ou réduction) d’un usage d’alcool qui a été massif et prolongé.
- B. Au moins deux des manifestations suivantes se développent de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage d’alcool décrit dans le critère A :
- 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex., transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minutes).
- 2.Augmentation du tremblement des mains.
- 3.Insomnie.
- 4.Nausée ou vomissements.
- 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives.
- 6.Agitation psychomotrice.
- 7.Anxiété.
- 8.Crises convulsives généralisées tonicocloniques.
- C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
- Spécifier si :
- Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
Liste des troubles liés à l’alcool
- Troubles de l’usage de l’alcool
- Intoxication par l’alcool
- Sevrage de l’alcool
- État confusionnel (delirium) dû à une intoxication par l’alcool
- État confusionnel (delirium) dû au sevrage à l’alcool
- Trouble neurocognitif induit par l’alcool
- Trouble psychotique induit par une substance, avec idées délirantes ou hallucinations
- Trouble lié à l’alcool non spécifié
Liste des troubles liés à l’alcool
- nommez-les
- Troubles de l’usage de l’alcool
- Intoxication par l’alcool
- Sevrage de l’alcool
- État confusionnel (delirium) dû à une intoxication par l’alcool
- État confusionnel (delirium) dû au sevrage à l’alcool
- Trouble neurocognitif induit par l’alcool
- Trouble psychotique induit par une substance, avec idées délirantes ou hallucinations
- Trouble lié à l’alcool non spécifié
Sevrage simple: Traitement
- types de tx
- Traitements biologiques
- Traitements psychologiques
- Interventions sociales
Sevrage simple: Traitement Biologique
- nommez les options
- Benzodiazépine
- Naltrexone
- Acamprostate
- Baclofène
- Disulfirame
Sevrage simple: Traitement Biologique
- Le plus utilisé
- Benzodiazépine
- Les plus utilisées
- Préviennent les crises convulsives et le DT
- Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules
- Les différentes molécules sont une efficacité comparable
- La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage
- La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours
- Quelques ajouts sont parfois nécessaires
- Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants
- Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
Sevrage simple: Traitement Biologique
- Benzo
- Les plus utilisées
- Préviennent les crises convulsives et le DT
- Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules
- Les différentes molécules sont une efficacité comparable
- La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage
- La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours
- Quelques ajouts sont parfois nécessaires
- Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants
- Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
Sevrage simple: Traitement Biologique
- Benzo: fréquence utilisation
- Les plus utilisées
- Préviennent les crises convulsives et le DT
- Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules
- Les différentes molécules sont une efficacité comparable
- La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage
- La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours
- Quelques ajouts sont parfois nécessaires
- Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants
- Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
Sevrage simple: Traitement Biologique
- Benzo: indications
- Les plus utilisées
- Préviennent les crises convulsives et le DT
- Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules
- Les différentes molécules sont une efficacité comparable
- La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage
- La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours
- Quelques ajouts sont parfois nécessaires
- Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants
- Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
Sevrage simple: Traitement Biologique
- Benzo: Efficacité de l’effet convulsif
- Les plus utilisées
- Préviennent les crises convulsives et le DT
- Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules
- Les différentes molécules sont une efficacité comparable
- La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage
- La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours
- Quelques ajouts sont parfois nécessaires
- Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants
- Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
Sevrage simple: Traitement Biologique
- Benzo: Efficacité des différentes molécules
- Les plus utilisées
- Préviennent les crises convulsives et le DT
- Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules
- Les différentes molécules sont une efficacité comparable
- La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage
- La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours
- Quelques ajouts sont parfois nécessaires
- Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants
- Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
Sevrage simple: Traitement Biologique
- Benzo: La posologie dépend de quoi?
- Les plus utilisées
- Préviennent les crises convulsives et le DT
- Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules
- Les différentes molécules sont une efficacité comparable
- La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage
- La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours
- Quelques ajouts sont parfois nécessaires
- Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants
- Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
Sevrage simple: Traitement Biologique
- Benzo: Durée de traitement
- Les plus utilisées
- Préviennent les crises convulsives et le DT
- Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules
- Les différentes molécules sont une efficacité comparable
- La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage
- La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours
- Quelques ajouts sont parfois nécessaires
- Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants
- Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
Sevrage simple: Traitement Biologique
- Benzo: Ajouts nécessaires
- Les plus utilisées
- Préviennent les crises convulsives et le DT
- Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules
- Les différentes molécules sont une efficacité comparable
- La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage
- La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours
-
Quelques ajouts sont parfois nécessaires
- Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants
- Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
Sevrage simple: Traitement Biologique
- Benzo: Ajouts nécessaires - indication de phénobarbital
- Les plus utilisées
- Préviennent les crises convulsives et le DT
- Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules
- Les différentes molécules sont une efficacité comparable
- La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage
- La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours
-
Quelques ajouts sont parfois nécessaires
- Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants
- Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
Sevrage simple: Traitement Biologique
- Benzo: Ajouts nécessaires - indications antipsychotiques
- Les plus utilisées
- Préviennent les crises convulsives et le DT
- Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules
- Les différentes molécules sont une efficacité comparable
- La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage
- La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours
-
Quelques ajouts sont parfois nécessaires
- Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants
- Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
Sevrage simple: Traitement Biologique
- Naltrexone
- Antagoniste des récepteurs opioïdes
- Atténue le renforcement fait pas l’alcool (médication adjuvante au traitement)
- Diminue le risque de rechute, augmente le temps avant la rechute, et une diminution de jours où la personne boit et du nombre de consommations
- Les effets secondaires incluent : Vo, diarrhée, somnolence, élévation des AST et ALT
- La toxicité hépatique est rare, mais il est conseillé de tout même surveiller par bilans
Sevrage simple: Traitement Biologique
- Naltrexone: classe de Rx
- Antagoniste des récepteurs opioïdes
- Atténue le renforcement fait pas l’alcool (médication adjuvante au traitement)
- Diminue le risque de rechute, augmente le temps avant la rechute, et une diminution de jours où la personne boit et du nombre de consommations
- Les effets secondaires incluent : Vo, diarrhée, somnolence, élévation des AST et ALT
- La toxicité hépatique est rare, mais il est conseillé de tout même surveiller par bilans
Sevrage simple: Traitement Biologique
- Naltrexone: mécanisme d’action
- Antagoniste des récepteurs opioïdes
- Atténue le renforcement fait pas l’alcool (médication adjuvante au traitement)
- Diminue le risque de rechute, augmente le temps avant la rechute, et une diminution de jours où la personne boit et du nombre de consommations
- Les effets secondaires incluent : Vo, diarrhée, somnolence, élévation des AST et ALT
- La toxicité hépatique est rare, mais il est conseillé de tout même surveiller par bilans
Sevrage simple: Traitement Biologique
- Naltrexone: effets positifs
- Antagoniste des récepteurs opioïdes
- Atténue le renforcement fait pas l’alcool (médication adjuvante au traitement)
- Diminue le risque de rechute, augmente le temps avant la rechute, et une diminution de jours où la personne boit et du nombre de consommations
- Les effets secondaires incluent : Vo, diarrhée, somnolence, élévation des AST et ALT
- La toxicité hépatique est rare, mais il est conseillé de tout même surveiller par bilans
Sevrage simple: Traitement Biologique
- Naltrexone: E2
- Antagoniste des récepteurs opioïdes
- Atténue le renforcement fait pas l’alcool (médication adjuvante au traitement)
- Diminue le risque de rechute, augmente le temps avant la rechute, et une diminution de jours où la personne boit et du nombre de consommations
- Les effets secondaires incluent : Vo, diarrhée, somnolence, élévation des AST et ALT
- La toxicité hépatique est rare, mais il est conseillé de tout même surveiller par bilans
Sevrage simple: Traitement Biologique
- Naltrexone: suivi / bilan à faire
- Antagoniste des récepteurs opioïdes
- Atténue le renforcement fait pas l’alcool (médication adjuvante au traitement)
- Diminue le risque de rechute, augmente le temps avant la rechute, et une diminution de jours où la personne boit et du nombre de consommations
- Les effets secondaires incluent : Vo, diarrhée, somnolence, élévation des AST et ALT
- La toxicité hépatique est rare, mais il est conseillé de tout même surveiller par bilans
Sevrage simple: Tx Biologique
- Acamprosate
- Acide aminé dérivé de la taurine
- Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA
- Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés
- Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent
- Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence
- Bien toléré et non métabolisé par le foie
- Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée
- Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit