Troubles reliés à l'utilisation de substances Flashcards

1
Q

Identifier, en se référant aux critères utilisés dans le DSM 5, les manifestations cliniques en relation avec l’intoxication et le sevrage liés aux substances suivantes

A

Identifier, en se référant aux critères utilisés dans le DSM 5, les manifestations cliniques en relation avec l’intoxication et le sevrage liés aux substances suivantes (Lalonde 874 à 908) :

  1. Amphétamines
  2. Cannabis
  3. Cocaïne
  4. Anxiolytiques, hypnotiques, sédatifs
  5. Phencyclidine (PCP)
  6. Nicotine
  7. Inhalants et hallucinatoires
  8. Caféine
  9. Procéder à l’application de la démarche clinique dans un cas d’abus de substances présenté sur vignette
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2
Q

Définir: Substance psychoactive (SPA)

A
  • Substance qui, une fois ingérée, modifie certains processus mentaux tel la cognition ou l’affect.
  • Cette expression est neutre et désigne une catégorie complète de substances licites et illicites.
  • L’expression « substance psychoactive » est préférée au terme « drogue » qui, dans le langage courant, désigne une substance illicite.
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3
Q

Définir: Substance psychoactive (SPA)
- décrire l’effets de la substance

A
  • Substance qui, une fois ingérée, modifie certains processus mentaux tel la cognition ou l’affect.
  • Cette expression est neutre et désigne une catégorie complète de substances licites et illicites.
  • L’expression « substance psychoactive » est préférée au terme « drogue » qui, dans le langage courant, désigne une substance illicite.
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4
Q

Définir: Substance psychoactive (SPA)
- susbtance légale ou illégale?

A
  • Substance qui, une fois ingérée, modifie certains processus mentaux tel la cognition ou l’affect.
  • Cette expression est neutre et désigne une catégorie complète de substances licites et illicites.
  • L’expression « substance psychoactive » est préférée au terme « drogue » qui, dans le langage courant, désigne une substance illicite.
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5
Q

Définir: Substance psychoactive (SPA)
- différence avec terme “drogue”?

A
  • Substance qui, une fois ingérée, modifie certains processus mentaux tel la cognition ou l’affect.
  • Cette expression est neutre et désigne une catégorie complète de substances licites et illicites.
  • L’expression « substance psychoactive » est préférée au terme « drogue » qui, dans le langage courant, désigne une substance illicite.
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6
Q

Définir: Addiction

A
  • Anglicisme médiéval désignant la servitude où tombe un vassal incapable d’honorer ses dettes envers son suzerain.
  • Dépendance à l’égard d’un toxique (toxicomanie), mais aussi, par extension, d’une pratique (achats compulsifs) ou d’une situation sociale (relations affectives, travail intense).
  • Sur le plan psychologique, l’addiction implique du désarroi devant la répétition d’un rapport à un objet vidé de sens par sa consommation abusive.
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7
Q

Définir: Addiction
- origine du mot

A
  • Anglicisme médiéval désignant la servitude où tombe un vassal incapable d’honorer ses dettes envers son suzerain.
  • Dépendance à l’égard d’un toxique (toxicomanie), mais aussi, par extension, d’une pratique (achats compulsifs) ou d’une situation sociale (relations affectives, travail intense).
  • Sur le plan psychologique, l’addiction implique du désarroi devant la répétition d’un rapport à un objet vidé de sens par sa consommation abusive.
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8
Q

Définir: Addiction
- lien avec médiéval

A
  • Anglicisme médiéval désignant la servitude où tombe un vassal incapable d’honorer ses dettes envers son suzerain.
  • Dépendance à l’égard d’un toxique (toxicomanie), mais aussi, par extension, d’une pratique (achats compulsifs) ou d’une situation sociale (relations affectives, travail intense).
  • Sur le plan psychologique, l’addiction implique du désarroi devant la répétition d’un rapport à un objet vidé de sens par sa consommation abusive.
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9
Q

Définir: Addiction
- c’est quoi?

A
  • Anglicisme médiéval désignant la servitude où tombe un vassal incapable d’honorer ses dettes envers son suzerain.
  • Dépendance à l’égard d’un toxique (toxicomanie), mais aussi, par extension, d’une pratique (achats compulsifs) ou d’une situation sociale (relations affectives, travail intense).
  • Sur le plan psychologique, l’addiction implique du désarroi devant la répétition d’un rapport à un objet vidé de sens par sa consommation abusive.
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10
Q

Définir: Addiction
- addiction psychologique

A
  • Anglicisme médiéval désignant la servitude où tombe un vassal incapable d’honorer ses dettes envers son suzerain.
  • Dépendance à l’égard d’un toxique (toxicomanie), mais aussi, par extension, d’une pratique (achats compulsifs) ou d’une situation sociale (relations affectives, travail intense).
  • Sur le plan psychologique, l’addiction implique du désarroi devant la répétition d’un rapport à un objet vidé de sens par sa consommation abusive.
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11
Q

Définir: Craving ou appétence

A
  • Besoin impérieux du produit, ressenti par le sujet, en période de sevrage ou en période d’abstinence.
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12
Q

Définir: Craving ou appétence
- c’est quoi?

A
  • Besoin impérieux du produit, ressenti par le sujet, en période de sevrage ou en période d’abstinence.
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13
Q

Définir: Comorbidité

A
  • Présence simultanée de deux ou plusieurs diagnostics chez un même patient sans nécessité de lien causal.
  • En psychiatrie, fait référence de façon générale à la concomitance de trouble lié à l’utilisation de substance et d’un autre diagnostic de l’axe I ou II.
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14
Q

Définir: Comorbidité
- c’est quoi?

A
  • Présence simultanée de deux ou plusieurs diagnostics chez un même patient sans nécessité de lien causal.
  • En psychiatrie, fait référence de façon générale à la concomitance de trouble lié à l’utilisation de substance et d’un autre diagnostic de l’axe I ou II.
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15
Q

Définir: Comorbidité
- définition en psychiatrie

A
  • Présence simultanée de deux ou plusieurs diagnostics chez un même patient sans nécessité de lien causal.
  • En psychiatrie, fait référence de façon générale à la concomitance de trouble lié à l’utilisation de substance et d’un autre diagnostic de l’axe I ou II.
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16
Q

Définir: Réduction des méfaits

A
  • Approche de santé publique qui met principalement l’accent sur la réduction des conséquences négatives de la consommation plutôt que sur l’élimination de celle-ci ou sur l’abstinence.
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17
Q

Définir: Réduction des méfaits
- c’est quoi?

A
  • Approche de santé publique qui met principalement l’accent sur la réduction des conséquences négatives de la consommation plutôt que sur l’élimination de celle-ci ou sur l’abstinence.
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18
Q

Dépendance / abus: DSM V

A
  • Dépendance et Abus sont des termes du DSM IV remplacés par Trouble de l’usage de (…).
  • Vous verrez en plénière la signification de ces termes que vous retrouverez dans les dossiers médicaux et encore dans le langage de certains cliniciens.
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19
Q

Définir: Dépendance et Abus

A
  • Le DSM-5 offre une réforme des diagnostics des troubles des substances.
  • Il présente maintenant ces troubles sous la forme d’un continuum, dont le spectre de sévérité débute par la consommation nocive de l’individu (abus), allant jusqu’à un tableau clinique plus grave incluant la prise compulsive d’alcool, la tolérance ou les symptômes de sevrage (dépendance).
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20
Q

Définir: Dépendance et Abus
- terme dans DSM-5

A
  • Le DSM-5 offre une réforme des diagnostics des troubles des substances.
  • Il présente maintenant ces troubles sous la forme d’un continuum, dont le spectre de sévérité débute par la consommation nocive de l’individu (abus), allant jusqu’à un tableau clinique plus grave incluant la prise compulsive d’alcool, la tolérance ou les symptômes de sevrage (dépendance).
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21
Q

Définir: Dépendance et Abus
- représentation dans le DSM-5

A
  • Le DSM-5 offre une réforme des diagnostics des troubles des substances.
  • Il présente maintenant ces troubles sous la forme d’un continuum, dont le spectre de sévérité débute par la consommation nocive de l’individu (abus), allant jusqu’à un tableau clinique plus grave incluant la prise compulsive d’alcool, la tolérance ou les symptômes de sevrage (dépendance).
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22
Q

Substance la plus consommée

A

L’alcool

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23
Q

Substance causant le plus de tr liés à l’usage dans la population générale

A
  • L’alcool.
  • On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes.
  • L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko).
  • En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %).
  • En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).
  • Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
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24
Q

Alcool

A
  • L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l’usage dans la population générale et est la substance la plus consommée.
  • On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes.
  • L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko).
  • En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %).
  • En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).
  • Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
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25
Q

Alcool: Proportion de la population consommant de l’alcool

A
  • L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l’usage dans la population générale et est la substance la plus consommée.
  • On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes.
  • L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko).
  • En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %).
  • En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).
  • Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
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26
Q

Alcool: Âge moyen de la 1ère consommation

A
  • L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l’usage dans la population générale et est la substance la plus consommée.
  • On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes.
  • L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko).
  • En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %).
  • En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).
  • Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
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27
Q

Alcool: Groupes d’âge où se trouvent les plus grands buveurs de boissons alcoolisées et sucrées

A
  • L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l’usage dans la population générale et est la substance la plus consommée.
  • On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes.
  • L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko).
  • En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %).
  • En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).
  • Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
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28
Q

Alcool: Proportion de la population ayant une dépendance à l’alcool

A
  • L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l’usage dans la population générale et est la substance la plus consommée.
  • On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes.
  • L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko).
  • En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %).
  • En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).
  • Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
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29
Q

Alcool: Proportion de la pop ayant une conso excessive d’alcool

A
  • L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l’usage dans la population générale et est la substance la plus consommée.
  • On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes.
  • L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko).
  • En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %).
  • En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).
  • Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
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30
Q

Alcool: Définition d’une conso excessive d’alcool

A
  • L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l’usage dans la population générale et est la substance la plus consommée.
  • On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes.
  • L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko).
  • En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %).
  • En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).
  • Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
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31
Q

Alcool: Conso excessive d’alcool - H vs F

A
  • L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l’usage dans la population générale et est la substance la plus consommée.
  • On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes.
  • L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko).
  • En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %).
  • En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).
  • Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
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32
Q

Alcool: Lien avec accidents de la route

A
  • L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l’usage dans la population générale et est la substance la plus consommée.
  • On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes.
  • L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko).
  • En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %).
  • En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).
  • Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
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33
Q

TUS: NT impliqués

A
  • Effets lors de la consommation (aigu)
    • Facilitateur de la transmission du système GABA
    • Canaux CA2+ et K+
    • Augmentation de la libération de peptides opioïdes
    • Augmentation de la DA dans le système limbique
  • Effet chronique
    • Diminution de l’effet sur les récepteurs ionotropiques
    • Concentration des récepteurs NMDA aux synapses activées par le glutamate
    • Augmentation de la CRF et de ses récepteurs sur l’amygdale
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34
Q

TUS: NT impliqués
- Effet lors de la consommation (aigu)

A
  • Effets lors de la consommation (aigu)
    • Facilitateur de la transmission du système GABA
    • Canaux CA2+ et K+
    • Augmentation de la libération de peptides opioïdes
    • Augmentation de la DA dans le système limbique
  • Effet chronique
    • Diminution de l’effet sur les récepteurs ionotropiques
    • Concentration des récepteurs NMDA aux synapses activées par le glutamate
    • Augmentation de la CRF et de ses récepteurs sur l’amygdale
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35
Q

TUS: NT impliqués
- Effet chronique

A
  • Effets lors de la consommation (aigu)
    • Facilitateur de la transmission du système GABA
    • Canaux CA2+ et K+
    • Augmentation de la libération de peptides opioïdes
    • Augmentation de la DA dans le système limbique
  • Effet chronique
    • Diminution de l’effet sur les récepteurs ionotropiques
    • Concentration des récepteurs NMDA aux synapses activées par le glutamate
    • Augmentation de la CRF et de ses récepteurs sur l’amygdale
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36
Q

TUS: NT impliqués
- Effet aigu: impacts sur GABA

A

Facilitateur de la transmission du système GABA

  • Blocage des récepteurs NMDA
    • Trous de mémoire
    • Erreurs de jugement
  • Action sur les récepteurs GABA
    • Sédation
    • Incoordination
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37
Q

TUS: NT impliqués
- Effet aigu: impacts sur GABA - expliquez

A

Facilitateur de la transmission du système GABA

  • Blocage des récepteurs NMDA
    • Trous de mémoire
    • Erreurs de jugement
  • Action sur les récepteurs GABA
    • Sédation
    • Incoordination
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38
Q

TUS: NT impliqués
- Effet aigu: impacts sur GABA - éléments

A

Facilitateur de la transmission du système GABA

  • Blocage des récepteurs NMDA
    • Trous de mémoire
    • Erreurs de jugement
  • Action sur les récepteurs GABA
    • Sédation
    • Incoordination
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39
Q

TUS: NT impliqués
- Effet aigu: impacts sur GABA - récepteurs NMDA

A

Facilitateur de la transmission du système GABA

  • Blocage des récepteurs NMDA
    • Trous de mémoire
    • Erreurs de jugement
  • Action sur les récepteurs GABA
    • Sédation
    • Incoordination
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40
Q

TUS: NT impliqués
- Effet aigu: impacts sur GABA - récepteurs GABA

A

Facilitateur de la transmission du système GABA

  • Blocage des récepteurs NMDA
    • Trous de mémoire
    • Erreurs de jugement
  • Action sur les récepteurs GABA
    • Sédation
    • Incoordination
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41
Q

TUS: NT impliqués
- Effet aigu: 5-HT - expliquez

A

Potentialisation de l’action de la 5-HT sur les récepteurs 5-HT3

  • À faible dose, cause les effets stimulants de l’alcool, et augmente la DA dans le moyau accumbens
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42
Q

TUS: NT impliqués
- Effet aigu: 5-HT - détaillez

A

Potentialisation de l’action de la 5-HT sur les récepteurs 5-HT3

  • À faible dose, cause les effets stimulants de l’alcool, et augmente la DA dans le moyau accumbens
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TUS: NT impliqués
- Effet aigu: Canaux

A

Canaux CA2+ et K+

  • Modification de leur activité
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TUS: NT impliqués
- Effet aigu: Canaux - nommez ceux impliqués

A

Canaux CA2+ et K+

  • Modification de leur activité
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Q

TUS: NT impliqués
- Effet aigu: Canaux - expliquez

A

Canaux CA2+ et K+

  • Modification de leur activité
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Q

TUS: NT impliqués
- Effet aigu: Peptides opioïdes

A

Augmentation de la libération de peptides opioïdes

  • Ex : ß-endorphines et corticolibérine (CRF)
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TUS: NT impliqués
- Effet aigu: Peptides opioïdes - expliquez l’effet

A

Augmentation de la libération de peptides opioïdes

  • Ex : ß-endorphines et corticolibérine (CRF)
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TUS: NT impliqués
- Effet aigu: Peptides opioïdes - donnez des exemples

A

Augmentation de la libération de peptides opioïdes

  • Ex : ß-endorphines et corticolibérine (CRF)
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TUS: NT impliqués
- Effet aigu: Dopamine

A

Augmentation de la DA dans le système limbique

  • Pouvoir toxicomanogène de l’alcool (effet de renforcement)
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TUS: NT impliqués
- Effet aigu: Dopamine - expliquez l’effet

A

Augmentation de la DA dans le système limbique

  • Pouvoir toxicomanogène de l’alcool (effet de renforcement)
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TUS: NT impliqués
- Effet aigu: Dopamine - expliquez

A

Augmentation de la DA dans le système limbique

  • Pouvoir toxicomanogène de l’alcool (effet de renforcement)
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TUS: NT impliqués
- Effet chronique: expliquez

A
  • La consommation prolongée de grandes quantités d’alcool pourrait entraîner des changements adaptatifs durables, voire permanents, de la transmission synaptique cérébrale et modifier ainsi la réponse de l’individu à l’alcool
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TUS: NT impliqués
- Effet chronique: Récepteurs ionotropiques

A

Diminution de l’effet sur les récepteurs ionotropiques

  • Responsable de la tolérance acquise
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TUS: NT impliqués
- Effet chronique: Récepteurs ionotropiques - expliquez l’effet

A

Diminution de l’effet sur les récepteurs ionotropiques
- Responsable de la tolérance acquise

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Q

TUS: NT impliqués
- Effet chronique: Récepteurs ionotropiques - rôle

A

Diminution de l’effet sur les récepteurs ionotropiques

  • Responsable de la tolérance acquise
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TUS: NT impliqués
- Effet chronique: Glutamate

A

Concentration des récepteurs NMDA aux synapses activées par le glutamate

  • Favorisation de la crise convulsive chez la personne en sevrage
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TUS: NT impliqués
- Effet chronique: Glutamate - expliquez l’effet

A

Concentration des récepteurs NMDA aux synapses activées par le glutamate

  • Favorisation de la crise convulsive chez la personne en sevrage
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TUS: NT impliqués
- Effet chronique: Glutamate - expliquez

A

Concentration des récepteurs NMDA aux synapses activées par le glutamate

  • Favorisation de la crise convulsive chez la personne en sevrage
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TUS: NT impliqués
- Effet chronique: Amygdale

A

Augmentation de la CRF et de ses récepteurs sur l’amygdale

  • Augmentation de la sensibilité au stress et création d’un état émotif négatif
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TUS: NT impliqués
- Effet chronique: Amygdale - expliquez l’effet

A

Augmentation de la CRF et de ses récepteurs sur l’amygdale

  • Augmentation de la sensibilité au stress et création d’un état émotif négatif
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Q

TUS: NT impliqués
- Effet chronique: Amygdale - expliquez

A

Augmentation de la CRF et de ses récepteurs sur l’amygdale

  • Augmentation de la sensibilité au stress et création d’un état émotif négatif
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62
Q

Étylisme: Rôle de la génétique

A
  • La génétique est responsable d’environ 50 – 60 % de la prédisposition d’un individu à développer une dépendance à l’alcool.
  • Ces gènes interagissent avec l’environnement pour amener le trouble relié à l’alcool.
  • On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :
    • 1.Le métabolisme de l’alcool
    • 2.Le niveau de réponse
    • 3.Les traits de personnalité
    • 4.La présence de comorbidités psychiatriques
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Étylisme: Importance de la génétique

A
  • La génétique est responsable d’environ 50 – 60 % de la prédisposition d’un individu à développer une dépendance à l’alcool.
  • Ces gènes interagissent avec l’environnement pour amener le trouble relié à l’alcool.
  • On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :
    • 1.Le métabolisme de l’alcool
    • 2.Le niveau de réponse
    • 3.Les traits de personnalité
    • 4.La présence de comorbidités psychiatriques
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Étylisme: Gènes

A
  • La génétique est responsable d’environ 50 – 60 % de la prédisposition d’un individu à développer une dépendance à l’alcool.
  • Ces gènes interagissent avec l’environnement pour amener le trouble relié à l’alcool.
  • On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :
    • 1.Le métabolisme de l’alcool
    • 2.Le niveau de réponse
    • 3.Les traits de personnalité
    • 4.La présence de comorbidités psychiatriques
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Q

Étylisme: Rôle de la génétique
- caractéristiques phénotypiques

A
  • La génétique est responsable d’environ 50 – 60 % de la prédisposition d’un individu à développer une dépendance à l’alcool.
  • Ces gènes interagissent avec l’environnement pour amener le trouble relié à l’alcool.
  • On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :
    • 1.Le métabolisme de l’alcool
    • 2.Le niveau de réponse
    • 3.Les traits de personnalité
    • 4.La présence de comorbidités psychiatriques
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Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques

A

On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :

  1. Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
  2. Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
  3. Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
  4. La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
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67
Q

Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques: Nommez-les

A

On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :

  1. Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
  2. Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
  3. Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
  4. La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
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Q

Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques: Métabolisme d’alcool

A

On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :

  1. Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
  2. Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
  3. Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
  4. La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
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Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques: Métabolisme d’alcool - ethnicité

A

On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :

  1. Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
  2. Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
  3. Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
  4. La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
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Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques: Métabolisme d’alcool - expliquez

A

On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :

  1. Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
  2. Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
  3. Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
  4. La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
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Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques: Niveau de réponse

A

On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :

  1. Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
  2. Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
  3. Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
  4. La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
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Q

Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques: Niveau de réponse - expliquez

A

On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :

  1. Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
  2. Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
  3. Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
  4. La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
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Q

Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques: Niveau de réponse - éléments

A

On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :

  1. Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
  2. Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
  3. Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
  4. La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
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Q

Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques: Traits de personnalité

A

On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :

  1. Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
  2. Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
  3. Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
  4. La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
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75
Q

Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques: Traits de personnalité - expliquez

A

On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :

  1. Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
  2. Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
  3. Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
  4. La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
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76
Q

Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques: Traits de personnalité - lesquels?

A

On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :

  1. Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
  2. Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
  3. Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
  4. La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
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Q

Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques: Présence de comorbidités psychiatriques

A

On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :

  1. Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
  2. Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
  3. Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
  4. La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
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Étylisme: Génétique
- Caractéristiques phénotypiques: Présence de comorbidités psychiatriques - lesquelles?

A

On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles :

  1. Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool.
  2. Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)
  3. Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)
  4. La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
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Éthylisme: Étiologie

A
  • Ce n’est qu’à travers des interactions plus ou moins favorables (social) que l’influence génétique peut exercer son effet.
  • La consommation d’alcool à elle seule n’est pas suffisante pour provoquer l’apparition d’un trouble lié à l’alcool.
  • Il est à noter que l’alcool est métabolisé au rythme approximatif d’une consommation à l’heure.
    • Exemple à titre indicatif : une FourLoko prend environ 4h – 5h à être métabolisé en moyenne.
  • De plus, l’exposition prénatale à l’alcool (il est à noter que jusqu’à 15 % des femmes continuent à consommer enceinte), en plus du risque d’alcoolisation fœtale, augmente le risque de trouble reliés à l’alcool :
    • Prédisposition à un mode de comportement déviant ou antisocial
    • Développement d’une vulnérabilité biologique spécifique à l’alcool
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Éthylisme: Étiologie
- expliquez

A
  • Ce n’est qu’à travers des interactions plus ou moins favorables (social) que l’influence génétique peut exercer son effet. La consommation d’alcool à elle seule n’est pas suffisante pour provoquer l’apparition d’un trouble lié à l’alcool.
  • Il est à noter que l’alcool est métabolisé au rythme approximatif d’une consommation à l’heure.
    • Exemple à titre indicatif : une FourLoko prend environ 4h – 5h à être métabolisé en moyenne.
  • De plus, l’exposition prénatale à l’alcool (il est à noter que jusqu’à 15 % des femmes continuent à consommer enceinte), en plus du risque d’alcoolisation fœtale, augmente le risque de trouble reliés à l’alcool :
    • Prédisposition à un mode de comportement déviant ou antisocial
    • Développement d’une vulnérabilité biologique spécifique à l’alcool
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Q

Éthylisme: Étiologie

A
  • Ce n’est qu’à travers des interactions plus ou moins favorables (social) que l’influence génétique peut exercer son effet. La consommation d’alcool à elle seule n’est pas suffisante pour provoquer l’apparition d’un trouble lié à l’alcool.
  • Il est à noter que l’alcool est métabolisé au rythme approximatif d’une consommation à l’heure.
    • Exemple à titre indicatif : une FourLoko prend environ 4h – 5h à être métabolisé en moyenne.
  • De plus, l’exposition prénatale à l’alcool (il est à noter que jusqu’à 15 % des femmes continuent à consommer enceinte), en plus du risque d’alcoolisation fœtale, augmente le risque de trouble reliés à l’alcool :
    • Prédisposition à un mode de comportement déviant ou antisocial
    • Développement d’une vulnérabilité biologique spécifique à l’alcool
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82
Q

Éthylisme: Étiologie
- durée métabolisation

A
  • Ce n’est qu’à travers des interactions plus ou moins favorables (social) que l’influence génétique peut exercer son effet. La consommation d’alcool à elle seule n’est pas suffisante pour provoquer l’apparition d’un trouble lié à l’alcool.
  • Il est à noter que l’alcool est métabolisé au rythme approximatif d’une consommation à l’heure.
    • Exemple à titre indicatif : une FourLoko prend environ 4h – 5h à être métabolisé en moyenne.
  • De plus, l’exposition prénatale à l’alcool (il est à noter que jusqu’à 15 % des femmes continuent à consommer enceinte), en plus du risque d’alcoolisation fœtale, augmente le risque de trouble reliés à l’alcool :
    • Prédisposition à un mode de comportement déviant ou antisocial
    • Développement d’une vulnérabilité biologique spécifique à l’alcool
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83
Q

Éthylisme: Étiologie
- durée métabolisation: exemple FourLoko

A
  • Ce n’est qu’à travers des interactions plus ou moins favorables (social) que l’influence génétique peut exercer son effet. La consommation d’alcool à elle seule n’est pas suffisante pour provoquer l’apparition d’un trouble lié à l’alcool.
  • Il est à noter que l’alcool est métabolisé au rythme approximatif d’une consommation à l’heure.
    • Exemple à titre indicatif : une FourLoko prend environ 4h – 5h à être métabolisé en moyenne.
  • De plus, l’exposition prénatale à l’alcool (il est à noter que jusqu’à 15 % des femmes continuent à consommer enceinte), en plus du risque d’alcoolisation fœtale, augmente le risque de trouble reliés à l’alcool :
    • Prédisposition à un mode de comportement déviant ou antisocial
    • Développement d’une vulnérabilité biologique spécifique à l’alcool
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84
Q

Exposition prénatale à l’alcool

A
  • De plus, l’exposition prénatale à l’alcool (il est à noter que jusqu’à 15 % des femmes continuent à consommer enceinte), en plus du risque d’alcoolisation fœtale, augmente le risque de trouble reliés à l’alcool :
    • Prédisposition à un mode de comportement déviant ou antisocial
    • Développement d’une vulnérabilité biologique spécifique à l’alcool
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85
Q

Exposition prénatale à l’alcool: Proportion des femmes enceintes continuant de boire

A
  • De plus, l’exposition prénatale à l’alcool (il est à noter que jusqu’à 15 % des femmes continuent à consommer enceinte), en plus du risque d’alcoolisation fœtale, augmente le risque de trouble reliés à l’alcool :
    • Prédisposition à un mode de comportement déviant ou antisocial
    • Développement d’une vulnérabilité biologique spécifique à l’alcool
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86
Q

Exposition prénatale à l’alcool: Risques associés

A
  • De plus, l’exposition prénatale à l’alcool (il est à noter que jusqu’à 15 % des femmes continuent à consommer enceinte), en plus du risque d’alcoolisation fœtale, augmente le risque de trouble reliés à l’alcool :
    • Prédisposition à un mode de comportement déviant ou antisocial
    • Développement d’une vulnérabilité biologique spécifique à l’alcool
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87
Q

Modèles cognitivo-comportemental pour expliquer la vulnérabilité individuelle face à l’alcool

A
  1. Théorie de la réduction de la tension : L’alcool crée un renforcement par sa capacité à réduire la tension (association entre l’alcool et la diminution de son état émotionnel négatif)
  2. Théorie de l’amortissement de la réponse au stress : limitation de la consommation aux moments où l’individu anticipe ou vit du stress (association à une diminution du stress). Il est à noter que cette théorie reconnaît les différences individuelles.
  3. Hypothèse de l’automédication : les effets psychotropes de l’alcool sur l’état psychologique de l’individu poussent certaines personnes à développer une dépendance à cette drogue.
  • Ces trois modèles ont en commun de proposer que l’alcool entraîne une réduction de l’état de vigilance ou de l’anxiété physiologique et cognitive, constituant ainsi un renforcement négatif de la prise d’alcool (renforcement par la diminution d’un stimulus négatif).
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88
Q

Modèles cognitivo-comportemental pour expliquer la vulnérabilité iondividuelle face à l’alcool
- nommez-les

A
  1. Théorie de la réduction de la tension : L’alcool crée un renforcement par sa capacité à réduire la tension (association entre l’alcool et la diminution de son état émotionnel négatif)
  2. Théorie de l’amortissement de la réponse au stress : limitation de la consommation aux moments où l’individu anticipe ou vit du stress (association à une diminution du stress). Il est à noter que cette théorie reconnaît les différences individuelles.
  3. Hypothèse de l’automédication : les effets psychotropes de l’alcool sur l’état psychologique de l’individu poussent certaines personnes à développer une dépendance à cette drogue.
  • Ces trois modèles ont en commun de proposer que l’alcool entraîne une réduction de l’état de vigilance ou de l’anxiété physiologique et cognitive, constituant ainsi un renforcement négatif de la prise d’alcool (renforcement par la diminution d’un stimulus négatif).
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89
Q

Modèles cognitivo-comportemental pour expliquer la vulnérabilité iondividuelle face à l’alcool
- Théorie de la réduction de la tension

A
  1. Théorie de la réduction de la tension : L’alcool crée un renforcement par sa capacité à réduire la tension (association entre l’alcool et la diminution de son état émotionnel négatif)
  2. Théorie de l’amortissement de la réponse au stress : limitation de la consommation aux moments où l’individu anticipe ou vit du stress (association à une diminution du stress). Il est à noter que cette théorie reconnaît les différences individuelles.
  3. Hypothèse de l’automédication : les effets psychotropes de l’alcool sur l’état psychologique de l’individu poussent certaines personnes à développer une dépendance à cette drogue.
  • Ces trois modèles ont en commun de proposer que l’alcool entraîne une réduction de l’état de vigilance ou de l’anxiété physiologique et cognitive, constituant ainsi un renforcement négatif de la prise d’alcool (renforcement par la diminution d’un stimulus négatif).
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90
Q

Modèles cognitivo-comportemental pour expliquer la vulnérabilité iondividuelle face à l’alcool
- Théorie de l’amortissement de la réponse au stress

A
  1. Théorie de la réduction de la tension : L’alcool crée un renforcement par sa capacité à réduire la tension (association entre l’alcool et la diminution de son état émotionnel négatif)
  2. Théorie de l’amortissement de la réponse au stress : limitation de la consommation aux moments où l’individu anticipe ou vit du stress (association à une diminution du stress). Il est à noter que cette théorie reconnaît les différences individuelles.
  3. Hypothèse de l’automédication : les effets psychotropes de l’alcool sur l’état psychologique de l’individu poussent certaines personnes à développer une dépendance à cette drogue.
  • Ces trois modèles ont en commun de proposer que l’alcool entraîne une réduction de l’état de vigilance ou de l’anxiété physiologique et cognitive, constituant ainsi un renforcement négatif de la prise d’alcool (renforcement par la diminution d’un stimulus négatif).
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91
Q

Modèles cognitivo-comportemental pour expliquer la vulnérabilité iondividuelle face à l’alcool
- Hypothèse de l’automédication

A
  1. Théorie de la réduction de la tension : L’alcool crée un renforcement par sa capacité à réduire la tension (association entre l’alcool et la diminution de son état émotionnel négatif)
  2. Théorie de l’amortissement de la réponse au stress : limitation de la consommation aux moments où l’individu anticipe ou vit du stress (association à une diminution du stress). Il est à noter que cette théorie reconnaît les différences individuelles.
  3. Hypothèse de l’automédication : les effets psychotropes de l’alcool sur l’état psychologique de l’individu poussent certaines personnes à développer une dépendance à cette drogue.
  • Ces trois modèles ont en commun de proposer que l’alcool entraîne une réduction de l’état de vigilance ou de l’anxiété physiologique et cognitive, constituant ainsi un renforcement négatif de la prise d’alcool (renforcement par la diminution d’un stimulus négatif).
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92
Q

Modèles cognitivo-comportemental pour expliquer la vulnérabilité iondividuelle face à l’alcool
- ce que les modèles ont en commun

A
  • Ces trois modèles ont en commun de proposer que l’alcool entraîne une réduction de l’état de vigilance ou de l’anxiété physiologique et cognitive, constituant ainsi un renforcement négatif de la prise d’alcool (renforcement par la diminution d’un stimulus négatif).
  1. Théorie de la réduction de la tension : L’alcool crée un renforcement par sa capacité à réduire la tension (association entre l’alcool et la diminution de son état émotionnel négatif)
  2. Théorie de l’amortissement de la réponse au stress : limitation de la consommation aux moments où l’individu anticipe ou vit du stress (association à une diminution du stress). Il est à noter que cette théorie reconnaît les différences individuelles.
  3. Hypothèse de l’automédication : les effets psychotropes de l’alcool sur l’état psychologique de l’individu poussent certaines personnes à développer une dépendance à cette drogue.
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93
Q

Profils de Cloninger: Nommez-les

A
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94
Q

Profils de Cloninger: Type 1 vs 2

A
  • Type 1
    • À début tardif (après 25 ans)
    • Facteurs héréditaires moins lourds
    • Facteurs psychosociaux à l’avant-plan
    • Présentent peut de recherche de sensation
    • Anxiété et dépression souvent comorbides
    • Pronostic généralement meilleur
  • Type 2
    • Facteurs de risques importants (héréditaires)
      • H avec profil de délinquance
    • Connaît un début précoce
    • Forts antécédents familiaux d’alcoolisme
    • Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté
    • Comorbidité avec personnalité antisociale
    • Agressivité et haut niveau d’impulsivité
    • Plus de problèmes judiciaires
    • Pronostic généralement plus mauvais
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95
Q

Profils de Cloninger: Type 1

A
  • Type 1
    • À début tardif (après 25 ans)
    • Facteurs héréditaires moins lourds
    • Facteurs psychosociaux à l’avant-plan
    • Présentent peut de recherche de sensation
    • Anxiété et dépression souvent comorbides
    • Pronostic généralement meilleur
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96
Q

Profils de Cloninger: Type 1
- âge de début

A
  • Type 1
    • À début tardif (après 25 ans)
    • Facteurs héréditaires moins lourds
    • Facteurs psychosociaux à l’avant-plan
    • Présentent peut de recherche de sensation
    • Anxiété et dépression souvent comorbides
    • Pronostic généralement meilleur
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97
Q

Profils de Cloninger: Type 1
- facteurs en cause

A
  • Type 1
    • À début tardif (après 25 ans)
    • Facteurs héréditaires moins lourds
    • Facteurs psychosociaux à l’avant-plan
    • Présentent peut de recherche de sensation
    • Anxiété et dépression souvent comorbides
    • Pronostic généralement meilleur
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98
Q

Profils de Cloninger: Type 1
- ce que la personne recherche

A
  • Type 1
    • À début tardif (après 25 ans)
    • Facteurs héréditaires moins lourds
    • Facteurs psychosociaux à l’avant-plan
    • Présentent peut de recherche de sensation
    • Anxiété et dépression souvent comorbides
    • Pronostic généralement meilleur
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99
Q

Profils de Cloninger: Type 1
- comorbidités

A
  • Type 1
    • À début tardif (après 25 ans)
    • Facteurs héréditaires moins lourds
    • Facteurs psychosociaux à l’avant-plan
    • Présentent peut de recherche de sensation
    • Anxiété et dépression souvent comorbides
    • Pronostic généralement meilleur
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100
Q

Profils de Cloninger: Type 1
- pronostic

A
  • Type 1
    • À début tardif (après 25 ans)
    • Facteurs héréditaires moins lourds
    • Facteurs psychosociaux à l’avant-plan
    • Présentent peut de recherche de sensation
    • Anxiété et dépression souvent comorbides
    • Pronostic généralement meilleur
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101
Q

Profils de Cloninger: Type 2

A
  • Type 2
    • Facteurs de risques importants (héréditaires)
      • H avec profil de délinquance
    • Connaît un début précoce
    • Forts antécédents familiaux d’alcoolisme
    • Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté
    • Comorbidité avec personnalité antisociale
    • Agressivité et haut niveau d’impulsivité
    • Plus de problèmes judiciaires
    • Pronostic généralement plus mauvais
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102
Q

Profils de Cloninger: Type 2
- FDR

A
  • Type 2
    • Facteurs de risques importants (héréditaires)
      • H avec profil de délinquance
    • Connaît un début précoce
    • Forts antécédents familiaux d’alcoolisme
    • Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté
    • Comorbidité avec personnalité antisociale
    • Agressivité et haut niveau d’impulsivité
    • Plus de problèmes judiciaires
    • Pronostic généralement plus mauvais
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103
Q

Profils de Cloninger: Type 2
- Homme

A
  • Type 2
    • Facteurs de risques importants (héréditaires)
      • H avec profil de délinquance
    • Connaît un début précoce
    • Forts antécédents familiaux d’alcoolisme
    • Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté
    • Comorbidité avec personnalité antisociale
    • Agressivité et haut niveau d’impulsivité
    • Plus de problèmes judiciaires
    • Pronostic généralement plus mauvais
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104
Q

Profils de Cloninger: Type 2
- début

A
  • Type 2
    • Facteurs de risques importants (héréditaires)
      • H avec profil de délinquance
    • Connaît un début précoce
    • Forts antécédents familiaux d’alcoolisme
    • Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté
    • Comorbidité avec personnalité antisociale
    • Agressivité et haut niveau d’impulsivité
    • Plus de problèmes judiciaires
    • Pronostic généralement plus mauvais
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105
Q

Profils de Cloninger: Type 2
- ATCD

A
  • Type 2
    • Facteurs de risques importants (héréditaires)
      • H avec profil de délinquance
    • Connaît un début précoce
    • Forts antécédents familiaux d’alcoolisme
    • Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté
    • Comorbidité avec personnalité antisociale
    • Agressivité et haut niveau d’impulsivité
    • Plus de problèmes judiciaires
    • Pronostic généralement plus mauvais
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106
Q

Profils de Cloninger: Type 2
- ce que la personne recherche

A
  • Type 2
    • Facteurs de risques importants (héréditaires)
      • H avec profil de délinquance
    • Connaît un début précoce
    • Forts antécédents familiaux d’alcoolisme
    • Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté
    • Comorbidité avec personnalité antisociale
    • Agressivité et haut niveau d’impulsivité
    • Plus de problèmes judiciaires
    • Pronostic généralement plus mauvais
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107
Q

Profils de Cloninger: Type 2
- comorbidités

A
  • Type 2
    • Facteurs de risques importants (héréditaires)
      • H avec profil de délinquance
    • Connaît un début précoce
    • Forts antécédents familiaux d’alcoolisme
    • Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté
    • Comorbidité avec personnalité antisociale
    • Agressivité et haut niveau d’impulsivité
    • Plus de problèmes judiciaires
    • Pronostic généralement plus mauvais
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108
Q

Profils de Cloninger: Type 2
- ATCD judiciaire

A
  • Type 2
    • Facteurs de risques importants (héréditaires)
      • H avec profil de délinquance
    • Connaît un début précoce
    • Forts antécédents familiaux d’alcoolisme
    • Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté
    • Comorbidité avec personnalité antisociale
    • Agressivité et haut niveau d’impulsivité
    • Plus de problèmes judiciaires
    • Pronostic généralement plus mauvais
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109
Q

Profils de Cloninger: Type 2
- pronostic

A
  • Type 2
    • Facteurs de risques importants (héréditaires)
      • H avec profil de délinquance
    • Connaît un début précoce
    • Forts antécédents familiaux d’alcoolisme
    • Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté
    • Comorbidité avec personnalité antisociale
    • Agressivité et haut niveau d’impulsivité
    • Plus de problèmes judiciaires
    • Pronostic généralement plus mauvais
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110
Q

Éthylisme: Étiologie psychologique

A
  • Un mot sur l’étiologie psychologique : le risque de développer un trouble relié à l’alcool commence bien avant la première consommation.
  • Un style parental inadéquat et l’association à des pairs utilisateurs de substances favorise la survenue d’un trouble.
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111
Q

Éthylisme: Étiologie psychologique
- quand le risque débute-t-il?

A
  • Un mot sur l’étiologie psychologique : le risque de développer un trouble relié à l’alcool commence bien avant la première consommation.
  • Un style parental inadéquat et l’association à des pairs utilisateurs de substances favorise la survenue d’un trouble.
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112
Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- éléments

A
  1. Adversité psychosociale
  2. Importance des facteurs environnementaux
  3. Facteurs culturels
  4. Facteurs protecteurs
  5. Différence H vs F
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113
Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Adversité psychosociale

A
  • Si elle est importante durant l’enfance ou l’adolescence elle est associée à un risque accru de trouble lié à l’alcool
  • Ex : exposition à des stresseurs majeurs, agressions, psychopathologie parentale, décès d’un parent, statut socio-économique familial défavorisé, instabilité résidentielle, difficultés d’apprentissage et de socialisation
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114
Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Adversité psychosociale: expliquez

A
  • Si elle est importante durant l’enfance ou l’adolescence elle est associée à un risque accru de trouble lié à l’alcool
  • Ex : exposition à des stresseurs majeurs, agressions, psychopathologie parentale, décès d’un parent, statut socio-économique familial défavorisé, instabilité résidentielle, difficultés d’apprentissage et de socialisation
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115
Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Adversité psychosociale: Nommez des exemples

A
  • Si elle est importante durant l’enfance ou l’adolescence elle est associée à un risque accru de trouble lié à l’alcool
  • Ex : exposition à des stresseurs majeurs, agressions, psychopathologie parentale, décès d’un parent, statut socio-économique familial défavorisé, instabilité résidentielle, difficultés d’apprentissage et de socialisation
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116
Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs environnementaux

A
  • L’influence environnementale est obligatoire pour que la génétique et les phénotypes puissent agir.
  • La culture, les attitudes générales envers l’alcool, les habitudes de consommation des pairs, le niveau de stress et les mécanismes adaptation de ceux-ci sont particulièrement importants
  • Un environnement familial à faible risque peut moduler l’impact d’un haut niveau génétique, prouvé par des études sur des jumeaux.
  • Les adolescents et adultes démontrent une forte association de leur consommation à celle de leurs pairs.
  • L’initiation à l’alcool selon l’âge est associée à des figures différentes ( ex : premières années du primaire → parent ou autre membre de la famille buveur)
  • Si consommation à 11-14 ans → 4X plus de risque de développer le trouble à 20 ans.
  • Les étudiants de niveau collégial et universitaire sont influencés par des perceptions erronées qui surévaluent la consommation normale.
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs environnementaux: Son importance

A
  • L’influence environnementale est obligatoire pour que la génétique et les phénotypes puissent agir.
  • La culture, les attitudes générales envers l’alcool, les habitudes de consommation des pairs, le niveau de stress et les mécanismes adaptation de ceux-ci sont particulièrement importants
  • Un environnement familial à faible risque peut moduler l’impact d’un haut niveau génétique, prouvé par des études sur des jumeaux.
  • Les adolescents et adultes démontrent une forte association de leur consommation à celle de leurs pairs.
  • L’initiation à l’alcool selon l’âge est associée à des figures différentes ( ex : premières années du primaire → parent ou autre membre de la famille buveur)
  • Si consommation à 11-14 ans → 4X plus de risque de développer le trouble à 20 ans.
  • Les étudiants de niveau collégial et universitaire sont influencés par des perceptions erronées qui surévaluent la consommation normale.
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs environnementaux: Nommez ceux particulièrement importants

A
  • L’influence environnementale est obligatoire pour que la génétique et les phénotypes puissent agir.
  • La culture, les attitudes générales envers l’alcool, les habitudes de consommation des pairs, le niveau de stress et les mécanismes adaptation de ceux-ci sont particulièrement importants
  • Un environnement familial à faible risque peut moduler l’impact d’un haut niveau génétique, prouvé par des études sur des jumeaux.
  • Les adolescents et adultes démontrent une forte association de leur consommation à celle de leurs pairs.
  • L’initiation à l’alcool selon l’âge est associée à des figures différentes ( ex : premières années du primaire → parent ou autre membre de la famille buveur)
  • Si consommation à 11-14 ans → 4X plus de risque de développer le trouble à 20 ans.
  • Les étudiants de niveau collégial et universitaire sont influencés par des perceptions erronées qui surévaluent la consommation normale.
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs environnementaux: Famille

A
  • L’influence environnementale est obligatoire pour que la génétique et les phénotypes puissent agir.
  • La culture, les attitudes générales envers l’alcool, les habitudes de consommation des pairs, le niveau de stress et les mécanismes adaptation de ceux-ci sont particulièrement importants
  • Un environnement familial à faible risque peut moduler l’impact d’un haut niveau génétique, prouvé par des études sur des jumeaux.
  • Les adolescents et adultes démontrent une forte association de leur consommation à celle de leurs pairs.
  • L’initiation à l’alcool selon l’âge est associée à des figures différentes ( ex : premières années du primaire → parent ou autre membre de la famille buveur)
  • Si consommation à 11-14 ans → 4X plus de risque de développer le trouble à 20 ans.
  • Les étudiants de niveau collégial et universitaire sont influencés par des perceptions erronées qui surévaluent la consommation normale.
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120
Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs environnementaux: Ados et adultes

A
  • L’influence environnementale est obligatoire pour que la génétique et les phénotypes puissent agir.
  • La culture, les attitudes générales envers l’alcool, les habitudes de consommation des pairs, le niveau de stress et les mécanismes adaptation de ceux-ci sont particulièrement importants
  • Un environnement familial à faible risque peut moduler l’impact d’un haut niveau génétique, prouvé par des études sur des jumeaux.
  • Les adolescents et adultes démontrent une forte association de leur consommation à celle de leurs pairs.
  • L’initiation à l’alcool selon l’âge est associée à des figures différentes ( ex : premières années du primaire → parent ou autre membre de la famille buveur)
  • Si consommation à 11-14 ans → 4X plus de risque de développer le trouble à 20 ans.
  • Les étudiants de niveau collégial et universitaire sont influencés par des perceptions erronées qui surévaluent la consommation normale.
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs environnementaux: Initiation à l’alcool

A
  • L’influence environnementale est obligatoire pour que la génétique et les phénotypes puissent agir.
  • La culture, les attitudes générales envers l’alcool, les habitudes de consommation des pairs, le niveau de stress et les mécanismes adaptation de ceux-ci sont particulièrement importants
  • Un environnement familial à faible risque peut moduler l’impact d’un haut niveau génétique, prouvé par des études sur des jumeaux.
  • Les adolescents et adultes démontrent une forte association de leur consommation à celle de leurs pairs.
  • L’initiation à l’alcool selon l’âge est associée à des figures différentes ( ex : premières années du primaire → parent ou autre membre de la famille buveur)
  • Si consommation à 11-14 ans → 4X plus de risque de développer le trouble à 20 ans.
  • Les étudiants de niveau collégial et universitaire sont influencés par des perceptions erronées qui surévaluent la consommation normale.
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs environnementaux: Âge d’initiation au ROH - quel âge?

A
  • L’influence environnementale est obligatoire pour que la génétique et les phénotypes puissent agir.
  • La culture, les attitudes générales envers l’alcool, les habitudes de consommation des pairs, le niveau de stress et les mécanismes adaptation de ceux-ci sont particulièrement importants
  • Un environnement familial à faible risque peut moduler l’impact d’un haut niveau génétique, prouvé par des études sur des jumeaux.
  • Les adolescents et adultes démontrent une forte association de leur consommation à celle de leurs pairs.
  • L’initiation à l’alcool selon l’âge est associée à des figures différentes ( ex : premières années du primaire → parent ou autre membre de la famille buveur)
  • Si consommation à 11-14 ans → 4X plus de risque de développer le trouble à 20 ans.
  • Les étudiants de niveau collégial et universitaire sont influencés par des perceptions erronées qui surévaluent la consommation normale.
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs environnementaux: Étudiants collégiaux et universitaires

A
  • L’influence environnementale est obligatoire pour que la génétique et les phénotypes puissent agir.
  • La culture, les attitudes générales envers l’alcool, les habitudes de consommation des pairs, le niveau de stress et les mécanismes adaptation de ceux-ci sont particulièrement importants
  • Un environnement familial à faible risque peut moduler l’impact d’un haut niveau génétique, prouvé par des études sur des jumeaux.
  • Les adolescents et adultes démontrent une forte association de leur consommation à celle de leurs pairs.
  • L’initiation à l’alcool selon l’âge est associée à des figures différentes ( ex : premières années du primaire → parent ou autre membre de la famille buveur)
  • Si consommation à 11-14 ans → 4X plus de risque de développer le trouble à 20 ans.
  • Les étudiants de niveau collégial et universitaire sont influencés par des perceptions erronées qui surévaluent la consommation normale.
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs culturels

A
  • Les groupes ethniques comme les Juifs, les Français, les Italiens et les Portugais, qui font boire à leurs enfants de petites quantités d’alcool lors de réunions familiales et qui dévalorisent l’ivresse tendent à avoir de plus faibles taux d’alcoolisme.
  • La culture irlandaise ou autochtone incite souvent à l’intoxication hors du foyer, ce qui aboutit à une ivresse importante, mais limitée à la fin de semaine.
  • Les attitudes envers la prise d’alcool ou l’état d’ivresse, le contexte d’initiation à la prise d’alcool, ainsi que la responsabilité personnelle envers les conséquences de l’alcoolisation sont parmi les facteurs culturels contribuant à l’installation ou non de troubles liés à l’alcool.
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs culturels: Groupes ethniques

A
  • Les groupes ethniques comme les Juifs, les Français, les Italiens et les Portugais, qui font boire à leurs enfants de petites quantités d’alcool lors de réunions familiales et qui dévalorisent l’ivresse tendent à avoir de plus faibles taux d’alcoolisme.
  • La culture irlandaise ou autochtone incite souvent à l’intoxication hors du foyer, ce qui aboutit à une ivresse importante, mais limitée à la fin de semaine.
  • Les attitudes envers la prise d’alcool ou l’état d’ivresse, le contexte d’initiation à la prise d’alcool, ainsi que la responsabilité personnelle envers les conséquences de l’alcoolisation sont parmi les facteurs culturels contribuant à l’installation ou non de troubles liés à l’alcool.
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs culturels: Nommez les groupes dévalorisant l’ivresse

A
  • Les groupes ethniques comme les Juifs, les Français, les Italiens et les Portugais, qui font boire à leurs enfants de petites quantités d’alcool lors de réunions familiales et qui dévalorisent l’ivresse tendent à avoir de plus faibles taux d’alcoolisme.
  • La culture irlandaise ou autochtone incite souvent à l’intoxication hors du foyer, ce qui aboutit à une ivresse importante, mais limitée à la fin de semaine.
  • Les attitudes envers la prise d’alcool ou l’état d’ivresse, le contexte d’initiation à la prise d’alcool, ainsi que la responsabilité personnelle envers les conséquences de l’alcoolisation sont parmi les facteurs culturels contribuant à l’installation ou non de troubles liés à l’alcool.
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs culturels: Groupes ethniques ayant un faible taux d’alcoolisme + raison

A
  • Les groupes ethniques comme les Juifs, les Français, les Italiens et les Portugais, qui font boire à leurs enfants de petites quantités d’alcool lors de réunions familiales et qui dévalorisent l’ivresse tendent à avoir de plus faibles taux d’alcoolisme.
  • La culture irlandaise ou autochtone incite souvent à l’intoxication hors du foyer, ce qui aboutit à une ivresse importante, mais limitée à la fin de semaine.
  • Les attitudes envers la prise d’alcool ou l’état d’ivresse, le contexte d’initiation à la prise d’alcool, ainsi que la responsabilité personnelle envers les conséquences de l’alcoolisation sont parmi les facteurs culturels contribuant à l’installation ou non de troubles liés à l’alcool.
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs culturels: Groupes favorisant ivresse

A
  • Les groupes ethniques comme les Juifs, les Français, les Italiens et les Portugais, qui font boire à leurs enfants de petites quantités d’alcool lors de réunions familiales et qui dévalorisent l’ivresse tendent à avoir de plus faibles taux d’alcoolisme.
  • La culture irlandaise ou autochtone incite souvent à l’intoxication hors du foyer, ce qui aboutit à une ivresse importante, mais limitée à la fin de semaine.
  • Les attitudes envers la prise d’alcool ou l’état d’ivresse, le contexte d’initiation à la prise d’alcool, ainsi que la responsabilité personnelle envers les conséquences de l’alcoolisation sont parmi les facteurs culturels contribuant à l’installation ou non de troubles liés à l’alcool.
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129
Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs culturels: Attitude face à ROH

A
  • Les groupes ethniques comme les Juifs, les Français, les Italiens et les Portugais, qui font boire à leurs enfants de petites quantités d’alcool lors de réunions familiales et qui dévalorisent l’ivresse tendent à avoir de plus faibles taux d’alcoolisme.
  • La culture irlandaise ou autochtone incite souvent à l’intoxication hors du foyer, ce qui aboutit à une ivresse importante, mais limitée à la fin de semaine.
  • Les attitudes envers la prise d’alcool ou l’état d’ivresse, le contexte d’initiation à la prise d’alcool, ainsi que la responsabilité personnelle envers les conséquences de l’alcoolisation sont parmi les facteurs culturels contribuant à l’installation ou non de troubles liés à l’alcool.
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs protecteurs

A
  • Encadrement parental supportant
  • Accès limité à l’alcool
  • Association à des pairs dont la consommation est faible
  • Chez les femmes
    • Sensibilité accrue aux effets sédatifs de l’alcool
    • Perception de sanctions sociales plus sévères
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs protecteurs: Parents

A
  • Encadrement parental supportant
  • Accès limité à l’alcool
  • Association à des pairs dont la consommation est faible
  • Chez les femmes
    • Sensibilité accrue aux effets sédatifs de l’alcool
    • Perception de sanctions sociales plus sévères
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs protecteurs: Accessibilité

A
  • Encadrement parental supportant
  • Accès limité à l’alcool
  • Association à des pairs dont la consommation est faible
  • Chez les femmes
    • Sensibilité accrue aux effets sédatifs de l’alcool
    • Perception de sanctions sociales plus sévères
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133
Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs protecteurs: Entourage

A
  • Encadrement parental supportant
  • Accès limité à l’alcool
  • Association à des pairs dont la consommation est faible
  • Chez les femmes
    • Sensibilité accrue aux effets sédatifs de l’alcool
    • Perception de sanctions sociales plus sévères
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs protecteurs: Chez les femmes

A
  • Encadrement parental supportant
  • Accès limité à l’alcool
  • Association à des pairs dont la consommation est faible
  • Chez les femmes
    • Sensibilité accrue aux effets sédatifs de l’alcool
    • Perception de sanctions sociales plus sévères
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135
Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs protecteurs: Chez les femmes - effets de l’alcool

A
  • Encadrement parental supportant
  • Accès limité à l’alcool
  • Association à des pairs dont la consommation est faible
  • Chez les femmes
    • Sensibilité accrue aux effets sédatifs de l’alcool
    • Perception de sanctions sociales plus sévères
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Facteurs protecteurs: Chez les femmes - vision sociale

A
  • Encadrement parental supportant
  • Accès limité à l’alcool
  • Association à des pairs dont la consommation est faible
  • Chez les femmes
    • Sensibilité accrue aux effets sédatifs de l’alcool
    • Perception de sanctions sociales plus sévères
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137
Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F

A
  • La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
  • Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
  • Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
  • Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
    • Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
  • Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
  • Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
  • En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F: Particularités des F

A
  • La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
  • Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
  • Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
  • Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
    • Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
  • Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
  • Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
  • En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F: Lien avec cycle menstruel

A
  • La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
  • Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
  • Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
  • Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
    • Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
  • Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
  • Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
  • En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F: Au niveau des FDR

A
  • La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
  • Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
  • Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
  • Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
    • Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
  • Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
  • Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
  • En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F: Prévalence

A
  • La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
  • Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
  • Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
  • Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
    • Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
  • Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
  • Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
  • En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F: Prédisposition génétique

A
  • La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
  • Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
  • Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
  • Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
    • Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
  • Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
  • Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
  • En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F: Conséquences négatives de la prise de ROH

A
  • La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
  • Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
  • Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
  • Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
    • Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
  • Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
  • Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
  • En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F: Conséquences négatives de la prise de ROH - Femmes

A
  • La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
  • Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
  • Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
  • Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
    • Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
  • Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
  • Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
  • En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F: Concentrations sanguines de ROH

A
  • La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
  • Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
  • Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
  • Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
    • Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
  • Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
  • Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
  • En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
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Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F: Neurotoxicité

A
  • La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
  • Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
  • Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
  • Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
    • Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
  • Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme.
  • Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
  • Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
  • En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F: Comorbidités

A
  • La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
  • Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
  • Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
  • Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
    • Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
  • Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
  • Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
  • En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
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Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F: Complications

A
  • La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
  • Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
  • Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
  • Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
    • Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
  • Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
  • Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H.
  • On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
  • En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
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Q

Éthylisme: Étiologies sociales
- Différences H vs F: En conclusion

A
  • La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale.
  • Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut.
  • Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent.
  • Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique.
    • Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine
  • Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes.
  • Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications.
  • En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
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Q

Catégories diagnostiques DSM-5 définissant les troubles liés à l’usage d’une substance

A
  • Intoxication
  • Sevrage
  • Autres troubles induits (…)
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151
Q

Catégories diagnostiques DSM-5 définissant les troubles liés à l’usage d’une substance: Nommez-les

A
  • Intoxication
  • Sevrage
  • Autres troubles induits (…)
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152
Q

Délirium de sevrage: C’est quoi?

A
  • Il est à noter que lorsque l’on parle de délirium de sevrage, on fait référence aux critères de délirium, mais avec le spécificateur « causé par une substance ».
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153
Q

Critères dx du delirium

A
  • A. Une perturbation de l’attention (c.-à-d. diminution de la capacité de diriger, focaliser, soutenir et déplacer son attention) et de la conscience (diminution de l’orientation dans l’environnement).
  • B. La perturbation s’installe en un temps court (habituellement quelques heures ou quelques jours), représente un changement par rapport à l’attention et à la conscience de base et tend à fluctuer en sévérité tout au long de la journée.
  • C. Une autre perturbation cognitive (p. ex., un déficit de la mémoire, de l’orientation, du langage, des habiletés visuospatiales ou des perceptions).
  • D. Les perturbations des critères A et C ne sont pas mieux expliquées par un trouble neurocognitif préexistant, stabilisé ou en évolution et ne doivent pas survenir dans le contexte d’un niveau de vigilance très réduit, comme dans un coma.
  • E. Mise en évidence d’après les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires que la perturbation est la conséquence physiologique directe d’une autre affection médicale, d’une intoxication ou d’un sevrage d’une substance (c.-à-d. une drogue ou un médicament) ou d’une exposition à un produit toxique, ou est due à de multiples causes.
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154
Q

Critères dx du delirium
- c’est quoi un déliurim?

A
  • A. Une perturbation de l’attention (c.-à-d. diminution de la capacité de diriger, focaliser, soutenir et déplacer son attention) et de la conscience (diminution de l’orientation dans l’environnement).
  • B. La perturbation s’installe en un temps court (habituellement quelques heures ou quelques jours), représente un changement par rapport à l’attention et à la conscience de base et tend à fluctuer en sévérité tout au long de la journée.
  • C. Une autre perturbation cognitive (p. ex., un déficit de la mémoire, de l’orientation, du langage, des habiletés visuospatiales ou des perceptions).
  • D. Les perturbations des critères A et C ne sont pas mieux expliquées par un trouble neurocognitif préexistant, stabilisé ou en évolution et ne doivent pas survenir dans le contexte d’un niveau de vigilance très réduit, comme dans un coma.
  • E. Mise en évidence d’après les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires que la perturbation est la conséquence physiologique directe d’une autre affection médicale, d’une intoxication ou d’un sevrage d’une substance (c.-à-d. une drogue ou un médicament) ou d’une exposition à un produit toxique, ou est due à de multiples causes.
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155
Q

Critères dx du delirium
- comment s’installe-t-il?

A
  • A. Une perturbation de l’attention (c.-à-d. diminution de la capacité de diriger, focaliser, soutenir et déplacer son attention) et de la conscience (diminution de l’orientation dans l’environnement).
  • B. La perturbation s’installe en un temps court (habituellement quelques heures ou quelques jours), représente un changement par rapport à l’attention et à la conscience de base et tend à fluctuer en sévérité tout au long de la journée.
  • C. Une autre perturbation cognitive (p. ex., un déficit de la mémoire, de l’orientation, du langage, des habiletés visuospatiales ou des perceptions).
  • D. Les perturbations des critères A et C ne sont pas mieux expliquées par un trouble neurocognitif préexistant, stabilisé ou en évolution et ne doivent pas survenir dans le contexte d’un niveau de vigilance très réduit, comme dans un coma.
  • E. Mise en évidence d’après les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires que la perturbation est la conséquence physiologique directe d’une autre affection médicale, d’une intoxication ou d’un sevrage d’une substance (c.-à-d. une drogue ou un médicament) ou d’une exposition à un produit toxique, ou est due à de multiples causes.
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156
Q

Critères dx du delirium
- durée de temps sur laquelle s’installe le délirium

A
  • A. Une perturbation de l’attention (c.-à-d. diminution de la capacité de diriger, focaliser, soutenir et déplacer son attention) et de la conscience (diminution de l’orientation dans l’environnement).
  • B. La perturbation s’installe en un temps court (habituellement quelques heures ou quelques jours), représente un changement par rapport à l’attention et à la conscience de base et tend à fluctuer en sévérité tout au long de la journée.
  • C. Une autre perturbation cognitive (p. ex., un déficit de la mémoire, de l’orientation, du langage, des habiletés visuospatiales ou des perceptions).
  • D. Les perturbations des critères A et C ne sont pas mieux expliquées par un trouble neurocognitif préexistant, stabilisé ou en évolution et ne doivent pas survenir dans le contexte d’un niveau de vigilance très réduit, comme dans un coma.
  • E. Mise en évidence d’après les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires que la perturbation est la conséquence physiologique directe d’une autre affection médicale, d’une intoxication ou d’un sevrage d’une substance (c.-à-d. une drogue ou un médicament) ou d’une exposition à un produit toxique, ou est due à de multiples causes.
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Q

Critères dx du delirium
- symptômes qui s’installent au moment de la perturbation

A
  • A. Une perturbation de l’attention (c.-à-d. diminution de la capacité de diriger, focaliser, soutenir et déplacer son attention) et de la conscience (diminution de l’orientation dans l’environnement).
  • B. La perturbation s’installe en un temps court (habituellement quelques heures ou quelques jours), représente un changement par rapport à l’attention et à la conscience de base et tend à fluctuer en sévérité tout au long de la journée.
  • C. Une autre perturbation cognitive (p. ex., un déficit de la mémoire, de l’orientation, du langage, des habiletés visuospatiales ou des perceptions).
  • D. Les perturbations des critères A et C ne sont pas mieux expliquées par un trouble neurocognitif préexistant, stabilisé ou en évolution et ne doivent pas survenir dans le contexte d’un niveau de vigilance très réduit, comme dans un coma.
  • E. Mise en évidence d’après les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires que la perturbation est la conséquence physiologique directe d’une autre affection médicale, d’une intoxication ou d’un sevrage d’une substance (c.-à-d. une drogue ou un médicament) ou d’une exposition à un produit toxique, ou est due à de multiples causes.
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Q

Critères dx du delirium
- types de perturbation

A
  • A. Une perturbation de l’attention (c.-à-d. diminution de la capacité de diriger, focaliser, soutenir et déplacer son attention) et de la conscience (diminution de l’orientation dans l’environnement).
  • B. La perturbation s’installe en un temps court (habituellement quelques heures ou quelques jours), représente un changement par rapport à l’attention et à la conscience de base et tend à fluctuer en sévérité tout au long de la journée.
  • C. Une autre perturbation cognitive (p. ex., un déficit de la mémoire, de l’orientation, du langage, des habiletés visuospatiales ou des perceptions).
  • D. Les perturbations des critères A et C ne sont pas mieux expliquées par un trouble neurocognitif préexistant, stabilisé ou en évolution et ne doivent pas survenir dans le contexte d’un niveau de vigilance très réduit, comme dans un coma.
  • E. Mise en évidence d’après les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires que la perturbation est la conséquence physiologique directe d’une autre affection médicale, d’une intoxication ou d’un sevrage d’une substance (c.-à-d. une drogue ou un médicament) ou d’une exposition à un produit toxique, ou est due à de multiples causes.
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Q

Critères dx du delirium
- exclure quoi?

A
  • A. Une perturbation de l’attention (c.-à-d. diminution de la capacité de diriger, focaliser, soutenir et déplacer son attention) et de la conscience (diminution de l’orientation dans l’environnement).
  • B. La perturbation s’installe en un temps court (habituellement quelques heures ou quelques jours), représente un changement par rapport à l’attention et à la conscience de base et tend à fluctuer en sévérité tout au long de la journée.
  • C. Une autre perturbation cognitive (p. ex., un déficit de la mémoire, de l’orientation, du langage, des habiletés visuospatiales ou des perceptions).
  • D. Les perturbations des critères A et C ne sont pas mieux expliquées par un trouble neurocognitif préexistant, stabilisé ou en évolution et ne doivent pas survenir dans le contexte d’un niveau de vigilance très réduit, comme dans un coma.
  • E. Mise en évidence d’après les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires que la perturbation est la conséquence physiologique directe d’une autre affection médicale, d’une intoxication ou d’un sevrage d’une substance (c.-à-d. une drogue ou un médicament) ou d’une exposition à un produit toxique, ou est due à de multiples causes.
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Q

Critères dx du delirium
- il faut mettre en évidence quoi?

A
  • A. Une perturbation de l’attention (c.-à-d. diminution de la capacité de diriger, focaliser, soutenir et déplacer son attention) et de la conscience (diminution de l’orientation dans l’environnement).
  • B. La perturbation s’installe en un temps court (habituellement quelques heures ou quelques jours), représente un changement par rapport à l’attention et à la conscience de base et tend à fluctuer en sévérité tout au long de la journée.
  • C. Une autre perturbation cognitive (p. ex., un déficit de la mémoire, de l’orientation, du langage, des habiletés visuospatiales ou des perceptions).
  • D. Les perturbations des critères A et C ne sont pas mieux expliquées par un trouble neurocognitif préexistant, stabilisé ou en évolution et ne doivent pas survenir dans le contexte d’un niveau de vigilance très réduit, comme dans un coma.
  • E. Mise en évidence d’après les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires que la perturbation est la conséquence physiologique directe d’une autre affection médicale, d’une intoxication ou d’un sevrage d’une substance (c.-à-d. une drogue ou un médicament) ou d’une exposition à un produit toxique, ou est due à de multiples causes.
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Q

Critères dx du tr de l’usage de l’alcool

A
  • A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
    • 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
    • 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
    • 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
    • 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
    • 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
    • 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
    • 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
    • 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
    • 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
    • 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
      • a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
      • b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
    • 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
      • a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
      • b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
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Q

Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- c’est quoi?

A
  • A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
    • 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
    • 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
    • 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
    • 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
    • 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
    • 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
    • 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
    • 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
    • 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
    • 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
      • a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
      • b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
    • 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
      • a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
      • b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
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Q

Critères dx du tr de l’usage de l’alcool: Impacts

A
  • A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
    • 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
    • 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
    • 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
    • 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
    • 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
    • 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
    • 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
    • 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
    • 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
    • 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
      • a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
      • b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
    • 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
      • a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
      • b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
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Critères dx du tr de l’usage de l’alcool: Nombre de manifestations nécessaires

A
  • A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
    • 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
    • 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
    • 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
    • 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
    • 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
    • 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
    • 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
    • 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
    • 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
    • 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
      • a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
      • b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
    • 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
      • a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
      • b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
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Q

Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- durée

A
  • A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
    • 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
    • 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
    • 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
    • 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
    • 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
    • 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
    • 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
    • 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
    • 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
    • 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
      • a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
      • b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
    • 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
      • a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
      • b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
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Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- quantité alcool

A
  • A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
    • 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu.
    • 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
    • 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
    • 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
    • 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
    • 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
    • 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
    • 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
    • 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
    • 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
      • a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
      • b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
    • 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
      • a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
      • b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
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Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- contrôle sur consommation

A
  • A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
    • 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
    • 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
    • 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
    • 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
    • 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
    • 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
    • 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
    • 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
    • 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
    • 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
      • a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
      • b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
    • 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
      • a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
      • b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
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Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- perte de temps

A
  • A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
    • 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
    • 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
    • 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
    • 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
    • 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
    • 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
    • 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
    • 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
    • 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
    • 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
      • a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
      • b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
    • 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
      • a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
      • b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
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Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- craving

A
  • A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
    • 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
    • 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
    • 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
    • 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
    • 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
    • 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
    • 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
    • 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
    • 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
    • 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
      • a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
      • b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
    • 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
      • a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
      • b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
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Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- conséquences

A
  • A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
    • 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
    • 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
    • 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
    • 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
    • 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
    • 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
    • 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
    • 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
    • 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
    • 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
      • a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
      • b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
    • 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
      • a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
      • b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
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Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- consommation continue malgré quoi?

A
  • A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
    • 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
    • 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
    • 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
    • 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
    • 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
    • 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
    • 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
    • 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
    • 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
    • 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
      • a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
      • b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
    • 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
      • a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
      • b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
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Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- conséquences sur sphères de vie

A
  • A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
    • 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
    • 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
    • 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
    • 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
    • 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
    • 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
    • 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
    • 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
    • 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
    • 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
      • a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
      • b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
    • 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
      • a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
      • b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
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Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- danger associé

A
  • A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
    • 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
    • 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
    • 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
    • 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
    • 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
    • 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
    • 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
    • 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
    • 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
    • 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
      • a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
      • b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
    • 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
      • a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
      • b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
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Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- problèmes associés et réponse à ces problèmes

A
  • A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
    • 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
    • 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
    • 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
    • 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
    • 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
    • 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
    • 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
    • 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
    • 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
    • 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
      • a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
      • b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
    • 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
      • a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
      • b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
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Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- tolérance

A
  • A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
    • 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
    • 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
    • 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
    • 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
    • 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
    • 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
    • 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
    • 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
    • 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
    • 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
      • a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
      • b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
    • 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
      • a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
      • b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
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Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- tolérance: nommez les sx

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    • 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
    • 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
    • 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
    • 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
    • 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
    • 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
    • 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
    • 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
    • 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
    • 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
      • a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
      • b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
    • 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
      • a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
      • b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
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Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- sevrage

A
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    • 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
    • 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
    • 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
    • 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
    • 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
    • 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
    • 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
    • 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
    • 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
    • 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
      • a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
      • b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
    • 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
      • a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
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Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- sevrage: nommez les sx

A
  • A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois :
    • 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3)
    • 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool.
    • 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets.
    • 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool.
    • 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison.
    • 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool.
    • 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.
    • 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux.
    • 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool.
    • 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants :
      • a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré.
      • b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool.
    • 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes :
      • a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4).
      • b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
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Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- Spécifications

A
  • Spécifier si :
    • En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
    • En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
  • Spécifier si :
    • En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité.
  • Spécifier la sévérité actuelle
    • Léger : Présence de 2-3 symptômes 303.90
    • Moyen : Présence de 4-5 symptômes 303.90
    • Grave :Présence de 6 symptômes ou plus.
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Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- Spécifications: rémission

A
  • Spécifier si :
    • En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
    • En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
  • Spécifier si :
    • En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité.
  • Spécifier la sévérité actuelle
    • Léger : Présence de 2-3 symptômes 303.90
    • Moyen : Présence de 4-5 symptômes 303.90
    • Grave :Présence de 6 symptômes ou plus.
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Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- Spécifications: Rémission précoce

A
  • Spécifier si :
    • En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
    • En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
  • Spécifier si :
    • En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité.
  • Spécifier la sévérité actuelle
    • Léger : Présence de 2-3 symptômes 303.90
    • Moyen : Présence de 4-5 symptômes 303.90
    • Grave :Présence de 6 symptômes ou plus.
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Q

Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- Spécifications: Rémission prolongée

A
  • Spécifier si :
    • En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
    • En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
  • Spécifier si :
    • En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité.
  • Spécifier la sévérité actuelle
    • Léger : Présence de 2-3 symptômes 303.90
    • Moyen : Présence de 4-5 symptômes 303.90
    • Grave :Présence de 6 symptômes ou plus.
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Q

Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- Spécifications: Environnement protégé

A
  • Spécifier si :
    • En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
    • En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
  • Spécifier si :
    • En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité.
  • Spécifier la sévérité actuelle
    • Léger : Présence de 2-3 symptômes 303.90
    • Moyen : Présence de 4-5 symptômes 303.90
    • Grave :Présence de 6 symptômes ou plus.
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Q

Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- Spécifications: Sévérité actuelle

A
  • Spécifier si :
    • En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
    • En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
  • Spécifier si :
    • En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité.
  • Spécifier la sévérité actuelle
    • Léger : Présence de 2-3 symptômes
    • Moyen : Présence de 4-5 symptômes
    • Grave :Présence de 6 symptômes ou plus.
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Q

Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- Spécifications: Sévérité actuelle - léger

A
  • Spécifier si :
    • En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
    • En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
  • Spécifier si :
    • En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité.
  • Spécifier la sévérité actuelle
    • Léger : Présence de 2-3 symptômes
    • Moyen : Présence de 4-5 symptômes
    • Grave :Présence de 6 symptômes ou plus.
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Q

Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- Spécifications: Sévérité actuelle - moyen

A
  • Spécifier si :
    • En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
    • En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
  • Spécifier si :
    • En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité.
  • Spécifier la sévérité actuelle
    • Léger : Présence de 2-3 symptômes
    • Moyen : Présence de 4-5 symptômes
    • Grave :Présence de 6 symptômes ou plus.
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Q

Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- Spécifications: Sévérité actuelle - grave

A
  • Spécifier si :
    • En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
    • En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).
  • Spécifier si :
    • En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité.
  • Spécifier la sévérité actuelle
    • Léger : Présence de 2-3 symptômes
    • Moyen : Présence de 4-5 symptômes
    • Grave :Présence de 6 symptômes ou plus.
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Q

Critères dx de l’intoxication à l’alcool

A
  • A. Ingestion récente d’alcool.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool.
  • C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool :
    • 1.Discours bredouillant.
    • 2.Incoordination motrice.
    • 3.Démarche ébrieuse.
    • 4.Nystagmus.
    • 5.Altération de l’attention ou de la mémoire.
    • 6.Stupeur ou coma.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
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189
Q

Critères dx de l’intoxication à l’alcool
- critère de base

A
  • A. Ingestion récente d’alcool.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool.
  • C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool :
    • 1.Discours bredouillant.
    • 2.Incoordination motrice.
    • 3.Démarche ébrieuse.
    • 4.Nystagmus.
    • 5.Altération de l’attention ou de la mémoire.
    • 6.Stupeur ou coma.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
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190
Q

Critères dx de l’intoxication à l’alcool
- changements

A
  • A. Ingestion récente d’alcool.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool.
  • C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool :
    • 1.Discours bredouillant.
    • 2.Incoordination motrice.
    • 3.Démarche ébrieuse.
    • 4.Nystagmus.
    • 5.Altération de l’attention ou de la mémoire.
    • 6.Stupeur ou coma.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
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Q

Critères dx de l’intoxication à l’alcool
- changements: types

A
  • A. Ingestion récente d’alcool.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool.
  • C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool :
    • 1.Discours bredouillant.
    • 2.Incoordination motrice.
    • 3.Démarche ébrieuse.
    • 4.Nystagmus.
    • 5.Altération de l’attention ou de la mémoire.
    • 6.Stupeur ou coma.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
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192
Q

Critères dx de l’intoxication à l’alcool
- changements: intensité

A
  • A. Ingestion récente d’alcool.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool.
  • C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool :
    • 1.Discours bredouillant.
    • 2.Incoordination motrice.
    • 3.Démarche ébrieuse.
    • 4.Nystagmus.
    • 5.Altération de l’attention ou de la mémoire.
    • 6.Stupeur ou coma.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
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Q

Critères dx de l’intoxication à l’alcool
- changements: débutent quand?

A
  • A. Ingestion récente d’alcool.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool.
  • C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool :
    • 1.Discours bredouillant.
    • 2.Incoordination motrice.
    • 3.Démarche ébrieuse.
    • 4.Nystagmus.
    • 5.Altération de l’attention ou de la mémoire.
    • 6.Stupeur ou coma.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
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194
Q

Critères dx de l’intoxication à l’alcool
- sx nécessaires

A
  • A. Ingestion récente d’alcool.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool.
  • C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool :
    • 1.Discours bredouillant.
    • 2.Incoordination motrice.
    • 3.Démarche ébrieuse.
    • 4.Nystagmus.
    • 5.Altération de l’attention ou de la mémoire.
    • 6.Stupeur ou coma.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
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195
Q

Critères dx de l’intoxication à l’alcool
- sx nécessaires: nommez-les

A
  • A. Ingestion récente d’alcool.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool.
  • C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool :
    • 1.Discours bredouillant.
    • 2.Incoordination motrice.
    • 3.Démarche ébrieuse.
    • 4.Nystagmus.
    • 5.Altération de l’attention ou de la mémoire.
    • 6.Stupeur ou coma.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
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196
Q

Critères dx de l’intoxication à l’alcool
- exclure quoi?

A
  • A. Ingestion récente d’alcool.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool.
  • C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool :
    • 1.Discours bredouillant.
    • 2.Incoordination motrice.
    • 3.Démarche ébrieuse.
    • 4.Nystagmus.
    • 5.Altération de l’attention ou de la mémoire.
    • 6.Stupeur ou coma.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
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197
Q

Critères dx du sevrage de l’alcool

A
  • A. Arrêt (ou réduction) d’un usage d’alcool qui a été massif et prolongé.
  • B. Au moins deux des manifestations suivantes se développent de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage d’alcool décrit dans le critère A :
    • 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex., transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minutes).
    • 2.Augmentation du tremblement des mains.
    • 3.Insomnie.
    • 4.Nausée ou vomissements.
    • 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives.
    • 6.Agitation psychomotrice.
    • 7.Anxiété.
    • 8.Crises convulsives généralisées tonicocloniques.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
  • Spécifier si :
    • Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
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198
Q

Critères dx du sevrage de l’alcool
- critère de base

A
  • A. Arrêt (ou réduction) d’un usage d’alcool qui a été massif et prolongé.
  • B. Au moins deux des manifestations suivantes se développent de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage d’alcool décrit dans le critère A :
    • 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex., transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minutes).
    • 2.Augmentation du tremblement des mains.
    • 3.Insomnie.
    • 4.Nausée ou vomissements.
    • 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives.
    • 6.Agitation psychomotrice.
    • 7.Anxiété.
    • 8.Crises convulsives généralisées tonicocloniques.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
  • Spécifier si :
    • Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
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199
Q

Critères dx du sevrage de l’alcool
- manifestations

A
  • A. Arrêt (ou réduction) d’un usage d’alcool qui a été massif et prolongé.
  • B. Au moins deux des manifestations suivantes se développent de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage d’alcool décrit dans le critère A :
    • 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex., transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minutes).
    • 2.Augmentation du tremblement des mains.
    • 3.Insomnie.
    • 4.Nausée ou vomissements.
    • 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives.
    • 6.Agitation psychomotrice.
    • 7.Anxiété.
    • 8.Crises convulsives généralisées tonicocloniques.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
  • Spécifier si :
    • Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
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200
Q

Critères dx du sevrage de l’alcool
- manifestations: nommez-les

A
  • A. Arrêt (ou réduction) d’un usage d’alcool qui a été massif et prolongé.
  • B. Au moins deux des manifestations suivantes se développent de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage d’alcool décrit dans le critère A :
    • 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex., transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minutes).
    • 2.Augmentation du tremblement des mains.
    • 3.Insomnie.
    • 4.Nausée ou vomissements.
    • 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives.
    • 6.Agitation psychomotrice.
    • 7.Anxiété.
    • 8.Crises convulsives généralisées tonicocloniques.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
  • Spécifier si :
    • Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
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Q

Critères dx du sevrage de l’alcool
- manifestations: débute dans quel contexte?

A
  • A. Arrêt (ou réduction) d’un usage d’alcool qui a été massif et prolongé.
  • B. Au moins deux des manifestations suivantes se développent de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage d’alcool décrit dans le critère A :
    • 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex., transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minutes).
    • 2.Augmentation du tremblement des mains.
    • 3.Insomnie.
    • 4.Nausée ou vomissements.
    • 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives.
    • 6.Agitation psychomotrice.
    • 7.Anxiété.
    • 8.Crises convulsives généralisées tonicocloniques.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
  • Spécifier si :
    • Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
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Q

Critères dx du sevrage de l’alcool
- impacts

A
  • A. Arrêt (ou réduction) d’un usage d’alcool qui a été massif et prolongé.
  • B. Au moins deux des manifestations suivantes se développent de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage d’alcool décrit dans le critère A :
    • 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex., transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minutes).
    • 2.Augmentation du tremblement des mains.
    • 3.Insomnie.
    • 4.Nausée ou vomissements.
    • 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives.
    • 6.Agitation psychomotrice.
    • 7.Anxiété.
    • 8.Crises convulsives généralisées tonicocloniques.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
  • Spécifier si :
    • Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
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Q

Critères dx du sevrage de l’alcool
- exclure quoi?

A
  • A. Arrêt (ou réduction) d’un usage d’alcool qui a été massif et prolongé.
  • B. Au moins deux des manifestations suivantes se développent de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage d’alcool décrit dans le critère A :
    • 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex., transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minutes).
    • 2.Augmentation du tremblement des mains.
    • 3.Insomnie.
    • 4.Nausée ou vomissements.
    • 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives.
    • 6.Agitation psychomotrice.
    • 7.Anxiété.
    • 8.Crises convulsives généralisées tonicocloniques.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
  • Spécifier si :
    • Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
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204
Q
A
  • Spécifier si :
    • Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
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205
Q

Critères dx du sevrage de l’alcool
- spécifications

A
  • Spécifier si :
    • Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
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206
Q

Critères dx du sevrage de l’alcool
- manifestations: sont quand?

A
  • A. Arrêt (ou réduction) d’un usage d’alcool qui a été massif et prolongé.
  • B. Au moins deux des manifestations suivantes se développent de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage d’alcool décrit dans le critère A :
    • 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex., transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minutes).
    • 2.Augmentation du tremblement des mains.
    • 3.Insomnie.
    • 4.Nausée ou vomissements.
    • 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives.
    • 6.Agitation psychomotrice.
    • 7.Anxiété.
    • 8.Crises convulsives généralisées tonicocloniques.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
  • Spécifier si :
    • Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
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207
Q

Liste des troubles liés à l’alcool

A
  • Troubles de l’usage de l’alcool
  • Intoxication par l’alcool
  • Sevrage de l’alcool
  • État confusionnel (delirium) dû à une intoxication par l’alcool
  • État confusionnel (delirium) dû au sevrage à l’alcool
  • Trouble neurocognitif induit par l’alcool
  • Trouble psychotique induit par une substance, avec idées délirantes ou hallucinations
  • Trouble lié à l’alcool non spécifié
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208
Q

Liste des troubles liés à l’alcool
- nommez-les

A
  • Troubles de l’usage de l’alcool
  • Intoxication par l’alcool
  • Sevrage de l’alcool
  • État confusionnel (delirium) dû à une intoxication par l’alcool
  • État confusionnel (delirium) dû au sevrage à l’alcool
  • Trouble neurocognitif induit par l’alcool
  • Trouble psychotique induit par une substance, avec idées délirantes ou hallucinations
  • Trouble lié à l’alcool non spécifié
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209
Q

Sevrage simple: Traitement
- types de tx

A
  1. Traitements biologiques
  2. Traitements psychologiques
  3. Interventions sociales
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210
Q

Sevrage simple: Traitement Biologique
- nommez les options

A
  1. Benzodiazépine
  2. Naltrexone
  3. Acamprostate
  4. Baclofène
  5. Disulfirame
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211
Q

Sevrage simple: Traitement Biologique
- Le plus utilisé

A
  • Benzodiazépine
  • Les plus utilisées
  • Préviennent les crises convulsives et le DT
  • Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules
  • Les différentes molécules sont une efficacité comparable
  • La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage
  • La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours
  • Quelques ajouts sont parfois nécessaires
    • Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants
    • Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
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212
Q

Sevrage simple: Traitement Biologique
- Benzo

A
  • Les plus utilisées
  • Préviennent les crises convulsives et le DT
  • Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules
  • Les différentes molécules sont une efficacité comparable
  • La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage
  • La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours
  • Quelques ajouts sont parfois nécessaires
    • Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants
    • Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
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213
Q

Sevrage simple: Traitement Biologique
- Benzo: fréquence utilisation

A
  • Les plus utilisées
  • Préviennent les crises convulsives et le DT
  • Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules
  • Les différentes molécules sont une efficacité comparable
  • La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage
  • La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours
  • Quelques ajouts sont parfois nécessaires
    • Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants
    • Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
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214
Q

Sevrage simple: Traitement Biologique
- Benzo: indications

A
  • Les plus utilisées
  • Préviennent les crises convulsives et le DT
  • Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules
  • Les différentes molécules sont une efficacité comparable
  • La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage
  • La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours
  • Quelques ajouts sont parfois nécessaires
    • Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants
    • Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
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215
Q

Sevrage simple: Traitement Biologique
- Benzo: Efficacité de l’effet convulsif

A
  • Les plus utilisées
  • Préviennent les crises convulsives et le DT
  • Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules
  • Les différentes molécules sont une efficacité comparable
  • La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage
  • La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours
  • Quelques ajouts sont parfois nécessaires
    • Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants
    • Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
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216
Q

Sevrage simple: Traitement Biologique
- Benzo: Efficacité des différentes molécules

A
  • Les plus utilisées
  • Préviennent les crises convulsives et le DT
  • Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules
  • Les différentes molécules sont une efficacité comparable
  • La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage
  • La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours
  • Quelques ajouts sont parfois nécessaires
    • Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants
    • Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
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217
Q

Sevrage simple: Traitement Biologique
- Benzo: La posologie dépend de quoi?

A
  • Les plus utilisées
  • Préviennent les crises convulsives et le DT
  • Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules
  • Les différentes molécules sont une efficacité comparable
  • La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage
  • La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours
  • Quelques ajouts sont parfois nécessaires
    • Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants
    • Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
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218
Q

Sevrage simple: Traitement Biologique
- Benzo: Durée de traitement

A
  • Les plus utilisées
  • Préviennent les crises convulsives et le DT
  • Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules
  • Les différentes molécules sont une efficacité comparable
  • La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage
  • La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours
  • Quelques ajouts sont parfois nécessaires
    • Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants
    • Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
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219
Q

Sevrage simple: Traitement Biologique
- Benzo: Ajouts nécessaires

A
  • Les plus utilisées
  • Préviennent les crises convulsives et le DT
  • Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules
  • Les différentes molécules sont une efficacité comparable
  • La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage
  • La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours
  • Quelques ajouts sont parfois nécessaires
    • Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants
    • Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
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220
Q

Sevrage simple: Traitement Biologique
- Benzo: Ajouts nécessaires - indication de phénobarbital

A
  • Les plus utilisées
  • Préviennent les crises convulsives et le DT
  • Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules
  • Les différentes molécules sont une efficacité comparable
  • La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage
  • La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours
  • Quelques ajouts sont parfois nécessaires
    • Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants
    • Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
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221
Q

Sevrage simple: Traitement Biologique
- Benzo: Ajouts nécessaires - indications antipsychotiques

A
  • Les plus utilisées
  • Préviennent les crises convulsives et le DT
  • Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules
  • Les différentes molécules sont une efficacité comparable
  • La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage
  • La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours
  • Quelques ajouts sont parfois nécessaires
    • Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants
    • Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
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222
Q

Sevrage simple: Traitement Biologique
- Naltrexone

A
  • Antagoniste des récepteurs opioïdes
  • Atténue le renforcement fait pas l’alcool (médication adjuvante au traitement)
  • Diminue le risque de rechute, augmente le temps avant la rechute, et une diminution de jours où la personne boit et du nombre de consommations
  • Les effets secondaires incluent : Vo, diarrhée, somnolence, élévation des AST et ALT
  • La toxicité hépatique est rare, mais il est conseillé de tout même surveiller par bilans
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223
Q

Sevrage simple: Traitement Biologique
- Naltrexone: classe de Rx

A
  • Antagoniste des récepteurs opioïdes
  • Atténue le renforcement fait pas l’alcool (médication adjuvante au traitement)
  • Diminue le risque de rechute, augmente le temps avant la rechute, et une diminution de jours où la personne boit et du nombre de consommations
  • Les effets secondaires incluent : Vo, diarrhée, somnolence, élévation des AST et ALT
  • La toxicité hépatique est rare, mais il est conseillé de tout même surveiller par bilans
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224
Q

Sevrage simple: Traitement Biologique
- Naltrexone: mécanisme d’action

A
  • Antagoniste des récepteurs opioïdes
  • Atténue le renforcement fait pas l’alcool (médication adjuvante au traitement)
  • Diminue le risque de rechute, augmente le temps avant la rechute, et une diminution de jours où la personne boit et du nombre de consommations
  • Les effets secondaires incluent : Vo, diarrhée, somnolence, élévation des AST et ALT
  • La toxicité hépatique est rare, mais il est conseillé de tout même surveiller par bilans
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225
Q

Sevrage simple: Traitement Biologique
- Naltrexone: effets positifs

A
  • Antagoniste des récepteurs opioïdes
  • Atténue le renforcement fait pas l’alcool (médication adjuvante au traitement)
  • Diminue le risque de rechute, augmente le temps avant la rechute, et une diminution de jours où la personne boit et du nombre de consommations
  • Les effets secondaires incluent : Vo, diarrhée, somnolence, élévation des AST et ALT
  • La toxicité hépatique est rare, mais il est conseillé de tout même surveiller par bilans
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226
Q

Sevrage simple: Traitement Biologique
- Naltrexone: E2

A
  • Antagoniste des récepteurs opioïdes
  • Atténue le renforcement fait pas l’alcool (médication adjuvante au traitement)
  • Diminue le risque de rechute, augmente le temps avant la rechute, et une diminution de jours où la personne boit et du nombre de consommations
  • Les effets secondaires incluent : Vo, diarrhée, somnolence, élévation des AST et ALT
  • La toxicité hépatique est rare, mais il est conseillé de tout même surveiller par bilans
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227
Q

Sevrage simple: Traitement Biologique
- Naltrexone: suivi / bilan à faire

A
  • Antagoniste des récepteurs opioïdes
  • Atténue le renforcement fait pas l’alcool (médication adjuvante au traitement)
  • Diminue le risque de rechute, augmente le temps avant la rechute, et une diminution de jours où la personne boit et du nombre de consommations
  • Les effets secondaires incluent : Vo, diarrhée, somnolence, élévation des AST et ALT
  • La toxicité hépatique est rare, mais il est conseillé de tout même surveiller par bilans
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228
Q

Sevrage simple: Tx Biologique
- Acamprosate

A
  • Acide aminé dérivé de la taurine
  • Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA
  • Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés
  • Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent
  • Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence
  • Bien toléré et non métabolisé par le foie
  • Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée
  • Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit
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229
Q

Sevrage simple: Tx Biologique
- Acamprosate: c’est quoi?

A
  • Acide aminé dérivé de la taurine
  • Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA
  • Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés
  • Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent
  • Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence
  • Bien toléré et non métabolisé par le foie
  • Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée
  • Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit
230
Q

Sevrage simple: Tx Biologique
- Acamprosate: type de molécules

A
  • Acide aminé dérivé de la taurine
  • Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA
  • Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés
  • Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent
  • Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence
  • Bien toléré et non métabolisé par le foie
  • Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée
  • Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit
231
Q

Sevrage simple: Tx Biologique
- Acamprosate: Mécanisme d’action

A
  • Acide aminé dérivé de la taurine
  • Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA
  • Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés
  • Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent
  • Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence
  • Bien toléré et non métabolisé par le foie
  • Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée
  • Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit
232
Q

Sevrage simple: Tx Biologique
- Acamprosate: Effets sur les récepteurs + noms des récepteurs

A
  • Acide aminé dérivé de la taurine
  • Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA
  • Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés
  • Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent
  • Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence
  • Bien toléré et non métabolisé par le foie
  • Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée
  • Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit
233
Q

Sevrage simple: Tx Biologique
- Acamprosate: Impacts positifs

A
  • Acide aminé dérivé de la taurine
  • Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA
  • Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés
  • Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent
  • Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence
  • Bien toléré et non métabolisé par le foie
  • Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée
  • Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit
234
Q

Sevrage simple: Tx Biologique
- Acamprosate: Indications

A
  • Acide aminé dérivé de la taurine
  • Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA
  • Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés
  • Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent
  • Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence
  • Bien toléré et non métabolisé par le foie
  • Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée
  • Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit
235
Q

Sevrage simple: Tx Biologique
- Acamprosate: Tolérance

A
  • Acide aminé dérivé de la taurine
  • Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA
  • Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés
  • Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent
  • Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence
  • Bien toléré et non métabolisé par le foie
  • Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée
  • Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit
236
Q

Sevrage simple: Tx Biologique
- Acamprosate: Métabolisation

A
  • Acide aminé dérivé de la taurine
  • Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA
  • Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés
  • Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent
  • Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence
  • Bien toléré et non métabolisé par le foie
  • Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée
  • Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit
237
Q

Sevrage simple: Tx Biologique
- Acamprosate: Excrétion

A
  • Acide aminé dérivé de la taurine
  • Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA
  • Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés
  • Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent
  • Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence
  • Bien toléré et non métabolisé par le foie
  • Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée
  • Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit
238
Q

Sevrage simple: Tx Biologique
- Acamprosate: ce qui doit être évalué

A
  • Acide aminé dérivé de la taurine
  • Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA
  • Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés
  • Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent
  • Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence
  • Bien toléré et non métabolisé par le foie
  • Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée
  • Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit
239
Q

Sevrage simple: Tx Biologique
- Acamprosate: E2

A
  • Acide aminé dérivé de la taurine
  • Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA
  • Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés
  • Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent
  • Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence
  • Bien toléré et non métabolisé par le foie
  • Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée
  • Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit
240
Q

Sevrage simple: Tx Biologique
- Acamprosate: E2 - selon leur fréquence

A
  • Acide aminé dérivé de la taurine
  • Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA
  • Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés
  • Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent
  • Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence
  • Bien toléré et non métabolisé par le foie
  • Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée
  • Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit
241
Q

Sevrage simple: Tx Biologique
- Baclofène

A
  • Agoniste sélectif des R-GABA-B
  • Résultats contradictoires pour réduire la consommation chez les sujets avec trouble de consommation
242
Q

Sevrage simple: Tx Biologique
- Baclofène: Classe de Rx

A
  • Agoniste sélectif des R-GABA-B
  • Résultats contradictoires pour réduire la consommation chez les sujets avec trouble de consommation
243
Q

Sevrage simple: Tx Biologique
- Baclofène: Efficacité

A
  • Agoniste sélectif des R-GABA-B
  • Résultats contradictoires pour réduire la consommation chez les sujets avec trouble de consommation
244
Q

Sevrage simple: Tx Biologique
- Disulfirame

A
  • Effet aversif sur la consommation d’alcool dont l’action principale est l’inhibition de l’aldéhyde-désydrogénase hépatique
  • Induit une augmentation de l’acétaldéhyde par le métabolisme de l’alcool et entraîne chez le consommateur de bouffées de chaleur, des céphalées, des No et Vo dissuasifs.
  • Des effets secondaires sont rares, mais possibles et parfois graves (voir page 866)
  • Compte tenu des effets graves et parfois mortels, cette médication NE CONSTITUE PAS un premier choix thérapeutique.
245
Q

Sevrage simple: Tx Biologique
- Disulfirame: Mécanisme d’action

A
  • Effet aversif sur la consommation d’alcool dont l’action principale est l’inhibition de l’aldéhyde-désydrogénase hépatique
  • Induit une augmentation de l’acétaldéhyde par le métabolisme de l’alcool et entraîne chez le consommateur de bouffées de chaleur, des céphalées, des No et Vo dissuasifs.
  • Des effets secondaires sont rares, mais possibles et parfois graves (voir page 866)
  • Compte tenu des effets graves et parfois mortels, cette médication NE CONSTITUE PAS un premier choix thérapeutique.
246
Q

Sevrage simple: Tx Biologique
- Disulfirame: Effets sur système

A
  • Effet aversif sur la consommation d’alcool dont l’action principale est l’inhibition de l’aldéhyde-désydrogénase hépatique
  • Induit une augmentation de l’acétaldéhyde par le métabolisme de l’alcool et entraîne chez le consommateur de bouffées de chaleur, des céphalées, des No et Vo dissuasifs.
  • Des effets secondaires sont rares, mais possibles et parfois graves (voir page 866)
  • Compte tenu des effets graves et parfois mortels, cette médication NE CONSTITUE PAS un premier choix thérapeutique.
247
Q

Sevrage simple: Tx Biologique
- Disulfirame: Fonctionne comment?

A
  • Effet aversif sur la consommation d’alcool dont l’action principale est l’inhibition de l’aldéhyde-désydrogénase hépatique
  • Induit une augmentation de l’acétaldéhyde par le métabolisme de l’alcool et entraîne chez le consommateur de bouffées de chaleur, des céphalées, des No et Vo dissuasifs.
  • Des effets secondaires sont rares, mais possibles et parfois graves (voir page 866)
  • Compte tenu des effets graves et parfois mortels, cette médication NE CONSTITUE PAS un premier choix thérapeutique.
248
Q

Sevrage simple: Tx Biologique
- Disulfirame: E2

A
  • Effet aversif sur la consommation d’alcool dont l’action principale est l’inhibition de l’aldéhyde-désydrogénase hépatique
  • Induit une augmentation de l’acétaldéhyde par le métabolisme de l’alcool et entraîne chez le consommateur de bouffées de chaleur, des céphalées, des No et Vo dissuasifs.
  • Des effets secondaires sont rares, mais possibles et parfois graves (voir page 866)
  • Compte tenu des effets graves et parfois mortels, cette médication NE CONSTITUE PAS un premier choix thérapeutique.
249
Q

Sevrage simple: Tx Biologique
- Disulfirame: fréquemment utilisé?

A
  • Effet aversif sur la consommation d’alcool dont l’action principale est l’inhibition de l’aldéhyde-désydrogénase hépatique
  • Induit une augmentation de l’acétaldéhyde par le métabolisme de l’alcool et entraîne chez le consommateur de bouffées de chaleur, des céphalées, des No et Vo dissuasifs.
  • Des effets secondaires sont rares, mais possibles et parfois graves (voir page 866)
  • Compte tenu des effets graves et parfois mortels, cette médication NE CONSTITUE PAS un premier choix thérapeutique.
250
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- son importance

A
  • Traitements psychologiques : chaque rencontre avec un patient est une occasion de procéder à une intervention personnalisée.
  • Chaque intervention influence potentiellement l’évolution du trouble lié à l’alcool.
  • La psychothérapie est aussi efficace pour les troubles liés à l’alcool que globalement pour tous les troubles psychiatriques (efficacité légère-modérée)
251
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- son effet

A
  • Traitements psychologiques : chaque rencontre avec un patient est une occasion de procéder à une intervention personnalisée.
  • Chaque intervention influence potentiellement l’évolution du trouble lié à l’alcool.
  • La psychothérapie est aussi efficace pour les troubles liés à l’alcool que globalement pour tous les troubles psychiatriques (efficacité légère-modérée)
252
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- son efficacité

A
  • Traitements psychologiques : chaque rencontre avec un patient est une occasion de procéder à une intervention personnalisée.
  • Chaque intervention influence potentiellement l’évolution du trouble lié à l’alcool.
  • La psychothérapie est aussi efficace pour les troubles liés à l’alcool que globalement pour tous les troubles psychiatriques (efficacité légère-modérée)
253
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- Types d’intervention

A
  1. Interventions brèves
  2. Traitement en 12 étapes des Alcooliques Anonymes
  3. TCC
254
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- Interventions brèves

A
  • La seule action de s’intéresser à la consommation du patient à un effet thérapeutique
  • La thérapie motivationnelle et ses approches apparentées sont un type particulier d’intervention brève
    • Habituellement 1 à 4 séances
    • Aussi efficace que des traitements plus intensifs
    • A pour but d’aider le patient à trouver sa motivation intrinsèque au changement par l’exploration de l’ambivalence
    • Peut être utilisée comme prélude à un traitement intensif
255
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- Interventions brèves: ce qui est fait?

A
  • La seule action de s’intéresser à la consommation du patient à un effet thérapeutique
  • La thérapie motivationnelle et ses approches apparentées sont un type particulier d’intervention brève
    • Habituellement 1 à 4 séances
    • Aussi efficace que des traitements plus intensifs
    • A pour but d’aider le patient à trouver sa motivation intrinsèque au changement par l’exploration de l’ambivalence
    • Peut être utilisée comme prélude à un traitement intensif
256
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- Interventions brèves: types d’intervention

A
  • La seule action de s’intéresser à la consommation du patient à un effet thérapeutique
  • La thérapie motivationnelle et ses approches apparentées sont un type particulier d’intervention brève
    • Habituellement 1 à 4 séances
    • Aussi efficace que des traitements plus intensifs
    • A pour but d’aider le patient à trouver sa motivation intrinsèque au changement par l’exploration de l’ambivalence
    • Peut être utilisée comme prélude à un traitement intensif
257
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- Interventions brèves: thérapie motivationnelle

A
  • La seule action de s’intéresser à la consommation du patient à un effet thérapeutique
  • La thérapie motivationnelle et ses approches apparentées sont un type particulier d’intervention brève
    • Habituellement 1 à 4 séances
    • Aussi efficace que des traitements plus intensifs
    • A pour but d’aider le patient à trouver sa motivation intrinsèque au changement par l’exploration de l’ambivalence
    • Peut être utilisée comme prélude à un traitement intensif
258
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- Interventions brèves: thérapie motivationnelle - nb de séances

A
  • La seule action de s’intéresser à la consommation du patient à un effet thérapeutique
  • La thérapie motivationnelle et ses approches apparentées sont un type particulier d’intervention brève
    • Habituellement 1 à 4 séances
    • Aussi efficace que des traitements plus intensifs
    • A pour but d’aider le patient à trouver sa motivation intrinsèque au changement par l’exploration de l’ambivalence
    • Peut être utilisée comme prélude à un traitement intensif
259
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- Interventions brèves: thérapie motivationnelle - efficacité

A
  • La seule action de s’intéresser à la consommation du patient à un effet thérapeutique
  • La thérapie motivationnelle et ses approches apparentées sont un type particulier d’intervention brève
    • Habituellement 1 à 4 séances
    • Aussi efficace que des traitements plus intensifs
    • A pour but d’aider le patient à trouver sa motivation intrinsèque au changement par l’exploration de l’ambivalence
    • Peut être utilisée comme prélude à un traitement intensif
260
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- Interventions brèves: thérapie motivationnelle - objectif

A
  • La seule action de s’intéresser à la consommation du patient à un effet thérapeutique
  • La thérapie motivationnelle et ses approches apparentées sont un type particulier d’intervention brève
    • Habituellement 1 à 4 séances
    • Aussi efficace que des traitements plus intensifs
    • A pour but d’aider le patient à trouver sa motivation intrinsèque au changement par l’exploration de l’ambivalence
    • Peut être utilisée comme prélude à un traitement intensif
261
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- Interventions brèves: thérapie motivationnelle - indication

A
  • La seule action de s’intéresser à la consommation du patient à un effet thérapeutique
  • La thérapie motivationnelle et ses approches apparentées sont un type particulier d’intervention brève
    • Habituellement 1 à 4 séances
    • Aussi efficace que des traitements plus intensifs
    • A pour but d’aider le patient à trouver sa motivation intrinsèque au changement par l’exploration de l’ambivalence
    • Peut être utilisée comme prélude à un traitement intensif
262
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- 12 étapes des AA

A
  • Intervention la plus connue et la plus recommandée, même si elle n’est pas donnée par des professionnels.
  • Les AA sont un groupe d’entraide qui offre
    • Un soutien par les pairs
    • Des modèles de rôle
    • De l’espoir
    • Des avis pratiques de résolution de problème
    • Un réseau social qui ne valorise pas l’alcool
    • Une activité sobre et structurée
  • Grande disponibilité et gratuit
  • Vise plutôt la croissance personnelle que l’alcool directement, mais centré sur une approche spirituelle théiste (fait référence à un dieu, mais aucun en particulier)
  • Voir page 867 pour les 12 étapes
  • Comme toute intervention, les AA ne sont pas pour tout le monde, certains étant mal à l’aise avec le format de groupe ou la connotation religieuse.
263
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- 12 étapes des AA: fréquence utilisation

A
  • Intervention la plus connue et la plus recommandée, même si elle n’est pas donnée par des professionnels.
  • Les AA sont un groupe d’entraide qui offre
    • Un soutien par les pairs
    • Des modèles de rôle
    • De l’espoir
    • Des avis pratiques de résolution de problème
    • Un réseau social qui ne valorise pas l’alcool
    • Une activité sobre et structurée
  • Grande disponibilité et gratuit
  • Vise plutôt la croissance personnelle que l’alcool directement, mais centré sur une approche spirituelle théiste (fait référence à un dieu, mais aucun en particulier)
  • Voir page 867 pour les 12 étapes
  • Comme toute intervention, les AA ne sont pas pour tout le monde, certains étant mal à l’aise avec le format de groupe ou la connotation religieuse.
264
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- 12 étapes des AA: données par qui?

A
  • Intervention la plus connue et la plus recommandée, même si elle n’est pas donnée par des professionnels.
  • Les AA sont un groupe d’entraide qui offre
    • Un soutien par les pairs
    • Des modèles de rôle
    • De l’espoir
    • Des avis pratiques de résolution de problème
    • Un réseau social qui ne valorise pas l’alcool
    • Une activité sobre et structurée
  • Grande disponibilité et gratuit
  • Vise plutôt la croissance personnelle que l’alcool directement, mais centré sur une approche spirituelle théiste (fait référence à un dieu, mais aucun en particulier)
  • Voir page 867 pour les 12 étapes
  • Comme toute intervention, les AA ne sont pas pour tout le monde, certains étant mal à l’aise avec le format de groupe ou la connotation religieuse.
265
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- 12 étapes des AA: qu’est-ce que les AA?

A
  • Intervention la plus connue et la plus recommandée, même si elle n’est pas donnée par des professionnels.
  • Les AA sont un groupe d’entraide qui offre
    • Un soutien par les pairs
    • Des modèles de rôle
    • De l’espoir
    • Des avis pratiques de résolution de problème
    • Un réseau social qui ne valorise pas l’alcool
    • Une activité sobre et structurée
  • Grande disponibilité et gratuit
  • Vise plutôt la croissance personnelle que l’alcool directement, mais centré sur une approche spirituelle théiste (fait référence à un dieu, mais aucun en particulier)
  • Voir page 867 pour les 12 étapes
  • Comme toute intervention, les AA ne sont pas pour tout le monde, certains étant mal à l’aise avec le format de groupe ou la connotation religieuse.
266
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- 12 étapes des AA: accessibilité

A
  • Intervention la plus connue et la plus recommandée, même si elle n’est pas donnée par des professionnels.
  • Les AA sont un groupe d’entraide qui offre
    • Un soutien par les pairs
    • Des modèles de rôle
    • De l’espoir
    • Des avis pratiques de résolution de problème
    • Un réseau social qui ne valorise pas l’alcool
    • Une activité sobre et structurée
  • Grande disponibilité et gratuit
  • Vise plutôt la croissance personnelle que l’alcool directement, mais centré sur une approche spirituelle théiste (fait référence à un dieu, mais aucun en particulier)
  • Voir page 867 pour les 12 étapes
  • Comme toute intervention, les AA ne sont pas pour tout le monde, certains étant mal à l’aise avec le format de groupe ou la connotation religieuse.
267
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- 12 étapes des AA: vise quoi?

A
  • Intervention la plus connue et la plus recommandée, même si elle n’est pas donnée par des professionnels.
  • Les AA sont un groupe d’entraide qui offre
    • Un soutien par les pairs
    • Des modèles de rôle
    • De l’espoir
    • Des avis pratiques de résolution de problème
    • Un réseau social qui ne valorise pas l’alcool
    • Une activité sobre et structurée
  • Grande disponibilité et gratuit
  • Vise plutôt la croissance personnelle que l’alcool directement, mais centré sur une approche spirituelle théiste (fait référence à un dieu, mais aucun en particulier)
  • Voir page 867 pour les 12 étapes
  • Comme toute intervention, les AA ne sont pas pour tout le monde, certains étant mal à l’aise avec le format de groupe ou la connotation religieuse.
268
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- 12 étapes des AA: pour qui?

A
  • Intervention la plus connue et la plus recommandée, même si elle n’est pas donnée par des professionnels.
  • Les AA sont un groupe d’entraide qui offre
    • Un soutien par les pairs
    • Des modèles de rôle
    • De l’espoir
    • Des avis pratiques de résolution de problème
    • Un réseau social qui ne valorise pas l’alcool
    • Une activité sobre et structurée
  • Grande disponibilité et gratuit
  • Vise plutôt la croissance personnelle que l’alcool directement, mais centré sur une approche spirituelle théiste (fait référence à un dieu, mais aucun en particulier)
  • Voir page 867 pour les 12 étapes
  • Comme toute intervention, les AA ne sont pas pour tout le monde, certains étant mal à l’aise avec le format de groupe ou la connotation religieuse.
269
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- TCC

A
  • Généralement connu pour prévenir les rechutes
  • Son objectif principal est d’enseigner au patient à identifier les situations à haut risque de rechute et à apprendre des comportements alternatifs pour arriver à gérer ces situations sans recourir à l’alcool
  • Une TCC spécifique pour les gens qui n’ont pas encore de trouble de consommation, mais qui consomme trop existe, il s’agit de la thérapie Alcochoix+. L’approche est principalement psychoéducative et vise à enseigner une meilleure gestion de la consommation d’alcool par le patient lui-même.
    • Thérapie d’auto-contrôle qui vise le principe de la modération à bien meilleur goût
270
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- TCC: utilité

A
  • Généralement connu pour prévenir les rechutes
  • Son objectif principal est d’enseigner au patient à identifier les situations à haut risque de rechute et à apprendre des comportements alternatifs pour arriver à gérer ces situations sans recourir à l’alcool
  • Une TCC spécifique pour les gens qui n’ont pas encore de trouble de consommation, mais qui consomme trop existe, il s’agit de la thérapie Alcochoix+. L’approche est principalement psychoéducative et vise à enseigner une meilleure gestion de la consommation d’alcool par le patient lui-même.
    • Thérapie d’auto-contrôle qui vise le principe de la modération à bien meilleur goût
271
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- TCC: objectif principal

A
  • Généralement connu pour prévenir les rechutes
  • Son objectif principal est d’enseigner au patient à identifier les situations à haut risque de rechute et à apprendre des comportements alternatifs pour arriver à gérer ces situations sans recourir à l’alcool
  • Une TCC spécifique pour les gens qui n’ont pas encore de trouble de consommation, mais qui consomme trop existe, il s’agit de la thérapie Alcochoix+. L’approche est principalement psychoéducative et vise à enseigner une meilleure gestion de la consommation d’alcool par le patient lui-même.
    • Thérapie d’auto-contrôle qui vise le principe de la modération à bien meilleur goût
272
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- TCC: type précis

A
  • Généralement connu pour prévenir les rechutes
  • Son objectif principal est d’enseigner au patient à identifier les situations à haut risque de rechute et à apprendre des comportements alternatifs pour arriver à gérer ces situations sans recourir à l’alcool
  • Une TCC spécifique pour les gens qui n’ont pas encore de trouble de consommation, mais qui consomme trop existe, il s’agit de la thérapie Alcochoix+. L’approche est principalement psychoéducative et vise à enseigner une meilleure gestion de la consommation d’alcool par le patient lui-même.
    • Thérapie d’auto-contrôle qui vise le principe de la modération à bien meilleur goût
273
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- TCC: Alcoochoix+

A
  • Généralement connu pour prévenir les rechutes
  • Son objectif principal est d’enseigner au patient à identifier les situations à haut risque de rechute et à apprendre des comportements alternatifs pour arriver à gérer ces situations sans recourir à l’alcool
  • Une TCC spécifique pour les gens qui n’ont pas encore de trouble de consommation, mais qui consomme trop existe, il s’agit de la thérapie Alcochoix+. L’approche est principalement psychoéducative et vise à enseigner une meilleure gestion de la consommation d’alcool par le patient lui-même.
    • Thérapie d’auto-contrôle qui vise le principe de la modération à bien meilleur goût
274
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- TCC: thérapie d’auto-contrôle

A
  • Généralement connu pour prévenir les rechutes
  • Son objectif principal est d’enseigner au patient à identifier les situations à haut risque de rechute et à apprendre des comportements alternatifs pour arriver à gérer ces situations sans recourir à l’alcool
  • Une TCC spécifique pour les gens qui n’ont pas encore de trouble de consommation, mais qui consomme trop existe, il s’agit de la thérapie Alcochoix+. L’approche est principalement psychoéducative et vise à enseigner une meilleure gestion de la consommation d’alcool par le patient lui-même.
    • Thérapie d’auto-contrôle qui vise le principe de la modération à bien meilleur goût
275
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- Efficacité

A
  • Ces 3 techniques (interventions brèves, 12 étapes des AA, TCC) ont montré une efficacité semblable en monothérapie pour une durée de 12 semaines.
  • Ceci se traduit principalement par une diminution de 60 – 80 % des jours de consommation d’alcool et une diminution de la quantité de consommation lors de ces journées
276
Q

Sevrage simple: Tx psychologique
- Effets sur les sx

A
  • Ces 3 techniques (interventions brèves, 12 étapes des AA, TCC) ont montré une efficacité semblable en monothérapie pour une durée de 12 semaines.
  • Ceci se traduit principalement par une diminution de 60 – 80 % des jours de consommation d’alcool et une diminution de la quantité de consommation lors de ces journées
277
Q

Sevrage simple: Interventions sociales
- éléments

A
  • Intervention familales ou de couple
  • Interventions communautaires
278
Q

Sevrage simple: Interventions sociales
- définir / décrire

A
  • Interventions sociales : les données sont de plus en plus probantes concernant l’implication de la famille ou du réseau social de l’individu dans le plan de traitement.
  • Les interventions familiales conduisent à une évolution favorable tant chez l’individu atteint du trouble lié à l’alcool que chez la famille de cet individu.
279
Q

Sevrage simple: Interventions sociales
- Efficacité

A
  • Interventions sociales : les données sont de plus en plus probantes concernant l’implication de la famille ou du réseau social de l’individu dans le plan de traitement.
  • Les interventions familiales conduisent à une évolution favorable tant chez l’individu atteint du trouble lié à l’alcool que chez la famille de cet individu.
280
Q

Sevrage simple: Interventions sociales
- Efficacité des interventions familiales

A
  • Interventions sociales : les données sont de plus en plus probantes concernant l’implication de la famille ou du réseau social de l’individu dans le plan de traitement.
  • Les interventions familiales conduisent à une évolution favorable tant chez l’individu atteint du trouble lié à l’alcool que chez la famille de cet individu.
281
Q

Sevrage simple: Interventions familiales

A

Les interventions familiales peuvent être classées en 3 catégories :

  1. Le travail avec les membres de la famille pour aider à l’entrée en thérapie de l’individu
  2. Le travail conjoint avec les membres de la famille et l’individu en question
  3. L’aide apportée aux membres de la famille pour eux-mêmes.
282
Q

Sevrage simple: Interventions familiales
- nommez les catégories

A

Les interventions familiales peuvent être classées en 3 catégories :

  1. Le travail avec les membres de la famille pour aider à l’entrée en thérapie de l’individu
  2. Le travail conjoint avec les membres de la famille et l’individu en question
  3. L’aide apportée aux membres de la famille pour eux-mêmes.
283
Q

Sevrage simple: Interventions de couple ou familiale

A

Interventions de couple ou familiale :

  • La TCC de couple behavioural couples therapy (BCT) consiste principalement à évaluer et améliorer les interactions positives comportementales entre l’individu alcoolique et son partenaire et aussi améliorer les capacités de communication. Elle permet des meilleurs résultats que les approches individuelles.
  • L’approche de renforcement communautaire community reinforcement approach (CRA) serait l’une des interventions les plus efficaces selon les données. Elle vise une restructuration des aspects sociaux, familiaux et vocationnels de la vie des personnes souffrant de trouble lié à l’alcool. Elle permet un renforcement sélectif de l’abstinence.
  • Le seul fait d’inclure un membre de la famille ou le conjoint dans la thérapie augmente les résultats!
284
Q

Sevrage simple: Interventions de couple ou familiale
- couple behavioural couples therapy (BCT)

A

Interventions de couple ou familiale :

  • La TCC de couple behavioural couples therapy (BCT) consiste principalement à évaluer et améliorer les interactions positives comportementales entre l’individu alcoolique et son partenaire et aussi améliorer les capacités de communication. Elle permet des meilleurs résultats que les approches individuelles.
  • L’approche de renforcement communautaire community reinforcement approach (CRA) serait l’une des interventions les plus efficaces selon les données. Elle vise une restructuration des aspects sociaux, familiaux et vocationnels de la vie des personnes souffrant de trouble lié à l’alcool. Elle permet un renforcement sélectif de l’abstinence.
  • Le seul fait d’inclure un membre de la famille ou le conjoint dans la thérapie augmente les résultats!
285
Q

Sevrage simple: Interventions de couple ou familiale
- couple behavioural couples therapy (BCT): consiste en quoi?

A

Interventions de couple ou familiale :

  • La TCC de couple behavioural couples therapy (BCT) consiste principalement à évaluer et améliorer les interactions positives comportementales entre l’individu alcoolique et son partenaire et aussi améliorer les capacités de communication. Elle permet des meilleurs résultats que les approches individuelles.
  • L’approche de renforcement communautaire community reinforcement approach (CRA) serait l’une des interventions les plus efficaces selon les données. Elle vise une restructuration des aspects sociaux, familiaux et vocationnels de la vie des personnes souffrant de trouble lié à l’alcool. Elle permet un renforcement sélectif de l’abstinence.
  • Le seul fait d’inclure un membre de la famille ou le conjoint dans la thérapie augmente les résultats!
286
Q

Sevrage simple: Interventions de couple ou familiale
- couple behavioural couples therapy (BCT): efficacité

A

Interventions de couple ou familiale :

  • La TCC de couple behavioural couples therapy (BCT) consiste principalement à évaluer et améliorer les interactions positives comportementales entre l’individu alcoolique et son partenaire et aussi améliorer les capacités de communication. Elle permet des meilleurs résultats que les approches individuelles.
  • L’approche de renforcement communautaire community reinforcement approach (CRA) serait l’une des interventions les plus efficaces selon les données. Elle vise une restructuration des aspects sociaux, familiaux et vocationnels de la vie des personnes souffrant de trouble lié à l’alcool. Elle permet un renforcement sélectif de l’abstinence.
  • Le seul fait d’inclure un membre de la famille ou le conjoint dans la thérapie augmente les résultats!
287
Q

Sevrage simple: Interventions de couple ou familiale
- approche de renforcement communautaire community reinforcement approach (CRA)

A

Interventions de couple ou familiale :

  • La TCC de couple behavioural couples therapy (BCT) consiste principalement à évaluer et améliorer les interactions positives comportementales entre l’individu alcoolique et son partenaire et aussi améliorer les capacités de communication. Elle permet des meilleurs résultats que les approches individuelles.
  • L’approche de renforcement communautaire community reinforcement approach (CRA) serait l’une des interventions les plus efficaces selon les données. Elle vise une restructuration des aspects sociaux, familiaux et vocationnels de la vie des personnes souffrant de trouble lié à l’alcool. Elle permet un renforcement sélectif de l’abstinence.
  • Le seul fait d’inclure un membre de la famille ou le conjoint dans la thérapie augmente les résultats!
288
Q

Sevrage simple: Interventions de couple ou familiale
- approche de renforcement communautaire community reinforcement approach (CRA): efficacité

A

Interventions de couple ou familiale :

  • La TCC de couple behavioural couples therapy (BCT) consiste principalement à évaluer et améliorer les interactions positives comportementales entre l’individu alcoolique et son partenaire et aussi améliorer les capacités de communication. Elle permet des meilleurs résultats que les approches individuelles.
  • L’approche de renforcement communautaire community reinforcement approach (CRA) serait l’une des interventions les plus efficaces selon les données. Elle vise une restructuration des aspects sociaux, familiaux et vocationnels de la vie des personnes souffrant de trouble lié à l’alcool. Elle permet un renforcement sélectif de l’abstinence.
  • Le seul fait d’inclure un membre de la famille ou le conjoint dans la thérapie augmente les résultats!
289
Q

Sevrage simple: Interventions de couple ou familiale
- approche de renforcement communautaire community reinforcement approach (CRA): vise quoi?

A

Interventions de couple ou familiale :

  • La TCC de couple behavioural couples therapy (BCT) consiste principalement à évaluer et améliorer les interactions positives comportementales entre l’individu alcoolique et son partenaire et aussi améliorer les capacités de communication. Elle permet des meilleurs résultats que les approches individuelles.
  • L’approche de renforcement communautaire community reinforcement approach (CRA) serait l’une des interventions les plus efficaces selon les données. Elle vise une restructuration des aspects sociaux, familiaux et vocationnels de la vie des personnes souffrant de trouble lié à l’alcool. Elle permet un renforcement sélectif de l’abstinence.
  • Le seul fait d’inclure un membre de la famille ou le conjoint dans la thérapie augmente les résultats!
290
Q

Sevrage simple: Interventions de couple ou familiale
- ce qui augmente les résultats

A

Interventions de couple ou familiale :

  • La TCC de couple behavioural couples therapy (BCT) consiste principalement à évaluer et améliorer les interactions positives comportementales entre l’individu alcoolique et son partenaire et aussi améliorer les capacités de communication. Elle permet des meilleurs résultats que les approches individuelles.
  • L’approche de renforcement communautaire community reinforcement approach (CRA) serait l’une des interventions les plus efficaces selon les données. Elle vise une restructuration des aspects sociaux, familiaux et vocationnels de la vie des personnes souffrant de trouble lié à l’alcool. Elle permet un renforcement sélectif de l’abstinence.
  • Le seul fait d’inclure un membre de la famille ou le conjoint dans la thérapie augmente les résultats!
291
Q

Sevrage simple: Interventions communautaires

A

Interventions communautaires : les moyens utilisés sont multiples, mais les plus fréquents sont la mobilisation d’un groupe social pour la prévention de la prise d’alcool chez les mineurs ou les accidents de la route reliés à la prise d’alcool, ainsi que la publicité sur le contrôle de l’alcool.

  • La littérature semble dire que ces approches sont bénéfiques.
  • Ces interventions renforcent l’entraide et le soutien communautaire et valorisent les comportements positifs à l’égard de la communauté (plutôt que de prôner une plus grande coercition).
292
Q

Sevrage simple: Interventions communautaires
- moyens utilisés

A

Interventions communautaires : les moyens utilisés sont multiples, mais les plus fréquents sont la mobilisation d’un groupe social pour la prévention de la prise d’alcool chez les mineurs ou les accidents de la route reliés à la prise d’alcool, ainsi que la publicité sur le contrôle de l’alcool.

  • La littérature semble dire que ces approches sont bénéfiques.
  • Ces interventions renforcent l’entraide et le soutien communautaire et valorisent les comportements positifs à l’égard de la communauté (plutôt que de prôner une plus grande coercition).
293
Q

Sevrage simple: Interventions communautaires
- efficacité

A

Interventions communautaires : les moyens utilisés sont multiples, mais les plus fréquents sont la mobilisation d’un groupe social pour la prévention de la prise d’alcool chez les mineurs ou les accidents de la route reliés à la prise d’alcool, ainsi que la publicité sur le contrôle de l’alcool.

  • La littérature semble dire que ces approches sont bénéfiques.
  • Ces interventions renforcent l’entraide et le soutien communautaire et valorisent les comportements positifs à l’égard de la communauté (plutôt que de prôner une plus grande coercition).
294
Q

Sevrage simple: Interventions communautaires
- mode de fonctionnement

A

Interventions communautaires : les moyens utilisés sont multiples, mais les plus fréquents sont la mobilisation d’un groupe social pour la prévention de la prise d’alcool chez les mineurs ou les accidents de la route reliés à la prise d’alcool, ainsi que la publicité sur le contrôle de l’alcool.

  • La littérature semble dire que ces approches sont bénéfiques.
  • Ces interventions renforcent l’entraide et le soutien communautaire et valorisent les comportements positifs à l’égard de la communauté (plutôt que de prôner une plus grande coercition).
295
Q

Delirium de sevrage: Synonyme

A
  • Délirium tremens
296
Q

Delirium de sevrage (délirium tremens)

A
  • Il s’agit de la manifestation la plus grave du sevrage (urgence médicale).
  • On peut donner des benzodiazépines et de l’halopéridol (ou autre antipsychotique) si l’agitation est extrême.
  • Il est à noter qu’il ne faut pas donner d’halopéridol sans benzodiazépine, sous peine d’aggraver les symptômes.
297
Q

Delirium de sevrage (délirium tremens)
- c’est quoi?

A
  • Il s’agit de la manifestation la plus grave du sevrage (urgence médicale).
  • On peut donner des benzodiazépines et de l’halopéridol (ou autre antipsychotique) si l’agitation est extrême.
  • Il est à noter qu’il ne faut pas donner d’halopéridol sans benzodiazépine, sous peine d’aggraver les symptômes.
298
Q

Delirium de sevrage (délirium tremens)
- risque associé

A
  • Il s’agit de la manifestation la plus grave du sevrage (urgence médicale).
  • On peut donner des benzodiazépines et de l’halopéridol (ou autre antipsychotique) si l’agitation est extrême.
  • Il est à noter qu’il ne faut pas donner d’halopéridol sans benzodiazépine, sous peine d’aggraver les symptômes.
299
Q

Delirium de sevrage (délirium tremens)
- Traitement

A
  • Il s’agit de la manifestation la plus grave du sevrage (urgence médicale).
  • On peut donner des benzodiazépines et de l’halopéridol (ou autre antipsychotique) si l’agitation est extrême.
  • Il est à noter qu’il ne faut pas donner d’halopéridol sans benzodiazépine, sous peine d’aggraver les symptômes.
300
Q

Delirium de sevrage (délirium tremens)
- Traitement: ce qu’il ne faut pas faire

A
  • Il s’agit de la manifestation la plus grave du sevrage (urgence médicale).
  • On peut donner des benzodiazépines et de l’halopéridol (ou autre antipsychotique) si l’agitation est extrême.
  • Il est à noter qu’il ne faut pas donner d’halopéridol sans benzodiazépine, sous peine d’aggraver les symptômes.
301
Q

Convulsions de sevrage
- Traitement habituel

A

Traitement habituel : Benzodiazépines

302
Q

Intoxication aiguë: Traitement

A
  • Maintenir les fonctions vitales
  • Correction des anomalies biologiques
  • Sédation chez le patient agité/violent
  • La métadoxine (bien que non approuvée ni commercialisée) pourrait accélérer l’élimination de l’acétaldéhyde et améliorer l’état clinique des patients intoxiqués (possibilité de diminuer le hangover …?)
303
Q

Intoxication aiguë: Traitement
- général

A
  • Maintenir les fonctions vitales
  • Correction des anomalies biologiques
  • Sédation chez le patient agité/violent
  • La métadoxine (bien que non approuvée ni commercialisée) pourrait accélérer l’élimination de l’acétaldéhyde et améliorer l’état clinique des patients intoxiqués (possibilité de diminuer le hangover …?)
304
Q

Intoxication aiguë: Traitement
- médicament

A
  • Maintenir les fonctions vitales
  • Correction des anomalies biologiques
  • Sédation chez le patient agité/violent
  • La métadoxine (bien que non approuvée ni commercialisée) pourrait accélérer l’élimination de l’acétaldéhyde et améliorer l’état clinique des patients intoxiqués (possibilité de diminuer le hangover …?)
305
Q

Intoxication aiguë: Traitement
- métadoxine

A
  • Maintenir les fonctions vitales
  • Correction des anomalies biologiques
  • Sédation chez le patient agité/violent
  • La métadoxine (bien que non approuvée ni commercialisée) pourrait accélérer l’élimination de l’acétaldéhyde et améliorer l’état clinique des patients intoxiqués (possibilité de diminuer le hangover …?)
306
Q

TNC associé à conso prolongée d’alcool

A
  • Syndrome de Wernicke-Korsakoff.
  • Dans sa phase aiguë (Wernicke), les symptômes classiques sont la confusion, l’ophtalmoplégie et l’ataxie.
  • Il est à noter que les patients peuvent montrer des signes de malnutrition, un nystagmus, une polynévrite avec faiblesse musculaire, des paresthésies et des douleurs à la partie distale des membres inférieurs.
  • Dans sa phase tardive (Korsakoff), qui survient chez 85 % des patients non-traités, des lésions cérébrales mènent à des troubles mnésiques antérograde persistants avec éléments de confabulation.
  • On peut aussi voir un comportement désorganisé et agressif
307
Q

TNC associé à conso prolongée d’alcool
- nommez-le

A
  • Syndrome de Wernicke-Korsakoff.
  • Dans sa phase aiguë (Wernicke), les symptômes classiques sont la confusion, l’ophtalmoplégie et l’ataxie.
  • Il est à noter que les patients peuvent montrer des signes de malnutrition, un nystagmus, une polynévrite avec faiblesse musculaire, des paresthésies et des douleurs à la partie distale des membres inférieurs.
  • Dans sa phase tardive (Korsakoff), qui survient chez 85 % des patients non-traités, des lésions cérébrales mènent à des troubles mnésiques antérograde persistants avec éléments de confabulation.
  • On peut aussi voir un comportement désorganisé et agressif
308
Q

Syndrome de Wernicke-Korsakoff

A
  • Syndrome de Wernicke-Korsakoff.
  • Dans sa phase aiguë (Wernicke), les symptômes classiques sont la confusion, l’ophtalmoplégie et l’ataxie.
  • Il est à noter que les patients peuvent montrer des signes de malnutrition, un nystagmus, une polynévrite avec faiblesse musculaire, des paresthésies et des douleurs à la partie distale des membres inférieurs.
  • Dans sa phase tardive (Korsakoff), qui survient chez 85 % des patients non-traités, des lésions cérébrales mènent à des troubles mnésiques antérograde persistants avec éléments de confabulation.
  • On peut aussi voir un comportement désorganisé et agressif
309
Q

Syndrome de Wernicke-Korsakoff: Présentation aiguë

A
  • Syndrome de Wernicke-Korsakoff.
  • Dans sa phase aiguë (Wernicke), les symptômes classiques sont la confusion, l’ophtalmoplégie et l’ataxie.
  • Il est à noter que les patients peuvent montrer des signes de malnutrition, un nystagmus, une polynévrite avec faiblesse musculaire, des paresthésies et des douleurs à la partie distale des membres inférieurs.
  • Dans sa phase tardive (Korsakoff), qui survient chez 85 % des patients non-traités, des lésions cérébrales mènent à des troubles mnésiques antérograde persistants avec éléments de confabulation.
  • On peut aussi voir un comportement désorganisé et agressif
310
Q

Syndrome de Wernicke-Korsakoff: Présentation aiguë
- symptômes

A
  • Syndrome de Wernicke-Korsakoff.
  • Dans sa phase aiguë (Wernicke), les symptômes classiques sont la confusion, l’ophtalmoplégie et l’ataxie.
  • Il est à noter que les patients peuvent montrer des signes de malnutrition, un nystagmus, une polynévrite avec faiblesse musculaire, des paresthésies et des douleurs à la partie distale des membres inférieurs.
  • Dans sa phase tardive (Korsakoff), qui survient chez 85 % des patients non-traités, des lésions cérébrales mènent à des troubles mnésiques antérograde persistants avec éléments de confabulation.
  • On peut aussi voir un comportement désorganisé et agressif
311
Q

Syndrome de Wernicke-Korsakoff: Présentation aiguë
- symptômes classiques

A
  • Syndrome de Wernicke-Korsakoff.
  • Dans sa phase aiguë (Wernicke), les symptômes classiques sont la confusion, l’ophtalmoplégie et l’ataxie.
  • Il est à noter que les patients peuvent montrer des signes de malnutrition, un nystagmus, une polynévrite avec faiblesse musculaire, des paresthésies et des douleurs à la partie distale des membres inférieurs.
  • Dans sa phase tardive (Korsakoff), qui survient chez 85 % des patients non-traités, des lésions cérébrales mènent à des troubles mnésiques antérograde persistants avec éléments de confabulation.
  • On peut aussi voir un comportement désorganisé et agressif
312
Q

Syndrome de Wernicke-Korsakoff: Présentation dans la phase tardive

A
  • Syndrome de Wernicke-Korsakoff.
  • Dans sa phase aiguë (Wernicke), les symptômes classiques sont la confusion, l’ophtalmoplégie et l’ataxie.
  • Il est à noter que les patients peuvent montrer des signes de malnutrition, un nystagmus, une polynévrite avec faiblesse musculaire, des paresthésies et des douleurs à la partie distale des membres inférieurs.
  • Dans sa phase tardive (Korsakoff), qui survient chez 85 % des patients non-traités, des lésions cérébrales mènent à des troubles mnésiques antérograde persistants avec éléments de confabulation.
  • On peut aussi voir un comportement désorganisé et agressif
313
Q

Syndrome de Wernicke-Korsakoff: Physiopatho

A
  • Ce syndrome est causé par une malabsorption qui amène un déficit en vitamine B1 (thiamine).
  • Il existe une fragilisation génétique possible qui prédisposent certains individus.
  • Il est à noter que le syndrome de WernickeKorsakoff n’est pas exclusivement présent chez les alcooliques, quoique cette population soit particulièrement à risque
314
Q

Syndrome de Wernicke-Korsakoff: Physiopatho
- mécanisme en cause

A
  • Ce syndrome est causé par une malabsorption qui amène un déficit en vitamine B1 (thiamine).
  • Il existe une fragilisation génétique possible qui prédisposent certains individus.
  • Il est à noter que le syndrome de WernickeKorsakoff n’est pas exclusivement présent chez les alcooliques, quoique cette population soit particulièrement à risque
315
Q

Syndrome de Wernicke-Korsakoff: Physiopatho
- génétique

A
  • Ce syndrome est causé par une malabsorption qui amène un déficit en vitamine B1 (thiamine).
  • Il existe une fragilisation génétique possible qui prédisposent certains individus.
  • Il est à noter que le syndrome de WernickeKorsakoff n’est pas exclusivement présent chez les alcooliques, quoique cette population soit particulièrement à risque
316
Q

Syndrome de Wernicke-Korsakoff: Présent juste chez les alcooliques?

A
  • Ce syndrome est causé par une malabsorption qui amène un déficit en vitamine B1 (thiamine).
  • Il existe une fragilisation génétique possible qui prédisposent certains individus.
  • Il est à noter que le syndrome de WernickeKorsakoff n’est pas exclusivement présent chez les alcooliques, quoique cette population soit particulièrement à risque
317
Q

Tr psychiatriques les plus fréquemment associés à l’alcool

A
  • TP antisociale
  • Troubles de l’humeur
  • Troubles anxieux
  • TP limite / histrioniques / évitante
  • N.B. : L’amélioration de la maladie psychiatrique est la norme avec la résolution du problème d’alcool, si le traitement est bien suivi
318
Q

Tr psychiatriques les plus fréquemment associés à l’alcool
- évolution de la maladie psychiatrique

A
  • TP antisociale
  • Troubles de l’humeur
  • Troubles anxieux
  • TP limite / histrioniques / évitante
  • N.B. : L’amélioration de la maladie psychiatrique est la norme avec la résolution du problème d’alcool, si le traitement est bien suivi
319
Q

Tr psychiatriques les plus fréquemment associés à l’alcool: Nommez-les

A
  • TP antisociale
  • Troubles de l’humeur
  • Troubles anxieux
  • TP limite / histrioniques / évitante
  • N.B. : L’amélioration de la maladie psychiatrique est la norme avec la résolution du problème d’alcool, si le traitement est bien suivi
320
Q

Traitement de l’abus d’alcool: Facteurs de bon vs mauvais pronostic

A
321
Q

Traitement de l’abus d’alcool: Facteurs de bon pronostic

A
  • Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide
  • Absence d’un trouble lié à d’autres substances
  • Un style de vie stable avec maintien d’un emploi
  • Relations sociales et familiales aidantes
  • Absence de conséquences judiciaires importantes
  • Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme
  • Stabilité sociale
  • Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool
  • Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool.
  • Bonne observance
  • Absence de trouble mental grave
  • Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation
322
Q

Traitement de l’abus d’alcool: Facteurs de bon pronostic
- TP

A
  • Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide
  • Absence d’un trouble lié à d’autres substances
  • Un style de vie stable avec maintien d’un emploi
  • Relations sociales et familiales aidantes
  • Absence de conséquences judiciaires importantes
  • Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme
  • Stabilité sociale
  • Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool
  • Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool.
  • Bonne observance
  • Absence de trouble mental grave
  • Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation
323
Q

Traitement de l’abus d’alcool: Facteurs de bon pronostic
- Autres TUS

A
  • Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide
  • Absence d’un trouble lié à d’autres substances
  • Un style de vie stable avec maintien d’un emploi
  • Relations sociales et familiales aidantes
  • Absence de conséquences judiciaires importantes
  • Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme
  • Stabilité sociale
  • Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool
  • Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool.
  • Bonne observance
  • Absence de trouble mental grave
  • Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation
324
Q

Traitement de l’abus d’alcool: Facteurs de bon pronostic
- style de vie

A
  • Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide
  • Absence d’un trouble lié à d’autres substances
  • Un style de vie stable avec maintien d’un emploi
  • Relations sociales et familiales aidantes
  • Absence de conséquences judiciaires importantes
  • Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme
  • Stabilité sociale
  • Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool
  • Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool.
  • Bonne observance
  • Absence de trouble mental grave
  • Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation
325
Q

Traitement de l’abus d’alcool: Facteurs de bon pronostic
- réseau social

A
  • Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide
  • Absence d’un trouble lié à d’autres substances
  • Un style de vie stable avec maintien d’un emploi
  • Relations sociales et familiales aidantes
  • Absence de conséquences judiciaires importantes
  • Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme
  • Stabilité sociale
  • Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool
  • Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool.
  • Bonne observance
  • Absence de trouble mental grave
  • Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation
326
Q

Traitement de l’abus d’alcool: Facteurs de bon pronostic
- ATCD judiciaire

A
  • Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide
  • Absence d’un trouble lié à d’autres substances
  • Un style de vie stable avec maintien d’un emploi
  • Relations sociales et familiales aidantes
  • Absence de conséquences judiciaires importantes
  • Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme
  • Stabilité sociale
  • Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool
  • Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool.
  • Bonne observance
  • Absence de trouble mental grave
  • Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation
327
Q

Traitement de l’abus d’alcool: Facteurs de bon pronostic
- traitement

A
  • Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide
  • Absence d’un trouble lié à d’autres substances
  • Un style de vie stable avec maintien d’un emploi
  • Relations sociales et familiales aidantes
  • Absence de conséquences judiciaires importantes
  • Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme
  • Stabilité sociale
  • Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool
  • Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool.
  • Bonne observance
  • Absence de trouble mental grave
  • Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation
328
Q

Traitement de l’abus d’alcool: Facteurs de bon pronostic
- stabilité sociale

A
  • Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide
  • Absence d’un trouble lié à d’autres substances
  • Un style de vie stable avec maintien d’un emploi
  • Relations sociales et familiales aidantes
  • Absence de conséquences judiciaires importantes
  • Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme
  • Stabilité sociale
  • Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool
  • Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool.
  • Bonne observance
  • Absence de trouble mental grave
  • Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation
329
Q

Traitement de l’abus d’alcool: Facteurs de bon pronostic
- ATCD familiaux

A
  • Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide
  • Absence d’un trouble lié à d’autres substances
  • Un style de vie stable avec maintien d’un emploi
  • Relations sociales et familiales aidantes
  • Absence de conséquences judiciaires importantes
  • Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme
  • Stabilité sociale
  • Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool
  • Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool.
  • Bonne observance
  • Absence de trouble mental grave
  • Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation
330
Q

Traitement de l’abus d’alcool: Facteurs de bon pronostic
- traitement antérieur d’alcool

A
  • Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide
  • Absence d’un trouble lié à d’autres substances
  • Un style de vie stable avec maintien d’un emploi
  • Relations sociales et familiales aidantes
  • Absence de conséquences judiciaires importantes
  • Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme
  • Stabilité sociale
  • Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool
  • Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool.
  • Bonne observance
  • Absence de trouble mental grave
  • Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation
331
Q

Traitement de l’abus d’alcool: Facteurs de bon pronostic
- observance

A
  • Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide
  • Absence d’un trouble lié à d’autres substances
  • Un style de vie stable avec maintien d’un emploi
  • Relations sociales et familiales aidantes
  • Absence de conséquences judiciaires importantes
  • Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme
  • Stabilité sociale
  • Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool
  • Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool.
  • Bonne observance
  • Absence de trouble mental grave
  • Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation
332
Q

Traitement de l’abus d’alcool: Facteurs de bon pronostic
- comorbidités

A
  • Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide
  • Absence d’un trouble lié à d’autres substances
  • Un style de vie stable avec maintien d’un emploi
  • Relations sociales et familiales aidantes
  • Absence de conséquences judiciaires importantes
  • Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme
  • Stabilité sociale
  • Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool
  • Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool.
  • Bonne observance
  • Absence de trouble mental grave
  • Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation
333
Q

Traitement de l’abus d’alcool: Facteurs de bon pronostic
- Trouble usage découvert quand?

A
  • Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide
  • Absence d’un trouble lié à d’autres substances
  • Un style de vie stable avec maintien d’un emploi
  • Relations sociales et familiales aidantes
  • Absence de conséquences judiciaires importantes
  • Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme
  • Stabilité sociale
  • Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool
  • Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool.
  • Bonne observance
  • Absence de trouble mental grave
  • Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation
334
Q

Traitement de l’abus d’alcool: Facteurs de mauvais pronostic

A
  • TP antisociale
  • Présence dépendance grave à d’autres substances
  • Début précoce de dépendance (avant 20 ans)
  • Moindres ressources psychosociales, telles l’absence de logement stable, la désinsertion sociale ou isolement
  • Présence d’un épisode dépressif majeur actif diminue les probabilités de rémission de la dépendance d’alcool
    • Des ATCD dépressifs avant la consommation ou durant le sevrage sont également de mauvais pronostic.
335
Q

Traitement de l’abus d’alcool: Facteurs de mauvais pronostic
- TP

A
  • TP antisociale
  • Présence dépendance grave à d’autres substances
  • Début précoce de dépendance (avant 20 ans)
  • Moindres ressources psychosociales, telles l’absence de logement stable, la désinsertion sociale ou isolement
  • Présence d’un épisode dépressif majeur actif diminue les probabilités de rémission de la dépendance d’alcool
    • Des ATCD dépressifs avant la consommation ou durant le sevrage sont également de mauvais pronostic.
336
Q

Traitement de l’abus d’alcool: Facteurs de mauvais pronostic
- dépendance à autres substances

A
  • TP antisociale
  • Présence dépendance grave à d’autres substances
  • Début précoce de dépendance (avant 20 ans)
  • Moindres ressources psychosociales, telles l’absence de logement stable, la désinsertion sociale ou isolement
  • Présence d’un épisode dépressif majeur actif diminue les probabilités de rémission de la dépendance d’alcool
    • Des ATCD dépressifs avant la consommation ou durant le sevrage sont également de mauvais pronostic.
337
Q

Traitement de l’abus d’alcool: Facteurs de mauvais pronostic
- débute quand?

A
  • TP antisociale
  • Présence dépendance grave à d’autres substances
  • Début précoce de dépendance (avant 20 ans)
  • Moindres ressources psychosociales, telles l’absence de logement stable, la désinsertion sociale ou isolement
  • Présence d’un épisode dépressif majeur actif diminue les probabilités de rémission de la dépendance d’alcool
    • Des ATCD dépressifs avant la consommation ou durant le sevrage sont également de mauvais pronostic.
338
Q

Traitement de l’abus d’alcool: Facteurs de mauvais pronostic
- Ressources psychosociales

A
  • TP antisociale
  • Présence dépendance grave à d’autres substances
  • Début précoce de dépendance (avant 20 ans)
  • Moindres ressources psychosociales, telles l’absence de logement stable, la désinsertion sociale ou isolement
  • Présence d’un épisode dépressif majeur actif diminue les probabilités de rémission de la dépendance d’alcool
    • Des ATCD dépressifs avant la consommation ou durant le sevrage sont également de mauvais pronostic.
339
Q

Traitement de l’abus d’alcool: Facteurs de mauvais pronostic
- comorbidités

A
  • TP antisociale
  • Présence dépendance grave à d’autres substances
  • Début précoce de dépendance (avant 20 ans)
  • Moindres ressources psychosociales, telles l’absence de logement stable, la désinsertion sociale ou isolement
  • Présence d’un épisode dépressif majeur actif diminue les probabilités de rémission de la dépendance d’alcool
    • Des ATCD dépressifs avant la consommation ou durant le sevrage sont également de mauvais pronostic.
340
Q

Traitement de l’abus d’alcool: Mortalité

A
  • Il est à noter que la mortalité serait doublée chez la population de buveurs excessifs, comparativement à la population générale.
  • L’alcool constitue d’ailleurs une des plus grandes causes de blessures et de maladies.
  • Suite au traitement, ¼ des patients demeurent totalement abstinents, 1/10 utilisent l’alcool de façon modérée et sans conséquences négatives et 87 % diminuent leur consommation et s’abstiennent ¾ jours. 1/3 des patients voient leurs problèmes associés disparaître à 1 an, et le reste (2/3) voient, en moyenne, une diminution de leur consommation et des problèmes associés significatifs.
341
Q

Traitement de l’abus d’alcool: Populations chez lesquelles le risque de mortalité est augmenté

A
  • Il est à noter que la mortalité serait doublée chez la population de buveurs excessifs, comparativement à la population générale.
  • L’alcool constitue d’ailleurs une des plus grandes causes de blessures et de maladies.
  • Suite au traitement, ¼ des patients demeurent totalement abstinents, 1/10 utilisent l’alcool de façon modérée et sans conséquences négatives et 87 % diminuent leur consommation et s’abstiennent ¾ jours. 1/3 des patients voient leurs problèmes associés disparaître à 1 an, et le reste (2/3) voient, en moyenne, une diminution de leur consommation et des problèmes associés significatifs.
342
Q

Traitement de l’abus d’alcool: Mortalité associée

A
  • Il est à noter que la mortalité serait doublée chez la population de buveurs excessifs, comparativement à la population générale.
  • L’alcool constitue d’ailleurs une des plus grandes causes de blessures et de maladies.
  • Suite au traitement, ¼ des patients demeurent totalement abstinents, 1/10 utilisent l’alcool de façon modérée et sans conséquences négatives et 87 % diminuent leur consommation et s’abstiennent ¾ jours. 1/3 des patients voient leurs problèmes associés disparaître à 1 an, et le reste (2/3) voient, en moyenne, une diminution de leur consommation et des problèmes associés significatifs.
343
Q

Traitement de l’abus d’alcool: Pronostic / évolution

A
  • Il est à noter que la mortalité serait doublée chez la population de buveurs excessifs, comparativement à la population générale.
  • L’alcool constitue d’ailleurs une des plus grandes causes de blessures et de maladies.
  • Suite au traitement, ¼ des patients demeurent totalement abstinents, 1/10 utilisent l’alcool de façon modérée et sans conséquences négatives et 87 % diminuent leur consommation et s’abstiennent ¾ jours. 1/3 des patients voient leurs problèmes associés disparaître à 1 an, et le reste (2/3) voient, en moyenne, une diminution de leur consommation et des problèmes associés significatifs.
344
Q

Démence alcoolique

A
  • De nature frontale et/ou sous-corticale, les déficits typiques comprennent l’abstraction, la mémoire à court terme et la fluidité verbale.
  • Le diagnostic ne peut être posé qu’après une période de 60 jours d’abstinence
  • L’usage d’alcool doit avoir été d’au minimum 5 ans et pendant au moins 3 ans avant l’apparition des déficits cognitifs
  • La consommation doit être importante
    • Plus de 35 par semaine pour les H
    • Plus de 21 par semaine pour les F
  • Les troubles sont généralement moins graves que dans les cas de démences et peuvent s’améliorer avec l’abstinence.
  • Il y est difficile de savoir si l’alcool est responsable via toxicité directe ou indirecte (déficit pancréatique, hépatique, etc.)
345
Q

Démence alcoolique: Régions touchées

A
  • De nature frontale et/ou sous-corticale, les déficits typiques comprennent l’abstraction, la mémoire à court terme et la fluidité verbale.
  • Le diagnostic ne peut être posé qu’après une période de 60 jours d’abstinence
  • L’usage d’alcool doit avoir été d’au minimum 5 ans et pendant au moins 3 ans avant l’apparition des déficits cognitifs
  • La consommation doit être importante
    • Plus de 35 par semaine pour les H
    • Plus de 21 par semaine pour les F
  • Les troubles sont généralement moins graves que dans les cas de démences et peuvent s’améliorer avec l’abstinence.
  • Il y est difficile de savoir si l’alcool est responsable via toxicité directe ou indirecte (déficit pancréatique, hépatique, etc.)
346
Q

Démence alcoolique: Déficits / symptômes

A
  • De nature frontale et/ou sous-corticale, les déficits typiques comprennent l’abstraction, la mémoire à court terme et la fluidité verbale.
  • Le diagnostic ne peut être posé qu’après une période de 60 jours d’abstinence
  • L’usage d’alcool doit avoir été d’au minimum 5 ans et pendant au moins 3 ans avant l’apparition des déficits cognitifs
  • La consommation doit être importante
    • Plus de 35 par semaine pour les H
    • Plus de 21 par semaine pour les F
  • Les troubles sont généralement moins graves que dans les cas de démences et peuvent s’améliorer avec l’abstinence.
  • Il y est difficile de savoir si l’alcool est responsable via toxicité directe ou indirecte (déficit pancréatique, hépatique, etc.)
347
Q

Démence alcoolique: Dans quel contexte poser le dx?

A
  • De nature frontale et/ou sous-corticale, les déficits typiques comprennent l’abstraction, la mémoire à court terme et la fluidité verbale.
  • Le diagnostic ne peut être posé qu’après une période de 60 jours d’abstinence
  • L’usage d’alcool doit avoir été d’au minimum 5 ans et pendant au moins 3 ans avant l’apparition des déficits cognitifs
  • La consommation doit être importante
    • Plus de 35 par semaine pour les H
    • Plus de 21 par semaine pour les F
  • Les troubles sont généralement moins graves que dans les cas de démences et peuvent s’améliorer avec l’abstinence.
  • Il y est difficile de savoir si l’alcool est responsable via toxicité directe ou indirecte (déficit pancréatique, hépatique, etc.)
348
Q

Démence alcoolique: Usage d’alcool doit respecter quels critères de temps?

A
  • De nature frontale et/ou sous-corticale, les déficits typiques comprennent l’abstraction, la mémoire à court terme et la fluidité verbale.
  • Le diagnostic ne peut être posé qu’après une période de 60 jours d’abstinence
  • L’usage d’alcool doit avoir été d’au minimum 5 ans et pendant au moins 3 ans avant l’apparition des déficits cognitifs
  • La consommation doit être importante
    • Plus de 35 par semaine pour les H
    • Plus de 21 par semaine pour les F
  • Les troubles sont généralement moins graves que dans les cas de démences et peuvent s’améliorer avec l’abstinence.
  • Il y est difficile de savoir si l’alcool est responsable via toxicité directe ou indirecte (déficit pancréatique, hépatique, etc.)
349
Q

Démence alcoolique: Intensité de la consommation

A
  • De nature frontale et/ou sous-corticale, les déficits typiques comprennent l’abstraction, la mémoire à court terme et la fluidité verbale.
  • Le diagnostic ne peut être posé qu’après une période de 60 jours d’abstinence
  • L’usage d’alcool doit avoir été d’au minimum 5 ans et pendant au moins 3 ans avant l’apparition des déficits cognitifs
  • La consommation doit être importante
    • Plus de 35 par semaine pour les H
    • Plus de 21 par semaine pour les F
  • Les troubles sont généralement moins graves que dans les cas de démences et peuvent s’améliorer avec l’abstinence.
  • Il y est difficile de savoir si l’alcool est responsable via toxicité directe ou indirecte (déficit pancréatique, hépatique, etc.)
350
Q

Démence alcoolique: Intensité de la consommation d’alcool
- H vs F

A
  • De nature frontale et/ou sous-corticale, les déficits typiques comprennent l’abstraction, la mémoire à court terme et la fluidité verbale.
  • Le diagnostic ne peut être posé qu’après une période de 60 jours d’abstinence
  • L’usage d’alcool doit avoir été d’au minimum 5 ans et pendant au moins 3 ans avant l’apparition des déficits cognitifs
  • La consommation doit être importante
    • Plus de 35 par semaine pour les H
    • Plus de 21 par semaine pour les F
  • Les troubles sont généralement moins graves que dans les cas de démences et peuvent s’améliorer avec l’abstinence.
  • Il y est difficile de savoir si l’alcool est responsable via toxicité directe ou indirecte (déficit pancréatique, hépatique, etc.)
351
Q

Démence alcoolique: Sévérité des déficits

A
  • De nature frontale et/ou sous-corticale, les déficits typiques comprennent l’abstraction, la mémoire à court terme et la fluidité verbale.
  • Le diagnostic ne peut être posé qu’après une période de 60 jours d’abstinence
  • L’usage d’alcool doit avoir été d’au minimum 5 ans et pendant au moins 3 ans avant l’apparition des déficits cognitifs
  • La consommation doit être importante
    • Plus de 35 par semaine pour les H
    • Plus de 21 par semaine pour les F
  • Les troubles sont généralement moins graves que dans les cas de démences et peuvent s’améliorer avec l’abstinence.
  • Il y est difficile de savoir si l’alcool est responsable via toxicité directe ou indirecte (déficit pancréatique, hépatique, etc.)
352
Q

Démence alcoolique: Mécanisme en cause

A
  • De nature frontale et/ou sous-corticale, les déficits typiques comprennent l’abstraction, la mémoire à court terme et la fluidité verbale.
  • Le diagnostic ne peut être posé qu’après une période de 60 jours d’abstinence
  • L’usage d’alcool doit avoir été d’au minimum 5 ans et pendant au moins 3 ans avant l’apparition des déficits cognitifs
  • La consommation doit être importante
    • Plus de 35 par semaine pour les H
    • Plus de 21 par semaine pour les F
  • Les troubles sont généralement moins graves que dans les cas de démences et peuvent s’améliorer avec l’abstinence.
  • Il y est difficile de savoir si l’alcool est responsable via toxicité directe ou indirecte (déficit pancréatique, hépatique, etc.)
353
Q

Syndrome d’alcoolisation fœtale

A
  • L’alcool traverse facilement la barrière placentaire et une exposition à l’alcool peut affecter négativement le développement fœtal.
  • La prévalence serait de 1% des naissances.
  • C’est la principale cause évitable de retard mental, de malformations congénitales et de troubles neurodéveloppementaux.
  • 15 % des femmes consomment de l’alcool pendant leur grossesse, et 3 % maintiennent leurs habitudes de consommation.
354
Q

Syndrome d’alcoolisation fœtale
- Mécanisme en cause

A
  • L’alcool traverse facilement la barrière placentaire et une exposition à l’alcool peut affecter négativement le développement fœtal.
  • La prévalence serait de 1% des naissances.
  • C’est la principale cause évitable de retard mental, de malformations congénitales et de troubles neurodéveloppementaux.
  • 15 % des femmes consomment de l’alcool pendant leur grossesse, et 3 % maintiennent leurs habitudes de consommation.
355
Q

Syndrome d’alcoolisation fœtale: Prévalence

A
  • L’alcool traverse facilement la barrière placentaire et une exposition à l’alcool peut affecter négativement le développement fœtal.
  • La prévalence serait de 1% des naissances.
  • C’est la principale cause évitable de retard mental, de malformations congénitales et de troubles neurodéveloppementaux.
  • 15 % des femmes consomment de l’alcool pendant leur grossesse, et 3 % maintiennent leurs habitudes de consommation.
356
Q

Syndrome d’alcoolisation fœtale: Évitable?

A
  • L’alcool traverse facilement la barrière placentaire et une exposition à l’alcool peut affecter négativement le développement fœtal.
  • La prévalence serait de 1% des naissances.
  • C’est la principale cause évitable de retard mental, de malformations congénitales et de troubles neurodéveloppementaux.
  • 15 % des femmes consomment de l’alcool pendant leur grossesse, et 3 % maintiennent leurs habitudes de consommation.
357
Q

Syndrome d’alcoolisation fœtale: Femmes enceintes consommant de l’alcool

A
  • L’alcool traverse facilement la barrière placentaire et une exposition à l’alcool peut affecter négativement le développement fœtal.
  • La prévalence serait de 1% des naissances.
  • C’est la principale cause évitable de retard mental, de malformations congénitales et de troubles neurodéveloppementaux.
  • 15 % des femmes consomment de l’alcool pendant leur grossesse, et 3 % maintiennent leurs habitudes de consommation.
358
Q

Trouble psychotique induit

A
  • Les mécanismes pouvant provoquer des symptômes psychotiques secondaire à l’utilisation d’alcool sont multiples et comprennent l’intoxication, le sevrage, le délirium tremens, le syndrome de Wernicke-Korsakoff, le trouble psychotique induit persistant et la démence alcoolique.
  • L’alcool doublerait le risque de provoquer la psychose.
  • On estime la prévalence de l’hallucinose à 7,4% chez les patients suivant un programme de traitement de l’alcoolisme.
  • Les patients avec hallucinose présentent quelques caractéristiques :
    • Ont commencé leur consommation étant plus jeunes
    • Consomment davantage d’alcool par occasion
    • Sont pris avec des problèmes de vie reliés à l’alcool
    • Ont utilisés plus de drogues dans leur vie
  • Les hallucinations sont surtout auditives et parfois visuelles
359
Q

Trouble psychotique induit: Mécanisme provoquant les sx psychotiques

A
  • Les mécanismes pouvant provoquer des symptômes psychotiques secondaire à l’utilisation d’alcool sont multiples et comprennent l’intoxication, le sevrage, le délirium tremens, le syndrome de Wernicke-Korsakoff, le trouble psychotique induit persistant et la démence alcoolique.
  • L’alcool doublerait le risque de provoquer la psychose.
  • On estime la prévalence de l’hallucinose à 7,4% chez les patients suivant un programme de traitement de l’alcoolisme.
  • Les patients avec hallucinose présentent quelques caractéristiques :
    • Ont commencé leur consommation étant plus jeunes
    • Consomment davantage d’alcool par occasion
    • Sont pris avec des problèmes de vie reliés à l’alcool
    • Ont utilisés plus de drogues dans leur vie
  • Les hallucinations sont surtout auditives et parfois visuelles
360
Q

Trouble psychotique induit: Effet de l’alcool sur le risque de psychose

A
  • Les mécanismes pouvant provoquer des symptômes psychotiques secondaire à l’utilisation d’alcool sont multiples et comprennent l’intoxication, le sevrage, le délirium tremens, le syndrome de Wernicke-Korsakoff, le trouble psychotique induit persistant et la démence alcoolique.
  • L’alcool doublerait le risque de provoquer la psychose.
  • On estime la prévalence de l’hallucinose à 7,4% chez les patients suivant un programme de traitement de l’alcoolisme.
  • Les patients avec hallucinose présentent quelques caractéristiques :
    • Ont commencé leur consommation étant plus jeunes
    • Consomment davantage d’alcool par occasion
    • Sont pris avec des problèmes de vie reliés à l’alcool
    • Ont utilisés plus de drogues dans leur vie
  • Les hallucinations sont surtout auditives et parfois visuelles
361
Q

Trouble psychotique induit: Lien entre hallucinations et alcoolisme

A
  • Les mécanismes pouvant provoquer des symptômes psychotiques secondaire à l’utilisation d’alcool sont multiples et comprennent l’intoxication, le sevrage, le délirium tremens, le syndrome de Wernicke-Korsakoff, le trouble psychotique induit persistant et la démence alcoolique.
  • L’alcool doublerait le risque de provoquer la psychose.
  • On estime la prévalence de l’hallucinose à 7,4% chez les patients suivant un programme de traitement de l’alcoolisme.
  • Les patients avec hallucinose présentent quelques caractéristiques :
    • Ont commencé leur consommation étant plus jeunes
    • Consomment davantage d’alcool par occasion
    • Sont pris avec des problèmes de vie reliés à l’alcool
    • Ont utilisés plus de drogues dans leur vie
  • Les hallucinations sont surtout auditives et parfois visuelles
362
Q

Trouble psychotique induit: Caractéristiques des patients avec hallucinose

A
  • Les mécanismes pouvant provoquer des symptômes psychotiques secondaire à l’utilisation d’alcool sont multiples et comprennent l’intoxication, le sevrage, le délirium tremens, le syndrome de Wernicke-Korsakoff, le trouble psychotique induit persistant et la démence alcoolique.
  • L’alcool doublerait le risque de provoquer la psychose.
  • On estime la prévalence de l’hallucinose à 7,4% chez les patients suivant un programme de traitement de l’alcoolisme.
  • Les patients avec hallucinose présentent quelques caractéristiques :
    • Ont commencé leur consommation étant plus jeunes
    • Consomment davantage d’alcool par occasion
    • Sont pris avec des problèmes de vie reliés à l’alcool
    • Ont utilisés plus de drogues dans leur vie
  • Les hallucinations sont surtout auditives et parfois visuelles
363
Q

Trouble psychotique induit: Types d’hallucinations

A
  • Les mécanismes pouvant provoquer des symptômes psychotiques secondaire à l’utilisation d’alcool sont multiples et comprennent l’intoxication, le sevrage, le délirium tremens, le syndrome de Wernicke-Korsakoff, le trouble psychotique induit persistant et la démence alcoolique.
  • L’alcool doublerait le risque de provoquer la psychose.
  • On estime la prévalence de l’hallucinose à 7,4% chez les patients suivant un programme de traitement de l’alcoolisme.
  • Les patients avec hallucinose présentent quelques caractéristiques :
    • Ont commencé leur consommation étant plus jeunes
    • Consomment davantage d’alcool par occasion
    • Sont pris avec des problèmes de vie reliés à l’alcool
    • Ont utilisés plus de drogues dans leur vie
  • Les hallucinations sont surtout auditives et parfois visuelles
364
Q

Tr usage alcool: Selon âge et sexe

A
  • La prévalence de trouble lié à l’alcool diminue progressivement avec l’âge, mais reste tout de même de 4% chez les personnes de 65 ans et habitant dans leur logement dans la communauté.
  • Le « binge drinking » est plus fréquent que la dépendance chez cette clientèle (il est à noter que la consommation de FourLoko dépassée 65 ans est malheureusement peu recommandée).
  • L’impact fonctionnel est souvent marqué puisque d’autres maladies s’ajoutent souvent à la prise d’alcool
  • Il est donc recommandé de procéder à un dépistage systématique chez cette clientèle.
365
Q

Tr usage alcool: Selon âge et sexe
- Prévalence tr usage alcool selon âge

A
  • La prévalence de trouble lié à l’alcool diminue progressivement avec l’âge, mais reste tout de même de 4% chez les personnes de 65 ans et habitant dans leur logement dans la communauté.
  • Le « binge drinking » est plus fréquent que la dépendance chez cette clientèle (il est à noter que la consommation de FourLoko dépassée 65 ans est malheureusement peu recommandée).
  • L’impact fonctionnel est souvent marqué puisque d’autres maladies s’ajoutent souvent à la prise d’alcool
  • Il est donc recommandé de procéder à un dépistage systématique chez cette clientèle.
366
Q

Tr usage alcool: Selon âge et sexe
- Binge drinking

A
  • La prévalence de trouble lié à l’alcool diminue progressivement avec l’âge, mais reste tout de même de 4% chez les personnes de 65 ans et habitant dans leur logement dans la communauté.
  • Le « binge drinking » est plus fréquent que la dépendance chez cette clientèle (il est à noter que la consommation de FourLoko dépassée 65 ans est malheureusement peu recommandée).
  • L’impact fonctionnel est souvent marqué puisque d’autres maladies s’ajoutent souvent à la prise d’alcool
  • Il est donc recommandé de procéder à un dépistage systématique chez cette clientèle.
367
Q

Tr usage alcool: Selon âge et sexe
- impact fonctionnel

A
  • La prévalence de trouble lié à l’alcool diminue progressivement avec l’âge, mais reste tout de même de 4% chez les personnes de 65 ans et habitant dans leur logement dans la communauté.
  • Le « binge drinking » est plus fréquent que la dépendance chez cette clientèle (il est à noter que la consommation de FourLoko dépassée 65 ans est malheureusement peu recommandée).
  • L’impact fonctionnel est souvent marqué puisque d’autres maladies s’ajoutent souvent à la prise d’alcool
  • Il est donc recommandé de procéder à un dépistage systématique chez cette clientèle.
368
Q

Tr usage alcool: Selon âge et sexe
- dépistage

A
  • La prévalence de trouble lié à l’alcool diminue progressivement avec l’âge, mais reste tout de même de 4% chez les personnes de 65 ans et habitant dans leur logement dans la communauté.
  • Le « binge drinking » est plus fréquent que la dépendance chez cette clientèle (il est à noter que la consommation de FourLoko dépassée 65 ans est malheureusement peu recommandée).
  • L’impact fonctionnel est souvent marqué puisque d’autres maladies s’ajoutent souvent à la prise d’alcool
  • Il est donc recommandé de procéder à un dépistage systématique chez cette clientèle.
369
Q

Substances psychoactives: Classes

A
  1. Stimulants SNC
  2. Dépresseurs du SNC
  3. Perturbateurs du SNC
370
Q

Substances psychoactives: Stimulants du SNC - Nommez-les

A
  • Cocaïne et dérivés (crack p/e)
  • Amphétamine
  • Nicotine
  • Caféine
371
Q

Substances psychoactives: Dépresseurs du SNC - Nommez-les

A
  • Alcool
  • Benzodiazépines (ainsi que les anxiolytiques, hypnotiques et sédatifs)
  • Opioïdes
  • Solvants volatiles
372
Q

Substances psychoactives: Perturbateurs du SNC - Nommez-les

A
  • Hallucinogènes
  • Cannabis
  • PCP
  • LSD
373
Q

Connaître l’action pharmacologique, les effets recherchés, les voies d’utilisation, et la durée de l’effet des principales substances psychoactives

A

cf : Tableau en annexe

374
Q

Cannabis
- Substance active
- Mécanisme d’action
- Effet recherché
- Voie d’utilisation
- Durée de l’effet
- Durée de détection urinaire

A
  • Substance active: THC
  • Mécanisme d’action
    • Liaison aux récepteurs cannabinoïdes (CB1)
    • Type protéine G –> Sites :
      • Noyaux de la base
      • Hyppocampe
      • Cervelet
  • Effet recherché
    • Perceptions augmentées
    • Sensation d’irréalité
    • Diminution d’anxiété
    • Somnolence
    • Euphorie
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • Pic 30 min.
    • Total ~ 2-4h
  • Furée de détection urinaire
    • ~ 10 jours (usage court terme)
    • > 3 semaines (usage chronique)
375
Q

Cannabis
- Substance active

A
  • Substance active: THC
  • Mécanisme d’action
    • Liaison aux récepteurs cannabinoïdes (CB1)
    • Type protéine G –> Sites :
      • Noyaux de la base
      • Hyppocampe
      • Cervelet
  • Effet recherché
    • Perceptions augmentées
    • Sensation d’irréalité
    • Diminution d’anxiété
    • Somnolence
    • Euphorie
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • Pic 30 min.
    • Total ~ 2-4h
  • Furée de détection urinaire
    • ~ 10 jours (usage court terme)
    • > 3 semaines (usage chronique)
376
Q

Cannabis
- Mécanisme d’action

A
  • Substance active: THC
  • Mécanisme d’action
    • Liaison aux récepteurs cannabinoïdes (CB1)
    • Type protéine G –> Sites :
      • Noyaux de la base
      • Hyppocampe
      • Cervelet
  • Effet recherché
    • Perceptions augmentées
    • Sensation d’irréalité
    • Diminution d’anxiété
    • Somnolence
    • Euphorie
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • Pic 30 min.
    • Total ~ 2-4h
  • Furée de détection urinaire
    • ~ 10 jours (usage court terme)
    • > 3 semaines (usage chronique)
377
Q

Cannabis
- Mécanisme d’action: récepteurs en jeu

A
  • Substance active: THC
  • Mécanisme d’action
    • Liaison aux récepteurs cannabinoïdes (CB1)
    • Type protéine G –> Sites :
      • Noyaux de la base
      • Hyppocampe
      • Cervelet
  • Effet recherché
    • Perceptions augmentées
    • Sensation d’irréalité
    • Diminution d’anxiété
    • Somnolence
    • Euphorie
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • Pic 30 min.
    • Total ~ 2-4h
  • Furée de détection urinaire
    • ~ 10 jours (usage court terme)
    • > 3 semaines (usage chronique)
378
Q

Cannabis
- Mécanisme d’action: Types de protéines

A
  • Substance active: THC
  • Mécanisme d’action
    • Liaison aux récepteurs cannabinoïdes (CB1)
    • Type protéine G –> Sites :
      • Noyaux de la base
      • Hyppocampe
      • Cervelet
  • Effet recherché
    • Perceptions augmentées
    • Sensation d’irréalité
    • Diminution d’anxiété
    • Somnolence
    • Euphorie
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • Pic 30 min.
    • Total ~ 2-4h
  • Furée de détection urinaire
    • ~ 10 jours (usage court terme)
    • > 3 semaines (usage chronique)
379
Q

Cannabis
- Mécanisme d’action: Sites des récepteurs / protéines

A
  • Substance active: THC
  • Mécanisme d’action
    • Liaison aux récepteurs cannabinoïdes (CB1)
    • Type protéine G –> Sites :
      • Noyaux de la base
      • Hyppocampe
      • Cervelet
  • Effet recherché
    • Perceptions augmentées
    • Sensation d’irréalité
    • Diminution d’anxiété
    • Somnolence
    • Euphorie
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • Pic 30 min.
    • Total ~ 2-4h
  • Furée de détection urinaire
    • ~ 10 jours (usage court terme)
    • > 3 semaines (usage chronique)
380
Q

Cannabis
- Effet recherché

A
  • Substance active: THC
  • Mécanisme d’action
    • Liaison aux récepteurs cannabinoïdes (CB1)
    • Type protéine G –> Sites :
      • Noyaux de la base
      • Hyppocampe
      • Cervelet
  • Effet recherché
    • Perceptions augmentées
    • Sensation d’irréalité
    • Diminution d’anxiété
    • Somnolence
    • Euphorie
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • Pic 30 min.
    • Total ~ 2-4h
  • Furée de détection urinaire
    • ~ 10 jours (usage court terme)
    • > 3 semaines (usage chronique)
381
Q

Cannabis
- Voie d’utilisation

A
  • Substance active: THC
  • Mécanisme d’action
    • Liaison aux récepteurs cannabinoïdes (CB1)
    • Type protéine G –> Sites :
      • Noyaux de la base
      • Hyppocampe
      • Cervelet
  • Effet recherché
    • Perceptions augmentées
    • Sensation d’irréalité
    • Diminution d’anxiété
    • Somnolence
    • Euphorie
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • Pic 30 min.
    • Total ~ 2-4h
  • Furée de détection urinaire
    • ~ 10 jours (usage court terme)
    • > 3 semaines (usage chronique)
382
Q

Cannabis
- Durée de l’effet

A
  • Substance active: THC
  • Mécanisme d’action
    • Liaison aux récepteurs cannabinoïdes (CB1)
    • Type protéine G –> Sites :
      • Noyaux de la base
      • Hyppocampe
      • Cervelet
  • Effet recherché
    • Perceptions augmentées
    • Sensation d’irréalité
    • Diminution d’anxiété
    • Somnolence
    • Euphorie
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • Pic 30 min.
    • Total ~ 2-4h
  • Furée de détection urinaire
    • ~ 10 jours (usage court terme)
    • > 3 semaines (usage chronique)
383
Q

Cannabis
- Durée de l’effet: Pic et total

A
  • Substance active: THC
  • Mécanisme d’action
    • Liaison aux récepteurs cannabinoïdes (CB1)
    • Type protéine G –> Sites :
      • Noyaux de la base
      • Hyppocampe
      • Cervelet
  • Effet recherché
    • Perceptions augmentées
    • Sensation d’irréalité
    • Diminution d’anxiété
    • Somnolence
    • Euphorie
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • Pic 30 min.
    • Total ~ 2-4h
  • Furée de détection urinaire
    • ~ 10 jours (usage court terme)
    • > 3 semaines (usage chronique)
384
Q

Cannabis
- Durée de détection urinaire

A
  • Substance active: THC
  • Mécanisme d’action
    • Liaison aux récepteurs cannabinoïdes (CB1)
    • Type protéine G –> Sites :
      • Noyaux de la base
      • Hyppocampe
      • Cervelet
  • Effet recherché
    • Perceptions augmentées
    • Sensation d’irréalité
    • Diminution d’anxiété
    • Somnolence
    • Euphorie
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • Pic 30 min.
    • Total ~ 2-4h
  • Durée de détection urinaire
    • ~ 10 jours (usage court terme)
    • > 3 semaines (usage chronique)
385
Q

Cannabis
- Durée de détection urinaire: usage court terme vs chronique

A
  • Substance active: THC
  • Mécanisme d’action
    • Liaison aux récepteurs cannabinoïdes (CB1)
    • Type protéine G –> Sites :
      • Noyaux de la base
      • Hyppocampe
      • Cervelet
  • Effet recherché
    • Perceptions augmentées
    • Sensation d’irréalité
    • Diminution d’anxiété
    • Somnolence
    • Euphorie
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • Pic 30 min.
    • Total ~ 2-4h
  • Durée de détection urinaire
    • ~ 10 jours (usage court terme)
    • > 3 semaines (usage chronique)
386
Q

Cocaïne:
- Mécanisme d’action
- Effet recherché
- Voie d’utilisation
- Durée de l’effet
- Durée de détection urinaire

A
  • Mécanisme d’action
    • Blocage de la recapture
    • NA-5HT-DA en bloquant le transporteur de la dopamine
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Sentiment de toute- puissance, énergie
    • Diminution d’appétit
    • Augmentation de libido
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée (freebase/ crack)
    • Intranasale
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • Pic 15 minutes
    • Total 1,5 heure
  • Durée de détection urinaire
    • 3 à 7 jours
387
Q

Cocaïne:
- Mécanisme d’action

A
  • Mécanisme d’action
    • Blocage de la recapture
    • NA-5HT-DA en bloquant le transporteur de la dopamine
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Sentiment de toute- puissance, énergie
    • Diminution d’appétit
    • Augmentation de libido
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée (freebase/ crack)
    • Intranasale
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • Pic 15 minutes
    • Total 1,5 heure
  • Durée de détection urinaire
    • 3 à 7 jours
388
Q

Cocaïne:
- Mécanisme d’action: récepteurs en jeu

A
  • Mécanisme d’action
    • Blocage de la recapture
    • NA-5HT-DA en bloquant le transporteur de la dopamine
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Sentiment de toute- puissance, énergie
    • Diminution d’appétit
    • Augmentation de libido
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée (freebase/ crack)
    • Intranasale
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • Pic 15 minutes
    • Total 1,5 heure
  • Durée de détection urinaire
    • 3 à 7 jours
389
Q

Cocaïne:
- Effet recherché

A
  • Mécanisme d’action
    • Blocage de la recapture
    • NA-5HT-DA en bloquant le transporteur de la dopamine
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Sentiment de toute-puissance, énergie
    • Diminution d’appétit
    • Augmentation de libido
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée (freebase/ crack)
    • Intranasale
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • Pic 15 minutes
    • Total 1,5 heure
  • Durée de détection urinaire
    • 3 à 7 jours
390
Q

Cocaïne:
- Voie d’utilisation

A
  • Mécanisme d’action
    • Blocage de la recapture
    • NA-5HT-DA en bloquant le transporteur de la dopamine
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Sentiment de toute- puissance, énergie
    • Diminution d’appétit
    • Augmentation de libido
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée (freebase/ crack)
    • Intranasale
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • Pic 15 minutes
    • Total 1,5 heure
  • Durée de détection urinaire
    • 3 à 7 jours
391
Q

Cocaïne:
- Durée de l’effet

A
  • Mécanisme d’action
    • Blocage de la recapture
    • NA-5HT-DA en bloquant le transporteur de la dopamine
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Sentiment de toute- puissance, énergie
    • Diminution d’appétit
    • Augmentation de libido
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée (freebase/ crack)
    • Intranasale
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • Pic 15 minutes
    • Total 1,5 heure
  • Durée de détection urinaire
    • 3 à 7 jours
392
Q

Cocaïne:
- Durée de l’effet: Pic et total

A
  • Mécanisme d’action
    • Blocage de la recapture
    • NA-5HT-DA en bloquant le transporteur de la dopamine
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Sentiment de toute- puissance, énergie
    • Diminution d’appétit
    • Augmentation de libido
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée (freebase/ crack)
    • Intranasale
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • Pic 15 minutes
    • Total 1,5 heure
  • Durée de détection urinaire
    • 3 à 7 jours
393
Q

Cocaïne:
- Durée de détection urinaire

A
  • Mécanisme d’action
    • Blocage de la recapture
    • NA-5HT-DA en bloquant le transporteur de la dopamine
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Sentiment de toute- puissance, énergie
    • Diminution d’appétit
    • Augmentation de libido
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée (freebase/ crack)
    • Intranasale
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • Pic 15 minutes
    • Total 1,5 heure
  • Durée de détection urinaire
    • 3 à 7 jours
394
Q

Methamphétamine:
- Mécanisme d’action
- Effet recherché
- Voie d’utilisation
- Durée de l’effet
- Durée de détection urinaire

A
  • Mécanisme d’action
    • Libération de NA-5HT-DA nouvellement synthétisé
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Diminution de fatigue
    • Diminution de l’appétit
    • Augmentation de l’attention
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • ~ 6 heures
  • Durée de détection urinaire
    • 1 – 3 jours
395
Q

Methamphétamine:
- Mécanisme d’action

A
  • Mécanisme d’action
    • Libération de NA-5HT-DA nouvellement synthétisé
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Diminution de fatigue
    • Diminution de l’appétit
    • Augmentation de l’attention
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • ~ 6 heures
  • Durée de détection urinaire
    • 1 – 3 jours
396
Q

Methamphétamine:
- Mécanisme d’action: Récepteurs en jeu

A
  • Mécanisme d’action
    • Libération de NA-5HT-DA nouvellement synthétisé
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Diminution de fatigue
    • Diminution de l’appétit
    • Augmentation de l’attention
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • ~ 6 heures
  • Durée de détection urinaire
    • 1 – 3 jours
397
Q

Methamphétamine:
- Effet recherché

A
  • Mécanisme d’action
    • Libération de NA-5HT-DA nouvellement synthétisé
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Diminution de fatigue
    • Diminution de l’appétit
    • Augmentation de l’attention
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • ~ 6 heures
  • Durée de détection urinaire
    • 1 – 3 jours
398
Q

Methamphétamine:
- Voie d’utilisation

A
  • Mécanisme d’action
    • Libération de NA-5HT-DA nouvellement synthétisé
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Diminution de fatigue
    • Diminution de l’appétit
    • Augmentation de l’attention
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • ~ 6 heures
  • Durée de détection urinaire
    • 1 – 3 jours
399
Q

Methamphétamine:
- Durée de l’effet

A
  • Mécanisme d’action
    • Libération de NA-5HT-DA nouvellement synthétisé
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Diminution de fatigue
    • Diminution de l’appétit
    • Augmentation de l’attention
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • ~ 6 heures
  • Durée de détection urinaire
    • 1 – 3 jours
400
Q

Methamphétamine:
- Durée de détection urinaire

A
  • Mécanisme d’action
    • Libération de NA-5HT-DA nouvellement synthétisé
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Diminution de fatigue
    • Diminution de l’appétit
    • Augmentation de l’attention
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • ~ 6 heures
  • Durée de détection urinaire
    • 1 – 3 jours
401
Q

Crystal-Meth:
- Mécanisme d’action
- Effet recherché
- Voie d’utilisation
- Durée de l’effet
- Durée de détection urinaire

A
  • Mécanisme d’action
    • Forme cristallisée de l’amphétamine (plus pure)
  • Effet recherché
    • Sensation de bien-être, euphorie, sociabilité
    • Diminution de fatigue
    • Augmentation de l’attention
    • Anorexie
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • Jusqu’à 16h
  • Durée de détection urinaire
    • 1 - 3 jours
402
Q

Crystal-Meth:
- Mécanisme d’action

A
  • Mécanisme d’action
    • Forme cristallisée de l’amphétamine (plus pure)
  • Effet recherché
    • Sensation de bien-être, euphorie, sociabilité
    • Diminution de fatigue
    • Augmentation de l’attention
    • Anorexie
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • Jusqu’à 16h
  • Durée de détection urinaire
    • 1 - 3 jours
403
Q

Crystal-Meth:
- Forme

A
  • Mécanisme d’action
    • Forme cristallisée de l’amphétamine (plus pure)
  • Effet recherché
    • Sensation de bien-être, euphorie, sociabilité
    • Diminution de fatigue
    • Augmentation de l’attention
    • Anorexie
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • Jusqu’à 16h
  • Durée de détection urinaire
    • 1 - 3 jours
404
Q

Crystal-Meth:
- Effet recherché

A
  • Mécanisme d’action
    • Forme cristallisée de l’amphétamine (plus pure)
  • Effet recherché
    • Sensation de bien-être, euphorie, sociabilité
    • Diminution de fatigue
    • Augmentation de l’attention
    • Anorexie
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • Jusqu’à 16h
  • Durée de détection urinaire
    • 1 - 3 jours
405
Q

Crystal-Meth:
- Voie d’utilisation

A
  • Mécanisme d’action
    • Forme cristallisée de l’amphétamine (plus pure)
  • Effet recherché
    • Sensation de bien-être, euphorie, sociabilité
    • Diminution de fatigue
    • Augmentation de l’attention
    • Anorexie
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • Jusqu’à 16h
  • Durée de détection urinaire
    • 1 - 3 jours
406
Q

Crystal-Meth:
- Durée de l’effet

A
  • Mécanisme d’action
    • Forme cristallisée de l’amphétamine (plus pure)
  • Effet recherché
    • Sensation de bien-être, euphorie, sociabilité
    • Diminution de fatigue
    • Augmentation de l’attention
    • Anorexie
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • Jusqu’à 16h
  • Durée de détection urinaire
    • 1 - 3 jours
407
Q

Crystal-Meth:
- Durée de détection urinaire

A
  • Mécanisme d’action
    • Forme cristallisée de l’amphétamine (plus pure)
  • Effet recherché
    • Sensation de bien-être, euphorie, sociabilité
    • Diminution de fatigue
    • Augmentation de l’attention
    • Anorexie
  • Voie d’utilisation
    • Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • Jusqu’à 16h
  • Durée de détection urinaire
    • 1 - 3 jours
408
Q

MDMA:
- Mécanisme d’action
- Effet recherché
- Voie d’utilisation
- Durée de l’effet
- Durée de détection urinaire

A
  • Mécanisme d’action
    • Libération de 5-HT
  • Effet recherché
    • Élévation de l’humeur
    • Augmentation de la confiance, de la sociabilité, de l’empathie
    • Propriétés hallucinogènes
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • ~ 6 heures
  • Durée de détection urinaire
    • 2 – 4 jours
409
Q

MDMA:
- Mécanisme d’action

A
  • Mécanisme d’action
    • Libération de 5-HT
  • Effet recherché
    • Élévation de l’humeur
    • Augmentation de la confiance, de la sociabilité, de l’empathie
    • Propriétés hallucinogènes
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • ~ 6 heures
  • Durée de détection urinaire
    • 2 – 4 jours
410
Q

MDMA:
- Effet recherché

A
  • Mécanisme d’action
    • Libération de 5-HT
  • Effet recherché
    • Élévation de l’humeur
    • Augmentation de la confiance, de la sociabilité, de l’empathie
    • Propriétés hallucinogènes
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • ~ 6 heures
  • Durée de détection urinaire
    • 2 – 4 jours
411
Q

MDMA:
- Voie d’utilisation

A
  • Mécanisme d’action
    • Libération de 5-HT
  • Effet recherché
    • Élévation de l’humeur
    • Augmentation de la confiance, de la sociabilité, de l’empathie
    • Propriétés hallucinogènes
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • ~ 6 heures
  • Durée de détection urinaire
    • 2 – 4 jours
412
Q

MDMA:
- Durée de l’effet

A
  • Mécanisme d’action
    • Libération de 5-HT
  • Effet recherché
    • Élévation de l’humeur
    • Augmentation de la confiance, de la sociabilité, de l’empathie
    • Propriétés hallucinogènes
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • ~ 6 heures
  • Durée de détection urinaire
    • 2 – 4 jours
413
Q

MDMA:
- Durée détection urinaire

A
  • Mécanisme d’action
    • Libération de 5-HT
  • Effet recherché
    • Élévation de l’humeur
    • Augmentation de la confiance, de la sociabilité, de l’empathie
    • Propriétés hallucinogènes
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • ~ 6 heures
  • Durée de détection urinaire
    • 2 – 4 jours
414
Q

PCP:
- Mécanisme d’action
- Effet recherché
- Voie d’utilisation
- Durée de l’effet
- Durée de détection urinaire

A
  • Mécanisme d’action
    • Antagoniste NMDA (sous-type de récepteurs glutamatergiques)
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Dissociation, hallucinations, accélération psychique
    • Augmentation de l’acuité sensorielle
  • Voie d’utilisation
    • Orale Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • ~ 4- 6 heures
  • Durée de détection urinaire
    • 2 – 7 jours (usage court terme)
    • 30 jours (usage chronique)
415
Q

PCP:
- Mécanisme d’action

A
  • Mécanisme d’action
    • Antagoniste NMDA (sous-type de récepteurs glutamatergiques)
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Dissociation, hallucinations, accélération psychique
    • Augmentation de l’acuité sensorielle
  • Voie d’utilisation
    • Orale Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • ~ 4- 6 heures
  • Durée de détection urinaire
    • 2 – 7 jours (usage court terme)
    • 30 jours (usage chronique)
416
Q

PCP:
- Effet recherché

A
  • Mécanisme d’action
    • Antagoniste NMDA (sous-type de récepteurs glutamatergiques)
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Dissociation, hallucinations, accélération psychique
    • Augmentation de l’acuité sensorielle
  • Voie d’utilisation
    • Orale Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • ~ 4- 6 heures
  • Durée de détection urinaire
    • 2 – 7 jours (usage court terme)
    • 30 jours (usage chronique)
417
Q

PCP:
- Voie d’utilisation

A
  • Mécanisme d’action
    • Antagoniste NMDA (sous-type de récepteurs glutamatergiques)
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Dissociation, hallucinations, accélération psychique
    • Augmentation de l’acuité sensorielle
  • Voie d’utilisation
    • Orale
    • Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • ~ 4- 6 heures
  • Durée de détection urinaire
    • 2 – 7 jours (usage court terme)
    • 30 jours (usage chronique)
418
Q

PCP:
- Durée de l’effet

A
  • Mécanisme d’action
    • Antagoniste NMDA (sous-type de récepteurs glutamatergiques)
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Dissociation, hallucinations, accélération psychique
    • Augmentation de l’acuité sensorielle
  • Voie d’utilisation
    • Orale Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • ~ 4- 6 heures
  • Durée de détection urinaire
    • 2 – 7 jours (usage court terme)
    • 30 jours (usage chronique)
419
Q

PCP:
- Durée de détection urinaire

A
  • Mécanisme d’action
    • Antagoniste NMDA (sous-type de récepteurs glutamatergiques)
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Dissociation, hallucinations, accélération psychique
    • Augmentation de l’acuité sensorielle
  • Voie d’utilisation
    • Orale Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • ~ 4- 6 heures
  • Durée de détection urinaire
    • 2 – 7 jours (usage court terme)
    • 30 jours (usage chronique)
420
Q

PCP:
- Durée de détection urinaire: usage court terme vs chronique

A
  • Mécanisme d’action
    • Antagoniste NMDA (sous-type de récepteurs glutamatergiques)
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Dissociation, hallucinations, accélération psychique
    • Augmentation de l’acuité sensorielle
  • Voie d’utilisation
    • Orale Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • ~ 4- 6 heures
  • Durée de détection urinaire
    • 2 – 7 jours (usage court terme)
    • 30 jours (usage chronique)
421
Q

Kétamine:
- Mécanisme d’action
- Effet recherché
- Voie d’utilisation
- Durée de l’effet
- Durée de détection urinaire

A
  • Mécanisme d’action
    • Antagoniste NMDA (« PCP – like »)
  • Effet recherché
    • ~ Idem au PCP
    • Dissociation, hallucinations
    • Rappel PCP:
      • Euphorie
      • Dissociation
      • Hallucinations
      • Accélération psychique
      • Augmentation de l’acuité sensorielle
  • Voie d’utilisation
    • Orale Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • ~ 4 heures
  • Durée de détection urinaire
    • < 3 jours
422
Q

Kétamine:
- Mécanisme d’action

A
  • Mécanisme d’action
    • Antagoniste NMDA (« PCP – like »)
  • Effet recherché
    • ~ Idem au PCP
    • Dissociation, hallucinations
    • Rappel PCP:
      • Euphorie
      • Dissociation
      • Hallucinations
      • Accélération psychique
      • Augmentation de l’acuité sensorielle
  • Voie d’utilisation
    • Orale Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • ~ 4 heures
  • Durée de détection urinaire
    • < 3 jours
423
Q

Kétamine:
- Effet recherché

A
  • Mécanisme d’action
    • Antagoniste NMDA (« PCP – like »)
  • Effet recherché
    • ~ Idem au PCP
    • Dissociation, hallucinations
    • Rappel PCP:
      • Euphorie
      • Dissociation
      • Hallucinations
      • Accélération psychique
      • Augmentation de l’acuité sensorielle
  • Voie d’utilisation
    • Orale Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • ~ 4 heures
  • Durée de détection urinaire
    • < 3 jours
424
Q

Kétamine:
- Voie d’utilisation

A
  • Mécanisme d’action
    • Antagoniste NMDA (« PCP – like »)
  • Effet recherché
    • ~ Idem au PCP
    • Dissociation, hallucinations
    • Rappel PCP:
      • Euphorie
      • Dissociation
      • Hallucinations
      • Accélération psychique
      • Augmentation de l’acuité sensorielle
  • Voie d’utilisation
    • Orale
    • Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • ~ 4 heures
  • Durée de détection urinaire
    • < 3 jours
425
Q

Kétamine:
- Durée de l’effet

A
  • Mécanisme d’action
    • Antagoniste NMDA (« PCP – like »)
  • Effet recherché
    • ~ Idem au PCP
    • Dissociation, hallucinations
    • Rappel PCP:
      • Euphorie
      • Dissociation
      • Hallucinations
      • Accélération psychique
      • Augmentation de l’acuité sensorielle
  • Voie d’utilisation
    • Orale Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • ~ 4 heures
  • Durée de détection urinaire
    • < 3 jours
426
Q

Kétamine:
- Durée de détection urinaire

A
  • Mécanisme d’action
    • Antagoniste NMDA (« PCP – like »)
  • Effet recherché
    • ~ Idem au PCP
    • Dissociation, hallucinations
    • Rappel PCP:
      • Euphorie
      • Dissociation
      • Hallucinations
      • Accélération psychique
      • Augmentation de l’acuité sensorielle
  • Voie d’utilisation
    • Orale Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • ~ 4 heures
  • Durée de détection urinaire
    • < 3 jours
427
Q

GHB:
- Mécanisme d’action
- Effet recherché
- Voie d’utilisation
- Durée de l’effet
- Durée de détection urinaire

A
  • Mécanisme d’action
    • Structure similaire au GABA endogène
    • ↑ taux de dopamine
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Désinhibition
    • Relaxation
    • Somnolence
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • 2 - 4 heures
  • Durée de détection urinaire
    • < 10 – 12 heures
428
Q

GHB:
- structure

A
  • Mécanisme d’action
    • Structure similaire au GABA endogène
    • ↑ taux de dopamine
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Désinhibition
    • Relaxation
    • Somnolence
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • 2 - 4 heures
  • Durée de détection urinaire
    • < 10 – 12 heures
429
Q

GHB:
- Mécanisme d’action

A
  • Mécanisme d’action
    • Structure similaire au GABA endogène
    • ↑ taux de dopamine
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Désinhibition
    • Relaxation
    • Somnolence
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • 2 - 4 heures
  • Durée de détection urinaire
    • < 10 – 12 heures
430
Q

GHB:
- Effet recherché

A
  • Mécanisme d’action
    • Structure similaire au GABA endogène
    • ↑ taux de dopamine
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Désinhibition
    • Relaxation
    • Somnolence
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • 2 - 4 heures
  • Durée de détection urinaire
    • < 10 – 12 heures
431
Q

GHB:
- Voie d’utilisation

A
  • Mécanisme d’action
    • Structure similaire au GABA endogène
    • ↑ taux de dopamine
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Désinhibition
    • Relaxation
    • Somnolence
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • 2 - 4 heures
  • Durée de détection urinaire
    • < 10 – 12 heures
432
Q

GHB:
- Durée de l’effet

A
  • Mécanisme d’action
    • Structure similaire au GABA endogène
    • ↑ taux de dopamine
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Désinhibition
    • Relaxation
    • Somnolence
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • 2 - 4 heures
  • Durée de détection urinaire
    • < 10 – 12 heures
433
Q

GHB:
- Durée de détection urinaire

A
  • Mécanisme d’action
    • Structure similaire au GABA endogène
    • ↑ taux de dopamine
  • Effet recherché
    • Euphorie
    • Désinhibition
    • Relaxation
    • Somnolence
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • 2 - 4 heures
  • Durée de détection urinaire
    • < 10 – 12 heures
434
Q

Hallucinogènes:
- Mécanisme d’action
- Effet recherché
- Voie d’utilisation
- Durée de l’effet
- Durée de détection urinaire

A
  • Mécanisme d’action
    • Agoniste partiel des récepteurs sérotoninergiques post- synaptiques
  • Effet recherché
    • Perceptions intenses et distorsionnées
    • Hallucinations
    • Expériences introspectives
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • 8 - 12 heures
  • Durée de détection urinaire
    • Non mesuré
435
Q

Hallucinogènes:
- Mécanisme d’action

A
  • Mécanisme d’action
    • Agoniste partiel des récepteurs sérotoninergiques post- synaptiques
  • Effet recherché
    • Perceptions intenses et distorsionnées
    • Hallucinations
    • Expériences introspectives
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • 8 - 12 heures
  • Durée de détection urinaire
    • Non mesuré
436
Q

Hallucinogènes:
- Effet recherché

A
  • Mécanisme d’action
    • Agoniste partiel des récepteurs sérotoninergiques post- synaptiques
  • Effet recherché
    • Perceptions intenses et distorsionnées
    • Hallucinations
    • Expériences introspectives
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • 8 - 12 heures
  • Durée de détection urinaire
    • Non mesuré
437
Q

Hallucinogènes:
- Voie d’utilisation

A
  • Mécanisme d’action
    • Agoniste partiel des récepteurs sérotoninergiques post- synaptiques
  • Effet recherché
    • Perceptions intenses et distorsionnées
    • Hallucinations
    • Expériences introspectives
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • 8 - 12 heures
  • Durée de détection urinaire
    • Non mesuré
438
Q

Hallucinogènes:
- Durée de l’effet

A
  • Mécanisme d’action
    • Agoniste partiel des récepteurs sérotoninergiques post- synaptiques
  • Effet recherché
    • Perceptions intenses et distorsionnées
    • Hallucinations
    • Expériences introspectives
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • 8 - 12 heures
  • Durée de détection urinaire
    • Non mesuré
439
Q

Hallucinogènes:
- Durée de détection urinaire

A
  • Mécanisme d’action
    • Agoniste partiel des récepteurs sérotoninergiques post- synaptiques
  • Effet recherché
    • Perceptions intenses et distorsionnées
    • Hallucinations
    • Expériences introspectives
  • Voie d’utilisation
    • Orale
  • Durée de l’effet
    • 8 - 12 heures
  • Durée de détection urinaire
    • Non mesuré
440
Q

Opiacés:
- Mécanisme d’action
- Effet recherché
- Voie d’utilisation
- Durée de l’effet
- Durée de détection urinaire

A
  • Mécanisme d’action
    • Liaison au récepteurs opioïdes (µ, κ, δ)
    • Effet indirect sur dopamine
  • Effet recherché
    • Euphorie (rush « orgasmique »)
    • Soulagement de la tension, sédation, analgésie
  • Voie d’utilisation
    • Orale
    • Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • Dépend des substances
  • Durée de détection urinaire
    • Dépend des substances
441
Q

Opiacés:
- Mécanisme d’action

A
  • Mécanisme d’action
    • Liaison au récepteurs opioïdes (µ, κ, δ)
    • Effet indirect sur dopamine
  • Effet recherché
    • Euphorie (rush « orgasmique »)
    • Soulagement de la tension, sédation, analgésie
  • Voie d’utilisation
    • Orale
    • Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • Dépend des substances
  • Durée de détection urinaire
    • Dépend des substances
442
Q

Opiacés:
- Mécanisme d’action: nommez les récepteurs en jeu

A
  • Mécanisme d’action
    • Liaison au récepteurs opioïdes (µ, κ, δ)
    • Effet indirect sur dopamine
  • Effet recherché
    • Euphorie (rush « orgasmique »)
    • Soulagement de la tension, sédation, analgésie
  • Voie d’utilisation
    • Orale
    • Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • Dépend des substances
  • Durée de détection urinaire
    • Dépend des substances
443
Q

Opiacés:
- Mécanisme d’action: NT

A
  • Mécanisme d’action
    • Liaison au récepteurs opioïdes (µ, κ, δ)
    • Effet indirect sur dopamine
  • Effet recherché
    • Euphorie (rush « orgasmique »)
    • Soulagement de la tension, sédation, analgésie
  • Voie d’utilisation
    • Orale
    • Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • Dépend des substances
  • Durée de détection urinaire
    • Dépend des substances
444
Q

Opiacés:
- Effet recherché

A
  • Mécanisme d’action
    • Liaison au récepteurs opioïdes (µ, κ, δ)
    • Effet indirect sur dopamine
  • Effet recherché
    • Euphorie (rush « orgasmique »)
    • Soulagement de la tension, sédation, analgésie
  • Voie d’utilisation
    • Orale
    • Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • Dépend des substances
  • Durée de détection urinaire
    • Dépend des substances
445
Q

Opiacés:
- Voie d’utilisation

A
  • Mécanisme d’action
    • Liaison au récepteurs opioïdes (µ, κ, δ)
    • Effet indirect sur dopamine
  • Effet recherché
    • Euphorie (rush « orgasmique »)
    • Soulagement de la tension, sédation, analgésie
  • Voie d’utilisation
    • Orale
    • Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • Dépend des substances
  • Durée de détection urinaire
    • Dépend des substances
446
Q

Opiacés:
- Durée de l’effet

A
  • Mécanisme d’action
    • Liaison au récepteurs opioïdes (µ, κ, δ)
    • Effet indirect sur dopamine
  • Effet recherché
    • Euphorie (rush « orgasmique »)
    • Soulagement de la tension, sédation, analgésie
  • Voie d’utilisation
    • Orale
    • Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • Dépend des substances
  • Durée de détection urinaire
    • Dépend des substances
447
Q

Opiacés:
- Durée de détection urinaire

A
  • Mécanisme d’action
    • Liaison au récepteurs opioïdes (µ, κ, δ)
    • Effet indirect sur dopamine
  • Effet recherché
    • Euphorie (rush « orgasmique »)
    • Soulagement de la tension, sédation, analgésie
  • Voie d’utilisation
    • Orale
    • Inhalée
    • Intraveineuse
  • Durée de l’effet
    • Dépend des substances
  • Durée de détection urinaire
    • Dépend des substances
448
Q

Nouveau diagnostic (catégorie des tr addictifs) dans DSM-5

A
  • Celui qui n’a en fait été que déplacé est la catégorie de « jeu pathologique »
  • Un diagnostic ajouté au DSM-V non présent dans le DSM-IV est le diagnostic de « sevrage du cannabis ».
449
Q

Nouveau dx (catégorie des tr addictifs) dans DSM-5
- Dx déplacé

A
  • Celui qui n’a en fait été que déplacé est la catégorie de « jeu pathologique »
  • Un diagnostic ajouté au DSM-V non présent dans le DSM-IV est le diagnostic de « sevrage du cannabis ».
450
Q

Nouveau dx (catégorie des tr addictifs) dans DSM-5
- Vrai dx ajouté

A
  • Celui qui n’a en fait été que déplacé est la catégorie de « jeu pathologique »
  • Un diagnostic ajouté au DSM-V non présent dans le DSM-IV est le diagnostic de « sevrage du cannabis ».
451
Q

Cannabis

A
  • Substance communément appelée pot, cannabis, marijuana, haschich sont des dérivés de la plantes Cannabis sativa.
  • Contient plusieurs dizaines de phytocannabinoïdes, les plus connus étant le THC associé aux effets psychotropes.
  • Les produits actuels atteignent parfois des concentrations de 20%, alors qu’ils se situaient préférablement sous 5% en 1970.
452
Q

Cannabis: Synonymes

A
  • Substance communément appelée pot, cannabis, marijuana, haschich sont des dérivés de la plantes Cannabis sativa.
  • Contient plusieurs dizaines de phytocannabinoïdes, les plus connus étant le THC associé aux effets psychotropes.
  • Les produits actuels atteignent parfois des concentrations de 20%, alors qu’ils se situaient préférablement sous 5% en 1970.
453
Q

Cannabis: Dérivé de quoi?

A
  • Substance communément appelée pot, cannabis, marijuana, haschich sont des dérivés de la plantes Cannabis sativa.
  • Contient plusieurs dizaines de phytocannabinoïdes, les plus connus étant le THC associé aux effets psychotropes.
  • Les produits actuels atteignent parfois des concentrations de 20%, alors qu’ils se situaient préférablement sous 5% en 1970.
454
Q

Cannabis: Contient quoi?

A
  • Substance communément appelée pot, cannabis, marijuana, haschich sont des dérivés de la plantes Cannabis sativa.
  • Contient plusieurs dizaines de phytocannabinoïdes, les plus connus étant le THC associé aux effets psychotropes.
  • Les produits actuels atteignent parfois des concentrations de 20%, alors qu’ils se situaient préférablement sous 5% en 1970.
455
Q

Cannabis: Phytocannabinoïdes

A
  • Substance communément appelée pot, cannabis, marijuana, haschich sont des dérivés de la plantes Cannabis sativa.
  • Contient plusieurs dizaines de phytocannabinoïdes, les plus connus étant le THC associé aux effets psychotropes.
  • Les produits actuels atteignent parfois des concentrations de 20%, alors qu’ils se situaient préférablement sous 5% en 1970.
456
Q

Cannabis: Concentration de la substance

A
  • Substance communément appelée pot, cannabis, marijuana, haschich sont des dérivés de la plantes Cannabis sativa.
  • Contient plusieurs dizaines de phytocannabinoïdes, les plus connus étant le THC associé aux effets psychotropes.
  • Les produits actuels atteignent parfois des concentrations de 20%, alors qu’ils se situaient préférablement sous 5% en 1970.
457
Q

Critères dx de l’intoxication au cannabis: Critère de base nécessaire

A
  • A. Usage récent de cannabis.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques cliniquement significatifs, par exemple :
    • 1.Altération de la coordination motrice.
    • 2.Euphorie.
    • 3.Anxiété.
    • 4.Sensation de ralentissement du temps.
    • 5.Altération du jugement.
    • 6.Retrait social.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du cannabis.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans les 2 heures qui suivent l’usage du cannabis :
    • 1.Conjonctives injectées.
    • 2.Augmentation de l’appétit.
    • 3.Sécheresse de la bouche.
    • 4.Tachycardie.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance. Idem à DSM-5.
  • Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
458
Q

Critères dx de l’intoxication au cannabis: Changements

A
  • A. Usage récent de cannabis.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques cliniquement significatifs, par exemple :
    • 1.Altération de la coordination motrice.
    • 2.Euphorie.
    • 3.Anxiété.
    • 4.Sensation de ralentissement du temps.
    • 5.Altération du jugement.
    • 6.Retrait social.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du cannabis.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans les 2 heures qui suivent l’usage du cannabis :
    • 1.Conjonctives injectées.
    • 2.Augmentation de l’appétit.
    • 3.Sécheresse de la bouche.
    • 4.Tachycardie.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance. Idem à DSM-5.
  • Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
459
Q

Critères dx de l’intoxication au cannabis: Nommez des exemples de changements

A
  • A. Usage récent de cannabis.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques cliniquement significatifs, par exemple :
    • 1.Altération de la coordination motrice.
    • 2.Euphorie.
    • 3.Anxiété.
    • 4.Sensation de ralentissement du temps.
    • 5.Altération du jugement.
    • 6.Retrait social.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du cannabis.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans les 2 heures qui suivent l’usage du cannabis :
    • 1.Conjonctives injectées.
    • 2.Augmentation de l’appétit.
    • 3.Sécheresse de la bouche.
    • 4.Tachycardie.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance. Idem à DSM-5.
  • Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
460
Q

Critères dx de l’intoxication au cannabis: Quand surviennent les changements?

A
  • A. Usage récent de cannabis.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques cliniquement significatifs, par exemple :
    • 1.Altération de la coordination motrice.
    • 2.Euphorie.
    • 3.Anxiété.
    • 4.Sensation de ralentissement du temps.
    • 5.Altération du jugement.
    • 6.Retrait social.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du cannabis.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans les 2 heures qui suivent l’usage du cannabis :
    • 1.Conjonctives injectées.
    • 2.Augmentation de l’appétit.
    • 3.Sécheresse de la bouche.
    • 4.Tachycardie.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance. Idem à DSM-5.
  • Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
461
Q

Critères dx de l’intoxication au cannabis: Signes et symptômes

A
  • A. Usage récent de cannabis.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques cliniquement significatifs, par exemple :
    • 1.Altération de la coordination motrice.
    • 2.Euphorie.
    • 3.Anxiété.
    • 4.Sensation de ralentissement du temps.
    • 5.Altération du jugement.
    • 6.Retrait social.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du cannabis.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans les 2 heures qui suivent l’usage du cannabis :
    • 1.Conjonctives injectées.
    • 2.Augmentation de l’appétit.
    • 3.Sécheresse de la bouche.
    • 4.Tachycardie.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance. Idem à DSM-5.
  • Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
462
Q

Critères dx de l’intoxication au cannabis: Signes et symptômes - nommez-les

A
  • A. Usage récent de cannabis.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques cliniquement significatifs, par exemple :
    • 1.Altération de la coordination motrice.
    • 2.Euphorie.
    • 3.Anxiété.
    • 4.Sensation de ralentissement du temps.
    • 5.Altération du jugement.
    • 6.Retrait social.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du cannabis.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans les 2 heures qui suivent l’usage du cannabis :
    • 1.Conjonctives injectées.
    • 2.Augmentation de l’appétit.
    • 3.Sécheresse de la bouche.
    • 4.Tachycardie.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance. Idem à DSM-5.
  • Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
463
Q

Critères dx de l’intoxication au cannabis: Signes et symptômes - quand doivent-il apparaître?

A
  • A. Usage récent de cannabis.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques cliniquement significatifs, par exemple :
    • 1.Altération de la coordination motrice.
    • 2.Euphorie.
    • 3.Anxiété.
    • 4.Sensation de ralentissement du temps.
    • 5.Altération du jugement.
    • 6.Retrait social.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du cannabis.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans les 2 heures qui suivent l’usage du cannabis :
    • 1.Conjonctives injectées.
    • 2.Augmentation de l’appétit.
    • 3.Sécheresse de la bouche.
    • 4.Tachycardie.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance. Idem à DSM-5.
  • Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
464
Q

Critères dx de l’intoxication au cannabis: Spécifications

A
  • Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
465
Q

Critères dx de l’intoxication au cannabis: Exclure quoi?

A
  • A. Usage récent de cannabis.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques cliniquement significatifs, par exemple :
    • 1.Altération de la coordination motrice.
    • 2.Euphorie.
    • 3.Anxiété.
    • 4.Sensation de ralentissement du temps.
    • 5.Altération du jugement.
    • 6.Retrait social.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du cannabis.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans les 2 heures qui suivent l’usage du cannabis :
    • 1.Conjonctives injectées.
    • 2.Augmentation de l’appétit.
    • 3.Sécheresse de la bouche.
    • 4.Tachycardie.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance. Idem à DSM-5.
  • Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
466
Q

Critères dx du sevrage au cannabis

A
  • A. Arrêt d’un usage du cannabis qui a été massif et prolongé (c.-à-d. consommation habituellement quotidienne ou presque durant une période d’au moins quelques mois).
  • B. Au moins trois des signes et symptômes se développent dans un délai d’environ une semaine après le critère A :
    • 1.Irritabilité, colère, ou agressivité.
    • 2.Nervosité ou anxiété.
    • 3.Troubles du sommeil (p. ex. insomnie, rêves perturbants).
    • 4.Diminution de l’appétit ou perte de poids.
    • 5.Fébrilité.
    • 6.Thymie dépressive.
    • 7.Au moins un des symptômes physiques suivants cause de l’inconfort significatif : douleurs abdominales, instabilité/tremblements, sueurs, fièvre, frissons ou céphalées.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
467
Q

Critères dx du sevrage au cannabis
- critère de base

A
  • A. Arrêt d’un usage du cannabis qui a été massif et prolongé (c.-à-d. consommation habituellement quotidienne ou presque durant une période d’au moins quelques mois).
  • B. Au moins trois des signes et symptômes se développent dans un délai d’environ une semaine après le critère A :
    • 1.Irritabilité, colère, ou agressivité.
    • 2.Nervosité ou anxiété.
    • 3.Troubles du sommeil (p. ex. insomnie, rêves perturbants).
    • 4.Diminution de l’appétit ou perte de poids.
    • 5.Fébrilité.
    • 6.Thymie dépressive.
    • 7.Au moins un des symptômes physiques suivants cause de l’inconfort significatif : douleurs abdominales, instabilité/tremblements, sueurs, fièvre, frissons ou céphalées.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
468
Q

Critères dx du sevrage au cannabis
- symptômes

A
  • A. Arrêt d’un usage du cannabis qui a été massif et prolongé (c.-à-d. consommation habituellement quotidienne ou presque durant une période d’au moins quelques mois).
  • B. Au moins trois des signes et symptômes se développent dans un délai d’environ une semaine après le critère A:
    • 1.Irritabilité, colère, ou agressivité.
    • 2.Nervosité ou anxiété.
    • 3.Troubles du sommeil (p. ex. insomnie, rêves perturbants).
    • 4.Diminution de l’appétit ou perte de poids.
    • 5.Fébrilité.
    • 6.Thymie dépressive.
    • 7.Au moins un des symptômes physiques suivants cause de l’inconfort significatif : douleurs abdominales, instabilité/tremblements, sueurs, fièvre, frissons ou céphalées.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
469
Q

Critères dx du sevrage au cannabis
- symptômes: apparaissent quand?

A
  • A. Arrêt d’un usage du cannabis qui a été massif et prolongé (c.-à-d. consommation habituellement quotidienne ou presque durant une période d’au moins quelques mois).
  • B. Au moins trois des signes et symptômes se développent dans un délai d’environ une semaine après le critère A :
    • 1.Irritabilité, colère, ou agressivité.
    • 2.Nervosité ou anxiété.
    • 3.Troubles du sommeil (p. ex. insomnie, rêves perturbants).
    • 4.Diminution de l’appétit ou perte de poids.
    • 5.Fébrilité.
    • 6.Thymie dépressive.
    • 7.Au moins un des symptômes physiques suivants cause de l’inconfort significatif : douleurs abdominales, instabilité/tremblements, sueurs, fièvre, frissons ou céphalées.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
470
Q

Critères dx du sevrage au cannabis
- symptômes: nommez-les

A
  • A. Arrêt d’un usage du cannabis qui a été massif et prolongé (c.-à-d. consommation habituellement quotidienne ou presque durant une période d’au moins quelques mois).
  • B. Au moins trois des signes et symptômes se développent dans un délai d’environ une semaine après le critère A :
    • 1.Irritabilité, colère, ou agressivité.
    • 2.Nervosité ou anxiété.
    • 3.Troubles du sommeil (p. ex. insomnie, rêves perturbants).
    • 4.Diminution de l’appétit ou perte de poids.
    • 5.Fébrilité.
    • 6.Thymie dépressive.
    • 7.Au moins un des symptômes physiques suivants cause de l’inconfort significatif : douleurs abdominales, instabilité/tremblements, sueurs, fièvre, frissons ou céphalées.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
471
Q

Critères dx du sevrage au cannabis
- impacts

A
  • A. Arrêt d’un usage du cannabis qui a été massif et prolongé (c.-à-d. consommation habituellement quotidienne ou presque durant une période d’au moins quelques mois).
  • B. Au moins trois des signes et symptômes se développent dans un délai d’environ une semaine après le critère A :
    • 1.Irritabilité, colère, ou agressivité.
    • 2.Nervosité ou anxiété.
    • 3.Troubles du sommeil (p. ex. insomnie, rêves perturbants).
    • 4.Diminution de l’appétit ou perte de poids.
    • 5.Fébrilité.
    • 6.Thymie dépressive.
    • 7.Au moins un des symptômes physiques suivants cause de l’inconfort significatif : douleurs abdominales, instabilité/tremblements, sueurs, fièvre, frissons ou céphalées.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
472
Q

Critères dx du sevrage au cannabis
- exclure quoi?

A
  • A. Arrêt d’un usage du cannabis qui a été massif et prolongé (c.-à-d. consommation habituellement quotidienne ou presque durant une période d’au moins quelques mois).
  • B. Au moins trois des signes et symptômes se développent dans un délai d’environ une semaine après le critère A :
    • 1.Irritabilité, colère, ou agressivité.
    • 2.Nervosité ou anxiété.
    • 3.Troubles du sommeil (p. ex. insomnie, rêves perturbants).
    • 4.Diminution de l’appétit ou perte de poids.
    • 5.Fébrilité.
    • 6.Thymie dépressive.
    • 7.Au moins un des symptômes physiques suivants cause de l’inconfort significatif : douleurs abdominales, instabilité/tremblements, sueurs, fièvre, frissons ou céphalées.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
473
Q

Cocaïne et amphétamines

A
  • Ce sont des stimulants du SNC.
  • Le chlorhydrate de cocaïne est un psychostimulant qui peut être inhalé par le nez sous la forme de poudre ou injecté après dilution dans l’eau.
  • Le crack correspond à la forme cristalline (cocaïne alcaloïde) qui peut être fumée.
  • L’amphétamine, la dexamphétamine et la méthamphétamine font tous parties de ce groupe de stimulant.
474
Q

Cocaïne et amphétamines: Effets sur SNC

A
  • Ce sont des stimulants du SNC.
  • Le chlorhydrate de cocaïne est un psychostimulant qui peut être inhalé par le nez sous la forme de poudre ou injecté après dilution dans l’eau.
  • Le crack correspond à la forme cristalline (cocaïne alcaloïde) qui peut être fumée.
  • L’amphétamine, la dexamphétamine et la méthamphétamine font tous parties de ce groupe de stimulant.
475
Q

Cocaïne et amphétamines:
- effet de la cocaïne

A
  • Ce sont des stimulants du SNC.
  • Le chlorhydrate de cocaïne est un psychostimulant qui peut être inhalé par le nez sous la forme de poudre ou injecté après dilution dans l’eau.
  • Le crack correspond à la forme cristalline (cocaïne alcaloïde) qui peut être fumée.
  • L’amphétamine, la dexamphétamine et la méthamphétamine font tous parties de ce groupe de stimulant.
476
Q

Cocaïne et amphétamines:
- Cocaïne: voie d’administration

A
  • Ce sont des stimulants du SNC.
  • Le chlorhydrate de cocaïne est un psychostimulant qui peut être inhalé par le nez sous la forme de poudre ou injecté après dilution dans l’eau.
  • Le crack correspond à la forme cristalline (cocaïne alcaloïde) qui peut être fumée.
  • L’amphétamine, la dexamphétamine et la méthamphétamine font tous parties de ce groupe de stimulant.
477
Q

Cocaïne et amphétamines: qu’est-ce que le crack?

A
  • Ce sont des stimulants du SNC.
  • Le chlorhydrate de cocaïne est un psychostimulant qui peut être inhalé par le nez sous la forme de poudre ou injecté après dilution dans l’eau.
  • Le crack correspond à la forme cristalline (cocaïne alcaloïde) qui peut être fumée.
  • L’amphétamine, la dexamphétamine et la méthamphétamine font tous parties de ce groupe de stimulant.
478
Q

Cocaïne et amphétamines: Nom scientifique du crack

A
  • Ce sont des stimulants du SNC.
  • Le chlorhydrate de cocaïne est un psychostimulant qui peut être inhalé par le nez sous la forme de poudre ou injecté après dilution dans l’eau.
  • Le crack correspond à la forme cristalline (cocaïne alcaloïde) qui peut être fumée.
  • L’amphétamine, la dexamphétamine et la méthamphétamine font tous parties de ce groupe de stimulant.
479
Q

Cocaïne et amphétamines: Voie d’aministration du crack

A
  • Ce sont des stimulants du SNC.
  • Le chlorhydrate de cocaïne est un psychostimulant qui peut être inhalé par le nez sous la forme de poudre ou injecté après dilution dans l’eau.
  • Le crack correspond à la forme cristalline (cocaïne alcaloïde) qui peut être fumée.
  • L’amphétamine, la dexamphétamine et la méthamphétamine font tous parties de ce groupe de stimulant.
480
Q

Cocaïne et amphétamines: Qu’est-ce que le crack?

A
  • Ce sont des stimulants du SNC.
  • Le chlorhydrate de cocaïne est un psychostimulant qui peut être inhalé par le nez sous la forme de poudre ou injecté après dilution dans l’eau.
  • Le crack correspond à la forme cristalline (cocaïne alcaloïde) qui peut être fumée.
  • L’amphétamine, la dexamphétamine et la méthamphétamine font tous parties de ce groupe de stimulant.
481
Q

Cocaïne et amphétamines: Nommez les amphétamines

A
  • Ce sont des stimulants du SNC.
  • Le chlorhydrate de cocaïne est un psychostimulant qui peut être inhalé par le nez sous la forme de poudre ou injecté après dilution dans l’eau.
  • Le crack correspond à la forme cristalline (cocaïne alcaloïde) qui peut être fumée.
  • L’amphétamine, la dexamphétamine et la méthamphétamine font tous parties de ce groupe de stimulant.
482
Q

Critères dx de l’intox à la cocaïne aux amphétamines

A
  • A. Usage récent d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex. :
    • euphorie ou émoussement affectif ;
    • changement de la sociabilité ;
    • hypervigilance ;
    • sensibilité interpersonnelle ;
    • anxiété, tension ou colère ;
    • comportements stéréotypés ;
    • altération du jugement.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du stimulant.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant durant ou peu de temps après l’usage du stimulant :
    • 1.Tachycardie ou bradycardie.
    • 2.Dilatation pupillaire.
    • 3.Augmentation ou diminution de la pression artérielle.
    • 4.Transpiration ou frissons.
    • 5.Nausées ou vomissements.
    • 6.Perte de poids avérée.
    • 7.Agitation ou ralentissement psychomoteur.
    • 8.Faiblesse musculaire, dépression respiratoire, douleurs thoraciques ou arythmies cardiaques.
    • 9.Confusion, crises convulsives, dyskinésies, dystonies ou coma.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, y compris une intoxication par une autre substance.
  • Spécifier le stimulant spécifique (c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant).
  • Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
483
Q

Critères dx de l’intox à la cocaïne aux amphétamines
- critère de base

A
  • A. Usage récent d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex. :
    • euphorie ou émoussement affectif ;
    • changement de la sociabilité ;
    • hypervigilance ;
    • sensibilité interpersonnelle ;
    • anxiété, tension ou colère ;
    • comportements stéréotypés ;
    • altération du jugement.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du stimulant.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant durant ou peu de temps après l’usage du stimulant :
    • 1.Tachycardie ou bradycardie.
    • 2.Dilatation pupillaire.
    • 3.Augmentation ou diminution de la pression artérielle.
    • 4.Transpiration ou frissons.
    • 5.Nausées ou vomissements.
    • 6.Perte de poids avérée.
    • 7.Agitation ou ralentissement psychomoteur.
    • 8.Faiblesse musculaire, dépression respiratoire, douleurs thoraciques ou arythmies cardiaques.
    • 9.Confusion, crises convulsives, dyskinésies, dystonies ou coma.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, y compris une intoxication par une autre substance.
  • Spécifier le stimulant spécifique (c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant).
  • Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
484
Q

Critères dx de l’intox à la cocaïne aux amphétamines
- nommez les changements

A
  • A. Usage récent d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex. :
    • euphorie ou émoussement affectif ;
    • changement de la sociabilité ;
    • hypervigilance ;
    • sensibilité interpersonnelle ;
    • anxiété, tension ou colère ;
    • comportements stéréotypés ;
    • altération du jugement.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du stimulant.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant durant ou peu de temps après l’usage du stimulant :
    • 1.Tachycardie ou bradycardie.
    • 2.Dilatation pupillaire.
    • 3.Augmentation ou diminution de la pression artérielle.
    • 4.Transpiration ou frissons.
    • 5.Nausées ou vomissements.
    • 6.Perte de poids avérée.
    • 7.Agitation ou ralentissement psychomoteur.
    • 8.Faiblesse musculaire, dépression respiratoire, douleurs thoraciques ou arythmies cardiaques.
    • 9.Confusion, crises convulsives, dyskinésies, dystonies ou coma.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, y compris une intoxication par une autre substance.
  • Spécifier le stimulant spécifique (c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant).
  • Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
485
Q

Critères dx de l’intox à la cocaïne aux amphétamines
- quand les changements doivent-ils survenir?

A
  • A. Usage récent d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex. :
    • euphorie ou émoussement affectif ;
    • changement de la sociabilité ;
    • hypervigilance ;
    • sensibilité interpersonnelle ;
    • anxiété, tension ou colère ;
    • comportements stéréotypés ;
    • altération du jugement.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du stimulant.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant durant ou peu de temps après l’usage du stimulant :
    • 1.Tachycardie ou bradycardie.
    • 2.Dilatation pupillaire.
    • 3.Augmentation ou diminution de la pression artérielle.
    • 4.Transpiration ou frissons.
    • 5.Nausées ou vomissements.
    • 6.Perte de poids avérée.
    • 7.Agitation ou ralentissement psychomoteur.
    • 8.Faiblesse musculaire, dépression respiratoire, douleurs thoraciques ou arythmies cardiaques.
    • 9.Confusion, crises convulsives, dyskinésies, dystonies ou coma.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, y compris une intoxication par une autre substance.
  • Spécifier le stimulant spécifique (c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant).
  • Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
486
Q

Critères dx de l’intox à la cocaïne aux amphétamines
- signes et sx

A
  • A. Usage récent d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex. :
    • euphorie ou émoussement affectif ;
    • changement de la sociabilité ;
    • hypervigilance ;
    • sensibilité interpersonnelle ;
    • anxiété, tension ou colère ;
    • comportements stéréotypés ;
    • altération du jugement.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du stimulant.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant durant ou peu de temps après l’usage du stimulant :
    • 1.Tachycardie ou bradycardie.
    • 2.Dilatation pupillaire.
    • 3.Augmentation ou diminution de la pression artérielle.
    • 4.Transpiration ou frissons.
    • 5.Nausées ou vomissements.
    • 6.Perte de poids avérée.
    • 7.Agitation ou ralentissement psychomoteur.
    • 8.Faiblesse musculaire, dépression respiratoire, douleurs thoraciques ou arythmies cardiaques.
    • 9.Confusion, crises convulsives, dyskinésies, dystonies ou coma.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, y compris une intoxication par une autre substance.
  • Spécifier le stimulant spécifique (c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant).
  • Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
487
Q

Critères dx de l’intox à la cocaïne aux amphétamines
- exclure quoi?

A
  • A. Usage récent d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex. :
    • euphorie ou émoussement affectif ;
    • changement de la sociabilité ;
    • hypervigilance ;
    • sensibilité interpersonnelle ;
    • anxiété, tension ou colère ;
    • comportements stéréotypés ;
    • altération du jugement.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du stimulant.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant durant ou peu de temps après l’usage du stimulant :
    • 1.Tachycardie ou bradycardie.
    • 2.Dilatation pupillaire.
    • 3.Augmentation ou diminution de la pression artérielle.
    • 4.Transpiration ou frissons.
    • 5.Nausées ou vomissements.
    • 6.Perte de poids avérée.
    • 7.Agitation ou ralentissement psychomoteur.
    • 8.Faiblesse musculaire, dépression respiratoire, douleurs thoraciques ou arythmies cardiaques.
    • 9.Confusion, crises convulsives, dyskinésies, dystonies ou coma.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, y compris une intoxication par une autre substance.
  • Spécifier le stimulant spécifique (c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant).
  • Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
488
Q

Critères dx de l’intox à la cocaïne aux amphétamines
- spécifications

A
  • Spécifier le stimulant spécifique (c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant).
  • Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
489
Q

Critères dx du sevrage de la cocaïne ou aux amphétamines

A
  • A. Arrêt (ou réduction) de l’usage prolongé d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant.
  • B. Humeur dysphorique et deux (ou plus) des modifications physiologiques suivantes, apparaissant de quelques heures à plusieurs jours après le critère A :
    • 1.Épuisement.
    • 2.Rêves intenses et déplaisants.
    • 3.Insomnie ou hypersomnie.
    • 4.Augmentation de l’appétit.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance. Idem à DSM-5.
  • Spécifier la substance spécifique qui cause le syndrome de sevrage(c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant.
490
Q

Critères dx du sevrage de la cocaïne ou aux amphétamines
- critère de base

A
  • A. Arrêt (ou réduction) de l’usage prolongé d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant.
  • B. Humeur dysphorique et deux (ou plus) des modifications physiologiques suivantes, apparaissant de quelques heures à plusieurs jours après le critère A :
    • 1.Épuisement.
    • 2.Rêves intenses et déplaisants.
    • 3.Insomnie ou hypersomnie.
    • 4.Augmentation de l’appétit.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance. Idem à DSM-5.
  • Spécifier la substance spécifique qui cause le syndrome de sevrage(c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant.
491
Q

Critères dx du sevrage de la cocaïne ou aux amphétamines
- nommez les symptômes

A
  • A. Arrêt (ou réduction) de l’usage prolongé d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant.
  • B. Humeur dysphorique et deux (ou plus) des modifications physiologiques suivantes, apparaissant de quelques heures à plusieurs jours après le critère A :
    • 1.Épuisement.
    • 2.Rêves intenses et déplaisants.
    • 3.Insomnie ou hypersomnie.
    • 4.Augmentation de l’appétit.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance. Idem à DSM-5.
  • Spécifier la substance spécifique qui cause le syndrome de sevrage(c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant.
492
Q

Critères dx du sevrage de la cocaïne ou aux amphétamines
- symptôme de base

A
  • A. Arrêt (ou réduction) de l’usage prolongé d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant.
  • B. Humeur dysphorique et deux (ou plus) des modifications physiologiques suivantes, apparaissant de quelques heures à plusieurs jours après le critère A :
    • 1.Épuisement.
    • 2.Rêves intenses et déplaisants.
    • 3.Insomnie ou hypersomnie.
    • 4.Augmentation de l’appétit.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance. Idem à DSM-5.
  • Spécifier la substance spécifique qui cause le syndrome de sevrage(c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant.
493
Q

Critères dx du sevrage de la cocaïne ou aux amphétamines
- sx apparaissent quand?

A
  • A. Arrêt (ou réduction) de l’usage prolongé d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant.
  • B. Humeur dysphorique et deux (ou plus) des modifications physiologiques suivantes, apparaissant de quelques heures à plusieurs jours après le critère A :
    • 1.Épuisement.
    • 2.Rêves intenses et déplaisants.
    • 3.Insomnie ou hypersomnie.
    • 4.Augmentation de l’appétit.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance. Idem à DSM-5.
  • Spécifier la substance spécifique qui cause le syndrome de sevrage(c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant.
494
Q

Critères dx du sevrage de la cocaïne ou aux amphétamines
- impacts

A
  • A. Arrêt (ou réduction) de l’usage prolongé d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant.
  • B. Humeur dysphorique et deux (ou plus) des modifications physiologiques suivantes, apparaissant de quelques heures à plusieurs jours après le critère A :
    • 1.Épuisement.
    • 2.Rêves intenses et déplaisants.
    • 3.Insomnie ou hypersomnie.
    • 4.Augmentation de l’appétit.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance. Idem à DSM-5.
  • Spécifier la substance spécifique qui cause le syndrome de sevrage(c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant.
495
Q

Critères dx du sevrage de la cocaïne ou aux amphétamines
- exclure quoi?

A
  • A. Arrêt (ou réduction) de l’usage prolongé d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant.
  • B. Humeur dysphorique et deux (ou plus) des modifications physiologiques suivantes, apparaissant de quelques heures à plusieurs jours après le critère A :
    • 1.Épuisement.
    • 2.Rêves intenses et déplaisants.
    • 3.Insomnie ou hypersomnie.
    • 4.Augmentation de l’appétit.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance. Idem à DSM-5.
  • Spécifier la substance spécifique qui cause le syndrome de sevrage(c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant.
496
Q

Critères dx du sevrage de la cocaïne ou aux amphétamines
- spécifications

A
  • Spécifier la substance spécifique qui cause le syndrome de sevrage (c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant.
497
Q

Sédatifs, hypnotiques et anxiolytiques

A
  • Ce sont des dépresseurs du SNC.
  • Ces substances comprennent les benzodiazépines, les carbamates, les barbituriques et les substances hypnotiques de type barbituriques
498
Q

Sédatifs, hypnotiques et anxiolytiques: Effets sur SNC

A
  • Ce sont des dépresseurs du SNC.
  • Ces substances comprennent les benzodiazépines, les carbamates, les barbituriques et les substances hypnotiques de type barbituriques
499
Q

Sédatifs, hypnotiques et anxiolytiques
- nommez les substances

A
  • Ce sont des dépresseurs du SNC.
  • Ces substances comprennent les benzodiazépines, les carbamates, les barbituriques et les substances hypnotiques de type barbituriques
500
Q

Critères dx de l’intox à un sédatif, hypnotique ou anxiolytique

A
  • A. Usage récent d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques inadaptés, cliniquement significatifs, par exemple :
    • comportement sexuel ou agressivité inappropriée ;
    • labilité de l’humeur ;
    • altération du jugement.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique.
  • C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après l’usage d’un sédatif, d’un hypnotique ou d’un anxiolytique :
    • 1.Discours bredouillant.
    • 2.Incoordination motrice.
    • 3.Démarche ébrieuse.
    • 4.Nystagmus.
    • 5.Altération cognitive (p. ex. de l’attention ou de la mémoire).
    • 6.Stupeur ou coma.
  • D. Les signes et symptômes ne sont pas dus à une affection médicale générale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
501
Q

Critères dx de l’intox à un sédatif, hypnotique ou anxiolytique
- critère de base

A
  • A. Usage récent d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques inadaptés, cliniquement significatifs, par exemple :
    • comportement sexuel ou agressivité inappropriée ;
    • labilité de l’humeur ;
    • altération du jugement.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique.
  • C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après l’usage d’un sédatif, d’un hypnotique ou d’un anxiolytique :
    • 1.Discours bredouillant.
    • 2.Incoordination motrice.
    • 3.Démarche ébrieuse.
    • 4.Nystagmus.
    • 5.Altération cognitive (p. ex. de l’attention ou de la mémoire).
    • 6.Stupeur ou coma.
  • D. Les signes et symptômes ne sont pas dus à une affection médicale générale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
502
Q

Critères dx de l’intox à un sédatif, hypnotique ou anxiolytique
- nommez les changements

A
  • A. Usage récent d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques inadaptés, cliniquement significatifs, par exemple :
    • comportement sexuel ou agressivité inappropriée ;
    • labilité de l’humeur;
    • altération du jugement.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique.
  • C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après l’usage d’un sédatif, d’un hypnotique ou d’un anxiolytique :
    • 1.Discours bredouillant.
    • 2.Incoordination motrice.
    • 3.Démarche ébrieuse.
    • 4.Nystagmus.
    • 5.Altération cognitive (p. ex. de l’attention ou de la mémoire).
    • 6.Stupeur ou coma.
  • D. Les signes et symptômes ne sont pas dus à une affection médicale générale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
503
Q

Critères dx de l’intox à un sédatif, hypnotique ou anxiolytique
- quand les changements doivent-ils survenir?

A
  • A. Usage récent d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques inadaptés, cliniquement significatifs, par exemple :
    • comportement sexuel ou agressivité inappropriée ;
    • labilité de l’humeur ;
    • altération du jugement.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique.
  • C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après l’usage d’un sédatif, d’un hypnotique ou d’un anxiolytique :
    • 1.Discours bredouillant.
    • 2.Incoordination motrice.
    • 3.Démarche ébrieuse.
    • 4.Nystagmus.
    • 5.Altération cognitive (p. ex. de l’attention ou de la mémoire).
    • 6.Stupeur ou coma.
  • D. Les signes et symptômes ne sont pas dus à une affection médicale générale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
504
Q

Critères dx de l’intox à un sédatif, hypnotique ou anxiolytique
- nommez les sx ou signes

A
  • A. Usage récent d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques inadaptés, cliniquement significatifs, par exemple :
    • comportement sexuel ou agressivité inappropriée ;
    • labilité de l’humeur ;
    • altération du jugement.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique.
  • C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après l’usage d’un sédatif, d’un hypnotique ou d’un anxiolytique :
    • 1.Discours bredouillant.
    • 2.Incoordination motrice.
    • 3.Démarche ébrieuse.
    • 4.Nystagmus.
    • 5.Altération cognitive (p. ex. de l’attention ou de la mémoire).
    • 6.Stupeur ou coma.
  • D. Les signes et symptômes ne sont pas dus à une affection médicale générale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
505
Q

Critères dx de l’intox à un sédatif, hypnotique ou anxiolytique
- exclure quoi?

A
  • A. Usage récent d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques inadaptés, cliniquement significatifs, par exemple :
    • comportement sexuel ou agressivité inappropriée ;
    • labilité de l’humeur ;
    • altération du jugement.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique.
  • C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après l’usage d’un sédatif, d’un hypnotique ou d’un anxiolytique :
    • 1.Discours bredouillant.
    • 2.Incoordination motrice.
    • 3.Démarche ébrieuse.
    • 4.Nystagmus.
    • 5.Altération cognitive (p. ex. de l’attention ou de la mémoire).
    • 6.Stupeur ou coma.
  • D. Les signes et symptômes ne sont pas dus à une affection médicale générale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
506
Q

Critères dx du sevrage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique DSM-5

A
  • A. Arrêt (ou réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique qui a été massif et prolongé.
  • Au moins deux des manifestations suivantes se développant de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique décrit dans le critère A :
    • 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex. transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minute).
    • 2.Tremblement des mains.
    • 3.Insomnie.
    • 4.Nausées ou vomissements.
    • 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives.
    • 6.Agitation psychomotrice.
    • 7.Anxiété.
    • 8.Crises convulsives de type grand mal.
  • C. Les symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes et symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, incluant l’intoxication par une autre substance.
  • Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
507
Q

Critères dx du sevrage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique DSM-5
- critère de base

A
  • A. Arrêt (ou réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique qui a été massif et prolongé.
  • Au moins deux des manifestations suivantes se développant de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique décrit dans le critère A :
    • 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex. transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minute).
    • 2.Tremblement des mains.
    • 3.Insomnie.
    • 4.Nausées ou vomissements.
    • 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives.
    • 6.Agitation psychomotrice.
    • 7.Anxiété.
    • 8.Crises convulsives de type grand mal.
  • C. Les symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes et symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, incluant l’intoxication par une autre substance.
  • Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
508
Q

Critères dx du sevrage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique DSM-5

A
  • A. Arrêt (ou réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique qui a été massif et prolongé.
  • B. Au moins deux des manifestations suivantes se développant de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique décrit dans le critère A :
    • 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex. transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minute).
    • 2.Tremblement des mains.
    • 3.Insomnie.
    • 4.Nausées ou vomissements.
    • 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives.
    • 6.Agitation psychomotrice.
    • 7.Anxiété.
    • 8.Crises convulsives de type grand mal.
  • C. Les symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes et symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, incluant l’intoxication par une autre substance.
  • Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
509
Q

Critères dx du sevrage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique DSM-5
- manifestations

A
  • A. Arrêt (ou réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique qui a été massif et prolongé.
  • B. Au moins deux des manifestations suivantes se développant de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique décrit dans le critère A :
    • 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex. transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minute).
    • 2.Tremblement des mains.
    • 3.Insomnie.
    • 4.Nausées ou vomissements.
    • 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives.
    • 6.Agitation psychomotrice.
    • 7.Anxiété.
    • 8.Crises convulsives de type grand mal.
  • C. Les symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes et symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, incluant l’intoxication par une autre substance.
  • Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
510
Q

Critères dx du sevrage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique DSM-5
- manifestations doivent débuter quand?

A
  • A. Arrêt (ou réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique qui a été massif et prolongé.
  • B. Au moins deux des manifestations suivantes se développant de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique décrit dans le critère A :
    • 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex. transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minute).
    • 2.Tremblement des mains.
    • 3.Insomnie.
    • 4.Nausées ou vomissements.
    • 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives.
    • 6.Agitation psychomotrice.
    • 7.Anxiété.
    • 8.Crises convulsives de type grand mal.
  • C. Les symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes et symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, incluant l’intoxication par une autre substance.
  • Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
511
Q

Critères dx du sevrage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique DSM-5
- impacts

A
  • A. Arrêt (ou réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique qui a été massif et prolongé.
  • B. Au moins deux des manifestations suivantes se développant de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique décrit dans le critère A :
    • 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex. transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minute).
    • 2.Tremblement des mains.
    • 3.Insomnie.
    • 4.Nausées ou vomissements.
    • 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives.
    • 6.Agitation psychomotrice.
    • 7.Anxiété.
    • 8.Crises convulsives de type grand mal.
  • C. Les symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes et symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, incluant l’intoxication par une autre substance.
  • Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
512
Q

Critères dx du sevrage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique DSM-5
- exclure quoi?

A
  • A. Arrêt (ou réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique qui a été massif et prolongé.
  • B. Au moins deux des manifestations suivantes se développant de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique décrit dans le critère A :
    • 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex. transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minute).
    • 2.Tremblement des mains.
    • 3.Insomnie.
    • 4.Nausées ou vomissements.
    • 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives.
    • 6.Agitation psychomotrice.
    • 7.Anxiété.
    • 8.Crises convulsives de type grand mal.
  • C. Les symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes et symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, incluant l’intoxication par une autre substance.
  • Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
513
Q

Critères dx du sevrage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique DSM-5
- spécifications

A
  • Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
514
Q

Phencyclidine: Abréviation

A

PCP

515
Q

Phencyclidine

A
  • La PCP est un anesthésique dissociatif.
  • Se présente sous forme de poudre, comprimés, liquide ou capsules.
  • Son accessibilité est grande et peu couteuse, elle est souvent utilisée pour diluer d’autres drogues.
  • C’est une arylcyloalkylamine synthétique non compétitif des récepteurs NMDA.
  • Il est à noter que pour les perturbateurs du SNC, il est rare de voir apparaître une véritable dépendance.
  • Il n’y a pas de réel syndrome de sevrage connu en ce qui concerne les hallucinogènes.
516
Q

Phencyclidine: Classe de Rx

A
  • La PCP est un anesthésique dissociatif.
  • Se présente sous forme de poudre, comprimés, liquide ou capsules.
  • Son accessibilité est grande et peu couteuse, elle est souvent utilisée pour diluer d’autres drogues.
  • C’est une arylcyloalkylamine synthétique non compétitif des récepteurs NMDA.
  • Il est à noter que pour les perturbateurs du SNC, il est rare de voir apparaître une véritable dépendance.
  • Il n’y a pas de réel syndrome de sevrage connu en ce qui concerne les hallucinogènes.
517
Q

Phencyclidine: Formes possibles

A
  • La PCP est un anesthésique dissociatif.
  • Se présente sous forme de poudre, comprimés, liquide ou capsules.
  • Son accessibilité est grande et peu couteuse, elle est souvent utilisée pour diluer d’autres drogues.
  • C’est une arylcyloalkylamine synthétique non compétitif des récepteurs NMDA.
  • Il est à noter que pour les perturbateurs du SNC, il est rare de voir apparaître une véritable dépendance.
  • Il n’y a pas de réel syndrome de sevrage connu en ce qui concerne les hallucinogènes.
518
Q

Phencyclidine: Avantages

A
  • La PCP est un anesthésique dissociatif.
  • Se présente sous forme de poudre, comprimés, liquide ou capsules.
  • Son accessibilité est grande et peu couteuse, elle est souvent utilisée pour diluer d’autres drogues.
  • C’est une arylcyloalkylamine synthétique non compétitif des récepteurs NMDA.
  • Il est à noter que pour les perturbateurs du SNC, il est rare de voir apparaître une véritable dépendance.
  • Il n’y a pas de réel syndrome de sevrage connu en ce qui concerne les hallucinogènes.
519
Q

Phencyclidine: Son utilisation

A
  • La PCP est un anesthésique dissociatif.
  • Se présente sous forme de poudre, comprimés, liquide ou capsules.
  • Son accessibilité est grande et peu couteuse, elle est souvent utilisée pour diluer d’autres drogues.
  • C’est une arylcyloalkylamine synthétique non compétitif des récepteurs NMDA.
  • Il est à noter que pour les perturbateurs du SNC, il est rare de voir apparaître une véritable dépendance.
  • Il n’y a pas de réel syndrome de sevrage connu en ce qui concerne les hallucinogènes.
520
Q

Phencyclidine: Mode d’action / récepteurs en jeu

A
  • La PCP est un anesthésique dissociatif.
  • Se présente sous forme de poudre, comprimés, liquide ou capsules.
  • Son accessibilité est grande et peu couteuse, elle est souvent utilisée pour diluer d’autres drogues.
  • C’est une arylcyloalkylamine synthétique non compétitif des récepteurs NMDA.
  • Il est à noter que pour les perturbateurs du SNC, il est rare de voir apparaître une véritable dépendance.
  • Il n’y a pas de réel syndrome de sevrage connu en ce qui concerne les hallucinogènes.
521
Q

Phencyclidine: Type d’effet

A
  • La PCP est un anesthésique dissociatif.
  • Se présente sous forme de poudre, comprimés, liquide ou capsules.
  • Son accessibilité est grande et peu couteuse, elle est souvent utilisée pour diluer d’autres drogues.
  • C’est une arylcyloalkylamine synthétique non compétitif des récepteurs NMDA.
  • Il est à noter que pour les perturbateurs du SNC, il est rare de voir apparaître une véritable dépendance.
  • Il n’y a pas de réel syndrome de sevrage connu en ce qui concerne les hallucinogènes.
522
Q

Phencyclidine: Dépendance

A
  • La PCP est un anesthésique dissociatif.
  • Se présente sous forme de poudre, comprimés, liquide ou capsules.
  • Son accessibilité est grande et peu couteuse, elle est souvent utilisée pour diluer d’autres drogues.
  • C’est une arylcyloalkylamine synthétique non compétitif des récepteurs NMDA.
  • Il est à noter que pour les perturbateurs du SNC, il est rare de voir apparaître une véritable dépendance.
  • Il n’y a pas de réel syndrome de sevrage connu en ce qui concerne les hallucinogènes.
523
Q

Phencyclidine: Sevrage

A
  • La PCP est un anesthésique dissociatif.
  • Se présente sous forme de poudre, comprimés, liquide ou capsules.
  • Son accessibilité est grande et peu couteuse, elle est souvent utilisée pour diluer d’autres drogues.
  • C’est une arylcyloalkylamine synthétique non compétitif des récepteurs NMDA.
  • Il est à noter que pour les perturbateurs du SNC, il est rare de voir apparaître une véritable dépendance.
  • Il n’y a pas de réel syndrome de sevrage connu en ce qui concerne les hallucinogènes.
524
Q

Critères dx de l’intox à la phencyclidine

A
  • A. Usage récent de phencyclidine (ou d’une substance similaire sur le plan pharmacologique).
  • B. Changements comportementaux problématiques, cliniquement significatifs (p. ex.:
    • bagarres, agressivité ;
    • impulsivité, imprévisibilité ;
    • agitation psychomotrice ;
    • altération du jugement.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage de phencyclidine.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans l’heure qui suit :
    • 1.Nystagmus horizontal ou vertical.
    • 2.Hypertension ou tachycardie.
    • 3.Engourdissement ou diminution de la réponse à la douleur.
    • 4.Ataxie.
    • 5.Dysarthrie.
    • 6.Rigidité musculaire.
    • 7.Crises convulsives ou coma. 8. Hyperacousie.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
525
Q

Critères dx de l’intox à la phencyclidine
- critère de base

A
  • A. Usage récent de phencyclidine (ou d’une substance similaire sur le plan pharmacologique).
  • B. Changements comportementaux problématiques, cliniquement significatifs (p. ex.:
    • bagarres, agressivité ;
    • impulsivité, imprévisibilité ;
    • agitation psychomotrice ;
    • altération du jugement.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage de phencyclidine.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans l’heure qui suit :
    • 1.Nystagmus horizontal ou vertical.
    • 2.Hypertension ou tachycardie.
    • 3.Engourdissement ou diminution de la réponse à la douleur.
    • 4.Ataxie.
    • 5.Dysarthrie.
    • 6.Rigidité musculaire.
    • 7.Crises convulsives ou coma. 8. Hyperacousie.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
526
Q

Critères dx de l’intox à la phencyclidine
- nommez les changements

A
  • A. Usage récent de phencyclidine (ou d’une substance similaire sur le plan pharmacologique).
  • B. Changements comportementaux problématiques, cliniquement significatifs (p. ex.:
    • bagarres, agressivité ;
    • impulsivité, imprévisibilité ;
    • agitation psychomotrice ;
    • altération du jugement.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage de phencyclidine.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans l’heure qui suit :
    • 1.Nystagmus horizontal ou vertical.
    • 2.Hypertension ou tachycardie.
    • 3.Engourdissement ou diminution de la réponse à la douleur.
    • 4.Ataxie.
    • 5.Dysarthrie.
    • 6.Rigidité musculaire.
    • 7.Crises convulsives ou coma. 8. Hyperacousie.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
527
Q

Critères dx de l’intox à la phencyclidine
- quand les changements débutent-ils?

A
  • A. Usage récent de phencyclidine (ou d’une substance similaire sur le plan pharmacologique).
  • B. Changements comportementaux problématiques, cliniquement significatifs (p. ex.:
    • bagarres, agressivité ;
    • impulsivité, imprévisibilité ;
    • agitation psychomotrice ;
    • altération du jugement.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage de phencyclidine.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans l’heure qui suit :
    • 1.Nystagmus horizontal ou vertical.
    • 2.Hypertension ou tachycardie.
    • 3.Engourdissement ou diminution de la réponse à la douleur.
    • 4.Ataxie.
    • 5.Dysarthrie.
    • 6.Rigidité musculaire.
    • 7.Crises convulsives ou coma. 8. Hyperacousie.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
528
Q

Critères dx de l’intox à la phencyclidine
- nommez les signes et sx

A
  • A. Usage récent de phencyclidine (ou d’une substance similaire sur le plan pharmacologique).
  • B. Changements comportementaux problématiques, cliniquement significatifs (p. ex.:
    • bagarres, agressivité ;
    • impulsivité, imprévisibilité ;
    • agitation psychomotrice ;
    • altération du jugement.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage de phencyclidine.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans l’heure qui suit :
    • 1.Nystagmus horizontal ou vertical.
    • 2.Hypertension ou tachycardie.
    • 3.Engourdissement ou diminution de la réponse à la douleur.
    • 4.Ataxie.
    • 5.Dysarthrie.
    • 6.Rigidité musculaire.
    • 7.Crises convulsives ou coma.
    • 8.Hyperacousie.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
529
Q

Critères dx de l’intox à la phencyclidine
- exclure quoi?

A
  • A. Usage récent de phencyclidine (ou d’une substance similaire sur le plan pharmacologique).
  • B. Changements comportementaux problématiques, cliniquement significatifs (p. ex.:
    • bagarres, agressivité ;
    • impulsivité, imprévisibilité ;
    • agitation psychomotrice ;
    • altération du jugement.
    • [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage de phencyclidine.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans l’heure qui suit :
    • 1.Nystagmus horizontal ou vertical.
    • 2.Hypertension ou tachycardie.
    • 3.Engourdissement ou diminution de la réponse à la douleur.
    • 4.Ataxie.
    • 5.Dysarthrie.
    • 6.Rigidité musculaire.
    • 7.Crises convulsives ou coma. 8. Hyperacousie.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
530
Q

Nicotine

A

C’est un alcaloïde retrouvé dans les feuilles de tabac.

531
Q

Nicotine: c’est quoi?

A

C’est un alcaloïde retrouvé dans les feuilles de tabac.

532
Q

Nicotine: Classe de molécules

A

C’est un alcaloïde retrouvé dans les feuilles de tabac.

533
Q

Nicotine: Source / provenance

A

C’est un alcaloïde retrouvé dans les feuilles de tabac.

534
Q

Trouble de l’usage du tabac

A
535
Q

Critères dx du sevrage de la nicotine
- critère de base

A
  • A. Usage quotidien de tabac pendant au moins plusieurs semaines.
  • B. Arrêt brutal de la consommation, ou réduction de la quantité de tabac utilisée, suivi, dans les 24 heures, d’au moins quatre des signes ou symptômes suivants :
    • 1.Irritabilité, frustration ou colère.
    • 2.Anxiété.
    • 3.Difficultés de concentration.
    • 4.Augmentation de l’appétit.
    • 5.Fébrilité.
    • 6.Humeur dépressive.
    • 7.Insomnie.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
536
Q

Critères dx du sevrage de la nicotine
- cause

A
  • A. Usage quotidien de tabac pendant au moins plusieurs semaines.
  • B. Arrêt brutal de la consommation, ou réduction de la quantité de tabac utilisée, suivi, dans les 24 heures, d’au moins quatre des signes ou symptômes suivants :
    • 1.Irritabilité, frustration ou colère.
    • 2.Anxiété.
    • 3.Difficultés de concentration.
    • 4.Augmentation de l’appétit.
    • 5.Fébrilité.
    • 6.Humeur dépressive.
    • 7.Insomnie.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
537
Q

Critères dx du sevrage de la nicotine
- nommez les symptômes

A
  • A. Usage quotidien de tabac pendant au moins plusieurs semaines.
  • B. Arrêt brutal de la consommation, ou réduction de la quantité de tabac utilisée, suivi, dans les 24 heures, d’au moins quatre des signes ou symptômes suivants :
    • 1.Irritabilité, frustration ou colère.
    • 2.Anxiété.
    • 3.Difficultés de concentration.
    • 4.Augmentation de l’appétit.
    • 5.Fébrilité.
    • 6.Humeur dépressive.
    • 7.Insomnie.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
538
Q

Critères dx du sevrage de la nicotine
- quand débutent les symptômes?

A
  • A. Usage quotidien de tabac pendant au moins plusieurs semaines.
  • B. Arrêt brutal de la consommation, ou réduction de la quantité de tabac utilisée, suivi, dans les 24 heures, d’au moins quatre des signes ou symptômes suivants :
    • 1.Irritabilité, frustration ou colère.
    • 2.Anxiété.
    • 3.Difficultés de concentration.
    • 4.Augmentation de l’appétit.
    • 5.Fébrilité.
    • 6.Humeur dépressive.
    • 7.Insomnie.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
539
Q

Critères dx du sevrage de la nicotine
- impacts

A
  • A. Usage quotidien de tabac pendant au moins plusieurs semaines.
  • B. Arrêt brutal de la consommation, ou réduction de la quantité de tabac utilisée, suivi, dans les 24 heures, d’au moins quatre des signes ou symptômes suivants :
    • 1.Irritabilité, frustration ou colère.
    • 2.Anxiété.
    • 3.Difficultés de concentration.
    • 4.Augmentation de l’appétit.
    • 5.Fébrilité.
    • 6.Humeur dépressive.
    • 7.Insomnie.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
540
Q

Critères dx du sevrage de la nicotine
- exclure quoi?

A
  • A. Usage quotidien de tabac pendant au moins plusieurs semaines.
  • B. Arrêt brutal de la consommation, ou réduction de la quantité de tabac utilisée, suivi, dans les 24 heures, d’au moins quatre des signes ou symptômes suivants :
    • 1.Irritabilité, frustration ou colère.
    • 2.Anxiété.
    • 3.Difficultés de concentration.
    • 4.Augmentation de l’appétit.
    • 5.Fébrilité.
    • 6.Humeur dépressive.
    • 7.Insomnie.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
541
Q

Tr usage de tabac: Dans le DSM-5

A
  • Dans le DSM-V, il existe un trouble de l’usage du tabac, comme pour l’alcool, mais aucune catégorie diagnostique pour une intoxication à la nicotine.
  • Les symptômes d’une intoxication à la nicotine sont des nausées / vomissements, sécheresse buccale, palpitations, céphalées, insomnie, lipothymie et syncope
542
Q

Tr usage de tabac: Dans les DSM-5
- intox nicotine

A
  • Dans le DSM-V, il existe un trouble de l’usage du tabac, comme pour l’alcool, mais aucune catégorie diagnostique pour une intoxication à la nicotine.
  • Les symptômes d’une intoxication à la nicotine sont des nausées / vomissements, sécheresse buccale, palpitations, céphalées, insomnie, lipothymie et syncope
543
Q

Nommez les symotômes d’une intox à la nicotine

A
  • Dans le DSM-V, il existe un trouble de l’usage du tabac, comme pour l’alcool, mais aucune catégorie diagnostique pour une intoxication à la nicotine.
  • Les symptômes d’une intoxication à la nicotine sont des nausées / vomissements, sécheresse buccale, palpitations, céphalées, insomnie, lipothymie et syncope
544
Q

Solvants volatils

A
  • Comprennent une vaste gamme de produits chimiques dont les effets physiques et psychologiques sont semblables.
  • Dans cette catégorie, on retrouve les hydrocarbure aliphatique et aromatiques (essence, colle, diluant à peinture, etc.), les hydrocarbures halogénés (gaz d’aérosol, liquide correcteur, produit de nettoyage, etc.) et les autres produits contenant des esters, cétones et glycols.
  • L’arrêt brusque de ces substances (sevrage) peut entraîner des symptômes dépressifs et anxieux, une perte d’appétit, de l’irritabilité, des étourdissements, des tremblements et des nausées.
    • Ces manifestations ne sont toutefois pas décrites dans le DSM-5.
545
Q

Solvants volatils: Décrire

A
  • Comprennent une vaste gamme de produits chimiques dont les effets physiques et psychologiques sont semblables.
  • Dans cette catégorie, on retrouve les hydrocarbure aliphatique et aromatiques (essence, colle, diluant à peinture, etc.), les hydrocarbures halogénés (gaz d’aérosol, liquide correcteur, produit de nettoyage, etc.) et les autres produits contenant des esters, cétones et glycols.
  • L’arrêt brusque de ces substances (sevrage) peut entraîner des symptômes dépressifs et anxieux, une perte d’appétit, de l’irritabilité, des étourdissements, des tremblements et des nausées.
    • Ces manifestations ne sont toutefois pas décrites dans le DSM-5.
546
Q

Solvants volatils: Nommez-les

A
  • Comprennent une vaste gamme de produits chimiques dont les effets physiques et psychologiques sont semblables.
  • Dans cette catégorie, on retrouve les hydrocarbure aliphatique et aromatiques (essence, colle, diluant à peinture, etc.), les hydrocarbures halogénés (gaz d’aérosol, liquide correcteur, produit de nettoyage, etc.) et les autres produits contenant des esters, cétones et glycols.
  • L’arrêt brusque de ces substances (sevrage) peut entraîner des symptômes dépressifs et anxieux, une perte d’appétit, de l’irritabilité, des étourdissements, des tremblements et des nausées.
    • Ces manifestations ne sont toutefois pas décrites dans le DSM-5.
547
Q

Solvants volatils: Symptômes d’arrêt

A
  • Comprennent une vaste gamme de produits chimiques dont les effets physiques et psychologiques sont semblables.
  • Dans cette catégorie, on retrouve les hydrocarbure aliphatique et aromatiques (essence, colle, diluant à peinture, etc.), les hydrocarbures halogénés (gaz d’aérosol, liquide correcteur, produit de nettoyage, etc.) et les autres produits contenant des esters, cétones et glycols.
  • L’arrêt brusque de ces substances (sevrage) peut entraîner des symptômes dépressifs et anxieux, une perte d’appétit, de l’irritabilité, des étourdissements, des tremblements et des nausées.
    • Ces manifestations ne sont toutefois pas décrites dans le DSM-5.
548
Q

Solvants volatils: Symptômes d’arrêt - DSM-5

A
  • Comprennent une vaste gamme de produits chimiques dont les effets physiques et psychologiques sont semblables.
  • Dans cette catégorie, on retrouve les hydrocarbure aliphatique et aromatiques (essence, colle, diluant à peinture, etc.), les hydrocarbures halogénés (gaz d’aérosol, liquide correcteur, produit de nettoyage, etc.) et les autres produits contenant des esters, cétones et glycols.
  • L’arrêt brusque de ces substances (sevrage) peut entraîner des symptômes dépressifs et anxieux, une perte d’appétit, de l’irritabilité, des étourdissements, des tremblements et des nausées.
    • Ces manifestations ne sont toutefois pas décrites dans le DSM-5.
549
Q

Critères dx de l’intox aux solvants

A
  • A. Usage intentionnel ou récent ou exposition accidentelle de courte durée aux substances inhalées à forte dose, incluant les hydrocarbures volatils comme le toluène ou l’essence.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs, par exemple :
    • bagarre, agressivité ;
    • apathie ;
    • altération du jugement.
    • [Ces changements] se sont développés pendant, ou peu après, l’exposition aux substances inhalées.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants se développant pendant ou peu après l’usage ou l’exposition aux substances inhalées :
    • 1.Étourdissements.
    • 2.Nystagmus.
    • 3.Incoordination motrice.
    • 4.Discours bredouillant.
    • 5.Démarche ébrieuse.
    • 6.Léthargie.
    • 7.Diminution des réflexes.
    • 8.Ralentissement moteur.
    • 9.Tremblements.
    • 10.Faiblesse musculaire généralisée.
    • 11.Vision trouble ou diplopie.
    • 12.Stupeur ou coma.
    • 13.Euphorie.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
550
Q

Critères dx de l’intox aux solvants
- critère de base

A
  • A. Usage intentionnel ou récent ou exposition accidentelle de courte durée aux substances inhalées à forte dose, incluant les hydrocarbures volatils comme le toluène ou l’essence.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs, par exemple :
    • bagarre, agressivité ;
    • apathie ;
    • altération du jugement.
    • [Ces changements] se sont développés pendant, ou peu après, l’exposition aux substances inhalées.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants se développant pendant ou peu après l’usage ou l’exposition aux substances inhalées :
    • 1.Étourdissements.
    • 2.Nystagmus.
    • 3.Incoordination motrice.
    • 4.Discours bredouillant.
    • 5.Démarche ébrieuse.
    • 6.Léthargie.
    • 7.Diminution des réflexes.
    • 8.Ralentissement moteur.
    • 9.Tremblements.
    • 10.Faiblesse musculaire généralisée.
    • 11.Vision trouble ou diplopie.
    • 12.Stupeur ou coma.
    • 13.Euphorie.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
551
Q

Critères dx de l’intox aux solvants: Nommez les changements

A
  • A. Usage intentionnel ou récent ou exposition accidentelle de courte durée aux substances inhalées à forte dose, incluant les hydrocarbures volatils comme le toluène ou l’essence.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs, par exemple :
    • bagarre, agressivité ;
    • apathie ;
    • altération du jugement.
    • [Ces changements] se sont développés pendant, ou peu après, l’exposition aux substances inhalées.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants se développant pendant ou peu après l’usage ou l’exposition aux substances inhalées :
    • 1.Étourdissements.
    • 2.Nystagmus.
    • 3.Incoordination motrice.
    • 4.Discours bredouillant.
    • 5.Démarche ébrieuse.
    • 6.Léthargie.
    • 7.Diminution des réflexes.
    • 8.Ralentissement moteur.
    • 9.Tremblements.
    • 10.Faiblesse musculaire généralisée.
    • 11.Vision trouble ou diplopie.
    • 12.Stupeur ou coma.
    • 13.Euphorie.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
552
Q

Critères dx de l’intox aux solvants
- quand sont les changements?

A
  • A. Usage intentionnel ou récent ou exposition accidentelle de courte durée aux substances inhalées à forte dose, incluant les hydrocarbures volatils comme le toluène ou l’essence.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs, par exemple :
    • bagarre, agressivité ;
    • apathie ;
    • altération du jugement.
    • [Ces changements] se sont développés pendant, ou peu après, l’exposition aux substances inhalées.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants se développant pendant ou peu après l’usage ou l’exposition aux substances inhalées :
    • 1.Étourdissements.
    • 2.Nystagmus.
    • 3.Incoordination motrice.
    • 4.Discours bredouillant.
    • 5.Démarche ébrieuse.
    • 6.Léthargie.
    • 7.Diminution des réflexes.
    • 8.Ralentissement moteur.
    • 9.Tremblements.
    • 10.Faiblesse musculaire généralisée.
    • 11.Vision trouble ou diplopie.
    • 12.Stupeur ou coma.
    • 13.Euphorie.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
553
Q

Critères dx de l’intox aux solvants
- signes et sx

A
  • A. Usage intentionnel ou récent ou exposition accidentelle de courte durée aux substances inhalées à forte dose, incluant les hydrocarbures volatils comme le toluène ou l’essence.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs, par exemple :
    • bagarre, agressivité ;
    • apathie ;
    • altération du jugement.
    • [Ces changements] se sont développés pendant, ou peu après, l’exposition aux substances inhalées.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants se développant pendant ou peu après l’usage ou l’exposition aux substances inhalées :
    • 1.Étourdissements.
    • 2.Nystagmus.
    • 3.Incoordination motrice.
    • 4.Discours bredouillant.
    • 5.Démarche ébrieuse.
    • 6.Léthargie.
    • 7.Diminution des réflexes.
    • 8.Ralentissement moteur.
    • 9.Tremblements.
    • 10.Faiblesse musculaire généralisée.
    • 11.Vision trouble ou diplopie.
    • 12.Stupeur ou coma.
    • 13.Euphorie.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
554
Q

Critères dx de l’intox aux solvants
- exclure quoi?

A
  • A. Usage intentionnel ou récent ou exposition accidentelle de courte durée aux substances inhalées à forte dose, incluant les hydrocarbures volatils comme le toluène ou l’essence.
  • B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs, par exemple :
    • bagarre, agressivité ;
    • apathie ;
    • altération du jugement.
    • [Ces changements] se sont développés pendant, ou peu après, l’exposition aux substances inhalées.
  • C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants se développant pendant ou peu après l’usage ou l’exposition aux substances inhalées :
    • 1.Étourdissements.
    • 2.Nystagmus.
    • 3.Incoordination motrice.
    • 4.Discours bredouillant.
    • 5.Démarche ébrieuse.
    • 6.Léthargie.
    • 7.Diminution des réflexes.
    • 8.Ralentissement moteur.
    • 9.Tremblements.
    • 10.Faiblesse musculaire généralisée.
    • 11.Vision trouble ou diplopie.
    • 12.Stupeur ou coma.
    • 13.Euphorie.
  • D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
555
Q

Caféine

A
  • La caféine est un alcaloïde de la famille des méthylxanthines.
  • On la retrouve dans les graines, les feuilles et les fruits de nombreuses plantes.
556
Q

Caféine: Type de molécules

A
  • La caféine est un alcaloïde de la famille des méthylxanthines.
  • On la retrouve dans les graines, les feuilles et les fruits de nombreuses plantes.
557
Q

Caféine: Dans quelle famille?

A
  • La caféine est un alcaloïde de la famille des méthylxanthines.
  • On la retrouve dans les graines, les feuilles et les fruits de nombreuses plantes.
558
Q

Caféine: On y retrouve quoi?

A
  • La caféine est un alcaloïde de la famille des méthylxanthines.
  • On la retrouve dans les graines, les feuilles et les fruits de nombreuses plantes.
559
Q

Critères dx de l’intox à la caféine

A
  • A. Consommation récente de caféine (typiquement une dose élevée bien supérieure à 250 mg).
  • B. Au moins cinq des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation de caféine :
    • 1.Fébrilité.
    • 2.Nervosité.
    • 3.Excitation.
    • 4.Insomnie.
    • 5.Faciès vultueux.
    • 6.Augmentation de la diurèse.
    • 7.Troubles gastro-intestinaux.
    • 8.Soubresauts musculaires.
    • 9.Pensées et discours décousus.
    • 10.Tachycardie ou arythmie cardiaque.
    • 11.Périodes d’infatigabilité.
    • 12.Agitation psychomotrice.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autres domaines importants.
  • D. Les symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
560
Q

Critères dx de l’intox à la caféine
- critère de base

A
  • A. Consommation récente de caféine (typiquement une dose élevée bien supérieure à 250 mg).
  • B. Au moins cinq des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation de caféine :
    • 1.Fébrilité.
    • 2.Nervosité.
    • 3.Excitation.
    • 4.Insomnie.
    • 5.Faciès vultueux.
    • 6.Augmentation de la diurèse.
    • 7.Troubles gastro-intestinaux.
    • 8.Soubresauts musculaires.
    • 9.Pensées et discours décousus.
    • 10.Tachycardie ou arythmie cardiaque.
    • 11.Périodes d’infatigabilité.
    • 12.Agitation psychomotrice.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autres domaines importants.
  • D. Les symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
561
Q

Critères dx de l’intox à la caféine
- nombre de mg consommés

A
  • A. Consommation récente de caféine (typiquement une dose élevée bien supérieure à 250 mg).
  • B. Au moins cinq des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation de caféine :
    • 1.Fébrilité.
    • 2.Nervosité.
    • 3.Excitation.
    • 4.Insomnie.
    • 5.Faciès vultueux.
    • 6.Augmentation de la diurèse.
    • 7.Troubles gastro-intestinaux.
    • 8.Soubresauts musculaires.
    • 9.Pensées et discours décousus.
    • 10.Tachycardie ou arythmie cardiaque.
    • 11.Périodes d’infatigabilité.
    • 12.Agitation psychomotrice.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autres domaines importants.
  • D. Les symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
562
Q

Critères dx de l’intox à la caféine:
- nommez les sx

A
  • A. Consommation récente de caféine (typiquement une dose élevée bien supérieure à 250 mg).
  • B. Au moins cinq des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation de caféine :
    • 1.Fébrilité.
    • 2.Nervosité.
    • 3.Excitation.
    • 4.Insomnie.
    • 5.Faciès vultueux.
    • 6.Augmentation de la diurèse.
    • 7.Troubles gastro-intestinaux.
    • 8.Soubresauts musculaires.
    • 9.Pensées et discours décousus.
    • 10.Tachycardie ou arythmie cardiaque.
    • 11.Périodes d’infatigabilité.
    • 12.Agitation psychomotrice.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autres domaines importants.
  • D. Les symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
563
Q

Critères dx de l’intox à la caféine
- impacts

A
  • A. Consommation récente de caféine (typiquement une dose élevée bien supérieure à 250 mg).
  • B. Au moins cinq des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation de caféine :
    • 1.Fébrilité.
    • 2.Nervosité.
    • 3.Excitation.
    • 4.Insomnie.
    • 5.Faciès vultueux.
    • 6.Augmentation de la diurèse.
    • 7.Troubles gastro-intestinaux.
    • 8.Soubresauts musculaires.
    • 9.Pensées et discours décousus.
    • 10.Tachycardie ou arythmie cardiaque.
    • 11.Périodes d’infatigabilité.
    • 12.Agitation psychomotrice.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autres domaines importants.
  • D. Les symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
564
Q

Critères dx de l’intox à la caféine
- exclure quoi?

A
  • A. Consommation récente de caféine (typiquement une dose élevée bien supérieure à 250 mg).
  • B. Au moins cinq des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation de caféine :
    • 1.Fébrilité.
    • 2.Nervosité.
    • 3.Excitation.
    • 4.Insomnie.
    • 5.Faciès vultueux.
    • 6.Augmentation de la diurèse.
    • 7.Troubles gastro-intestinaux.
    • 8.Soubresauts musculaires.
    • 9.Pensées et discours décousus.
    • 10.Tachycardie ou arythmie cardiaque.
    • 11.Périodes d’infatigabilité.
    • 12.Agitation psychomotrice.
  • C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autres domaines importants.
  • D. Les symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
565
Q

Critères dx du sevrage à la caféine

A
  • A. Usage prolongé et quotidien de caféine.
  • B. Arrêt brutal ou réduction de la prise de caféine, suivi dans les 24 heures par trois (ou plus des signes ou symptômes suivants :
    • 1.Céphalées.
    • 2.Fatigue ou somnolence importante.
    • 3.Humeur dysphorique, humeur dépressive ou irritabilité.
    • 4.Difficultés de concentration.
    • 5.Symptômes pseudo-grippaux (nausées, vomissements ou raideur/douleur musculaire).
  • C. Les symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas associés aux effets psychologiques d’une autre affection médicale (comme la migraine ouune maladie virale) et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
566
Q

Critères dx du sevrage à la caféine
- critère de base

A
  • A. Usage prolongé et quotidien de caféine.
  • B. Arrêt brutal ou réduction de la prise de caféine, suivi dans les 24 heures par trois (ou plus des signes ou symptômes suivants :
    • 1.Céphalées.
    • 2.Fatigue ou somnolence importante.
    • 3.Humeur dysphorique, humeur dépressive ou irritabilité.
    • 4.Difficultés de concentration.
    • 5.Symptômes pseudo-grippaux (nausées, vomissements ou raideur/douleur musculaire).
  • C. Les symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas associés aux effets psychologiques d’une autre affection médicale (comme la migraine ouune maladie virale) et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
567
Q

Critères dx du sevrage à la caféine
- nommez les signes et sx

A
  • A. Usage prolongé et quotidien de caféine.
  • B. Arrêt brutal ou réduction de la prise de caféine, suivi dans les 24 heures par trois (ou plus des signes ou symptômes suivants :
    • 1.Céphalées.
    • 2.Fatigue ou somnolence importante.
    • 3.Humeur dysphorique, humeur dépressive ou irritabilité.
    • 4.Difficultés de concentration.
    • 5.Symptômes pseudo-grippaux (nausées, vomissements ou raideur/douleur musculaire).
  • C. Les symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas associés aux effets psychologiques d’une autre affection médicale (comme la migraine ouune maladie virale) et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
568
Q

Critères dx du sevrage à la caféine
- impacts

A
  • A. Usage prolongé et quotidien de caféine.
  • B. Arrêt brutal ou réduction de la prise de caféine, suivi dans les 24 heures par trois (ou plus des signes ou symptômes suivants :
    • 1.Céphalées.
    • 2.Fatigue ou somnolence importante.
    • 3.Humeur dysphorique, humeur dépressive ou irritabilité.
    • 4.Difficultés de concentration.
    • 5.Symptômes pseudo-grippaux (nausées, vomissements ou raideur/douleur musculaire).
  • C. Les symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas associés aux effets psychologiques d’une autre affection médicale (comme la migraine ouune maladie virale) et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
569
Q

Critères dx du sevrage à la caféine
- exclure quoi?

A
  • A. Usage prolongé et quotidien de caféine.
  • B. Arrêt brutal ou réduction de la prise de caféine, suivi dans les 24 heures par trois (ou plus des signes ou symptômes suivants :
    • 1.Céphalées.
    • 2.Fatigue ou somnolence importante.
    • 3.Humeur dysphorique, humeur dépressive ou irritabilité.
    • 4.Difficultés de concentration.
    • 5.Symptômes pseudo-grippaux (nausées, vomissements ou raideur/douleur musculaire).
  • C. Les symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autres domaines importants.
  • D. Les signes ou symptômes ne sont pas associés aux effets psychologiques d’une autre affection médicale (comme la migraine ouune maladie virale) et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
570
Q

TUS de d’autres substances

A
  • Il est à noter que plusieurs autres substances sont abordées dans le livre.
  • De plus, le traitement pour chaque problème de chaque substances, l’épidémiologie ainsi que d’autres informations sont abordées dans le Lalonde.
  • Par contre, ces informations semblent déborder le contenu de ce cours, puisqu’elles ne sont pas présentes dans le guide de lecture, dans les PowerPoint ainsi que dans les objectifs.
571
Q
A