Trouble de l'humeur 1 Flashcards

1
Q

Objectif du cours: Médicaments

A

En plus, nommer le nom générique et commercial utilisés au Canada ainsi que les doses usuelles et le mécanisme d’action pour la Vanlafaxine, le Citalopram, le Bupropion, le Lithium et l’Acide valproique et la lamotrigine

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Q

Tr de l’humeur: Lecture des chapitres

A

Cet objectif semble assez large. Je ne vous suggère PAS de commencer à lire ce chapitre en ordre tout de suite. Tentons d’y aller de façon progressive, en regardant les plus gros concepts en premier et en y ajoutant par la suite les connaissances nécessaires.

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Q

Tr de l’humeur: Quels termes est-il important de différencier?

A
  • Dans un premier temps, il est primordial que vous soyez capable de distinguer un « Épisode affectif » d’un « Trouble affectif ».
  • Avant de débuter votre lecture, je vous suggère de regarder les critères des trois Épisodes affectifs possibles dans votre DSM, sous le chapitre Troubles bipolaires et apparentés (qui sont les épisodes pouvant survenir chez un patient souffrant de maladie bipolaire de type I)
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4
Q

Tr de l’humeur: Que faut-il savoir?

A
  • De manière générale, les troubles de bipolaires concernant des présentations cliniques et des entités beaucoup plus vastes que l’alternance maniaque et dépressive classique.
  • Sa présentation peut être subtile, atypique ou encore camouflée et aucun marqueur biologique ne permet de poser un diagnostic.
  • Notons qu’un épisode thymique fait référence à un épisode de l’un ou l’autre des pôles de l’humeur opposés (maniaque / hypomaniaque ou dépressif).
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5
Q

Tr de l’humeur: Définir épisode thymique

A
  • De manière générale, les troubles de bipolaires concernant des présentations cliniques et des entités beaucoup plus vastes que l’alternance maniaque et dépressive classique.
  • Sa présentation peut être subtile, atypique ou encore camouflée et aucun marqueur biologique ne permet de poser un diagnostic.
  • Notons qu’un épisode thymique fait référence à un épisode de l’un ou l’autre des pôles de l’humeur opposés (maniaque / hypomaniaque ou dépressif).
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6
Q

Critères diagnostiques de MANIE

A
  • A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
  • B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
    • 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
    • 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
    • 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
    • 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
    • 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
    • 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
    • 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
  • C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
  • D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
  • N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui per siste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet phy siologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
  • N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
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7
Q

Critères diagnostiques de MANIE
- symptômes de base nécessaires

A
  • A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
  • B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
    • 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
    • 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
    • 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
    • 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
    • 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
    • 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
    • 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
  • C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
  • D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
  • N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui per siste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet phy siologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
  • N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
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8
Q

Critères diagnostiques de MANIE
- symptômes

A
  • A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
  • B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
    • 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
    • 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
    • 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
    • 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
    • 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
    • 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
    • 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
  • C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
  • D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
  • N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui per siste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet phy siologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
  • N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
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9
Q

Critères diagnostiques de MANIE
- symptômes nécessaires: nommez-les

A
  • A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
  • B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
    • 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
    • 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
    • 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
    • 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
    • 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
    • 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
    • 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
  • C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
  • D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
  • N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui per siste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet phy siologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
  • N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
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Q

Critères diagnostiques de MANIE
- durée

A
  • A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitalisation est nécessaire).
  • B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
    • 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
    • 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
    • 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
    • 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
    • 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
    • 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
    • 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
  • C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
  • D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
  • N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui per siste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet phy siologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
  • N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
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Q

Critères diagnostiques de MANIE
- impacts

A
  • A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
  • B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
    • 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
    • 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
    • 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
    • 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
    • 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
    • 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
    • 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
  • C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
  • D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
  • N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui per siste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet phy siologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
  • N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
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12
Q

Critères diagnostiques de MANIE
- exclure quoi?

A
  • A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
  • B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
    • 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
    • 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
    • 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
    • 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
    • 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
    • 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
    • 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
  • C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
  • D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
  • N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet physiologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
  • N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
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13
Q

Critères diagnostiques de MANIE
- si survient lors traitement antidépresseur

A
  • A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
  • B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
    • 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
    • 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
    • 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
    • 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
    • 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
    • 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
    • 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
  • C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
  • D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
  • N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet physiologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
  • N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
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Q

Critères diagnostiques de MANIE
- nombre d’épisodes maniaques nécessaires

A
  • A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
  • B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
    • 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
    • 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
    • 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
    • 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
    • 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
    • 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
    • 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
  • C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
  • D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
  • N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui per siste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet phy siologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
  • N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
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Q

Critères diagnostiques de MANIE
- symptômes: nombre nécessaire

A
  • A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
  • B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
    • 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
    • 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
    • 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
    • 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
    • 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
    • 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
    • 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
  • C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
  • D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
  • N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui per siste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet phy siologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
  • N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
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16
Q

Critères diagnostiques de l’hypomanie

A
  • A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
  • B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
    • 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
    • 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
    • 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
    • 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
    • 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
    • 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
    • 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
  • C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
  • D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
  • E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
  • F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
  • N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
  • N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
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Critères diagnostiques de l’hypomanie
- c’est quoi?

A
  • A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
  • B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
    • 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
    • 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
    • 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
    • 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
    • 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
    • 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
    • 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
  • C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
  • D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
  • E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
  • F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
  • N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
  • N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
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Critères diagnostiques de l’hypomanie
- durée

A
  • A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
  • B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
    • 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
    • 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
    • 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
    • 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
    • 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
    • 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
    • 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
  • C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
  • D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
  • E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
  • F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
  • N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
  • N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
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Critères diagnostiques de l’hypomanie
- symptômes

A
  • A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
  • B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
    • 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
    • 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
    • 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
    • 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
    • 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
    • 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
    • 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
  • C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
  • D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
  • E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
  • F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
  • N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
  • N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
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Critères diagnostiques de l’hypomanie
- symptômes: nommez-les

A
  • A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
  • B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
    • 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
    • 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
    • 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
    • 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
    • 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
    • 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
    • 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
  • C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
  • D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
  • E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
  • F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
  • N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
  • N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
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Critères diagnostiques de l’hypomanie
- impacts

A
  • A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
  • B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
    • 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
    • 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
    • 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
    • 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
    • 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
    • 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
    • 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
  • C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
  • D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
  • E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
  • F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
  • N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
  • N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
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Critères diagnostiques de l’hypomanie
- ce que les autres voient

A
  • A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
  • B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
    • 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
    • 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
    • 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
    • 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
    • 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
    • 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
    • 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
  • C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
  • D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
  • E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
  • F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
  • N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
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Critères diagnostiques de l’hypomanie
- hospitalisation?

A
  • A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
  • B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
    • 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
    • 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
    • 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
    • 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
    • 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
    • 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
    • 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
  • C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
  • D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
  • E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
  • F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
  • N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
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Critères diagnostiques de l’hypomanie
- symptômes psychotiques

A
  • A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
  • B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
    • 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
    • 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
    • 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
    • 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
    • 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
    • 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
    • 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
  • C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
  • D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
  • E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
  • F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
  • N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
  • N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
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Critères diagnostiques de l’hypomanie
- quoi exclure?

A
  • A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
  • B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
    • 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
    • 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
    • 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
    • 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
    • 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
    • 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
    • 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
  • C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
  • D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
  • E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
  • F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
  • N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
  • N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
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Critères diagnostiques de l’hypomanie
- spécifications si traitement antidépresseur

A
  • A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
  • B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
    • 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
    • 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
    • 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
    • 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
    • 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
    • 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
    • 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
  • C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
  • D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
  • E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
  • F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
  • N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
  • N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
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Q

Critères diagnostiques de l’hypomanie
- bipolaire type 1

A
  • A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
  • B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
    • 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
    • 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
    • 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
    • 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
    • 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
    • 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
    • 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
  • C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
  • D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
  • E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
  • F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
  • N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
  • N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
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Q

Critères diagnostiques de l’hypomanie
- symptômes: nombre nécessaires

A
  • A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
  • B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
    • 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
    • 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
    • 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
    • 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
    • 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
    • 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
    • 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
  • C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
  • D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
  • E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
  • F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
  • N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
  • N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)

A
  • A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
    —–1. une humeur dépressive, soit
    —–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
    —–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.
    • 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
      ——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent).
    • 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
    • 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
    • 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
    • 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
    • 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
  • B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
    ——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé.
  • D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
  • E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
    ——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- symptômes

A
  • A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
    —–1. une humeur dépressive, soit
    —–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
    —–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.
    • 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
      ——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent).
    • 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
    • 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
    • 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
    • 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
    • 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
  • B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
    ——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé.
  • D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
  • E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
    ——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- symptômes: au moins 1 des sx doit être lequel?

A
  • A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
    —–1. une humeur dépressive, soit
    —–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
    —–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.
    • 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
      ——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent).
    • 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
    • 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
    • 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
    • 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
    • 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
  • B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
    ——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé.
  • D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
  • E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
    ——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- symptômes: nb nécessaires

A
  • A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
    —–1. une humeur dépressive, soit
    —–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
    —–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.
    • 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
      ——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent).
    • 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
    • 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
    • 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
    • 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
    • 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
  • B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
    ——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé.
  • D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
  • E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
    ——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- sx: humeur

A
  • A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
    —–1. une humeur dépressive, soit
    —–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
    —–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.
    • 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
      ——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent).
    • 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
    • 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
    • 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
    • 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
    • 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
  • B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
    ——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé.
  • D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
  • E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
    ——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- sx: humeur - chez l’enfant

A
  • A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
    —–1. une humeur dépressive, soit
    —–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
    —–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.
    • 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
      ——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent).
    • 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
    • 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
    • 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
    • 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
    • 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
  • B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
    ——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé.
  • D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
  • E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
    ——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
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Q

Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- sx: manque d’intérêt

A
  • A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
    —–1. une humeur dépressive, soit
    —–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
    —–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.
    • 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
      ——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent).
    • 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
    • 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
    • 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
    • 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
    • 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
  • B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
    ——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé.
  • D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
  • E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
    ——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- sx: poids

A
  • A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
    —–1. une humeur dépressive, soit
    —–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
    —–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.
    • 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
      ——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent).
    • 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
    • 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
    • 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
    • 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
    • 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
  • B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
    ——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé.
  • D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
  • E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
    ——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- sx: poids - enfants

A
  • A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
    —–1. une humeur dépressive, soit
    —–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
    —–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.
    • 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
      ——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent).
    • 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
    • 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
    • 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
    • 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
    • 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
  • B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
    ——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé.
  • D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
  • E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
    ——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- sx: sommeil

A
  • A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
    —–1. une humeur dépressive, soit
    —–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
    —–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.
    • 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
      ——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent).
    • 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
    • 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
    • 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
    • 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
    • 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
  • B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
    ——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé.
  • D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
  • E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
    ——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- sx: activité psychomotrice

A
  • A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
    —–1. une humeur dépressive, soit
    —–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
    —–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.
    • 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
      ——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent).
    • 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
    • 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
    • 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
    • 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
    • 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
  • B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
    ——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé.
  • D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
  • E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
    ——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- sx: énergie

A
  • A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
    —–1. une humeur dépressive, soit
    —–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
    —–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.
    • 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
      ——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent).
    • 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
    • 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
    • 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
    • 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
    • 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
  • B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
    ——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé.
  • D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
  • E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
    ——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- sx: sentiments

A
  • A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
    —–1. une humeur dépressive, soit
    —–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
    —–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.
    • 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
      ——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent).
    • 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
    • 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
    • 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
    • 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
    • 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
  • B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
    ——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé.
  • D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
  • E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
    ——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- sx: concentration

A
  • A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
    —–1. une humeur dépressive, soit
    —–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
    —–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.
    • 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
      ——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent).
    • 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
    • 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
    • 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
    • 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
    • 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
  • B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
    ——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé.
  • D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
  • E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
    ——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- sx: idées de mort

A
  • A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
    —–1. une humeur dépressive, soit
    —–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
    —–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.
    • 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
      ——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent).
    • 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
    • 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
    • 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
    • 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
    • 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
  • B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
    ——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé.
  • D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
  • E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
    ——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
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Q

Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- impacts

A
  • A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
    —–1. une humeur dépressive, soit
    —–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
    —–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.
    • 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
      ——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent).
    • 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
    • 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
    • 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
    • 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
    • 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
  • B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
    ——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé.
  • D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
  • E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
    ——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- exclure quoi?

A
  • A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
    —–1. une humeur dépressive, soit
    —–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
    —–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.
    • 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
      ——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent).
    • 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
    • 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
    • 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
    • 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
    • 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
  • B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
    ——–N.B. :Les critères A-C représentent un épisode dépressif caractérisé.
  • D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
  • E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
    ——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- critères épisode dépressif caractérisé

A
  • A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
    —–1. une humeur dépressive, soit
    —–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
    —–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.
    • 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
      ——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent).
    • 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
    • 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
    • 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
    • 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
    • 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
  • B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
    ——–N.B. :Les critères A-C représentent un épisode dépressif caractérisé.
  • D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
  • E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
    ——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- exclure quoi?

A
  • A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
    —–1. une humeur dépressive, soit
    —–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
    —–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.
    • 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
      ——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent).
    • 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
    • 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
    • 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
    • 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
    • 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
  • B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
    ——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé.
  • D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
  • E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
    ——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- manie / hypomanie

A
  • A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
    —–1. une humeur dépressive, soit
    —–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
    —–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.
    • 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
      ——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent).
    • 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
    • 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
    • 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
    • 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
    • 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
  • B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
    ——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé.
  • D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
  • E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
    ——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)

A
  • A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
    —–1. une humeur dépressive, soit
    —–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
    —–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.
    • 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
      ——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent).
    • 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
    • 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
    • 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
    • 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
    • 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
  • B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
    ——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé.
  • D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
  • E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
    ——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- symptômes: ne pas inclure quel sx?

A
  • A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
    —–1. une humeur dépressive, soit
    —–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
    —–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.
    • 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
      ——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent).
    • 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
    • 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
    • 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
    • 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
    • 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
  • B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
    ——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé.
  • D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
  • E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
    ——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- symptômes: nommez-les

A
  • A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
    —–1. une humeur dépressive, soit
    —–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
    —–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.
    • 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
      ——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent).
    • 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
    • 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
    • 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
    • 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
    • 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
  • B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
    ——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé.
  • D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
  • E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
    ——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- durée

A
  • A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
    —–1. une humeur dépressive, soit
    —–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
    —–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.
    • 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
      ——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent).
    • 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
    • 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
    • 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
    • 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
    • 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
    • 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
    • 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
  • B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
    ——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé.
  • D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
  • E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
    ——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur): Spécifications

A
  • Évolution
    • Épisode isolé
    • Épisode récurrent
  • Sévérité
    • Léger
    • Moyen
    • Grave
    • Avec caractéristiques psychotiques
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
    • Non spécifié
  • Spécifier le type:
    • Avec détresse anxieuse
    • Avec caractéristiques mixtes
    • Avec caractéristiques mélancoliques
    • Avec caractéristiques atypiques
    • Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
    • Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
    • Avec catatonie
    • Avec début dans le péripartum
    • Avec caractère saisonnier (épisodes récurrents seulement)
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur): Spécifications
- évolution

A
  • Évolution
    • Épisode isolé
    • Épisode récurrent
  • Sévérité
    • Léger
    • Moyen
    • Grave
    • Avec caractéristiques psychotiques
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
    • Non spécifié
  • Spécifier le type:
    • Avec détresse anxieuse
    • Avec caractéristiques mixtes
    • Avec caractéristiques mélancoliques
    • Avec caractéristiques atypiques
    • Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
    • Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
    • Avec catatonie
    • Avec début dans le péripartum
    • Avec caractère saisonnier (épisodes récurrents seulement)
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur): Spécifications
- sévérité

A
  • Évolution
    • Épisode isolé
    • Épisode récurrent
  • Sévérité
    • Léger
    • Moyen
    • Grave
    • Avec caractéristiques psychotiques
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
    • Non spécifié
  • Spécifier le type:
    • Avec détresse anxieuse
    • Avec caractéristiques mixtes
    • Avec caractéristiques mélancoliques
    • Avec caractéristiques atypiques
    • Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
    • Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
    • Avec catatonie
    • Avec début dans le péripartum
    • Avec caractère saisonnier (épisodes récurrents seulement)
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Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur): Spécifications
- type

A
  • Évolution
    • Épisode isolé
    • Épisode récurrent
  • Sévérité
    • Léger
    • Moyen
    • Grave
    • Avec caractéristiques psychotiques
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
    • Non spécifié
  • Spécifier le type:
    • Avec détresse anxieuse
    • Avec caractéristiques mixtes
    • Avec caractéristiques mélancoliques
    • Avec caractéristiques atypiques
    • Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
    • Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
    • Avec catatonie
    • Avec début dans le péripartum
    • Avec caractère saisonnier (épisodes récurrents seulement)
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57
Q

Épisode maniaque vs hypomaniaque

A
  • Les symptômes reliés à ces épisodes sont les mêmes.
  • Par contre, ils diffèrent selon la sévérité de ceux-ci.
  • Effectivement, un épisode maniaque amène une hospitalisation ou une altération marquée du fonctionnement, tandis qu’un épisode hypomaniaque s’accompagne de modifications du fonctionnement (ne fait pas d’actions amenant des conséquences graves par exemple).
  • De plus, il ne peut pas y avoir des symptômes psychotiques en hypomanie, contrairement aux épisodes de manies.
  • À noter : Il est cliniquement difficile de faire la différence entre les 2, puisque les patients ont généralement une faible autocritique lors de leurs épisodes maniaques. Les patients décrivent d’ailleurs souvent leurs épisodes comme moins intenses qu’ils le sont réellement, d’où l’avantage d’un avis externe.
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58
Q

Épisode maniaque vs hypomaniaque
- ressemblances

A
  • Les symptômes reliés à ces épisodes sont les mêmes.
  • Par contre, ils diffèrent selon la sévérité de ceux-ci.
  • Effectivement, un épisode maniaque amène une hospitalisation ou une altération marquée du fonctionnement, tandis qu’un épisode hypomaniaque s’accompagne de modifications du fonctionnement (ne fait pas d’actions amenant des conséquences graves par exemple).
  • De plus, il ne peut pas y avoir des symptômes psychotiques en hypomanie, contrairement aux épisodes de manies.
  • À noter : Il est cliniquement difficile de faire la différence entre les 2, puisque les patients ont généralement une faible autocritique lors de leurs épisodes maniaques. Les patients décrivent d’ailleurs souvent leurs épisodes comme moins intenses qu’ils le sont réellement, d’où l’avantage d’un avis externe.
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Q

Épisode maniaque vs hypomaniaque
- différences

A
  • Les symptômes reliés à ces épisodes sont les mêmes.
  • Par contre, ils diffèrent selon la sévérité de ceux-ci.
  • Effectivement, un épisode maniaque amène une hospitalisation ou une altération marquée du fonctionnement, tandis qu’un épisode hypomaniaque s’accompagne de modifications du fonctionnement (ne fait pas d’actions amenant des conséquences graves par exemple).
  • De plus, il ne peut pas y avoir des symptômes psychotiques en hypomanie, contrairement aux épisodes de manies.
  • À noter : Il est cliniquement difficile de faire la différence entre les 2, puisque les patients ont généralement une faible autocritique lors de leurs épisodes maniaques. Les patients décrivent d’ailleurs souvent leurs épisodes comme moins intenses qu’ils le sont réellement, d’où l’avantage d’un avis externe.
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Q

Épisode maniaque vs hypomaniaque
- altération fonctionnement

A
  • Les symptômes reliés à ces épisodes sont les mêmes.
  • Par contre, ils diffèrent selon la sévérité de ceux-ci.
  • Effectivement, un épisode maniaque amène une hospitalisation ou une altération marquée du fonctionnement, tandis qu’un épisode hypomaniaque s’accompagne de modifications du fonctionnement (ne fait pas d’actions amenant des conséquences graves par exemple).
  • De plus, il ne peut pas y avoir des symptômes psychotiques en hypomanie, contrairement aux épisodes de manies.
  • À noter : Il est cliniquement difficile de faire la différence entre les 2, puisque les patients ont généralement une faible autocritique lors de leurs épisodes maniaques. Les patients décrivent d’ailleurs souvent leurs épisodes comme moins intenses qu’ils le sont réellement, d’où l’avantage d’un avis externe.
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Q

Épisode maniaque vs hypomaniaque
- sx psychotiques

A
  • Les symptômes reliés à ces épisodes sont les mêmes.
  • Par contre, ils diffèrent selon la sévérité de ceux-ci.
  • Effectivement, un épisode maniaque amène une hospitalisation ou une altération marquée du fonctionnement, tandis qu’un épisode hypomaniaque s’accompagne de modifications du fonctionnement (ne fait pas d’actions amenant des conséquences graves par exemple).
  • De plus, il ne peut pas y avoir des symptômes psychotiques en hypomanie, contrairement aux épisodes de manies.
  • À noter : Il est cliniquement difficile de faire la différence entre les 2, puisque les patients ont généralement une faible autocritique lors de leurs épisodes maniaques. Les patients décrivent d’ailleurs souvent leurs épisodes comme moins intenses qu’ils le sont réellement, d’où l’avantage d’un avis externe.
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62
Q

Épisode maniaque vs hypomaniaque
- les différencier en clinique

A
  • Les symptômes reliés à ces épisodes sont les mêmes.
  • Par contre, ils diffèrent selon la sévérité de ceux-ci.
  • Effectivement, un épisode maniaque amène une hospitalisation ou une altération marquée du fonctionnement, tandis qu’un épisode hypomaniaque s’accompagne de modifications du fonctionnement (ne fait pas d’actions amenant des conséquences graves par exemple).
  • De plus, il ne peut pas y avoir des symptômes psychotiques en hypomanie, contrairement aux épisodes de manies.
  • À noter : Il est cliniquement difficile de faire la différence entre les 2, puisque les patients ont généralement une faible autocritique lors de leurs épisodes maniaques. Les patients décrivent d’ailleurs souvent leurs épisodes comme moins intenses qu’ils le sont réellement, d’où l’avantage d’un avis externe.
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63
Q

Épisode VS trouble: Les différencier

A
  • Donc, un trouble affectif est une maladie qui se diagnostique en considérant l’évolution de celle- ci.
  • Un épisode est une période circonscrite dans le temps et non un diagnostic.
  • C’est en identifiant quels sont les épisodes vécus et comment ceux-ci évoluent que l’on peut faire un diagnostic.
  • « Maintenant, vous aurez remarqué qu’à l’objectif PSY 102 à 104, on vous parle de troubles et non d’épisodes.
  • C’est que les troubles se diagnostiquent en déterminant quels sont les épisodes affectifs qu’un patient a eu dans sa vie jusqu’à maintenant. »
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64
Q

Épisode VS trouble: Comment se distinguent-ils?

A
  • Donc, un trouble affectif est une maladie qui se diagnostique en considérant l’évolution de celle- ci.
  • Un épisode est une période circonscrite dans le temps et non un diagnostic.
  • C’est en identifiant quels sont les épisodes vécus et comment ceux-ci évoluent que l’on peut faire un diagnostic.
  • « Maintenant, vous aurez remarqué qu’à l’objectif PSY 102 à 104, on vous parle de troubles et non d’épisodes.
  • C’est que les troubles se diagnostiquent en déterminant quels sont les épisodes affectifs qu’un patient a eu dans sa vie jusqu’à maintenant. »
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65
Q

Épisode VS trouble: Utilité d’identifier les troubles vécus et leur évolution

A
  • Donc, un trouble affectif est une maladie qui se diagnostique en considérant l’évolution de celle- ci.
  • Un épisode est une période circonscrite dans le temps et non un diagnostic.
  • C’est en identifiant quels sont les épisodes vécus et comment ceux-ci évoluent que l’on peut faire un diagnostic.
  • « Maintenant, vous aurez remarqué qu’à l’objectif PSY 102 à 104, on vous parle de troubles et non d’épisodes.
  • C’est que les troubles se diagnostiquent en déterminant quels sont les épisodes affectifs qu’un patient a eu dans sa vie jusqu’à maintenant. »
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66
Q

Types d’épisodes possibles pour les troubles

A
  • Trouble Bipolaire I :
    • Épisode maniaque (nécessaire)
    • Épisode hypomaniaque
    • Épisode dépressif caractérisé.
  • Trouble Bipolaire II :
    • Épisode hypomaniaque (nécessaire)
    • Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
  • Trouble Dépressif caractérisé
    • Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
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67
Q

Types d’épisodes possibles pour:
- Trouble bipolaire type 1

A
  • Trouble Bipolaire I :
    • Épisode maniaque (nécessaire)
    • Épisode hypomaniaque
    • Épisode dépressif caractérisé.
  • Trouble Bipolaire II :
    • Épisode hypomaniaque (nécessaire)
    • Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
  • Trouble Dépressif caractérisé
    • Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
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68
Q

Types d’épisodes nécessaires pour:
- Trouble bipolaire type 1

A
  • Trouble Bipolaire I :
    • Épisode maniaque (nécessaire)
    • Épisode hypomaniaque
    • Épisode dépressif caractérisé.
  • Trouble Bipolaire II :
    • Épisode hypomaniaque (nécessaire)
    • Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
  • Trouble Dépressif caractérisé
    • Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
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69
Q

Types d’épisodes possibles pour:
- Trouble bipolaire type 2

A
  • Trouble Bipolaire I :
    • Épisode maniaque (nécessaire)
    • Épisode hypomaniaque
    • Épisode dépressif caractérisé.
  • Trouble Bipolaire II :
    • Épisode hypomaniaque (nécessaire)
    • Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
  • Trouble Dépressif caractérisé
    • Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
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70
Q

Types d’épisodes nécessaires pour:
- Trouble bipolaire type 1

A
  • Trouble Bipolaire I :
    • Épisode maniaque (nécessaire)
    • Épisode hypomaniaque
    • Épisode dépressif caractérisé.
  • Trouble Bipolaire II :
    • Épisode hypomaniaque (nécessaire)
    • Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
  • Trouble Dépressif caractérisé
    • Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
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71
Q

Types d’épisodes possibles pour:
- Trouble dépressif caractérisé

A
  • Trouble Bipolaire I :
    • Épisode maniaque (nécessaire)
    • Épisode hypomaniaque
    • Épisode dépressif caractérisé.
  • Trouble Bipolaire II :
    • Épisode hypomaniaque (nécessaire)
    • Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
  • Trouble Dépressif caractérisé
    • Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
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72
Q

Types d’épisodes nécessaires pour:
- Trouble dépressif caractérisé

A
  • Trouble Bipolaire I :
    • Épisode maniaque (nécessaire)
    • Épisode hypomaniaque
    • Épisode dépressif caractérisé.
  • Trouble Bipolaire II :
    • Épisode hypomaniaque (nécessaire)
    • Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
  • Trouble Dépressif caractérisé
    • Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
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73
Q

Autre type d’épisode

A
  • Vous verrez qu’on parle parfois d’un autre type d’épisode : l’Épisode Mixte.
  • Sachez que cet épisode N’EXISTE PLUS dans le DSM-5.
  • Cependant, vous le verrez parfois dans les textes de référence et dans des dossiers de patients en clinique puisqu’un épisode mixte était considéré comme un épisode à part entière dans le DSM-IV.
  • Maintenant, on considère les aspects mixtes comme un spécificateur …
  • Mais qu’est-ce qu’un spécificateur ??? Lorsqu’on émet un diagnostic de trouble affectif, on nommera le trouble (la maladie) puis l’épisode actif (ou le plus récent). Ce n’est toutefois pas suffisant. Un peu comme dans les thèmes précédents, on ajoutera à notre diagnostic des spécificateurs. Les spécificateurs peuvent qualifier les épisodes (s’il y a des symptômes spécifiques présents ou en spécifiant sa sévérité) et ils peuvent qualifier l’évolution du trouble (en fonction du moment que survient un épisode par exemple).
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74
Q

Trouble de l’humeur: Épisode mixte

A
  • Vous verrez qu’on parle parfois d’un autre type d’épisode : l’Épisode Mixte.
  • Sachez que cet épisode N’EXISTE PLUS dans le DSM-5.
  • Cependant, vous le verrez parfois dans les textes de référence et dans des dossiers de patients en clinique puisqu’un épisode mixte était considéré comme un épisode à part entière dans le DSM-IV.
  • Maintenant, on considère les aspects mixtes comme un spécificateur …
  • Mais qu’est-ce qu’un spécificateur ??? Lorsqu’on émet un diagnostic de trouble affectif, on nommera le trouble (la maladie) puis l’épisode actif (ou le plus récent). Ce n’est toutefois pas suffisant. Un peu comme dans les thèmes précédents, on ajoutera à notre diagnostic des spécificateurs. Les spécificateurs peuvent qualifier les épisodes (s’il y a des symptômes spécifiques présents ou en spécifiant sa sévérité) et ils peuvent qualifier l’évolution du trouble (en fonction du moment que survient un épisode par exemple).
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75
Q

Épisode mixte: DSM-V

A
  • Vous verrez qu’on parle parfois d’un autre type d’épisode : l’Épisode Mixte.
  • Sachez que cet épisode N’EXISTE PLUS dans le DSM-5.
  • Cependant, vous le verrez parfois dans les textes de référence et dans des dossiers de patients en clinique puisqu’un épisode mixte était considéré comme un épisode à part entière dans le DSM-IV.
  • Maintenant, on considère les aspects mixtes comme un spécificateur …
  • Mais qu’est-ce qu’un spécificateur ??? Lorsqu’on émet un diagnostic de trouble affectif, on nommera le trouble (la maladie) puis l’épisode actif (ou le plus récent). Ce n’est toutefois pas suffisant. Un peu comme dans les thèmes précédents, on ajoutera à notre diagnostic des spécificateurs. Les spécificateurs peuvent qualifier les épisodes (s’il y a des symptômes spécifiques présents ou en spécifiant sa sévérité) et ils peuvent qualifier l’évolution du trouble (en fonction du moment que survient un épisode par exemple).
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76
Q

Épisode mixte: Spécificateur

A
  • Vous verrez qu’on parle parfois d’un autre type d’épisode : l’Épisode Mixte.
  • Sachez que cet épisode N’EXISTE PLUS dans le DSM-5.
  • Cependant, vous le verrez parfois dans les textes de référence et dans des dossiers de patients en clinique puisqu’un épisode mixte était considéré comme un épisode à part entière dans le DSM-IV.
  • Maintenant, on considère les aspects mixtes comme un spécificateur …
  • Mais qu’est-ce qu’un spécificateur ???
    • Lorsqu’on émet un diagnostic de trouble affectif, on nommera le trouble (la maladie) puis l’épisode actif (ou le plus récent).
    • Ce n’est toutefois pas suffisant. Un peu comme dans les thèmes précédents, on ajoutera à notre diagnostic des spécificateurs.
    • Les spécificateurs peuvent qualifier les épisodes (s’il y a des symptômes spécifiques présents ou en spécifiant sa sévérité) et ils peuvent qualifier l’évolution du trouble (en fonction du moment que survient un épisode par exemple).
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77
Q

Épisode mixte: Spécificateur
- c’est quoi?

A
  • Vous verrez qu’on parle parfois d’un autre type d’épisode : l’Épisode Mixte.
  • Sachez que cet épisode N’EXISTE PLUS dans le DSM-5.
  • Cependant, vous le verrez parfois dans les textes de référence et dans des dossiers de patients en clinique puisqu’un épisode mixte était considéré comme un épisode à part entière dans le DSM-IV.
  • Maintenant, on considère les aspects mixtes comme un spécificateur …
  • Mais qu’est-ce qu’un spécificateur ???
    • Lorsqu’on émet un diagnostic de trouble affectif, on nommera le trouble (la maladie) puis l’épisode actif (ou le plus récent).
    • Ce n’est toutefois pas suffisant. Un peu comme dans les thèmes précédents, on ajoutera à notre diagnostic des spécificateurs.
    • Les spécificateurs peuvent qualifier les épisodes (s’il y a des symptômes spécifiques présents ou en spécifiant sa sévérité) et ils peuvent qualifier l’évolution du trouble (en fonction du moment que survient un épisode par exemple).
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Q

Épisode mixte: Spécificateurs
- est-il nécessaire de les nommer?

A
  • Vous verrez qu’on parle parfois d’un autre type d’épisode : l’Épisode Mixte.
  • Sachez que cet épisode N’EXISTE PLUS dans le DSM-5.
  • Cependant, vous le verrez parfois dans les textes de référence et dans des dossiers de patients en clinique puisqu’un épisode mixte était considéré comme un épisode à part entière dans le DSM-IV.
  • Maintenant, on considère les aspects mixtes comme un spécificateur …
  • Mais qu’est-ce qu’un spécificateur ???
    • Lorsqu’on émet un diagnostic de trouble affectif, on nommera le trouble (la maladie) puis l’épisode actif (ou le plus récent).
    • Ce n’est toutefois pas suffisant. Un peu comme dans les thèmes précédents, on ajoutera à notre diagnostic des spécificateurs.
    • Les spécificateurs peuvent qualifier les épisodes (s’il y a des symptômes spécifiques présents ou en spécifiant sa sévérité) et ils peuvent qualifier l’évolution du trouble (en fonction du moment que survient un épisode par exemple).
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79
Q

Épisode mixte: Spécificateur
- utilité des spécificateurs

A
  • Vous verrez qu’on parle parfois d’un autre type d’épisode : l’Épisode Mixte.
  • Sachez que cet épisode N’EXISTE PLUS dans le DSM-5.
  • Cependant, vous le verrez parfois dans les textes de référence et dans des dossiers de patients en clinique puisqu’un épisode mixte était considéré comme un épisode à part entière dans le DSM-IV.
  • Maintenant, on considère les aspects mixtes comme un spécificateur …
  • Mais qu’est-ce qu’un spécificateur ???
    • Lorsqu’on émet un diagnostic de trouble affectif, on nommera le trouble (la maladie) puis l’épisode actif (ou le plus récent).
    • Ce n’est toutefois pas suffisant. Un peu comme dans les thèmes précédents, on ajoutera à notre diagnostic des spécificateurs.
    • Les spécificateurs peuvent qualifier les épisodes (s’il y a des symptômes spécifiques présents ou en spécifiant sa sévérité) et ils peuvent qualifier l’évolution du trouble (en fonction du moment que survient un épisode par exemple).
    • Regardez la section 18.4.4 (Lalonde page 380). Il vous montre l’ensemble des spécificateurs possibles pour un trouble affectif.
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80
Q

Épisode mixte: Spécificateur
- où les trouver?

A
  • Vous verrez qu’on parle parfois d’un autre type d’épisode : l’Épisode Mixte.
  • Sachez que cet épisode N’EXISTE PLUS dans le DSM-5.
  • Cependant, vous le verrez parfois dans les textes de référence et dans des dossiers de patients en clinique puisqu’un épisode mixte était considéré comme un épisode à part entière dans le DSM-IV.
  • Maintenant, on considère les aspects mixtes comme un spécificateur …
  • Mais qu’est-ce qu’un spécificateur ???
    • Lorsqu’on émet un diagnostic de trouble affectif, on nommera le trouble (la maladie) puis l’épisode actif (ou le plus récent).
    • Ce n’est toutefois pas suffisant. Un peu comme dans les thèmes précédents, on ajoutera à notre diagnostic des spécificateurs.
    • Les spécificateurs peuvent qualifier les épisodes (s’il y a des symptômes spécifiques présents ou en spécifiant sa sévérité) et ils peuvent qualifier l’évolution du trouble (en fonction du moment que survient un épisode par exemple).
    • Regardez la section 18.4.4 (Lalonde page 380). Il vous montre l’ensemble des spécificateurs possibles pour un trouble affectif.
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81
Q

Épisode mixte: Spécificateurs
- exemple

A
  • Un exemple : Une femme ayant eu deux épisodes maniaques dans le passé se présente à l’urgence avec tous les critères d’un épisode dépressif caractérisé, elle a des symptômes psychotiques congruents à l’humeur et des éléments mélancoliques.
  • Votre diagnostic sera probablement : « Trouble bipolaire de type I, Épisode dépressif caractérisé sévère avec éléments psychotiques congruents à l’humeur et caractéristiques mélancoliques », facile non ?!
  • Par ailleurs, lorsque vous avez regardé les critères des différents troubles plus tôt, vous aviez surement noté ces spécificateurs en bas de page!
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82
Q

Épisode mixte: Spécificateurs
- les apprendre par coeur?

A
  • Mais…, je lis dans votre esprit : « Oh mon Dieu !!! Devons-nous apprendre tous ces spécificateurs et ces critères par cœur ? »
  • Eh bien, vous devez pouvoir énumérer et reconnaitre les critères des trois épisodes affectifs (épisode dépressif, hypomaniaque et maniaque) ainsi que les critères des troubles nommés à l’objectif 6.2.
  • Pour les spécificateurs, je ne vous demande pas de connaître leurs critères de mémoire, mais bien d’avoir une idée générale de ce qu’ils sont.
  • Par ailleurs, il est important de connaître la comorbidité des troubles thymiques (Lalonde, page 384).
  • Bon, maintenant que ceci est clarifié, vous resterez attentif dans le texte à savoir si l’on vous parle des troubles affectifs en général, d’un trouble en particulier ou d’un épisode en particulier … débutons notre lecture du chapitre dans la joie et l’allégresse !
  • Nous vous proposons également le Tableau 1 à la fin de ce thème que vous pourrez remplir pour systématiser les informations retenues lors de vos lectures !
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83
Q

Trouble bipolaire: Synonymes

A
  • En passant, vous verrez en pratique que plusieurs terminologies font référence au trouble bipolaire.
  • L’abréviation TB pour trouble bipolaire utilisé dans le Lalonde n’est pas vraiment utilisée en clinique (À Québec du moins!) et il signifie davantage pour moi tuberculose!
  • Le terme plus fréquemment utilisé est Maladie Affective Bipolaire (MAB).
  • Vous verrez donc des MAB type I ou MAB type II dans les dossiers.
  • Les patients vous parleront également de maniaco- dépression ou de PMD (psycho-maniaco-dépression) … il faut toujours valider avec un patient ce qu’il veut dire puisque beaucoup de ces termes médicaux ne sont pas utilisés adéquatement dans la population générale.
  • Pensez au terme Manie qui, pour moi, signifie un épisode maniaque et qui, pour monsieur et madame tout le monde, signifie des comportements répétitifs ou habituels …
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84
Q

Épisode dépressif majeur: Autres termes utilisés pour le désigner

A
  • Par ailleurs, sur le plan terminologique, vous lirez parfois Dépression majeure ou épisode dépressif majeur…
  • C’est le terme utilisé en anglais et dans le DSM-IV en français.
  • Dans le DSM- V, ils semblent avoir traduit Major depression par Dépression caractérisée…
  • Considérez donc Dépression caractérisée et dépression majeure comme synonyme.
  • Sachez cependant que le terme Majeur n’est PAS en lien avec la sévérité.
  • On peut souffrir d’une dépression majeure légère !
  • Historiquement, dépression majeure vs dépression mineure faisait référence au nombre de symptômes différents impliqués dans l’épisode et non à leur intensité.
  • (Une dépression mineure, qui n’est pas un vrai diagnostic au point de vue du DSM, comptait moins de 5 critères ou symptômes).
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85
Q

Dépression caractérisée et dépression majeure: Différence

A
  • Par ailleurs, sur le plan terminologique, vous lirez parfois Dépression majeure ou épisode dépressif majeur…
  • C’est le terme utilisé en anglais et dans le DSM-IV en français.
  • Dans le DSM- V, ils semblent avoir traduit Major depression par Dépression caractérisée…
  • Considérez donc Dépression caractérisée et dépression majeure comme synonyme.
  • Sachez cependant que le terme Majeur n’est PAS en lien avec la sévérité.
  • On peut souffrir d’une dépression majeure légère !
  • Historiquement, dépression majeure vs dépression mineure faisait référence au nombre de symptômes différents impliqués dans l’épisode et non à leur intensité.
  • (Une dépression mineure, qui n’est pas un vrai diagnostic au point de vue du DSM, comptait moins de 5 critères ou symptômes).
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86
Q

Épisode dépressif majeur: Sévérité

A
  • Par ailleurs, sur le plan terminologique, vous lirez parfois Dépression majeure ou épisode dépressif majeur…
  • C’est le terme utilisé en anglais et dans le DSM-IV en français.
  • Dans le DSM- V, ils semblent avoir traduit Major depression par Dépression caractérisée…
  • Considérez donc Dépression caractérisée et dépression majeure comme synonyme.
  • Sachez cependant que le terme Majeur n’est PAS en lien avec la sévérité.
  • On peut souffrir d’une dépression majeure légère !
  • Historiquement, dépression majeure vs dépression mineure faisait référence au nombre de symptômes différents impliqués dans l’épisode et non à leur intensité.
  • (Une dépression mineure, qui n’est pas un vrai diagnostic au point de vue du DSM, comptait moins de 5 critères ou symptômes).
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87
Q

Épisode dépressif majeur: Différence avec mineur

A
  • Par ailleurs, sur le plan terminologique, vous lirez parfois Dépression majeure ou épisode dépressif majeur…
  • C’est le terme utilisé en anglais et dans le DSM-IV en français.
  • Dans le DSM- V, ils semblent avoir traduit Major depression par Dépression caractérisée…
  • Considérez donc Dépression caractérisée et dépression majeure comme synonyme.
  • Sachez cependant que le terme Majeur n’est PAS en lien avec la sévérité.
  • On peut souffrir d’une dépression majeure légère !
  • Historiquement, dépression majeure vs dépression mineure faisait référence au nombre de symptômes différents impliqués dans l’épisode et non à leur intensité.
  • (Une dépression mineure, qui n’est pas un vrai diagnostic au point de vue du DSM, comptait moins de 5 critères ou symptômes).
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88
Q

Troubles de l’humeur: Nommez-les

A
  • Les troubles bipolaires
    • Le trouble bipolaire I
    • Le trouble bipolaire II
    • Le trouble cyclothymique
  • Les troubles dépressifs
    • Le trouble dépressif caractérisé
    • Le trouble dépressif persistant
  • Les troubles dépressifs secondaires
    • Les troubles dépressifs ou bipolaires liés à une condition médicale
    • Les troubles dépressifs ou bipolaires liés à l’usage d’une substance
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Q

Troubles de l’humeur:
- Trouble bipolaire: nommez-les

A
  • Les troubles bipolaires
    • Le trouble bipolaire I
    • Le trouble bipolaire II
    • Le trouble cyclothymique
  • Les troubles dépressifs
    • Le trouble dépressif caractérisé
    • Le trouble dépressif persistant
  • Les troubles dépressifs secondaires
    • Les troubles dépressifs ou bipolaires liés à une condition médicale
    • Les troubles dépressifs ou bipolaires liés à l’usage d’une substance
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90
Q

Troubles de l’humeur: Nommez-les
- Troubles dépressifs: nommez-les

A
  • Les troubles bipolaires
    • Le trouble bipolaire I
    • Le trouble bipolaire II
    • Le trouble cyclothymique
  • Les troubles dépressifs
    • Le trouble dépressif caractérisé
    • Le trouble dépressif persistant
  • Les troubles dépressifs secondaires
    • Les troubles dépressifs ou bipolaires liés à une condition médicale
    • Les troubles dépressifs ou bipolaires liés à l’usage d’une substance
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91
Q

Troubles de l’humeur:
- Troubles dépressifs secondaidre: nommez-les

A
  • Les troubles bipolaires
    • Le trouble bipolaire I
    • Le trouble bipolaire II
    • Le trouble cyclothymique
  • Les troubles dépressifs
    • Le trouble dépressif caractérisé
    • Le trouble dépressif persistant
  • Les troubles dépressifs secondaires
    • Les troubles dépressifs ou bipolaires liés à une condition médicale
    • Les troubles dépressifs ou bipolaires liés à l’usage d’une substance
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92
Q

Troubles de l’humeur: Nommez les classes

A
  • Les troubles bipolaires
    • Le trouble bipolaire I
    • Le trouble bipolaire II
    • Le trouble cyclothymique
  • Les troubles dépressifs
    • Le trouble dépressif caractérisé
    • Le trouble dépressif persistant
  • Les troubles dépressifs secondaires
    • Les troubles dépressifs ou bipolaires liés à une condition médicale
    • Les troubles dépressifs ou bipolaires liés à l’usage d’une substance
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93
Q

Tr bipolaires: Concordance chez les jumeaux

A
  • 50 – 80 (chiffre accepté de 63) % de concordance jumeaux monozygotes
  • 10 – 30 % de concordance chez les jumeaux hétérozygotes
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94
Q

Tr bipolaires: Concordance chez les jumeaux
- Monozygotes

A
  • 50 – 80 (chiffre accepté de 63) % de concordance jumeaux monozygotes
  • 10 – 30 % de concordance chez les jumeaux hétérozygotes
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95
Q

Tr bipolaires: Concordance chez les jumeaux
- Hétérozygotes

A
  • 50 – 80 (chiffre accepté de 63) % de concordance jumeaux monozygotes
  • 10 – 30 % de concordance chez les jumeaux hétérozygotes
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96
Q

Tr bipolaires: Étiologies

A
  • Les études sur les jumeaux suggèrent une forte composante génétique avec une cause épigénétique (influencés ou non par l’environnement). On note d’ailleurs un risque X 10 si un membre de la famille du 1er degré est atteint.
  • On remarque des anomalies sur les systèmes des monoamines biogènes (DA, A, NA et 5HT) + plusieurs neuropeptides chez les patients.
  • Anomalies structurelles non spécifiques, mais anomalies en neuro-imagerie fonctionnelle au niveau du cortex antérieur, des circuits sous-corticaux, thalamo-corticaux et des noyaux gris qui corrèle avec l’état clinique de la maladie.
  • Phrase clé : Alors que les gènes confèrent une vulnérabilité pour favoriser l’apparition de la maladie (génétique), les facteurs environnement permettent ou non son expression (épigénétique).
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97
Q

Tr bipolaires: Importance de la génétique dans l’étiologie

A
  • Les études sur les jumeaux suggèrent une forte composante génétique avec une cause épigénétique (influencés ou non par l’environnement).
    • On note d’ailleurs un risque X 10 si un membre de la famille du 1er degré est atteint.
  • On remarque des anomalies sur les systèmes des monoamines biogènes (DA, A, NA et 5HT) + plusieurs neuropeptides chez les patients.
  • Anomalies structurelles non spécifiques, mais anomalies en neuro-imagerie fonctionnelle au niveau du cortex antérieur, des circuits sous-corticaux, thalamo-corticaux et des noyaux gris qui corrèle avec l’état clinique de la maladie.
  • Phrase clé : Alors que les gènes confèrent une vulnérabilité pour favoriser l’apparition de la maladie (génétique), les facteurs environnement permettent ou non son expression (épigénétique).
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98
Q

Tr bipolaires: Risque si membre du 1er degré est atteint

A
  • Les études sur les jumeaux suggèrent une forte composante génétique avec une cause épigénétique (influencés ou non par l’environnement).
    • On note d’ailleurs un risque X 10 si un membre de la famille du 1er degré est atteint.
  • On remarque des anomalies sur les systèmes des monoamines biogènes (DA, A, NA et 5HT) + plusieurs neuropeptides chez les patients.
  • Anomalies structurelles non spécifiques, mais anomalies en neuro-imagerie fonctionnelle au niveau du cortex antérieur, des circuits sous-corticaux, thalamo-corticaux et des noyaux gris qui corrèle avec l’état clinique de la maladie.
  • Phrase clé : Alors que les gènes confèrent une vulnérabilité pour favoriser l’apparition de la maladie (génétique), les facteurs environnement permettent ou non son expression (épigénétique).
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99
Q

Tr bipolaires: Cerveau des personnes atteintes

A
  • Les études sur les jumeaux suggèrent une forte composante génétique avec une cause épigénétique (influencés ou non par l’environnement).
    • On note d’ailleurs un risque X 10 si un membre de la famille du 1er degré est atteint.
  • On remarque des anomalies sur les systèmes des monoamines biogènes (DA, A, NA et 5HT) + plusieurs neuropeptides chez les patients.
  • Anomalies structurelles non spécifiques, mais anomalies en neuro-imagerie fonctionnelle au niveau du cortex antérieur, des circuits sous-corticaux, thalamo-corticaux et des noyaux gris qui corrèle avec l’état clinique de la maladie.
  • Phrase clé : Alors que les gènes confèrent une vulnérabilité pour favoriser l’apparition de la maladie (génétique), les facteurs environnement permettent ou non son expression (épigénétique).
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100
Q

Tr bipolaires: NT en cause

A
  • Les études sur les jumeaux suggèrent une forte composante génétique avec une cause épigénétique (influencés ou non par l’environnement).
    • On note d’ailleurs un risque X 10 si un membre de la famille du 1er degré est atteint.
  • On remarque des anomalies sur les systèmes des monoamines biogènes (DA, A, NA et 5HT) + plusieurs neuropeptides chez les patients.
  • Anomalies structurelles non spécifiques, mais anomalies en neuro-imagerie fonctionnelle au niveau du cortex antérieur, des circuits sous-corticaux, thalamo-corticaux et des noyaux gris qui corrèle avec l’état clinique de la maladie.
  • Phrase clé : Alors que les gènes confèrent une vulnérabilité pour favoriser l’apparition de la maladie (génétique), les facteurs environnement permettent ou non son expression (épigénétique).
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101
Q

Tr bipolaires: Neuro-imagerie
- régions du cerveau affectées

A
  • Les études sur les jumeaux suggèrent une forte composante génétique avec une cause épigénétique (influencés ou non par l’environnement).
    • On note d’ailleurs un risque X 10 si un membre de la famille du 1er degré est atteint.
  • On remarque des anomalies sur les systèmes des monoamines biogènes (DA, A, NA et 5HT) + plusieurs neuropeptides chez les patients.
  • Anomalies structurelles non spécifiques, mais anomalies en neuro-imagerie fonctionnelle au niveau du cortex antérieur, des circuits sous-corticaux, thalamo-corticaux et des noyaux gris qui corrèle avec l’état clinique de la maladie.
  • Phrase clé : Alors que les gènes confèrent une vulnérabilité pour favoriser l’apparition de la maladie (génétique), les facteurs environnement permettent ou non son expression (épigénétique).
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102
Q

Tr bipolaires: Structures du cerveau impliquées dans la physiopatho

A
  • Les études sur les jumeaux suggèrent une forte composante génétique avec une cause épigénétique (influencés ou non par l’environnement).
    • On note d’ailleurs un risque X 10 si un membre de la famille du 1er degré est atteint.
  • On remarque des anomalies sur les systèmes des monoamines biogènes (DA, A, NA et 5HT) + plusieurs neuropeptides chez les patients.
  • Anomalies structurelles non spécifiques, mais anomalies en neuro-imagerie fonctionnelle au niveau du cortex antérieur, des circuits sous-corticaux, thalamo-corticaux et des noyaux gris qui corrèle avec l’état clinique de la maladie.
  • Phrase clé : Alors que les gènes confèrent une vulnérabilité pour favoriser l’apparition de la maladie (génétique), les facteurs environnement permettent ou non son expression (épigénétique).
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103
Q

Tr bipolaires: Étiologie

A
  • Les études sur les jumeaux suggèrent une forte composante génétique avec une cause épigénétique (influencés ou non par l’environnement).
    • On note d’ailleurs un risque X 10 si un membre de la famille du 1er degré est atteint.
  • On remarque des anomalies sur les systèmes des monoamines biogènes (DA, A, NA et 5HT) + plusieurs neuropeptides chez les patients.
  • Anomalies structurelles non spécifiques, mais anomalies en neuro-imagerie fonctionnelle au niveau du cortex antérieur, des circuits sous-corticaux, thalamo-corticaux et des noyaux gris qui corrèle avec l’état clinique de la maladie.
  • Phrase clé : Alors que les gènes confèrent une vulnérabilité pour favoriser l’apparition de la maladie (génétique), les facteurs environnement permettent ou non son expression (épigénétique).
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104
Q

Tr bipolaires: Étiologies
- Gènes en jeu

A
  • Je ne vous demande PAS d’apprendre les gènes suspectés dans la maladie bipolaire.
  • Il est toutefois intéressant de remarquer qu’il y a des anomalies génétiques communes entre la schizophrénie et les TB, ce qui suggère un continuum du spectre de la psychose.
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105
Q

Tr bipolaire
- Kindling: Synonyme

A

En français

  • Embrasement
  • Sensibilisation
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106
Q

Tr bipolaire
- Kindling: C’est quoi?

A
  • Synonymes: embrasement ou sensibilisation en français
  • Mécanisme proposé pour expliquer le déclenchement des épisodes.
  • Il est fréquent qu’un premier épisode dépressif ou maniaque soit provoqué par un stresseur identifiable dans l’environnement (perte d’emploi, deuil, séparation, etc.).
  • Le MAB évolue ensuite de façon autonome, sans cause ou évènement déclenchant pour les épisodes subséquents.
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107
Q

Tr bipolaire
- Kindling: Lien avec épisodes

A
  • Synonymes: embrasement ou sensibilisation en français
  • Mécanisme proposé pour expliquer le déclenchement des épisodes.
  • Il est fréquent qu’un premier épisode dépressif ou maniaque soit provoqué par un stresseur identifiable dans l’environnement (perte d’emploi, deuil, séparation, etc.).
  • Le MAB évolue ensuite de façon autonome, sans cause ou évènement déclenchant pour les épisodes subséquents.
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108
Q

Tr bipolaire
- Kindling: ce qui cause le 1er épisode

A
  • Synonymes: embrasement ou sensibilisation en français
  • Mécanisme proposé pour expliquer le déclenchement des épisodes.
  • Il est fréquent qu’un premier épisode dépressif ou maniaque soit provoqué par un stresseur identifiable dans l’environnement (perte d’emploi, deuil, séparation, etc.).
  • Le MAB évolue ensuite de façon autonome, sans cause ou évènement déclenchant pour les épisodes subséquents.
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109
Q

Tr bipolaire
- Kindling: Évolution en lien avec le stresseur

A
  • Synonymes: embrasement ou sensibilisation en français
  • Mécanisme proposé pour expliquer le déclenchement des épisodes.
  • Il est fréquent qu’un premier épisode dépressif ou maniaque soit provoqué par un stresseur identifiable dans l’environnement (perte d’emploi, deuil, séparation, etc.).
  • Le MAB évolue ensuite de façon autonome, sans cause ou évènement déclenchant pour les épisodes subséquents.
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110
Q

Tr bipolaire: Ce qui fait la différence entre le type 1 et 2

A
  • La présence de manies.
  • Dans le TB type 2, il n’y a pas de manies, quoique la présence d’hypomanies soit requise (sinon nous sommes en présence d’un trouble unipolaire, soit dépressif).
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111
Q

Tr bipolaire: Dépression bipolaire vs dépression unipolaire

A
  • Une dépression bipolaire n’est PAS différente par sa nature cliniquement d’une dépression unipolaire.
  • Cependant, certains éléments soient plus fréquemment observés dans certains types.
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112
Q

Tr bipolaire: Dépression bipolaire vs dépression unipolaire
- bipolaire: symptômes

A
  • Début + rapide
  • Anhédonie plus marquée
  • Ralentissement psychomoteur
  • Symptômes psychotiques (souvent idées délirantes)
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113
Q

Tr bipolaire: Dépression bipolaire vs dépression unipolaire
- unipolaire: symptômes

A
  • Symptômes anxieux
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114
Q

Trouble cyclothymique: C’est quoi?

A
  • C’est un trouble bipolaire sans épisodes d’hypomanie franche.
  • C’est également plus que ça:
    • Puisqu’il y a peu d’informations sur cette pathologie spécifique, la colonne de cette pathologie du tableau (fin du document) a été retirée et l’information a été synthétisée ici.
    • Évolution spécifique : Peut être vue comme un trait qui met à risque d’évoluer vers une MAB.
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115
Q

Critères diagnostiques de la cyclothymie

A
  • A. Existence pendant au moins 2 ans (au moins 1 an chez les enfants et les adolescents) de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes hypomaniaques sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode hypomaniaque et de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes dépressifs sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode dépressif majeur.
  • B. Durant la période de 2 ans décrite ci-dessus (1 an chez les enfants et les adolescents), les périodes hypomaniaques et dépressives ont été présentes pendant au moins la moitié du temps et la personne n’a pas connu de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes.
  • C. Les critères pour un épisode dépressif caractérisé, maniaque ou hypomaniaque n’ont jamais été réunis.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas mieux expliqués par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou par un trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., une substance donnant lieu à abus, médicament) ou à une autre affection médicale (p. ex., hyperthyroïdie).
  • F. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
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116
Q

Critères diagnostiques de la cyclothymie: C’est quoi?

A
  • A. Existence pendant au moins 2 ans (au moins 1 an chez les enfants et les adolescents) de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes hypomaniaques sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode hypomaniaque et de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes dépressifs sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode dépressif majeur.
  • B. Durant la période de 2 ans décrite ci-dessus (1 an chez les enfants et les adolescents), les périodes hypomaniaques et dépressives ont été présentes pendant au moins la moitié du temps et la personne n’a pas connu de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes.
  • C. Les critères pour un épisode dépressif caractérisé, maniaque ou hypomaniaque n’ont jamais été réunis.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas mieux expliqués par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou par un trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., une substance donnant lieu à abus, médicament) ou à une autre affection médicale (p. ex., hyperthyroïdie).
  • F. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
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117
Q

Critères diagnostiques de la cyclothymie: durée

A
  • A. Existence pendant au moins 2 ans (au moins 1 an chez les enfants et les adolescents) de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes hypomaniaques sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode hypomaniaque et de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes dépressifs sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode dépressif majeur.
  • B. Durant la période de 2 ans décrite ci-dessus (1 an chez les enfants et les adolescents), les périodes hypomaniaques et dépressives ont été présentes pendant au moins la moitié du temps et la personne n’a pas connu de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes.
  • C. Les critères pour un épisode dépressif caractérisé, maniaque ou hypomaniaque n’ont jamais été réunis.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas mieux expliqués par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou par un trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., une substance donnant lieu à abus, médicament) ou à une autre affection médicale (p. ex., hyperthyroïdie).
  • F. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
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118
Q

Critères diagnostiques de la cyclothymie
- Épisodes

A
  • A. Existence pendant au moins 2 ans (au moins 1 an chez les enfants et les adolescents) de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes hypomaniaques sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode hypomaniaque et de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes dépressifs sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode dépressif majeur.
  • B. Durant la période de 2 ans décrite ci-dessus (1 an chez les enfants et les adolescents), les périodes hypomaniaques et dépressives ont été présentes pendant au moins la moitié du temps et la personne n’a pas connu de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes.
  • C. Les critères pour un épisode dépressif caractérisé, maniaque ou hypomaniaque n’ont jamais été réunis.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas mieux expliqués par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou par un trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., une substance donnant lieu à abus, médicament) ou à une autre affection médicale (p. ex., hyperthyroïdie).
  • F. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
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119
Q

Critères diagnostiques de la cyclothymie
- à la fréquence doivent être présents les symptômes?

A
  • A. Existence pendant au moins 2 ans (au moins 1 an chez les enfants et les adolescents) de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes hypomaniaques sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode hypomaniaque et de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes dépressifs sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode dépressif majeur.
  • B. Durant la période de 2 ans décrite ci-dessus (1 an chez les enfants et les adolescents), les périodes hypomaniaques et dépressives ont été présentes pendant au moins la moitié du temps et la personne n’a pas connu de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes.
  • C. Les critères pour un épisode dépressif caractérisé, maniaque ou hypomaniaque n’ont jamais été réunis.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas mieux expliqués par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou par un trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., une substance donnant lieu à abus, médicament) ou à une autre affection médicale (p. ex., hyperthyroïdie).
  • F. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
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120
Q

Critères diagnostiques de la cyclothymie
- exclure quoi?

A
  • A. Existence pendant au moins 2 ans (au moins 1 an chez les enfants et les adolescents) de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes hypomaniaques sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode hypomaniaque et de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes dépressifs sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode dépressif majeur.
  • B. Durant la période de 2 ans décrite ci-dessus (1 an chez les enfants et les adolescents), les périodes hypomaniaques et dépressives ont été présentes pendant au moins la moitié du temps et la personne n’a pas connu de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes.
  • C. Les critères pour un épisode dépressif caractérisé, maniaque ou hypomaniaque n’ont jamais été réunis.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas mieux expliqués par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou par un trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., une substance donnant lieu à abus, médicament) ou à une autre affection médicale (p. ex., hyperthyroïdie).
  • F. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
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121
Q

Critères diagnostiques de la cyclothymie
- impacts

A
  • A. Existence pendant au moins 2 ans (au moins 1 an chez les enfants et les adolescents) de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes hypomaniaques sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode hypomaniaque et de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes dépressifs sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode dépressif majeur.
  • B. Durant la période de 2 ans décrite ci-dessus (1 an chez les enfants et les adolescents), les périodes hypomaniaques et dépressives ont été présentes pendant au moins la moitié du temps et la personne n’a pas connu de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes.
  • C. Les critères pour un épisode dépressif caractérisé, maniaque ou hypomaniaque n’ont jamais été réunis.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas mieux expliqués par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou par un trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., une substance donnant lieu à abus, médicament) ou à une autre affection médicale (p. ex., hyperthyroïdie).
  • F. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
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122
Q

Tr cyclothymique: Évolution spécifique

A
  • C’est un trouble bipolaire sans épisodes d’hypomanie franche.
  • C’est également plus que ça:
    • Puisqu’il y a peu d’informations sur cette pathologie spécifique, la colonne de cette pathologie du tableau (fin du document) a été retirée et l’information a été synthétisée ici.
    • Évolution spécifique : Peut être vue comme un trait qui met à risque d’évoluer vers une MAB.
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123
Q

Tr bipolaire: Que penser de la notion de mixité comme spécificateur?

A
  • Dans le DSM-5, la notion de mixité est utilisée lorsqu’il y a des éléments subsyndromiques du pôle opposé.
  • Cette notion satisfait pleinement la notion de spectre bipolaire.
  • Par contre, cette notion de mixité rend la distinction entre un TB et un trouble dépressif majeur beaucoup moins claire
  • Exemple : un patient peut souffrir d’un trouble dépressif majeur avec caractéristiques mixtes, donc des caractéristiques de manies, sans présenter les critères d’un TB.
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124
Q

Tr bipolaire: Que penser de la notion de mixité comme spécificateur?
- avantages

A
  • Dans le DSM-5, la notion de mixité est utilisée lorsqu’il y a des éléments subsyndromiques du pôle opposé.
  • Cette notion satisfait pleinement la notion de spectre bipolaire.
  • Par contre, cette notion de mixité rend la distinction entre un TB et un trouble dépressif majeur beaucoup moins claire
  • Exemple : un patient peut souffrir d’un trouble dépressif majeur avec caractéristiques mixtes, donc des caractéristiques de manies, sans présenter les critères d’un TB.
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125
Q

Tr bipolaire: Que penser de la notion de mixité comme spécificateur?
- inconvénients

A
  • Dans le DSM-5, la notion de mixité est utilisée lorsqu’il y a des éléments subsyndromiques du pôle opposé.
  • Cette notion satisfait pleinement la notion de spectre bipolaire.
  • Par contre, cette notion de mixité rend la distinction entre un TB et un trouble dépressif majeur beaucoup moins claire
  • Exemple : un patient peut souffrir d’un trouble dépressif majeur avec caractéristiques mixtes, donc des caractéristiques de manies, sans présenter les critères d’un TB.
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126
Q

Tr bipolaire: Spectre bipolaire

A
  • Le spectre bipolaire réfère à des troubles de l’humeur qui ne répondent pas aux critères de TB type 1 et 2, mais qui semble en partager plusieurs caractéristiques.
  • Puisqu’il est souvent difficile de délimiter la frontière entre les troubles dépressifs majeurs récurrents et les troubles bipolaires, certains proposent la notion de spectre plutôt qu’une dichotomie entre ces troubles « unipolaire » et « bipolaire ».
  • Les tempéraments d’Akiskal ne font pas partie des objectifs de ce cours.
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127
Q

Tr bipolaire: Spectre bipolaire
- définir

A
  • Le spectre bipolaire réfère à des troubles de l’humeur qui ne répondent pas aux critères de TB type 1 et 2, mais qui semble en partager plusieurs caractéristiques.
  • Puisqu’il est souvent difficile de délimiter la frontière entre les troubles dépressifs majeurs récurrents et les troubles bipolaires, certains proposent la notion de spectre plutôt qu’une dichotomie entre ces troubles « unipolaire » et « bipolaire ».
  • Les tempéraments d’Akiskal ne font pas partie des objectifs de ce cours.
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128
Q

Tr bipolaire: Spectre bipolaire
- utilité

A
  • Le spectre bipolaire réfère à des troubles de l’humeur qui ne répondent pas aux critères de TB type 1 et 2, mais qui semble en partager plusieurs caractéristiques.
  • Puisqu’il est souvent difficile de délimiter la frontière entre les troubles dépressifs majeurs récurrents et les troubles bipolaires, certains proposent la notion de spectre plutôt qu’une dichotomie entre ces troubles « unipolaire » et « bipolaire ».
  • Les tempéraments d’Akiskal ne font pas partie des objectifs de ce cours.
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129
Q

Tr bipolaire: Comorbidités

A
  • La comorbidité constitue la règle plutôt que l’exception.
  • On note d’ailleurs l’abus de substances, les trouble anxieux, les TP (particulièrement TPL) ainsi que plusieurs problèmes de santé physiques, tels les maladies CV, l’obésité, le diabète, les atteintes tyroïdiennes et les migraines.
  • Les mécanismes amenant les comorbidités physiques sont inconnus, mais l’hypothèse actuelle évoque un mécanisme inflammatoire commun.
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130
Q

Tr bipolaire: Comorbidités
- fréquence

A
  • La comorbidité constitue la règle plutôt que l’exception.
  • On note d’ailleurs l’abus de substances, les trouble anxieux, les TP (particulièrement TPL) ainsi que plusieurs problèmes de santé physiques, tels les maladies CV, l’obésité, le diabète, les atteintes tyroïdiennes et les migraines.
  • Les mécanismes amenant les comorbidités physiques sont inconnus, mais l’hypothèse actuelle évoque un mécanisme inflammatoire commun.
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131
Q

Tr bipolaire: Comorbidités
- nommez-les

A
  • La comorbidité constitue la règle plutôt que l’exception.
  • On note d’ailleurs l’abus de substances, les trouble anxieux, les TP (particulièrement TPL) ainsi que plusieurs problèmes de santé physiques, tels les maladies CV, l’obésité, le diabète, les atteintes tyroïdiennes et les migraines.
  • Les mécanismes amenant les comorbidités physiques sont inconnus, mais l’hypothèse actuelle évoque un mécanisme inflammatoire commun.
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132
Q

Tr bipolaire: Comorbidités
- causes des comorbidités physiques

A
  • La comorbidité constitue la règle plutôt que l’exception.
  • On note d’ailleurs l’abus de substances, les trouble anxieux, les TP (particulièrement TPL) ainsi que plusieurs problèmes de santé physiques, tels les maladies CV, l’obésité, le diabète, les atteintes tyroïdiennes et les migraines.
  • Les mécanismes amenant les comorbidités physiques sont inconnus, mais l’hypothèse actuelle évoque un mécanisme inflammatoire commun.
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133
Q

Tr bipolaire vs tr schizoaffectif

A
  • Le trouble bipolaire et trouble schizoaffectif sont difficiles à différencier.
  • Il faut toutefois se rappeler que le trouble shizoaffectif est évoqué chez les patients présentant des épisodes clairement thymiques, mais chez qui persistent des symptômes psychotiques malgré une amélioration des symptômes thymiques.
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134
Q

Tr bipolaire vs tr schizoaffectif
- comment les différencier?

A
  • Le trouble bipolaire et trouble schizoaffectif sont difficiles à différencier.
  • Il faut toutefois se rappeler que le trouble shizoaffectif est évoqué chez les patients présentant des épisodes clairement thymiques, mais chez qui persistent des symptômes psychotiques malgré une amélioration des symptômes thymiques.
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135
Q

Tr bipolaire: Recommandations en lien avec les antidépresseurs

A
  • Il n’est PAS recommandé d’associer à la pharmacopée du patient atteint d’un trouble bipolaire, un antidépresseurs non-tricyclique.
  • Cependant, elle est parfois nécessaire.
  • Beaucoup plus de détails sont fournis suite au tableau à la fin de ce guide en ce qui a trait au traitement.
  • Il est par ailleurs à noter que les antidépresseurs tricycliques ont un grand potentiel de virage maniaque.
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136
Q

Tr bipolaire: Recommandations en lien avec les antidépresseurs
- risques associés

A
  • Il n’est PAS recommandé d’associer à la pharmacopée du patient atteint d’un trouble bipolaire, un antidépresseurs non-tricyclique.
  • Cependant, elle est parfois nécessaire.
  • Beaucoup plus de détails sont fournis suite au tableau à la fin de ce guide en ce qui a trait au traitement.
  • Il est par ailleurs à noter que les antidépresseurs tricycliques ont un grand potentiel de virage maniaque.
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137
Q

Tr bipolaire: Rechutes

A
  • Les rechutes sont fréquentes, et la médication est souvent indiquée pour les prévenir.
  • Elle est principalement composée d’un stabilisateur de l’humeur, la majorité du temps le lithium (Rx considérés efficaces : lithium, acide valproïque, carbamazépine, lamotrigine, A2G).
  • Malheureusement, les patients acceptent rarement d’utiliser la médication pour prévenir les rechutes.
  • On peut aborder la prévention des rechutes au niveau de la psychothérapie et de la psychoéducation afin que le patient accepte pleinement sa maladie.
  • Au niveau de la psychoéducation, il faut fournir des informations au niveau de la maladie, son traitement, les facteurs de risque, les symptômes de rechutes, l’importance d’une régularité du rythme veille-sommeil et de l’adhésion au traitement pharmacologique.
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138
Q

Tr bipolaire: Rechutes
- leur fréquence

A
  • Les rechutes sont fréquentes, et la médication est souvent indiquée pour les prévenir.
  • Elle est principalement composée d’un stabilisateur de l’humeur, la majorité du temps le lithium (Rx considérés efficaces : lithium, acide valproïque, carbamazépine, lamotrigine, A2G).
  • Malheureusement, les patients acceptent rarement d’utiliser la médication pour prévenir les rechutes.
  • On peut aborder la prévention des rechutes au niveau de la psychothérapie et de la psychoéducation afin que le patient accepte pleinement sa maladie.
  • Au niveau de la psychoéducation, il faut fournir des informations au niveau de la maladie, son traitement, les facteurs de risque, les symptômes de rechutes, l’importance d’une régularité du rythme veille-sommeil et de l’adhésion au traitement pharmacologique.
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139
Q

Tr bipolaire: Rechutes
- comment les prévenir?

A
  • Les rechutes sont fréquentes, et la médication est souvent indiquée pour les prévenir.
  • Elle est principalement composée d’un stabilisateur de l’humeur, la majorité du temps le lithium (Rx considérés efficaces : lithium, acide valproïque, carbamazépine, lamotrigine, A2G).
  • Malheureusement, les patients acceptent rarement d’utiliser la médication pour prévenir les rechutes.
  • On peut aborder la prévention des rechutes au niveau de la psychothérapie et de la psychoéducation afin que le patient accepte pleinement sa maladie.
  • Au niveau de la psychoéducation, il faut fournir des informations au niveau de la maladie, son traitement, les facteurs de risque, les symptômes de rechutes, l’importance d’une régularité du rythme veille-sommeil et de l’adhésion au traitement pharmacologique.
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140
Q

Tr bipolaire: Rechutes
- médication pour les prévenir

A
  • Les rechutes sont fréquentes, et la médication est souvent indiquée pour les prévenir.
  • Elle est principalement composée d’un stabilisateur de l’humeur, la majorité du temps le lithium (Rx considérés efficaces : lithium, acide valproïque, carbamazépine, lamotrigine, A2G).
  • Malheureusement, les patients acceptent rarement d’utiliser la médication pour prévenir les rechutes.
  • On peut aborder la prévention des rechutes au niveau de la psychothérapie et de la psychoéducation afin que le patient accepte pleinement sa maladie.
  • Au niveau de la psychoéducation, il faut fournir des informations au niveau de la maladie, son traitement, les facteurs de risque, les symptômes de rechutes, l’importance d’une régularité du rythme veille-sommeil et de l’adhésion au traitement pharmacologique.
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141
Q

Tr bipolaire: Rechutes
- attitude des patients face à la médication

A
  • Les rechutes sont fréquentes, et la médication est souvent indiquée pour les prévenir.
  • Elle est principalement composée d’un stabilisateur de l’humeur, la majorité du temps le lithium (Rx considérés efficaces : lithium, acide valproïque, carbamazépine, lamotrigine, A2G).
  • Malheureusement, les patients acceptent rarement d’utiliser la médication pour prévenir les rechutes.
  • On peut aborder la prévention des rechutes au niveau de la psychothérapie et de la psychoéducation afin que le patient accepte pleinement sa maladie.
  • Au niveau de la psychoéducation, il faut fournir des informations au niveau de la maladie, son traitement, les facteurs de risque, les symptômes de rechutes, l’importance d’une régularité du rythme veille-sommeil et de l’adhésion au traitement pharmacologique.
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142
Q

Tr bipolaire: Rechutes
- psychothérapie

A
  • Les rechutes sont fréquentes, et la médication est souvent indiquée pour les prévenir.
  • Elle est principalement composée d’un stabilisateur de l’humeur, la majorité du temps le lithium (Rx considérés efficaces : lithium, acide valproïque, carbamazépine, lamotrigine, A2G).
  • Malheureusement, les patients acceptent rarement d’utiliser la médication pour prévenir les rechutes.
  • On peut aborder la prévention des rechutes au niveau de la psychothérapie et de la psychoéducation afin que le patient accepte pleinement sa maladie.
  • Au niveau de la psychoéducation, il faut fournir des informations au niveau de la maladie, son traitement, les facteurs de risque, les symptômes de rechutes, l’importance d’une régularité du rythme veille-sommeil et de l’adhésion au traitement pharmacologique.
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143
Q

Tr bipolaire: Rechutes
- ce en quoi consiste la psychothérapie

A
  • Les rechutes sont fréquentes, et la médication est souvent indiquée pour les prévenir.
  • Elle est principalement composée d’un stabilisateur de l’humeur, la majorité du temps le lithium (Rx considérés efficaces : lithium, acide valproïque, carbamazépine, lamotrigine, A2G).
  • Malheureusement, les patients acceptent rarement d’utiliser la médication pour prévenir les rechutes.
  • On peut aborder la prévention des rechutes au niveau de la psychothérapie et de la psychoéducation afin que le patient accepte pleinement sa maladie.
  • Au niveau de la psychoéducation, il faut fournir des informations au niveau de la maladie, son traitement, les facteurs de risque, les symptômes de rechutes, l’importance d’une régularité du rythme veille-sommeil et de l’adhésion au traitement pharmacologique.
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144
Q

Tr dépressif: Épidémiologie

A
  • La dépression a une prévalence annuelle de 4.1 – 4.8 % par an au Canada (2002) chez l’adulte, et de 4 – 9 % chez l’adolescent, pour une prévalence à vie de 15 %.
  • Elle est surreprésentée chez les femmes (ratio 1.5 – 3 F : 1 H sauf chez les enfants d’âge préscolaire ou le ratio est pratiquement neutre) et arrive de façon médiane à 27 ans.
  • Plus de 40 % des patients souffrant de dépression présentent un premier épisode avant 21 ans.
  • Il est à noter que selon l’OMS, la dépression est la première cause d’année de vie vécue avec une incapacité et représentera en 2020 la première cause de morbidité dans les pays développés.
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145
Q

Tr dépressif: Épidémio
- prévalence annuelle

A
  • La dépression a une prévalence annuelle de 4.1 – 4.8 % par an au Canada (2002) chez l’adulte, et de 4 – 9 % chez l’adolescent, pour une prévalence à vie de 15 %.
  • Elle est surreprésentée chez les femmes (ratio 1.5 – 3 F : 1 H sauf chez les enfants d’âge préscolaire ou le ratio est pratiquement neutre) et arrive de façon médiane à 27 ans.
  • Plus de 40 % des patients souffrant de dépression présentent un premier épisode avant 21 ans.
  • Il est à noter que selon l’OMS, la dépression est la première cause d’année de vie vécue avec une incapacité et représentera en 2020 la première cause de morbidité dans les pays développés.
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146
Q

Tr dépressif: Épidémio
- prévalence: adultes vs ados

A
  • La dépression a une prévalence annuelle de 4.1 – 4.8 % par an au Canada (2002) chez l’adulte, et de 4 – 9 % chez l’adolescent, pour une prévalence à vie de 15 %.
  • Elle est surreprésentée chez les femmes (ratio 1.5 – 3 F : 1 H sauf chez les enfants d’âge préscolaire ou le ratio est pratiquement neutre) et arrive de façon médiane à 27 ans.
  • Plus de 40 % des patients souffrant de dépression présentent un premier épisode avant 21 ans.
  • Il est à noter que selon l’OMS, la dépression est la première cause d’année de vie vécue avec une incapacité et représentera en 2020 la première cause de morbidité dans les pays développés.
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147
Q

Tr dépressif: Épidémio
- prévalence à vie

A
  • La dépression a une prévalence annuelle de 4.1 – 4.8 % par an au Canada (2002) chez l’adulte, et de 4 – 9 % chez l’adolescent, pour une prévalence à vie de 15 %.
  • Elle est surreprésentée chez les femmes (ratio 1.5 – 3 F : 1 H sauf chez les enfants d’âge préscolaire ou le ratio est pratiquement neutre) et arrive de façon médiane à 27 ans.
  • Plus de 40 % des patients souffrant de dépression présentent un premier épisode avant 21 ans.
  • Il est à noter que selon l’OMS, la dépression est la première cause d’année de vie vécue avec une incapacité et représentera en 2020 la première cause de morbidité dans les pays développés.
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148
Q

Tr dépressif: Épidémio
- H vs F

A
  • La dépression a une prévalence annuelle de 4.1 – 4.8 % par an au Canada (2002) chez l’adulte, et de 4 – 9 % chez l’adolescent, pour une prévalence à vie de 15 %.
  • Elle est surreprésentée chez les femmes (ratio 1.5 – 3 F : 1 H sauf chez les enfants d’âge préscolaire ou le ratio est pratiquement neutre) et arrive de façon médiane à 27 ans.
  • Plus de 40 % des patients souffrant de dépression présentent un premier épisode avant 21 ans.
  • Il est à noter que selon l’OMS, la dépression est la première cause d’année de vie vécue avec une incapacité et représentera en 2020 la première cause de morbidité dans les pays développés.
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149
Q

Tr dépressif: Épidémio
- H vs F: enfants vs adultes

A
  • La dépression a une prévalence annuelle de 4.1 – 4.8 % par an au Canada (2002) chez l’adulte, et de 4 – 9 % chez l’adolescent, pour une prévalence à vie de 15 %.
  • Elle est surreprésentée chez les femmes (ratio 1.5 – 3 F : 1 H sauf chez les enfants d’âge préscolaire ou le ratio est pratiquement neutre) et arrive de façon médiane à 27 ans.
  • Plus de 40 % des patients souffrant de dépression présentent un premier épisode avant 21 ans.
  • Il est à noter que selon l’OMS, la dépression est la première cause d’année de vie vécue avec une incapacité et représentera en 2020 la première cause de morbidité dans les pays développés.
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150
Q

Tr dépressif: Épidémio
- âge

A
  • La dépression a une prévalence annuelle de 4.1 – 4.8 % par an au Canada (2002) chez l’adulte, et de 4 – 9 % chez l’adolescent, pour une prévalence à vie de 15 %.
  • Elle est surreprésentée chez les femmes (ratio 1.5 – 3 F : 1 H sauf chez les enfants d’âge préscolaire ou le ratio est pratiquement neutre) et arrive de façon médiane à 27 ans.
  • Plus de 40 % des patients souffrant de dépression présentent un premier épisode avant 21 ans.
  • Il est à noter que selon l’OMS, la dépression est la première cause d’année de vie vécue avec une incapacité et représentera en 2020 la première cause de morbidité dans les pays développés.
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151
Q

Tr dépressif: Épidémio
- quand arrive le 1er épisode?

A
  • La dépression a une prévalence annuelle de 4.1 – 4.8 % par an au Canada (2002) chez l’adulte, et de 4 – 9 % chez l’adolescent, pour une prévalence à vie de 15 %.
  • Elle est surreprésentée chez les femmes (ratio 1.5 – 3 F : 1 H sauf chez les enfants d’âge préscolaire ou le ratio est pratiquement neutre) et arrive de façon médiane à 27 ans.
  • Plus de 40 % des patients souffrant de dépression présentent un premier épisode avant 21 ans.
  • Il est à noter que selon l’OMS, la dépression est la première cause d’année de vie vécue avec une incapacité et représentera en 2020 la première cause de morbidité dans les pays développés.
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152
Q

Tr dépressif: Épidémio
- impacts sur la vie de la personne atteinte

A
  • La dépression a une prévalence annuelle de 4.1 – 4.8 % par an au Canada (2002) chez l’adulte, et de 4 – 9 % chez l’adolescent, pour une prévalence à vie de 15 %.
  • Elle est surreprésentée chez les femmes (ratio 1.5 – 3 F : 1 H sauf chez les enfants d’âge préscolaire ou le ratio est pratiquement neutre) et arrive de façon médiane à 27 ans.
  • Plus de 40 % des patients souffrant de dépression présentent un premier épisode avant 21 ans.
  • Il est à noter que selon l’OMS, la dépression est la première cause d’année de vie vécue avec une incapacité et représentera en 2020 la première cause de morbidité dans les pays développés.
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153
Q

Tr dépressif vs MAB: Place de la génétique dans l’étiologie

A
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Tr dépressif vs MAB: Place de la génétique dans l’étiologie
- Familiales 1er degré

A
  • Trouble dépressif caractérisé
    • Augmente le risque de 2 – 4 fois si un parent du premier degré souffre de dépression
  • MAB
    • Risque X 10 si membre de la famille du 1er degré atteint
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155
Q

Tr dépressif vs MAB: Place de la génétique dans l’étiologie
- Familiales 1er degré: Tr dépressif caractérisé

A
  • Trouble dépressif caractérisé
    • Augmente le risque de 2 – 4 fois si un parent du premier degré souffre de dépression
  • MAB
    • Risque X 10 si membre de la famille du 1er degré atteint
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156
Q

Tr dépressif vs MAB: Place de la génétique dans l’étiologie
- Familiales 1er degré: MAB

A
  • Trouble dépressif caractérisé
    • Augmente le risque de 2 – 4 fois si un parent du premier degré souffre de dépression
  • MAB
    • Risque X 10 si membre de la famille du 1er degré atteint
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157
Q

Tr dépressif vs MAB: Place de la génétique dans l’étiologie
- Jumeaux

A
  • Trouble dépressif caractérisé
    • 35 - 40 % de concordance chez les jumeaux homozygotes → on donne une part d’héritabilité de 35 % pour cette pathologie.
  • MAB
    • 50 - 80 (chiffre accepté de 63) % de concordance jumeaux monozygotes
    • 10 - 30 % de concordance chez les jumeaux hétérozygotes
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158
Q

Tr dépressif vs MAB: Place de la génétique dans l’étiologie
- Jumeaux: Tr dépressif caractérisé

A
  • Trouble dépressif caractérisé
    • 35 - 40 % de concordance chez les jumeaux homozygotes → on donne une part d’héritabilité de 35 % pour cette pathologie.
  • MAB
    • 50 - 80 (chiffre accepté de 63) % de concordance jumeaux monozygotes
    • 10 - 30 % de concordance chez les jumeaux hétérozygotes
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Q

Tr dépressif vs MAB: Place de la génétique dans l’étiologie
- Jumeaux: MAB

A
  • Trouble dépressif caractérisé
    • 35 - 40 % de concordance chez les jumeaux homozygotes → on donne une part d’héritabilité de 35 % pour cette pathologie.
  • MAB
    • 50 - 80 (chiffre accepté de 63) % de concordance jumeaux monozygotes
    • 10 - 30 % de concordance chez les jumeaux hétérozygotes
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Tr dépressif: Amines biogènes impliqués dans l’étiologie et le tx

A
  • Noradrénaline (relié à l’anxiété et l’hypervigilance)
  • Sérotonine (inappétence et troubles du sommeil)
  • Dopamine (ahnédonie et manque de motivation)
  • N.B. : les associations entre parenthèse sont spéculatives du livre.
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Q

Tr dépressif: Amines biogènes impliqués dans l’étiologie et le tx
- Rôle de la noradrénaline

A
  • Noradrénaline (relié à l’anxiété et l’hypervigilance)
  • Sérotonine (inappétence et troubles du sommeil)
  • Dopamine (ahnédonie et manque de motivation)
  • N.B. : les associations entre parenthèse sont spéculatives du livre.
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Q

Tr dépressif: Amines biogènes impliqués dans l’étiologie et le tx
- Rôle de la sérotonine

A
  • Noradrénaline (relié à l’anxiété et l’hypervigilance)
  • Sérotonine (inappétence et troubles du sommeil)
  • Dopamine (ahnédonie et manque de motivation)
  • N.B. : les associations entre parenthèse sont spéculatives du livre.
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Q

Tr dépressif: Amines biogènes impliqués dans l’étiologie et le tx
- Rôle de la dopamine

A
  • Noradrénaline (relié à l’anxiété et l’hypervigilance)
  • Sérotonine (inappétence et troubles du sommeil)
  • Dopamine (ahnédonie et manque de motivation)
  • N.B. : les associations entre parenthèse sont spéculatives du livre.
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Q

Tr dépressif: Étiologie
- Génétique

A
  • Chez les jumeaux homozygotes, on a une corrélation de 35-40 %, ce qui permet de déduire une part d’héritabilité de 35 %, malgré une transmission non mendélienne classique.
  • Le risque est de 2-4 X plus élevé chez un patient du 1er degré.
  • Par contre, plus la personne est âgée lors de son 1er épisode, moins la part génétique est grande.
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165
Q

Tr dépressif: Étiologie
- Génétique: jumeaux homozygotes

A
  • Chez les jumeaux homozygotes, on a une corrélation de 35-40 %, ce qui permet de déduire une part d’héritabilité de 35 %, malgré une transmission non mendélienne classique.
  • Le risque est de 2-4 X plus élevé chez un patient du 1er degré.
  • Par contre, plus la personne est âgée lors de son 1er épisode, moins la part génétique est grande.
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166
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Tr dépressif: Étiologie
- Génétique: corrélation jumeaux homozygotes

A
  • Chez les jumeaux homozygotes, on a une corrélation de 35-40 %, ce qui permet de déduire une part d’héritabilité de 35 %, malgré une transmission non mendélienne classique.
  • Le risque est de 2-4 X plus élevé chez un patient du 1er degré.
  • Par contre, plus la personne est âgée lors de son 1er épisode, moins la part génétique est grande.
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167
Q

Tr dépressif: Étiologie
- Génétique: risque si parent du 1er degré

A
  • Chez les jumeaux homozygotes, on a une corrélation de 35-40 %, ce qui permet de déduire une part d’héritabilité de 35 %, malgré une transmission non mendélienne classique.
  • Le risque est de 2-4 X plus élevé chez un patient du 1er degré.
  • Par contre, plus la personne est âgée lors de son 1er épisode, moins la part génétique est grande.
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168
Q

Tr dépressif: Étiologie
- Génétique: ce qui fait varier la part de la génétique

A
  • Chez les jumeaux homozygotes, on a une corrélation de 35-40 %, ce qui permet de déduire une part d’héritabilité de 35 %, malgré une transmission non mendélienne classique.
  • Le risque est de 2-4 X plus élevé chez un patient du 1er degré.
  • Par contre, plus la personne est âgée lors de son 1er épisode, moins la part génétique est grande.
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169
Q

Tr dépressif: Étiologie
- Biologie

A

Stress via la voie classique de l’axe HHS et de l’amygdale :

  • Probablement un des facteurs déclencheurs des épisodes.
  • Peut être un stress aigu ou chronique.
  • Rôle par l’épigénétique.
  • Taux anormalement élevé de cortisol (effet neurotoxique probable notamment au niveau de l’hippocampe).
  • Dysfonctionnement cérébral relié à une hyperactivité de l’amygdale et de l’axe HHS et une hypoactivité de l’hippocampe et du cortex préfrontal.
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170
Q

Tr dépressif: Étiologie
- Biologie: voies du stress impliquées

A

Stress via la voie classique de l’axe HHS et de l’amygdale :

  • Probablement un des facteurs déclencheurs des épisodes.
  • Peut être un stress aigu ou chronique.
  • Rôle par l’épigénétique.
  • Taux anormalement élevé de cortisol (effet neurotoxique probable notamment au niveau de l’hippocampe).
  • Dysfonctionnement cérébral relié à une hyperactivité de l’amygdale et de l’axe HHS et une hypoactivité de l’hippocampe et du cortex préfrontal.
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171
Q

Tr dépressif: Étiologie
- Biologie: rôle du stress

A

Stress via la voie classique de l’axe HHS et de l’amygdale :

  • Probablement un des facteurs déclencheurs des épisodes.
  • Peut être un stress aigu ou chronique.
  • Rôle par l’épigénétique.
  • Taux anormalement élevé de cortisol (effet neurotoxique probable notamment au niveau de l’hippocampe).
  • Dysfonctionnement cérébral relié à une hyperactivité de l’amygdale et de l’axe HHS et une hypoactivité de l’hippocampe et du cortex préfrontal.
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172
Q

Tr dépressif: Étiologie
- Biologie: stress aigu ou chronique est en cause?

A

Stress via la voie classique de l’axe HHS et de l’amygdale :

  • Probablement un des facteurs déclencheurs des épisodes.
  • Peut être un stress aigu ou chronique.
  • Rôle par l’épigénétique.
  • Taux anormalement élevé de cortisol (effet neurotoxique probable notamment au niveau de l’hippocampe).
  • Dysfonctionnement cérébral relié à une hyperactivité de l’amygdale et de l’axe HHS et une hypoactivité de l’hippocampe et du cortex préfrontal.
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173
Q

Tr dépressif: Étiologie
- Biologie: rôle de l’épigénétique

A

Stress via la voie classique de l’axe HHS et de l’amygdale :

  • Probablement un des facteurs déclencheurs des épisodes.
  • Peut être un stress aigu ou chronique.
  • Rôle par l’épigénétique.
  • Taux anormalement élevé de cortisol (effet neurotoxique probable notamment au niveau de l’hippocampe).
  • Dysfonctionnement cérébral relié à une hyperactivité de l’amygdale et de l’axe HHS et une hypoactivité de l’hippocampe et du cortex préfrontal.
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174
Q

Tr dépressif: Étiologie
- Biologie: rôle du cortisol

A

Stress via la voie classique de l’axe HHS et de l’amygdale :

  • Probablement un des facteurs déclencheurs des épisodes.
  • Peut être un stress aigu ou chronique.
  • Rôle par l’épigénétique.
  • Taux anormalement élevé de cortisol (effet neurotoxique probable notamment au niveau de l’hippocampe).
  • Dysfonctionnement cérébral relié à une hyperactivité de l’amygdale et de l’axe HHS et une hypoactivité de l’hippocampe et du cortex préfrontal.
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175
Q

Tr dépressif: Étiologie
- Biologie: physiopatho du cortisol élevé

A

Stress via la voie classique de l’axe HHS et de l’amygdale :

  • Probablement un des facteurs déclencheurs des épisodes.
  • Peut être un stress aigu ou chronique.
  • Rôle par l’épigénétique.
  • Taux anormalement élevé de cortisol (effet neurotoxique probable notamment au niveau de l’hippocampe).
  • Dysfonctionnement cérébral relié à une hyperactivité de l’amygdale et de l’axe HHS et une hypoactivité de l’hippocampe et du cortex préfrontal.
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176
Q

Tr dépressif: Étiologie
- Biologie: structures du cerveau impliquées

A

Stress via la voie classique de l’axe HHS et de l’amygdale :

  • Probablement un des facteurs déclencheurs des épisodes.
  • Peut être un stress aigu ou chronique.
  • Rôle par l’épigénétique.
  • Taux anormalement élevé de cortisol (effet neurotoxique probable notamment au niveau de l’hippocampe).
  • Dysfonctionnement cérébral relié à une hyperactivité de l’amygdale et de l’axe HHS et une hypoactivité de l’hippocampe et du cortex préfrontal.
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177
Q

Tr dépressif: Étiologie
- Vie psychique

A
  • Rôle important autant au niveau protecteur que du risque.
  • Considération d’un facteur stresseur « les événements susceptibles d’induire un état dépressif sont ceux qui nous empêchent d’atteindre les buts et idéaux essentiels au maintien de notre estime personnelle. »
  • On voit donc une grande composante de subjectivité chez les patients face à leurs stresseurs.
  • On a d’ailleurs développé la triade dépressive (voir question 18).
    • Vision négative de soi-même (worthlessness)
    • Vision négative des événements (helplessness)
    • Aproche pessimiste de l’avenir (hopelessness).
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178
Q

Tr dépressif: Étiologie
- Vie psychique: son rôle

A
  • Rôle important autant au niveau protecteur que du risque.
  • Considération d’un facteur stresseur « les événements susceptibles d’induire un état dépressif sont ceux qui nous empêchent d’atteindre les buts et idéaux essentiels au maintien de notre estime personnelle. »
  • On voit donc une grande composante de subjectivité chez les patients face à leurs stresseurs.
  • On a d’ailleurs développé la triade dépressive (voir question 18).
    • Vision négative de soi-même (worthlessness)
    • Vision négative des événements (helplessness)
    • Aproche pessimiste de l’avenir (hopelessness).
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179
Q

Tr dépressif: Étiologie
- Vie psychique: type de facteur

A
  • Rôle important autant au niveau protecteur que du risque.
  • Considération d’un facteur stresseur « les événements susceptibles d’induire un état dépressif sont ceux qui nous empêchent d’atteindre les buts et idéaux essentiels au maintien de notre estime personnelle. »
  • On voit donc une grande composante de subjectivité chez les patients face à leurs stresseurs.
  • On a d’ailleurs développé la triade dépressive (voir question 18).
    • Vision négative de soi-même (worthlessness)
    • Vision négative des événements (helplessness)
    • Aproche pessimiste de l’avenir (hopelessness).
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180
Q

Tr dépressif: Étiologie
- Vie psychique: facteur stresseur

A
  • Rôle important autant au niveau protecteur que du risque.
  • Considération d’un facteur stresseur « les événements susceptibles d’induire un état dépressif sont ceux qui nous empêchent d’atteindre les buts et idéaux essentiels au maintien de notre estime personnelle. »
  • On voit donc une grande composante de subjectivité chez les patients face à leurs stresseurs.
  • On a d’ailleurs développé la triade dépressive (voir question 18).
    • Vision négative de soi-même (worthlessness)
    • Vision négative des événements (helplessness)
    • Aproche pessimiste de l’avenir (hopelessness).
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181
Q

Tr dépressif: Étiologie
- Vie psychique: subjectivité

A
  • Rôle important autant au niveau protecteur que du risque.
  • Considération d’un facteur stresseur « les événements susceptibles d’induire un état dépressif sont ceux qui nous empêchent d’atteindre les buts et idéaux essentiels au maintien de notre estime personnelle. »
  • On voit donc une grande composante de subjectivité chez les patients face à leurs stresseurs.
  • On a d’ailleurs développé la triade dépressive (voir question 18).
    • Vision négative de soi-même (worthlessness)
    • Vision négative des événements (helplessness)
    • Aproche pessimiste de l’avenir (hopelessness).
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182
Q

Tr dépressif: Étiologie
- Vie psychique: triade dépressive

A
  • Rôle important autant au niveau protecteur que du risque.
  • Considération d’un facteur stresseur « les événements susceptibles d’induire un état dépressif sont ceux qui nous empêchent d’atteindre les buts et idéaux essentiels au maintien de notre estime personnelle. »
  • On voit donc une grande composante de subjectivité chez les patients face à leurs stresseurs.
  • On a d’ailleurs développé la triade dépressive (voir question 18).
    • Vision négative de soi-même (worthlessness)
    • Vision négative des événements (helplessness)
    • Approche pessimiste de l’avenir (hopelessness).
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183
Q

Tr dépressif: Niveaux où on trouve des altérations

A

Altérations au niveau de:

  • l’humeur, de l’intérêt,
  • du poids,
  • du sommeil,
  • de l’activité psychomotrice,
  • de l’énergie,
  • de la culpabilité,
  • de la concentration,
  • des pensées de mort

(voir critères DSM-V)

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184
Q

Tr dépressif: Axe hormonal impliqué dans la pathogénèse

A
  • Axe hypophyso-surrénalien (HHS) qui serait hyperactif, entraînant des taux anormalement élevés de cortisol qui seraient neurotoxique sur certaines structures cérébrales, dont l’hippocampe, et qui inhiberait la production de BDNF.
  • (SCHÉMA EXTRÊMEMENT BIEN FAIT…!)
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185
Q

Tr dépressif: Rôle de l’axe HHS dans la pathogénèse

A
  • Axe hypophyso-surrénalien (HHS) qui serait hyperactif, entraînant des taux anormalement élevés de cortisol qui seraient neurotoxique sur certaines structures cérébrales, dont l’hippocampe, et qui inhiberait la production de BDNF.
  • (SCHÉMA EXTRÊMEMENT BIEN FAIT…!)
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186
Q

Tr dépressif: Modèle étiologique de la dépression

A
  • Stress
    • Deuils
    • Pertes
    • Conflits interpersonnels
    • Instabilité des rôles et de l’environnement
  • Structure psychologique
    • Estime de soi
    • Capacités d’adaptation et stratégies de résolution de problèmes
    • Mode relationnel
  • Vulnérabilité génétique
  • Axe HHS
  • Anomalies du BDNF
  • Perturbations des neurotransmetteurs
  • Symptômes cliniques de dépression
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187
Q

Triangle de Beck: C’est quoi?

A
  • Dans le tr dépressif
  • C’est une triade mentionnant 3 tendances d’un individu qui prédisposent à la dépression :
    • Vision négative de soi-même (worthlessness)
    • Vision négative des événements (helplessness)
    • Aproche pessimiste de l’avenir (hopelessness).
  • Aussi appelé: triade de Beck
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188
Q

Tr dépressif: Triangle de Beck

A
  • C’est une triade mentionnant 3 tendances d’un individu qui prédisposent à la dépression :
    • Vision négative de soi-même (worthlessness)
    • Vision négative des événements (helplessness)
    • Aproche pessimiste de l’avenir (hopelessness).
  • Aussi appelé: triade de Beck
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189
Q

Tr dépressif: Triangle de Beck
- éléments: nommez-les

A
  • C’est une triade mentionnant 3 tendances d’un individu qui prédisposent à la dépression :
    • Vision négative de soi-même (worthlessness)
    • Vision négative des événements (helplessness)
    • Aproche pessimiste de l’avenir (hopelessness).
  • Aussi appelé: triade de Beck
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190
Q

Tr dépressif: Facteur biologique
- chez les personnes âgées

A
  • Certains facteurs de risque sont plus propres aux personnes âgées, notamment les maladies cardiovasculaires et les anomalies métaboliques.
  • Il est à noter que l’apparition d’un trouble lors d’un âge plus avancé signifie une composante génétique moins importante.
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191
Q

Tr dépressif: Facteur génétique
- chez les personnes âgées

A
  • Certains facteurs de risque sont plus propres aux personnes âgées, notamment les maladies cardiovasculaires et les anomalies métaboliques.
  • Il est à noter que l’apparition d’un trouble lors d’un âge plus avancé signifie une composante génétique moins importante.
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192
Q

Tr dépressif: Explication
- Hypothèses psychodynamiques

A
  • Plusieurs auteurs ont tenté d’expliquer la dépression avec des hypothèses psychodynamiques puisque la vie psychique et la réaction des individus au stress joue un rôle important dans les réactions face aux stresseurs.
  • Effectivement, plusieurs pensent que les événements susceptibles d’induire un état dépressif sont ceux qui nous empêchent d’atteindre les buts et idéaux essentiels au maintien de notre estime personnelle.
  • Cette façon d’expliquer la dépression est critiquée puisque plusieurs pensent que ces pensées négatives sont souvent en fait une conséquence et non une cause de l’état dépressif.
  • Cette explication est quand même utile afin de bien comprendre le modèle multi-étiologique de la dépression.
  • Voici les théories principales avancées :
    • Freud et Abrahan : la perte d’un être cher peut provoquer des émotions négatives et le retournement de ces émotions contre soi sous forme de culpabilité contribue à la formation de la dépression
    • Bibring : la notion de l’estime de soi est au centre de la vie psychique, selon lequel les évènements qui empêchent d’atteindre les idéaux essentiels au maintien de notre estime personnel seraient en cause.
    • Seligman : élabore le concept d’impuissance acquise, dans lequel la répétition d’évènements négatifs peut mener la personne dans un état de passivité et la perte de motivation quant à son sort.
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193
Q

Tr dépressif: Explication
- Hypothèses psychodynamiques: ce qu’elles stipulent

A
  • Plusieurs auteurs ont tenté d’expliquer la dépression avec des hypothèses psychodynamiques puisque la vie psychique et la réaction des individus au stress joue un rôle important dans les réactions face aux stresseurs.
  • Effectivement, plusieurs pensent que les événements susceptibles d’induire un état dépressif sont ceux qui nous empêchent d’atteindre les buts et idéaux essentiels au maintien de notre estime personnelle.
  • Cette façon d’expliquer la dépression est critiquée puisque plusieurs pensent que ces pensées négatives sont souvent en fait une conséquence et non une cause de l’état dépressif.
  • Cette explication est quand même utile afin de bien comprendre le modèle multi-étiologique de la dépression.
  • Voici les théories principales avancées :
    • Freud et Abrahan : la perte d’un être cher peut provoquer des émotions négatives et le retournement de ces émotions contre soi sous forme de culpabilité contribue à la formation de la dépression
    • Bibring : la notion de l’estime de soi est au centre de la vie psychique, selon lequel les évènements qui empêchent d’atteindre les idéaux essentiels au maintien de notre estime personnel seraient en cause.
    • Seligman : élabore le concept d’impuissance acquise, dans lequel la répétition d’évènements négatifs peut mener la personne dans un état de passivité et la perte de motivation quant à son sort.
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194
Q

Tr dépressif: Explication
- Hypothèses psychodynamiques: critiques faites de cette vision

A
  • Plusieurs auteurs ont tenté d’expliquer la dépression avec des hypothèses psychodynamiques puisque la vie psychique et la réaction des individus au stress joue un rôle important dans les réactions face aux stresseurs.
  • Effectivement, plusieurs pensent que les événements susceptibles d’induire un état dépressif sont ceux qui nous empêchent d’atteindre les buts et idéaux essentiels au maintien de notre estime personnelle.
  • Cette façon d’expliquer la dépression est critiquée puisque plusieurs pensent que ces pensées négatives sont souvent en fait une conséquence et non une cause de l’état dépressif.
  • Cette explication est quand même utile afin de bien comprendre le modèle multi-étiologique de la dépression.
  • Voici les théories principales avancées :
    • Freud et Abrahan : la perte d’un être cher peut provoquer des émotions négatives et le retournement de ces émotions contre soi sous forme de culpabilité contribue à la formation de la dépression
    • Bibring : la notion de l’estime de soi est au centre de la vie psychique, selon lequel les évènements qui empêchent d’atteindre les idéaux essentiels au maintien de notre estime personnel seraient en cause.
    • Seligman : élabore le concept d’impuissance acquise, dans lequel la répétition d’évènements négatifs peut mener la personne dans un état de passivité et la perte de motivation quant à son sort.
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195
Q

Tr dépressif: Explication
- Hypothèses psychodynamiques: leur pertinence

A
  • Plusieurs auteurs ont tenté d’expliquer la dépression avec des hypothèses psychodynamiques puisque la vie psychique et la réaction des individus au stress joue un rôle important dans les réactions face aux stresseurs.
  • Effectivement, plusieurs pensent que les événements susceptibles d’induire un état dépressif sont ceux qui nous empêchent d’atteindre les buts et idéaux essentiels au maintien de notre estime personnelle.
  • Cette façon d’expliquer la dépression est critiquée puisque plusieurs pensent que ces pensées négatives sont souvent en fait une conséquence et non une cause de l’état dépressif.
  • Cette explication est quand même utile afin de bien comprendre le modèle multi-étiologique de la dépression.
  • Voici les théories principales avancées :
    • Freud et Abrahan : la perte d’un être cher peut provoquer des émotions négatives et le retournement de ces émotions contre soi sous forme de culpabilité contribue à la formation de la dépression
    • Bibring : la notion de l’estime de soi est au centre de la vie psychique, selon lequel les évènements qui empêchent d’atteindre les idéaux essentiels au maintien de notre estime personnel seraient en cause.
    • Seligman : élabore le concept d’impuissance acquise, dans lequel la répétition d’évènements négatifs peut mener la personne dans un état de passivité et la perte de motivation quant à son sort.
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196
Q

Tr dépressif: Explication
- Théories avancées: nommez-les

A
  • Voici les théories principales avancées :
    • Freud et Abrahan : la perte d’un être cher peut provoquer des émotions négatives et le retournement de ces émotions contre soi sous forme de culpabilité contribue à la formation de la dépression
    • Bibring : la notion de l’estime de soi est au centre de la vie psychique, selon lequel les évènements qui empêchent d’atteindre les idéaux essentiels au maintien de notre estime personnel seraient en cause.
    • Seligman : élabore le concept d’impuissance acquise, dans lequel la répétition d’évènements négatifs peut mener la personne dans un état de passivité et la perte de motivation quant à son sort.
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197
Q

Tr dépressif: Explication
- Théories avancées: Freud et Abrahan

A
  • Voici les théories principales avancées :
    • Freud et Abrahan : la perte d’un être cher peut provoquer des émotions négatives et le retournement de ces émotions contre soi sous forme de culpabilité contribue à la formation de la dépression
    • Bibring : la notion de l’estime de soi est au centre de la vie psychique, selon lequel les évènements qui empêchent d’atteindre les idéaux essentiels au maintien de notre estime personnel seraient en cause.
    • Seligman : élabore le concept d’impuissance acquise, dans lequel la répétition d’évènements négatifs peut mener la personne dans un état de passivité et la perte de motivation quant à son sort.
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198
Q

Tr dépressif: Explication
- Théories avancées: Bibring

A
  • Voici les théories principales avancées :
    • Freud et Abrahan : la perte d’un être cher peut provoquer des émotions négatives et le retournement de ces émotions contre soi sous forme de culpabilité contribue à la formation de la dépression
    • Bibring : la notion de l’estime de soi est au centre de la vie psychique, selon lequel les évènements qui empêchent d’atteindre les idéaux essentiels au maintien de notre estime personnel seraient en cause.
    • Seligman : élabore le concept d’impuissance acquise, dans lequel la répétition d’évènements négatifs peut mener la personne dans un état de passivité et la perte de motivation quant à son sort.
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199
Q

Tr dépressif: Explication
- Théories avancées: Seligman

A
  • Voici les théories principales avancées :
    • Freud et Abrahan : la perte d’un être cher peut provoquer des émotions négatives et le retournement de ces émotions contre soi sous forme de culpabilité contribue à la formation de la dépression
    • Bibring : la notion de l’estime de soi est au centre de la vie psychique, selon lequel les évènements qui empêchent d’atteindre les idéaux essentiels au maintien de notre estime personnel seraient en cause.
    • Seligman : élabore le concept d’impuissance acquise, dans lequel la répétition d’évènements négatifs peut mener la personne dans un état de passivité et la perte de motivation quant à son sort.
200
Q

Tr dépressif: Impuissance acquise
- synonyme

A
  • Impuissance apprise
201
Q

Tr dépressif: Impuissance acquise

A
  • L’impuissance acquise, concept élaboré en 1975 par Seligman, stipule que la répétition d’échecs ou d’expériences négatives peut amener la personne à la passivité et à la conviction qu’il ne sert à rien de tenter d’améliorer son sort.
  • On conçoit facilement qu’un tel état d’esprit puisse constituer un terrain favorable à la genèse d’un état dépressif.
202
Q

Tr dépressif: Impuissance acquise
- définition

A
  • L’impuissance acquise, concept élaboré en 1975 par Seligman, stipule que la répétition d’échecs ou d’expériences négatives peut amener la personne à la passivité et à la conviction qu’il ne sert à rien de tenter d’améliorer son sort.
  • On conçoit facilement qu’un tel état d’esprit puisse constituer un terrain favorable à la genèse d’un état dépressif.
203
Q

Tr dépressif: Impuissance acquise
- rôle dans la dépression

A
  • L’impuissance acquise, concept élaboré en 1975 par Seligman, stipule que la répétition d’échecs ou d’expériences négatives peut amener la personne à la passivité et à la conviction qu’il ne sert à rien de tenter d’améliorer son sort.
  • On conçoit facilement qu’un tel état d’esprit puisse constituer un terrain favorable à la genèse d’un état dépressif.
204
Q

Tr dépressif: Spécificateurs

A
  • Les pages 397-402 du Lalonde contiennent la description des troubles et spécificateurs discutés dans l’objectif précédent. Assurez-vous de connaitre en gros ce que représentent les spécificateurs puis passons aux caractéristiques cliniques!
  • N.B. : les spécificateurs de toutes les pathologies des troubles de l’humeur sont présents et expliqués à la fin de ce guide de lecture
205
Q

Épisode dépressif: État général du patient

A
  • Le patient sera fatigué, les patients souffrant presque toujours d’insomnie.
  • Il pourra avoir maigrit ou pris du poids et consulter pour des plaintes somatiques (la dépression s’accompagne souvent de plaintes somatiques).
206
Q

Épisode dépressif: Son humeur et affect

A
  • Le patient peut se présenter avec une humeur irritable voire colérique.
  • L’intérêt pour ses activités quotidiennes s’amenuise, le désir d’agir aussi, les sources habituelles de plaisir le laissent sans joie ; c’est l’anhédonie.
  • Ses affects peuvent être mobilisable si l’épisode dépressif n’est pas majeur, mais seront davantage limités et moins mobilisables lorsque l’épisode sera sévère.
207
Q

Épisode dépressif: Son humeur et affect
- son humeur

A
  • Le patient peut se présenter avec une humeur irritable voire colérique.
  • L’intérêt pour ses activités quotidiennes s’amenuise, le désir d’agir aussi, les sources habituelles de plaisir le laissent sans joie ; c’est l’anhédonie.
  • Ses affects peuvent être mobilisable si l’épisode dépressif n’est pas majeur, mais seront davantage limités et moins mobilisables lorsque l’épisode sera sévère.
208
Q

Épisode dépressif: Son humeur et affect
- définir anhédonie

A
  • Le patient peut se présenter avec une humeur irritable voire colérique.
  • L’intérêt pour ses activités quotidiennes s’amenuise, le désir d’agir aussi, les sources habituelles de plaisir le laissent sans joie ; c’est l’anhédonie.
  • Ses affects peuvent être mobilisable si l’épisode dépressif n’est pas majeur, mais seront davantage limités et moins mobilisables lorsque l’épisode sera sévère.
209
Q

Épisode dépressif: Son humeur et affect
- ses affects

A
  • Le patient peut se présenter avec une humeur irritable voire colérique.
  • L’intérêt pour ses activités quotidiennes s’amenuise, le désir d’agir aussi, les sources habituelles de plaisir le laissent sans joie ; c’est l’anhédonie.
  • Ses affects peuvent être mobilisable si l’épisode dépressif n’est pas majeur, mais seront davantage limités et moins mobilisables lorsque l’épisode sera sévère.
210
Q

Épisode dépressif: Discours du patient

A
  • En général, on observe une diminution de la vitesse de traitement de l’information, des difficultés attentionnelles et de concentration ainsi que des troubles de la mémoire de rappel.
  • Ceci peut influencer le discours ; celui-ci peut se dérouler plus lentement.
211
Q

Épisode dépressif: Distorsions perceptuelles du patient

A
  • Hallucinations/illusions: hallucinations possibles (si dépression psychotique)
212
Q

Épisode dépressif: Pensée du patient

A
  • Les pensées du patient deviennent moroses ; le patient déprimé se dit que rien de ses accomplissements ou de ses projets n’a de valeur, il s’autodéprécie.
  • Il se sent coupable et peut se reprocher sans cesse ses échecs et ses malheurs passés. Il envisage le futur tout aussi négativement, son rétablissement lui paraît improbable et le désespoir peut s’installer.
  • Le patient souffrant en vient souvent à penser à la mort et à la souhaiter.
213
Q

Épisode dépressif: Activité psychomotrice du patient

A

L’activité psychomotrice du patient dépressif est souvent altérée. On distingue une forme ralentie (la plus commune) et une forme plus anxieuse ou agitée :

  • Ralenti : Le patient parle peu, bouge et pense lentement, peine à se sortir du lit. Plus rarement, il s’enferme dans le mutisme et l’immobilité totale de la catatonie.
  • Anxieux/agité : Le patient peut parler plus vite, s’inquiéter de tout tandis que des pensées anxieuses et pessimistes se bousculent dans sa tête. Préoccupations et comportements phobiques, attaques de panique ou ruminations obsessives sont chose commune.
214
Q

Épisode dépressif: Fonctions cognitives du patient
- possibilités

A

L’activité psychomotrice du patient dépressif est souvent altérée. On distingue une forme ralentie (la plus commune) et une forme plus anxieuse ou agitée :

  • Ralenti : Le patient parle peu, bouge et pense lentement, peine à se sortir du lit. Plus rarement, il s’enferme dans le mutisme et l’immobilité totale de la catatonie.
  • Anxieux/agité : Le patient peut parler plus vite, s’inquiéter de tout tandis que des pensées anxieuses et pessimistes se bousculent dans sa tête. Préoccupations et comportements phobiques, attaques de panique ou ruminations obsessives sont chose commune.
215
Q

Épisode dépressif: Fonctions cognitives du patient
- décrire: ralenti

A

L’activité psychomotrice du patient dépressif est souvent altérée. On distingue une forme ralentie (la plus commune) et une forme plus anxieuse ou agitée :

  • Ralenti : Le patient parle peu, bouge et pense lentement, peine à se sortir du lit. Plus rarement, il s’enferme dans le mutisme et l’immobilité totale de la catatonie.
  • Anxieux/agité : Le patient peut parler plus vite, s’inquiéter de tout tandis que des pensées anxieuses et pessimistes se bousculent dans sa tête. Préoccupations et comportements phobiques, attaques de panique ou ruminations obsessives sont chose commune.
216
Q

Épisode dépressif: Fonctions cognitives du patient
- décrire: anxieux / agité

A

L’activité psychomotrice du patient dépressif est souvent altérée. On distingue une forme ralentie (la plus commune) et une forme plus anxieuse ou agitée :

  • Ralenti : Le patient parle peu, bouge et pense lentement, peine à se sortir du lit. Plus rarement, il s’enferme dans le mutisme et l’immobilité totale de la catatonie.
  • Anxieux/agité : Le patient peut parler plus vite, s’inquiéter de tout tandis que des pensées anxieuses et pessimistes se bousculent dans sa tête. Préoccupations et comportements phobiques, attaques de panique ou ruminations obsessives sont chose commune.
217
Q

Épisode dépressif: Fonctions cognitives du patient
- JOMAC

A
  • Jugement : variable, déterminer selon les actions récentes du pt et son comportement en entrevue
  • Orientation : N, mais certains n’ont pas assez d’énergie/intérêt pour répondre aux questions
  • Mémoire : processus de reconnaissance N, ↓ rappel libre
  • Attention/concentration : altérée la majorité du temps
  • Calcul : s/p
218
Q

Épisode dépressif: Fonctions cognitives du patient
- JOMAC: JUGEMENT

A
  • Jugement : variable, déterminer selon les actions récentes du pt et son comportement en entrevue
  • Orientation : N, mais certains n’ont pas assez d’énergie/intérêt pour répondre aux questions
  • Mémoire : processus de reconnaissance N, ↓ rappel libre
  • Attention/concentration : altérée la majorité du temps
  • Calcul : s/p
219
Q

Épisode dépressif: Fonctions cognitives du patient
- JOMAC: ORIENTATION

A
  • Jugement : variable, déterminer selon les actions récentes du pt et son comportement en entrevue
  • Orientation : N, mais certains n’ont pas assez d’énergie/intérêt pour répondre aux questions
  • Mémoire : processus de reconnaissance N, ↓ rappel libre
  • Attention/concentration : altérée la majorité du temps
  • Calcul : s/p
220
Q

Épisode dépressif: Fonctions cognitives du patient
- JOMAC: MÉMOIRE

A
  • Jugement : variable, déterminer selon les actions récentes du pt et son comportement en entrevue
  • Orientation : N, mais certains n’ont pas assez d’énergie/intérêt pour répondre aux questions
  • Mémoire : processus de reconnaissance N, ↓ rappel libre
  • Attention/concentration : altérée la majorité du temps
  • Calcul : s/p
221
Q

Épisode dépressif: Fonctions cognitives du patient
- JOMAC: ATTENTION

A
  • Jugement : variable, déterminer selon les actions récentes du pt et son comportement en entrevue
  • Orientation : N, mais certains n’ont pas assez d’énergie/intérêt pour répondre aux questions
  • Mémoire : processus de reconnaissance N, ↓ rappel libre
  • Attention/concentration : altérée la majorité du temps
  • Calcul : s/p
222
Q

Épisode dépressif: Fonctions cognitives du patient
- JOMAC: CALCUL

A
  • Jugement : variable, déterminer selon les actions récentes du pt et son comportement en entrevue
  • Orientation : N, mais certains n’ont pas assez d’énergie/intérêt pour répondre aux questions
  • Mémoire : processus de reconnaissance N, ↓ rappel libre
  • Attention/concentration : altérée la majorité du temps
  • Calcul : s/p
223
Q

Épisode dépressif: Contrôle pulsionnel du patient

A
  • Tendances sucidaires : fréquentes avec risque suicidaire important en raison du désespoir
224
Q

Épisode dépressif: Autocritique et introspection du patient

A
  • Autocritique : présente
  • Introspection : bonne
225
Q

Épisode dépressif: Autocritique et introspection du patient
- autocritique

A
  • Autocritique : présente
  • Introspection : bonne
226
Q

Épisode dépressif: Autocritique et introspection du patient
- introspection

A
  • Autocritique : présente
  • Introspection : bonne
227
Q

Épisode dépressif: Fiabilité

A
  • Fiabilité : diminuée surtout p/r aux essais thérapeutiques, besoin de confirmer avec une autre source
228
Q

Épisode dépressif: Manifestations neurovégétatives

A

Certaines manifestations neurovégétatives sont quasi universelles en dépression :

  • Insomnie
  • Diminution de l’appétit
  • Amaigrissement
  • Diminution de la libido
  • Dysfonction sexuelle secondaire
229
Q

Épisode dépressif: Plaintes somatiques

A

Des plaintes somatiques sont souvent présentes, et elles peuvent prendre différentes formes :

  • Constipations préoccupantes / Malaises digestifs
  • Céphalées / nausée
  • Palpitations
  • Dlrs musculosquelettiques et abdo
  • Paresthésies
  • Préoccupation hypocondriaque
230
Q

Épisode dépressif: Manifestations cliniques chez les personnes âgées

A
  • La personne âgée présente des manifestations cliniques plus particulières de la dépression.
  • La tristesse est moins souvent au premier plan et l’état anxieux de novo est assez caractéristique de la dépression
231
Q

Épisode maniaque: État général du patient

A
  • Augmentation du niveau d’énergie, une expansivité et une accélération au niveau psychomoteur.
232
Q

Épisode maniaque: Affect et humeur du patient

A
  • L’épisode maniaque associe généralement une expansivité et une élévation de l’humeur.
  • L’humeur d’un patient est typiquement labile, avec une alternance rapide et souvent sans raison apparente de l’euphorie à la colère, de la bonhommie à l’impatience, etc.
233
Q

Épisode maniaque: Affect et humeur du patient
- humeur

A
  • Humeur : euphorique, exaltée, irritable, colérique, faible résistance à la frustration
  • Affect : labile (alternance entre euphorie, dysphorie et irritabilité
234
Q

Épisode maniaque: Affect et humeur du patient
- affects

A
  • Humeur : euphorique, exaltée, irritable, colérique, faible résistance à la frustration
  • Affect : labile (alternance entre euphorie, dysphorie et irritabilité
235
Q

Épisode maniaque: Discours du patient

A
  • Le débit verbal est augmenté, avec une pression du discours pouvant aller jusqu’à la logorrhée.
  • Le discours est marqué d’une mimique très expressive et d’une agitation qui peut parfois nécessiter des mesures de restriction d’urgence
  • Internet: La logorrhée correspond à une surproduction verbale caractérisée par un flux de paroles rapide, long et diffus.
236
Q

Épisode maniaque: Discours du patient
- débit verbal

A
  • Le débit verbal est augmenté, avec une pression du discours pouvant aller jusqu’à la logorrhée.
  • Le discours est marqué d’une mimique très expressive et d’une agitation qui peut parfois nécessiter des mesures de restriction d’urgence
  • Internet: La logorrhée correspond à une surproduction verbale caractérisée par un flux de paroles rapide, long et diffus.
237
Q

Épisode maniaque: Discours du patient
- mimique

A
  • Le débit verbal est augmenté, avec une pression du discours pouvant aller jusqu’à la logorrhée.
  • Le discours est marqué d’une mimique très expressive et d’une agitation qui peut parfois nécessiter des mesures de restriction d’urgence
  • Internet: La logorrhée correspond à une surproduction verbale caractérisée par un flux de paroles rapide, long et diffus.
238
Q

Épisode maniaque: Discours du patient

A
  • Le débit verbal est augmenté, avec une pression du discours pouvant aller jusqu’à la logorrhée.
  • Le discours est marqué d’une mimique très expressive et d’une agitation qui peut parfois nécessiter des mesures de restriction d’urgence.
  • Internet: La logorrhée correspond à une surproduction verbale caractérisée par un flux de paroles rapide, long et diffus.
239
Q

Épisode maniaque: Distorsions perceptuelles du patient

A
  • Les symptômes psychotiques sont fréquents au cours des états maniaques.
  • Il peut s’agir d’hallucinations auditives ou plus rarement visuelles.
  • Les idées délirantes sont plus fréquentes que les hallucinations, et elles sont présentes chez plus de la moitié des patients.
  • Celles-ci sont généralement peu élaborées comparées à un schizophrène.
240
Q

Épisode maniaque: Pensée du patient

A
  • L’accélération psychique rend la pensée du patient souvent difficile à suivre avec classiquement une « fuite des idées ».
  • Le patient commente toutes les stimulations qu’il perçoit autour de lui et en lui.
241
Q

Épisode maniaque: Fonctions cognitives du patient

A
  • Les fonctions psychomotrices sont augmentées en termes de rapidité.
  • Le patient est hypervigilant; il ne peut se concentrer efficacement.
  • Ll’hyperpsychisme avec distractibilité, hypermnésie et troubles du jugement sont aussi habituels.
242
Q

Épisode maniaque: Contrôle pulsionnel du patient

A
  • Faible, agressivité, menaces, comportements à risque (ex. conduite rapide, dépenses excessives)
243
Q

Épisode maniaque: Jugement du patient

A
  • Son jugement, du fait de sa faible autocritique est altéré.
  • Il y a d’ailleurs fréquemment un engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables.
244
Q

Épisode maniaque: Fiabilité et autocritique du patient

A
  • Règle générale, l’autocritique est faible chez les patients et ils tendent à sous-estimer les comportements et conséquences de l’épisode maniaque.
  • Avoir une histoire collatérale peut être bien pertinente afin d’avoir une bonne histoire fiable.
245
Q

Maladie bipolaire: Présentation clinique chez les enfants et personnes âgées

A
  • Chez les enfants, les caractéristiques classiques de la MAB sont moins présentes. Les épisodes affectifs sont moins évidents et le fonctionnement est compromis entre les épisodes. Ils peuvent démontrer des signes d’instabilité émotionnelle, une dysrégulation comportementale et des troubles cognitifs.
  • Chez les personnes âgées, la phase de manie est d’intensité moindre que chez les adultes habituellement. Elle est surtout caractérisée par de l’irritabilité. La réponse au traitement est souvent moindre
246
Q

Maladie bipolaire: Présentation clinique chez les enfants

A
  • Chez les enfants, les caractéristiques classiques de la MAB sont moins présentes.
  • Les épisodes affectifs sont moins évidents et le fonctionnement est compromis entre les épisodes.
  • Ils peuvent démontrer des signes d’instabilité émotionnelle, une dysrégulation comportementale et des troubles cognitifs.
247
Q

Maladie bipolaire: Présentation clinique chez les enfants
- sx de MAB

A
  • Chez les enfants, les caractéristiques classiques de la MAB sont moins présentes.
  • Les épisodes affectifs sont moins évidents et le fonctionnement est compromis entre les épisodes.
  • Ils peuvent démontrer des signes d’instabilité émotionnelle, une dysrégulation comportementale et des troubles cognitifs.
248
Q

Maladie bipolaire: Présentation clinique chez les enfants
- décrire les épisodes affectifs

A
  • Chez les enfants, les caractéristiques classiques de la MAB sont moins présentes.
  • Les épisodes affectifs sont moins évidents et le fonctionnement est compromis entre les épisodes.
  • Ils peuvent démontrer des signes d’instabilité émotionnelle, une dysrégulation comportementale et des troubles cognitifs.
249
Q

Maladie bipolaire: Présentation clinique chez les enfants
- symptômes

A
  • Chez les enfants, les caractéristiques classiques de la MAB sont moins présentes.
  • Les épisodes affectifs sont moins évidents et le fonctionnement est compromis entre les épisodes.
  • Ils peuvent démontrer des signes d’instabilité émotionnelle, une dysrégulation comportementale et des troubles cognitifs.
250
Q

Maladie bipolaire: Quand s’observent les symptômes cognitifs?

A

Les déficits cognitifs s’observent même durant la phase euthymique chez les patients en rémission et touchent 3 domaines :

  • Attention et vitesse de traitement de l’information
  • Mémoire épisodique, surtout verbale
  • Fonctions exécutives.
251
Q

Maladie bipolaire: Domaines touchés par les sx cognitifs

A

Les déficits cognitifs s’observent même durant la phase euthymique chez les patients en rémission et touchent 3 domaines :

  • Attention et vitesse de traitement de l’information
  • Mémoire épisodique, surtout verbale
  • Fonctions exécutives.
252
Q

Maladie bipolaire: Dans quelle phase s’observent les symptômes cognitifs?

A

Les déficits cognitifs s’observent même durant la phase euthymique chez les patients en rémission et touchent 3 domaines :

  • Attention et vitesse de traitement de l’information
  • Mémoire épisodique, surtout verbale
  • Fonctions exécutives.
253
Q

Maladie bipolaire: Déficits cognitifs

A
  • Il est à noter que les déficits sont généralement moindres que chez les schizophrènes.
  • Ils peuvent exister dès le début de la maladie et être associés à des facteurs génétiques.
  • Par ailleurs, les psychotropes utilisés dans le traitement des MAB peuvent aggraver les troubles cognitifs (stabilisateur de l’humeur : lithium et acide valproïque).
254
Q

Maladie bipolaire: Déficits cognitifs
- les comparer à ceux des schizos

A
  • Il est à noter que les déficits sont généralement moindres que chez les schizophrènes.
  • Ils peuvent exister dès le début de la maladie et être associés à des facteurs génétiques.
  • Par ailleurs, les psychotropes utilisés dans le traitement des MAB peuvent aggraver les troubles cognitifs (stabilisateur de l’humeur : lithium et acide valproïque).
255
Q

Maladie bipolaire: Déficits cognitifs
- apparaissent dans quel moment de l’évolution de la maladie?

A
  • Il est à noter que les déficits sont généralement moindres que chez les schizophrènes.
  • Ils peuvent exister dès le début de la maladie et être associés à des facteurs génétiques.
  • Par ailleurs, les psychotropes utilisés dans le traitement des MAB peuvent aggraver les troubles cognitifs (stabilisateur de l’humeur : lithium et acide valproïque).
256
Q

Maladie bipolaire: Déficits cognitifs
- effets de psychotropes dessus

A
  • Il est à noter que les déficits sont généralement moindres que chez les schizophrènes.
  • Ils peuvent exister dès le début de la maladie et être associés à des facteurs génétiques.
  • Par ailleurs, les psychotropes utilisés dans le traitement des MAB peuvent aggraver les troubles cognitifs (stabilisateur de l’humeur : lithium et acide valproïque).
257
Q

Un point parfois difficile en clinique est la distinction entre un deuil et un trouble dépressif caractérisé, pourriez-vous, de mémoire bien-sûr J, décrire les facteurs à prendre en considération pour faire cette distinction…après avoir lu le tableau 19.2 bien-entendu!

A
258
Q

Comparaison du deuil et de la dépression: AFFECTS PRÉDOMINANTS

A
  • Deuil: Sentiments de vide et de perte
  • Dépression: Humeur dépressive persistante et incapacité à anticiper la joie ou le plaisir
259
Q

Comparaison du deuil et de la dépression: DYSPHORIE, HUMEUR DÉPRESSIVE

A
  • Deuil:
    • Diminue habituellement en intensité au fil des jours et des semaines et survient par vagues.
    • Ces vagues sont habituellement associées à des pensées relatives à la personne décédée et à ce qui la rappelle.
  • Dépression:
    • Persistante et non liée à des pensées ou préoccupations spécifiques
260
Q

Comparaison du deuil et de la dépression: DOULEUR, SOUFFRANCE

A
  • Deuil: Peut être accompagnée par des émotions et une humeur positives.
  • Dépression: Tristesse foncière et grande souffrance
261
Q

Comparaison du deuil et de la dépression: CONTENU DES PENSÉES

A
  • Deuil: Pensées et souvenirs concernant la personne décédée
  • Dépression: Ruminations pessimistes et autocritiques
262
Q

Comparaison du deuil et de la dépression: ESTIME DE SOI

A
  • Deuil: Habituellement préservée
  • Dépression: Sentiments de dévalorisation et de mépris de soi fréquents
263
Q

Comparaison du deuil et de la dépression: AUTODÉPRÉCIATION

A
  • Deuil: Si l’autodépréciation est présente, elle concerne habituellement des sentiments d’échec vis-à-vis de la personne décédée (p. ex., ne pas lui avoir sufsamment rendu visite, ne pas lui avoir sufsamment dit combien il ou elle l’aimait).
  • Dépression: Sentiments de dévalorisation et de mépris de soi fréquents
264
Q

Comparaison du deuil et de la dépression: IDÉES DE MORT

A
  • Deuil: Habituellement liées à la personne décédée et à la possibilité de la rejoindre
  • Dépression: Centrées sur la possibilité de mettre fin à ses jours, à cause de sentiments de dévalorisation, d’indi gnité ou d’incapacité à faire face à la douleur de la dépression
265
Q

Tr affectifs: Traitements

A
  • Les principes de traitement des troubles affectifs sont plus complexes que dans les thèmes précédents.
  • Par exemple, une dépression unipolaire ne se traite PAS de la même façon qu’une dépression dans le cadre d’une maladie bipolaire.
  • Également, nous devons souvent utiliser plusieurs classes de médication (antidépresseur, stabilisateur de l’humeur, antipsychotique, benzodiazépine) chez le même patient.
266
Q

Tr affectifs: Traitements
- complexité

A
  • Les principes de traitement des troubles affectifs sont plus complexes que dans les thèmes précédents.
  • Par exemple, une dépression unipolaire ne se traite PAS de la même façon qu’une dépression dans le cadre d’une maladie bipolaire.
  • Également, nous devons souvent utiliser plusieurs classes de médication (antidépresseur, stabilisateur de l’humeur, antipsychotique, benzodiazépine) chez le même patient.
267
Q

Tr affectifs: Traitements
- pouquoi c’est complexe à traiter?

A
  • Les principes de traitement des troubles affectifs sont plus complexes que dans les thèmes précédents.
  • Par exemple, une dépression unipolaire ne se traite PAS de la même façon qu’une dépression dans le cadre d’une maladie bipolaire.
  • Également, nous devons souvent utiliser plusieurs classes de médication (antidépresseur, stabilisateur de l’humeur, antipsychotique, benzodiazépine) chez le même patient.
268
Q

Tr affectifs: Traitements
- classes de médicament

A
  • Les principes de traitement des troubles affectifs sont plus complexes que dans les thèmes précédents.
  • Par exemple, une dépression unipolaire ne se traite PAS de la même façon qu’une dépression dans le cadre d’une maladie bipolaire.
  • Également, nous devons souvent utiliser plusieurs classes de médication (antidépresseur, stabilisateur de l’humeur, antipsychotique, benzodiazépine) chez le même patient.
269
Q

Tr affectifs: Traitements
- autre que psychotx et médication

A
  • Par ailleurs, en plus de la médication et de la psychothérapie, nous utilisons à l’occasion d’autres types de traitements comme la sismothérapie (électrochoc) ou la luminothérapie.
  • Ces options de traitement sont TOUTES des outils pouvant nous permettre d’aider les patients souffrant d’un trouble de l’humeur.
270
Q

Tr affectifs: Traitements
- autre que psychotx et médication: pertinence

A
  • Par ailleurs, en plus de la médication et de la psychothérapie, nous utilisons à l’occasion d’autres types de traitements comme la sismothérapie (électrochoc) ou la luminothérapie.
  • Ces options de traitement sont TOUTES des outils pouvant nous permettre d’aider les patients souffrant d’un trouble de l’humeur.
271
Q

Tr affectifs: Traitements
- le tx peut différer selon quoi?

A
  • De surcroit, les principes de traitement peuvent différer selon l’épisode ou la phase de la maladie (phase aigüe vs phase de maintien).
272
Q

Tr affectifs: Traitements
- Pharmacothérapie: quoi savoir?

A
  • Je passe rapidement de mon côté sur cet aspect (pas vous j’espère !) car vous avez deux bons modules d’autoapprentissage sur ce sujet !
  • Concentrez-vous en premier sur les classes d’antidépresseur.
  • Vous pouvez bien sûr revoir les connaissances (pas déjà oubliées j’espère) que vous avez acquises dans le module de psychopharmacologie en introduction pour vous aider à bien comprendre ces classes et mécanismes d’action.
273
Q

Tr affectifs: Traitements
- Pharmacothérapie: molécules à connaître

A
  • Rarement au préclinique, nous vous demandons d’apprendre, en plus de la classe et du mécanisme d’action, le nom de certaines molécules ainsi que leur posologie.
  • Pour les antidépresseurs, nous vous demandons de connaitre ces éléments pour au moins trois molécules fréquemment utilisées en clinique, soient le citalopram, la venlafaxine et le bupropion.
  • Pour les stabilisateurs de l’humeur, nous vous demandons la même chose pour le lithium, l’acide valproïque et la lamotrigine.
274
Q

Tr affectifs: Traitements
- Pharmacothérapie: pourquoi connaître des molécules?

A
  • Oui, je sais, c’est du par cœur…
  • Je sais, vous risquez de l’oublier dès le lendemain de l’examen…
  • Et bien je n’en suis pas si certain et sachez qu’un commentaire fréquent des externes (et de certains patrons) est de ne pas se sentir assez compétent en psychopharmacologie à l’arrivée dans leur stage clinique.
  • Vous devrez également apprendre la majorité de ceux-ci à l’externat (avec leur nom générique ET commercial).
  • Je considère raisonnable de vous demander de bien connaitre au moins un seul exemple des classes de médications les plus utilisées en médecine.
275
Q

Tr affectifs: Traitements
- Psychothérapie: quoi savoir?

A
  • Bonne nouvelle !
  • Vous aurez un cours spécifiquement sur ce thème.
  • Je vous suggère de lire les pages 408 avant le cours pour avoir une idée de ce dont nous allons y aborder !
276
Q

Tr affectifs: Traitements
- Autres traitements: quoi savoir?

A
  • Vous avez, aux pages 406 à 408, vous trouverez d’autres types de traitement pouvant être utilisé dans le cadre de troubles de l’humeur.
  • N’entrez pas trop dans les détails de ces traitements mais sachez qu’ils existent!
  • Je ne vous demande pas de lire spécifiquement sur ces sujets, cependant sachez que les ECT (Électrochoc ou Électro-Convulsivo-Thérapie) sont utilisés en clinique et peuvent même l’être en première intention (avant la médication !) dans certaines circonstances.
  • Ce traitement est particulièrement efficace en cas d’un épisode dépressif caractérisé avec éléments psychotiques.
277
Q

Tr affectifs: Traitements
- Autres traitements: nommez-les

A
  • Vous avez, aux pages 406 à 408, vous trouverez d’autres types de traitement pouvant être utilisé dans le cadre de troubles de l’humeur.
  • N’entrez pas trop dans les détails de ces traitements mais sachez qu’ils existent!
  • Je ne vous demande pas de lire spécifiquement sur ces sujets, cependant sachez que les ECT (Électrochoc ou Électro-Convulsivo-Thérapie) sont utilisés en clinique et peuvent même l’être en première intention (avant la médication !) dans certaines circonstances.
  • Ce traitement est particulièrement efficace en cas d’un épisode dépressif caractérisé avec éléments psychotiques.
278
Q

Tr affectifs: Traitements
- Autres traitements: indications électro-choc

A
  • Vous avez, aux pages 406 à 408, vous trouverez d’autres types de traitement pouvant être utilisé dans le cadre de troubles de l’humeur.
  • N’entrez pas trop dans les détails de ces traitements mais sachez qu’ils existent!
  • Je ne vous demande pas de lire spécifiquement sur ces sujets, cependant sachez que les ECT (Électrochoc ou Électro-Convulsivo-Thérapie) sont utilisés en clinique et peuvent même l’être en première intention (avant la médication !) dans certaines circonstances.
  • Ce traitement est particulièrement efficace en cas d’un épisode dépressif caractérisé avec éléments psychotiques.
279
Q

Maladie bipolaire: Traitement

A
  • Le traitement pharmacologique est la pierre angulaire du traitement.
  • Une TCC ou psychothérapie interpersonnelle et des rythmes sociaux en combiné peut aider.
280
Q

Maladie bipolaire: Traitement
- élément le plus important du tx

A
  • Le traitement pharmacologique est la pierre angulaire du traitement.
  • Une TCC ou psychothérapie interpersonnelle et des rythmes sociaux en combiné peut aider.
281
Q

Maladie bipolaire: Traitement
- autres tx que la pharmacotx

A
  • Le traitement pharmacologique est la pierre angulaire du traitement.
  • Une TCC ou psychothérapie interpersonnelle et des rythmes sociaux en combiné peut aider.
282
Q

Maladie bipolaire: Traitement des épisodes maniaques

A
  • Lithium et acide valproïque (lignes directrices du CANMAT).
  • On ajoute souvent la rispéridone, l’olanzapine ou la quétiapine (d’autres se sont aussi rajoutés récemment).
  • En situation d’urgence (et en clinique), on utilise fréquemment les antipsychotiques atypiques (début rapide, facilité d’utilisation et effet sédatif notable).
  • N.B. : En premier épisode de manie, on utilise peu le lithium, l’acide valproïque et la carbamazépine (effet sédatif insuffisant).
283
Q

Maladie bipolaire: Traitement des épisodes maniaques
- nommez les molécules

A
  • Lithium et acide valproïque (lignes directrices du CANMAT).
  • On ajoute souvent la rispéridone, l’olanzapine ou la quétiapine (d’autres se sont aussi rajoutés récemment).
  • En situation d’urgence (et en clinique), on utilise fréquemment les antipsychotiques atypiques (début rapide, facilité d’utilisation et effet sédatif notable).
  • N.B. : En premier épisode de manie, on utilise peu le lithium, l’acide valproïque et la carbamazépine (effet sédatif insuffisant).
284
Q

Maladie bipolaire: Traitement des épisodes maniaques
- molécules principales

A
  • Lithium et acide valproïque (Epival) (lignes directrices du CANMAT).
  • On ajoute souvent la rispéridone, l’olanzapine ou la quétiapine (d’autres se sont aussi rajoutés récemment).
  • En situation d’urgence (et en clinique), on utilise fréquemment les antipsychotiques atypiques (début rapide, facilité d’utilisation et effet sédatif notable).
  • N.B. : En premier épisode de manie, on utilise peu le lithium, l’acide valproïque et la carbamazépine (effet sédatif insuffisant).
285
Q

Maladie bipolaire: Traitement des épisodes maniaques
- molécules d’appoint

A
  • Lithium et acide valproïque (lignes directrices du CANMAT).
  • On ajoute souvent la rispéridone, l’olanzapine ou la quétiapine (d’autres se sont aussi rajoutés récemment).
  • En situation d’urgence (et en clinique), on utilise fréquemment les antipsychotiques atypiques (début rapide, facilité d’utilisation et effet sédatif notable).
  • N.B. : En premier épisode de manie, on utilise peu le lithium, l’acide valproïque et la carbamazépine (effet sédatif insuffisant).
286
Q

Maladie bipolaire: Traitement des épisodes maniaques
- en situation d’urgence

A
  • Lithium et acide valproïque (lignes directrices du CANMAT).
  • On ajoute souvent la rispéridone, l’olanzapine ou la quétiapine (d’autres se sont aussi rajoutés récemment).
  • En situation d’urgence (et en clinique), on utilise fréquemment les antipsychotiques atypiques (début rapide, facilité d’utilisation et effet sédatif notable).
  • N.B. : En premier épisode de manie, on utilise peu le lithium, l’acide valproïque et la carbamazépine (effet sédatif insuffisant).
287
Q

Maladie bipolaire: Traitement des épisodes maniaques
- si 1er épisode de manie

A
  • Lithium et acide valproïque (lignes directrices du CANMAT).
  • On ajoute souvent la rispéridone, l’olanzapine ou la quétiapine (d’autres se sont aussi rajoutés récemment).
  • En situation d’urgence (et en clinique), on utilise fréquemment les antipsychotiques atypiques (début rapide, facilité d’utilisation et effet sédatif notable).
  • N.B. : En premier épisode de manie, on utilise peu le lithium, l’acide valproïque et la carbamazépine (Tegretol) (effet sédatif insuffisant).
288
Q

Maladie bipolaire: Traitement des épisodes dépressifs

A
  • TB type 1 : lithium, lamotrigine, quétiapine en 1ère intention.
    • Lorsque l’on envisage une antidépresseur, attention pour ne pas amener un virage en manie → on le couple souvent avec le lithium, l’acide valproïque ou à un antipsychotique atypique.
    • À noter que les ISRS et le bupropion entraîne un moins grand risque de virage.
  • TB type 2 : seule la quétiapine en monothérapie a été jugée efficace.
    • Les stabilisateurs de l’humeur tels la lamotrigine, le lithium et l’acide valproïque peuvent aussi être utilisés.
    • Comme en TB type 1, l’utilisation d’un stabilisateur de l’humeur couplé ou non avec un antidépresseur est préconisé
289
Q

Maladie bipolaire: Traitement des épisodes dépressifs
- type 1 vs type 2

A
  • TB type 1 : lithium, lamotrigine, quétiapine en 1ère intention.
    • Lorsque l’on envisage une antidépresseur, attention pour ne pas amener un virage en manie → on le couple souvent avec le lithium, l’acide valproïque ou à un antipsychotique atypique.
    • À noter que les ISRS et le bupropion entraîne un moins grand risque de virage.
  • TB type 2 : seule la quétiapine en monothérapie a été jugée efficace.
    • Les stabilisateurs de l’humeur tels la lamotrigine, le lithium et l’acide valproïque peuvent aussi être utilisés.
    • Comme en TB type 1, l’utilisation d’un stabilisateur de l’humeur couplé ou non avec un antidépresseur est préconisé
290
Q

Maladie bipolaire: Traitement des épisodes dépressifs
- type 1

A
  • TB type 1 : lithium, lamotrigine (Lamictal), quétiapine en 1ère intention.
    • Lorsque l’on envisage une antidépresseur, attention pour ne pas amener un virage en manie → on le couple souvent avec le lithium, l’acide valproïque ou à un antipsychotique atypique.
    • À noter que les ISRS et le bupropion entraîne un moins grand risque de virage.
  • TB type 2 : seule la quétiapine en monothérapie a été jugée efficace.
    • Les stabilisateurs de l’humeur tels la lamotrigine, le lithium et l’acide valproïque peuvent aussi être utilisés.
    • Comme en TB type 1, l’utilisation d’un stabilisateur de l’humeur couplé ou non avec un antidépresseur est préconisé
291
Q

Maladie bipolaire: Traitement des épisodes dépressifs
- type 1: nommez les molécules

A
  • TB type 1 : lithium, lamotrigine, quétiapine en 1ère intention.
    • Lorsque l’on envisage une antidépresseur, attention pour ne pas amener un virage en manie → on le couple souvent avec le lithium, l’acide valproïque ou à un antipsychotique atypique.
    • À noter que les ISRS et le bupropion entraîne un moins grand risque de virage.
  • TB type 2 : seule la quétiapine en monothérapie a été jugée efficace.
    • Les stabilisateurs de l’humeur tels la lamotrigine, le lithium et l’acide valproïque peuvent aussi être utilisés.
    • Comme en TB type 1, l’utilisation d’un stabilisateur de l’humeur couplé ou non avec un antidépresseur est préconisé
292
Q

Maladie bipolaire: Traitement des épisodes dépressifs
- type 1: à quoi faire attention avec les antidépresseurs?

A
  • TB type 1 : lithium, lamotrigine, quétiapine en 1ère intention.
    • Lorsque l’on envisage une antidépresseur, attention pour ne pas amener un virage en manie → on le couple souvent avec le lithium, l’acide valproïque ou à un antipsychotique atypique.
    • À noter que les ISRS et le bupropion entraîne un moins grand risque de virage.
  • TB type 2 : seule la quétiapine en monothérapie a été jugée efficace.
    • Les stabilisateurs de l’humeur tels la lamotrigine, le lithium et l’acide valproïque peuvent aussi être utilisés.
    • Comme en TB type 1, l’utilisation d’un stabilisateur de l’humeur couplé ou non avec un antidépresseur est préconisé
293
Q

Maladie bipolaire: Traitement des épisodes dépressifs
- type 1: quels antidépresseurs ont moins de risque de virage maniaque?

A
  • TB type 1 : lithium, lamotrigine, quétiapine en 1ère intention.
    • Lorsque l’on envisage une antidépresseur, attention pour ne pas amener un virage en manie → on le couple souvent avec le lithium, l’acide valproïque ou à un antipsychotique atypique.
    • À noter que les ISRS et le bupropion entraîne un moins grand risque de virage.
  • TB type 2 : seule la quétiapine en monothérapie a été jugée efficace.
    • Les stabilisateurs de l’humeur tels la lamotrigine, le lithium et l’acide valproïque peuvent aussi être utilisés.
    • Comme en TB type 1, l’utilisation d’un stabilisateur de l’humeur couplé ou non avec un antidépresseur est préconisé
294
Q

Maladie bipolaire: Traitement des épisodes dépressifs
- type 2

A
  • TB type 1 : lithium, lamotrigine, quétiapine en 1ère intention.
    • Lorsque l’on envisage une antidépresseur, attention pour ne pas amener un virage en manie → on le couple souvent avec le lithium, l’acide valproïque ou à un antipsychotique atypique.
    • À noter que les ISRS et le bupropion entraîne un moins grand risque de virage.
  • TB type 2 : seule la quétiapine en monothérapie a été jugée efficace.
    • Les stabilisateurs de l’humeur tels la lamotrigine, le lithium et l’acide valproïque peuvent aussi être utilisés.
    • Comme en TB type 1, l’utilisation d’un stabilisateur de l’humeur couplé ou non avec un antidépresseur est préconisé
295
Q

Maladie bipolaire: Traitement des épisodes dépressifs
- type 2: quelles molécules?

A
  • TB type 1 : lithium, lamotrigine, quétiapine en 1ère intention.
    • Lorsque l’on envisage une antidépresseur, attention pour ne pas amener un virage en manie → on le couple souvent avec le lithium, l’acide valproïque ou à un antipsychotique atypique.
    • À noter que les ISRS et le bupropion entraîne un moins grand risque de virage.
  • TB type 2 : seule la quétiapine en monothérapie a été jugée efficace.
    • Les stabilisateurs de l’humeur tels la lamotrigine, le lithium et l’acide valproïque peuvent aussi être utilisés.
    • Comme en TB type 1, l’utilisation d’un stabilisateur de l’humeur couplé ou non avec un antidépresseur est préconisé
296
Q

Maladie bipolaire: Traitement des épisodes dépressifs
- type 2: autres molécules qu’il est possible d’utiliser

A
  • TB type 1 : lithium, lamotrigine, quétiapine en 1ère intention.
    • Lorsque l’on envisage une antidépresseur, attention pour ne pas amener un virage en manie → on le couple souvent avec le lithium, l’acide valproïque ou à un antipsychotique atypique.
    • À noter que les ISRS et le bupropion entraîne un moins grand risque de virage.
  • TB type 2 : seule la quétiapine en monothérapie a été jugée efficace.
    • Les stabilisateurs de l’humeur tels la lamotrigine, le lithium et l’acide valproïque peuvent aussi être utilisés.
    • Comme en TB type 1, l’utilisation d’un stabilisateur de l’humeur couplé ou non avec un antidépresseur est préconisé
297
Q

Maladie bipolaire: Traitement des épisodes dépressifs
- type 2: ce qui est préconisé

A
  • TB type 1 : lithium, lamotrigine, quétiapine en 1ère intention.
    • Lorsque l’on envisage une antidépresseur, attention pour ne pas amener un virage en manie → on le couple souvent avec le lithium, l’acide valproïque ou à un antipsychotique atypique.
    • À noter que les ISRS et le bupropion entraîne un moins grand risque de virage.
  • TB type 2 : seule la quétiapine en monothérapie a été jugée efficace.
    • Les stabilisateurs de l’humeur tels la lamotrigine, le lithium et l’acide valproïque peuvent aussi être utilisés.
    • Comme en TB type 1, l’utilisation d’un stabilisateur de l’humeur couplé ou non avec un antidépresseur est préconisé
298
Q

Maladie bipolaire: Autres traitements

A
  • Chez les patients sensibles aux saisons → ajouter luminothérapie
  • Chez les patients en état dépressif majeur non répondants aux traitements pharmacologiques, rapidement envisager l’utilisation de l’électroconvulsivothérapie.
299
Q

Maladie bipolaire: Autres traitements
- si patient sensible aux saisons

A
  • Chez les patients sensibles aux saisons → ajouter luminothérapie
  • Chez les patients en état dépressif majeur non répondants aux traitements pharmacologiques, rapidement envisager l’utilisation de l’électroconvulsivothérapie.
300
Q

Maladie bipolaire: Autres traitements
- si patient en dépression majeure qui répond pas aux tx pharmaco

A
  • Chez les patients sensibles aux saisons → ajouter luminothérapie
  • Chez les patients en état dépressif majeur non répondants aux traitements pharmacologiques, rapidement envisager l’utilisation de l’électroconvulsivothérapie.
301
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Interventions sociales

A
  • Les séances formelles de psychoéducation en groupe sont reconnues comme étant efficaces.
  • Elles permettent une meilleure observance au traitement, une diminution des rechutes et une augmentation des délais de récurrences.
  • Les séances de groupe permettent un partage des expériences et une discussion des renseignements fournis.
    • Elles favorisent une meilleure intégration des informations.
302
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Interventions sociales: ce qui est efficace

A
  • Les séances formelles de psychoéducation en groupe sont reconnues comme étant efficaces.
    • Elles permettent une meilleure observance au traitement, une diminution des rechutes et une augmentation des délais de récurrences.
  • Les séances de groupe permettent un partage des expériences et une discussion des renseignements fournis.
    • Elles favorisent une meilleure intégration des informations.
303
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Interventions sociales: utilité des séances formelles de psychéducation

A
  • Les séances formelles de psychoéducation en groupe sont reconnues comme étant efficaces.
    • Elles permettent une meilleure observance au traitement, une diminution des rechutes et une augmentation des délais de récurrences.
  • Les séances de groupe permettent un partage des expériences et une discussion des renseignements fournis.
    • Elles favorisent une meilleure intégration des informations.
304
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Interventions sociales: utilité des séances de groupe

A
  • Les séances formelles de psychoéducation en groupe sont reconnues comme étant efficaces.
    • Elles permettent une meilleure observance au traitement, une diminution des rechutes et une augmentation des délais de récurrences.
  • Les séances de groupe permettent un partage des expériences et une discussion des renseignements fournis.
    • Elles favorisent une meilleure intégration des informations.
305
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Prévention des rechutes

A
  • La recommandation actuelle est de traiter au long cours, puisque l’on considère que les rechutes sont fréquentes (ex : risque de 60-90% pour un épisode maniaque).
  • Le lithium, l’acide valproïque, la carbamazépine, plusieurs antipsychotiques atypiques et la lamotrigine (Lamictal) sont les psychotropes considérés efficace dans le traitement à long terme des troubles bipolaires.
  • Bien qu’une monothérapie soit privilégiée, elle est souvent inefficace pour prévenir efficacement les risques de rechute.
  • Les associations médicamenteuses souvent utilisées sont lithium + acide valproïque / lamotrigine et antipsychotique atypique + lithium / acide valproïque.
306
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Prévention des rechutes: recommandations actuelles

A
  • La recommandation actuelle est de traiter au long cours, puisque l’on considère que les rechutes sont fréquentes (ex : risque de 60-90% pour un épisode maniaque).
  • Le lithium, l’acide valproïque, la carbamazépine, plusieurs antipsychotiques atypiques et la lamotrigine (Lamictal) sont les psychotropes considérés efficace dans le traitement à long terme des troubles bipolaires.
  • Bien qu’une monothérapie soit privilégiée, elle est souvent inefficace pour prévenir efficacement les risques de rechute.
  • Les associations médicamenteuses souvent utilisées sont lithium + acide valproïque / lamotrigine et antipsychotique atypique + lithium / acide valproïque.
307
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Prévention des rechutes: molécules

A
  • La recommandation actuelle est de traiter au long cours, puisque l’on considère que les rechutes sont fréquentes (ex : risque de 60-90% pour un épisode maniaque).
  • Le lithium, l’acide valproïque, la carbamazépine, plusieurs antipsychotiques atypiques et la lamotrigine (Lamictal) sont les psychotropes considérés efficace dans le traitement à long terme des troubles bipolaires.
  • Bien qu’une monothérapie soit privilégiée, elle est souvent inefficace pour prévenir efficacement les risques de rechute.
  • Les associations médicamenteuses souvent utilisées sont lithium + acide valproïque / lamotrigine et antipsychotique atypique + lithium / acide valproïque.
308
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Prévention des rechutes: combien de molécules?

A
  • La recommandation actuelle est de traiter au long cours, puisque l’on considère que les rechutes sont fréquentes (ex : risque de 60-90% pour un épisode maniaque).
  • Le lithium, l’acide valproïque, la carbamazépine, plusieurs antipsychotiques atypiques et la lamotrigine (Lamictal) sont les psychotropes considérés efficace dans le traitement à long terme des troubles bipolaires.
  • Bien qu’une monothérapie soit privilégiée, elle est souvent inefficace pour prévenir efficacement les risques de rechute.
  • Les associations médicamenteuses souvent utilisées sont lithium + acide valproïque / lamotrigine et antipsychotique atypique + lithium / acide valproïque.
309
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Prévention des rechutes: quelles molécules sont souvent combinées pour prévenir les rechutes dépressives?

A
  • La recommandation actuelle est de traiter au long cours, puisque l’on considère que les rechutes sont fréquentes (ex : risque de 60-90% pour un épisode maniaque).
  • Le lithium, l’acide valproïque, la carbamazépine, plusieurs antipsychotiques atypiques et la lamotrigine (Lamictal) sont les psychotropes considérés efficace dans le traitement à long terme des troubles bipolaires.
  • Bien qu’une monothérapie soit privilégiée, elle est souvent inefficace pour prévenir efficacement les risques de rechute.
  • Les associations médicamenteuses souvent utilisées sont:
    • lithium + acide valproïque / lamotrigine
    • et
    • antipsychotique atypique + lithium / acide valproïque.
310
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Prévention des rechutes: efficacité médicament en monothérapie

A
  • La recommandation actuelle est de traiter au long cours, puisque l’on considère que les rechutes sont fréquentes (ex : risque de 60-90% pour un épisode maniaque).
  • Le lithium, l’acide valproïque, la carbamazépine, plusieurs antipsychotiques atypiques et la lamotrigine (Lamictal) sont les psychotropes considérés efficace dans le traitement à long terme des troubles bipolaires.
  • Bien qu’une monothérapie soit privilégiée, elle est souvent inefficace pour prévenir efficacement les risques de rechute.
  • Les associations médicamenteuses souvent utilisées sont lithium + acide valproïque / lamotrigine et antipsychotique atypique + lithium / acide valproïque.
311
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Prévention des rechutes: Médicaments

A
  • Les associations médicamenteuses souvent utilisées sont lithium + acide valproïque / lamotrigine et antipsychotique atypique + lithium / acide valproïque.
  • Lamotrigine + efficace pour prévenir les rechutes dépressives.
  • Les antipsychotiques atypiques semblent utiles pour la prévention de rechutes maniaques, quoique certains sont bons aussi pour les états dépressifs (quétiapine, olanzapine).
  • Le lamotrigine (Lamictal), topiramate (Topamax) et gabapentin (Neurontin) sont inefficace pour limiter les rechutes maniaques.
  • Chez les patients bipolaires, l’utilisation d’un antidépresseur au long cours est à priori à éviter.
  • Il est aussi à noter qu’un rythme circadien et une bonne hygiène de sommeil est primordial pour limiter les épisodes thymiques.
312
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Médicaments: pour prévenir les rechutes dépressives

A
  • Les associations médicamenteuses souvent utilisées sont:
    • lithium + acide valproïque / lamotrigine
    • et
    • antipsychotique atypique + lithium / acide valproïque.
  • Lamotrigine + efficace pour prévenir les rechutes dépressives.
  • Les antipsychotiques atypiques semblent utiles pour la prévention de rechutes maniaques, quoique certains sont bons aussi pour les états dépressifs (quétiapine, olanzapine).
  • Le lamotrigine (Lamictal), topiramate (Topamax) et gabapentin (Neurontin) sont inefficace pour limiter les rechutes maniaques.
  • Chez les patients bipolaires, l’utilisation d’un antidépresseur au long cours est à priori à éviter.
  • Il est aussi à noter qu’un rythme circadien et une bonne hygiène de sommeil est primordial pour limiter les épisodes thymiques.
313
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Médicaments: pour prévenir les rechutes dépressives - molécules en association

A
  • Les associations médicamenteuses souvent utilisées sont:
    • lithium + acide valproïque / lamotrigine
    • et
    • antipsychotique atypique + lithium / acide valproïque.
  • Lamotrigine + efficace pour prévenir les rechutes dépressives.
  • Les antipsychotiques atypiques semblent utiles pour la prévention de rechutes maniaques, quoique certains sont bons aussi pour les états dépressifs (quétiapine, olanzapine).
  • Le lamotrigine (Lamictal), topiramate (Topamax) et gabapentin (Neurontin) sont inefficace pour limiter les rechutes maniaques.
  • Chez les patients bipolaires, l’utilisation d’un antidépresseur au long cours est à priori à éviter.
  • Il est aussi à noter qu’un rythme circadien et une bonne hygiène de sommeil est primordial pour limiter les épisodes thymiques.
314
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Médicaments: pour prévenir les rechutes dépressives - molécule

A
  • Les associations médicamenteuses souvent utilisées sont lithium + acide valproïque / lamotrigine et antipsychotique atypique + lithium / acide valproïque.
  • Lamotrigine + efficace pour prévenir les rechutes dépressives.
  • Les antipsychotiques atypiques semblent utiles pour la prévention de rechutes maniaques, quoique certains sont bons aussi pour les états dépressifs (quétiapine, olanzapine).
  • Le lamotrigine (Lamictal), topiramate (Topamax) et gabapentin (Neurontin) sont inefficace pour limiter les rechutes maniaques.
  • Chez les patients bipolaires, l’utilisation d’un antidépresseur au long cours est à priori à éviter.
  • Il est aussi à noter qu’un rythme circadien et une bonne hygiène de sommeil est primordial pour limiter les épisodes thymiques.
315
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Médicaments: pour prévenir rechutes maniaques

A
  • Les associations médicamenteuses souvent utilisées sont lithium + acide valproïque / lamotrigine et antipsychotique atypique + lithium / acide valproïque.
  • Lamotrigine + efficace pour prévenir les rechutes dépressives.
  • Les antipsychotiques atypiques semblent utiles pour la prévention de rechutes maniaques, quoique certains sont bons aussi pour les états dépressifs (quétiapine, olanzapine).
  • Le lamotrigine (Lamictal), topiramate (Topamax) et gabapentin (Neurontin) sont inefficace pour limiter les rechutes maniaques.
  • Chez les patients bipolaires, l’utilisation d’un antidépresseur au long cours est à priori à éviter.
  • Il est aussi à noter qu’un rythme circadien et une bonne hygiène de sommeil est primordial pour limiter les épisodes thymiques.
316
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Médicaments: molécules NON efficaces pour prévenir rechutes maniaques

A
  • Les associations médicamenteuses souvent utilisées sont lithium + acide valproïque / lamotrigine et antipsychotique atypique + lithium / acide valproïque.
  • Lamotrigine + efficace pour prévenir les rechutes dépressives.
  • Les antipsychotiques atypiques semblent utiles pour la prévention de rechutes maniaques, quoique certains sont bons aussi pour les états dépressifs (quétiapine, olanzapine).
  • Le lamotrigine (Lamictal), topiramate (Topamax) et gabapentin (Neurontin) sont inefficace pour limiter les rechutes maniaques.
  • Chez les patients bipolaires, l’utilisation d’un antidépresseur au long cours est à priori à éviter.
  • Il est aussi à noter qu’un rythme circadien et une bonne hygiène de sommeil est primordial pour limiter les épisodes thymiques.
317
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Médicaments: place des antidépresseurs

A
  • Les associations médicamenteuses souvent utilisées sont lithium + acide valproïque / lamotrigine et antipsychotique atypique + lithium / acide valproïque.
  • Lamotrigine + efficace pour prévenir les rechutes dépressives.
  • Les antipsychotiques atypiques semblent utiles pour la prévention de rechutes maniaques, quoique certains sont bons aussi pour les états dépressifs (quétiapine, olanzapine).
  • Le lamotrigine (Lamictal), topiramate (Topamax) et gabapentin (Neurontin) sont inefficace pour limiter les rechutes maniaques.
  • Chez les patients bipolaires, l’utilisation d’un antidépresseur au long cours est à priori à éviter.
  • Il est aussi à noter qu’un rythme circadien et une bonne hygiène de sommeil est primordial pour limiter les épisodes thymiques.
318
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Habitudes de vie

A
  • Les associations médicamenteuses souvent utilisées sont lithium + acide valproïque / lamotrigine et antipsychotique atypique + lithium / acide valproïque.
  • Lamotrigine + efficace pour prévenir les rechutes dépressives.
  • Les antipsychotiques atypiques semblent utiles pour la prévention de rechutes maniaques, quoique certains sont bons aussi pour les états dépressifs (quétiapine, olanzapine).
  • Le lamotrigine (Lamictal), topiramate (Topamax) et gabapentin (Neurontin) sont inefficace pour limiter les rechutes maniaques.
  • Chez les patients bipolaires, l’utilisation d’un antidépresseur au long cours est à priori à éviter.
  • Il est aussi à noter qu’un rythme circadien et une bonne hygiène de sommeil est primordial pour limiter les épisodes thymiques.
319
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Médicaments: suivi à faire

A
  • Plusieurs médicaments nécessitent des bilans biologiques fréquent au début puis aux 6 mois (ex : TSH, urée/créat pour lithium, dosages sanguins (lithium / acide valproïque / carbamazépine), intox et associations médicamenteuses, bilan lipidique, glycémie, syndrome métabolique (antipsychotiques atypiques).
320
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Médicaments: suivi à faire - quels bilans sanguins sont à faire?

A
  • Plusieurs médicaments nécessitent des bilans biologiques fréquent au début puis aux 6 mois (ex : TSH, urée/créat pour lithium, dosages sanguins (lithium / acide valproïque / carbamazépine), intox et associations médicamenteuses, bilan lipidique, glycémie, syndrome métabolique (antipsychotiques atypiques).
321
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Médicaments: suivi à faire - pour quelles molécules on doit faire des bilan sanguin?

A
  • Plusieurs médicaments nécessitent des bilans biologiques fréquent au début puis aux 6 mois (ex : TSH, urée/créat pour lithium, dosages sanguins (lithium / acide valproïque / carbamazépine), intox et associations médicamenteuses, bilan lipidique, glycémie, syndrome métabolique (antipsychotiques atypiques).
322
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Médicaments: suivi à faire - à quelle fréquence on doit faire les bilans sanguins?

A
  • Plusieurs médicaments nécessitent des bilans biologiques fréquent au début puis aux 6 mois (ex : TSH, urée/créat pour lithium, dosages sanguins (lithium / acide valproïque / carbamazépine), intox et associations médicamenteuses, bilan lipidique, glycémie, syndrome métabolique (antipsychotiques atypiques).
323
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Médicaments: suivi à faire - les bilans sanguins doivent être faits pour quelles molécules?

A
  • Plusieurs médicaments nécessitent des bilans biologiques fréquent au début puis aux 6 mois
    • Lithium / acide valproïque / carbamazépine: TSH, urée/créat pour lithium, dosages sanguins
    • Antipsychotiques atypiques: intox et associations médicamenteuses, bilan lipidique, glycémie, syndrome métabolique
324
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Médicaments: suivi à faire - bilans sanguins pour - LITHIUM

A
  • Plusieurs médicaments nécessitent des bilans biologiques fréquent au début puis aux 6 mois
    • Lithium / acide valproïque / carbamazépine: TSH, urée/créat pour lithium, dosages sanguins
    • Antipsychotiques atypiques: intox et associations médicamenteuses, bilan lipidique, glycémie, syndrome métabolique
325
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Médicaments: suivi à faire - bilans sanguins pour - ACIDE VALPROÏQUE

A
  • Plusieurs médicaments nécessitent des bilans biologiques fréquent au début puis aux 6 mois
    • Lithium / acide valproïque / carbamazépine: TSH, urée/créat pour lithium, dosages sanguins
    • Antipsychotiques atypiques: intox et associations médicamenteuses, bilan lipidique, glycémie, syndrome métabolique
326
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Médicaments: suivi à faire - bilans sanguins pour - CARBAMAZÉPINE

A
  • Plusieurs médicaments nécessitent des bilans biologiques fréquent au début puis aux 6 mois
    • Lithium / acide valproïque / carbamazépine: TSH, urée/créat pour lithium, dosages sanguins
    • Antipsychotiques atypiques: intox et associations médicamenteuses, bilan lipidique, glycémie, syndrome métabolique
327
Q

Maladie bipolaire: Traitements
- Médicaments: suivi à faire - bilans sanguins pour - AP ATYPIQUES

A
  • Plusieurs médicaments nécessitent des bilans biologiques fréquent au début puis aux 6 mois
    • Lithium / acide valproïque / carbamazépine: TSH, urée/créat pour lithium, dosages sanguins
    • Antipsychotiques atypiques: intox et associations médicamenteuses, bilan lipidique, glycémie, syndrome métabolique
328
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- éléments du tx

A
  1. Pharmacologie et autres
  2. Psychothérapies
  3. Traitements naturels
  4. Interventions sociales
329
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- Pharmacologie

A
  • Les antidépresseurs sont les médicaments de 1ère intention.
  • Le 1er agent a généralement une efficacité chez 50 % des patients, et celle-ci arrive en 2 – 4 semaines, c’est pour cela que l’on doit essayer les médicaments 6 semaines pour un essai thérapeutique valide.
  • L’électroconvulsivothérapie (ECT) et la neuromodulation se révèle fort efficace, sécuritaire et bien toléré chez les patients qui ont une dépression grave ou chez qui les médicaments ne fonctionnent pas.
  • D’ailleurs, une bonne réponse à l’ECT est une raison valable pour y recourir dans le futur.
  • La luminothérapie est un traitement de 1ère intention pour la dépression saisonnière.
330
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- Pharmacologie: 1ère ligne

A
  • Les antidépresseurs sont les médicaments de 1ère intention.
  • Le 1er agent a généralement une efficacité chez 50 % des patients, et celle-ci arrive en 2 – 4 semaines, c’est pour cela que l’on doit essayer les médicaments 6 semaines pour un essai thérapeutique valide.
  • L’électroconvulsivothérapie (ECT) et la neuromodulation se révèle fort efficace, sécuritaire et bien toléré chez les patients qui ont une dépression grave ou chez qui les médicaments ne fonctionnent pas.
  • D’ailleurs, une bonne réponse à l’ECT est une raison valable pour y recourir dans le futur.
  • La luminothérapie est un traitement de 1ère intention pour la dépression saisonnière.
331
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- Pharmacologie: efficacité du 1er antidépresseur tenté

A
  • Les antidépresseurs sont les médicaments de 1ère intention.
  • Le 1er agent a généralement une efficacité chez 50 % des patients, et celle-ci arrive en 2 – 4 semaines, c’est pour cela que l’on doit essayer les médicaments 6 semaines pour un essai thérapeutique valide.
  • L’électroconvulsivothérapie (ECT) et la neuromodulation se révèle fort efficace, sécuritaire et bien toléré chez les patients qui ont une dépression grave ou chez qui les médicaments ne fonctionnent pas.
  • D’ailleurs, une bonne réponse à l’ECT est une raison valable pour y recourir dans le futur.
  • La luminothérapie est un traitement de 1ère intention pour la dépression saisonnière.
332
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- Pharmacologie: durée d’un essai thérapeutique valide d’un AD

A
  • Les antidépresseurs sont les médicaments de 1ère intention.
  • Le 1er agent a généralement une efficacité chez 50 % des patients, et celle-ci arrive en 2 – 4 semaines, c’est pour cela que l’on doit essayer les médicaments 6 semaines pour un essai thérapeutique valide.
  • L’électroconvulsivothérapie (ECT) et la neuromodulation se révèle fort efficace, sécuritaire et bien toléré chez les patients qui ont une dépression grave ou chez qui les médicaments ne fonctionnent pas.
  • D’ailleurs, une bonne réponse à l’ECT est une raison valable pour y recourir dans le futur.
  • La luminothérapie est un traitement de 1ère intention pour la dépression saisonnière.
333
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- autres traitements

A
  • Les antidépresseurs sont les médicaments de 1ère intention.
  • Le 1er agent a généralement une efficacité chez 50 % des patients, et celle-ci arrive en 2 – 4 semaines, c’est pour cela que l’on doit essayer les médicaments 6 semaines pour un essai thérapeutique valide.
  • L’électroconvulsivothérapie (ECT) et la neuromodulation se révèle fort efficace, sécuritaire et bien toléré chez les patients qui ont une dépression grave ou chez qui les médicaments ne fonctionnent pas.
  • D’ailleurs, une bonne réponse à l’ECT est une raison valable pour y recourir dans le futur.
  • La luminothérapie est un traitement de 1ère intention pour la dépression saisonnière.
334
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- ECT et neuromodulation: efficacité, E2

A
  • Les antidépresseurs sont les médicaments de 1ère intention.
  • Le 1er agent a généralement une efficacité chez 50 % des patients, et celle-ci arrive en 2 – 4 semaines, c’est pour cela que l’on doit essayer les médicaments 6 semaines pour un essai thérapeutique valide.
  • L’électroconvulsivothérapie (ECT) et la neuromodulation se révèle fort efficace, sécuritaire et bien toléré chez les patients qui ont une dépression grave ou chez qui les médicaments ne fonctionnent pas.
  • D’ailleurs, une bonne réponse à l’ECT est une raison valable pour y recourir dans le futur.
  • La luminothérapie est un traitement de 1ère intention pour la dépression saisonnière.
335
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- ECT et neuromodulation: indications

A
  • Les antidépresseurs sont les médicaments de 1ère intention.
  • Le 1er agent a généralement une efficacité chez 50 % des patients, et celle-ci arrive en 2 – 4 semaines, c’est pour cela que l’on doit essayer les médicaments 6 semaines pour un essai thérapeutique valide.
  • L’électroconvulsivothérapie (ECT) et la neuromodulation se révèle fort efficace, sécuritaire et bien toléré chez les patients qui ont une dépression grave ou chez qui les médicaments ne fonctionnent pas.
  • D’ailleurs, une bonne réponse à l’ECT est une raison valable pour y recourir dans le futur.
  • La luminothérapie est un traitement de 1ère intention pour la dépression saisonnière.
336
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- Tx de 1ère intention si dépression saisonnière

A
  • Les antidépresseurs sont les médicaments de 1ère intention.
  • Le 1er agent a généralement une efficacité chez 50 % des patients, et celle-ci arrive en 2 – 4 semaines, c’est pour cela que l’on doit essayer les médicaments 6 semaines pour un essai thérapeutique valide.
  • L’électroconvulsivothérapie (ECT) et la neuromodulation se révèle fort efficace, sécuritaire et bien toléré chez les patients qui ont une dépression grave ou chez qui les médicaments ne fonctionnent pas.
  • D’ailleurs, une bonne réponse à l’ECT est une raison valable pour y recourir dans le futur.
  • La luminothérapie est un traitement de 1ère intention pour la dépression saisonnière.
337
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- Psychotx

A
  • Un stresseur ou des difficultés psychologiques sont souvent l’élément déclenchant de la dépression, et il en revient de s’attarde à ce problème.
  • Elle est souvent mieux acceptée des patients que la médication et permet une meilleure observance.
  • On dit que pour les états dépressifs légers-modérés, les psychothérapies sont aussi efficaces que la médication.
  • Toutefois, pour les cas graves, la combinaison psychothérapie avec médication est plus efficace que la psychothérapie seule.
  • Elle comporte diverses modalités (voir le cours sur les psychothérapies pour plus de détails).
  • Les psychothérapies utilisées sont les TCC, la thérapie interpersonnelle ainsi que la thérapie basée sur la pleine conscience.
338
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- Psychotx: sur quoi travailler en psychotx?

A
  • Un stresseur ou des difficultés psychologiques sont souvent l’élément déclenchant de la dépression, et il en revient de s’attarde à ce problème.
  • Elle est souvent mieux acceptée des patients que la médication et permet une meilleure observance.
  • On dit que pour les états dépressifs légers-modérés, les psychothérapies sont aussi efficaces que la médication.
  • Toutefois, pour les cas graves, la combinaison psychothérapie avec médication est plus efficace que la psychothérapie seule.
  • Elle comporte diverses modalités (voir le cours sur les psychothérapies pour plus de détails).
  • Les psychothérapies utilisées sont les TCC, la thérapie interpersonnelle ainsi que la thérapie basée sur la pleine conscience.
339
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- Psychotx: son avantage

A
  • Un stresseur ou des difficultés psychologiques sont souvent l’élément déclenchant de la dépression, et il en revient de s’attarde à ce problème.
  • Elle est souvent mieux acceptée des patients que la médication et permet une meilleure observance.
  • On dit que pour les états dépressifs légers-modérés, les psychothérapies sont aussi efficaces que la médication.
  • Toutefois, pour les cas graves, la combinaison psychothérapie avec médication est plus efficace que la psychothérapie seule.
  • Elle comporte diverses modalités (voir le cours sur les psychothérapies pour plus de détails).
  • Les psychothérapies utilisées sont les TCC, la thérapie interpersonnelle ainsi que la thérapie basée sur la pleine conscience.
340
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- Psychotx: efficacité

A
  • Un stresseur ou des difficultés psychologiques sont souvent l’élément déclenchant de la dépression, et il en revient de s’attarde à ce problème.
  • Elle est souvent mieux acceptée des patients que la médication et permet une meilleure observance.
  • On dit que pour les états dépressifs légers-modérés, les psychothérapies sont aussi efficaces que la médication.
  • Toutefois, pour les cas graves, la combinaison psychothérapie avec médication est plus efficace que la psychothérapie seule.
  • Elle comporte diverses modalités (voir le cours sur les psychothérapies pour plus de détails).
  • Les psychothérapies utilisées sont les TCC, la thérapie interpersonnelle ainsi que la thérapie basée sur la pleine conscience.
341
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- Psychotx: plus efficace dans quelle situation? moins efficace dans quelle situation?

A
  • Un stresseur ou des difficultés psychologiques sont souvent l’élément déclenchant de la dépression, et il en revient de s’attarde à ce problème.
  • Elle est souvent mieux acceptée des patients que la médication et permet une meilleure observance.
  • On dit que pour les états dépressifs légers-modérés, les psychothérapies sont aussi efficaces que la médication.
  • Toutefois, pour les cas graves, la combinaison psychothérapie avec médication est plus efficace que la psychothérapie seule.
  • Elle comporte diverses modalités (voir le cours sur les psychothérapies pour plus de détails).
  • Les psychothérapies utilisées sont les TCC, la thérapie interpersonnelle ainsi que la thérapie basée sur la pleine conscience.
342
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- Psychotx: quel type?

A
  • Un stresseur ou des difficultés psychologiques sont souvent l’élément déclenchant de la dépression, et il en revient de s’attarde à ce problème.
  • Elle est souvent mieux acceptée des patients que la médication et permet une meilleure observance.
  • On dit que pour les états dépressifs légers-modérés, les psychothérapies sont aussi efficaces que la médication.
  • Toutefois, pour les cas graves, la combinaison psychothérapie avec médication est plus efficace que la psychothérapie seule.
  • Elle comporte diverses modalités (voir le cours sur les psychothérapies pour plus de détails).
  • Les psychothérapies utilisées sont les TCC, la thérapie interpersonnelle ainsi que la thérapie basée sur la pleine conscience.
343
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- Tx naturels

A
  • Extrait de millepertuis : action comparable aux antidépresseurs et moins d’effets indésirables. Toutefois les données au long terme manquent. C’est à envisager pour les dépressions légères à modérées. Attention aux nombreuses interactions médicamenteuses.
  • Acides gras de type oméga-3 : non recommandés en monothérapie, mais des études y ont trouvé un bénéfice thérapeutique si utilisé en combinaison à d’autres traitements.
  • Traitement hormonale de remplacement de la testostérone : chez les hommes en andropose.
  • Exercice physique peut être adjuvant aux autres traitements également!
344
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- Tx naturels: nommez-les

A
  • Extrait de millepertuis : action comparable aux antidépresseurs et moins d’effets indésirables. Toutefois les données au long terme manquent. C’est à envisager pour les dépressions légères à modérées. Attention aux nombreuses interactions médicamenteuses.
  • Acides gras de type oméga-3 : non recommandés en monothérapie, mais des études y ont trouvé un bénéfice thérapeutique si utilisé en combinaison à d’autres traitements.
  • Traitement hormonale de remplacement de la testostérone : chez les hommes en andropose.
  • Exercice physique peut être adjuvant aux autres traitements également!
345
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- Tx naturels: extrait de millepertuis

A
  • Extrait de millepertuis : action comparable aux antidépresseurs et moins d’effets indésirables. Toutefois les données au long terme manquent. C’est à envisager pour les dépressions légères à modérées. Attention aux nombreuses interactions médicamenteuses.
  • Acides gras de type oméga-3 : non recommandés en monothérapie, mais des études y ont trouvé un bénéfice thérapeutique si utilisé en combinaison à d’autres traitements.
  • Traitement hormonale de remplacement de la testostérone : chez les hommes en andropose.
  • Exercice physique peut être adjuvant aux autres traitements également!
346
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- Tx naturels: oméga-3

A
  • Extrait de millepertuis : action comparable aux antidépresseurs et moins d’effets indésirables. Toutefois les données au long terme manquent. C’est à envisager pour les dépressions légères à modérées. Attention aux nombreuses interactions médicamenteuses.
  • Acides gras de type oméga-3 : non recommandés en monothérapie, mais des études y ont trouvé un bénéfice thérapeutique si utilisé en combinaison à d’autres traitements.
  • Traitement hormonale de remplacement de la testostérone : chez les hommes en andropose.
  • Exercice physique peut être adjuvant aux autres traitements également!
347
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- Tx naturels: indication testostérone

A
  • Extrait de millepertuis : action comparable aux antidépresseurs et moins d’effets indésirables. Toutefois les données au long terme manquent. C’est à envisager pour les dépressions légères à modérées. Attention aux nombreuses interactions médicamenteuses.
  • Acides gras de type oméga-3 : non recommandés en monothérapie, mais des études y ont trouvé un bénéfice thérapeutique si utilisé en combinaison à d’autres traitements.
  • Traitement hormonale de remplacement de la testostérone : chez les hommes en andropose.
  • Exercice physique peut être adjuvant aux autres traitements également!
348
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- Tx naturels: exercice physique

A
  • Extrait de millepertuis : action comparable aux antidépresseurs et moins d’effets indésirables. Toutefois les données au long terme manquent. C’est à envisager pour les dépressions légères à modérées. Attention aux nombreuses interactions médicamenteuses.
  • Acides gras de type oméga-3 : non recommandés en monothérapie, mais des études y ont trouvé un bénéfice thérapeutique si utilisé en combinaison à d’autres traitements.
  • Traitement hormonale de remplacement de la testostérone : chez les hommes en andropose.
  • Exercice physique peut être adjuvant aux autres traitements également!
349
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- Interventions sociales

A
  • Une intervention sociale notamment via la psychoéducation des proches sur la dépression est très utile.
  • De plus, il est important de chercher à identifier des sources de stress sociales, telles qu’un climat familial discordant.
  • Si l’emploi de la personne contribue à la genèse de la dépression ou encore si la personne dépressive est incapable de l’effectuer correctement, un arrêt temporaire du travail peut être indiqué.
  • Il est toutefois recommandé de ne pas le prolonger plus que quelques mois, puisque l’inactivité entrave le retour au fonctionnement plus tard.
  • Un retour graduel le plus précoce possible est à privilégier.
350
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- Interventions sociales: vise quoi?

A
  • Une intervention sociale notamment via la psychoéducation des proches sur la dépression est très utile.
  • De plus, il est important de chercher à identifier des sources de stress sociales, telles qu’un climat familial discordant.
  • Si l’emploi de la personne contribue à la genèse de la dépression ou encore si la personne dépressive est incapable de l’effectuer correctement, un arrêt temporaire du travail peut être indiqué.
  • Il est toutefois recommandé de ne pas le prolonger plus que quelques mois, puisque l’inactivité entrave le retour au fonctionnement plus tard.
  • Un retour graduel le plus précoce possible est à privilégier.
351
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- Interventions sociales: arrêt de travail

A
  • Une intervention sociale notamment via la psychoéducation des proches sur la dépression est très utile.
  • De plus, il est important de chercher à identifier des sources de stress sociales, telles qu’un climat familial discordant.
  • Si l’emploi de la personne contribue à la genèse de la dépression ou encore si la personne dépressive est incapable de l’effectuer correctement, un arrêt temporaire du travail peut être indiqué.
  • Il est toutefois recommandé de ne pas le prolonger plus que quelques mois, puisque l’inactivité entrave le retour au fonctionnement plus tard.
  • Un retour graduel le plus précoce possible est à privilégier.
352
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- pour les aînés

A
  • Il est à noter que les grandes lignes du traitement des adultes s’appliquent aux aînés, à quelques nuances près, notamment une dose de médication parfois plus faible, et un soin attentif aux autres pathologies concomitantes et aux interactions médicamenteuses
353
Q

Tr dépressif caractérisé: Traitement
- différences aînés vs adultes

A
  • Il est à noter que les grandes lignes du traitement des adultes s’appliquent aux aînés, à quelques nuances près, notamment une dose de médication parfois plus faible, et un soin attentif aux autres pathologies concomitantes et aux interactions médicamenteuses
354
Q

Éléments à considérer dans le choix d’un antidépresseur

A
  • Choisir en premier une molécule qui a été efficace et bien tolérée au cours d’un épisode antérieur (s’il y a lieu).
  • Tenir compte des affections médicales concomitantes susceptibles de s’aggraver sous l’effet de l’antidépresseur.
  • Tenir compte des interactions avec les autres médicaments pris par le patient.
  • Tenir compte des symptômes cibles (ces choix ne sont pas absolus) :
    • la présence d’anxiété devrait orienter vers un ISRS, la venlafaxine, la mirtazapine ou un tricyclique ;
    • une insomnie importante fait choisir une molécule sédative à prescrire au coucher (p. ex., la mirtazapine) ;
    • la présence d’un ralentissement psychomoteur majeur porte vers le choix d’une molécule à effet stimulant comme la fluoxétine, le bupropion, la venlafaxine, la désipramine.
  • Tenir compte de la comorbidité : ainsi, un état dépressif compliquant un trouble obsessionnel-compulsif fait choisir un agent sérotoninergique comme les ISRS ou la clomipramine.
  • Prévoir les effets secondaires « souhaitables » ou à éviter, selon le cas (p. ex., la mirtazapine peut augmenter l’appétit, ce qui peut être souhaitable si le patient a beaucoup maigri, mais indésirable s’il est obèse).
  • Penser à la surdose possible : la possibilité d’un geste suicidaire amène à choisir une molécule peu toxique (p. ex., les ISRS sont recommandés, car ils sont bien tolérés en surdose, alors que les tricycliques devraient être évités en raison de leur danger potentiel dans de telles situations).
  • Écouter les préférences du patient (en tenir compte peut améliorer l’adhésion au traitement).
355
Q

Éléments à considérer dans le choix d’un antidépresseur
- 1ère molécule à choisir

A
  • Choisir en premier une molécule qui a été efficace et bien tolérée au cours d’un épisode antérieur (s’il y a lieu).
  • Tenir compte des affections médicales concomitantes susceptibles de s’aggraver sous l’effet de l’antidépresseur.
  • Tenir compte des interactions avec les autres médicaments pris par le patient.
  • Tenir compte des symptômes cibles (ces choix ne sont pas absolus) :
    • la présence d’anxiété devrait orienter vers un ISRS, la venlafaxine, la mirtazapine ou un tricyclique ;
    • une insomnie importante fait choisir une molécule sédative à prescrire au coucher (p. ex., la mirtazapine) ;
    • la présence d’un ralentissement psychomoteur majeur porte vers le choix d’une molécule à effet stimulant comme la fluoxétine, le bupropion, la venlafaxine, la désipramine.
  • Tenir compte de la comorbidité : ainsi, un état dépressif compliquant un trouble obsessionnel-compulsif fait choisir un agent sérotoninergique comme les ISRS ou la clomipramine.
  • Prévoir les effets secondaires « souhaitables » ou à éviter, selon le cas (p. ex., la mirtazapine peut augmenter l’appétit, ce qui peut être souhaitable si le patient a beaucoup maigri, mais indésirable s’il est obèse).
  • Penser à la surdose possible : la possibilité d’un geste suicidaire amène à choisir une molécule peu toxique (p. ex., les ISRS sont recommandés, car ils sont bien tolérés en surdose, alors que les tricycliques devraient être évités en raison de leur danger potentiel dans de telles situations).
  • Écouter les préférences du patient (en tenir compte peut améliorer l’adhésion au traitement).
356
Q

Éléments à considérer dans le choix d’un antidépresseur
- tenir compte de quoi?

A
  • Choisir en premier une molécule qui a été efficace et bien tolérée au cours d’un épisode antérieur (s’il y a lieu).
  • Tenir compte des affections médicales concomitantes susceptibles de s’aggraver sous l’effet de l’antidépresseur.
  • Tenir compte des interactions avec les autres médicaments pris par le patient.
  • Tenir compte des symptômes cibles (ces choix ne sont pas absolus) :
    • la présence d’anxiété devrait orienter vers un ISRS, la venlafaxine, la mirtazapine ou un tricyclique ;
    • une insomnie importante fait choisir une molécule sédative à prescrire au coucher (p. ex., la mirtazapine) ;
    • la présence d’un ralentissement psychomoteur majeur porte vers le choix d’une molécule à effet stimulant comme la fluoxétine, le bupropion, la venlafaxine, la désipramine.
  • Tenir compte de la comorbidité : ainsi, un état dépressif compliquant un trouble obsessionnel-compulsif fait choisir un agent sérotoninergique comme les ISRS ou la clomipramine.
  • Prévoir les effets secondaires « souhaitables » ou à éviter, selon le cas (p. ex., la mirtazapine peut augmenter l’appétit, ce qui peut être souhaitable si le patient a beaucoup maigri, mais indésirable s’il est obèse).
  • Penser à la surdose possible : la possibilité d’un geste suicidaire amène à choisir une molécule peu toxique (p. ex., les ISRS sont recommandés, car ils sont bien tolérés en surdose, alors que les tricycliques devraient être évités en raison de leur danger potentiel dans de telles situations).
  • Écouter les préférences du patient (en tenir compte peut améliorer l’adhésion au traitement).
357
Q

Éléments à considérer dans le choix d’un antidépresseur
- sx cibles

A
  • Choisir en premier une molécule qui a été efficace et bien tolérée au cours d’un épisode antérieur (s’il y a lieu).
  • Tenir compte des affections médicales concomitantes susceptibles de s’aggraver sous l’effet de l’antidépresseur.
  • Tenir compte des interactions avec les autres médicaments pris par le patient.
  • Tenir compte des symptômes cibles (ces choix ne sont pas absolus) :
    • la présence d’anxiété devrait orienter vers un ISRS, la venlafaxine, la mirtazapine ou un tricyclique ;
    • une insomnie importante fait choisir une molécule sédative à prescrire au coucher (p. ex., la mirtazapine) ;
    • la présence d’un ralentissement psychomoteur majeur porte vers le choix d’une molécule à effet stimulant comme la fluoxétine, le bupropion, la venlafaxine, la désipramine.
  • Tenir compte de la comorbidité : ainsi, un état dépressif compliquant un trouble obsessionnel-compulsif fait choisir un agent sérotoninergique comme les ISRS ou la clomipramine.
  • Prévoir les effets secondaires « souhaitables » ou à éviter, selon le cas (p. ex., la mirtazapine peut augmenter l’appétit, ce qui peut être souhaitable si le patient a beaucoup maigri, mais indésirable s’il est obèse).
  • Penser à la surdose possible : la possibilité d’un geste suicidaire amène à choisir une molécule peu toxique (p. ex., les ISRS sont recommandés, car ils sont bien tolérés en surdose, alors que les tricycliques devraient être évités en raison de leur danger potentiel dans de telles situations).
  • Écouter les préférences du patient (en tenir compte peut améliorer l’adhésion au traitement).
358
Q

Éléments à considérer dans le choix d’un antidépresseur
- Sx cibles: si présence d’anxiété

A
  • Choisir en premier une molécule qui a été efficace et bien tolérée au cours d’un épisode antérieur (s’il y a lieu).
  • Tenir compte des affections médicales concomitantes susceptibles de s’aggraver sous l’effet de l’antidépresseur.
  • Tenir compte des interactions avec les autres médicaments pris par le patient.
  • Tenir compte des symptômes cibles (ces choix ne sont pas absolus) :
    • la présence d’anxiété devrait orienter vers un ISRS, la venlafaxine, la mirtazapine ou un tricyclique ;
    • une insomnie importante fait choisir une molécule sédative à prescrire au coucher (p. ex., la mirtazapine) ;
    • la présence d’un ralentissement psychomoteur majeur porte vers le choix d’une molécule à effet stimulant comme la fluoxétine, le bupropion, la venlafaxine, la désipramine.
  • Tenir compte de la comorbidité : ainsi, un état dépressif compliquant un trouble obsessionnel-compulsif fait choisir un agent sérotoninergique comme les ISRS ou la clomipramine.
  • Prévoir les effets secondaires « souhaitables » ou à éviter, selon le cas (p. ex., la mirtazapine peut augmenter l’appétit, ce qui peut être souhaitable si le patient a beaucoup maigri, mais indésirable s’il est obèse).
  • Penser à la surdose possible : la possibilité d’un geste suicidaire amène à choisir une molécule peu toxique (p. ex., les ISRS sont recommandés, car ils sont bien tolérés en surdose, alors que les tricycliques devraient être évités en raison de leur danger potentiel dans de telles situations).
  • Écouter les préférences du patient (en tenir compte peut améliorer l’adhésion au traitement).
359
Q

Éléments à considérer dans le choix d’un antidépresseur
- Sx cibles: si présence d’insomnie

A
  • Choisir en premier une molécule qui a été efficace et bien tolérée au cours d’un épisode antérieur (s’il y a lieu).
  • Tenir compte des affections médicales concomitantes susceptibles de s’aggraver sous l’effet de l’antidépresseur.
  • Tenir compte des interactions avec les autres médicaments pris par le patient.
  • Tenir compte des symptômes cibles (ces choix ne sont pas absolus) :
    • la présence d’anxiété devrait orienter vers un ISRS, la venlafaxine, la mirtazapine ou un tricyclique ;
    • une insomnie importante fait choisir une molécule sédative à prescrire au coucher (p. ex., la mirtazapine) ;
    • la présence d’un ralentissement psychomoteur majeur porte vers le choix d’une molécule à effet stimulant comme la fluoxétine, le bupropion, la venlafaxine, la désipramine.
  • Tenir compte de la comorbidité : ainsi, un état dépressif compliquant un trouble obsessionnel-compulsif fait choisir un agent sérotoninergique comme les ISRS ou la clomipramine.
  • Prévoir les effets secondaires « souhaitables » ou à éviter, selon le cas (p. ex., la mirtazapine peut augmenter l’appétit, ce qui peut être souhaitable si le patient a beaucoup maigri, mais indésirable s’il est obèse).
  • Penser à la surdose possible : la possibilité d’un geste suicidaire amène à choisir une molécule peu toxique (p. ex., les ISRS sont recommandés, car ils sont bien tolérés en surdose, alors que les tricycliques devraient être évités en raison de leur danger potentiel dans de telles situations).
  • Écouter les préférences du patient (en tenir compte peut améliorer l’adhésion au traitement).
360
Q

Éléments à considérer dans le choix d’un antidépresseur
- Sx cibles: si présence de ralentissement psychomoteur

A
  • Choisir en premier une molécule qui a été efficace et bien tolérée au cours d’un épisode antérieur (s’il y a lieu).
  • Tenir compte des affections médicales concomitantes susceptibles de s’aggraver sous l’effet de l’antidépresseur.
  • Tenir compte des interactions avec les autres médicaments pris par le patient.
  • Tenir compte des symptômes cibles (ces choix ne sont pas absolus) :
    • la présence d’anxiété devrait orienter vers un ISRS, la venlafaxine, la mirtazapine ou un tricyclique ;
    • une insomnie importante fait choisir une molécule sédative à prescrire au coucher (p. ex., la mirtazapine) ;
    • la présence d’un ralentissement psychomoteur majeur porte vers le choix d’une molécule à effet stimulant comme la fluoxétine, le bupropion, la venlafaxine, la désipramine.
  • Tenir compte de la comorbidité : ainsi, un état dépressif compliquant un trouble obsessionnel-compulsif fait choisir un agent sérotoninergique comme les ISRS ou la clomipramine.
  • Prévoir les effets secondaires « souhaitables » ou à éviter, selon le cas (p. ex., la mirtazapine peut augmenter l’appétit, ce qui peut être souhaitable si le patient a beaucoup maigri, mais indésirable s’il est obèse).
  • Penser à la surdose possible : la possibilité d’un geste suicidaire amène à choisir une molécule peu toxique (p. ex., les ISRS sont recommandés, car ils sont bien tolérés en surdose, alors que les tricycliques devraient être évités en raison de leur danger potentiel dans de telles situations).
  • Écouter les préférences du patient (en tenir compte peut améliorer l’adhésion au traitement).
361
Q

Éléments à considérer dans le choix d’un antidépresseur
- Comorbidités

A
  • Choisir en premier une molécule qui a été efficace et bien tolérée au cours d’un épisode antérieur (s’il y a lieu).
  • Tenir compte des affections médicales concomitantes susceptibles de s’aggraver sous l’effet de l’antidépresseur.
  • Tenir compte des interactions avec les autres médicaments pris par le patient.
  • Tenir compte des symptômes cibles (ces choix ne sont pas absolus) :
    • la présence d’anxiété devrait orienter vers un ISRS, la venlafaxine, la mirtazapine ou un tricyclique ;
    • une insomnie importante fait choisir une molécule sédative à prescrire au coucher (p. ex., la mirtazapine) ;
    • la présence d’un ralentissement psychomoteur majeur porte vers le choix d’une molécule à effet stimulant comme la fluoxétine, le bupropion, la venlafaxine, la désipramine.
  • Tenir compte de la comorbidité : ainsi, un état dépressif compliquant un trouble obsessionnel-compulsif fait choisir un agent sérotoninergique comme les ISRS ou la clomipramine.
  • Prévoir les effets secondaires « souhaitables » ou à éviter, selon le cas (p. ex., la mirtazapine peut augmenter l’appétit, ce qui peut être souhaitable si le patient a beaucoup maigri, mais indésirable s’il est obèse).
  • Penser à la surdose possible : la possibilité d’un geste suicidaire amène à choisir une molécule peu toxique (p. ex., les ISRS sont recommandés, car ils sont bien tolérés en surdose, alors que les tricycliques devraient être évités en raison de leur danger potentiel dans de telles situations).
  • Écouter les préférences du patient (en tenir compte peut améliorer l’adhésion au traitement).
362
Q

Éléments à considérer dans le choix d’un antidépresseur
- Comorbidités: si TOC + tr dépressif

A
  • Choisir en premier une molécule qui a été efficace et bien tolérée au cours d’un épisode antérieur (s’il y a lieu).
  • Tenir compte des affections médicales concomitantes susceptibles de s’aggraver sous l’effet de l’antidépresseur.
  • Tenir compte des interactions avec les autres médicaments pris par le patient.
  • Tenir compte des symptômes cibles (ces choix ne sont pas absolus) :
    • la présence d’anxiété devrait orienter vers un ISRS, la venlafaxine, la mirtazapine ou un tricyclique ;
    • une insomnie importante fait choisir une molécule sédative à prescrire au coucher (p. ex., la mirtazapine) ;
    • la présence d’un ralentissement psychomoteur majeur porte vers le choix d’une molécule à effet stimulant comme la fluoxétine, le bupropion, la venlafaxine, la désipramine.
  • Tenir compte de la comorbidité : ainsi, un état dépressif compliquant un trouble obsessionnel-compulsif fait choisir un agent sérotoninergique comme les ISRS ou la clomipramine.
  • Prévoir les effets secondaires « souhaitables » ou à éviter, selon le cas (p. ex., la mirtazapine peut augmenter l’appétit, ce qui peut être souhaitable si le patient a beaucoup maigri, mais indésirable s’il est obèse).
  • Penser à la surdose possible : la possibilité d’un geste suicidaire amène à choisir une molécule peu toxique (p. ex., les ISRS sont recommandés, car ils sont bien tolérés en surdose, alors que les tricycliques devraient être évités en raison de leur danger potentiel dans de telles situations).
  • Écouter les préférences du patient (en tenir compte peut améliorer l’adhésion au traitement).
363
Q

Éléments à considérer dans le choix d’un antidépresseur
- E2

A
  • Choisir en premier une molécule qui a été efficace et bien tolérée au cours d’un épisode antérieur (s’il y a lieu).
  • Tenir compte des affections médicales concomitantes susceptibles de s’aggraver sous l’effet de l’antidépresseur.
  • Tenir compte des interactions avec les autres médicaments pris par le patient.
  • Tenir compte des symptômes cibles (ces choix ne sont pas absolus) :
    • la présence d’anxiété devrait orienter vers un ISRS, la venlafaxine, la mirtazapine ou un tricyclique ;
    • une insomnie importante fait choisir une molécule sédative à prescrire au coucher (p. ex., la mirtazapine) ;
    • la présence d’un ralentissement psychomoteur majeur porte vers le choix d’une molécule à effet stimulant comme la fluoxétine, le bupropion, la venlafaxine, la désipramine.
  • Tenir compte de la comorbidité : ainsi, un état dépressif compliquant un trouble obsessionnel-compulsif fait choisir un agent sérotoninergique comme les ISRS ou la clomipramine.
  • Prévoir les effets secondaires « souhaitables » ou à éviter, selon le cas (p. ex., la mirtazapine peut augmenter l’appétit, ce qui peut être souhaitable si le patient a beaucoup maigri, mais indésirable s’il est obèse).
  • Penser à la surdose possible : la possibilité d’un geste suicidaire amène à choisir une molécule peu toxique (p. ex., les ISRS sont recommandés, car ils sont bien tolérés en surdose, alors que les tricycliques devraient être évités en raison de leur danger potentiel dans de telles situations).
  • Écouter les préférences du patient (en tenir compte peut améliorer l’adhésion au traitement).
364
Q

Éléments à considérer dans le choix d’un antidépresseur
- Risque de surdose

A
  • Choisir en premier une molécule qui a été efficace et bien tolérée au cours d’un épisode antérieur (s’il y a lieu).
  • Tenir compte des affections médicales concomitantes susceptibles de s’aggraver sous l’effet de l’antidépresseur.
  • Tenir compte des interactions avec les autres médicaments pris par le patient.
  • Tenir compte des symptômes cibles (ces choix ne sont pas absolus) :
    • la présence d’anxiété devrait orienter vers un ISRS, la venlafaxine, la mirtazapine ou un tricyclique ;
    • une insomnie importante fait choisir une molécule sédative à prescrire au coucher (p. ex., la mirtazapine) ;
    • la présence d’un ralentissement psychomoteur majeur porte vers le choix d’une molécule à effet stimulant comme la fluoxétine, le bupropion, la venlafaxine, la désipramine.
  • Tenir compte de la comorbidité : ainsi, un état dépressif compliquant un trouble obsessionnel-compulsif fait choisir un agent sérotoninergique comme les ISRS ou la clomipramine.
  • Prévoir les effets secondaires « souhaitables » ou à éviter, selon le cas (p. ex., la mirtazapine peut augmenter l’appétit, ce qui peut être souhaitable si le patient a beaucoup maigri, mais indésirable s’il est obèse).
  • Penser à la surdose possible : la possibilité d’un geste suicidaire amène à choisir une molécule peu toxique (p. ex., les ISRS sont recommandés, car ils sont bien tolérés en surdose, alors que les tricycliques devraient être évités en raison de leur danger potentiel dans de telles situations).
  • Écouter les préférences du patient (en tenir compte peut améliorer l’adhésion au traitement).
365
Q

Éléments à considérer dans le choix d’un antidépresseur
- Préférences du patient

A
  • Choisir en premier une molécule qui a été efficace et bien tolérée au cours d’un épisode antérieur (s’il y a lieu).
  • Tenir compte des affections médicales concomitantes susceptibles de s’aggraver sous l’effet de l’antidépresseur.
  • Tenir compte des interactions avec les autres médicaments pris par le patient.
  • Tenir compte des symptômes cibles (ces choix ne sont pas absolus) :
    • la présence d’anxiété devrait orienter vers un ISRS, la venlafaxine, la mirtazapine ou un tricyclique ;
    • une insomnie importante fait choisir une molécule sédative à prescrire au coucher (p. ex., la mirtazapine) ;
    • la présence d’un ralentissement psychomoteur majeur porte vers le choix d’une molécule à effet stimulant comme la fluoxétine, le bupropion, la venlafaxine, la désipramine.
  • Tenir compte de la comorbidité : ainsi, un état dépressif compliquant un trouble obsessionnel-compulsif fait choisir un agent sérotoninergique comme les ISRS ou la clomipramine.
  • Prévoir les effets secondaires « souhaitables » ou à éviter, selon le cas (p. ex., la mirtazapine peut augmenter l’appétit, ce qui peut être souhaitable si le patient a beaucoup maigri, mais indésirable s’il est obèse).
  • Penser à la surdose possible : la possibilité d’un geste suicidaire amène à choisir une molécule peu toxique (p. ex., les ISRS sont recommandés, car ils sont bien tolérés en surdose, alors que les tricycliques devraient être évités en raison de leur danger potentiel dans de telles situations).
  • Écouter les préférences du patient (en tenir compte peut améliorer l’adhésion au traitement).
366
Q

Informations à communiquer au patient déprimé et à ses proches

A
  • Vous souffrez d’une dépression, un état fréquent et traitable.
  • Ça ne veut pas dire que vous êtes inepte, faible, ou sans volonté.
  • Votre état ne s’améliorera pas simplement par des efforts de votre part.
  • Cela vaut la peine de vous faire soigner ; attendre de guérir tout seul pourrait vouloir dire souffrir pendant des mois.
  • Vous avez peut-être l’impression que vous n’irez jamais mieux ; ce pessimisme est un symptôme de votre état. Ne perdez pas courage, il est probable que vous allez vous améliorer.
  • Si vous êtes découragé au point de vouloir vous enlever la vie, c’est important de le communiquer. N’oubliez pas qu’un suicide laisse un goût amer, un lourd héritage à votre entourage.
  • Le médicament devrait soulager votre angoisse, la tristesse, l’insomnie et la perte d’appétit. Il ne sera pas efcace du jour au lendemain, il faut souvent de deux à quatre semaines avant de noter une amélioration.
  • Il est assez fréquent que le premier médicament s’avère peu efficace, il se peut que nous devions en essayer un autre.
  • Les effets indésirables prévisibles sont les suivants (les nommer) et surviennent surtout en début de traitement.
  • Même lorsque vous irez mieux, il faudra continuer de prendre le médicament assez longtemps pour vous protéger d’une rechute.
  • En plus de la médication, il faut identifier les stress et les façons de penser qui ont pu contribuer à provoquer votre état. Une psychothérapie est à cet égard très utile.
  • Pour l’instant, vous trouverez peut-être difficile de vous occuper de vos responsabilités quotidiennes. Il faut envisager de trouver de l’aide et un soutien pratique de la part de vos proches et de vos amis.
  • Évitez l’alcool et la drogue, qui peuvent vous rendre plus dépressif ou impulsif et provoquer des gestes que vous pourriez regretter.
  • Essayez de faire un peu d’exercice, de vous activer, de bien manger et de vous reposer.
367
Q

Informations à communiquer au patient déprimé et à ses proches
- réassurance

A
  • Vous souffrez d’une dépression, un état fréquent et traitable.
  • Ça ne veut pas dire que vous êtes inepte, faible, ou sans volonté.
  • Votre état ne s’améliorera pas simplement par des efforts de votre part.
  • Cela vaut la peine de vous faire soigner ; attendre de guérir tout seul pourrait vouloir dire souffrir pendant des mois.
  • Vous avez peut-être l’impression que vous n’irez jamais mieux ; ce pessimisme est un symptôme de votre état. Ne perdez pas courage, il est probable que vous allez vous améliorer.
  • Si vous êtes découragé au point de vouloir vous enlever la vie, c’est important de le communiquer. N’oubliez pas qu’un suicide laisse un goût amer, un lourd héritage à votre entourage.
  • Le médicament devrait soulager votre angoisse, la tristesse, l’insomnie et la perte d’appétit. Il ne sera pas efficace du jour au lendemain, il faut souvent de deux à quatre semaines avant de noter une amélioration.
  • Il est assez fréquent que le premier médicament s’avère peu efficace, il se peut que nous devions en essayer un autre.
  • Les effets indésirables prévisibles sont les suivants (les nommer) et surviennent surtout en début de traitement.
  • Même lorsque vous irez mieux, il faudra continuer de prendre le médicament assez longtemps pour vous protéger d’une rechute.
  • En plus de la médication, il faut identifier les stress et les façons de penser qui ont pu contribuer à provoquer votre état. Une psychothérapie est à cet égard très utile.
  • Pour l’instant, vous trouverez peut-être difficile de vous occuper de vos responsabilités quotidiennes. Il faut envisager de trouver de l’aide et un soutien pratique de la part de vos proches et de vos amis.
  • Évitez l’alcool et la drogue, qui peuvent vous rendre plus dépressif ou impulsif et provoquer des gestes que vous pourriez regretter.
  • Essayez de faire un peu d’exercice, de vous activer, de bien manger et de vous reposer.
368
Q

Informations à communiquer au patient déprimé et à ses proches
- suicide

A
  • Vous souffrez d’une dépression, un état fréquent et traitable.
  • Ça ne veut pas dire que vous êtes inepte, faible, ou sans volonté.
  • Votre état ne s’améliorera pas simplement par des efforts de votre part.
  • Cela vaut la peine de vous faire soigner ; attendre de guérir tout seul pourrait vouloir dire souffrir pendant des mois.
  • Vous avez peut-être l’impression que vous n’irez jamais mieux ; ce pessimisme est un symptôme de votre état. Ne perdez pas courage, il est probable que vous allez vous améliorer.
  • Si vous êtes découragé au point de vouloir vous enlever la vie, c’est important de le communiquer. N’oubliez pas qu’un suicide laisse un goût amer, un lourd héritage à votre entourage.
  • Le médicament devrait soulager votre angoisse, la tristesse, l’insomnie et la perte d’appétit. Il ne sera pas efficace du jour au lendemain, il faut souvent de deux à quatre semaines avant de noter une amélioration.
  • Il est assez fréquent que le premier médicament s’avère peu efficace, il se peut que nous devions en essayer un autre.
  • Les effets indésirables prévisibles sont les suivants (les nommer) et surviennent surtout en début de traitement.
  • Même lorsque vous irez mieux, il faudra continuer de prendre le médicament assez longtemps pour vous protéger d’une rechute.
  • En plus de la médication, il faut identifier les stress et les façons de penser qui ont pu contribuer à provoquer votre état. Une psychothérapie est à cet égard très utile.
  • Pour l’instant, vous trouverez peut-être difficile de vous occuper de vos responsabilités quotidiennes. Il faut envisager de trouver de l’aide et un soutien pratique de la part de vos proches et de vos amis.
  • Évitez l’alcool et la drogue, qui peuvent vous rendre plus dépressif ou impulsif et provoquer des gestes que vous pourriez regretter.
  • Essayez de faire un peu d’exercice, de vous activer, de bien manger et de vous reposer.
369
Q

Informations à communiquer au patient déprimé et à ses proches
- effets de la médication

A
  • Vous souffrez d’une dépression, un état fréquent et traitable.
  • Ça ne veut pas dire que vous êtes inepte, faible, ou sans volonté.
  • Votre état ne s’améliorera pas simplement par des efforts de votre part.
  • Cela vaut la peine de vous faire soigner ; attendre de guérir tout seul pourrait vouloir dire souffrir pendant des mois.
  • Vous avez peut-être l’impression que vous n’irez jamais mieux ; ce pessimisme est un symptôme de votre état. Ne perdez pas courage, il est probable que vous allez vous améliorer.
  • Si vous êtes découragé au point de vouloir vous enlever la vie, c’est important de le communiquer. N’oubliez pas qu’un suicide laisse un goût amer, un lourd héritage à votre entourage.
  • Le médicament devrait soulager votre angoisse, la tristesse, l’insomnie et la perte d’appétit. Il ne sera pas efficace du jour au lendemain, il faut souvent de deux à quatre semaines avant de noter une amélioration.
  • Il est assez fréquent que le premier médicament s’avère peu efficace, il se peut que nous devions en essayer un autre.
  • Les effets indésirables prévisibles sont les suivants (les nommer) et surviennent surtout en début de traitement.
  • Même lorsque vous irez mieux, il faudra continuer de prendre le médicament assez longtemps pour vous protéger d’une rechute.
  • En plus de la médication, il faut identifier les stress et les façons de penser qui ont pu contribuer à provoquer votre état. Une psychothérapie est à cet égard très utile.
  • Pour l’instant, vous trouverez peut-être difficile de vous occuper de vos responsabilités quotidiennes. Il faut envisager de trouver de l’aide et un soutien pratique de la part de vos proches et de vos amis.
  • Évitez l’alcool et la drogue, qui peuvent vous rendre plus dépressif ou impulsif et provoquer des gestes que vous pourriez regretter.
  • Essayez de faire un peu d’exercice, de vous activer, de bien manger et de vous reposer.
370
Q

Informations à communiquer au patient déprimé et à ses proches
- combien de temps prendre la médication?

A
  • Vous souffrez d’une dépression, un état fréquent et traitable.
  • Ça ne veut pas dire que vous êtes inepte, faible, ou sans volonté.
  • Votre état ne s’améliorera pas simplement par des efforts de votre part.
  • Cela vaut la peine de vous faire soigner ; attendre de guérir tout seul pourrait vouloir dire souffrir pendant des mois.
  • Vous avez peut-être l’impression que vous n’irez jamais mieux ; ce pessimisme est un symptôme de votre état. Ne perdez pas courage, il est probable que vous allez vous améliorer.
  • Si vous êtes découragé au point de vouloir vous enlever la vie, c’est important de le communiquer. N’oubliez pas qu’un suicide laisse un goût amer, un lourd héritage à votre entourage.
  • Le médicament devrait soulager votre angoisse, la tristesse, l’insomnie et la perte d’appétit. Il ne sera pas efficace du jour au lendemain, il faut souvent de deux à quatre semaines avant de noter une amélioration.
  • Il est assez fréquent que le premier médicament s’avère peu efficace, il se peut que nous devions en essayer un autre.
  • Les effets indésirables prévisibles sont les suivants (les nommer) et surviennent surtout en début de traitement.
  • Même lorsque vous irez mieux, il faudra continuer de prendre le médicament assez longtemps pour vous protéger d’une rechute.
  • En plus de la médication, il faut identifier les stress et les façons de penser qui ont pu contribuer à provoquer votre état. Une psychothérapie est à cet égard très utile.
  • Pour l’instant, vous trouverez peut-être difficile de vous occuper de vos responsabilités quotidiennes. Il faut envisager de trouver de l’aide et un soutien pratique de la part de vos proches et de vos amis.
  • Évitez l’alcool et la drogue, qui peuvent vous rendre plus dépressif ou impulsif et provoquer des gestes que vous pourriez regretter.
  • Essayez de faire un peu d’exercice, de vous activer, de bien manger et de vous reposer.
371
Q

Informations à communiquer au patient déprimé et à ses proches
- psychotx

A
  • Vous souffrez d’une dépression, un état fréquent et traitable.
  • Ça ne veut pas dire que vous êtes inepte, faible, ou sans volonté.
  • Votre état ne s’améliorera pas simplement par des efforts de votre part.
  • Cela vaut la peine de vous faire soigner ; attendre de guérir tout seul pourrait vouloir dire souffrir pendant des mois.
  • Vous avez peut-être l’impression que vous n’irez jamais mieux ; ce pessimisme est un symptôme de votre état. Ne perdez pas courage, il est probable que vous allez vous améliorer.
  • Si vous êtes découragé au point de vouloir vous enlever la vie, c’est important de le communiquer. N’oubliez pas qu’un suicide laisse un goût amer, un lourd héritage à votre entourage.
  • Le médicament devrait soulager votre angoisse, la tristesse, l’insomnie et la perte d’appétit. Il ne sera pas efficace du jour au lendemain, il faut souvent de deux à quatre semaines avant de noter une amélioration.
  • Il est assez fréquent que le premier médicament s’avère peu efficace, il se peut que nous devions en essayer un autre.
  • Les effets indésirables prévisibles sont les suivants (les nommer) et surviennent surtout en début de traitement.
  • Même lorsque vous irez mieux, il faudra continuer de prendre le médicament assez longtemps pour vous protéger d’une rechute.
  • En plus de la médication, il faut identifier les stress et les façons de penser qui ont pu contribuer à provoquer votre état. Une psychothérapie est à cet égard très utile.
  • Pour l’instant, vous trouverez peut-être difficile de vous occuper de vos responsabilités quotidiennes. Il faut envisager de trouver de l’aide et un soutien pratique de la part de vos proches et de vos amis.
  • Évitez l’alcool et la drogue, qui peuvent vous rendre plus dépressif ou impulsif et provoquer des gestes que vous pourriez regretter.
  • Essayez de faire un peu d’exercice, de vous activer, de bien manger et de vous reposer.
372
Q

Informations à communiquer au patient déprimé et à ses proches
- AVQ et AVD

A
  • Vous souffrez d’une dépression, un état fréquent et traitable.
  • Ça ne veut pas dire que vous êtes inepte, faible, ou sans volonté.
  • Votre état ne s’améliorera pas simplement par des efforts de votre part.
  • Cela vaut la peine de vous faire soigner ; attendre de guérir tout seul pourrait vouloir dire souffrir pendant des mois.
  • Vous avez peut-être l’impression que vous n’irez jamais mieux ; ce pessimisme est un symptôme de votre état. Ne perdez pas courage, il est probable que vous allez vous améliorer.
  • Si vous êtes découragé au point de vouloir vous enlever la vie, c’est important de le communiquer. N’oubliez pas qu’un suicide laisse un goût amer, un lourd héritage à votre entourage.
  • Le médicament devrait soulager votre angoisse, la tristesse, l’insomnie et la perte d’appétit. Il ne sera pas efficace du jour au lendemain, il faut souvent de deux à quatre semaines avant de noter une amélioration.
  • Il est assez fréquent que le premier médicament s’avère peu efficace, il se peut que nous devions en essayer un autre.
  • Les effets indésirables prévisibles sont les suivants (les nommer) et surviennent surtout en début de traitement.
  • Même lorsque vous irez mieux, il faudra continuer de prendre le médicament assez longtemps pour vous protéger d’une rechute.
  • En plus de la médication, il faut identifier les stress et les façons de penser qui ont pu contribuer à provoquer votre état. Une psychothérapie est à cet égard très utile.
  • Pour l’instant, vous trouverez peut-être difficile de vous occuper de vos responsabilités quotidiennes. Il faut envisager de trouver de l’aide et un soutien pratique de la part de vos proches et de vos amis.
  • Évitez l’alcool et la drogue, qui peuvent vous rendre plus dépressif ou impulsif et provoquer des gestes que vous pourriez regretter.
  • Essayez de faire un peu d’exercice, de vous activer, de bien manger et de vous reposer.
373
Q

Informations à communiquer au patient déprimé et à ses proches
- HDV

A
  • Vous souffrez d’une dépression, un état fréquent et traitable.
  • Ça ne veut pas dire que vous êtes inepte, faible, ou sans volonté.
  • Votre état ne s’améliorera pas simplement par des efforts de votre part.
  • Cela vaut la peine de vous faire soigner ; attendre de guérir tout seul pourrait vouloir dire souffrir pendant des mois.
  • Vous avez peut-être l’impression que vous n’irez jamais mieux ; ce pessimisme est un symptôme de votre état. Ne perdez pas courage, il est probable que vous allez vous améliorer.
  • Si vous êtes découragé au point de vouloir vous enlever la vie, c’est important de le communiquer. N’oubliez pas qu’un suicide laisse un goût amer, un lourd héritage à votre entourage.
  • Le médicament devrait soulager votre angoisse, la tristesse, l’insomnie et la perte d’appétit. Il ne sera pas efficace du jour au lendemain, il faut souvent de deux à quatre semaines avant de noter une amélioration.
  • Il est assez fréquent que le premier médicament s’avère peu efficace, il se peut que nous devions en essayer un autre.
  • Les effets indésirables prévisibles sont les suivants (les nommer) et surviennent surtout en début de traitement.
  • Même lorsque vous irez mieux, il faudra continuer de prendre le médicament assez longtemps pour vous protéger d’une rechute.
  • En plus de la médication, il faut identifier les stress et les façons de penser qui ont pu contribuer à provoquer votre état. Une psychothérapie est à cet égard très utile.
  • Pour l’instant, vous trouverez peut-être difficile de vous occuper de vos responsabilités quotidiennes. Il faut envisager de trouver de l’aide et un soutien pratique de la part de vos proches et de vos amis.
  • Évitez l’alcool et la drogue, qui peuvent vous rendre plus dépressif ou impulsif et provoquer des gestes que vous pourriez regretter.
  • Essayez de faire un peu d’exercice, de vous activer, de bien manger et de vous reposer.
374
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs

A

IMPORTANT

375
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Traitement initial

A
  • Amorcer l’antidépresseur à une dose au bas de la fourchette thérapeutique et augmenter au besoin (sauf pour les tricycliqueset les IMAO, pour lesquels la dose initiale est sous-thérapeutique).
  • Tenir compte des effets stimulants ou sédatifs pour décider d’une prise matinale ou vespérale.
  • Faire un essai de trois à cinq semaines à dose thérapeutique avant d’évaluer les résultats.
  • En cas de dépression psychotique, amorcer un double traitement avec AD et antipsychotique.
376
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Traitement initial: dose

A
  • Amorcer l’antidépresseur à une dose au bas de la fourchette thérapeutique et augmenter au besoin (sauf pour les tricycliqueset les IMAO, pour lesquels la dose initiale est sous-thérapeutique).
  • Tenir compte des effets stimulants ou sédatifs pour décider d’une prise matinale ou vespérale.
  • Faire un essai de trois à cinq semaines à dose thérapeutique avant d’évaluer les résultats.
  • En cas de dépression psychotique, amorcer un double traitement avec AD et antipsychotique.
377
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Traitement initial: E2

A
  • Amorcer l’antidépresseur à une dose au bas de la fourchette thérapeutique et augmenter au besoin (sauf pour les tricycliqueset les IMAO, pour lesquels la dose initiale est sous-thérapeutique).
  • Tenir compte des effets stimulants ou sédatifs pour décider d’une prise matinale ou vespérale.
  • Faire un essai de trois à cinq semaines à dose thérapeutique avant d’évaluer les résultats.
  • En cas de dépression psychotique, amorcer un double traitement avec AD et antipsychotique.
378
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Traitement initial: durée de l’essai thérapeutique

A
  • Amorcer l’antidépresseur à une dose au bas de la fourchette thérapeutique et augmenter au besoin (sauf pour les tricycliqueset les IMAO, pour lesquels la dose initiale est sous-thérapeutique).
  • Tenir compte des effets stimulants ou sédatifs pour décider d’une prise matinale ou vespérale.
  • Faire un essai de trois à cinq semaines à dose thérapeutique avant d’évaluer les résultats.
  • En cas de dépression psychotique, amorcer un double traitement avec AD et antipsychotique.
379
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Traitement initial: médicaments si dépression psychotique

A
  • Amorcer l’antidépresseur à une dose au bas de la fourchette thérapeutique et augmenter au besoin (sauf pour les tricycliqueset les IMAO, pour lesquels la dose initiale est sous-thérapeutique).
  • Tenir compte des effets stimulants ou sédatifs pour décider d’une prise matinale ou vespérale.
  • Faire un essai de trois à cinq semaines à dose thérapeutique avant d’évaluer les résultats.
  • En cas de dépression psychotique, amorcer un double traitement avec AD et antipsychotique.
380
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Traitement initial si dépression LÉGÈRE

A
  • Considérer les approches psychothérapeutiques seules
  • Considérer les solutions non médicamenteuses (millepertuis, oméga-3, exercice physique).
381
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Traitement initial si dépression MODÉRÉE

A
  • Pas de psychothérapie seule
  • Par contre, la combinaison d’une psychothérapie à une pharmacothérapie est supérieure à un de ces traitements donnés isolément.
382
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Traitement initial si dépression GRAVE / CATATONIQUE / SUICIDAIRE À HAUTE RISQUE

A

Dépression grave, catatonique, avec tendance suicidaire ou à haut risque (p. ex., dénutrition, déshydratation)

  • Considérer hospitalisation, ECT avec amorce de médication en parallèle.
383
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Échec thérapeutique

A
  • Échec thérapeutique (amélioration inférieure à 50 % après 4 à 8 semaines de pharmacothérapie à dose thérapeutique)
  • Le médecin doit se poser les questions suivantes : Le diagnostic est-il le bon ? La dose est-elle suffisante ? L’adhésion au traitement est-elle bonne ? Une affection médicale ou un abus de substances nuisent-ils au traitement ? Des facteurs psychosociaux perpétuent-ils l’état dépressif ? Un trouble de la personnalité est-il associé à l’état dépressif ?
  • Option :
    • Optimisation: augmentation de la dose du même AD jusqu’à la dose maximale et selon tolérance
    • Potentialisation de l’AD par une molécule d’une autre classe : le lithium, la triiodothyronine (T3) ou un antipsychotique atypique
    • Combinaison : ajout d’un second AD au premier AD, les deux agissant différemment sur les neurotransmetteurs (p. ex., buproprion et ISRS ; mirtazapine et venlafaxine)
    • Substitution : remplacement de l’AD par un autre AD qui peut avoir une action différente sur les neurotransmetteurs, ou qui agit sur plusieurs neurotransmetteurs.

Dépression résistante: absence de réponse après au moins deux tentatives de médication différentes, à doses thérapeutiques et de durée suffisante (minimum huit semaines chacune) : envoyer en psychiatrie.

384
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Échec thérapeutique: définit comment?

A
  • Échec thérapeutique (amélioration inférieure à 50 % après 4 à 8 semaines de pharmacothérapie à dose thérapeutique)
  • Le médecin doit se poser les questions suivantes : Le diagnostic est-il le bon ? La dose est-elle suffisante ? L’adhésion au traitement est-elle bonne ? Une affection médicale ou un abus de substances nuisent-ils au traitement ? Des facteurs psychosociaux perpétuent-ils l’état dépressif ? Un trouble de la personnalité est-il associé à l’état dépressif ?
  • Option :
    • Optimisation: augmentation de la dose du même AD jusqu’à la dose maximale et selon tolérance
    • Potentialisation de l’AD par une molécule d’une autre classe : le lithium, la triiodothyronine (T3) ou un antipsychotique atypique
    • Combinaison : ajout d’un second AD au premier AD, les deux agissant différemment sur les neurotransmetteurs (p. ex., buproprion et ISRS ; mirtazapine et venlafaxine)
    • Substitution : remplacement de l’AD par un autre AD qui peut avoir une action différente sur les neurotransmetteurs, ou qui agit sur plusieurs neurotransmetteurs.

Dépression résistante: absence de réponse après au moins deux tentatives de médication différentes, à doses thérapeutiques et de durée suffisante (minimum huit semaines chacune) : envoyer en psychiatrie.

385
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Échec thérapeutique: le médecin doit se poser quelles questions?

A
  • Échec thérapeutique (amélioration inférieure à 50 % après 4 à 8 semaines de pharmacothérapie à dose thérapeutique)
  • Le médecin doit se poser les questions suivantes : Le diagnostic est-il le bon ? La dose est-elle suffisante ? L’adhésion au traitement est-elle bonne ? Une affection médicale ou un abus de substances nuisent-ils au traitement ? Des facteurs psychosociaux perpétuent-ils l’état dépressif ? Un trouble de la personnalité est-il associé à l’état dépressif ?
  • Option :
    • Optimisation: augmentation de la dose du même AD jusqu’à la dose maximale et selon tolérance
    • Potentialisation de l’AD par une molécule d’une autre classe : le lithium, la triiodothyronine (T3) ou un antipsychotique atypique
    • Combinaison : ajout d’un second AD au premier AD, les deux agissant différemment sur les neurotransmetteurs (p. ex., buproprion et ISRS ; mirtazapine et venlafaxine)
    • Substitution : remplacement de l’AD par un autre AD qui peut avoir une action différente sur les neurotransmetteurs, ou qui agit sur plusieurs neurotransmetteurs.

Dépression résistante: absence de réponse après au moins deux tentatives de médication différentes, à doses thérapeutiques et de durée suffisante (minimum huit semaines chacune) : envoyer en psychiatrie.

386
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Échec thérapeutique: Options possibles?

A
  • Échec thérapeutique (amélioration inférieure à 50 % après 4 à 8 semaines de pharmacothérapie à dose thérapeutique)
  • Le médecin doit se poser les questions suivantes : Le diagnostic est-il le bon ? La dose est-elle suffisante ? L’adhésion au traitement est-elle bonne ? Une affection médicale ou un abus de substances nuisent-ils au traitement ? Des facteurs psychosociaux perpétuent-ils l’état dépressif ? Un trouble de la personnalité est-il associé à l’état dépressif ?
  • Options :
    • Optimisation: augmentation de la dose du même AD jusqu’à la dose maximale et selon tolérance
    • Potentialisation de l’AD par une molécule d’une autre classe : le lithium, la triiodothyronine (T3) ou un antipsychotique atypique
    • Combinaison : ajout d’un second AD au premier AD, les deux agissant différemment sur les neurotransmetteurs (p. ex., buproprion et ISRS ; mirtazapine et venlafaxine)
    • Substitution : remplacement de l’AD par un autre AD qui peut avoir une action différente sur les neurotransmetteurs, ou qui agit sur plusieurs neurotransmetteurs.

Dépression résistante: absence de réponse après au moins deux tentatives de médication différentes, à doses thérapeutiques et de durée suffisante (minimum huit semaines chacune) : envoyer en psychiatrie.

387
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Échec thérapeutique: Options - définir / décrire OPTIMISATION

A
  • Échec thérapeutique (amélioration inférieure à 50 % après 4 à 8 semaines de pharmacothérapie à dose thérapeutique)
  • Le médecin doit se poser les questions suivantes : Le diagnostic est-il le bon ? La dose est-elle suffisante ? L’adhésion au traitement est-elle bonne ? Une affection médicale ou un abus de substances nuisent-ils au traitement ? Des facteurs psychosociaux perpétuent-ils l’état dépressif ? Un trouble de la personnalité est-il associé à l’état dépressif ?
  • Options :
    • Optimisation: augmentation de la dose du même AD jusqu’à la dose maximale et selon tolérance
    • Potentialisation de l’AD par une molécule d’une autre classe : le lithium, la triiodothyronine (T3) ou un antipsychotique atypique
    • Combinaison : ajout d’un second AD au premier AD, les deux agissant différemment sur les neurotransmetteurs (p. ex., buproprion et ISRS ; mirtazapine et venlafaxine)
    • Substitution : remplacement de l’AD par un autre AD qui peut avoir une action différente sur les neurotransmetteurs, ou qui agit sur plusieurs neurotransmetteurs.

Dépression résistante: absence de réponse après au moins deux tentatives de médication différentes, à doses thérapeutiques et de durée suffisante (minimum huit semaines chacune) : envoyer en psychiatrie.

388
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Échec thérapeutique: Options - définir / décrire POTENTIALISATION

A
  • Échec thérapeutique (amélioration inférieure à 50 % après 4 à 8 semaines de pharmacothérapie à dose thérapeutique)
  • Le médecin doit se poser les questions suivantes : Le diagnostic est-il le bon ? La dose est-elle suffisante ? L’adhésion au traitement est-elle bonne ? Une affection médicale ou un abus de substances nuisent-ils au traitement ? Des facteurs psychosociaux perpétuent-ils l’état dépressif ? Un trouble de la personnalité est-il associé à l’état dépressif ?
  • Options :
    • Optimisation: augmentation de la dose du même AD jusqu’à la dose maximale et selon tolérance
    • Potentialisation de l’AD par une molécule d’une autre classe : le lithium, la triiodothyronine (T3) ou un antipsychotique atypique
    • Combinaison : ajout d’un second AD au premier AD, les deux agissant différemment sur les neurotransmetteurs (p. ex., buproprion et ISRS ; mirtazapine et venlafaxine)
    • Substitution : remplacement de l’AD par un autre AD qui peut avoir une action différente sur les neurotransmetteurs, ou qui agit sur plusieurs neurotransmetteurs.

Dépression résistante: absence de réponse après au moins deux tentatives de médication différentes, à doses thérapeutiques et de durée suffisante (minimum huit semaines chacune) : envoyer en psychiatrie.

389
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Échec thérapeutique: Options - définir / décrire COMBINAISON

A
  • Échec thérapeutique (amélioration inférieure à 50 % après 4 à 8 semaines de pharmacothérapie à dose thérapeutique)
  • Le médecin doit se poser les questions suivantes : Le diagnostic est-il le bon ? La dose est-elle suffisante ? L’adhésion au traitement est-elle bonne ? Une affection médicale ou un abus de substances nuisent-ils au traitement ? Des facteurs psychosociaux perpétuent-ils l’état dépressif ? Un trouble de la personnalité est-il associé à l’état dépressif ?
  • Options :
    • Optimisation: augmentation de la dose du même AD jusqu’à la dose maximale et selon tolérance
    • Potentialisation de l’AD par une molécule d’une autre classe : le lithium, la triiodothyronine (T3) ou un antipsychotique atypique
    • Combinaison : ajout d’un second AD au premier AD, les deux agissant différemment sur les neurotransmetteurs (p. ex., buproprion et ISRS ; mirtazapine et venlafaxine)
    • Substitution : remplacement de l’AD par un autre AD qui peut avoir une action différente sur les neurotransmetteurs, ou qui agit sur plusieurs neurotransmetteurs.

Dépression résistante: absence de réponse après au moins deux tentatives de médication différentes, à doses thérapeutiques et de durée suffisante (minimum huit semaines chacune) : envoyer en psychiatrie.

390
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Échec thérapeutique: Options - définir / décrire SUBSTITUTION

A
  • Échec thérapeutique (amélioration inférieure à 50 % après 4 à 8 semaines de pharmacothérapie à dose thérapeutique)
  • Le médecin doit se poser les questions suivantes : Le diagnostic est-il le bon ? La dose est-elle suffisante ? L’adhésion au traitement est-elle bonne ? Une affection médicale ou un abus de substances nuisent-ils au traitement ? Des facteurs psychosociaux perpétuent-ils l’état dépressif ? Un trouble de la personnalité est-il associé à l’état dépressif ?
  • Options :
    • Optimisation: augmentation de la dose du même AD jusqu’à la dose maximale et selon tolérance
    • Potentialisation de l’AD par une molécule d’une autre classe : le lithium, la triiodothyronine (T3) ou un antipsychotique atypique
    • Combinaison : ajout d’un second AD au premier AD, les deux agissant différemment sur les neurotransmetteurs (p. ex., buproprion et ISRS ; mirtazapine et venlafaxine)
    • Substitution : remplacement de l’AD par un autre AD qui peut avoir une action différente sur les neurotransmetteurs, ou qui agit sur plusieurs neurotransmetteurs.

Dépression résistante: absence de réponse après au moins deux tentatives de médication différentes, à doses thérapeutiques et de durée suffisante (minimum huit semaines chacune) : envoyer en psychiatrie.

391
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Échec thérapeutique: Comment on définit dépression résistante?

A
  • Échec thérapeutique (amélioration inférieure à 50 % après 4 à 8 semaines de pharmacothérapie à dose thérapeutique)
  • Le médecin doit se poser les questions suivantes : Le diagnostic est-il le bon ? La dose est-elle suffisante ? L’adhésion au traitement est-elle bonne ? Une affection médicale ou un abus de substances nuisent-ils au traitement ? Des facteurs psychosociaux perpétuent-ils l’état dépressif ? Un trouble de la personnalité est-il associé à l’état dépressif ?
  • Options :
    • Optimisation: augmentation de la dose du même AD jusqu’à la dose maximale et selon tolérance
    • Potentialisation de l’AD par une molécule d’une autre classe : le lithium, la triiodothyronine (T3) ou un antipsychotique atypique
    • Combinaison : ajout d’un second AD au premier AD, les deux agissant différemment sur les neurotransmetteurs (p. ex., buproprion et ISRS ; mirtazapine et venlafaxine)
    • Substitution : remplacement de l’AD par un autre AD qui peut avoir une action différente sur les neurotransmetteurs, ou qui agit sur plusieurs neurotransmetteurs.

Dépression résistante: absence de réponse après au moins deux tentatives de médication différentes, à doses thérapeutiques et de durée suffisante (minimum huit semaines chacune) : envoyer en psychiatrie.

392
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Échec thérapeutique: Quoi faire si dépression résistante?

A
  • Échec thérapeutique (amélioration inférieure à 50 % après 4 à 8 semaines de pharmacothérapie à dose thérapeutique)
  • Le médecin doit se poser les questions suivantes : Le diagnostic est-il le bon ? La dose est-elle suffisante ? L’adhésion au traitement est-elle bonne ? Une affection médicale ou un abus de substances nuisent-ils au traitement ? Des facteurs psychosociaux perpétuent-ils l’état dépressif ? Un trouble de la personnalité est-il associé à l’état dépressif ?
  • Options :
    • Optimisation: augmentation de la dose du même AD jusqu’à la dose maximale et selon tolérance
    • Potentialisation de l’AD par une molécule d’une autre classe : le lithium, la triiodothyronine (T3) ou un antipsychotique atypique
    • Combinaison : ajout d’un second AD au premier AD, les deux agissant différemment sur les neurotransmetteurs (p. ex., buproprion et ISRS ; mirtazapine et venlafaxine)
    • Substitution : remplacement de l’AD par un autre AD qui peut avoir une action différente sur les neurotransmetteurs, ou qui agit sur plusieurs neurotransmetteurs.

Dépression résistante: absence de réponse après au moins deux tentatives de médication différentes, à doses thérapeutiques et de durée suffisante (minimum huit semaines chacune) : envoyer en psychiatrie.

393
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Traitement de continuation

A

Traitement de continuation (après le traitement de la phase aiguë de la dépression)

  • Viser la rémission (disparition de tous les signes et symptômes).
  • Une fois la rémission atteinte, poursuivre la médication à la dose qui a eu l’effet thérapeutique
    • durée : 6 à 12 mois, vu le risque élevé de rechute
    • durée chez la personne âgée : 2 ans, car la période à risque de rechute est plus longue.
  • En cas de rechute (réapparition ou exacerbation de symptômes dépressifs) lorsque le patient est en voie de rémission ou en rémission depuis moins de 12 mois
    • gérer la rechute en se posant les mêmes questions et avec les mêmes stratégies que lors d’un échec thérapeutique.
394
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Traitement de continuation: définir c’est quoi

A

Traitement de continuation (après le traitement de la phase aiguë de la dépression)

  • Viser la rémission (disparition de tous les signes et symptômes).
  • Une fois la rémission atteinte, poursuivre la médication à la dose qui a eu l’effet thérapeutique
    • durée : 6 à 12 mois, vu le risque élevé de rechute
    • durée chez la personne âgée : 2 ans, car la période à risque de rechute est plus longue.
  • En cas de rechute (réapparition ou exacerbation de symptômes dépressifs) lorsque le patient est en voie de rémission ou en rémission depuis moins de 12 mois
    • gérer la rechute en se posant les mêmes questions et avec les mêmes stratégies que lors d’un échec thérapeutique.
395
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Traitement de continuation: on vise quoi?

A

Traitement de continuation (après le traitement de la phase aiguë de la dépression)

  • Viser la rémission (disparition de tous les signes et symptômes).
  • Une fois la rémission atteinte, poursuivre la médication à la dose qui a eu l’effet thérapeutique
    • durée : 6 à 12 mois, vu le risque élevé de rechute
    • durée chez la personne âgée : 2 ans, car la période à risque de rechute est plus longue.
  • En cas de rechute (réapparition ou exacerbation de symptômes dépressifs) lorsque le patient est en voie de rémission ou en rémission depuis moins de 12 mois
    • gérer la rechute en se posant les mêmes questions et avec les mêmes stratégies que lors d’un échec thérapeutique.
396
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Traitement de continuation: quels médicaments?

A

Traitement de continuation (après le traitement de la phase aiguë de la dépression)

  • Viser la rémission (disparition de tous les signes et symptômes).
  • Une fois la rémission atteinte, poursuivre la médication à la dose qui a eu l’effet thérapeutique
    • durée : 6 à 12 mois, vu le risque élevé de rechute
    • durée chez la personne âgée : 2 ans, car la période à risque de rechute est plus longue.
  • En cas de rechute (réapparition ou exacerbation de symptômes dépressifs) lorsque le patient est en voie de rémission ou en rémission depuis moins de 12 mois
    • gérer la rechute en se posant les mêmes questions et avec les mêmes stratégies que lors d’un échec thérapeutique.
397
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Traitement de continuation: on continue la médication à quelle dose?

A

Traitement de continuation (après le traitement de la phase aiguë de la dépression)

  • Viser la rémission (disparition de tous les signes et symptômes).
  • Une fois la rémission atteinte, poursuivre la médication à la dose qui a eu l’effet thérapeutique
    • durée : 6 à 12 mois, vu le risque élevé de rechute
    • durée chez la personne âgée : 2 ans, car la période à risque de rechute est plus longue.
  • En cas de rechute (réapparition ou exacerbation de symptômes dépressifs) lorsque le patient est en voie de rémission ou en rémission depuis moins de 12 mois
    • gérer la rechute en se posant les mêmes questions et avec les mêmes stratégies que lors d’un échec thérapeutique.
398
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Traitement de continuation: on continue la médication pendant quelle durée?

A

Traitement de continuation (après le traitement de la phase aiguë de la dépression)

  • Viser la rémission (disparition de tous les signes et symptômes).
  • Une fois la rémission atteinte, poursuivre la médication à la dose qui a eu l’effet thérapeutique
    • durée : 6 à 12 mois, vu le risque élevé de rechute
    • durée chez la personne âgée : 2 ans, car la période à risque de rechute est plus longue.
  • En cas de rechute (réapparition ou exacerbation de symptômes dépressifs) lorsque le patient est en voie de rémission ou en rémission depuis moins de 12 mois
    • gérer la rechute en se posant les mêmes questions et avec les mêmes stratégies que lors d’un échec thérapeutique.
399
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Traitement de continuation: on continue la médication pendant quelle durée chez l’adulte?

A

Traitement de continuation (après le traitement de la phase aiguë de la dépression)

  • Viser la rémission (disparition de tous les signes et symptômes).
  • Une fois la rémission atteinte, poursuivre la médication à la dose qui a eu l’effet thérapeutique
    • durée : 6 à 12 mois, vu le risque élevé de rechute
    • durée chez la personne âgée : 2 ans, car la période à risque de rechute est plus longue.
  • En cas de rechute (réapparition ou exacerbation de symptômes dépressifs) lorsque le patient est en voie de rémission ou en rémission depuis moins de 12 mois
    • gérer la rechute en se posant les mêmes questions et avec les mêmes stratégies que lors d’un échec thérapeutique.
400
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Traitement de continuation: on continue la médication pendant quelle durée chez les personnes âgées?

A

Traitement de continuation (après le traitement de la phase aiguë de la dépression)

  • Viser la rémission (disparition de tous les signes et symptômes).
  • Une fois la rémission atteinte, poursuivre la médication à la dose qui a eu l’effet thérapeutique
    • durée : 6 à 12 mois, vu le risque élevé de rechute
    • durée chez la personne âgée : 2 ans, car la période à risque de rechute est plus longue.
  • En cas de rechute (réapparition ou exacerbation de symptômes dépressifs) lorsque le patient est en voie de rémission ou en rémission depuis moins de 12 mois
    • gérer la rechute en se posant les mêmes questions et avec les mêmes stratégies que lors d’un échec thérapeutique.
401
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Traitement de continuation: en cas de rechute

A

Traitement de continuation (après le traitement de la phase aiguë de la dépression)

  • Viser la rémission (disparition de tous les signes et symptômes).
  • Une fois la rémission atteinte, poursuivre la médication à la dose qui a eu l’effet thérapeutique
    • durée : 6 à 12 mois, vu le risque élevé de rechute
    • durée chez la personne âgée : 2 ans, car la période à risque de rechute est plus longue.
  • En cas de rechute (réapparition ou exacerbation de symptômes dépressifs) lorsque le patient est en voie de rémission ou en rémission depuis moins de 12 mois
    • gérer la rechute en se posant les mêmes questions et avec les mêmes stratégies que lors d’un échec thérapeutique.
402
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- prophylaxie à long terme

A

Traitement de maintien de durée indéfinie (prophylaxie à long terme)

  • Le traitement de maintien de durée indéfinie est à envisager dans les cas suivants :
    • trois épisodes ou plus ;
    • rémission de courte durée ;
    • l’épisode dépressif s’est prolongé ; il a été grave ou difficile à traiter ;
    • trouble dysthymique ayant précédé la dépression ;
    • facteurs de risque psychosociaux permanents (adversité) ou non modifiables.
  • Note : chez la clientèle pédopsychiatrique, la valeur du traitement de maintien est incertaine (non recommandé).
  • En cas de récidive (c.-à-d. réapparition de symptômes dépressifs après un an de rémission) :
    • Gérer la récidive en se posant les mêmes questions et avec les mêmes stratégies que lors d’un échec thérapeutique.
403
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- prophylaxie à long terme: c’est quoi?

A

Traitement de maintien de durée indéfinie (prophylaxie à long terme)

  • Le traitement de maintien de durée indéfinie est à envisager dans les cas suivants :
    • trois épisodes ou plus ;
    • rémission de courte durée ;
    • l’épisode dépressif s’est prolongé ; il a été grave ou difficile à traiter ;
    • trouble dysthymique ayant précédé la dépression ;
    • facteurs de risque psychosociaux permanents (adversité) ou non modifiables.
  • Note : chez la clientèle pédopsychiatrique, la valeur du traitement de maintien est incertaine (non recommandé).
  • En cas de récidive (c.-à-d. réapparition de symptômes dépressifs après un an de rémission) :
    • Gérer la récidive en se posant les mêmes questions et avec les mêmes stratégies que lors d’un échec thérapeutique.
404
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- prophylaxie à long terme: durée

A

Traitement de maintien de durée indéfinie (prophylaxie à long terme)

  • Le traitement de maintien de durée indéfinie est à envisager dans les cas suivants :
    • trois épisodes ou plus ;
    • rémission de courte durée ;
    • l’épisode dépressif s’est prolongé ; il a été grave ou difficile à traiter ;
    • trouble dysthymique ayant précédé la dépression ;
    • facteurs de risque psychosociaux permanents (adversité) ou non modifiables.
  • Note : chez la clientèle pédopsychiatrique, la valeur du traitement de maintien est incertaine (non recommandé).
  • En cas de récidive (c.-à-d. réapparition de symptômes dépressifs après un an de rémission) :
    • Gérer la récidive en se posant les mêmes questions et avec les mêmes stratégies que lors d’un échec thérapeutique.
405
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- prophylaxie à long terme: à envisager dans quels cas?

A

Traitement de maintien de durée indéfinie (prophylaxie à long terme)

  • Le traitement de maintien de durée indéfinie est à envisager dans les cas suivants :
    • trois épisodes ou plus ;
    • rémission de courte durée ;
    • l’épisode dépressif s’est prolongé ; il a été grave ou difficile à traiter ;
    • trouble dysthymique ayant précédé la dépression ;
    • facteurs de risque psychosociaux permanents (adversité) ou non modifiables.
  • Note : chez la clientèle pédopsychiatrique, la valeur du traitement de maintien est incertaine (non recommandé).
  • En cas de récidive (c.-à-d. réapparition de symptômes dépressifs après un an de rémission) :
    • Gérer la récidive en se posant les mêmes questions et avec les mêmes stratégies que lors d’un échec thérapeutique.
406
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- prophylaxie à long terme: en pédopsy

A

Traitement de maintien de durée indéfinie (prophylaxie à long terme)

  • Le traitement de maintien de durée indéfinie est à envisager dans les cas suivants :
    • trois épisodes ou plus ;
    • rémission de courte durée ;
    • l’épisode dépressif s’est prolongé ; il a été grave ou difficile à traiter ;
    • trouble dysthymique ayant précédé la dépression ;
    • facteurs de risque psychosociaux permanents (adversité) ou non modifiables.
  • Note : chez la clientèle pédopsychiatrique, la valeur du traitement de maintien est incertaine (non recommandé).
  • En cas de récidive (c.-à-d. réapparition de symptômes dépressifs après un an de rémission) :
    • Gérer la récidive en se posant les mêmes questions et avec les mêmes stratégies que lors d’un échec thérapeutique.
407
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- prophylaxie à long terme: en cas d’une rechute

A

Traitement de maintien de durée indéfinie (prophylaxie à long terme)

  • Le traitement de maintien de durée indéfinie est à envisager dans les cas suivants :
    • trois épisodes ou plus ;
    • rémission de courte durée ;
    • l’épisode dépressif s’est prolongé ; il a été grave ou difficile à traiter ;
    • trouble dysthymique ayant précédé la dépression ;
    • facteurs de risque psychosociaux permanents (adversité) ou non modifiables.
  • Note : chez la clientèle pédopsychiatrique, la valeur du traitement de maintien est incertaine (non recommandé).
  • En cas de récidive (c.-à-d. réapparition de symptômes dépressifs après un an de rémission) :
    • Gérer la récidive en se posant les mêmes questions et avec les mêmes stratégies que lors d’un échec thérapeutique.
408
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Arrêt d’un antidépresseur

A

Arrêt d’un antidépresseur

  • Doit être graduel (sur quatre à six mois au minimum) pour éviter le syndrome d’interruption.
  • Surveiller la résurgence de symptômes dépressifs.
409
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Arrêt d’un antidépresseur: comment?

A

Arrêt d’un antidépresseur

  • Doit être graduel (sur quatre à six mois au minimum) pour éviter le syndrome d’interruption.
  • Surveiller la résurgence de symptômes dépressifs.
410
Q

Pharmacothérapie des états dépressifs
- Arrêt d’un antidépresseur: suivi

A

Arrêt d’un antidépresseur

  • Doit être graduel (sur quatre à six mois au minimum) pour éviter le syndrome d’interruption.
  • Surveiller la résurgence de symptômes dépressifs.
411
Q

Tr dépressif persistant: Est dans quelle section du DSM-V?

A
  • Le trouble dépressif persistant (anciennement dysthymie) fait maintenant partie des troubles dépressifs dans le DSM-5
412
Q

Critères diagnostiques du trouble dépressif persistant (dysthymie)

A
  • A. Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, plus d’un jour sur deux, signalée par la personne ou observée par les autres, pendant au moins 2 ans.
    • N.B.:Chez les enfants et les adolescents, l’humeur peut être irritable et la durée doit être d’au moins 1 an.
  • B. Quand le sujet est déprimé, il présente au moins deux des symptômes suivants :
    • 1.Perte d’appétit ou hyperphagie.
    • 2.Insomnie ou hypersomnie.
    • 3.Baisse d’énergie ou fatigue.
    • 4.Faible estime de soi.
    • 5.Difficultés de concentration ou difficultés à prendre des décisions.
      -6.Sentiments de perte d’espoir.
  • C. Au cours de la période de 2 ans (1 an pour les enfants et adolescents) de perturbation thymique, la personne n’a jamais eu de périodes de plus de 2 mois consécutifs sans présenter les symptômes des critères A et B.
  • D. Les critères de trouble dépressif caractérisé peuvent être présents d’une manière continue pendant 2 ans.
  • E. Il n’y a jamais eu d’épisode maniaque ou hypomaniaque, et les critères du trouble cyclothymique n’ont jamais été réunis.
  • F. Le trouble n’est pas mieux expliqué par un trouble schizoaffectif persistant, une schizophrénie, un trouble délirant, un autre trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • F. La perturbation thymique ne survient pas uniquement au cours de l’évolution d’un trouble psychotique chronique, tels une schizophrénie ou un trouble délirant.
  • G. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., une drogue donnant lieu à abus, un médicament) ou d’une autre affection médicale (p. ex., hypothyroïdie).
  • H. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • Spécifier si :
    • Avec détresse anxieuse
    • Avec caractéristiques mixtes
    • Avec caractéristiques mélancoliques
    • Avec caractéristiques atypiques
    • Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
    • Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
    • Avec début dans le péripartum
  • Spécifier si : En rémission partielle En rémission complète Spécifier si :
    • Début précoce : Si début du trouble avant l’âge de 21 ans.
    • Début tardif : Si début du trouble à l’âge de 21 ans ou après
413
Q

Critères diagnostiques du trouble dépressif persistant (dysthymie)
- c’est quoi?

A
  • A. Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, plus d’un jour sur deux, signalée par la personne ou observée par les autres, pendant au moins 2 ans.
    • N.B.: Chez les enfants et les adolescents, l’humeur peut être irritable et la durée doit être d’au moins 1 an.
  • B. Quand le sujet est déprimé, il présente au moins deux des symptômes suivants :
    • 1.Perte d’appétit ou hyperphagie.
    • 2.Insomnie ou hypersomnie.
    • 3.Baisse d’énergie ou fatigue.
    • 4.Faible estime de soi.
    • 5.Difficultés de concentration ou difficultés à prendre des décisions.
      -6.Sentiments de perte d’espoir.
  • C. Au cours de la période de 2 ans (1 an pour les enfants et adolescents) de perturbation thymique, la personne n’a jamais eu de périodes de plus de 2 mois consécutifs sans présenter les symptômes des critères A et B.
  • D. Les critères de trouble dépressif caractérisé peuvent être présents d’une manière continue pendant 2 ans.
  • E. Il n’y a jamais eu d’épisode maniaque ou hypomaniaque, et les critères du trouble cyclothymique n’ont jamais été réunis.
  • F. Le trouble n’est pas mieux expliqué par un trouble schizoaffectif persistant, une schizophrénie, un trouble délirant, un autre trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • F. La perturbation thymique ne survient pas uniquement au cours de l’évolution d’un trouble psychotique chronique, tels une schizophrénie ou un trouble délirant.
  • G. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., une drogue donnant lieu à abus, un médicament) ou d’une autre affection médicale (p. ex., hypothyroïdie).
  • H. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • Spécifier si :
    • Avec détresse anxieuse
    • Avec caractéristiques mixtes
    • Avec caractéristiques mélancoliques
    • Avec caractéristiques atypiques
    • Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
    • Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
    • Avec début dans le péripartum
  • Spécifier si : En rémission partielle En rémission complète Spécifier si :
    • Début précoce : Si début du trouble avant l’âge de 21 ans.
    • Début tardif : Si début du trouble à l’âge de 21 ans ou après
414
Q

Critères diagnostiques du trouble dépressif persistant (dysthymie)
- humeur dépressive: quelle fréquence?

A
  • A. Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, plus d’un jour sur deux, signalée par la personne ou observée par les autres, pendant au moins 2 ans.
    • N.B.: Chez les enfants et les adolescents, l’humeur peut être irritable et la durée doit être d’au moins 1 an.
  • B. Quand le sujet est déprimé, il présente au moins deux des symptômes suivants :
    • 1.Perte d’appétit ou hyperphagie.
    • 2.Insomnie ou hypersomnie.
    • 3.Baisse d’énergie ou fatigue.
    • 4.Faible estime de soi.
    • 5.Difficultés de concentration ou difficultés à prendre des décisions.
      -6.Sentiments de perte d’espoir.
  • C. Au cours de la période de 2 ans (1 an pour les enfants et adolescents) de perturbation thymique, la personne n’a jamais eu de périodes de plus de 2 mois consécutifs sans présenter les symptômes des critères A et B.
  • D. Les critères de trouble dépressif caractérisé peuvent être présents d’une manière continue pendant 2 ans.
  • E. Il n’y a jamais eu d’épisode maniaque ou hypomaniaque, et les critères du trouble cyclothymique n’ont jamais été réunis.
  • F. Le trouble n’est pas mieux expliqué par un trouble schizoaffectif persistant, une schizophrénie, un trouble délirant, un autre trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • F. La perturbation thymique ne survient pas uniquement au cours de l’évolution d’un trouble psychotique chronique, tels une schizophrénie ou un trouble délirant.
  • G. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., une drogue donnant lieu à abus, un médicament) ou d’une autre affection médicale (p. ex., hypothyroïdie).
  • H. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • Spécifier si :
    • Avec détresse anxieuse
    • Avec caractéristiques mixtes
    • Avec caractéristiques mélancoliques
    • Avec caractéristiques atypiques
    • Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
    • Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
    • Avec début dans le péripartum
  • Spécifier si : En rémission partielle En rémission complète Spécifier si :
    • Début précoce : Si début du trouble avant l’âge de 21 ans.
    • Début tardif : Si début du trouble à l’âge de 21 ans ou après
415
Q

Critères diagnostiques du trouble dépressif persistant (dysthymie)
- durée

A
  • A. Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, plus d’un jour sur deux, signalée par la personne ou observée par les autres, pendant au moins 2 ans.
    • N.B.: Chez les enfants et les adolescents, l’humeur peut être irritable et la durée doit être d’au moins 1 an.
  • B. Quand le sujet est déprimé, il présente au moins deux des symptômes suivants :
    • 1.Perte d’appétit ou hyperphagie.
    • 2.Insomnie ou hypersomnie.
    • 3.Baisse d’énergie ou fatigue.
    • 4.Faible estime de soi.
    • 5.Difficultés de concentration ou difficultés à prendre des décisions.
      -6.Sentiments de perte d’espoir.
  • C. Au cours de la période de 2 ans (1 an pour les enfants et adolescents) de perturbation thymique, la personne n’a jamais eu de périodes de plus de 2 mois consécutifs sans présenter les symptômes des critères A et B.
  • D. Les critères de trouble dépressif caractérisé peuvent être présents d’une manière continue pendant 2 ans.
  • E. Il n’y a jamais eu d’épisode maniaque ou hypomaniaque, et les critères du trouble cyclothymique n’ont jamais été réunis.
  • F. Le trouble n’est pas mieux expliqué par un trouble schizoaffectif persistant, une schizophrénie, un trouble délirant, un autre trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • F. La perturbation thymique ne survient pas uniquement au cours de l’évolution d’un trouble psychotique chronique, tels une schizophrénie ou un trouble délirant.
  • G. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., une drogue donnant lieu à abus, un médicament) ou d’une autre affection médicale (p. ex., hypothyroïdie).
  • H. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • Spécifier si :
    • Avec détresse anxieuse
    • Avec caractéristiques mixtes
    • Avec caractéristiques mélancoliques
    • Avec caractéristiques atypiques
    • Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
    • Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
    • Avec début dans le péripartum
  • Spécifier si : En rémission partielle En rémission complète Spécifier si :
    • Début précoce : Si début du trouble avant l’âge de 21 ans.
    • Début tardif : Si début du trouble à l’âge de 21 ans ou après
416
Q

Critères diagnostiques du trouble dépressif persistant (dysthymie)
- humeur dépressive est observée par qui?

A
  • A. Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, plus d’un jour sur deux, signalée par la personne ou observée par les autres, pendant au moins 2 ans.
    • N.B.: Chez les enfants et les adolescents, l’humeur peut être irritable et la durée doit être d’au moins 1 an.
  • B. Quand le sujet est déprimé, il présente au moins deux des symptômes suivants :
    • 1.Perte d’appétit ou hyperphagie.
    • 2.Insomnie ou hypersomnie.
    • 3.Baisse d’énergie ou fatigue.
    • 4.Faible estime de soi.
    • 5.Difficultés de concentration ou difficultés à prendre des décisions.
      -6.Sentiments de perte d’espoir.
  • C. Au cours de la période de 2 ans (1 an pour les enfants et adolescents) de perturbation thymique, la personne n’a jamais eu de périodes de plus de 2 mois consécutifs sans présenter les symptômes des critères A et B.
  • D. Les critères de trouble dépressif caractérisé peuvent être présents d’une manière continue pendant 2 ans.
  • E. Il n’y a jamais eu d’épisode maniaque ou hypomaniaque, et les critères du trouble cyclothymique n’ont jamais été réunis.
  • F. Le trouble n’est pas mieux expliqué par un trouble schizoaffectif persistant, une schizophrénie, un trouble délirant, un autre trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • F. La perturbation thymique ne survient pas uniquement au cours de l’évolution d’un trouble psychotique chronique, tels une schizophrénie ou un trouble délirant.
  • G. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., une drogue donnant lieu à abus, un médicament) ou d’une autre affection médicale (p. ex., hypothyroïdie).
  • H. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • Spécifier si :
    • Avec détresse anxieuse
    • Avec caractéristiques mixtes
    • Avec caractéristiques mélancoliques
    • Avec caractéristiques atypiques
    • Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
    • Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
    • Avec début dans le péripartum
  • Spécifier si : En rémission partielle En rémission complète Spécifier si :
    • Début précoce : Si début du trouble avant l’âge de 21 ans.
    • Début tardif : Si début du trouble à l’âge de 21 ans ou après
417
Q

Critères diagnostiques du trouble dépressif persistant (dysthymie)
- le critère de l’humeur dépressive: chez les enfants

A
  • A. Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, plus d’un jour sur deux, signalée par la personne ou observée par les autres, pendant au moins 2 ans.
    • N.B.: Chez les enfants et les adolescents, l’humeur peut être irritable et la durée doit être d’au moins 1 an.
  • B. Quand le sujet est déprimé, il présente au moins deux des symptômes suivants :
    • 1.Perte d’appétit ou hyperphagie.
    • 2.Insomnie ou hypersomnie.
    • 3.Baisse d’énergie ou fatigue.
    • 4.Faible estime de soi.
    • 5.Difficultés de concentration ou difficultés à prendre des décisions.
      -6.Sentiments de perte d’espoir.
  • C. Au cours de la période de 2 ans (1 an pour les enfants et adolescents) de perturbation thymique, la personne n’a jamais eu de périodes de plus de 2 mois consécutifs sans présenter les symptômes des critères A et B.
  • D. Les critères de trouble dépressif caractérisé peuvent être présents d’une manière continue pendant 2 ans.
  • E. Il n’y a jamais eu d’épisode maniaque ou hypomaniaque, et les critères du trouble cyclothymique n’ont jamais été réunis.
  • F. Le trouble n’est pas mieux expliqué par un trouble schizoaffectif persistant, une schizophrénie, un trouble délirant, un autre trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • F. La perturbation thymique ne survient pas uniquement au cours de l’évolution d’un trouble psychotique chronique, tels une schizophrénie ou un trouble délirant.
  • G. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., une drogue donnant lieu à abus, un médicament) ou d’une autre affection médicale (p. ex., hypothyroïdie).
  • H. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • Spécifier si :
    • Avec détresse anxieuse
    • Avec caractéristiques mixtes
    • Avec caractéristiques mélancoliques
    • Avec caractéristiques atypiques
    • Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
    • Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
    • Avec début dans le péripartum
  • Spécifier si : En rémission partielle En rémission complète Spécifier si :
    • Début précoce : Si début du trouble avant l’âge de 21 ans.
    • Début tardif : Si début du trouble à l’âge de 21 ans ou après
418
Q

Critères diagnostiques du trouble dépressif persistant (dysthymie)
- symptômes: nommez-les

A
  • A. Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, plus d’un jour sur deux, signalée par la personne ou observée par les autres, pendant au moins 2 ans.
    • N.B.: Chez les enfants et les adolescents, l’humeur peut être irritable et la durée doit être d’au moins 1 an.
  • B. Quand le sujet est déprimé, il présente au moins deux des symptômes suivants :
    • 1.Perte d’appétit ou hyperphagie.
    • 2.Insomnie ou hypersomnie.
    • 3.Baisse d’énergie ou fatigue.
    • 4.Faible estime de soi.
    • 5.Difficultés de concentration ou difficultés à prendre des décisions.
    • 6.Sentiments de perte d’espoir.
  • C. Au cours de la période de 2 ans (1 an pour les enfants et adolescents) de perturbation thymique, la personne n’a jamais eu de périodes de plus de 2 mois consécutifs sans présenter les symptômes des critères A et B.
  • D. Les critères de trouble dépressif caractérisé peuvent être présents d’une manière continue pendant 2 ans.
  • E. Il n’y a jamais eu d’épisode maniaque ou hypomaniaque, et les critères du trouble cyclothymique n’ont jamais été réunis.
  • F. Le trouble n’est pas mieux expliqué par un trouble schizoaffectif persistant, une schizophrénie, un trouble délirant, un autre trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • F. La perturbation thymique ne survient pas uniquement au cours de l’évolution d’un trouble psychotique chronique, tels une schizophrénie ou un trouble délirant.
  • G. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., une drogue donnant lieu à abus, un médicament) ou d’une autre affection médicale (p. ex., hypothyroïdie).
  • H. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • Spécifier si :
    • Avec détresse anxieuse
    • Avec caractéristiques mixtes
    • Avec caractéristiques mélancoliques
    • Avec caractéristiques atypiques
    • Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
    • Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
    • Avec début dans le péripartum
  • Spécifier si : En rémission partielle En rémission complète Spécifier si :
    • Début précoce : Si début du trouble avant l’âge de 21 ans.
    • Début tardif : Si début du trouble à l’âge de 21 ans ou après
419
Q

Critères diagnostiques du trouble dépressif persistant (dysthymie)
- périodes sans sx

A
  • A. Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, plus d’un jour sur deux, signalée par la personne ou observée par les autres, pendant au moins 2 ans.
    • N.B.: Chez les enfants et les adolescents, l’humeur peut être irritable et la durée doit être d’au moins 1 an.
  • B. Quand le sujet est déprimé, il présente au moins deux des symptômes suivants :
    • 1.Perte d’appétit ou hyperphagie.
    • 2.Insomnie ou hypersomnie.
    • 3.Baisse d’énergie ou fatigue.
    • 4.Faible estime de soi.
    • 5.Difficultés de concentration ou difficultés à prendre des décisions.
      -6.Sentiments de perte d’espoir.
  • C. Au cours de la période de 2 ans (1 an pour les enfants et adolescents) de perturbation thymique, la personne n’a jamais eu de périodes de plus de 2 mois consécutifs sans présenter les symptômes des critères A et B.
  • D. Les critères de trouble dépressif caractérisé peuvent être présents d’une manière continue pendant 2 ans.
  • E. Il n’y a jamais eu d’épisode maniaque ou hypomaniaque, et les critères du trouble cyclothymique n’ont jamais été réunis.
  • F. Le trouble n’est pas mieux expliqué par un trouble schizoaffectif persistant, une schizophrénie, un trouble délirant, un autre trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • F. La perturbation thymique ne survient pas uniquement au cours de l’évolution d’un trouble psychotique chronique, tels une schizophrénie ou un trouble délirant.
  • G. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., une drogue donnant lieu à abus, un médicament) ou d’une autre affection médicale (p. ex., hypothyroïdie).
  • H. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • Spécifier si :
    • Avec détresse anxieuse
    • Avec caractéristiques mixtes
    • Avec caractéristiques mélancoliques
    • Avec caractéristiques atypiques
    • Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
    • Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
    • Avec début dans le péripartum
  • Spécifier si : En rémission partielle En rémission complète Spécifier si :
    • Début précoce : Si début du trouble avant l’âge de 21 ans.
    • Début tardif : Si début du trouble à l’âge de 21 ans ou après
420
Q

Critères diagnostiques du trouble dépressif persistant (dysthymie)
- manie / hypomanie

A
  • A. Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, plus d’un jour sur deux, signalée par la personne ou observée par les autres, pendant au moins 2 ans.
    • N.B.: Chez les enfants et les adolescents, l’humeur peut être irritable et la durée doit être d’au moins 1 an.
  • B. Quand le sujet est déprimé, il présente au moins deux des symptômes suivants :
    • 1.Perte d’appétit ou hyperphagie.
    • 2.Insomnie ou hypersomnie.
    • 3.Baisse d’énergie ou fatigue.
    • 4.Faible estime de soi.
    • 5.Difficultés de concentration ou difficultés à prendre des décisions.
      -6.Sentiments de perte d’espoir.
  • C. Au cours de la période de 2 ans (1 an pour les enfants et adolescents) de perturbation thymique, la personne n’a jamais eu de périodes de plus de 2 mois consécutifs sans présenter les symptômes des critères A et B.
  • D. Les critères de trouble dépressif caractérisé peuvent être présents d’une manière continue pendant 2 ans.
  • E. Il n’y a jamais eu d’épisode maniaque ou hypomaniaque, et les critères du trouble cyclothymique n’ont jamais été réunis.
  • F. Le trouble n’est pas mieux expliqué par un trouble schizoaffectif persistant, une schizophrénie, un trouble délirant, un autre trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • F. La perturbation thymique ne survient pas uniquement au cours de l’évolution d’un trouble psychotique chronique, tels une schizophrénie ou un trouble délirant.
  • G. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., une drogue donnant lieu à abus, un médicament) ou d’une autre affection médicale (p. ex., hypothyroïdie).
  • H. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • Spécifier si :
    • Avec détresse anxieuse
    • Avec caractéristiques mixtes
    • Avec caractéristiques mélancoliques
    • Avec caractéristiques atypiques
    • Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
    • Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
    • Avec début dans le péripartum
  • Spécifier si : En rémission partielle En rémission complète Spécifier si :
    • Début précoce : Si début du trouble avant l’âge de 21 ans.
    • Début tardif : Si début du trouble à l’âge de 21 ans ou après
421
Q

Critères diagnostiques du trouble dépressif persistant (dysthymie)
- exclure quoi?

A
  • A. Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, plus d’un jour sur deux, signalée par la personne ou observée par les autres, pendant au moins 2 ans.
    • N.B.: Chez les enfants et les adolescents, l’humeur peut être irritable et la durée doit être d’au moins 1 an.
  • B. Quand le sujet est déprimé, il présente au moins deux des symptômes suivants :
    • 1.Perte d’appétit ou hyperphagie.
    • 2.Insomnie ou hypersomnie.
    • 3.Baisse d’énergie ou fatigue.
    • 4.Faible estime de soi.
    • 5.Difficultés de concentration ou difficultés à prendre des décisions.
      -6.Sentiments de perte d’espoir.
  • C. Au cours de la période de 2 ans (1 an pour les enfants et adolescents) de perturbation thymique, la personne n’a jamais eu de périodes de plus de 2 mois consécutifs sans présenter les symptômes des critères A et B.
  • D. Les critères de trouble dépressif caractérisé peuvent être présents d’une manière continue pendant 2 ans.
  • E. Il n’y a jamais eu d’épisode maniaque ou hypomaniaque, et les critères du trouble cyclothymique n’ont jamais été réunis.
  • F. Le trouble n’est pas mieux expliqué par un trouble schizoaffectif persistant, une schizophrénie, un trouble délirant, un autre trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • F. La perturbation thymique ne survient pas uniquement au cours de l’évolution d’un trouble psychotique chronique, tels une schizophrénie ou un trouble délirant.
  • G. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., une drogue donnant lieu à abus, un médicament) ou d’une autre affection médicale (p. ex., hypothyroïdie).
  • H. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • Spécifier si :
    • Avec détresse anxieuse
    • Avec caractéristiques mixtes
    • Avec caractéristiques mélancoliques
    • Avec caractéristiques atypiques
    • Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
    • Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
    • Avec début dans le péripartum
  • Spécifier si : En rémission partielle En rémission complète Spécifier si :
    • Début précoce : Si début du trouble avant l’âge de 21 ans.
    • Début tardif : Si début du trouble à l’âge de 21 ans ou après
422
Q

Critères diagnostiques du trouble dépressif persistant (dysthymie)
- impact

A
  • A. Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, plus d’un jour sur deux, signalée par la personne ou observée par les autres, pendant au moins 2 ans.
    • N.B.: Chez les enfants et les adolescents, l’humeur peut être irritable et la durée doit être d’au moins 1 an.
  • B. Quand le sujet est déprimé, il présente au moins deux des symptômes suivants :
    • 1.Perte d’appétit ou hyperphagie.
    • 2.Insomnie ou hypersomnie.
    • 3.Baisse d’énergie ou fatigue.
    • 4.Faible estime de soi.
    • 5.Difficultés de concentration ou difficultés à prendre des décisions.
      -6.Sentiments de perte d’espoir.
  • C. Au cours de la période de 2 ans (1 an pour les enfants et adolescents) de perturbation thymique, la personne n’a jamais eu de périodes de plus de 2 mois consécutifs sans présenter les symptômes des critères A et B.
  • D. Les critères de trouble dépressif caractérisé peuvent être présents d’une manière continue pendant 2 ans.
  • E. Il n’y a jamais eu d’épisode maniaque ou hypomaniaque, et les critères du trouble cyclothymique n’ont jamais été réunis.
  • F. Le trouble n’est pas mieux expliqué par un trouble schizoaffectif persistant, une schizophrénie, un trouble délirant, un autre trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • F. La perturbation thymique ne survient pas uniquement au cours de l’évolution d’un trouble psychotique chronique, tels une schizophrénie ou un trouble délirant.
  • G. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., une drogue donnant lieu à abus, un médicament) ou d’une autre affection médicale (p. ex., hypothyroïdie).
  • H. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • Spécifier si :
    • Avec détresse anxieuse
    • Avec caractéristiques mixtes
    • Avec caractéristiques mélancoliques
    • Avec caractéristiques atypiques
    • Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
    • Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
    • Avec début dans le péripartum
  • Spécifier si : En rémission partielle En rémission complète Spécifier si :
    • Début précoce : Si début du trouble avant l’âge de 21 ans.
    • Début tardif : Si début du trouble à l’âge de 21 ans ou après
423
Q

Critères diagnostiques du trouble dépressif persistant (dysthymie)
- spécifications

A
  • Spécifier si :
    • Avec détresse anxieuse
    • Avec caractéristiques mixtes
    • Avec caractéristiques mélancoliques
    • Avec caractéristiques atypiques
    • Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
    • Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
    • Avec début dans le péripartum
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier si :
    • Début précoce : Si début du trouble avant l’âge de 21 ans.
    • Début tardif : Si début du trouble à l’âge de 21 ans ou après
  • Spécifier si (pour les 2 années les plus récentes du trouble dépressif persistant) :
    • Avec syndrome dysthymique pur
    • Avec épisode dépressif caractérisé persistant
    • Avec épisodes dépressifs caractérisés intermittents, y compris l’épisode actuel
    • Avec épisodes dépressifs caractérisés intermittents, mais pas au cours de l’épisode actuel
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Légère
    • Moyenne
    • Grave
424
Q

Critères diagnostiques du trouble dépressif persistant (dysthymie)
- spécifications: sous-type

A
  • Spécifier si :
    • Avec détresse anxieuse
    • Avec caractéristiques mixtes
    • Avec caractéristiques mélancoliques
    • Avec caractéristiques atypiques
    • Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
    • Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
    • Avec début dans le péripartum
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier si :
    • Début précoce : Si début du trouble avant l’âge de 21 ans.
    • Début tardif : Si début du trouble à l’âge de 21 ans ou après
  • Spécifier si (pour les 2 années les plus récentes du trouble dépressif persistant) :
    • Avec syndrome dysthymique pur
    • Avec épisode dépressif caractérisé persistant
    • Avec épisodes dépressifs caractérisés intermittents, y compris l’épisode actuel
    • Avec épisodes dépressifs caractérisés intermittents, mais pas au cours de l’épisode actuel
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Légère
    • Moyenne
    • Grave
425
Q

Critères diagnostiques du trouble dépressif persistant (dysthymie)
- spécifications: rémission

A
  • Spécifier si :
    • Avec détresse anxieuse
    • Avec caractéristiques mixtes
    • Avec caractéristiques mélancoliques
    • Avec caractéristiques atypiques
    • Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
    • Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
    • Avec début dans le péripartum
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier si :
    • Début précoce : Si début du trouble avant l’âge de 21 ans.
    • Début tardif : Si début du trouble à l’âge de 21 ans ou après
  • Spécifier si (pour les 2 années les plus récentes du trouble dépressif persistant) :
    • Avec syndrome dysthymique pur
    • Avec épisode dépressif caractérisé persistant
    • Avec épisodes dépressifs caractérisés intermittents, y compris l’épisode actuel
    • Avec épisodes dépressifs caractérisés intermittents, mais pas au cours de l’épisode actuel
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Légère
    • Moyenne
    • Grave
426
Q

Critères diagnostiques du trouble dépressif persistant (dysthymie)
- spécifications: début

A
  • Spécifier si :
    • Avec détresse anxieuse
    • Avec caractéristiques mixtes
    • Avec caractéristiques mélancoliques
    • Avec caractéristiques atypiques
    • Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
    • Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
    • Avec début dans le péripartum
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier si :
    • Début précoce : Si début du trouble avant l’âge de 21 ans.
    • Début tardif : Si début du trouble à l’âge de 21 ans ou après
427
Q

Critères diagnostiques du trouble dépressif persistant (dysthymie)
- spécifications: début - différenciez début précoce vs tardif

A
  • Spécifier si :
    • Avec détresse anxieuse
    • Avec caractéristiques mixtes
    • Avec caractéristiques mélancoliques
    • Avec caractéristiques atypiques
    • Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
    • Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
    • Avec début dans le péripartum
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier si :
    • Début précoce : Si début du trouble avant l’âge de 21 ans.
    • Début tardif : Si début du trouble à l’âge de 21 ans ou après
428
Q

Critères diagnostiques du trouble dépressif persistant (dysthymie)
- spécifications: syndromes

A
  • Spécifier si (pour les 2 années les plus récentes du trouble dépressif persistant) :
    • Avec syndrome dysthymique pur
    • Avec épisode dépressif caractérisé persistant
    • Avec épisodes dépressifs caractérisés intermittents, y compris l’épisode actuel
    • Avec épisodes dépressifs caractérisés intermittents, mais pas au cours de l’épisode actuel
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Légère
    • Moyenne
    • Grave
429
Q

Critères diagnostiques du trouble dépressif persistant (dysthymie)
- spécifications: sévérité

A
  • Spécifier si (pour les 2 années les plus récentes du trouble dépressif persistant) :
    • Avec syndrome dysthymique pur
    • Avec épisode dépressif caractérisé persistant
    • Avec épisodes dépressifs caractérisés intermittents, y compris l’épisode actuel
    • Avec épisodes dépressifs caractérisés intermittents, mais pas au cours de l’épisode actuel
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Légère
    • Moyenne
    • Grave
430
Q

Ce qui distingue le tr dépressif persistant vs caractérisé

A
  • La dépression majeure et le trouble dépressif persistant sont vraisemblablement sur un continuum clinique : un même patient peut présenter des symptômes dépressifs chroniques dont l’intensité varie dans le temps, satisfaisant parfois aux pleins critères de dépression majeur, parfois non.
    • On pourrait affirmer que le trouble dépressif caractérisé et le trouble dépressif persistant forment un continuum.
  • Pour être catégorisé comme trouble dépressif persistant, l’humeur dépressive doit être présente et observée pendant une période minimale de 2 ans chez l’adulte et 1 an chez les enfants et adolescents, et ce quasiment toute la journée, au moins 1 jour sur 2.
431
Q

Ce qui distingue le tr dépressif persistant vs caractérisé
- ressemblances

A
  • La dépression majeure et le trouble dépressif persistant sont vraisemblablement sur un continuum clinique : un même patient peut présenter des symptômes dépressifs chroniques dont l’intensité varie dans le temps, satisfaisant parfois aux pleins critères de dépression majeur, parfois non.
    • On pourrait affirmer que le trouble dépressif caractérisé et le trouble dépressif persistant forment un continuum.
  • Pour être catégorisé comme trouble dépressif persistant, l’humeur dépressive doit être présente et observée pendant une période minimale de 2 ans chez l’adulte et 1 an chez les enfants et adolescents, et ce quasiment toute la journée, au moins 1 jour sur 2.
432
Q

Ce qui distingue le tr dépressif persistant vs caractérisé
- différences

A
  • La dépression majeure et le trouble dépressif persistant sont vraisemblablement sur un continuum clinique : un même patient peut présenter des symptômes dépressifs chroniques dont l’intensité varie dans le temps, satisfaisant parfois aux pleins critères de dépression majeur, parfois non.
    • On pourrait affirmer que le trouble dépressif caractérisé et le trouble dépressif persistant forment un continuum.
  • Pour être catégorisé comme trouble dépressif persistant, l’humeur dépressive doit être présente et observée pendant une période minimale de 2 ans chez l’adulte et 1 an chez les enfants et adolescents, et ce quasiment toute la journée, au moins 1 jour sur 2.
433
Q

Tr dépressif persistant vs caractérisé
- Continuum

A
  • On pourrait affirmer que le trouble dépressif caractérisé et le trouble dépressif persistant forment un continuum.
  • La dépression majeure et le trouble dépressif persistant sont vraisemblablement sur un continuum clinique : un même patient peut présenter des symptômes dépressifs chroniques dont l’intensité varie dans le temps, satisfaisant parfois aux pleins critères de dépression majeur, parfois non.
  • Pour être catégorisé comme trouble dépressif persistant, l’humeur dépressive doit être présente et observée pendant une période minimale de 2 ans chez l’adulte et 1 an chez les enfants et adolescents, et ce quasiment toute la journée, au moins 1 jour sur 2.
434
Q

Cyclothymie vs TB 1 vs TB 2

A
  • La cyclothymie fait maintenant partie des troubles bipolaires dans le DSM-5.
  • En regardant les critères attentivement, nous serons d’accord qu’il est souvent difficile cliniquement de distinguer TB de type I et II, cyclothymie et les troubles de la personnalité du groupe B!
  • Dû au nombre faible d’information sur ce trouble, la colonne du tableau à ce sujet a été retirée à la fin du guide et écrite ici.
435
Q

Critères diagnostiques de la cyclothymie

A
  • A. Existence pendant au moins 2 ans (au moins 1 an chez les enfants et les adolescents) de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes hypomaniaques sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode hypomaniaque et de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes dépressifs sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode dépressif majeur.
  • B. Durant la période de 2 ans décrite ci-dessus (1 an chez les enfants et les adolescents), les périodes hypomaniaques et dépressives ont été présentes pendant au moins la moitié du temps et la personne n’a pas connu de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes.
  • C. Les critères pour un épisode dépressif caractérisé, maniaque ou hypomaniaque n’ont jamais été réunis.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas mieux expliqués par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou par un trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., une substance donnant lieu à abus, médicament) ou à une autre affection médicale (p. ex., hyperthyroïdie).
  • F. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
436
Q

Critères diagnostiques de la cyclothymie
- c’est quoi?

A
  • A. Existence pendant au moins 2 ans (au moins 1 an chez les enfants et les adolescents) de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes hypomaniaques sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode hypomaniaque et de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes dépressifs sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode dépressif majeur.
  • B. Durant la période de 2 ans décrite ci-dessus (1 an chez les enfants et les adolescents), les périodes hypomaniaques et dépressives ont été présentes pendant au moins la moitié du temps et la personne n’a pas connu de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes.
  • C. Les critères pour un épisode dépressif caractérisé, maniaque ou hypomaniaque n’ont jamais été réunis.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas mieux expliqués par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou par un trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., une substance donnant lieu à abus, médicament) ou à une autre affection médicale (p. ex., hyperthyroïdie).
  • F. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
437
Q

Critères diagnostiques de la cyclothymie
- durée

A
  • A. Existence pendant au moins 2 ans (au moins 1 an chez les enfants et les adolescents) de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes hypomaniaques sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode hypomaniaque et de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes dépressifs sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode dépressif majeur.
  • B. Durant la période de 2 ans décrite ci-dessus (1 an chez les enfants et les adolescents), les périodes hypomaniaques et dépressives ont été présentes pendant au moins la moitié du temps et la personne n’a pas connu de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes.
  • C. Les critères pour un épisode dépressif caractérisé, maniaque ou hypomaniaque n’ont jamais été réunis.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas mieux expliqués par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou par un trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., une substance donnant lieu à abus, médicament) ou à une autre affection médicale (p. ex., hyperthyroïdie).
  • F. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
438
Q

Critères diagnostiques de la cyclothymie
- durée: chez les enfants

A
  • A. Existence pendant au moins 2 ans (au moins 1 an chez les enfants et les adolescents) de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes hypomaniaques sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode hypomaniaque et de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes dépressifs sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode dépressif majeur.
  • B. Durant la période de 2 ans décrite ci-dessus (1 an chez les enfants et les adolescents), les périodes hypomaniaques et dépressives ont été présentes pendant au moins la moitié du temps et la personne n’a pas connu de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes.
  • C. Les critères pour un épisode dépressif caractérisé, maniaque ou hypomaniaque n’ont jamais été réunis.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas mieux expliqués par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou par un trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., une substance donnant lieu à abus, médicament) ou à une autre affection médicale (p. ex., hyperthyroïdie).
  • F. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
439
Q

Critères diagnostiques de la cyclothymie
- périodes

A
  • A. Existence pendant au moins 2 ans (au moins 1 an chez les enfants et les adolescents) de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes hypomaniaques sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode hypomaniaque et de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes dépressifs sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode dépressif majeur.
  • B. Durant la période de 2 ans décrite ci-dessus (1 an chez les enfants et les adolescents), **les périodes hypomaniaques et dépressives ont été présentes pendant au moins la moitié du temps et la personne n’a pas connu de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes. **
  • C. Les critères pour un épisode dépressif caractérisé, maniaque ou hypomaniaque n’ont jamais été réunis.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas mieux expliqués par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou par un trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., une substance donnant lieu à abus, médicament) ou à une autre affection médicale (p. ex., hyperthyroïdie).
  • F. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
440
Q

Critères diagnostiques de la cyclothymie
- décrire les périodes maniaques / dépressives

A
  • A. Existence pendant au moins 2 ans (au moins 1 an chez les enfants et les adolescents) de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes hypomaniaques sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode hypomaniaque et de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes dépressifs sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode dépressif majeur.
  • B. Durant la période de 2 ans décrite ci-dessus (1 an chez les enfants et les adolescents), les périodes hypomaniaques et dépressives ont été présentes pendant au moins la moitié du temps et la personne n’a pas connu de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes.
  • C. Les critères pour un épisode dépressif caractérisé, maniaque ou hypomaniaque n’ont jamais été réunis.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas mieux expliqués par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou par un trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., une substance donnant lieu à abus, médicament) ou à une autre affection médicale (p. ex., hyperthyroïdie).
  • F. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
441
Q

Critères diagnostiques de la cyclothymie
- décrire les périodes hypomaniaques

A
  • A. Existence pendant au moins 2 ans (au moins 1 an chez les enfants et les adolescents) de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes hypomaniaques sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode hypomaniaque et de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes dépressifs sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode dépressif majeur.
  • B. Durant la période de 2 ans décrite ci-dessus (1 an chez les enfants et les adolescents), les périodes hypomaniaques et dépressives ont été présentes pendant au moins la moitié du temps et la personne n’a pas connu de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes.
  • C. Les critères pour un épisode dépressif caractérisé, maniaque ou hypomaniaque n’ont jamais été réunis.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas mieux expliqués par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou par un trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., une substance donnant lieu à abus, médicament) ou à une autre affection médicale (p. ex., hyperthyroïdie).
  • F. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
442
Q

Critères diagnostiques de la cyclothymie
- les critères pour quels dx ne sont pas réunis?

A
  • A. Existence pendant au moins 2 ans (au moins 1 an chez les enfants et les adolescents) de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes hypomaniaques sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode hypomaniaque et de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes dépressifs sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode dépressif majeur.
  • B. Durant la période de 2 ans décrite ci-dessus (1 an chez les enfants et les adolescents), les périodes hypomaniaques et dépressives ont été présentes pendant au moins la moitié du temps et la personne n’a pas connu de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes.
  • C. Les critères pour un épisode dépressif caractérisé, maniaque ou hypomaniaque n’ont jamais été réunis.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas mieux expliqués par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou par un trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., une substance donnant lieu à abus, médicament) ou à une autre affection médicale (p. ex., hyperthyroïdie).
  • F. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
443
Q

Critères diagnostiques de la cyclothymie
- exclure quoi?

A
  • A. Existence pendant au moins 2 ans (au moins 1 an chez les enfants et les adolescents) de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes hypomaniaques sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode hypomaniaque et de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes dépressifs sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode dépressif majeur.
  • B. Durant la période de 2 ans décrite ci-dessus (1 an chez les enfants et les adolescents), les périodes hypomaniaques et dépressives ont été présentes pendant au moins la moitié du temps et la personne n’a pas connu de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes.
  • C. Les critères pour un épisode dépressif caractérisé, maniaque ou hypomaniaque n’ont jamais été réunis.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas mieux expliqués par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou par un trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., une substance donnant lieu à abus, médicament) ou à une autre affection médicale (p. ex., hyperthyroïdie).
  • F. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
444
Q

Critères diagnostiques de la cyclothymie
- impacts

A
  • A. Existence pendant au moins 2 ans (au moins 1 an chez les enfants et les adolescents) de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes hypomaniaques sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode hypomaniaque et de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes dépressifs sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode dépressif majeur.
  • B. Durant la période de 2 ans décrite ci-dessus (1 an chez les enfants et les adolescents), les périodes hypomaniaques et dépressives ont été présentes pendant au moins la moitié du temps et la personne n’a pas connu de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes.
  • C. Les critères pour un épisode dépressif caractérisé, maniaque ou hypomaniaque n’ont jamais été réunis.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas mieux expliqués par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou par un trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., une substance donnant lieu à abus, médicament) ou à une autre affection médicale (p. ex., hyperthyroïdie).
  • F. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
445
Q

Tr secondaires de l’humeur: Nommez-les

A
  • Les troubles dépressifs ou bipolaires liés à une condition médicale
  • Les troubles dépressifs ou bipolaires liés à l’usage d’une substance
446
Q

Tr de l’humeur: Il faut toujours élimier quoi?

A
  • Pour ce sujet, l’important est de se souvenir qu’il faut TOUJOURS éliminer une cause secondaire lorsque l’on est face à une symptomatologie compatible avec un trouble de l’humeur.
  • Cette hypothèse doit faire partie de vos diagnostics différentiels jusqu’à preuve du contraire!
447
Q

Tr secondaires de l’humeur: Ce qu’il faut savoir

A

Assurez-vous de pouvoir identifier des substances (drogues ou médications) et des conditions médicales fréquentes qui peuvent donner ce genre de tableau clinique!

448
Q

Syndrome dépressif: DDX
- Le médecin doit éliminer quoi?

A

Devant un syndrome dépressif, le médecin doit d’abord éliminer une cause purement médicale. Il faut porter une attention particulière aux :

  • Signes d’anémie
  • Signes d’hypothyroïdie (surtout chez les 50 ans et plus)
  • Endocrinopathies (hyperthyroïdie, maladie de Cushing, insuffisance surrénalienne, hyperparathyroïdie)
  • Maladies inflammatoires (LED, etc.)
  • Néoplasie (surtout si fatigue et perte de poids)
  • Parkinson, Alzheimer ou d’origine vasculaire (surtout chez la personne âgée avec asthénie, ralentissement moteur)
  • Médicaments
449
Q

Syndrome dépressif: DDX
- Hémato

A

Devant un syndrome dépressif, le médecin doit d’abord éliminer une cause purement médicale. Il faut porter une attention particulière aux :

  • Signes d’anémie
  • Signes d’hypothyroïdie (surtout chez les 50 ans et plus) -
  • Endocrinopathies (hyperthyroïdie, maladie de Cushing, insuffisance surrénalienne, hyperparathyroïdie) - Maladies inflammatoires (LED, etc.)
  • Néoplasie (surtout si fatigue et perte de poids)
  • Parkinson, Alzheimer ou d’origine vasculaire (surtout chez la personne âgée avec asthénie, ralentissement moteur)
  • Médicaments
450
Q

Syndrome dépressif: DDX
- Endocrino

A

Devant un syndrome dépressif, le médecin doit d’abord éliminer une cause purement médicale. Il faut porter une attention particulière aux :

  • Signes d’anémie
  • Signes d’hypothyroïdie (surtout chez les 50 ans et plus)
  • Endocrinopathies (hyperthyroïdie, maladie de Cushing, insuffisance surrénalienne, hyperparathyroïdie)
  • Maladies inflammatoires (LED, etc.)
  • Néoplasie (surtout si fatigue et perte de poids)
  • Parkinson, Alzheimer ou d’origine vasculaire (surtout chez la personne âgée avec asthénie, ralentissement moteur)
  • Médicaments
451
Q

Syndrome dépressif: DDX
- hypothyroïdie: chez quoi?

A

Devant un syndrome dépressif, le médecin doit d’abord éliminer une cause purement médicale. Il faut porter une attention particulière aux :

  • Signes d’anémie
  • Signes d’hypothyroïdie (surtout chez les 50 ans et plus)
  • Endocrinopathies (hyperthyroïdie, maladie de Cushing, insuffisance surrénalienne, hyperparathyroïdie)
  • Maladies inflammatoires (LED, etc.)
  • Néoplasie (surtout si fatigue et perte de poids)
  • Parkinson, Alzheimer ou d’origine vasculaire (surtout chez la personne âgée avec asthénie, ralentissement moteur)
  • Médicaments
452
Q

Syndrome dépressif: DDX
- endocrinopathies

A

Devant un syndrome dépressif, le médecin doit d’abord éliminer une cause purement médicale. Il faut porter une attention particulière aux :

  • Signes d’anémie
  • Signes d’hypothyroïdie (surtout chez les 50 ans et plus)
  • Endocrinopathies (hyperthyroïdie, maladie de Cushing, insuffisance surrénalienne, hyperparathyroïdie)
  • Maladies inflammatoires (LED, etc.)
  • Néoplasie (surtout si fatigue et perte de poids)
  • Parkinson, Alzheimer ou d’origine vasculaire (surtout chez la personne âgée avec asthénie, ralentissement moteur)
  • Médicaments
453
Q

Syndrome dépressif: DDX
- maladies inflammatoires

A

Devant un syndrome dépressif, le médecin doit d’abord éliminer une cause purement médicale. Il faut porter une attention particulière aux :

  • Signes d’anémie
  • Signes d’hypothyroïdie (surtout chez les 50 ans et plus)
  • Endocrinopathies (hyperthyroïdie, maladie de Cushing, insuffisance surrénalienne, hyperparathyroïdie)
  • Maladies inflammatoires (LED, etc.)
  • Néoplasie (surtout si fatigue et perte de poids)
  • Parkinson, Alzheimer ou d’origine vasculaire (surtout chez la personne âgée avec asthénie, ralentissement moteur)
  • Médicaments
454
Q

Syndrome dépressif: DDX
- néoplasie

A

Devant un syndrome dépressif, le médecin doit d’abord éliminer une cause purement médicale. Il faut porter une attention particulière aux :

  • Signes d’anémie
  • Signes d’hypothyroïdie (surtout chez les 50 ans et plus)
  • Endocrinopathies (hyperthyroïdie, maladie de Cushing, insuffisance surrénalienne, hyperparathyroïdie)
  • Maladies inflammatoires (LED, etc.)
  • Néoplasie (surtout si fatigue et perte de poids)
  • Parkinson, Alzheimer ou d’origine vasculaire (surtout chez la personne âgée avec asthénie, ralentissement moteur)
  • Médicaments
455
Q

Syndrome dépressif: DDX
- néoplasie: surtout chez qui?

A

Devant un syndrome dépressif, le médecin doit d’abord éliminer une cause purement médicale. Il faut porter une attention particulière aux :

  • Signes d’anémie
  • Signes d’hypothyroïdie (surtout chez les 50 ans et plus)
  • Endocrinopathies (hyperthyroïdie, maladie de Cushing, insuffisance surrénalienne, hyperparathyroïdie)
  • Maladies inflammatoires (LED, etc.)
  • Néoplasie (surtout si fatigue et perte de poids)
  • Parkinson, Alzheimer ou d’origine vasculaire (surtout chez la personne âgée avec asthénie, ralentissement moteur)
  • Médicaments
456
Q

Syndrome dépressif: DDX
- maladies dégénératives

A

Devant un syndrome dépressif, le médecin doit d’abord éliminer une cause purement médicale. Il faut porter une attention particulière aux :

  • Signes d’anémie
  • Signes d’hypothyroïdie (surtout chez les 50 ans et plus)
  • Endocrinopathies (hyperthyroïdie, maladie de Cushing, insuffisance surrénalienne, hyperparathyroïdie)
  • Maladies inflammatoires (LED, etc.)
  • Néoplasie (surtout si fatigue et perte de poids)
  • Parkinson, Alzheimer ou d’origine vasculaire (surtout chez la personne âgée avec asthénie, ralentissement moteur)
  • Médicaments
457
Q

Syndrome dépressif: DDX
- médicaments

A

Devant un syndrome dépressif, le médecin doit d’abord éliminer une cause purement médicale. Il faut porter une attention particulière aux :

  • Signes d’anémie
  • Signes d’hypothyroïdie (surtout chez les 50 ans et plus)
  • Endocrinopathies (hyperthyroïdie, maladie de Cushing, insuffisance surrénalienne, hyperparathyroïdie)
  • Maladies inflammatoires (LED, etc.)
  • Néoplasie (surtout si fatigue et perte de poids)
  • Parkinson, Alzheimer ou d’origine vasculaire (surtout chez la personne âgée avec asthénie, ralentissement moteur)
  • Médicaments
458
Q

Médicaments pouvant causer un état dépressif

A
459
Q

Médicaments pouvant causer un état dépressif
- nommez les classes

A
  1. Association bien documentée
  2. Association possible
  3. Association peu probable, bien que souvent mentionnée
460
Q

Médicaments pouvant causer un état dépressif
- association bien documentée

A
  • Corticostéroïdes
  • Méfioquine (antipaludéen)
  • Interféron-α (traitement hépatite C)
  • Interleukine-2 (antinéoplasique)
  • Leuprolide, goséréline (agonistes de l’hormone de libération de la gonadotrophine)
  • Éfavirenz (antirétroviral)
  • Flunarizine (bloqueur des canaux calciques, antimigraineux)
  • Vigabatrine, phénobarbital, topiramate (anticonvulsivants)
461
Q

Médicaments pouvant causer un état dépressif
- association possible

A
  • Clomiphène
  • Antihypertenseurs :
    • Méthyldopa
    • Réserpine
    • Clonidine
  • Digoxine en surdosage
  • Tétrabénazine (analogue de la réserpine)
  • Sédatifs-hypnotiques
  • Isotrétinoïne (anti-acné)
  • Varénicline (arrêt du tabagisme)
  • Busulfan, carmustine, vincristine, vinblastine, pémétrexed et divers autres antinéoplasiques
462
Q

Médicaments pouvant causer un état dépressif
- association peu probable, bien que souvent mentionnée

A
  • β-bloquants
  • Contraceptifs oraux
463
Q

Critères diagnostiques du tr bipolaire VS tr dépressif ou apparenté induit par une substance/un médicament

A
464
Q

Critères dx tr bipolaire apparenté induit par substance/médicament

A
  • A. Perturbation thymique au premier plan et domine le tableau clinique et est caractérisée par une élévation de l’humeur, une humeur expansive ou irritable, avec ou sans humeur dépressive, ou une diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les résultats des examens complémentaires montrent clairement la présence de :
    • 1.Symptômes du critère A se sont développés pendant ou peu après l’intoxication par une substance ou le sevrage de celle-ci ou après la prise d’un médicament
    • 2.La substance ou le médicament impliqué est capable de produire les symptômes en A
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble […]
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement dans le cadre d’un délirium
  • E. Les symptômes entraînent une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants
  • Spécifier le type
    • Avec début pendant une intoxication
    • Avec début pendant un sevrage
465
Q

Critères dx tr bipolaire apparenté induit par substance/médicament
- décrire

A
  • A. Perturbation thymique au premier plan et domine le tableau clinique et est caractérisée par une élévation de l’humeur, une humeur expansive ou irritable, avec ou sans humeur dépressive, ou une diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les résultats des examens complémentaires montrent clairement la présence de :
    • 1.Symptômes du critère A se sont développés pendant ou peu après l’intoxication par une substance ou le sevrage de celle-ci ou après la prise d’un médicament
    • 2.La substance ou le médicament impliqué est capable de produire les symptômes en A
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble […]
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement dans le cadre d’un délirium
  • E. Les symptômes entraînent une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants
  • Spécifier le type
    • Avec début pendant une intoxication
    • Avec début pendant un sevrage
466
Q

Critères dx tr bipolaire apparenté induit par substance/médicament
- décrivez les épisodes nécessaires

A
  • A. Perturbation thymique au premier plan et domine le tableau clinique et est caractérisée par une élévation de l’humeur, une humeur expansive ou irritable, avec ou sans humeur dépressive, ou une diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les résultats des examens complémentaires montrent clairement la présence de :
    • 1.Symptômes du critère A se sont développés pendant ou peu après l’intoxication par une substance ou le sevrage de celle-ci ou après la prise d’un médicament
    • 2.La substance ou le médicament impliqué est capable de produire les symptômes en A
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble […]
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement dans le cadre d’un délirium
  • E. Les symptômes entraînent une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants
  • Spécifier le type
    • Avec début pendant une intoxication
    • Avec début pendant un sevrage
467
Q

Critères dx tr bipolaire apparenté induit par substance/médicament
- la présentation clinique démontre quoi?

A
  • A. Perturbation thymique au premier plan et domine le tableau clinique et est caractérisée par une élévation de l’humeur, une humeur expansive ou irritable, avec ou sans humeur dépressive, ou une diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les résultats des examens complémentaires montrent clairement la présence de :
    • 1.Symptômes du critère A se sont développés pendant ou peu après l’intoxication par une substance ou le sevrage de celle-ci ou après la prise d’un médicament
    • 2.La substance ou le médicament impliqué est capable de produire les symptômes en A
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble […]
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement dans le cadre d’un délirium
  • E. Les symptômes entraînent une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants
  • Spécifier le type
    • Avec début pendant une intoxication
    • Avec début pendant un sevrage
468
Q

Critères dx tr bipolaire apparenté induit par substance/médicament
- éléments nécessaires

A
  • A. Perturbation thymique au premier plan et domine le tableau clinique et est caractérisée par une élévation de l’humeur, une humeur expansive ou irritable, avec ou sans humeur dépressive, ou une diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les résultats des examens complémentaires montrent clairement la présence de :
    • 1.Symptômes du critère A se sont développés pendant ou peu après l’intoxication par une substance ou le sevrage de celle-ci ou après la prise d’un médicament
    • 2.La substance ou le médicament impliqué est capable de produire les symptômes en A
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble […]
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement dans le cadre d’un délirium
  • E. Les symptômes entraînent une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants
  • Spécifier le type
    • Avec début pendant une intoxication
    • Avec début pendant un sevrage
469
Q

Critères dx tr bipolaire apparenté induit par substance/médicament
- exclure quoi?

A
  • A. Perturbation thymique au premier plan et domine le tableau clinique et est caractérisée par une élévation de l’humeur, une humeur expansive ou irritable, avec ou sans humeur dépressive, ou une diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les résultats des examens complémentaires montrent clairement la présence de :
    • 1.Symptômes du critère A se sont développés pendant ou peu après l’intoxication par une substance ou le sevrage de celle-ci ou après la prise d’un médicament
    • 2.La substance ou le médicament impliqué est capable de produire les symptômes en A
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble […]
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement dans le cadre d’un délirium
  • E. Les symptômes entraînent une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants
  • Spécifier le type
    • Avec début pendant une intoxication
    • Avec début pendant un sevrage
470
Q

Critères dx tr bipolaire apparenté induit par substance/médicament
- impacts

A
  • A. Perturbation thymique au premier plan et domine le tableau clinique et est caractérisée par une élévation de l’humeur, une humeur expansive ou irritable, avec ou sans humeur dépressive, ou une diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les résultats des examens complémentaires montrent clairement la présence de :
    • 1.Symptômes du critère A se sont développés pendant ou peu après l’intoxication par une substance ou le sevrage de celle-ci ou après la prise d’un médicament
    • 2.La substance ou le médicament impliqué est capable de produire les symptômes en A
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble […]
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement dans le cadre d’un délirium
  • E. Les symptômes entraînent une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants
  • Spécifier le type
    • Avec début pendant une intoxication
    • Avec début pendant un sevrage
471
Q

Critères dx tr bipolaire apparenté induit par substance/médicament
- spécifications

A
  • Spécifier le type
    • Avec début pendant une intoxication
    • Avec début pendant un sevrage
472
Q

Critères dx tr bipolaire apparenté induit par substance/médicament
- spécifications: types

A
  • Spécifier le type
    • Avec début pendant une intoxication
    • Avec début pendant un sevrage
473
Q

Critères dx tr dépressif induit par substance/médicament

A
  • A. Perturbation thymique au premier plan et domine le tableau clinique et est caractérisée par une humeur dépressive ou une diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes, ou presque toutes les activités
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les résultats des examens complémentaires montrent clairement la présence de :
    • 1.Symptômes du critère A se sont développés pendant ou peu après l’intoxication par une substance ou le sevrage de celle-ci ou après la prise d’un médicament
    • 2.La substance ou le médicament impliqué est capable de produire les symptômes en A
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble […]
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement dans le cadre d’un délirium
  • E. Les symptômes entraînent une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants
  • Spécifier le type
    • Avec début pendant une intoxication
    • Avec début pendant un sevrage
474
Q

Critères dx tr dépressif induit par substance/médicament
- décrire c’est quoi

A
  • A. Perturbation thymique au premier plan et domine le tableau clinique et est caractérisée par une humeur dépressive ou une diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes, ou presque toutes les activités
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les résultats des examens complémentaires montrent clairement la présence de :
    • 1.Symptômes du critère A se sont développés pendant ou peu après l’intoxication par une substance ou le sevrage de celle-ci ou après la prise d’un médicament
    • 2.La substance ou le médicament impliqué est capable de produire les symptômes en A
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble […]
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement dans le cadre d’un délirium
  • E. Les symptômes entraînent une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants
  • Spécifier le type
    • Avec début pendant une intoxication
    • Avec début pendant un sevrage
475
Q

Critères dx tr dépressif induit par substance/médicament
- décrire les épisodes

A
  • A. Perturbation thymique au premier plan et domine le tableau clinique et est caractérisée par une humeur dépressive ou une diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes, ou presque toutes les activités
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les résultats des examens complémentaires montrent clairement la présence de :
    • 1.Symptômes du critère A se sont développés pendant ou peu après l’intoxication par une substance ou le sevrage de celle-ci ou après la prise d’un médicament
    • 2.La substance ou le médicament impliqué est capable de produire les symptômes en A
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble […]
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement dans le cadre d’un délirium
  • E. Les symptômes entraînent une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants
  • Spécifier le type
    • Avec début pendant une intoxication
    • Avec début pendant un sevrage
476
Q

Critères dx tr dépressif induit par substance/médicament
- présentation clinique démontre quoi?

A
  • A. Perturbation thymique au premier plan et domine le tableau clinique et est caractérisée par une humeur dépressive ou une diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes, ou presque toutes les activités
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les résultats des examens complémentaires montrent clairement la présence de :
    • 1.Symptômes du critère A se sont développés pendant ou peu après l’intoxication par une substance ou le sevrage de celle-ci ou après la prise d’un médicament
    • 2.La substance ou le médicament impliqué est capable de produire les symptômes en A
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble […]
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement dans le cadre d’un délirium
  • E. Les symptômes entraînent une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants
  • Spécifier le type
    • Avec début pendant une intoxication
    • Avec début pendant un sevrage
477
Q

Critères dx tr dépressif induit par substance/médicament
- éléments nécessaires

A
  • A. Perturbation thymique au premier plan et domine le tableau clinique et est caractérisée par une humeur dépressive ou une diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes, ou presque toutes les activités
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les résultats des examens complémentaires montrent clairement la présence de :
    • 1.Symptômes du critère A se sont développés pendant ou peu après l’intoxication par une substance ou le sevrage de celle-ci ou après la prise d’un médicament
    • 2.La substance ou le médicament impliqué est capable de produire les symptômes en A
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble […]
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement dans le cadre d’un délirium
  • E. Les symptômes entraînent une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants
  • Spécifier le type
    • Avec début pendant une intoxication
    • Avec début pendant un sevrage
478
Q

Critères dx tr dépressif induit par substance/médicament
- exclure quoi?

A
  • A. Perturbation thymique au premier plan et domine le tableau clinique et est caractérisée par une humeur dépressive ou une diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes, ou presque toutes les activités
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les résultats des examens complémentaires montrent clairement la présence de :
    • 1.Symptômes du critère A se sont développés pendant ou peu après l’intoxication par une substance ou le sevrage de celle-ci ou après la prise d’un médicament
    • 2.La substance ou le médicament impliqué est capable de produire les symptômes en A
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble […]
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement dans le cadre d’un délirium
  • E. Les symptômes entraînent une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants
  • Spécifier le type
    • Avec début pendant une intoxication
    • Avec début pendant un sevrage
479
Q

Critères dx tr dépressif induit par substance/
- impacts

A
  • A. Perturbation thymique au premier plan et domine le tableau clinique et est caractérisée par une humeur dépressive ou une diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes, ou presque toutes les activités
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les résultats des examens complémentaires montrent clairement la présence de :
    • 1.Symptômes du critère A se sont développés pendant ou peu après l’intoxication par une substance ou le sevrage de celle-ci ou après la prise d’un médicament
    • 2.La substance ou le médicament impliqué est capable de produire les symptômes en A
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble […]
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement dans le cadre d’un délirium
  • E. Les symptômes entraînent une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants
  • Spécifier le type
    • Avec début pendant une intoxication
    • Avec début pendant un sevrage
480
Q

Critères dx tr dépressif induit par substance/médicament
- spécifications

A
  • Spécifier le type
    • Avec début pendant une intoxication
    • Avec début pendant un sevrage
481
Q

Critères dx tr dépressif induit par substance/médicament
- spécifications: types

A
  • Spécifier le type
    • Avec début pendant une intoxication
    • Avec début pendant un sevrage
482
Q

Critères dx tr bipolaire ou apparenté dû à une autre affection médicale

A
  • A. Une période avec au premier plan de façon persistante une humeur anormalement élevée, expansive ou irritable et une augmentation anormale de l’activité ou de l’énergie qui domine le tableau clinique
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires montrent clairement que la perturbation est la conséquence physiopathologique directe d’une autre affection médicale
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement au décours d’un état confusionnel (délirium)
  • E. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement, ou nécessite une hospitalisation pour prévenir une auto ou hétéro-agression, ou il existe des symptômes psychotiques
  • Spécifier le type
    • Avec caractéristiques maniaques
    • Avec épisodes d’allure maniaque ou hypomaniaque
    • Avec caractéristiques mixtes
483
Q

Critères dx tr bipolaire ou apparenté dû à une autre affection médicale
- décrire c’est quoi?

A
  • A. Une période avec au premier plan de façon persistante une humeur anormalement élevée, expansive ou irritable et une augmentation anormale de l’activité ou de l’énergie qui domine le tableau clinique
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires montrent clairement que la perturbation est la conséquence physiopathologique directe d’une autre affection médicale
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement au décours d’un état confusionnel (délirium)
  • E. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement, ou nécessite une hospitalisation pour prévenir une auto ou hétéro-agression, ou il existe des symptômes psychotiques
  • Spécifier le type
    • Avec caractéristiques maniaques
    • Avec épisodes d’allure maniaque ou hypomaniaque
    • Avec caractéristiques mixtes
484
Q

Critères dx tr bipolaire ou apparenté dû à une autre affection médicale
- épisodes nécessaires

A
  • A. Une période avec au premier plan de façon persistante une humeur anormalement élevée, expansive ou irritable et une augmentation anormale de l’activité ou de l’énergie qui domine le tableau clinique
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires montrent clairement que la perturbation est la conséquence physiopathologique directe d’une autre affection médicale
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement au décours d’un état confusionnel (délirium)
  • E. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement, ou nécessite une hospitalisation pour prévenir une auto ou hétéro-agression, ou il existe des symptômes psychotiques
  • Spécifier le type
    • Avec caractéristiques maniaques
    • Avec épisodes d’allure maniaque ou hypomaniaque
    • Avec caractéristiques mixtes
485
Q

Critères dx tr bipolaire ou apparenté dû à une autre affection médicale
- présentation clinique démontre quoi?

A
  • A. Une période avec au premier plan de façon persistante une humeur anormalement élevée, expansive ou irritable et une augmentation anormale de l’activité ou de l’énergie qui domine le tableau clinique
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires montrent clairement que la perturbation est la conséquence physiopathologique directe d’une autre affection médicale
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement au décours d’un état confusionnel (délirium)
  • E. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement, ou nécessite une hospitalisation pour prévenir une auto ou hétéro-agression, ou il existe des symptômes psychotiques
  • Spécifier le type
    • Avec caractéristiques maniaques
    • Avec épisodes d’allure maniaque ou hypomaniaque
    • Avec caractéristiques mixtes
486
Q

Critères dx tr bipolaire ou apparenté dû à une autre affection médicale
- exclure quoi?

A
  • A. Une période avec au premier plan de façon persistante une humeur anormalement élevée, expansive ou irritable et une augmentation anormale de l’activité ou de l’énergie qui domine le tableau clinique
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires montrent clairement que la perturbation est la conséquence physiopathologique directe d’une autre affection médicale
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement au décours d’un état confusionnel (délirium)
  • E. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement, ou nécessite une hospitalisation pour prévenir une auto ou hétéro-agression, ou il existe des symptômes psychotiques
  • Spécifier le type
    • Avec caractéristiques maniaques
    • Avec épisodes d’allure maniaque ou hypomaniaque
    • Avec caractéristiques mixtes
487
Q

Critères dx tr bipolaire ou apparenté dû à une autre affection médicale
- impacts

A
  • A. Une période avec au premier plan de façon persistante une humeur anormalement élevée, expansive ou irritable et une augmentation anormale de l’activité ou de l’énergie qui domine le tableau clinique
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires montrent clairement que la perturbation est la conséquence physiopathologique directe d’une autre affection médicale
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement au décours d’un état confusionnel (délirium)
  • E. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement, ou nécessite une hospitalisation pour prévenir une auto ou hétéro-agression, ou il existe des symptômes psychotiques
  • Spécifier le type
    • Avec caractéristiques maniaques
    • Avec épisodes d’allure maniaque ou hypomaniaque
    • Avec caractéristiques mixtes
488
Q

Critères dx tr bipolaire ou apparenté dû à une autre affection médicale
- spécifications

A
  • Spécifier le type
    • Avec caractéristiques maniaques
    • Avec épisodes d’allure maniaque ou hypomaniaque
    • Avec caractéristiques mixtes
489
Q

Critères dx tr bipolaire ou apparenté dû à une autre affection médicale
- spécifications: types

A
  • Spécifier le type
    • Avec caractéristiques maniaques
    • Avec épisodes d’allure maniaque ou hypomaniaque
    • Avec caractéristiques mixtes
490
Q

Critères dx tr dépressif dû à une autre affection médicale

A
  • A. période prononcée et persistant pendant laquelle une humeur dépressive ou une diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes, ou presque toutes les activités, domine le tableau clinique
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires montrent clairement que la perturbation est la conséquence physiopathologique directe d’une autre affection médicale
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement au décours d’un état confusionnel (délirium)
  • E. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement.
  • Spécifier le type
    • Avec caractéristiques dépressives
    • Avec épisodes évoquant un épisode dépressif caractérisé
    • Avec caractéristiques mixtes
491
Q

Critères dx tr dépressif dû à une autre affection médicale
- décrire c’est quoi

A
  • A. Période prononcée et persistant pendant laquelle une humeur dépressive ou une diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes, ou presque toutes les activités, domine le tableau clinique
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires montrent clairement que la perturbation est la conséquence physiopathologique directe d’une autre affection médicale
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement au décours d’un état confusionnel (délirium)
  • E. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement.
  • Spécifier le type
    • Avec caractéristiques dépressives
    • Avec épisodes évoquant un épisode dépressif caractérisé
    • Avec caractéristiques mixtes
492
Q

Critères dx tr dépressif dû à une autre affection médicale
- Périodes nécessaires

A
  • A. Période prononcée et persistant pendant laquelle une humeur dépressive ou une diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes, ou presque toutes les activités, domine le tableau clinique
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires montrent clairement que la perturbation est la conséquence physiopathologique directe d’une autre affection médicale
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement au décours d’un état confusionnel (délirium)
  • E. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement.
  • Spécifier le type
    • Avec caractéristiques dépressives
    • Avec épisodes évoquant un épisode dépressif caractérisé
    • Avec caractéristiques mixtes
493
Q

Critères dx tr dépressif dû à une autre affection médicale
- présentation clinique démontre quoi?

A
  • A. Période prononcée et persistant pendant laquelle une humeur dépressive ou une diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes, ou presque toutes les activités, domine le tableau clinique
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires montrent clairement que la perturbation est la conséquence physiopathologique directe d’une autre affection médicale
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement au décours d’un état confusionnel (délirium)
  • E. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement.
  • Spécifier le type
    • Avec caractéristiques dépressives
    • Avec épisodes évoquant un épisode dépressif caractérisé
    • Avec caractéristiques mixtes
494
Q

Critères dx tr dépressif dû à une autre affection médicale
- exclure quoi?

A
  • A. Période prononcée et persistant pendant laquelle une humeur dépressive ou une diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes, ou presque toutes les activités, domine le tableau clinique
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires montrent clairement que la perturbation est la conséquence physiopathologique directe d’une autre affection médicale
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement au décours d’un état confusionnel (délirium)
  • E. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement.
  • Spécifier le type
    • Avec caractéristiques dépressives
    • Avec épisodes évoquant un épisode dépressif caractérisé
    • Avec caractéristiques mixtes
495
Q

Critères dx tr dépressif dû à une autre affection médicale
- impacts

A
  • A. Période prononcée et persistant pendant laquelle une humeur dépressive ou une diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes, ou presque toutes les activités, domine le tableau clinique
  • B. Les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires montrent clairement que la perturbation est la conséquence physiopathologique directe d’une autre affection médicale
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental
  • D. La perturbation ne survient pas uniquement au décours d’un état confusionnel (délirium)
  • E. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement.
  • Spécifier le type
    • Avec caractéristiques dépressives
    • Avec épisodes évoquant un épisode dépressif caractérisé
    • Avec caractéristiques mixtes
496
Q

Critères dx tr dépressif dû à une autre affection médicale
- spécifications

A
  • Spécifier le type
    • Avec caractéristiques dépressives
    • Avec épisodes évoquant un épisode dépressif caractérisé
    • Avec caractéristiques mixtes
497
Q

Critères dx tr dépressif dû à une autre affection médicale
- spécifications: types

A
  • Spécifier le type
    • Avec caractéristiques dépressives
    • Avec épisodes évoquant un épisode dépressif caractérisé
    • Avec caractéristiques mixtes