Trouble de l'humeur 1 Flashcards
Objectif du cours: Médicaments
En plus, nommer le nom générique et commercial utilisés au Canada ainsi que les doses usuelles et le mécanisme d’action pour la Vanlafaxine, le Citalopram, le Bupropion, le Lithium et l’Acide valproique et la lamotrigine
Tr de l’humeur: Lecture des chapitres
Cet objectif semble assez large. Je ne vous suggère PAS de commencer à lire ce chapitre en ordre tout de suite. Tentons d’y aller de façon progressive, en regardant les plus gros concepts en premier et en y ajoutant par la suite les connaissances nécessaires.
Tr de l’humeur: Quels termes est-il important de différencier?
- Dans un premier temps, il est primordial que vous soyez capable de distinguer un « Épisode affectif » d’un « Trouble affectif ».
- Avant de débuter votre lecture, je vous suggère de regarder les critères des trois Épisodes affectifs possibles dans votre DSM, sous le chapitre Troubles bipolaires et apparentés (qui sont les épisodes pouvant survenir chez un patient souffrant de maladie bipolaire de type I)
Tr de l’humeur: Que faut-il savoir?
- De manière générale, les troubles de bipolaires concernant des présentations cliniques et des entités beaucoup plus vastes que l’alternance maniaque et dépressive classique.
- Sa présentation peut être subtile, atypique ou encore camouflée et aucun marqueur biologique ne permet de poser un diagnostic.
- Notons qu’un épisode thymique fait référence à un épisode de l’un ou l’autre des pôles de l’humeur opposés (maniaque / hypomaniaque ou dépressif).
Tr de l’humeur: Définir épisode thymique
- De manière générale, les troubles de bipolaires concernant des présentations cliniques et des entités beaucoup plus vastes que l’alternance maniaque et dépressive classique.
- Sa présentation peut être subtile, atypique ou encore camouflée et aucun marqueur biologique ne permet de poser un diagnostic.
- Notons qu’un épisode thymique fait référence à un épisode de l’un ou l’autre des pôles de l’humeur opposés (maniaque / hypomaniaque ou dépressif).
Critères diagnostiques de MANIE
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
- D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
- N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui per siste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet phy siologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
- N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
Critères diagnostiques de MANIE
- symptômes de base nécessaires
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
- D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
- N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui per siste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet phy siologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
- N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
Critères diagnostiques de MANIE
- symptômes
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
- D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
- N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui per siste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet phy siologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
- N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
Critères diagnostiques de MANIE
- symptômes nécessaires: nommez-les
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
- D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
- N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui per siste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet phy siologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
- N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
Critères diagnostiques de MANIE
- durée
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitalisation est nécessaire).
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
- D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
- N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui per siste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet phy siologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
- N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
Critères diagnostiques de MANIE
- impacts
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
- D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
- N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui per siste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet phy siologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
- N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
Critères diagnostiques de MANIE
- exclure quoi?
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
- D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
- N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet physiologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
- N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
Critères diagnostiques de MANIE
- si survient lors traitement antidépresseur
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
- D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
- N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet physiologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
- N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
Critères diagnostiques de MANIE
- nombre d’épisodes maniaques nécessaires
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
- D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
- N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui per siste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet phy siologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
- N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
Critères diagnostiques de MANIE
- symptômes: nombre nécessaire
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
- D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
- N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui per siste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet phy siologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
- N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
Critères diagnostiques de l’hypomanie
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
- D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
- E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
- F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
- N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
- N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
Critères diagnostiques de l’hypomanie
- c’est quoi?
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
- D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
- E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
- F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
- N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
- N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
Critères diagnostiques de l’hypomanie
- durée
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
- D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
- E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
- F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
- N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
- N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
Critères diagnostiques de l’hypomanie
- symptômes
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
- D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
- E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
- F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
- N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
- N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
Critères diagnostiques de l’hypomanie
- symptômes: nommez-les
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
- D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
- E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
- F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
- N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
- N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
Critères diagnostiques de l’hypomanie
- impacts
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
- D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
- E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
- F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
- N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
- N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
Critères diagnostiques de l’hypomanie
- ce que les autres voient
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
- D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
- E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
- F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
- N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
- N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
Critères diagnostiques de l’hypomanie
- hospitalisation?
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
- D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
- E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
- F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
- N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
- N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
Critères diagnostiques de l’hypomanie
- symptômes psychotiques
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
- D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
- E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
- F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
- N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
- N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
Critères diagnostiques de l’hypomanie
- quoi exclure?
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
- D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
- E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
- F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
- N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
- N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
Critères diagnostiques de l’hypomanie
- spécifications si traitement antidépresseur
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
- D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
- E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
- F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
- N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
- N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
Critères diagnostiques de l’hypomanie
- bipolaire type 1
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
- D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
- E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
- F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
- N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
- N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
Critères diagnostiques de l’hypomanie
- symptômes: nombre nécessaires
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
- D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
- E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
- F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
- N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
- N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
—–1. une humeur dépressive, soit
—–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
—–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent). - 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
- 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
- 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
- 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
- 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
- 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
- B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé. - D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
- E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- symptômes
- A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
—–1. une humeur dépressive, soit
—–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
—–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent). - 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
- 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
- 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
- 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
- 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
- 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
- B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé. - D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
- E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- symptômes: au moins 1 des sx doit être lequel?
- A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
—–1. une humeur dépressive, soit
—–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
—–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent). - 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
- 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
- 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
- 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
- 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
- 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
- B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé. - D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
- E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- symptômes: nb nécessaires
- A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
—–1. une humeur dépressive, soit
—–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
—–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent). - 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
- 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
- 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
- 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
- 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
- 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
- B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé. - D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
- E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- sx: humeur
- A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
—–1. une humeur dépressive, soit
—–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
—–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent). - 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
- 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
- 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
- 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
- 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
- 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
- B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé. - D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
- E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- sx: humeur - chez l’enfant
- A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
—–1. une humeur dépressive, soit
—–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
—–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent). - 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
- 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
- 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
- 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
- 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
- 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
- B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé. - D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
- E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- sx: manque d’intérêt
- A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
—–1. une humeur dépressive, soit
—–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
—–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent). - 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
- 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
- 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
- 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
- 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
- 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
- B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé. - D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
- E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- sx: poids
- A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
—–1. une humeur dépressive, soit
—–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
—–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent). - 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
- 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
- 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
- 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
- 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
- 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
- B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé. - D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
- E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- sx: poids - enfants
- A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
—–1. une humeur dépressive, soit
—–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
—–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent). - 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
- 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
- 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
- 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
- 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
- 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
- B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé. - D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
- E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- sx: sommeil
- A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
—–1. une humeur dépressive, soit
—–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
—–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent). - 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
- 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
- 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
- 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
- 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
- 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
- B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé. - D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
- E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- sx: activité psychomotrice
- A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
—–1. une humeur dépressive, soit
—–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
—–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent). - 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
- 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
- 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
- 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
- 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
- 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
- B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé. - D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
- E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- sx: énergie
- A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
—–1. une humeur dépressive, soit
—–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
—–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent). - 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
- 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
- 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
- 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
- 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
- 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
- B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé. - D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
- E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- sx: sentiments
- A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
—–1. une humeur dépressive, soit
—–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
—–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent). - 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
- 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
- 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
- 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
- 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
- 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
- B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé. - D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
- E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- sx: concentration
- A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
—–1. une humeur dépressive, soit
—–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
—–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent). - 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
- 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
- 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
- 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
- 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
- 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
- B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé. - D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
- E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- sx: idées de mort
- A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
—–1. une humeur dépressive, soit
—–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
—–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent). - 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
- 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
- 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
- 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
- 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
- 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
- B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé. - D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
- E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- impacts
- A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
—–1. une humeur dépressive, soit
—–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
—–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent). - 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
- 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
- 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
- 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
- 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
- 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
- B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé. - D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
- E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- exclure quoi?
- A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
—–1. une humeur dépressive, soit
—–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
—–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent). - 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
- 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
- 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
- 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
- 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
- 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
- B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
——–N.B. :Les critères A-C représentent un épisode dépressif caractérisé. - D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
- E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- critères épisode dépressif caractérisé
- A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
—–1. une humeur dépressive, soit
—–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
—–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent). - 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
- 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
- 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
- 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
- 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
- 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
- B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
——–N.B. :Les critères A-C représentent un épisode dépressif caractérisé. - D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
- E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- exclure quoi?
- A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
—–1. une humeur dépressive, soit
—–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
—–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent). - 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
- 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
- 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
- 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
- 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
- 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
- B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé. - D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
- E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- manie / hypomanie
- A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
—–1. une humeur dépressive, soit
—–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
—–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent). - 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
- 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
- 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
- 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
- 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
- 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
- B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé. - D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
- E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
—–1. une humeur dépressive, soit
—–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
—–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent). - 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
- 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
- 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
- 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
- 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
- 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
- B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé. - D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
- E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- symptômes: ne pas inclure quel sx?
- A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
—–1. une humeur dépressive, soit
—–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
—–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent). - 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
- 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
- 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
- 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
- 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
- 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
- B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé. - D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
- E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- symptômes: nommez-les
- A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
—–1. une humeur dépressive, soit
—–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
—–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent). - 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
- 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
- 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
- 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
- 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
- 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
- B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé. - D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
- E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur)
- durée
- A. Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonction nement antérieur ; au moins un des symptômes est soit :
—–1. une humeur dépressive, soit
—–2. une perte d’intérêt ou de plaisir
—–N.B.:Ne pas inclure les symptômes qui sont clairement imputables à une autre affection médicale.- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
——(N.B. :Éventuellement irritabilité chez l’enfant et l’adolescent). - 2.Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 3.Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex., modification du poids corporel excédant 5 % en un mois), ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.——-(N.B. :Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
- 4.Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
- 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
- 6.Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
- 7.Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirant) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
- 8.Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
- 9.Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
- 1.Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex., se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex., pleure).
- B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.
——–N.B. :Les critères AC représentent un épisode dépressif caractérisé. - D. La survenue de l’épisode dépressif caractérisé n’est pas mieux expliquée par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou d’autres troubles spéciés ou non spéciés du spectre de la schizophrénie ou d’autres troubles psychotiques.
- E. Il n’y a jamais eu auparavant d’épisode maniaque ou hypomaniaque.
——-N.B. :Cette exclusion ne s’applique pas si tous les épisodes de type maniaque ou hypomaniaque sont imputables à des substances ou aux effets physiologiques d’une autre pathologie médicale.
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur): Spécifications
- Évolution
- Épisode isolé
- Épisode récurrent
- Sévérité
- Léger
- Moyen
- Grave
- Avec caractéristiques psychotiques
- En rémission partielle
- En rémission complète
- Non spécifié
- Spécifier le type:
- Avec détresse anxieuse
- Avec caractéristiques mixtes
- Avec caractéristiques mélancoliques
- Avec caractéristiques atypiques
- Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
- Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
- Avec catatonie
- Avec début dans le péripartum
- Avec caractère saisonnier (épisodes récurrents seulement)
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur): Spécifications
- évolution
-
Évolution
- Épisode isolé
- Épisode récurrent
- Sévérité
- Léger
- Moyen
- Grave
- Avec caractéristiques psychotiques
- En rémission partielle
- En rémission complète
- Non spécifié
- Spécifier le type:
- Avec détresse anxieuse
- Avec caractéristiques mixtes
- Avec caractéristiques mélancoliques
- Avec caractéristiques atypiques
- Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
- Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
- Avec catatonie
- Avec début dans le péripartum
- Avec caractère saisonnier (épisodes récurrents seulement)
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur): Spécifications
- sévérité
- Évolution
- Épisode isolé
- Épisode récurrent
-
Sévérité
- Léger
- Moyen
- Grave
- Avec caractéristiques psychotiques
- En rémission partielle
- En rémission complète
- Non spécifié
- Spécifier le type:
- Avec détresse anxieuse
- Avec caractéristiques mixtes
- Avec caractéristiques mélancoliques
- Avec caractéristiques atypiques
- Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
- Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
- Avec catatonie
- Avec début dans le péripartum
- Avec caractère saisonnier (épisodes récurrents seulement)
Critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé (majeur): Spécifications
- type
- Évolution
- Épisode isolé
- Épisode récurrent
- Sévérité
- Léger
- Moyen
- Grave
- Avec caractéristiques psychotiques
- En rémission partielle
- En rémission complète
- Non spécifié
-
Spécifier le type:
- Avec détresse anxieuse
- Avec caractéristiques mixtes
- Avec caractéristiques mélancoliques
- Avec caractéristiques atypiques
- Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
- Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
- Avec catatonie
- Avec début dans le péripartum
- Avec caractère saisonnier (épisodes récurrents seulement)
Épisode maniaque vs hypomaniaque
- Les symptômes reliés à ces épisodes sont les mêmes.
- Par contre, ils diffèrent selon la sévérité de ceux-ci.
- Effectivement, un épisode maniaque amène une hospitalisation ou une altération marquée du fonctionnement, tandis qu’un épisode hypomaniaque s’accompagne de modifications du fonctionnement (ne fait pas d’actions amenant des conséquences graves par exemple).
- De plus, il ne peut pas y avoir des symptômes psychotiques en hypomanie, contrairement aux épisodes de manies.
- À noter : Il est cliniquement difficile de faire la différence entre les 2, puisque les patients ont généralement une faible autocritique lors de leurs épisodes maniaques. Les patients décrivent d’ailleurs souvent leurs épisodes comme moins intenses qu’ils le sont réellement, d’où l’avantage d’un avis externe.
Épisode maniaque vs hypomaniaque
- ressemblances
- Les symptômes reliés à ces épisodes sont les mêmes.
- Par contre, ils diffèrent selon la sévérité de ceux-ci.
- Effectivement, un épisode maniaque amène une hospitalisation ou une altération marquée du fonctionnement, tandis qu’un épisode hypomaniaque s’accompagne de modifications du fonctionnement (ne fait pas d’actions amenant des conséquences graves par exemple).
- De plus, il ne peut pas y avoir des symptômes psychotiques en hypomanie, contrairement aux épisodes de manies.
- À noter : Il est cliniquement difficile de faire la différence entre les 2, puisque les patients ont généralement une faible autocritique lors de leurs épisodes maniaques. Les patients décrivent d’ailleurs souvent leurs épisodes comme moins intenses qu’ils le sont réellement, d’où l’avantage d’un avis externe.
Épisode maniaque vs hypomaniaque
- différences
- Les symptômes reliés à ces épisodes sont les mêmes.
- Par contre, ils diffèrent selon la sévérité de ceux-ci.
- Effectivement, un épisode maniaque amène une hospitalisation ou une altération marquée du fonctionnement, tandis qu’un épisode hypomaniaque s’accompagne de modifications du fonctionnement (ne fait pas d’actions amenant des conséquences graves par exemple).
- De plus, il ne peut pas y avoir des symptômes psychotiques en hypomanie, contrairement aux épisodes de manies.
- À noter : Il est cliniquement difficile de faire la différence entre les 2, puisque les patients ont généralement une faible autocritique lors de leurs épisodes maniaques. Les patients décrivent d’ailleurs souvent leurs épisodes comme moins intenses qu’ils le sont réellement, d’où l’avantage d’un avis externe.
Épisode maniaque vs hypomaniaque
- altération fonctionnement
- Les symptômes reliés à ces épisodes sont les mêmes.
- Par contre, ils diffèrent selon la sévérité de ceux-ci.
- Effectivement, un épisode maniaque amène une hospitalisation ou une altération marquée du fonctionnement, tandis qu’un épisode hypomaniaque s’accompagne de modifications du fonctionnement (ne fait pas d’actions amenant des conséquences graves par exemple).
- De plus, il ne peut pas y avoir des symptômes psychotiques en hypomanie, contrairement aux épisodes de manies.
- À noter : Il est cliniquement difficile de faire la différence entre les 2, puisque les patients ont généralement une faible autocritique lors de leurs épisodes maniaques. Les patients décrivent d’ailleurs souvent leurs épisodes comme moins intenses qu’ils le sont réellement, d’où l’avantage d’un avis externe.
Épisode maniaque vs hypomaniaque
- sx psychotiques
- Les symptômes reliés à ces épisodes sont les mêmes.
- Par contre, ils diffèrent selon la sévérité de ceux-ci.
- Effectivement, un épisode maniaque amène une hospitalisation ou une altération marquée du fonctionnement, tandis qu’un épisode hypomaniaque s’accompagne de modifications du fonctionnement (ne fait pas d’actions amenant des conséquences graves par exemple).
- De plus, il ne peut pas y avoir des symptômes psychotiques en hypomanie, contrairement aux épisodes de manies.
- À noter : Il est cliniquement difficile de faire la différence entre les 2, puisque les patients ont généralement une faible autocritique lors de leurs épisodes maniaques. Les patients décrivent d’ailleurs souvent leurs épisodes comme moins intenses qu’ils le sont réellement, d’où l’avantage d’un avis externe.
Épisode maniaque vs hypomaniaque
- les différencier en clinique
- Les symptômes reliés à ces épisodes sont les mêmes.
- Par contre, ils diffèrent selon la sévérité de ceux-ci.
- Effectivement, un épisode maniaque amène une hospitalisation ou une altération marquée du fonctionnement, tandis qu’un épisode hypomaniaque s’accompagne de modifications du fonctionnement (ne fait pas d’actions amenant des conséquences graves par exemple).
- De plus, il ne peut pas y avoir des symptômes psychotiques en hypomanie, contrairement aux épisodes de manies.
- À noter : Il est cliniquement difficile de faire la différence entre les 2, puisque les patients ont généralement une faible autocritique lors de leurs épisodes maniaques. Les patients décrivent d’ailleurs souvent leurs épisodes comme moins intenses qu’ils le sont réellement, d’où l’avantage d’un avis externe.
Épisode VS trouble: Les différencier
- Donc, un trouble affectif est une maladie qui se diagnostique en considérant l’évolution de celle- ci.
- Un épisode est une période circonscrite dans le temps et non un diagnostic.
- C’est en identifiant quels sont les épisodes vécus et comment ceux-ci évoluent que l’on peut faire un diagnostic.
- « Maintenant, vous aurez remarqué qu’à l’objectif PSY 102 à 104, on vous parle de troubles et non d’épisodes.
- C’est que les troubles se diagnostiquent en déterminant quels sont les épisodes affectifs qu’un patient a eu dans sa vie jusqu’à maintenant. »
Épisode VS trouble: Comment se distinguent-ils?
- Donc, un trouble affectif est une maladie qui se diagnostique en considérant l’évolution de celle- ci.
- Un épisode est une période circonscrite dans le temps et non un diagnostic.
- C’est en identifiant quels sont les épisodes vécus et comment ceux-ci évoluent que l’on peut faire un diagnostic.
- « Maintenant, vous aurez remarqué qu’à l’objectif PSY 102 à 104, on vous parle de troubles et non d’épisodes.
- C’est que les troubles se diagnostiquent en déterminant quels sont les épisodes affectifs qu’un patient a eu dans sa vie jusqu’à maintenant. »
Épisode VS trouble: Utilité d’identifier les troubles vécus et leur évolution
- Donc, un trouble affectif est une maladie qui se diagnostique en considérant l’évolution de celle- ci.
- Un épisode est une période circonscrite dans le temps et non un diagnostic.
- C’est en identifiant quels sont les épisodes vécus et comment ceux-ci évoluent que l’on peut faire un diagnostic.
- « Maintenant, vous aurez remarqué qu’à l’objectif PSY 102 à 104, on vous parle de troubles et non d’épisodes.
- C’est que les troubles se diagnostiquent en déterminant quels sont les épisodes affectifs qu’un patient a eu dans sa vie jusqu’à maintenant. »
Types d’épisodes possibles pour les troubles
- Trouble Bipolaire I :
- Épisode maniaque (nécessaire)
- Épisode hypomaniaque
- Épisode dépressif caractérisé.
- Trouble Bipolaire II :
- Épisode hypomaniaque (nécessaire)
- Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
- Trouble Dépressif caractérisé
- Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
Types d’épisodes possibles pour:
- Trouble bipolaire type 1
-
Trouble Bipolaire I :
- Épisode maniaque (nécessaire)
- Épisode hypomaniaque
- Épisode dépressif caractérisé.
- Trouble Bipolaire II :
- Épisode hypomaniaque (nécessaire)
- Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
- Trouble Dépressif caractérisé
- Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
Types d’épisodes nécessaires pour:
- Trouble bipolaire type 1
- Trouble Bipolaire I :
- Épisode maniaque (nécessaire)
- Épisode hypomaniaque
- Épisode dépressif caractérisé.
- Trouble Bipolaire II :
- Épisode hypomaniaque (nécessaire)
- Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
- Trouble Dépressif caractérisé
- Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
Types d’épisodes possibles pour:
- Trouble bipolaire type 2
- Trouble Bipolaire I :
- Épisode maniaque (nécessaire)
- Épisode hypomaniaque
- Épisode dépressif caractérisé.
- Trouble Bipolaire II :
- Épisode hypomaniaque (nécessaire)
- Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
- Trouble Dépressif caractérisé
- Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
Types d’épisodes nécessaires pour:
- Trouble bipolaire type 1
- Trouble Bipolaire I :
- Épisode maniaque (nécessaire)
- Épisode hypomaniaque
- Épisode dépressif caractérisé.
-
Trouble Bipolaire II :
- Épisode hypomaniaque (nécessaire)
- Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
- Trouble Dépressif caractérisé
- Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
Types d’épisodes possibles pour:
- Trouble dépressif caractérisé
- Trouble Bipolaire I :
- Épisode maniaque (nécessaire)
- Épisode hypomaniaque
- Épisode dépressif caractérisé.
- Trouble Bipolaire II :
- Épisode hypomaniaque (nécessaire)
- Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
-
Trouble Dépressif caractérisé
- Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
Types d’épisodes nécessaires pour:
- Trouble dépressif caractérisé
- Trouble Bipolaire I :
- Épisode maniaque (nécessaire)
- Épisode hypomaniaque
- Épisode dépressif caractérisé.
- Trouble Bipolaire II :
- Épisode hypomaniaque (nécessaire)
- Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
-
Trouble Dépressif caractérisé
- Épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
Autre type d’épisode
- Vous verrez qu’on parle parfois d’un autre type d’épisode : l’Épisode Mixte.
- Sachez que cet épisode N’EXISTE PLUS dans le DSM-5.
- Cependant, vous le verrez parfois dans les textes de référence et dans des dossiers de patients en clinique puisqu’un épisode mixte était considéré comme un épisode à part entière dans le DSM-IV.
- Maintenant, on considère les aspects mixtes comme un spécificateur …
- Mais qu’est-ce qu’un spécificateur ??? Lorsqu’on émet un diagnostic de trouble affectif, on nommera le trouble (la maladie) puis l’épisode actif (ou le plus récent). Ce n’est toutefois pas suffisant. Un peu comme dans les thèmes précédents, on ajoutera à notre diagnostic des spécificateurs. Les spécificateurs peuvent qualifier les épisodes (s’il y a des symptômes spécifiques présents ou en spécifiant sa sévérité) et ils peuvent qualifier l’évolution du trouble (en fonction du moment que survient un épisode par exemple).
Trouble de l’humeur: Épisode mixte
- Vous verrez qu’on parle parfois d’un autre type d’épisode : l’Épisode Mixte.
- Sachez que cet épisode N’EXISTE PLUS dans le DSM-5.
- Cependant, vous le verrez parfois dans les textes de référence et dans des dossiers de patients en clinique puisqu’un épisode mixte était considéré comme un épisode à part entière dans le DSM-IV.
- Maintenant, on considère les aspects mixtes comme un spécificateur …
- Mais qu’est-ce qu’un spécificateur ??? Lorsqu’on émet un diagnostic de trouble affectif, on nommera le trouble (la maladie) puis l’épisode actif (ou le plus récent). Ce n’est toutefois pas suffisant. Un peu comme dans les thèmes précédents, on ajoutera à notre diagnostic des spécificateurs. Les spécificateurs peuvent qualifier les épisodes (s’il y a des symptômes spécifiques présents ou en spécifiant sa sévérité) et ils peuvent qualifier l’évolution du trouble (en fonction du moment que survient un épisode par exemple).
Épisode mixte: DSM-V
- Vous verrez qu’on parle parfois d’un autre type d’épisode : l’Épisode Mixte.
- Sachez que cet épisode N’EXISTE PLUS dans le DSM-5.
- Cependant, vous le verrez parfois dans les textes de référence et dans des dossiers de patients en clinique puisqu’un épisode mixte était considéré comme un épisode à part entière dans le DSM-IV.
- Maintenant, on considère les aspects mixtes comme un spécificateur …
- Mais qu’est-ce qu’un spécificateur ??? Lorsqu’on émet un diagnostic de trouble affectif, on nommera le trouble (la maladie) puis l’épisode actif (ou le plus récent). Ce n’est toutefois pas suffisant. Un peu comme dans les thèmes précédents, on ajoutera à notre diagnostic des spécificateurs. Les spécificateurs peuvent qualifier les épisodes (s’il y a des symptômes spécifiques présents ou en spécifiant sa sévérité) et ils peuvent qualifier l’évolution du trouble (en fonction du moment que survient un épisode par exemple).
Épisode mixte: Spécificateur
- Vous verrez qu’on parle parfois d’un autre type d’épisode : l’Épisode Mixte.
- Sachez que cet épisode N’EXISTE PLUS dans le DSM-5.
- Cependant, vous le verrez parfois dans les textes de référence et dans des dossiers de patients en clinique puisqu’un épisode mixte était considéré comme un épisode à part entière dans le DSM-IV.
- Maintenant, on considère les aspects mixtes comme un spécificateur …
-
Mais qu’est-ce qu’un spécificateur ???
- Lorsqu’on émet un diagnostic de trouble affectif, on nommera le trouble (la maladie) puis l’épisode actif (ou le plus récent).
- Ce n’est toutefois pas suffisant. Un peu comme dans les thèmes précédents, on ajoutera à notre diagnostic des spécificateurs.
- Les spécificateurs peuvent qualifier les épisodes (s’il y a des symptômes spécifiques présents ou en spécifiant sa sévérité) et ils peuvent qualifier l’évolution du trouble (en fonction du moment que survient un épisode par exemple).
Épisode mixte: Spécificateur
- c’est quoi?
- Vous verrez qu’on parle parfois d’un autre type d’épisode : l’Épisode Mixte.
- Sachez que cet épisode N’EXISTE PLUS dans le DSM-5.
- Cependant, vous le verrez parfois dans les textes de référence et dans des dossiers de patients en clinique puisqu’un épisode mixte était considéré comme un épisode à part entière dans le DSM-IV.
- Maintenant, on considère les aspects mixtes comme un spécificateur …
-
Mais qu’est-ce qu’un spécificateur ???
- Lorsqu’on émet un diagnostic de trouble affectif, on nommera le trouble (la maladie) puis l’épisode actif (ou le plus récent).
- Ce n’est toutefois pas suffisant. Un peu comme dans les thèmes précédents, on ajoutera à notre diagnostic des spécificateurs.
- Les spécificateurs peuvent qualifier les épisodes (s’il y a des symptômes spécifiques présents ou en spécifiant sa sévérité) et ils peuvent qualifier l’évolution du trouble (en fonction du moment que survient un épisode par exemple).
Épisode mixte: Spécificateurs
- est-il nécessaire de les nommer?
- Vous verrez qu’on parle parfois d’un autre type d’épisode : l’Épisode Mixte.
- Sachez que cet épisode N’EXISTE PLUS dans le DSM-5.
- Cependant, vous le verrez parfois dans les textes de référence et dans des dossiers de patients en clinique puisqu’un épisode mixte était considéré comme un épisode à part entière dans le DSM-IV.
- Maintenant, on considère les aspects mixtes comme un spécificateur …
-
Mais qu’est-ce qu’un spécificateur ???
- Lorsqu’on émet un diagnostic de trouble affectif, on nommera le trouble (la maladie) puis l’épisode actif (ou le plus récent).
- Ce n’est toutefois pas suffisant. Un peu comme dans les thèmes précédents, on ajoutera à notre diagnostic des spécificateurs.
- Les spécificateurs peuvent qualifier les épisodes (s’il y a des symptômes spécifiques présents ou en spécifiant sa sévérité) et ils peuvent qualifier l’évolution du trouble (en fonction du moment que survient un épisode par exemple).
Épisode mixte: Spécificateur
- utilité des spécificateurs
- Vous verrez qu’on parle parfois d’un autre type d’épisode : l’Épisode Mixte.
- Sachez que cet épisode N’EXISTE PLUS dans le DSM-5.
- Cependant, vous le verrez parfois dans les textes de référence et dans des dossiers de patients en clinique puisqu’un épisode mixte était considéré comme un épisode à part entière dans le DSM-IV.
- Maintenant, on considère les aspects mixtes comme un spécificateur …
- Mais qu’est-ce qu’un spécificateur ???
- Lorsqu’on émet un diagnostic de trouble affectif, on nommera le trouble (la maladie) puis l’épisode actif (ou le plus récent).
- Ce n’est toutefois pas suffisant. Un peu comme dans les thèmes précédents, on ajoutera à notre diagnostic des spécificateurs.
- Les spécificateurs peuvent qualifier les épisodes (s’il y a des symptômes spécifiques présents ou en spécifiant sa sévérité) et ils peuvent qualifier l’évolution du trouble (en fonction du moment que survient un épisode par exemple).
- Regardez la section 18.4.4 (Lalonde page 380). Il vous montre l’ensemble des spécificateurs possibles pour un trouble affectif.
Épisode mixte: Spécificateur
- où les trouver?
- Vous verrez qu’on parle parfois d’un autre type d’épisode : l’Épisode Mixte.
- Sachez que cet épisode N’EXISTE PLUS dans le DSM-5.
- Cependant, vous le verrez parfois dans les textes de référence et dans des dossiers de patients en clinique puisqu’un épisode mixte était considéré comme un épisode à part entière dans le DSM-IV.
- Maintenant, on considère les aspects mixtes comme un spécificateur …
- Mais qu’est-ce qu’un spécificateur ???
- Lorsqu’on émet un diagnostic de trouble affectif, on nommera le trouble (la maladie) puis l’épisode actif (ou le plus récent).
- Ce n’est toutefois pas suffisant. Un peu comme dans les thèmes précédents, on ajoutera à notre diagnostic des spécificateurs.
- Les spécificateurs peuvent qualifier les épisodes (s’il y a des symptômes spécifiques présents ou en spécifiant sa sévérité) et ils peuvent qualifier l’évolution du trouble (en fonction du moment que survient un épisode par exemple).
- Regardez la section 18.4.4 (Lalonde page 380). Il vous montre l’ensemble des spécificateurs possibles pour un trouble affectif.
Épisode mixte: Spécificateurs
- exemple
- Un exemple : Une femme ayant eu deux épisodes maniaques dans le passé se présente à l’urgence avec tous les critères d’un épisode dépressif caractérisé, elle a des symptômes psychotiques congruents à l’humeur et des éléments mélancoliques.
- Votre diagnostic sera probablement : « Trouble bipolaire de type I, Épisode dépressif caractérisé sévère avec éléments psychotiques congruents à l’humeur et caractéristiques mélancoliques », facile non ?!
- Par ailleurs, lorsque vous avez regardé les critères des différents troubles plus tôt, vous aviez surement noté ces spécificateurs en bas de page!
Épisode mixte: Spécificateurs
- les apprendre par coeur?
- Mais…, je lis dans votre esprit : « Oh mon Dieu !!! Devons-nous apprendre tous ces spécificateurs et ces critères par cœur ? »
- Eh bien, vous devez pouvoir énumérer et reconnaitre les critères des trois épisodes affectifs (épisode dépressif, hypomaniaque et maniaque) ainsi que les critères des troubles nommés à l’objectif 6.2.
- Pour les spécificateurs, je ne vous demande pas de connaître leurs critères de mémoire, mais bien d’avoir une idée générale de ce qu’ils sont.
- Par ailleurs, il est important de connaître la comorbidité des troubles thymiques (Lalonde, page 384).
- Bon, maintenant que ceci est clarifié, vous resterez attentif dans le texte à savoir si l’on vous parle des troubles affectifs en général, d’un trouble en particulier ou d’un épisode en particulier … débutons notre lecture du chapitre dans la joie et l’allégresse !
- Nous vous proposons également le Tableau 1 à la fin de ce thème que vous pourrez remplir pour systématiser les informations retenues lors de vos lectures !
Trouble bipolaire: Synonymes
- En passant, vous verrez en pratique que plusieurs terminologies font référence au trouble bipolaire.
- L’abréviation TB pour trouble bipolaire utilisé dans le Lalonde n’est pas vraiment utilisée en clinique (À Québec du moins!) et il signifie davantage pour moi tuberculose!
- Le terme plus fréquemment utilisé est Maladie Affective Bipolaire (MAB).
- Vous verrez donc des MAB type I ou MAB type II dans les dossiers.
- Les patients vous parleront également de maniaco- dépression ou de PMD (psycho-maniaco-dépression) … il faut toujours valider avec un patient ce qu’il veut dire puisque beaucoup de ces termes médicaux ne sont pas utilisés adéquatement dans la population générale.
- Pensez au terme Manie qui, pour moi, signifie un épisode maniaque et qui, pour monsieur et madame tout le monde, signifie des comportements répétitifs ou habituels …
Épisode dépressif majeur: Autres termes utilisés pour le désigner
- Par ailleurs, sur le plan terminologique, vous lirez parfois Dépression majeure ou épisode dépressif majeur…
- C’est le terme utilisé en anglais et dans le DSM-IV en français.
- Dans le DSM- V, ils semblent avoir traduit Major depression par Dépression caractérisée…
- Considérez donc Dépression caractérisée et dépression majeure comme synonyme.
- Sachez cependant que le terme Majeur n’est PAS en lien avec la sévérité.
- On peut souffrir d’une dépression majeure légère !
- Historiquement, dépression majeure vs dépression mineure faisait référence au nombre de symptômes différents impliqués dans l’épisode et non à leur intensité.
- (Une dépression mineure, qui n’est pas un vrai diagnostic au point de vue du DSM, comptait moins de 5 critères ou symptômes).
Dépression caractérisée et dépression majeure: Différence
- Par ailleurs, sur le plan terminologique, vous lirez parfois Dépression majeure ou épisode dépressif majeur…
- C’est le terme utilisé en anglais et dans le DSM-IV en français.
- Dans le DSM- V, ils semblent avoir traduit Major depression par Dépression caractérisée…
- Considérez donc Dépression caractérisée et dépression majeure comme synonyme.
- Sachez cependant que le terme Majeur n’est PAS en lien avec la sévérité.
- On peut souffrir d’une dépression majeure légère !
- Historiquement, dépression majeure vs dépression mineure faisait référence au nombre de symptômes différents impliqués dans l’épisode et non à leur intensité.
- (Une dépression mineure, qui n’est pas un vrai diagnostic au point de vue du DSM, comptait moins de 5 critères ou symptômes).
Épisode dépressif majeur: Sévérité
- Par ailleurs, sur le plan terminologique, vous lirez parfois Dépression majeure ou épisode dépressif majeur…
- C’est le terme utilisé en anglais et dans le DSM-IV en français.
- Dans le DSM- V, ils semblent avoir traduit Major depression par Dépression caractérisée…
- Considérez donc Dépression caractérisée et dépression majeure comme synonyme.
- Sachez cependant que le terme Majeur n’est PAS en lien avec la sévérité.
- On peut souffrir d’une dépression majeure légère !
- Historiquement, dépression majeure vs dépression mineure faisait référence au nombre de symptômes différents impliqués dans l’épisode et non à leur intensité.
- (Une dépression mineure, qui n’est pas un vrai diagnostic au point de vue du DSM, comptait moins de 5 critères ou symptômes).
Épisode dépressif majeur: Différence avec mineur
- Par ailleurs, sur le plan terminologique, vous lirez parfois Dépression majeure ou épisode dépressif majeur…
- C’est le terme utilisé en anglais et dans le DSM-IV en français.
- Dans le DSM- V, ils semblent avoir traduit Major depression par Dépression caractérisée…
- Considérez donc Dépression caractérisée et dépression majeure comme synonyme.
- Sachez cependant que le terme Majeur n’est PAS en lien avec la sévérité.
- On peut souffrir d’une dépression majeure légère !
- Historiquement, dépression majeure vs dépression mineure faisait référence au nombre de symptômes différents impliqués dans l’épisode et non à leur intensité.
- (Une dépression mineure, qui n’est pas un vrai diagnostic au point de vue du DSM, comptait moins de 5 critères ou symptômes).
Troubles de l’humeur: Nommez-les
- Les troubles bipolaires
- Le trouble bipolaire I
- Le trouble bipolaire II
- Le trouble cyclothymique
- Les troubles dépressifs
- Le trouble dépressif caractérisé
- Le trouble dépressif persistant
- Les troubles dépressifs secondaires
- Les troubles dépressifs ou bipolaires liés à une condition médicale
- Les troubles dépressifs ou bipolaires liés à l’usage d’une substance
Troubles de l’humeur:
- Trouble bipolaire: nommez-les
-
Les troubles bipolaires
- Le trouble bipolaire I
- Le trouble bipolaire II
- Le trouble cyclothymique
- Les troubles dépressifs
- Le trouble dépressif caractérisé
- Le trouble dépressif persistant
- Les troubles dépressifs secondaires
- Les troubles dépressifs ou bipolaires liés à une condition médicale
- Les troubles dépressifs ou bipolaires liés à l’usage d’une substance
Troubles de l’humeur: Nommez-les
- Troubles dépressifs: nommez-les
- Les troubles bipolaires
- Le trouble bipolaire I
- Le trouble bipolaire II
- Le trouble cyclothymique
-
Les troubles dépressifs
- Le trouble dépressif caractérisé
- Le trouble dépressif persistant
- Les troubles dépressifs secondaires
- Les troubles dépressifs ou bipolaires liés à une condition médicale
- Les troubles dépressifs ou bipolaires liés à l’usage d’une substance
Troubles de l’humeur:
- Troubles dépressifs secondaidre: nommez-les
- Les troubles bipolaires
- Le trouble bipolaire I
- Le trouble bipolaire II
- Le trouble cyclothymique
- Les troubles dépressifs
- Le trouble dépressif caractérisé
- Le trouble dépressif persistant
-
Les troubles dépressifs secondaires
- Les troubles dépressifs ou bipolaires liés à une condition médicale
- Les troubles dépressifs ou bipolaires liés à l’usage d’une substance
Troubles de l’humeur: Nommez les classes
-
Les troubles bipolaires
- Le trouble bipolaire I
- Le trouble bipolaire II
- Le trouble cyclothymique
-
Les troubles dépressifs
- Le trouble dépressif caractérisé
- Le trouble dépressif persistant
-
Les troubles dépressifs secondaires
- Les troubles dépressifs ou bipolaires liés à une condition médicale
- Les troubles dépressifs ou bipolaires liés à l’usage d’une substance
Tr bipolaires: Concordance chez les jumeaux
- 50 – 80 (chiffre accepté de 63) % de concordance jumeaux monozygotes
- 10 – 30 % de concordance chez les jumeaux hétérozygotes
Tr bipolaires: Concordance chez les jumeaux
- Monozygotes
- 50 – 80 (chiffre accepté de 63) % de concordance jumeaux monozygotes
- 10 – 30 % de concordance chez les jumeaux hétérozygotes
Tr bipolaires: Concordance chez les jumeaux
- Hétérozygotes
- 50 – 80 (chiffre accepté de 63) % de concordance jumeaux monozygotes
- 10 – 30 % de concordance chez les jumeaux hétérozygotes
Tr bipolaires: Étiologies
- Les études sur les jumeaux suggèrent une forte composante génétique avec une cause épigénétique (influencés ou non par l’environnement). On note d’ailleurs un risque X 10 si un membre de la famille du 1er degré est atteint.
- On remarque des anomalies sur les systèmes des monoamines biogènes (DA, A, NA et 5HT) + plusieurs neuropeptides chez les patients.
- Anomalies structurelles non spécifiques, mais anomalies en neuro-imagerie fonctionnelle au niveau du cortex antérieur, des circuits sous-corticaux, thalamo-corticaux et des noyaux gris qui corrèle avec l’état clinique de la maladie.
- Phrase clé : Alors que les gènes confèrent une vulnérabilité pour favoriser l’apparition de la maladie (génétique), les facteurs environnement permettent ou non son expression (épigénétique).
Tr bipolaires: Importance de la génétique dans l’étiologie
-
Les études sur les jumeaux suggèrent une forte composante génétique avec une cause épigénétique (influencés ou non par l’environnement).
- On note d’ailleurs un risque X 10 si un membre de la famille du 1er degré est atteint.
- On remarque des anomalies sur les systèmes des monoamines biogènes (DA, A, NA et 5HT) + plusieurs neuropeptides chez les patients.
- Anomalies structurelles non spécifiques, mais anomalies en neuro-imagerie fonctionnelle au niveau du cortex antérieur, des circuits sous-corticaux, thalamo-corticaux et des noyaux gris qui corrèle avec l’état clinique de la maladie.
- Phrase clé : Alors que les gènes confèrent une vulnérabilité pour favoriser l’apparition de la maladie (génétique), les facteurs environnement permettent ou non son expression (épigénétique).
Tr bipolaires: Risque si membre du 1er degré est atteint
- Les études sur les jumeaux suggèrent une forte composante génétique avec une cause épigénétique (influencés ou non par l’environnement).
- On note d’ailleurs un risque X 10 si un membre de la famille du 1er degré est atteint.
- On remarque des anomalies sur les systèmes des monoamines biogènes (DA, A, NA et 5HT) + plusieurs neuropeptides chez les patients.
- Anomalies structurelles non spécifiques, mais anomalies en neuro-imagerie fonctionnelle au niveau du cortex antérieur, des circuits sous-corticaux, thalamo-corticaux et des noyaux gris qui corrèle avec l’état clinique de la maladie.
- Phrase clé : Alors que les gènes confèrent une vulnérabilité pour favoriser l’apparition de la maladie (génétique), les facteurs environnement permettent ou non son expression (épigénétique).
Tr bipolaires: Cerveau des personnes atteintes
- Les études sur les jumeaux suggèrent une forte composante génétique avec une cause épigénétique (influencés ou non par l’environnement).
- On note d’ailleurs un risque X 10 si un membre de la famille du 1er degré est atteint.
- On remarque des anomalies sur les systèmes des monoamines biogènes (DA, A, NA et 5HT) + plusieurs neuropeptides chez les patients.
- Anomalies structurelles non spécifiques, mais anomalies en neuro-imagerie fonctionnelle au niveau du cortex antérieur, des circuits sous-corticaux, thalamo-corticaux et des noyaux gris qui corrèle avec l’état clinique de la maladie.
- Phrase clé : Alors que les gènes confèrent une vulnérabilité pour favoriser l’apparition de la maladie (génétique), les facteurs environnement permettent ou non son expression (épigénétique).
Tr bipolaires: NT en cause
- Les études sur les jumeaux suggèrent une forte composante génétique avec une cause épigénétique (influencés ou non par l’environnement).
- On note d’ailleurs un risque X 10 si un membre de la famille du 1er degré est atteint.
- On remarque des anomalies sur les systèmes des monoamines biogènes (DA, A, NA et 5HT) + plusieurs neuropeptides chez les patients.
- Anomalies structurelles non spécifiques, mais anomalies en neuro-imagerie fonctionnelle au niveau du cortex antérieur, des circuits sous-corticaux, thalamo-corticaux et des noyaux gris qui corrèle avec l’état clinique de la maladie.
- Phrase clé : Alors que les gènes confèrent une vulnérabilité pour favoriser l’apparition de la maladie (génétique), les facteurs environnement permettent ou non son expression (épigénétique).
Tr bipolaires: Neuro-imagerie
- régions du cerveau affectées
- Les études sur les jumeaux suggèrent une forte composante génétique avec une cause épigénétique (influencés ou non par l’environnement).
- On note d’ailleurs un risque X 10 si un membre de la famille du 1er degré est atteint.
- On remarque des anomalies sur les systèmes des monoamines biogènes (DA, A, NA et 5HT) + plusieurs neuropeptides chez les patients.
- Anomalies structurelles non spécifiques, mais anomalies en neuro-imagerie fonctionnelle au niveau du cortex antérieur, des circuits sous-corticaux, thalamo-corticaux et des noyaux gris qui corrèle avec l’état clinique de la maladie.
- Phrase clé : Alors que les gènes confèrent une vulnérabilité pour favoriser l’apparition de la maladie (génétique), les facteurs environnement permettent ou non son expression (épigénétique).
Tr bipolaires: Structures du cerveau impliquées dans la physiopatho
- Les études sur les jumeaux suggèrent une forte composante génétique avec une cause épigénétique (influencés ou non par l’environnement).
- On note d’ailleurs un risque X 10 si un membre de la famille du 1er degré est atteint.
- On remarque des anomalies sur les systèmes des monoamines biogènes (DA, A, NA et 5HT) + plusieurs neuropeptides chez les patients.
- Anomalies structurelles non spécifiques, mais anomalies en neuro-imagerie fonctionnelle au niveau du cortex antérieur, des circuits sous-corticaux, thalamo-corticaux et des noyaux gris qui corrèle avec l’état clinique de la maladie.
- Phrase clé : Alors que les gènes confèrent une vulnérabilité pour favoriser l’apparition de la maladie (génétique), les facteurs environnement permettent ou non son expression (épigénétique).
Tr bipolaires: Étiologie
- Les études sur les jumeaux suggèrent une forte composante génétique avec une cause épigénétique (influencés ou non par l’environnement).
- On note d’ailleurs un risque X 10 si un membre de la famille du 1er degré est atteint.
- On remarque des anomalies sur les systèmes des monoamines biogènes (DA, A, NA et 5HT) + plusieurs neuropeptides chez les patients.
- Anomalies structurelles non spécifiques, mais anomalies en neuro-imagerie fonctionnelle au niveau du cortex antérieur, des circuits sous-corticaux, thalamo-corticaux et des noyaux gris qui corrèle avec l’état clinique de la maladie.
- Phrase clé : Alors que les gènes confèrent une vulnérabilité pour favoriser l’apparition de la maladie (génétique), les facteurs environnement permettent ou non son expression (épigénétique).
Tr bipolaires: Étiologies
- Gènes en jeu
- Je ne vous demande PAS d’apprendre les gènes suspectés dans la maladie bipolaire.
- Il est toutefois intéressant de remarquer qu’il y a des anomalies génétiques communes entre la schizophrénie et les TB, ce qui suggère un continuum du spectre de la psychose.
Tr bipolaire
- Kindling: Synonyme
En français
- Embrasement
- Sensibilisation
Tr bipolaire
- Kindling: C’est quoi?
- Synonymes: embrasement ou sensibilisation en français
- Mécanisme proposé pour expliquer le déclenchement des épisodes.
- Il est fréquent qu’un premier épisode dépressif ou maniaque soit provoqué par un stresseur identifiable dans l’environnement (perte d’emploi, deuil, séparation, etc.).
- Le MAB évolue ensuite de façon autonome, sans cause ou évènement déclenchant pour les épisodes subséquents.
Tr bipolaire
- Kindling: Lien avec épisodes
- Synonymes: embrasement ou sensibilisation en français
- Mécanisme proposé pour expliquer le déclenchement des épisodes.
- Il est fréquent qu’un premier épisode dépressif ou maniaque soit provoqué par un stresseur identifiable dans l’environnement (perte d’emploi, deuil, séparation, etc.).
- Le MAB évolue ensuite de façon autonome, sans cause ou évènement déclenchant pour les épisodes subséquents.
Tr bipolaire
- Kindling: ce qui cause le 1er épisode
- Synonymes: embrasement ou sensibilisation en français
- Mécanisme proposé pour expliquer le déclenchement des épisodes.
- Il est fréquent qu’un premier épisode dépressif ou maniaque soit provoqué par un stresseur identifiable dans l’environnement (perte d’emploi, deuil, séparation, etc.).
- Le MAB évolue ensuite de façon autonome, sans cause ou évènement déclenchant pour les épisodes subséquents.
Tr bipolaire
- Kindling: Évolution en lien avec le stresseur
- Synonymes: embrasement ou sensibilisation en français
- Mécanisme proposé pour expliquer le déclenchement des épisodes.
- Il est fréquent qu’un premier épisode dépressif ou maniaque soit provoqué par un stresseur identifiable dans l’environnement (perte d’emploi, deuil, séparation, etc.).
- Le MAB évolue ensuite de façon autonome, sans cause ou évènement déclenchant pour les épisodes subséquents.
Tr bipolaire: Ce qui fait la différence entre le type 1 et 2
- La présence de manies.
- Dans le TB type 2, il n’y a pas de manies, quoique la présence d’hypomanies soit requise (sinon nous sommes en présence d’un trouble unipolaire, soit dépressif).
Tr bipolaire: Dépression bipolaire vs dépression unipolaire
- Une dépression bipolaire n’est PAS différente par sa nature cliniquement d’une dépression unipolaire.
- Cependant, certains éléments soient plus fréquemment observés dans certains types.
Tr bipolaire: Dépression bipolaire vs dépression unipolaire
- bipolaire: symptômes
- Début + rapide
- Anhédonie plus marquée
- Ralentissement psychomoteur
- Symptômes psychotiques (souvent idées délirantes)
Tr bipolaire: Dépression bipolaire vs dépression unipolaire
- unipolaire: symptômes
- Symptômes anxieux
Trouble cyclothymique: C’est quoi?
- C’est un trouble bipolaire sans épisodes d’hypomanie franche.
- C’est également plus que ça:
- Puisqu’il y a peu d’informations sur cette pathologie spécifique, la colonne de cette pathologie du tableau (fin du document) a été retirée et l’information a été synthétisée ici.
- Évolution spécifique : Peut être vue comme un trait qui met à risque d’évoluer vers une MAB.
Critères diagnostiques de la cyclothymie
- A. Existence pendant au moins 2 ans (au moins 1 an chez les enfants et les adolescents) de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes hypomaniaques sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode hypomaniaque et de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes dépressifs sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode dépressif majeur.
- B. Durant la période de 2 ans décrite ci-dessus (1 an chez les enfants et les adolescents), les périodes hypomaniaques et dépressives ont été présentes pendant au moins la moitié du temps et la personne n’a pas connu de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes.
- C. Les critères pour un épisode dépressif caractérisé, maniaque ou hypomaniaque n’ont jamais été réunis.
- D. Les symptômes du critère A ne sont pas mieux expliqués par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou par un trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
- E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., une substance donnant lieu à abus, médicament) ou à une autre affection médicale (p. ex., hyperthyroïdie).
- F. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
Critères diagnostiques de la cyclothymie: C’est quoi?
- A. Existence pendant au moins 2 ans (au moins 1 an chez les enfants et les adolescents) de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes hypomaniaques sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode hypomaniaque et de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes dépressifs sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode dépressif majeur.
- B. Durant la période de 2 ans décrite ci-dessus (1 an chez les enfants et les adolescents), les périodes hypomaniaques et dépressives ont été présentes pendant au moins la moitié du temps et la personne n’a pas connu de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes.
- C. Les critères pour un épisode dépressif caractérisé, maniaque ou hypomaniaque n’ont jamais été réunis.
- D. Les symptômes du critère A ne sont pas mieux expliqués par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou par un trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
- E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., une substance donnant lieu à abus, médicament) ou à une autre affection médicale (p. ex., hyperthyroïdie).
- F. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
Critères diagnostiques de la cyclothymie: durée
- A. Existence pendant au moins 2 ans (au moins 1 an chez les enfants et les adolescents) de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes hypomaniaques sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode hypomaniaque et de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes dépressifs sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode dépressif majeur.
- B. Durant la période de 2 ans décrite ci-dessus (1 an chez les enfants et les adolescents), les périodes hypomaniaques et dépressives ont été présentes pendant au moins la moitié du temps et la personne n’a pas connu de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes.
- C. Les critères pour un épisode dépressif caractérisé, maniaque ou hypomaniaque n’ont jamais été réunis.
- D. Les symptômes du critère A ne sont pas mieux expliqués par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou par un trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
- E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., une substance donnant lieu à abus, médicament) ou à une autre affection médicale (p. ex., hyperthyroïdie).
- F. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
Critères diagnostiques de la cyclothymie
- Épisodes
- A. Existence pendant au moins 2 ans (au moins 1 an chez les enfants et les adolescents) de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes hypomaniaques sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode hypomaniaque et de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes dépressifs sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode dépressif majeur.
- B. Durant la période de 2 ans décrite ci-dessus (1 an chez les enfants et les adolescents), les périodes hypomaniaques et dépressives ont été présentes pendant au moins la moitié du temps et la personne n’a pas connu de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes.
- C. Les critères pour un épisode dépressif caractérisé, maniaque ou hypomaniaque n’ont jamais été réunis.
- D. Les symptômes du critère A ne sont pas mieux expliqués par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou par un trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
- E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., une substance donnant lieu à abus, médicament) ou à une autre affection médicale (p. ex., hyperthyroïdie).
- F. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
Critères diagnostiques de la cyclothymie
- à la fréquence doivent être présents les symptômes?
- A. Existence pendant au moins 2 ans (au moins 1 an chez les enfants et les adolescents) de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes hypomaniaques sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode hypomaniaque et de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes dépressifs sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode dépressif majeur.
- B. Durant la période de 2 ans décrite ci-dessus (1 an chez les enfants et les adolescents), les périodes hypomaniaques et dépressives ont été présentes pendant au moins la moitié du temps et la personne n’a pas connu de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes.
- C. Les critères pour un épisode dépressif caractérisé, maniaque ou hypomaniaque n’ont jamais été réunis.
- D. Les symptômes du critère A ne sont pas mieux expliqués par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou par un trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
- E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., une substance donnant lieu à abus, médicament) ou à une autre affection médicale (p. ex., hyperthyroïdie).
- F. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
Critères diagnostiques de la cyclothymie
- exclure quoi?
- A. Existence pendant au moins 2 ans (au moins 1 an chez les enfants et les adolescents) de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes hypomaniaques sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode hypomaniaque et de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes dépressifs sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode dépressif majeur.
- B. Durant la période de 2 ans décrite ci-dessus (1 an chez les enfants et les adolescents), les périodes hypomaniaques et dépressives ont été présentes pendant au moins la moitié du temps et la personne n’a pas connu de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes.
- C. Les critères pour un épisode dépressif caractérisé, maniaque ou hypomaniaque n’ont jamais été réunis.
- D. Les symptômes du critère A ne sont pas mieux expliqués par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou par un trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
- E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., une substance donnant lieu à abus, médicament) ou à une autre affection médicale (p. ex., hyperthyroïdie).
- F. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
Critères diagnostiques de la cyclothymie
- impacts
- A. Existence pendant au moins 2 ans (au moins 1 an chez les enfants et les adolescents) de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes hypomaniaques sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode hypomaniaque et de nombreuses périodes pendant lesquelles des symptômes dépressifs sont présents sans que soient réunis les critères d’un épisode dépressif majeur.
- B. Durant la période de 2 ans décrite ci-dessus (1 an chez les enfants et les adolescents), les périodes hypomaniaques et dépressives ont été présentes pendant au moins la moitié du temps et la personne n’a pas connu de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes.
- C. Les critères pour un épisode dépressif caractérisé, maniaque ou hypomaniaque n’ont jamais été réunis.
- D. Les symptômes du critère A ne sont pas mieux expliqués par un trouble schizoaffectif, une schizophrénie, un trouble schizophréniforme, un trouble délirant ou par un trouble spécifié ou non spécifié du spectre de la schizophrénie ou un autre trouble psychotique.
- E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., une substance donnant lieu à abus, médicament) ou à une autre affection médicale (p. ex., hyperthyroïdie).
- F. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
Tr cyclothymique: Évolution spécifique
- C’est un trouble bipolaire sans épisodes d’hypomanie franche.
- C’est également plus que ça:
- Puisqu’il y a peu d’informations sur cette pathologie spécifique, la colonne de cette pathologie du tableau (fin du document) a été retirée et l’information a été synthétisée ici.
- Évolution spécifique : Peut être vue comme un trait qui met à risque d’évoluer vers une MAB.
Tr bipolaire: Que penser de la notion de mixité comme spécificateur?
- Dans le DSM-5, la notion de mixité est utilisée lorsqu’il y a des éléments subsyndromiques du pôle opposé.
- Cette notion satisfait pleinement la notion de spectre bipolaire.
- Par contre, cette notion de mixité rend la distinction entre un TB et un trouble dépressif majeur beaucoup moins claire
- Exemple : un patient peut souffrir d’un trouble dépressif majeur avec caractéristiques mixtes, donc des caractéristiques de manies, sans présenter les critères d’un TB.
Tr bipolaire: Que penser de la notion de mixité comme spécificateur?
- avantages
- Dans le DSM-5, la notion de mixité est utilisée lorsqu’il y a des éléments subsyndromiques du pôle opposé.
- Cette notion satisfait pleinement la notion de spectre bipolaire.
- Par contre, cette notion de mixité rend la distinction entre un TB et un trouble dépressif majeur beaucoup moins claire
- Exemple : un patient peut souffrir d’un trouble dépressif majeur avec caractéristiques mixtes, donc des caractéristiques de manies, sans présenter les critères d’un TB.
Tr bipolaire: Que penser de la notion de mixité comme spécificateur?
- inconvénients
- Dans le DSM-5, la notion de mixité est utilisée lorsqu’il y a des éléments subsyndromiques du pôle opposé.
- Cette notion satisfait pleinement la notion de spectre bipolaire.
- Par contre, cette notion de mixité rend la distinction entre un TB et un trouble dépressif majeur beaucoup moins claire
- Exemple : un patient peut souffrir d’un trouble dépressif majeur avec caractéristiques mixtes, donc des caractéristiques de manies, sans présenter les critères d’un TB.
Tr bipolaire: Spectre bipolaire
- Le spectre bipolaire réfère à des troubles de l’humeur qui ne répondent pas aux critères de TB type 1 et 2, mais qui semble en partager plusieurs caractéristiques.
- Puisqu’il est souvent difficile de délimiter la frontière entre les troubles dépressifs majeurs récurrents et les troubles bipolaires, certains proposent la notion de spectre plutôt qu’une dichotomie entre ces troubles « unipolaire » et « bipolaire ».
- Les tempéraments d’Akiskal ne font pas partie des objectifs de ce cours.
Tr bipolaire: Spectre bipolaire
- définir
- Le spectre bipolaire réfère à des troubles de l’humeur qui ne répondent pas aux critères de TB type 1 et 2, mais qui semble en partager plusieurs caractéristiques.
- Puisqu’il est souvent difficile de délimiter la frontière entre les troubles dépressifs majeurs récurrents et les troubles bipolaires, certains proposent la notion de spectre plutôt qu’une dichotomie entre ces troubles « unipolaire » et « bipolaire ».
- Les tempéraments d’Akiskal ne font pas partie des objectifs de ce cours.
Tr bipolaire: Spectre bipolaire
- utilité
- Le spectre bipolaire réfère à des troubles de l’humeur qui ne répondent pas aux critères de TB type 1 et 2, mais qui semble en partager plusieurs caractéristiques.
- Puisqu’il est souvent difficile de délimiter la frontière entre les troubles dépressifs majeurs récurrents et les troubles bipolaires, certains proposent la notion de spectre plutôt qu’une dichotomie entre ces troubles « unipolaire » et « bipolaire ».
- Les tempéraments d’Akiskal ne font pas partie des objectifs de ce cours.
Tr bipolaire: Comorbidités
- La comorbidité constitue la règle plutôt que l’exception.
- On note d’ailleurs l’abus de substances, les trouble anxieux, les TP (particulièrement TPL) ainsi que plusieurs problèmes de santé physiques, tels les maladies CV, l’obésité, le diabète, les atteintes tyroïdiennes et les migraines.
- Les mécanismes amenant les comorbidités physiques sont inconnus, mais l’hypothèse actuelle évoque un mécanisme inflammatoire commun.
Tr bipolaire: Comorbidités
- fréquence
- La comorbidité constitue la règle plutôt que l’exception.
- On note d’ailleurs l’abus de substances, les trouble anxieux, les TP (particulièrement TPL) ainsi que plusieurs problèmes de santé physiques, tels les maladies CV, l’obésité, le diabète, les atteintes tyroïdiennes et les migraines.
- Les mécanismes amenant les comorbidités physiques sont inconnus, mais l’hypothèse actuelle évoque un mécanisme inflammatoire commun.
Tr bipolaire: Comorbidités
- nommez-les
- La comorbidité constitue la règle plutôt que l’exception.
- On note d’ailleurs l’abus de substances, les trouble anxieux, les TP (particulièrement TPL) ainsi que plusieurs problèmes de santé physiques, tels les maladies CV, l’obésité, le diabète, les atteintes tyroïdiennes et les migraines.
- Les mécanismes amenant les comorbidités physiques sont inconnus, mais l’hypothèse actuelle évoque un mécanisme inflammatoire commun.
Tr bipolaire: Comorbidités
- causes des comorbidités physiques
- La comorbidité constitue la règle plutôt que l’exception.
- On note d’ailleurs l’abus de substances, les trouble anxieux, les TP (particulièrement TPL) ainsi que plusieurs problèmes de santé physiques, tels les maladies CV, l’obésité, le diabète, les atteintes tyroïdiennes et les migraines.
- Les mécanismes amenant les comorbidités physiques sont inconnus, mais l’hypothèse actuelle évoque un mécanisme inflammatoire commun.
Tr bipolaire vs tr schizoaffectif
- Le trouble bipolaire et trouble schizoaffectif sont difficiles à différencier.
- Il faut toutefois se rappeler que le trouble shizoaffectif est évoqué chez les patients présentant des épisodes clairement thymiques, mais chez qui persistent des symptômes psychotiques malgré une amélioration des symptômes thymiques.
Tr bipolaire vs tr schizoaffectif
- comment les différencier?
- Le trouble bipolaire et trouble schizoaffectif sont difficiles à différencier.
- Il faut toutefois se rappeler que le trouble shizoaffectif est évoqué chez les patients présentant des épisodes clairement thymiques, mais chez qui persistent des symptômes psychotiques malgré une amélioration des symptômes thymiques.
Tr bipolaire: Recommandations en lien avec les antidépresseurs
- Il n’est PAS recommandé d’associer à la pharmacopée du patient atteint d’un trouble bipolaire, un antidépresseurs non-tricyclique.
- Cependant, elle est parfois nécessaire.
- Beaucoup plus de détails sont fournis suite au tableau à la fin de ce guide en ce qui a trait au traitement.
- Il est par ailleurs à noter que les antidépresseurs tricycliques ont un grand potentiel de virage maniaque.
Tr bipolaire: Recommandations en lien avec les antidépresseurs
- risques associés
- Il n’est PAS recommandé d’associer à la pharmacopée du patient atteint d’un trouble bipolaire, un antidépresseurs non-tricyclique.
- Cependant, elle est parfois nécessaire.
- Beaucoup plus de détails sont fournis suite au tableau à la fin de ce guide en ce qui a trait au traitement.
- Il est par ailleurs à noter que les antidépresseurs tricycliques ont un grand potentiel de virage maniaque.
Tr bipolaire: Rechutes
- Les rechutes sont fréquentes, et la médication est souvent indiquée pour les prévenir.
- Elle est principalement composée d’un stabilisateur de l’humeur, la majorité du temps le lithium (Rx considérés efficaces : lithium, acide valproïque, carbamazépine, lamotrigine, A2G).
- Malheureusement, les patients acceptent rarement d’utiliser la médication pour prévenir les rechutes.
- On peut aborder la prévention des rechutes au niveau de la psychothérapie et de la psychoéducation afin que le patient accepte pleinement sa maladie.
- Au niveau de la psychoéducation, il faut fournir des informations au niveau de la maladie, son traitement, les facteurs de risque, les symptômes de rechutes, l’importance d’une régularité du rythme veille-sommeil et de l’adhésion au traitement pharmacologique.
Tr bipolaire: Rechutes
- leur fréquence
- Les rechutes sont fréquentes, et la médication est souvent indiquée pour les prévenir.
- Elle est principalement composée d’un stabilisateur de l’humeur, la majorité du temps le lithium (Rx considérés efficaces : lithium, acide valproïque, carbamazépine, lamotrigine, A2G).
- Malheureusement, les patients acceptent rarement d’utiliser la médication pour prévenir les rechutes.
- On peut aborder la prévention des rechutes au niveau de la psychothérapie et de la psychoéducation afin que le patient accepte pleinement sa maladie.
- Au niveau de la psychoéducation, il faut fournir des informations au niveau de la maladie, son traitement, les facteurs de risque, les symptômes de rechutes, l’importance d’une régularité du rythme veille-sommeil et de l’adhésion au traitement pharmacologique.
Tr bipolaire: Rechutes
- comment les prévenir?
- Les rechutes sont fréquentes, et la médication est souvent indiquée pour les prévenir.
- Elle est principalement composée d’un stabilisateur de l’humeur, la majorité du temps le lithium (Rx considérés efficaces : lithium, acide valproïque, carbamazépine, lamotrigine, A2G).
- Malheureusement, les patients acceptent rarement d’utiliser la médication pour prévenir les rechutes.
- On peut aborder la prévention des rechutes au niveau de la psychothérapie et de la psychoéducation afin que le patient accepte pleinement sa maladie.
- Au niveau de la psychoéducation, il faut fournir des informations au niveau de la maladie, son traitement, les facteurs de risque, les symptômes de rechutes, l’importance d’une régularité du rythme veille-sommeil et de l’adhésion au traitement pharmacologique.
Tr bipolaire: Rechutes
- médication pour les prévenir
- Les rechutes sont fréquentes, et la médication est souvent indiquée pour les prévenir.
- Elle est principalement composée d’un stabilisateur de l’humeur, la majorité du temps le lithium (Rx considérés efficaces : lithium, acide valproïque, carbamazépine, lamotrigine, A2G).
- Malheureusement, les patients acceptent rarement d’utiliser la médication pour prévenir les rechutes.
- On peut aborder la prévention des rechutes au niveau de la psychothérapie et de la psychoéducation afin que le patient accepte pleinement sa maladie.
- Au niveau de la psychoéducation, il faut fournir des informations au niveau de la maladie, son traitement, les facteurs de risque, les symptômes de rechutes, l’importance d’une régularité du rythme veille-sommeil et de l’adhésion au traitement pharmacologique.
Tr bipolaire: Rechutes
- attitude des patients face à la médication
- Les rechutes sont fréquentes, et la médication est souvent indiquée pour les prévenir.
- Elle est principalement composée d’un stabilisateur de l’humeur, la majorité du temps le lithium (Rx considérés efficaces : lithium, acide valproïque, carbamazépine, lamotrigine, A2G).
- Malheureusement, les patients acceptent rarement d’utiliser la médication pour prévenir les rechutes.
- On peut aborder la prévention des rechutes au niveau de la psychothérapie et de la psychoéducation afin que le patient accepte pleinement sa maladie.
- Au niveau de la psychoéducation, il faut fournir des informations au niveau de la maladie, son traitement, les facteurs de risque, les symptômes de rechutes, l’importance d’une régularité du rythme veille-sommeil et de l’adhésion au traitement pharmacologique.
Tr bipolaire: Rechutes
- psychothérapie
- Les rechutes sont fréquentes, et la médication est souvent indiquée pour les prévenir.
- Elle est principalement composée d’un stabilisateur de l’humeur, la majorité du temps le lithium (Rx considérés efficaces : lithium, acide valproïque, carbamazépine, lamotrigine, A2G).
- Malheureusement, les patients acceptent rarement d’utiliser la médication pour prévenir les rechutes.
- On peut aborder la prévention des rechutes au niveau de la psychothérapie et de la psychoéducation afin que le patient accepte pleinement sa maladie.
- Au niveau de la psychoéducation, il faut fournir des informations au niveau de la maladie, son traitement, les facteurs de risque, les symptômes de rechutes, l’importance d’une régularité du rythme veille-sommeil et de l’adhésion au traitement pharmacologique.
Tr bipolaire: Rechutes
- ce en quoi consiste la psychothérapie
- Les rechutes sont fréquentes, et la médication est souvent indiquée pour les prévenir.
- Elle est principalement composée d’un stabilisateur de l’humeur, la majorité du temps le lithium (Rx considérés efficaces : lithium, acide valproïque, carbamazépine, lamotrigine, A2G).
- Malheureusement, les patients acceptent rarement d’utiliser la médication pour prévenir les rechutes.
- On peut aborder la prévention des rechutes au niveau de la psychothérapie et de la psychoéducation afin que le patient accepte pleinement sa maladie.
- Au niveau de la psychoéducation, il faut fournir des informations au niveau de la maladie, son traitement, les facteurs de risque, les symptômes de rechutes, l’importance d’une régularité du rythme veille-sommeil et de l’adhésion au traitement pharmacologique.
Tr dépressif: Épidémiologie
- La dépression a une prévalence annuelle de 4.1 – 4.8 % par an au Canada (2002) chez l’adulte, et de 4 – 9 % chez l’adolescent, pour une prévalence à vie de 15 %.
- Elle est surreprésentée chez les femmes (ratio 1.5 – 3 F : 1 H sauf chez les enfants d’âge préscolaire ou le ratio est pratiquement neutre) et arrive de façon médiane à 27 ans.
- Plus de 40 % des patients souffrant de dépression présentent un premier épisode avant 21 ans.
- Il est à noter que selon l’OMS, la dépression est la première cause d’année de vie vécue avec une incapacité et représentera en 2020 la première cause de morbidité dans les pays développés.
Tr dépressif: Épidémio
- prévalence annuelle
- La dépression a une prévalence annuelle de 4.1 – 4.8 % par an au Canada (2002) chez l’adulte, et de 4 – 9 % chez l’adolescent, pour une prévalence à vie de 15 %.
- Elle est surreprésentée chez les femmes (ratio 1.5 – 3 F : 1 H sauf chez les enfants d’âge préscolaire ou le ratio est pratiquement neutre) et arrive de façon médiane à 27 ans.
- Plus de 40 % des patients souffrant de dépression présentent un premier épisode avant 21 ans.
- Il est à noter que selon l’OMS, la dépression est la première cause d’année de vie vécue avec une incapacité et représentera en 2020 la première cause de morbidité dans les pays développés.
Tr dépressif: Épidémio
- prévalence: adultes vs ados
- La dépression a une prévalence annuelle de 4.1 – 4.8 % par an au Canada (2002) chez l’adulte, et de 4 – 9 % chez l’adolescent, pour une prévalence à vie de 15 %.
- Elle est surreprésentée chez les femmes (ratio 1.5 – 3 F : 1 H sauf chez les enfants d’âge préscolaire ou le ratio est pratiquement neutre) et arrive de façon médiane à 27 ans.
- Plus de 40 % des patients souffrant de dépression présentent un premier épisode avant 21 ans.
- Il est à noter que selon l’OMS, la dépression est la première cause d’année de vie vécue avec une incapacité et représentera en 2020 la première cause de morbidité dans les pays développés.
Tr dépressif: Épidémio
- prévalence à vie
- La dépression a une prévalence annuelle de 4.1 – 4.8 % par an au Canada (2002) chez l’adulte, et de 4 – 9 % chez l’adolescent, pour une prévalence à vie de 15 %.
- Elle est surreprésentée chez les femmes (ratio 1.5 – 3 F : 1 H sauf chez les enfants d’âge préscolaire ou le ratio est pratiquement neutre) et arrive de façon médiane à 27 ans.
- Plus de 40 % des patients souffrant de dépression présentent un premier épisode avant 21 ans.
- Il est à noter que selon l’OMS, la dépression est la première cause d’année de vie vécue avec une incapacité et représentera en 2020 la première cause de morbidité dans les pays développés.
Tr dépressif: Épidémio
- H vs F
- La dépression a une prévalence annuelle de 4.1 – 4.8 % par an au Canada (2002) chez l’adulte, et de 4 – 9 % chez l’adolescent, pour une prévalence à vie de 15 %.
- Elle est surreprésentée chez les femmes (ratio 1.5 – 3 F : 1 H sauf chez les enfants d’âge préscolaire ou le ratio est pratiquement neutre) et arrive de façon médiane à 27 ans.
- Plus de 40 % des patients souffrant de dépression présentent un premier épisode avant 21 ans.
- Il est à noter que selon l’OMS, la dépression est la première cause d’année de vie vécue avec une incapacité et représentera en 2020 la première cause de morbidité dans les pays développés.
Tr dépressif: Épidémio
- H vs F: enfants vs adultes
- La dépression a une prévalence annuelle de 4.1 – 4.8 % par an au Canada (2002) chez l’adulte, et de 4 – 9 % chez l’adolescent, pour une prévalence à vie de 15 %.
- Elle est surreprésentée chez les femmes (ratio 1.5 – 3 F : 1 H sauf chez les enfants d’âge préscolaire ou le ratio est pratiquement neutre) et arrive de façon médiane à 27 ans.
- Plus de 40 % des patients souffrant de dépression présentent un premier épisode avant 21 ans.
- Il est à noter que selon l’OMS, la dépression est la première cause d’année de vie vécue avec une incapacité et représentera en 2020 la première cause de morbidité dans les pays développés.
Tr dépressif: Épidémio
- âge
- La dépression a une prévalence annuelle de 4.1 – 4.8 % par an au Canada (2002) chez l’adulte, et de 4 – 9 % chez l’adolescent, pour une prévalence à vie de 15 %.
- Elle est surreprésentée chez les femmes (ratio 1.5 – 3 F : 1 H sauf chez les enfants d’âge préscolaire ou le ratio est pratiquement neutre) et arrive de façon médiane à 27 ans.
- Plus de 40 % des patients souffrant de dépression présentent un premier épisode avant 21 ans.
- Il est à noter que selon l’OMS, la dépression est la première cause d’année de vie vécue avec une incapacité et représentera en 2020 la première cause de morbidité dans les pays développés.
Tr dépressif: Épidémio
- quand arrive le 1er épisode?
- La dépression a une prévalence annuelle de 4.1 – 4.8 % par an au Canada (2002) chez l’adulte, et de 4 – 9 % chez l’adolescent, pour une prévalence à vie de 15 %.
- Elle est surreprésentée chez les femmes (ratio 1.5 – 3 F : 1 H sauf chez les enfants d’âge préscolaire ou le ratio est pratiquement neutre) et arrive de façon médiane à 27 ans.
- Plus de 40 % des patients souffrant de dépression présentent un premier épisode avant 21 ans.
- Il est à noter que selon l’OMS, la dépression est la première cause d’année de vie vécue avec une incapacité et représentera en 2020 la première cause de morbidité dans les pays développés.
Tr dépressif: Épidémio
- impacts sur la vie de la personne atteinte
- La dépression a une prévalence annuelle de 4.1 – 4.8 % par an au Canada (2002) chez l’adulte, et de 4 – 9 % chez l’adolescent, pour une prévalence à vie de 15 %.
- Elle est surreprésentée chez les femmes (ratio 1.5 – 3 F : 1 H sauf chez les enfants d’âge préscolaire ou le ratio est pratiquement neutre) et arrive de façon médiane à 27 ans.
- Plus de 40 % des patients souffrant de dépression présentent un premier épisode avant 21 ans.
- Il est à noter que selon l’OMS, la dépression est la première cause d’année de vie vécue avec une incapacité et représentera en 2020 la première cause de morbidité dans les pays développés.
Tr dépressif vs MAB: Place de la génétique dans l’étiologie
Tr dépressif vs MAB: Place de la génétique dans l’étiologie
- Familiales 1er degré
- Trouble dépressif caractérisé
- Augmente le risque de 2 – 4 fois si un parent du premier degré souffre de dépression
- MAB
- Risque X 10 si membre de la famille du 1er degré atteint
Tr dépressif vs MAB: Place de la génétique dans l’étiologie
- Familiales 1er degré: Tr dépressif caractérisé
-
Trouble dépressif caractérisé
- Augmente le risque de 2 – 4 fois si un parent du premier degré souffre de dépression
- MAB
- Risque X 10 si membre de la famille du 1er degré atteint
Tr dépressif vs MAB: Place de la génétique dans l’étiologie
- Familiales 1er degré: MAB
- Trouble dépressif caractérisé
- Augmente le risque de 2 – 4 fois si un parent du premier degré souffre de dépression
-
MAB
- Risque X 10 si membre de la famille du 1er degré atteint
Tr dépressif vs MAB: Place de la génétique dans l’étiologie
- Jumeaux
- Trouble dépressif caractérisé
- 35 - 40 % de concordance chez les jumeaux homozygotes → on donne une part d’héritabilité de 35 % pour cette pathologie.
- MAB
- 50 - 80 (chiffre accepté de 63) % de concordance jumeaux monozygotes
- 10 - 30 % de concordance chez les jumeaux hétérozygotes
Tr dépressif vs MAB: Place de la génétique dans l’étiologie
- Jumeaux: Tr dépressif caractérisé
-
Trouble dépressif caractérisé
- 35 - 40 % de concordance chez les jumeaux homozygotes → on donne une part d’héritabilité de 35 % pour cette pathologie.
- MAB
- 50 - 80 (chiffre accepté de 63) % de concordance jumeaux monozygotes
- 10 - 30 % de concordance chez les jumeaux hétérozygotes
Tr dépressif vs MAB: Place de la génétique dans l’étiologie
- Jumeaux: MAB
- Trouble dépressif caractérisé
- 35 - 40 % de concordance chez les jumeaux homozygotes → on donne une part d’héritabilité de 35 % pour cette pathologie.
-
MAB
- 50 - 80 (chiffre accepté de 63) % de concordance jumeaux monozygotes
- 10 - 30 % de concordance chez les jumeaux hétérozygotes
Tr dépressif: Amines biogènes impliqués dans l’étiologie et le tx
- Noradrénaline (relié à l’anxiété et l’hypervigilance)
- Sérotonine (inappétence et troubles du sommeil)
- Dopamine (ahnédonie et manque de motivation)
- N.B. : les associations entre parenthèse sont spéculatives du livre.
Tr dépressif: Amines biogènes impliqués dans l’étiologie et le tx
- Rôle de la noradrénaline
- Noradrénaline (relié à l’anxiété et l’hypervigilance)
- Sérotonine (inappétence et troubles du sommeil)
- Dopamine (ahnédonie et manque de motivation)
- N.B. : les associations entre parenthèse sont spéculatives du livre.
Tr dépressif: Amines biogènes impliqués dans l’étiologie et le tx
- Rôle de la sérotonine
- Noradrénaline (relié à l’anxiété et l’hypervigilance)
- Sérotonine (inappétence et troubles du sommeil)
- Dopamine (ahnédonie et manque de motivation)
- N.B. : les associations entre parenthèse sont spéculatives du livre.
Tr dépressif: Amines biogènes impliqués dans l’étiologie et le tx
- Rôle de la dopamine
- Noradrénaline (relié à l’anxiété et l’hypervigilance)
- Sérotonine (inappétence et troubles du sommeil)
- Dopamine (ahnédonie et manque de motivation)
- N.B. : les associations entre parenthèse sont spéculatives du livre.
Tr dépressif: Étiologie
- Génétique
- Chez les jumeaux homozygotes, on a une corrélation de 35-40 %, ce qui permet de déduire une part d’héritabilité de 35 %, malgré une transmission non mendélienne classique.
- Le risque est de 2-4 X plus élevé chez un patient du 1er degré.
- Par contre, plus la personne est âgée lors de son 1er épisode, moins la part génétique est grande.
Tr dépressif: Étiologie
- Génétique: jumeaux homozygotes
- Chez les jumeaux homozygotes, on a une corrélation de 35-40 %, ce qui permet de déduire une part d’héritabilité de 35 %, malgré une transmission non mendélienne classique.
- Le risque est de 2-4 X plus élevé chez un patient du 1er degré.
- Par contre, plus la personne est âgée lors de son 1er épisode, moins la part génétique est grande.
Tr dépressif: Étiologie
- Génétique: corrélation jumeaux homozygotes
- Chez les jumeaux homozygotes, on a une corrélation de 35-40 %, ce qui permet de déduire une part d’héritabilité de 35 %, malgré une transmission non mendélienne classique.
- Le risque est de 2-4 X plus élevé chez un patient du 1er degré.
- Par contre, plus la personne est âgée lors de son 1er épisode, moins la part génétique est grande.
Tr dépressif: Étiologie
- Génétique: risque si parent du 1er degré
- Chez les jumeaux homozygotes, on a une corrélation de 35-40 %, ce qui permet de déduire une part d’héritabilité de 35 %, malgré une transmission non mendélienne classique.
- Le risque est de 2-4 X plus élevé chez un patient du 1er degré.
- Par contre, plus la personne est âgée lors de son 1er épisode, moins la part génétique est grande.
Tr dépressif: Étiologie
- Génétique: ce qui fait varier la part de la génétique
- Chez les jumeaux homozygotes, on a une corrélation de 35-40 %, ce qui permet de déduire une part d’héritabilité de 35 %, malgré une transmission non mendélienne classique.
- Le risque est de 2-4 X plus élevé chez un patient du 1er degré.
- Par contre, plus la personne est âgée lors de son 1er épisode, moins la part génétique est grande.
Tr dépressif: Étiologie
- Biologie
Stress via la voie classique de l’axe HHS et de l’amygdale :
- Probablement un des facteurs déclencheurs des épisodes.
- Peut être un stress aigu ou chronique.
- Rôle par l’épigénétique.
- Taux anormalement élevé de cortisol (effet neurotoxique probable notamment au niveau de l’hippocampe).
- Dysfonctionnement cérébral relié à une hyperactivité de l’amygdale et de l’axe HHS et une hypoactivité de l’hippocampe et du cortex préfrontal.
Tr dépressif: Étiologie
- Biologie: voies du stress impliquées
Stress via la voie classique de l’axe HHS et de l’amygdale :
- Probablement un des facteurs déclencheurs des épisodes.
- Peut être un stress aigu ou chronique.
- Rôle par l’épigénétique.
- Taux anormalement élevé de cortisol (effet neurotoxique probable notamment au niveau de l’hippocampe).
- Dysfonctionnement cérébral relié à une hyperactivité de l’amygdale et de l’axe HHS et une hypoactivité de l’hippocampe et du cortex préfrontal.
Tr dépressif: Étiologie
- Biologie: rôle du stress
Stress via la voie classique de l’axe HHS et de l’amygdale :
- Probablement un des facteurs déclencheurs des épisodes.
- Peut être un stress aigu ou chronique.
- Rôle par l’épigénétique.
- Taux anormalement élevé de cortisol (effet neurotoxique probable notamment au niveau de l’hippocampe).
- Dysfonctionnement cérébral relié à une hyperactivité de l’amygdale et de l’axe HHS et une hypoactivité de l’hippocampe et du cortex préfrontal.
Tr dépressif: Étiologie
- Biologie: stress aigu ou chronique est en cause?
Stress via la voie classique de l’axe HHS et de l’amygdale :
- Probablement un des facteurs déclencheurs des épisodes.
- Peut être un stress aigu ou chronique.
- Rôle par l’épigénétique.
- Taux anormalement élevé de cortisol (effet neurotoxique probable notamment au niveau de l’hippocampe).
- Dysfonctionnement cérébral relié à une hyperactivité de l’amygdale et de l’axe HHS et une hypoactivité de l’hippocampe et du cortex préfrontal.
Tr dépressif: Étiologie
- Biologie: rôle de l’épigénétique
Stress via la voie classique de l’axe HHS et de l’amygdale :
- Probablement un des facteurs déclencheurs des épisodes.
- Peut être un stress aigu ou chronique.
- Rôle par l’épigénétique.
- Taux anormalement élevé de cortisol (effet neurotoxique probable notamment au niveau de l’hippocampe).
- Dysfonctionnement cérébral relié à une hyperactivité de l’amygdale et de l’axe HHS et une hypoactivité de l’hippocampe et du cortex préfrontal.
Tr dépressif: Étiologie
- Biologie: rôle du cortisol
Stress via la voie classique de l’axe HHS et de l’amygdale :
- Probablement un des facteurs déclencheurs des épisodes.
- Peut être un stress aigu ou chronique.
- Rôle par l’épigénétique.
- Taux anormalement élevé de cortisol (effet neurotoxique probable notamment au niveau de l’hippocampe).
- Dysfonctionnement cérébral relié à une hyperactivité de l’amygdale et de l’axe HHS et une hypoactivité de l’hippocampe et du cortex préfrontal.
Tr dépressif: Étiologie
- Biologie: physiopatho du cortisol élevé
Stress via la voie classique de l’axe HHS et de l’amygdale :
- Probablement un des facteurs déclencheurs des épisodes.
- Peut être un stress aigu ou chronique.
- Rôle par l’épigénétique.
- Taux anormalement élevé de cortisol (effet neurotoxique probable notamment au niveau de l’hippocampe).
- Dysfonctionnement cérébral relié à une hyperactivité de l’amygdale et de l’axe HHS et une hypoactivité de l’hippocampe et du cortex préfrontal.
Tr dépressif: Étiologie
- Biologie: structures du cerveau impliquées
Stress via la voie classique de l’axe HHS et de l’amygdale :
- Probablement un des facteurs déclencheurs des épisodes.
- Peut être un stress aigu ou chronique.
- Rôle par l’épigénétique.
- Taux anormalement élevé de cortisol (effet neurotoxique probable notamment au niveau de l’hippocampe).
- Dysfonctionnement cérébral relié à une hyperactivité de l’amygdale et de l’axe HHS et une hypoactivité de l’hippocampe et du cortex préfrontal.
Tr dépressif: Étiologie
- Vie psychique
- Rôle important autant au niveau protecteur que du risque.
- Considération d’un facteur stresseur « les événements susceptibles d’induire un état dépressif sont ceux qui nous empêchent d’atteindre les buts et idéaux essentiels au maintien de notre estime personnelle. »
- On voit donc une grande composante de subjectivité chez les patients face à leurs stresseurs.
- On a d’ailleurs développé la triade dépressive (voir question 18).
- Vision négative de soi-même (worthlessness)
- Vision négative des événements (helplessness)
- Aproche pessimiste de l’avenir (hopelessness).
Tr dépressif: Étiologie
- Vie psychique: son rôle
- Rôle important autant au niveau protecteur que du risque.
- Considération d’un facteur stresseur « les événements susceptibles d’induire un état dépressif sont ceux qui nous empêchent d’atteindre les buts et idéaux essentiels au maintien de notre estime personnelle. »
- On voit donc une grande composante de subjectivité chez les patients face à leurs stresseurs.
- On a d’ailleurs développé la triade dépressive (voir question 18).
- Vision négative de soi-même (worthlessness)
- Vision négative des événements (helplessness)
- Aproche pessimiste de l’avenir (hopelessness).
Tr dépressif: Étiologie
- Vie psychique: type de facteur
- Rôle important autant au niveau protecteur que du risque.
- Considération d’un facteur stresseur « les événements susceptibles d’induire un état dépressif sont ceux qui nous empêchent d’atteindre les buts et idéaux essentiels au maintien de notre estime personnelle. »
- On voit donc une grande composante de subjectivité chez les patients face à leurs stresseurs.
- On a d’ailleurs développé la triade dépressive (voir question 18).
- Vision négative de soi-même (worthlessness)
- Vision négative des événements (helplessness)
- Aproche pessimiste de l’avenir (hopelessness).
Tr dépressif: Étiologie
- Vie psychique: facteur stresseur
- Rôle important autant au niveau protecteur que du risque.
- Considération d’un facteur stresseur « les événements susceptibles d’induire un état dépressif sont ceux qui nous empêchent d’atteindre les buts et idéaux essentiels au maintien de notre estime personnelle. »
- On voit donc une grande composante de subjectivité chez les patients face à leurs stresseurs.
- On a d’ailleurs développé la triade dépressive (voir question 18).
- Vision négative de soi-même (worthlessness)
- Vision négative des événements (helplessness)
- Aproche pessimiste de l’avenir (hopelessness).
Tr dépressif: Étiologie
- Vie psychique: subjectivité
- Rôle important autant au niveau protecteur que du risque.
- Considération d’un facteur stresseur « les événements susceptibles d’induire un état dépressif sont ceux qui nous empêchent d’atteindre les buts et idéaux essentiels au maintien de notre estime personnelle. »
- On voit donc une grande composante de subjectivité chez les patients face à leurs stresseurs.
- On a d’ailleurs développé la triade dépressive (voir question 18).
- Vision négative de soi-même (worthlessness)
- Vision négative des événements (helplessness)
- Aproche pessimiste de l’avenir (hopelessness).
Tr dépressif: Étiologie
- Vie psychique: triade dépressive
- Rôle important autant au niveau protecteur que du risque.
- Considération d’un facteur stresseur « les événements susceptibles d’induire un état dépressif sont ceux qui nous empêchent d’atteindre les buts et idéaux essentiels au maintien de notre estime personnelle. »
- On voit donc une grande composante de subjectivité chez les patients face à leurs stresseurs.
-
On a d’ailleurs développé la triade dépressive (voir question 18).
- Vision négative de soi-même (worthlessness)
- Vision négative des événements (helplessness)
- Approche pessimiste de l’avenir (hopelessness).
Tr dépressif: Niveaux où on trouve des altérations
Altérations au niveau de:
- l’humeur, de l’intérêt,
- du poids,
- du sommeil,
- de l’activité psychomotrice,
- de l’énergie,
- de la culpabilité,
- de la concentration,
- des pensées de mort
(voir critères DSM-V)
Tr dépressif: Axe hormonal impliqué dans la pathogénèse
- Axe hypophyso-surrénalien (HHS) qui serait hyperactif, entraînant des taux anormalement élevés de cortisol qui seraient neurotoxique sur certaines structures cérébrales, dont l’hippocampe, et qui inhiberait la production de BDNF.
- (SCHÉMA EXTRÊMEMENT BIEN FAIT…!)
Tr dépressif: Rôle de l’axe HHS dans la pathogénèse
- Axe hypophyso-surrénalien (HHS) qui serait hyperactif, entraînant des taux anormalement élevés de cortisol qui seraient neurotoxique sur certaines structures cérébrales, dont l’hippocampe, et qui inhiberait la production de BDNF.
- (SCHÉMA EXTRÊMEMENT BIEN FAIT…!)
Tr dépressif: Modèle étiologique de la dépression
- Stress
- Deuils
- Pertes
- Conflits interpersonnels
- Instabilité des rôles et de l’environnement
- Structure psychologique
- Estime de soi
- Capacités d’adaptation et stratégies de résolution de problèmes
- Mode relationnel
- Vulnérabilité génétique
- Axe HHS
- Anomalies du BDNF
- Perturbations des neurotransmetteurs
- Symptômes cliniques de dépression
Triangle de Beck: C’est quoi?
- Dans le tr dépressif
- C’est une triade mentionnant 3 tendances d’un individu qui prédisposent à la dépression :
- Vision négative de soi-même (worthlessness)
- Vision négative des événements (helplessness)
- Aproche pessimiste de l’avenir (hopelessness).
- Aussi appelé: triade de Beck
Tr dépressif: Triangle de Beck
- C’est une triade mentionnant 3 tendances d’un individu qui prédisposent à la dépression :
- Vision négative de soi-même (worthlessness)
- Vision négative des événements (helplessness)
- Aproche pessimiste de l’avenir (hopelessness).
- Aussi appelé: triade de Beck
Tr dépressif: Triangle de Beck
- éléments: nommez-les
- C’est une triade mentionnant 3 tendances d’un individu qui prédisposent à la dépression :
- Vision négative de soi-même (worthlessness)
- Vision négative des événements (helplessness)
- Aproche pessimiste de l’avenir (hopelessness).
- Aussi appelé: triade de Beck
Tr dépressif: Facteur biologique
- chez les personnes âgées
- Certains facteurs de risque sont plus propres aux personnes âgées, notamment les maladies cardiovasculaires et les anomalies métaboliques.
- Il est à noter que l’apparition d’un trouble lors d’un âge plus avancé signifie une composante génétique moins importante.
Tr dépressif: Facteur génétique
- chez les personnes âgées
- Certains facteurs de risque sont plus propres aux personnes âgées, notamment les maladies cardiovasculaires et les anomalies métaboliques.
- Il est à noter que l’apparition d’un trouble lors d’un âge plus avancé signifie une composante génétique moins importante.
Tr dépressif: Explication
- Hypothèses psychodynamiques
- Plusieurs auteurs ont tenté d’expliquer la dépression avec des hypothèses psychodynamiques puisque la vie psychique et la réaction des individus au stress joue un rôle important dans les réactions face aux stresseurs.
- Effectivement, plusieurs pensent que les événements susceptibles d’induire un état dépressif sont ceux qui nous empêchent d’atteindre les buts et idéaux essentiels au maintien de notre estime personnelle.
- Cette façon d’expliquer la dépression est critiquée puisque plusieurs pensent que ces pensées négatives sont souvent en fait une conséquence et non une cause de l’état dépressif.
- Cette explication est quand même utile afin de bien comprendre le modèle multi-étiologique de la dépression.
- Voici les théories principales avancées :
- Freud et Abrahan : la perte d’un être cher peut provoquer des émotions négatives et le retournement de ces émotions contre soi sous forme de culpabilité contribue à la formation de la dépression
- Bibring : la notion de l’estime de soi est au centre de la vie psychique, selon lequel les évènements qui empêchent d’atteindre les idéaux essentiels au maintien de notre estime personnel seraient en cause.
- Seligman : élabore le concept d’impuissance acquise, dans lequel la répétition d’évènements négatifs peut mener la personne dans un état de passivité et la perte de motivation quant à son sort.
Tr dépressif: Explication
- Hypothèses psychodynamiques: ce qu’elles stipulent
- Plusieurs auteurs ont tenté d’expliquer la dépression avec des hypothèses psychodynamiques puisque la vie psychique et la réaction des individus au stress joue un rôle important dans les réactions face aux stresseurs.
- Effectivement, plusieurs pensent que les événements susceptibles d’induire un état dépressif sont ceux qui nous empêchent d’atteindre les buts et idéaux essentiels au maintien de notre estime personnelle.
- Cette façon d’expliquer la dépression est critiquée puisque plusieurs pensent que ces pensées négatives sont souvent en fait une conséquence et non une cause de l’état dépressif.
- Cette explication est quand même utile afin de bien comprendre le modèle multi-étiologique de la dépression.
- Voici les théories principales avancées :
- Freud et Abrahan : la perte d’un être cher peut provoquer des émotions négatives et le retournement de ces émotions contre soi sous forme de culpabilité contribue à la formation de la dépression
- Bibring : la notion de l’estime de soi est au centre de la vie psychique, selon lequel les évènements qui empêchent d’atteindre les idéaux essentiels au maintien de notre estime personnel seraient en cause.
- Seligman : élabore le concept d’impuissance acquise, dans lequel la répétition d’évènements négatifs peut mener la personne dans un état de passivité et la perte de motivation quant à son sort.
Tr dépressif: Explication
- Hypothèses psychodynamiques: critiques faites de cette vision
- Plusieurs auteurs ont tenté d’expliquer la dépression avec des hypothèses psychodynamiques puisque la vie psychique et la réaction des individus au stress joue un rôle important dans les réactions face aux stresseurs.
- Effectivement, plusieurs pensent que les événements susceptibles d’induire un état dépressif sont ceux qui nous empêchent d’atteindre les buts et idéaux essentiels au maintien de notre estime personnelle.
- Cette façon d’expliquer la dépression est critiquée puisque plusieurs pensent que ces pensées négatives sont souvent en fait une conséquence et non une cause de l’état dépressif.
- Cette explication est quand même utile afin de bien comprendre le modèle multi-étiologique de la dépression.
- Voici les théories principales avancées :
- Freud et Abrahan : la perte d’un être cher peut provoquer des émotions négatives et le retournement de ces émotions contre soi sous forme de culpabilité contribue à la formation de la dépression
- Bibring : la notion de l’estime de soi est au centre de la vie psychique, selon lequel les évènements qui empêchent d’atteindre les idéaux essentiels au maintien de notre estime personnel seraient en cause.
- Seligman : élabore le concept d’impuissance acquise, dans lequel la répétition d’évènements négatifs peut mener la personne dans un état de passivité et la perte de motivation quant à son sort.
Tr dépressif: Explication
- Hypothèses psychodynamiques: leur pertinence
- Plusieurs auteurs ont tenté d’expliquer la dépression avec des hypothèses psychodynamiques puisque la vie psychique et la réaction des individus au stress joue un rôle important dans les réactions face aux stresseurs.
- Effectivement, plusieurs pensent que les événements susceptibles d’induire un état dépressif sont ceux qui nous empêchent d’atteindre les buts et idéaux essentiels au maintien de notre estime personnelle.
- Cette façon d’expliquer la dépression est critiquée puisque plusieurs pensent que ces pensées négatives sont souvent en fait une conséquence et non une cause de l’état dépressif.
- Cette explication est quand même utile afin de bien comprendre le modèle multi-étiologique de la dépression.
- Voici les théories principales avancées :
- Freud et Abrahan : la perte d’un être cher peut provoquer des émotions négatives et le retournement de ces émotions contre soi sous forme de culpabilité contribue à la formation de la dépression
- Bibring : la notion de l’estime de soi est au centre de la vie psychique, selon lequel les évènements qui empêchent d’atteindre les idéaux essentiels au maintien de notre estime personnel seraient en cause.
- Seligman : élabore le concept d’impuissance acquise, dans lequel la répétition d’évènements négatifs peut mener la personne dans un état de passivité et la perte de motivation quant à son sort.
Tr dépressif: Explication
- Théories avancées: nommez-les
- Voici les théories principales avancées :
- Freud et Abrahan : la perte d’un être cher peut provoquer des émotions négatives et le retournement de ces émotions contre soi sous forme de culpabilité contribue à la formation de la dépression
- Bibring : la notion de l’estime de soi est au centre de la vie psychique, selon lequel les évènements qui empêchent d’atteindre les idéaux essentiels au maintien de notre estime personnel seraient en cause.
- Seligman : élabore le concept d’impuissance acquise, dans lequel la répétition d’évènements négatifs peut mener la personne dans un état de passivité et la perte de motivation quant à son sort.
Tr dépressif: Explication
- Théories avancées: Freud et Abrahan
- Voici les théories principales avancées :
- Freud et Abrahan : la perte d’un être cher peut provoquer des émotions négatives et le retournement de ces émotions contre soi sous forme de culpabilité contribue à la formation de la dépression
- Bibring : la notion de l’estime de soi est au centre de la vie psychique, selon lequel les évènements qui empêchent d’atteindre les idéaux essentiels au maintien de notre estime personnel seraient en cause.
- Seligman : élabore le concept d’impuissance acquise, dans lequel la répétition d’évènements négatifs peut mener la personne dans un état de passivité et la perte de motivation quant à son sort.
Tr dépressif: Explication
- Théories avancées: Bibring
- Voici les théories principales avancées :
- Freud et Abrahan : la perte d’un être cher peut provoquer des émotions négatives et le retournement de ces émotions contre soi sous forme de culpabilité contribue à la formation de la dépression
- Bibring : la notion de l’estime de soi est au centre de la vie psychique, selon lequel les évènements qui empêchent d’atteindre les idéaux essentiels au maintien de notre estime personnel seraient en cause.
- Seligman : élabore le concept d’impuissance acquise, dans lequel la répétition d’évènements négatifs peut mener la personne dans un état de passivité et la perte de motivation quant à son sort.