Trouble de l'humeur 2 Flashcards
Suicide: Comment l’OMS le considère-t-il?
- L’OMS considère le suicide comme un problème de santé publique majeur, mais en grande partie évitable.
- Le suicide serait à l’origine de près de la moitié de toutes les morts violentes, d’un million de décès annuel dans le monde et son coût économique se chiffre en milliard de dollars
Suicide: Comment l’OMS le considère-t-il?
- L’OMS considère le suicide comme un problème de santé publique majeur, mais en grande partie évitable.
- Le suicide serait à l’origine de près de la moitié de toutes les morts violentes, d’un million de décès annuel dans le monde et son coût économique se chiffre en milliard de dollars
Suicide: Importance
- L’OMS considère le suicide comme un problème de santé publique majeur, mais en grande partie évitable.
- Le suicide serait à l’origine de près de la moitié de toutes les morts violentes, d’un million de décès annuel dans le monde et son coût économique se chiffre en milliard de dollars
Suicide: Impacts
- L’OMS considère le suicide comme un problème de santé publique majeur, mais en grande partie évitable.
- Le suicide serait à l’origine de près de la moitié de toutes les morts violentes, d’un million de décès annuel dans le monde et son coût économique se chiffre en milliard de dollars
Suicide: La personne a consulté?
- Plusieurs personnes qui se suicident ont vu un médecin ou un autre professionnel dans les années, mois et parfois jours qui précèdent leur suicide.
- Également, un grand nombre de patients vus en urgence psychiatrique présentent des idées suicidaires.
- Le médecin est donc souvent amené à interagir avec ce type de clientèle.
- Notons que le pseudo-suicide est un appel à l’aide. Par contre, une tentative suicidaire échouée ne fait pas nécessairement d’un patient un pseudo-suicidaire et inversement un suicide complété ne confirme pas obligatoirement une intention suicidaire réelle (mauvaise planification ou manque de jugement par exemple).
Suicide: Interactions avec les professionnels de la santé
- Plusieurs personnes qui se suicident ont vu un médecin ou un autre professionnel dans les années, mois et parfois jours qui précèdent leur suicide.
- Également, un grand nombre de patients vus en urgence psychiatrique présentent des idées suicidaires.
- Le médecin est donc souvent amené à interagir avec ce type de clientèle.
- Notons que le pseudo-suicide est un appel à l’aide. Par contre, une tentative suicidaire échouée ne fait pas nécessairement d’un patient un pseudo-suicidaire et inversement un suicide complété ne confirme pas obligatoirement une intention suicidaire réelle (mauvaise planification ou manque de jugement par exemple).
Suicide: C’est quoi le pseudo-suicide?
- Plusieurs personnes qui se suicident ont vu un médecin ou un autre professionnel dans les années, mois et parfois jours qui précèdent leur suicide.
- Également, un grand nombre de patients vus en urgence psychiatrique présentent des idées suicidaires.
- Le médecin est donc souvent amené à interagir avec ce type de clientèle.
-
Notons que le pseudo-suicide est un appel à l’aide.
- Par contre, une tentative suicidaire échouée ne fait pas nécessairement d’un patient un pseudo-suicidaire et inversement un suicide complété ne confirme pas obligatoirement une intention suicidaire réelle (mauvaise planification ou manque de jugement par exemple).
Suicide: Geste suicidaire échoué = pseudo-suicide?
- Plusieurs personnes qui se suicident ont vu un médecin ou un autre professionnel dans les années, mois et parfois jours qui précèdent leur suicide.
- Également, un grand nombre de patients vus en urgence psychiatrique présentent des idées suicidaires.
- Le médecin est donc souvent amené à interagir avec ce type de clientèle.
-
Notons que le pseudo-suicide est un appel à l’aide.
- Par contre, une tentative suicidaire échouée ne fait pas nécessairement d’un patient un pseudo-suicidaire et inversement un suicide complété ne confirme pas obligatoirement une intention suicidaire réelle (mauvaise planification ou manque de jugement par exemple).
Syndrome suicidaire
- Les prochaines sections aborderont le syndrome suicidaire, qui consiste en l’ensemble des signes et symptômes permettant de reconnaître les risques de suicide.
- On dit d’un syndrome qu’il consiste en un ensemble de signe et symptômes reconnaissable sans égard à l’étiologie sous-jacente.
- Effectivement, un syndrome suicidaire peut découler de plusieurs maladies psychiatriques sous-jacentes telles que la schizophrénie, le trouble de la personnalité, etc.
Syndrome suicidaire
- définition
- Les prochaines sections aborderont le syndrome suicidaire, qui consiste en l’ensemble des signes et symptômes permettant de reconnaître les risques de suicide.
- On dit d’un syndrome qu’il consiste en un ensemble de signe et symptômes reconnaissable sans égard à l’étiologie sous-jacente.
- Effectivement, un syndrome suicidaire peut découler de plusieurs maladies psychiatriques sous-jacentes telles que la schizophrénie, le trouble de la personnalité, etc.
Syndrome suicidaire
- causes possibles
- Les prochaines sections aborderont le syndrome suicidaire, qui consiste en l’ensemble des signes et symptômes permettant de reconnaître les risques de suicide.
- On dit d’un syndrome qu’il consiste en un ensemble de signe et symptômes reconnaissable sans égard à l’étiologie sous-jacente.
- Effectivement, un syndrome suicidaire peut découler de plusieurs maladies psychiatriques sous-jacentes telles que la schizophrénie, le trouble de la personnalité, etc.
Dans quelle population, les taux de suicide s’est-il accru de 1999 à 2005 ?
- Le taux de suicide aux États-Unis s’est accru de 3 % par année dans la population blanche âgée de 40-64 ans.
- Ceci est surprenant, puisque depuis le début des années 1990, le taux de suicide a diminué dans la majorité des pays membres de l’Organisation de coopération et de développement économique.
- On a d’ailleurs vu une diminution du taux de suicide marquée chez les adolescents et les jeunes hommes.
Population où les taux de suicide s’est accru de 1999 à 2005
- Le taux de suicide aux États-Unis s’est accru de 3 % par année dans la population blanche âgée de 40-64 ans.
- Ceci est surprenant, puisque depuis le début des années 1990, le taux de suicide a diminué dans la majorité des pays membres de l’Organisation de coopération et de développement économique.
- On a d’ailleurs vu une diminution du taux de suicide marquée chez les adolescents et les jeunes hommes.
États-Unis: Pourquoi c’est surprenant que le taux suicidaire a augmenté de 1999-2005?
- Le taux de suicide aux États-Unis s’est accru de 3 % par année dans la population blanche âgée de 40-64 ans.
- Ceci est surprenant, puisque depuis le début des années 1990, le taux de suicide a diminué dans la majorité des pays membres de l’Organisation de coopération et de développement économique.
- On a d’ailleurs vu une diminution du taux de suicide marquée chez les adolescents et les jeunes hommes.
Taux suicidaire aux USA entre 1999-2005
- Le taux de suicide aux États-Unis s’est accru de 3 % par année dans la population blanche âgée de 40-64 ans.
- Ceci est surprenant, puisque depuis le début des années 1990, le taux de suicide a diminué dans la majorité des pays membres de l’Organisation de coopération et de développement économique.
- On a d’ailleurs vu une diminution du taux de suicide marquée chez les adolescents et les jeunes hommes.
Taux de suicide de 1999 à 2005 aux USA: a augmenté ou diminué?
- Le taux de suicide aux États-Unis s’est accru de 3 % par année dans la population blanche âgée de 40-64 ans.
- Ceci est surprenant, puisque depuis le début des années 1990, le taux de suicide a diminué dans la majorité des pays membres de l’Organisation de coopération et de développement économique.
- On a d’ailleurs vu une diminution du taux de suicide marquée chez les adolescents et les jeunes hommes.
Québec: Taux suicidaire - groupe où c’est
- le plus élevé
- le moins élevé
- Hommes 35 – 49 ans : 34.9 / 100 000
- Hommes 15 – 19 ans : 11.4 / 100 000
- Femmes 50 – 64 ans : 11.3 / 100 000
- Femmes 15 – 19 ans : 4.9 / 100 000
(2008-2009)
Québec: Taux suicidaire - groupe où c’est
- le plus élevé
- le moins élevé
CHEZ LES HOMMES
- Hommes 35 – 49 ans : 34.9 / 100 000
- Hommes 15 – 19 ans : 11.4 / 100 000
- Femmes 50 – 64 ans : 11.3 / 100 000
- Femmes 15 – 19 ans : 4.9 / 100 000
(2008-2009)
Québec: Taux suicidaire - groupe où c’est
- le plus élevé
- le moins élevé
CHEZ LES FEMMES
- Hommes 35 – 49 ans : 34.9 / 100 000
- Hommes 15 – 19 ans : 11.4 / 100 000
- Femmes 50 – 64 ans : 11.3 / 100 000
- Femmes 15 – 19 ans : 4.9 / 100 000
(2008-2009)
Québec: Fréquence idées suicidaires vs passage à l’acte
- Les idées suicidaires ont une prévalence élevée et le suicide est un phénomène beaucoup moins fréquent.
- Québec
- 8% des Québécois ont déjà penser se suicider
- 3,6% des Québécois ont déjà attenté à leur vie.
- Le Québec est l’une des provinces canadiennes avec le plus haut taux de suicide
- Québec présente le plus haut taux de suicide chez les H
Québec: Fréquence idées suicidaires vs passage à l’acte
- proportion des Québécois qui ont pensé au suicide
- Les idées suicidaires ont une prévalence élevée et le suicide est un phénomène beaucoup moins fréquent.
- Québec
- 8% des Québécois ont déjà penser se suicider
- 3,6% des Québécois ont déjà attenté à leur vie.
- Le Québec est l’une des provinces canadiennes avec le plus haut taux de suicide
- Québec présente le plus haut taux de suicide chez les H
Québec: Fréquence idées suicidaires vs passage à l’acte
- proportion des Québécois qui ont tenté d’enlever leur vie
- Les idées suicidaires ont une prévalence élevée et le suicide est un phénomène beaucoup moins fréquent.
- Québec
- 8% des Québécois ont déjà penser se suicider
- 3,6% des Québécois ont déjà attenté à leur vie.
- Le Québec est l’une des provinces canadiennes avec le plus haut taux de suicide
- Québec présente le plus haut taux de suicide chez les H
Québec: Fréquence idées suicidaires vs passage à l’acte
- taux suicidaire au Qc par rapport aux autres provinces
- Les idées suicidaires ont une prévalence élevée et le suicide est un phénomène beaucoup moins fréquent.
- Québec
- 8% des Québécois ont déjà penser se suicider
- 3,6% des Québécois ont déjà attenté à leur vie.
- Le Québec est l’une des provinces canadiennes avec le plus haut taux de suicide
- Québec présente le plus haut taux de suicide chez les H
Canada: Fréquence du suicide
Canada
- Suicide représente 1/10 des causes de décès en importance et compose un peu moins de 2% des décès de 2009
- Manitoba présente le plus haut taux de suicide chez les F
Canada: Fréquence du suicide
- importance du suicide dans les causes de décès
Canada
- Suicide représente 1/10 des causes de décès en importance et compose un peu moins de 2% des décès de 2009
- Manitoba présente le plus haut taux de suicide chez les F
Canada: Province où le taux suicidaire est le plus élevé chez les femmes au Canada
Canada
- Suicide représente 1/10 des causes de décès en importance et compose un peu moins de 2% des décès de 2009
- Manitoba présente le plus haut taux de suicide chez les F
Canada: Province où le taux suicidaire est le plus élevé chez
- les hommes
- les femmes
- Hommes: Québec présente le plus haut taux de suicide chez les H
- Femmes: Manitoba présente le plus haut taux de suicide chez les F
Mondialement: Épidémio du suicide
- 14,5 décès pour 100 000 personnes
- Taux plus élevé en Europe de l’Est et plus faible en Amérique centrale, en Amérique du Sud.
Mondialement: Épidémio du suicide
- prévalence
- 14,5 décès pour 100 000 personnes
- Taux plus élevé en Europe de l’Est et plus faible en Amérique centrale, en Amérique du Sud.
Mondialement: Épidémio du suicide
- taux plus élevés dans quelles régions du monde?
- moins élevés dans quelles régions du monde?
- 14,5 décès pour 100 000 personnes
- Taux plus élevé en Europe de l’Est et plus faible en Amérique centrale, en Amérique du Sud.
Épidémio du suicide: Selon l’âge
- 90% des hommes âgés de plus de 60 ans réussissent leur première tentative
- Les taux de suicide demeurent relativement stables, saufs chez les hommes et adolescents où les taux augmentent légèrement
- Au Québec, il y a eu une montée du suicide chez les jeunes des générations de l’après-guerre
- Le suicide tend à augmenter avec l’âge
Épidémio du suicide: Selon l’âge
- groupe réussissant leur plus le tentative
- 90% des hommes âgés de plus de 60 ans réussissent leur première tentative
- Les taux de suicide demeurent relativement stables, saufs chez les hommes et adolescents où les taux augmentent légèrement
- Au Québec, il y a eu une montée du suicide chez les jeunes des générations de l’après-guerre
- Le suicide tend à augmenter avec l’âge
Épidémio du suicide: Selon l’âge
- évolution du taux de suicide
- 90% des hommes âgés de plus de 60 ans réussissent leur première tentative
- Les taux de suicide demeurent relativement stables, saufs chez les hommes et adolescents où les taux augmentent légèrement
- Au Québec, il y a eu une montée du suicide chez les jeunes des générations de l’après-guerre
- Le suicide tend à augmenter avec l’âge
Épidémio du suicide: Selon l’âge
- montée du suicide chez quel groupe d’âge?
- 90% des hommes âgés de plus de 60 ans réussissent leur première tentative
- Les taux de suicide demeurent relativement stables, saufs chez les hommes et adolescents où les taux augmentent légèrement
- Au Québec, il y a eu une montée du suicide chez les jeunes des générations de l’après-guerre
- Le suicide tend à augmenter avec l’âge
Épidémio du suicide: Selon l’âge
- évolution du suicide avec l’âge
- 90% des hommes âgés de plus de 60 ans réussissent leur première tentative
- Les taux de suicide demeurent relativement stables, saufs chez les hommes et adolescents où les taux augmentent légèrement
- Au Québec, il y a eu une montée du suicide chez les jeunes des générations de l’après-guerre
- Le suicide tend à augmenter avec l’âge
Épidémio du suicide: Selon le sexe
- Taux de suicide 3-4X plus élevé chez les H que chez les F, sauf dans quelques pays asiatiques
- Le choix du moyen de létalité varie selon le sexe
- Homme : moyen de létalité plus élevés, tels que la pendaison (qui ↑ en incidence) ou les armes à feu (qui ↓ en incidence)
- Femme : plus souvent une intoxication médicamenteuse (qui ↑ en incidence), et plus rarement la pendaison (qui ↑ en incidence)
Épidémio du suicide: Selon le sexe
- prévalence du suicide: H vs F
- Taux de suicide 3-4X plus élevé chez les H que chez les F, sauf dans quelques pays asiatiques
- Le choix du moyen de létalité varie selon le sexe
- Homme : moyen de létalité plus élevés, tels que la pendaison (qui ↑ en incidence) ou les armes à feu (qui ↓ en incidence)
- Femme : plus souvent une intoxication médicamenteuse (qui ↑ en incidence), et plus rarement la pendaison (qui ↑ en incidence)
Épidémio du suicide: Selon le sexe
- région du monde où prévalence du suicide est différente du reste du monde chez les H vs F
- Taux de suicide 3-4X plus élevé chez les H que chez les F, sauf dans quelques pays asiatiques
- Le choix du moyen de létalité varie selon le sexe
- Homme : moyen de létalité plus élevés, tels que la pendaison (qui ↑ en incidence) ou les armes à feu (qui ↓ en incidence)
- Femme : plus souvent une intoxication médicamenteuse (qui ↑ en incidence), et plus rarement la pendaison (qui ↑ en incidence)
Épidémio du suicide: Selon le sexe
- moyens utilisés
- Taux de suicide 3-4X plus élevé chez les H que chez les F, sauf dans quelques pays asiatiques
-
Le choix du moyen de létalité varie selon le sexe
- Homme : moyen de létalité plus élevés, tels que la pendaison (qui ↑ en incidence) ou les armes à feu (qui ↓ en incidence)
- Femme : plus souvent une intoxication médicamenteuse (qui ↑ en incidence), et plus rarement la pendaison (qui ↑ en incidence)
Épidémio du suicide: Selon le sexe
- moyen utilisé: hommes
- Taux de suicide 3-4X plus élevé chez les H que chez les F, sauf dans quelques pays asiatiques
-
Le choix du moyen de létalité varie selon le sexe
- Homme : moyen de létalité plus élevés, tels que la pendaison (qui ↑ en incidence) ou les armes à feu (qui ↓ en incidence)
- Femme : plus souvent une intoxication médicamenteuse (qui ↑ en incidence), et plus rarement la pendaison (qui ↑ en incidence)
Épidémio du suicide: Selon le sexe
- moyen utilisé: femmes
- Taux de suicide 3-4X plus élevé chez les H que chez les F, sauf dans quelques pays asiatiques
-
Le choix du moyen de létalité varie selon le sexe
- Homme : moyen de létalité plus élevés, tels que la pendaison (qui ↑ en incidence) ou les armes à feu (qui ↓ en incidence)
- Femme : plus souvent une intoxication médicamenteuse (qui ↑ en incidence), et plus rarement la pendaison (qui ↑ en incidence)
Épidémio du suicide: Selon le sexe
- moyens utilisés: en augmentation
- Taux de suicide 3-4X plus élevé chez les H que chez les F, sauf dans quelques pays asiatiques
- Le choix du moyen de létalité varie selon le sexe
- Homme : moyen de létalité plus élevés, tels que la pendaison (qui ↑ en incidence) ou les armes à feu (qui ↓ en incidence)
- Femme : plus souvent une intoxication médicamenteuse (qui ↑ en incidence), et plus rarement la pendaison (qui ↑ en incidence)
Épidémio du suicide: Selon le sexe
- moyens utilisés: en diminution
- Taux de suicide 3-4X plus élevé chez les H que chez les F, sauf dans quelques pays asiatiques
- Le choix du moyen de létalité varie selon le sexe
- Homme : moyen de létalité plus élevés, tels que la pendaison (qui ↑ en incidence) ou les armes à feu (qui ↓ en incidence)
- Femme : plus souvent une intoxication médicamenteuse (qui ↑ en incidence), et plus rarement la pendaison (qui ↑ en incidence)
Pseudo-suicide: Proportion qui réussit son suicide
Une minorité de 15% des pseudo-suicides réussit leur tentative
Suicide: Lien avec génétique
- Certains tempéraments et traits de caractère (par exemple un comportement impulsif / agressif) sont davantage associés aux comportements suicidaires.
- De plus, des anomalies du système de la sérotonine sont aussi reliées au suicide et à la dépression.
- Des études sur l’épigénétique et le système polyaminergique sont actuellement en cours afin de vérifier leur possible rôle
Suicide: Lien avec génétique
- éléments expliquant cette association
- Certains tempéraments et traits de caractère (par exemple un comportement impulsif / agressif) sont davantage associés aux comportements suicidaires.
- De plus, des anomalies du système de la sérotonine sont aussi reliées au suicide et à la dépression.
- Des études sur l’épigénétique et le système polyaminergique sont actuellement en cours afin de vérifier leur possible rôle
Suicide: Lien avec génétique
- tempéraments et traits de caractère
- Certains tempéraments et traits de caractère (par exemple un comportement impulsif / agressif) sont davantage associés aux comportements suicidaires.
- De plus, des anomalies du système de la sérotonine sont aussi reliées au suicide et à la dépression.
- Des études sur l’épigénétique et le système polyaminergique sont actuellement en cours afin de vérifier leur possible rôle
Suicide: Lien avec génétique
- NT
- Certains tempéraments et traits de caractère (par exemple un comportement impulsif / agressif) sont davantage associés aux comportements suicidaires.
- De plus, des anomalies du système de la sérotonine sont aussi reliées au suicide et à la dépression.
- Des études sur l’épigénétique et le système polyaminergique sont actuellement en cours afin de vérifier leur possible rôle
Suicide: Lien avec génétique
- épigénétique
- Certains tempéraments et traits de caractère (par exemple un comportement impulsif / agressif) sont davantage associés aux comportements suicidaires.
- De plus, des anomalies du système de la sérotonine sont aussi reliées au suicide et à la dépression.
- Des études sur l’épigénétique et le système polyaminergique sont actuellement en cours afin de vérifier leur possible rôle
Variables considérées dans l’évaluation du risque suicidaire
- Plusieurs variables sont considérées dans l’évaluation du risque suicidaire.
- À ce compte, la figure 50.1 est passionnante.
- Assurez-vous d’être capable de dire un mot ou deux sur chacun.
Suicide: Seuil de tolérance
- Le suicide survient au moment où le niveau de douleur psychique dépasse le seuil de tolérance de l’individu.
- Le processus d’évaluation clinique revient donc à évaluer jusqu’où la souffrance ressentie se rapproche de ce seuil de tolérance.
- La souffrance et le seuil peuvent varier en fonction de différents facteurs : fatigue, insomnie, intoxication, etc. et est propre à chaque individu.
Suicide: Seuil de tolérance
- à quel moment survient le suicide?
- Le suicide survient au moment où le niveau de douleur psychique dépasse le seuil de tolérance de l’individu.
- Le processus d’évaluation clinique revient donc à évaluer jusqu’où la souffrance ressentie se rapproche de ce seuil de tolérance.
- La souffrance et le seuil peuvent varier en fonction de différents facteurs : fatigue, insomnie, intoxication, etc. et est propre à chaque individu.
Suicide: Seuil de tolérance
- ce qui faut évaluer
- Le suicide survient au moment où le niveau de douleur psychique dépasse le seuil de tolérance de l’individu.
- Le processus d’évaluation clinique revient donc à évaluer jusqu’où la souffrance ressentie se rapproche de ce seuil de tolérance.
- La souffrance et le seuil peuvent varier en fonction de différents facteurs : fatigue, insomnie, intoxication, etc. et est propre à chaque individu.
Suicide: Seuil de tolérance
- souffrance et seuil: varient en fonction de quoi?
- Le suicide survient au moment où le niveau de douleur psychique dépasse le seuil de tolérance de l’individu.
- Le processus d’évaluation clinique revient donc à évaluer jusqu’où la souffrance ressentie se rapproche de ce seuil de tolérance.
- La souffrance et le seuil peuvent varier en fonction de différents facteurs : fatigue, insomnie, intoxication, etc. et est propre à chaque individu.
Suicide: FDR le plus important
- Maladie psychiatrique
- Parce que l’on considère que 90 % des patients qui font une tentative de suicide ont un trouble mental.
- On retrouve particulièrement celles-ci :
- Schizophrénie
- Paranoïa
- Dépression majeure
- Toxicomanies ou alcoolisme
Suicide: FDR - Maladie psychiatrique
- Parce que l’on considère que 90 % des patients qui font une tentative de suicide ont un trouble mental.
- On retrouve particulièrement celles-ci :
- Schizophrénie
- Paranoïa
- Dépression majeure
- Toxicomanies ou alcoolisme
Suicide: FDR - Maladie psychiatrique
- fréquence
- Parce que l’on considère que 90 % des patients qui font une tentative de suicide ont un trouble mental.
- On retrouve particulièrement celles-ci :
- Schizophrénie
- Paranoïa
- Dépression majeure
- Toxicomanies ou alcoolisme
Suicide: FDR - Maladie psychiatrique
- pathos partiuclièrement prévalentes
- Parce que l’on considère que 90 % des patients qui font une tentative de suicide ont un trouble mental.
-
On retrouve particulièrement celles-ci :
- Schizophrénie
- Paranoïa
- Dépression majeure
- Toxicomanies ou alcoolisme
Suicide: FDR - Maladie psychiatrique
- importance
- Les troubles mentaux représentent d’ailleurs de 47 à 74 % du risque attribuable au suicide dans la population.
- Également, 35% à 40% de tous les suicidés présentent une maladie organique (épilepsie, cancer, problèmes gastro-intestinaux ou problèmes locomoteurs comme des arthrites et la lombalgie). Il est à noter que l’alcoolisme et la toxicomanie sont des facteurs de risque majeurs, puisque l’ingestion de médicament, d’alcool ou de drogue qui induisent un état d’inhibition favorise le passage à l’acte par manque de jugement, sans nécessairement présence d’intention létale.
Suicide: FDR - Maladies organiques
- Également, 35% à 40% de tous les suicidés présentent une maladie organique (épilepsie, cancer, problèmes gastro-intestinaux ou problèmes locomoteurs comme des arthrites et la lombalgie).
- Il est à noter que l’alcoolisme et la toxicomanie sont des facteurs de risque majeurs, puisque l’ingestion de médicament, d’alcool ou de drogue qui induisent un état d’inhibition favorise le passage à l’acte par manque de jugement, sans nécessairement présence d’intention létale.
Suicide: FDR - Maladies organiques
- importance
- Également, 35% à 40% de tous les suicidés présentent une maladie organique (épilepsie, cancer, problèmes gastro-intestinaux ou problèmes locomoteurs comme des arthrites et la lombalgie).
- Il est à noter que l’alcoolisme et la toxicomanie sont des facteurs de risque majeurs, puisque l’ingestion de médicament, d’alcool ou de drogue qui induisent un état d’inhibition favorise le passage à l’acte par manque de jugement, sans nécessairement présence d’intention létale.
Suicide: FDR - Maladies organiques
- nommez les maladies organiques en cause
- Également, 35% à 40% de tous les suicidés présentent une maladie organique (épilepsie, cancer, problèmes gastro-intestinaux ou problèmes locomoteurs comme des arthrites et la lombalgie).
- Il est à noter que l’alcoolisme et la toxicomanie sont des facteurs de risque majeurs, puisque l’ingestion de médicament, d’alcool ou de drogue qui induisent un état d’inhibition favorise le passage à l’acte par manque de jugement, sans nécessairement présence d’intention létale.
Suicide: FDR - Abus de substances
- Également, 35% à 40% de tous les suicidés présentent une maladie organique (épilepsie, cancer, problèmes gastro-intestinaux ou problèmes locomoteurs comme des arthrites et la lombalgie).
- Il est à noter que l’alcoolisme et la toxicomanie sont des facteurs de risque majeurs, puisque l’ingestion de médicament, d’alcool ou de drogue qui induisent un état d’inhibition favorise le passage à l’acte par manque de jugement, sans nécessairement présence d’intention létale.
Suicide: FDR - Abus de substances
- lien entre substances et suicide
- Également, 35% à 40% de tous les suicidés présentent une maladie organique (épilepsie, cancer, problèmes gastro-intestinaux ou problèmes locomoteurs comme des arthrites et la lombalgie).
- Il est à noter que l’alcoolisme et la toxicomanie sont des facteurs de risque majeurs, puisque l’ingestion de médicament, d’alcool ou de drogue qui induisent un état d’inhibition favorise le passage à l’acte par manque de jugement, sans nécessairement présence d’intention létale.
Risque suicidaire au départ d’une hospit psy
- Dans plus du 2/3 des cas de suicide, il s’agit de patients bien connus des services spécialisés en santé mentale et en toxicomanies.
- Ces malades sont difficiles à engager dans le traitement, présentant des comorbidités (TP, dépression, toxicomanies).
- Le risque suicidaire élevé et le besoin d’une concertation et d’un suivi serré, coordonnés entre les services spécialisés, peuvent alors ne pas être assez pris en compte, ce qui explique le risque suicidaire élevé après le départ d’une hospitalisation psychiatrique.
Suicide: Patients déjà connus en psy?
- Dans plus du 2/3 des cas de suicide, il s’agit de patients bien connus des services spécialisés en santé mentale et en toxicomanies.
- Ces malades sont difficiles à engager dans le traitement, présentant des comorbidités (TP, dépression, toxicomanies).
- Le risque suicidaire élevé et le besoin d’une concertation et d’un suivi serré, coordonnés entre les services spécialisés, peuvent alors ne pas être assez pris en compte, ce qui explique le risque suicidaire élevé après le départ d’une hospitalisation psychiatrique.
Patients suicidaires: Engagement dans leur tx
- Dans plus du 2/3 des cas de suicide, il s’agit de patients bien connus des services spécialisés en santé mentale et en toxicomanies.
- Ces malades sont difficiles à engager dans le traitement, présentant des comorbidités (TP, dépression, toxicomanies).
- Le risque suicidaire élevé et le besoin d’une concertation et d’un suivi serré, coordonnés entre les services spécialisés, peuvent alors ne pas être assez pris en compte, ce qui explique le risque suicidaire élevé après le départ d’une hospitalisation psychiatrique.
Risque suicidaire au départ d’une hospit psy: son intensité
- Dans plus du 2/3 des cas de suicide, il s’agit de patients bien connus des services spécialisés en santé mentale et en toxicomanies.
- Ces malades sont difficiles à engager dans le traitement, présentant des comorbidités (TP, dépression, toxicomanies).
- Le risque suicidaire élevé et le besoin d’une concertation et d’un suivi serré, coordonnés entre les services spécialisés, peuvent alors ne pas être assez pris en compte, ce qui explique le risque suicidaire élevé après le départ d’une hospitalisation psychiatrique.
Risque suicidaire au départ d’une hospit psy: Expliquez le lien
- Dans plus du 2/3 des cas de suicide, il s’agit de patients bien connus des services spécialisés en santé mentale et en toxicomanies.
- Ces malades sont difficiles à engager dans le traitement, présentant des comorbidités (TP, dépression, toxicomanies).
- Le risque suicidaire élevé et le besoin d’une concertation et d’un suivi serré, coordonnés entre les services spécialisés, peuvent alors ne pas être assez pris en compte, ce qui explique le risque suicidaire élevé après le départ d’une hospitalisation psychiatrique.
Potentiel de stratégies populationnelles de prévention du suicide
Le tableau 50.2 page 1131 est très intéressant, ne trouvez-vous pas ?
Potentiel de stratégies populationnelles de prévention du suicide - TEST DE DÉPISTAGE
- Degré d’exposition/ classification USI
- Réduction potentielle du taux de suicide (%)
- Qualité de la preuve
- Degré d’exposition/ classification USI: Toute la population/universel
- Réduction potentielle du taux de suicide (%): 0%
- Qualité de la preuve: II
Potentiel de stratégies populationnelles de prévention du suicide - Promotion de la santé (exercice, consommation modérée d’alcool, gestion du stress)
- Degré d’exposition/ classification USI
- Réduction potentielle du taux de suicide (%)
- Qualité de la preuve
- Degré d’exposition/ classification USI: Toute la population/universel
- Réduction potentielle du taux de suicide (%): Incertain
- Qualité de la preuve: III
Potentiel de stratégies populationnelles de prévention du suicide - Stratégies de réduction du chômage
- Degré d’exposition/ classification USI
- Réduction potentielle du taux de suicide (%)
- Qualité de la preuve
- Degré d’exposition/ classification USI: Population au chômage/ universel
- Réduction potentielle du taux de suicide (%): 1 à 2%
- Qualité de la preuve: III
Potentiel de stratégies populationnelles de prévention du suicide - Disponibilité des médicaments mis en dosette quotidienne
- Degré d’exposition/ classification USI
- Réduction potentielle du taux de suicide (%)
- Qualité de la preuve
- Degré d’exposition/ classification USI: Sélectif
- Réduction potentielle du taux de suicide (%): 2
- Qualité de la preuve: III
Potentiel de stratégies populationnelles de prévention du suicide - Prescription judicieuse des antidépresseurs
- Degré d’exposition/ classification USI
- Réduction potentielle du taux de suicide (%)
- Qualité de la preuve
- Degré d’exposition/ classification USI: Sélectif
- Réduction potentielle du taux de suicide (%): 4%
- Qualité de la preuve: III
Potentiel de stratégies populationnelles de prévention du suicide - Formation des médecins au traitement de la dépression
- Degré d’exposition/ classification USI
- Réduction potentielle du taux de suicide (%)
- Qualité de la preuve
- Degré d’exposition/ classification USI: Ciblé
- Réduction potentielle du taux de suicide (%): 25%
- Qualité de la preuve: II/III
Potentiel de stratégies populationnelles de prévention du suicide - Sécurisation des endroits à risque
- Degré d’exposition/ classification USI
- Réduction potentielle du taux de suicide (%)
- Qualité de la preuve
- Degré d’exposition/ classification USI: Sélectif
- Réduction potentielle du taux de suicide (%): 1 à 2%
- Qualité de la preuve: III
Potentiel de stratégies populationnelles de prévention du suicide - Renforcement des lignes de conduite des médias concernant leurs propos sur le suicide
- Degré d’exposition/ classification USI
- Réduction potentielle du taux de suicide (%)
- Qualité de la preuve
- Degré d’exposition/ classification USI: Ciblé
- Réduction potentielle du taux de suicide (%): 1%
- Qualité de la preuve: III
Potentiel de stratégies populationnelles de prévention du suicide - Soutien et counseling par des centres de prévention du suicide
- Degré d’exposition/ classification USI
- Réduction potentielle du taux de suicide (%)
- Qualité de la preuve
- Degré d’exposition/ classification USI: Sélectif
- Réduction potentielle du taux de suicide (%): 1
- Qualité de la preuve: IV
Potentiel de stratégies populationnelles de prévention du suicide - Relance des patients à risque
- Degré d’exposition/ classification USI
- Réduction potentielle du taux de suicide (%)
- Qualité de la preuve
- Degré d’exposition/ classification USI: Ciblé
- Réduction potentielle du taux de suicide (%): 0%
- Qualité de la preuve: III/IV
Révélation d’une lettre d’adieu: Signification
- La lettre d’adieu, tout comme l’achat récent de matériel, la mise à jour du testament ou une nouvelle demande de contrat d’assurance vie sont tous des indices parfois laissés par les patients avant de passer à l’acte.
- Ils suggèrent la possibilité d’un plan suicidaire en cours.
- On estime que 70 – 80 % des patients laissent des signes avant de poser leur tentative.
Suicide: Indices pouvant être laissés avant de passer à l’acte
- La lettre d’adieu, tout comme l’achat récent de matériel, la mise à jour du testament ou une nouvelle demande de contrat d’assurance vie sont tous des indices parfois laissés par les patients avant de passer à l’acte.
- Ils suggèrent la possibilité d’un plan suicidaire en cours.
- On estime que 70 – 80 % des patients laissent des signes avant de poser leur tentative.
Suicide: Indices pouvant être laissés avant de passer à l’acte
- suggèrent quoi?
- La lettre d’adieu, tout comme l’achat récent de matériel, la mise à jour du testament ou une nouvelle demande de contrat d’assurance vie sont tous des indices parfois laissés par les patients avant de passer à l’acte.
- Ils suggèrent la possibilité d’un plan suicidaire en cours.
- On estime que 70 – 80 % des patients laissent des signes avant de poser leur tentative.
Suicide: Indices pouvant être laissés avant de passer à l’acte
- fréquence
- La lettre d’adieu, tout comme l’achat récent de matériel, la mise à jour du testament ou une nouvelle demande de contrat d’assurance vie sont tous des indices parfois laissés par les patients avant de passer à l’acte.
- Ils suggèrent la possibilité d’un plan suicidaire en cours.
- On estime que 70 – 80 % des patients laissent des signes avant de poser leur tentative.
Différenciez: Risque suicidaire médical VS psychologique
- Risque suicidaire médical : Relié à la létalité du moyen (par exemple, utiliser une arme à feu vs des contraceptifs oraux)
- Risque suicidaire psychologique : Réfère au potentiel de létalité que le patient attribue au plan suicidaire., sans qu’il y ait vraiment de corrélation avec le risque médical réel (par exemple, le patient peut être convaincu que 5 g de Tylenol va le tuer, on a donc un risque suicidaire psychologique élevé, mais médical faible).
Différenciez: Risque suicidaire médical VS psychologique
- définir risque suicidaire médical
- Risque suicidaire médical : Relié à la létalité du moyen (par exemple, utiliser une arme à feu vs des contraceptifs oraux)
- Risque suicidaire psychologique : Réfère au potentiel de létalité que le patient attribue au plan suicidaire., sans qu’il y ait vraiment de corrélation avec le risque médical réel (par exemple, le patient peut être convaincu que 5 g de Tylenol va le tuer, on a donc un risque suicidaire psychologique élevé, mais médical faible).
Différenciez: Risque suicidaire médical VS psychologique
- définir risque suicidaire psychologique
- Risque suicidaire médical : Relié à la létalité du moyen (par exemple, utiliser une arme à feu vs des contraceptifs oraux)
- Risque suicidaire psychologique : Réfère au potentiel de létalité que le patient attribue au plan suicidaire, sans qu’il y ait vraiment de corrélation avec le risque médical réel (par exemple, le patient peut être convaincu que 5 g de Tylenol va le tuer, on a donc un risque suicidaire psychologique élevé, mais médical faible).
Différenciez: Risque suicidaire médical VS psychologique
- question à poser au patient lors de l’évaluation
- Lorsqu’on évalue un patient, il est important de lui demander quelles étaient ses intentions lors de poser la tentative.
- Risque suicidaire médical : Relié à la létalité du moyen (par exemple, utiliser une arme à feu vs des contraceptifs oraux)
- Risque suicidaire psychologique : Réfère au potentiel de létalité que le patient attribue au plan suicidaire., sans qu’il y ait vraiment de corrélation avec le risque médical réel (par exemple, le patient peut être convaincu que 5 g de Tylenol va le tuer, on a donc un risque suicidaire psychologique élevé, mais médical faible).
Facteurs de risque et de protection du suicide
- Diagnostic psychiatrique
- Facteur biologique (ATCD fam, génétique)
- Facteur psychologique (personnalité)
- Facteur social (situation économique et culturelle)
Facteurs de risque et de protection du suicide
- nommez-les
- Diagnostic psychiatrique
- Facteur biologique (ATCD fam, génétique)
- Facteur psychologique (personnalité)
- Facteur social (situation économique et culturelle)
Facteurs de risque et de protection du suicide - Diagnostic psychiatrique
- Facteurs prédisposants
- Historique de dépression
- Schizophrénie
- Utilisation de substances
- FDR prédictifs
- Vulnérabilité
- Trouble affectif
- Trouble de la personnalité
- Trouble panique
- Facteurs précipitants
- Tentative de suicide
- Dépression
- Psychose
- Facteurs protecteurs
- Traitements
- Médication
- Mobilisation du milieu
Facteurs de risque et de protection du suicide - Diagnostic psychiatrique
- Facteurs prédisposants
-
Facteurs prédisposants
- Historique de dépression
- Schizophrénie
- Utilisation de substances
- FDR prédictifs
- Vulnérabilité
- Trouble affectif
- Trouble de la personnalité
- Trouble panique
- Facteurs précipitants
- Tentative de suicide
- Dépression
- Psychose
- Facteurs protecteurs
- Traitements
- Médication
- Mobilisation du milieu
Facteurs de risque et de protection du suicide - Diagnostic psychiatrique
- FDR prédictifs
- Facteurs prédisposants
- Historique de dépression
- Schizophrénie
- Utilisation de substances
-
FDR prédictifs
- Vulnérabilité
- Trouble affectif
- Trouble de la personnalité
- Trouble panique
- Facteurs précipitants
- Tentative de suicide
- Dépression
- Psychose
- Facteurs protecteurs
- Traitements
- Médication
- Mobilisation du milieu
Facteurs de risque et de protection du suicide - Diagnostic psychiatrique
- Facteurs précipitants
- Facteurs prédisposants
- Historique de dépression
- Schizophrénie
- Utilisation de substances
- FDR prédictifs
- Vulnérabilité
- Trouble affectif
- Trouble de la personnalité
- Trouble panique
-
Facteurs précipitants
- Tentative de suicide
- Dépression
- Psychose
- Facteurs protecteurs
- Traitements
- Médication
- Mobilisation du milieu
Facteurs de risque et de protection du suicide - Diagnostic psychiatrique
- Facteurs protecteurs
- Facteurs prédisposants
- Historique de dépression
- Schizophrénie
- Utilisation de substances
- FDR prédictifs
- Vulnérabilité
- Trouble affectif
- Trouble de la personnalité
- Trouble panique
- Facteurs précipitants
- Tentative de suicide
- Dépression
- Psychose
-
Facteurs protecteurs
- Traitements
- Médication
- Mobilisation du milieu
Facteurs de risque et de protection du suicide - Facteurs biologiques
- Facteurs prédisposants
- Âge
- Sexe
- Race
- Histoire familiale de suicide
- FDR prédictifs
- Utilisation de drogues et d’alcool
- Mauvais état de santé
- Facteurs précipitants
- 5-HIAA bas
- Utilisation de drogues et d’alcool
- Maladie physique
- Douleur
- Facteurs protecteurs
- Bonne santé physique
Facteurs de risque et de protection du suicide - Facteurs biologiques
- Facteurs prédisposants
-
Facteurs prédisposants
- Âge
- Sexe
- Race
- Histoire familiale de suicide
- FDR prédictifs
- Utilisation de drogues et d’alcool
- Mauvais état de santé
- Facteurs précipitants
- 5-HIAA bas
- Utilisation de drogues et d’alcool
- Maladie physique
- Douleur
- Facteurs protecteurs
- Bonne santé physique
Facteurs de risque et de protection du suicide - Facteurs biologiques
- FDR prédictifs
- Facteurs prédisposants
- Âge
- Sexe
- Race
- Histoire familiale de suicide
-
FDR prédictifs
- Utilisation de drogues et d’alcool
- Mauvais état de santé
- Facteurs précipitants
- 5-HIAA bas
- Utilisation de drogues et d’alcool
- Maladie physique
- Douleur
- Facteurs protecteurs
- Bonne santé physique
Facteurs de risque et de protection du suicide - Facteurs biologiques
- Faceturs précipitants
- Facteurs prédisposants
- Âge
- Sexe
- Race
- Histoire familiale de suicide
- FDR prédictifs
- Utilisation de drogues et d’alcool
- Mauvais état de santé
-
Facteurs précipitants
- 5-HIAA bas
- Utilisation de drogues et d’alcool
- Maladie physique
- Douleur
- Facteurs protecteurs
- Bonne santé physique
Facteurs de risque et de protection du suicide - Facteurs biologiques
- Facteurs protecteurs
- Facteurs prédisposants
- Âge
- Sexe
- Race
- Histoire familiale de suicide
- FDR prédictifs
- Utilisation de drogues et d’alcool
- Mauvais état de santé
- Facteurs précipitants
- 5-HIAA bas
- Utilisation de drogues et d’alcool
- Maladie physique
- Douleur
-
Facteurs protecteurs
- Bonne santé physique
Facteurs de risque et de protection du suicide - Facteur psychologique
- Facteurs prédisposants
- Perception négative de soi
- Délire d’indignité
- Perte de confiance en soi et aux autres
- FDR prédictifs
- Impulsivité
- Rigidité cognitive
- Colère
- Idées suicidaires
- Facteurs précipitants
- Perte d’espoir
- Vision de la mort comme porte de sortie
- Vengeance
- Facteurs protecteurs
- Espoir
- Souplesse cognitive
- Habileté d’adaptation
Facteurs de risque et de protection du suicide - Facteur psychologique
- facteurs prédisposants
-
Facteurs prédisposants
- Perception négative de soi
- Délire d’indignité
- Perte de confiance en soi et aux autres
- FDR prédictifs
- Impulsivité
- Rigidité cognitive
- Colère
- Idées suicidaires
- Facteurs précipitants
- Perte d’espoir
- Vision de la mort comme porte de sortie
- Vengeance
- Facteurs protecteurs
- Espoir
- Souplesse cognitive
- Habileté d’adaptation
Facteurs de risque et de protection du suicide - Facteur psychologique
- FDR prédictifs
- Facteurs prédisposants
- Perception négative de soi
- Délire d’indignité
- Perte de confiance en soi et aux autres
-
FDR prédictifs
- Impulsivité
- Rigidité cognitive
- Colère
- Idées suicidaires
- Facteurs précipitants
- Perte d’espoir
- Vision de la mort comme porte de sortie
- Vengeance
- Facteurs protecteurs
- Espoir
- Souplesse cognitive
- Habileté d’adaptation
Facteurs de risque et de protection du suicide - Facteur psychologique
- Facteurs précipitants
- Facteurs prédisposants
- Perception négative de soi
- Délire d’indignité
- Perte de confiance en soi et aux autres
- FDR prédictifs
- Impulsivité
- Rigidité cognitive
- Colère
- Idées suicidaires
-
Facteurs précipitants
- Perte d’espoir
- Vision de la mort comme porte de sortie
- Vengeance
- Facteurs protecteurs
- Espoir
- Souplesse cognitive
- Habileté d’adaptation
Facteurs de risque et de protection du suicide - Facteur psychologique
- Facteurs protecteurs
- Facteurs prédisposants
- Perception négative de soi
- Délire d’indignité
- Perte de confiance en soi et aux autres
- FDR prédictifs
- Impulsivité
- Rigidité cognitive
- Colère
- Idées suicidaires
- Facteurs précipitants
- Perte d’espoir
- Vision de la mort comme porte de sortie
- Vengeance
-
Facteurs protecteurs
- Espoir
- Souplesse cognitive
- Habileté d’adaptation
Facteurs de risque et de protection du suicide - Facteur social
- Facteurs prédisposants
- Violence sociale
- Parents abusifs
- Maltraitance
- FDR prédictifs
- Isolement
- Difficultés conjugales
- Difficultés au travail
- Anomie
- Facteurs précipitants
- Accès à une méthode létale
- Stress
- Perte d’objet
- Retraite
- Facteurs protecteurs
- Hospitalisation
- Soutien social
- Mariage
- Enfant
- Croyances religieuses
Facteurs de risque et de protection du suicide - Facteur social
- Facteurs prédisposants
-
Facteurs prédisposants
- Violence sociale
- Parents abusifs
- Maltraitance
- FDR prédictifs
- Isolement
- Difficultés conjugales
- Difficultés au travail
- Anomie
- Facteurs précipitants
- Accès à une méthode létale
- Stress
- Perte d’objet
- Retraite
- Facteurs protecteurs
- Hospitalisation
- Soutien social
- Mariage
- Enfant
- Croyances religieuses
Facteurs de risque et de protection du suicide - Facteur social
- FDR prédictifs
- Facteurs prédisposants
- Violence sociale
- Parents abusifs
- Maltraitance
-
FDR prédictifs
- Isolement
- Difficultés conjugales
- Difficultés au travail
- Anomie
- Facteurs précipitants
- Accès à une méthode létale
- Stress
- Perte d’objet
- Retraite
- Facteurs protecteurs
- Hospitalisation
- Soutien social
- Mariage
- Enfant
- Croyances religieuses
Facteurs de risque et de protection du suicide - Facteur social
- Facteurs précipitants
- Facteurs prédisposants
- Violence sociale
- Parents abusifs
- Maltraitance
- FDR prédictifs
- Isolement
- Difficultés conjugales
- Difficultés au travail
- Anomie
-
Facteurs précipitants
- Accès à une méthode létale
- Stress
- Perte d’objet
- Retraite
- Facteurs protecteurs
- Hospitalisation
- Soutien social
- Mariage
- Enfant
- Croyances religieuses
Facteurs de risque et de protection du suicide - Facteur social
- Facteurs protecteurs
- Facteurs prédisposants
- Violence sociale
- Parents abusifs
- Maltraitance
- FDR prédictifs
- Isolement
- Difficultés conjugales
- Difficultés au travail
- Anomie
- Facteurs précipitants
- Accès à une méthode létale
- Stress
- Perte d’objet
- Retraite
-
Facteurs protecteurs
- Hospitalisation
- Soutien social
- Mariage
- Enfant
- Croyances religieuses
Suicide: Facteurs protecteurs
- Rajoutons aux moyens de protection les éléments suivants :
- Accès facilité aux services de santé mentale et physique
- Accès facilité aux services de toxicomanie, accès limité aux moyens létaux (médicaments, armes à feux)
- Habiletés dans la gestion de problème et la résolution des conflits sans violence
- Liens familiaux et communautaires rapprochés
- Engament social (peu importe la nature)
- Croyances religieuses/culturelles qui découragent le suicide.
Facteurs de risque du suicide: Types de facteurs
- Facteurs biologiques
- Facteurs psychologiques
- Facteurs sociologiques
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques
- nommez-les
- Sexe
- Âge
- Maladie physique
- Moyen
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - Sexe
- Risque suicidaire important
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important: Trois fois plus de suicides chez les hommes
- Appel à l’aide: Trois fois plus de tentatives de suicide chez les femmes
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - Sexe
- Risque suicidaire important (H vs F)
- Risque suicidaire important: Trois fois plus de suicides chez les hommes
- Appel à l’aide: Trois fois plus de tentatives de suicide chez les femmes
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - Sexe
- Appel à l’aide (H vs F)
- Risque suicidaire important: Trois fois plus de suicides chez les hommes
- Appel à l’aide: Trois fois plus de tentatives de suicide chez les femmes
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - ÂGE
- Risque suicidaire important
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Les 45 à 54 ans et les hommes de 75 ans et plus
- Les jeunes de 15 à 35 ans (2ecause de mort) - Appel à l’aide: —–
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - ÂGE
- Risque suicidaire important
-
Risque suicidaire important:
- Les 45 à 54 ans et les hommes de 75 ans et plus
- Les jeunes de 15 à 35 ans (2ecause de mort) - Appel à l’aide: —–
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - ÂGE
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Les 45 à 54 ans et les hommes de 75 ans et plus
- Les jeunes de 15 à 35 ans (2ecause de mort) - Appel à l’aide: —–
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - MALADIE PHYSIQUE
- Risque suicidaire important
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Chronique avec douleur
- Maladie débilitante
- Cancer récemment diagnostiqué
- Insomnie - Appel à l’aide: ——
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - MALADIE PHYSIQUE
- Risque suicidaire important
-
Risque suicidaire important:
- Chronique avec douleur
- Maladie débilitante
- Cancer récemment diagnostiqué
- Insomnie - Appel à l’aide: ——
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - MALADIE PHYSIQUE
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Chronique avec douleur
- Maladie débilitante
- Cancer récemment diagnostiqué
- Insomnie - Appel à l’aide: ——
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - MOYEN
- Risque suicidaire important
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Rapide et efficace
- Risque létal élevé : arme à feu, pendaison, substance toxique (monoxyde de carbone) - Appel à l’aide:
- Lent et peu efficace
- Risque létal minime : substances non toxiques, coupures superficielles
- Fait connaître sa détresse
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - MOYEN
- Risque suicidaire important
-
Risque suicidaire important:
- Rapide et efficace
- Risque létal élevé : arme à feu, pendaison, substance toxique (monoxyde de carbone) - Appel à l’aide:
- Lent et peu efficace
- Risque létal minime : substances non toxiques, coupures superficielles
- Fait connaître sa détresse
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - MOYEN
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Rapide et efficace
- Risque létal élevé : arme à feu, pendaison, substance toxique (monoxyde de carbone) -
Appel à l’aide:
- Lent et peu efficace
- Risque létal minime : substances non toxiques, coupures superficielles
- Fait connaître sa détresse
Facteurs de risque du suicide: Facteurs psychologiques
- nommez les éléments
- Histoire psychiatrique
- État mental
- Signes
- Rôle
- But, fin envisagée
- Dyade
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - HISTOIRE PSYCHIATRIQUE
- Risque suicidaire important
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Tentative suicidaire antérieure, automutilation répétée
- Idée suicidaire persistante et appels à l’aide non entendus
- Histoire d’abus physiques et psychologiques
- Séparation, perte précoce de personnes significatives
- Sentiment d’injustice depuis le jeune âge - Appel à l’aide:
- Risque de nouvelles tentatives ou de suicide réussi par erreur de scénario anticipé
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - HISTOIRE PSYCHIATRIQUE
- Risque suicidaire important
-
Risque suicidaire important:
- Tentative suicidaire antérieure, automutilation répétée
- Idée suicidaire persistante et appels à l’aide non entendus
- Histoire d’abus physiques et psychologiques
- Séparation, perte précoce de personnes significatives
- Sentiment d’injustice depuis le jeune âge - Appel à l’aide:
- Risque de nouvelles tentatives ou de suicide réussi par erreur de scénario anticipé
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - HISTOIRE PSYCHIATRIQUE
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Tentative suicidaire antérieure, automutilation répétée
- Idée suicidaire persistante et appels à l’aide non entendus
- Histoire d’abus physiques et psychologiques
- Séparation, perte précoce de personnes significatives
- Sentiment d’injustice depuis le jeune âge -
Appel à l’aide:
- Risque de nouvelles tentatives ou de suicide réussi par erreur de scénario anticipé
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - ÉTAT MENTAL
- Risque suicidaire important
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Mutique, inquiet, dépressif, désespéré, agité, irritable, angoissé, intoxiqué
- Idées suicidaires et planification de moyens - Appel à l’aide:
- Vif, expressif
- Assuré, contrôlant, parfois arrogant
- Dépendant
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - ÉTAT MENTAL
- Risque suicidaire important
-
Risque suicidaire important:
- Mutique, inquiet, dépressif, désespéré, agité, irritable, angoissé, intoxiqué
- Idées suicidaires et planification de moyens - Appel à l’aide:
- Vif, expressif
- Assuré, contrôlant, parfois arrogant
- Dépendant
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - ÉTAT MENTAL
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Mutique, inquiet, dépressif, désespéré, agité, irritable, angoissé, intoxiqué
- Idées suicidaires et planification de moyens -
Appel à l’aide:
- Vif, expressif
- Assuré, contrôlant, parfois arrogant
- Dépendant
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - SIGNES
- Risque suicidaire important
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Se défaire de ses biens, régler ses comptes
- Se retire, s’isole
- Soudainement serein (après une période dépressive) - Appel à l’aide:
- Attirer l’attention, besoin de spectateur
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - SIGNES
- Risque suicidaire important
-
Risque suicidaire important:
- Se défaire de ses biens, régler ses comptes
- Se retire, s’isole
- Soudainement serein (après une période dépressive) - Appel à l’aide:
- Attirer l’attention, besoin de spectateur
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - SIGNES
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Se défaire de ses biens, régler ses comptes
- Se retire, s’isole
- Soudainement serein (après une période dépressive) -
Appel à l’aide:
- Attirer l’attention, besoin de spectateur
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - RÔLES
- Risque suicidaire important
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Victime de lui-même, a « peur de lui-même » - Appel à l’aide:
- Agresseur de lui-même, se « prend en otage » et demande à son interlocuteur d’être son garde du corps
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - RÔLE
- Risque suicidaire important
-
Risque suicidaire important:
- Victime de lui-même, a « peur de lui-même » - Appel à l’aide:
- Agresseur de lui-même, se « prend en otage » et demande à son interlocuteur d’être son garde du corps
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - RÔLE
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Victime de lui-même, a « peur de lui-même » -
Appel à l’aide:
- Agresseur de lui-même, se « prend en otage » et demande à son interlocuteur d’être son garde du corps
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - BUT, FIN ENVISAGÉ
- Risque suicidaire important
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Solution à un problème chronique et personnel
- Inéluctable : la mort est la solution recherchée à des problèmes perçus comme insurmontables, à un sentiment d’indignité - Appel à l’aide:
- Appel à l’aide, en réaction à une situation interpersonnelle désagréable, récente et concrète
- La mort est conditionnelle : le geste vise à changer quelqu’un ou un aspect de son entourage
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - BUT, FIN ENVISAGÉ
- Risque suicidaire important
-
Risque suicidaire important:
- Solution à un problème chronique et personnel
- Inéluctable : la mort est la solution recherchée à des problèmes perçus comme insurmontables, à un sentiment d’indignité - Appel à l’aide:
- Appel à l’aide, en réaction à une situation interpersonnelle désagréable, récente et concrète
- La mort est conditionnelle : le geste vise à changer quelqu’un ou un aspect de son entourage
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - BUT, FIN ENVISAGÉ
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Solution à un problème chronique et personnel
- Inéluctable : la mort est la solution recherchée à des problèmes perçus comme insurmontables, à un sentiment d’indignité -
Appel à l’aide:
- Appel à l’aide, en réaction à une situation interpersonnelle désagréable, récente et concrète
- La mort est conditionnelle : le geste vise à changer quelqu’un ou un aspect de son entourage
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - DYADE
- Risque suicidaire important
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Perception négative de soi internalisée
- Perte de confiance en soi et aux autres
- N’établit pas de relation avec l’entourage ni avec le médecin - Appel à l’aide:
- Une personne de la vie courante est visée
- Relations conflictuelles
- Satisfait de la crainte inspirée par ses menaces
- Ouvert plus rapidement aux offres d’aide
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - DYADE
- Risque suicidaire important
-
Risque suicidaire important:
- Perception négative de soi internalisée
- Perte de confiance en soi et aux autres
- N’établit pas de relation avec l’entourage ni avec le médecin - Appel à l’aide:
- Une personne de la vie courante est visée
- Relations conflictuelles
- Satisfait de la crainte inspirée par ses menaces
- Ouvert plus rapidement aux offres d’aide
Facteurs de risque du suicide: Facteurs biologiques - DYADE
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Perception négative de soi internalisée
- Perte de confiance en soi et aux autres
- N’établit pas de relation avec l’entourage ni avec le médecin -
Appel à l’aide:
- Une personne de la vie courante est visée
- Relations conflictuelles
- Satisfait de la crainte inspirée par ses menaces
- Ouvert plus rapidement aux offres d’aide
Facteurs de risque du suicide: Facteurs - nommez les éléments
- Ressources
- Facteurs précipitants
- Situation socioéconomique
- Historique familial
- Facteurs sociaux
- Facteurs géographiques
Facteurs de risque du suicide: Facteurs sociologiques - RESSOURCES
- Risque suicidaire important
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Réseau social pauvre - Appel à l’aide:
- Réseau social dysfonctionnel
Facteurs de risque du suicide: Facteurs sociologiques - RESSOURCES
- Risque suicidaire important
-
Risque suicidaire important:
- Réseau social pauvre - Appel à l’aide:
- Réseau social dysfonctionnel
Facteurs de risque du suicide: Facteurs sociologiques - RESSOURCES
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Réseau social pauvre -
Appel à l’aide:
- Réseau social dysfonctionnel
Facteurs de risque du suicide: Facteurs sociologiques - FACTEURS PRÉCIPITANTS
- Risque suicidaire important
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Séparation récente
- Décès d’un conjoint
- Isolement
- Problèmes récents avec la justice - Appel à l’aide:
- Rejet
- Blessure narcissique
Facteurs de risque du suicide: Facteurs sociologiques - FACTEURS PRÉCIPITANTS
- Risque suicidaire important
-
Risque suicidaire important:
- Séparation récente
- Décès d’un conjoint
- Isolement
- Problèmes récents avec la justice - Appel à l’aide:
- Rejet
- Blessure narcissique
Facteurs de risque du suicide: Facteurs sociologiques - FACTEURS PRÉCIPITANTS
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Séparation récente
- Décès d’un conjoint
- Isolement
- Problèmes récents avec la justice -
Appel à l’aide:
- Rejet
- Blessure narcissique
Facteurs de risque du suicide: Facteurs sociologiques - SITUATION SOCIOÉCONOMIQUE
- Risque suicidaire important
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Perte d’emploi, chômage
- Pauvreté - Appel à l’aide:
- Perte d’identité par désœuvrement
Facteurs de risque du suicide: Facteurs sociologiques - SITUATION SOCIOÉCONOMIQUE
- Risque suicidaire important
-
Risque suicidaire important:
- Perte d’emploi, chômage
- Pauvreté - Appel à l’aide:
- Perte d’identité par désœuvrement
Facteurs de risque du suicide: Facteurs sociologiques - SITUATION SOCIOÉCONOMIQUE
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Perte d’emploi, chômage
- Pauvreté -
Appel à l’aide:
- Perte d’identité par désœuvrement
Facteurs de risque du suicide: Facteurs sociologiques - HISTORIQUE FAMILIAL
- Risque suicidaire important
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Suicide d’un proche - Appel à l’aide: ø
Facteurs de risque du suicide: Facteurs sociologiques - HISTORIQUE FAMILIAL
- Risque suicidaire important
-
Risque suicidaire important:
- Suicide d’un proche - Appel à l’aide: ø
Facteurs de risque du suicide: Facteurs sociologiques - FACTEURS SOCIAUX
- Risque suicidaire important
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Six à onze fois plus de suicides chez les autochtones et les homosexuels - Appel à l’aide: ø
Facteurs de risque du suicide: Facteurs sociologiques - FACTEURS SOCIAUX
- Risque suicidaire important
-
Risque suicidaire important:
- Six à onze fois plus de suicides chez les autochtones et les homosexuels - Appel à l’aide: ø
Facteurs de risque du suicide: Facteurs sociologiques - FACTEURS GÉOGRAPHIQUES
- Risque suicidaire important
- Appel à l’aide
- Risque suicidaire important:
- Plus de suicides dans les régions rurales qu’urbaines
- Région avec histoire de suicide récent - Appel à l’aide: ø
Facteurs de risque du suicide: Facteurs sociologiques - FACTEURS GÉOGRAPHIQUES
- Risque suicidaire important
-
Risque suicidaire important:
- Plus de suicides dans les régions rurales qu’urbaines
- Région avec histoire de suicide récent - Appel à l’aide: ø
Suicide: Intention de létalité
Il s’agit du degré de conviction que le patient a en l’efficacité létale du moyen qu’il compte utiliser.
Suicide: Intention de létalité
- définir
Il s’agit du degré de conviction que le patient a en l’efficacité létale du moyen qu’il compte utiliser.
Facteurs de risque de passage à l’acte
- Faible
- Moyen
- Élevé
Facteurs de risque de passage à l’acte
- Faible
- Désire parler / recherche la communication
- Recherche des solutions à ses problèmes
- Pense au suicide sans scénario
- Souffre psychologiquement sans trouble psychiatrique majeur
- Établi un lien de confiance avec le clinicien
- Entourage fiable qui offre du soutien
Facteurs de risque de passage à l’acte
- Moyen
- Équilibre émotionnel fragile
- Envisage le suicide avec une intention claire
- Envisage le scénario suicidaire mais dont l’exécution est reportée
- Ne voit ø d’autres recours pour ne plus souffrir
- A besoin d’aide et exprime directement / indirectement son désarroi
Facteurs de risque de passage à l’acte
- Élevé
- Est décidée (planification claire et prévue)
- Coupée de ses émotions ou rationalisation de la décision ou très émotive, agitée, troublée
- Sentiment d’immobilisation par la dépression ou grande agitation fébrile
- Éprouve une douleur et souffrance envahissantes ou complètement tues
- Accès direct et immédiat au moyen de se suicider.
- Sentiment de tout avoir essayé
- Très isolé
Suicide: Critères d’hospitalisation
Indications d’hospitalisation
- Automutilation répétée (mais l’hospitalisation peut être contre-indiquée dans le contexte d’un trouble de la personnalité limite)
- Geste suicidaire à faible létalité chez un patient atteint de maladie mentale aiguë
- Tentative de suicide récente, haut potentiel de létalité
- Idées suicidaires persistantes
- Présence d’un plan
- Désespoir, horizon bouché
- Hallucinations impérieuses
- Délire de culpabilité ou de mort imminente
- Douleur chronique
Interventions en fonction de l’imminence du risque de suicide
Interventions en fonction de l’imminence du risque de suicide
- Risque imminent ou élevé: définition
Risque imminent ou élevé (48 h ou moins)
Interventions en fonction de l’imminence du risque de suicide
- Risque imminent ou élevé (48 h ou moins)
- Assurer la sécurité par une surveillance étroite.
- Proposer une hospitalisation volontaire si le patient accepte.
- Considérer l’hospitalisation involontaire dans le cas d’un refus (garde préventive et garde en établissement).
- Considérer une surveillance constante (un à un) jusqu’à ce que le plan d’intervention soit organisé ou complet.
Interventions en fonction de l’imminence du risque de suicide
- Risque à court terme (jours ou semaines): définition
Risque à court terme (jours ou semaines)
Interventions en fonction de l’imminence du risque de suicide
- Risque à court terme (jours ou semaines)
- Évaluer la présence de comorbidité médicale ou psychiatrique, tout particulièrement la dépression, l’anxiété et l’utilisation de substances :
- si une affection médicale est identifiée, référer pour traitement ;
- si dépression ou anxiété, entreprendre le traitement avec médication à indice thérapeutique élevé ;
- si abus de substances, référer au programme spécifique en toxicomanie.
- Mobiliser le réseau de soutien (incluant conjoint, famille proche, famille étendue, etc.).
- Restreindre l’accès à des armes à feu ou à tout autre moyen létal.
Interventions en fonction de l’imminence du risque de suicide
- Risque à long terme faible (semaines ou mois): définition
Risque à long terme faible (semaines ou mois)
Interventions en fonction de l’imminence du risque de suicide
- Risque à long terme faible (semaines ou mois)
- Évaluer la présence de comorbidité médicale ou psychiatrique, tout particulièrement la dépression, l’anxiété et l’utilisation de substances.
- Identifier le stress psychologique contributif.
- Mobiliser le réseau de soutien (incluant conjoint, famille proche, famille étendue, etc.)
Peut-on hospitalisater qqn contre son gré?
Oui, pour 72 h → garde préventive (voir guides précédents pour plus d’infos!)
Suicide: Intervention de crise et gestion de cas
- Le risque suicidaire exige une intervention urgente qui tient compte des facteurs de risques et de protection propres à chaque patient.
- Les mesures d’intervention portent sur plusieurs aspects :
- Traitement spécifique de la maladie psychiatrique
- Restriction des moyens envisagés pour le suicide (prescrire des médicaments une semaine à la fois, retirer l’accès à l’arme à feu, etc.).
- La mise en place d’un filet de sécurité, habituellement avec la collaboration des proches (surveillance)
- Identification des services d’urgence et des centres de crise à consulter au besoin.
Suicide: Intervention de crise et gestion de cas
- tenir compte de quoi?
- Le risque suicidaire exige une intervention urgente qui tient compte des facteurs de risques et de protection propres à chaque patient.
- Les mesures d’intervention portent sur plusieurs aspects :
- Traitement spécifique de la maladie psychiatrique
- Restriction des moyens envisagés pour le suicide (prescrire des médicaments une semaine à la fois, retirer l’accès à l’arme à feu, etc.).
- La mise en place d’un filet de sécurité, habituellement avec la collaboration des proches (surveillance)
- Identification des services d’urgence et des centres de crise à consulter au besoin.
Suicide: Intervention de crise et gestion de cas
- aspects sur lesquels portent les mesures d’intervention
- Le risque suicidaire exige une intervention urgente qui tient compte des facteurs de risques et de protection propres à chaque patient.
-
Les mesures d’intervention portent sur plusieurs aspects :
- Traitement spécifique de la maladie psychiatrique
- Restriction des moyens envisagés pour le suicide (prescrire des médicaments une semaine à la fois, retirer l’accès à l’arme à feu, etc.).
- La mise en place d’un filet de sécurité, habituellement avec la collaboration des proches (surveillance)
- Identification des services d’urgence et des centres de crise à consulter au besoin.
Suicide: Intervention de crise et gestion de cas
- psychothérapie
- Des psychothérapies spécifiques, telle la TCC de type dialectique élaborée par Masha Linehan, est particulièrement efficace en cas de trouble de la personnalité limite, mais aussi avec des adolescents présentant des traits limites émergents, des TC, de l’impulsivité et des composantes dépressives et toxicomanies associées.
Suicide: Intervention de crise et gestion de cas
- psychothérapie: utilités
- Des psychothérapies spécifiques, telle la TCC de type dialectique élaborée par Masha Linehan, est particulièrement efficace en cas de trouble de la personnalité limite, mais aussi avec des adolescents présentant des traits limites émergents, des TC, de l’impulsivité et des composantes dépressives et toxicomanies associées.
Suicide: Intervention de crise et gestion de cas
- psychothérapie: types
- Des psychothérapies spécifiques, telle la TCC de type dialectique élaborée par Masha Linehan, est particulièrement efficace en cas de trouble de la personnalité limite, mais aussi avec des adolescents présentant des traits limites émergents, des TC, de l’impulsivité et des composantes dépressives et toxicomanies associées.
Modalités d’intervention de la thérapie comportementale dialectique
Suicide: Types de présentation clinique
Il est important de distinguer deux types de patients selon le contexte de consultation :
- Le patient avec idées suicidaires : n’implique pas nécessairement une action, un passage à l’acte
- Le patient suicidaire : n’implique pas qu’il va nécessairement se suicider.
Suicide: Types de présentation clinique
- définir: patient avec idées suicidaires
Il est important de distinguer deux types de patients selon le contexte de consultation :
- Le patient avec idées suicidaires : n’implique pas nécessairement une action, un passage à l’acte
- Le patient suicidaire : n’implique pas qu’il va nécessairement se suicider.
Suicide: Types de présentation clinique
- définir: patient suicidaire
Il est important de distinguer deux types de patients selon le contexte de consultation :
- Le patient avec idées suicidaires : n’implique pas nécessairement une action, un passage à l’acte
- Le patient suicidaire : n’implique pas qu’il va nécessairement se suicider.
Suicide: Aborder le sujet avec le patient ou non?
- Aborder le sujet : contrairement aux idées populaires, aborder directement le suicide ne provoque pas le patient à passer à l’acte.
- Au contraire, le patient se sent soulagé de pouvoir en parler et d’exprimer sa souffrance à quelqu’un d’empathique.
- Omettre cette investigation peut avoir des répercussions médicolégales graves.
Suicide: Aborder le sujet avec le patient ou non?
- incite le patient à passer à l’acte?
- Aborder le sujet : contrairement aux idées populaires, aborder directement le suicide ne provoque pas le patient à passer à l’acte.
- Au contraire, le patient se sent soulagé de pouvoir en parler et d’exprimer sa souffrance à quelqu’un d’empathique.
- Omettre cette investigation peut avoir des répercussions médicolégales graves.
Suicide: Aborder le sujet avec le patient ou non?
- impacts d’aborder le sujet
- Aborder le sujet : contrairement aux idées populaires, aborder directement le suicide ne provoque pas le patient à passer à l’acte.
- Au contraire, le patient se sent soulagé de pouvoir en parler et d’exprimer sa souffrance à quelqu’un d’empathique.
- Omettre cette investigation peut avoir des répercussions médicolégales graves.
Suicide: Aborder le sujet avec le patient ou non?
- impacts de NE PAS aborder le sujet
- Aborder le sujet : contrairement aux idées populaires, aborder directement le suicide ne provoque pas le patient à passer à l’acte.
- Au contraire, le patient se sent soulagé de pouvoir en parler et d’exprimer sa souffrance à quelqu’un d’empathique.
- Omettre cette investigation peut avoir des répercussions médicolégales graves.
Évaluation du patient suicidaire: Éléments cliniques à considérer
- nommez-les
Le médecin doit également considérer les éléments cliniques suivant :
- Scénario suicidaire (isolé ou souhaite accéder à de l’aide)
- Létalité médicale du moyen envisagé par rapport à l’intention (léthalité psychologique). Témoigne du degré de conviction du patient.
- Gradation de l’intention en fonction de la progression suivante (moins grave → plus grave):
- D’identifier et d’amplifier les instincts de survie. Question directement ce qui retient le patient, avec empathie.
- Détecter les instincts de mort (ex : fantaisie de réunion avec le conjoint défunt).
- Évaluer le tonus psychologique, l’énergie pour poser le geste.
- Demander au patient de décrire les évènements de la journée, en passant du réveil pour arriver au moment où l’idée de mort est arrivée ou l’idée de suicide. Permet de recréer le contexte de l’idée ou du geste.
- Globalement, les patients collaborent à l’entretien. Il n’y a rien de magique, il faut savoir écouter avec empathie, s’enquérir de ses préoccupations récentes et actuelles ce qui soulage le patient.
Évaluation du patient suicidaire: Éléments cliniques à considérer
- scénario suicidaire
Scénario suicidaire (isolé ou souhaite accéder à de l’aide)
Évaluation du patient suicidaire: Éléments cliniques à considérer
- moyen envisagé
- Létalité médicale du moyen envisagé par rapport à l’intention (léthalité psychologique).
- Témoigne du degré de conviction du patient.
Évaluation du patient suicidaire: Éléments cliniques à considérer
- gradation de l’intention
Gradation de l’intention en fonction de la progression suivante (moins grave → plus grave):
- Affrontement de dangers potentiellement mortels
- Prise de risque, le fait de laisser le hasard décider (ex : traverser une rue sans regarder)
- Idée de mort passive
- Idées fugaces, velléités de la mort
- Idées récurrentes, envahissantes
- Idées suicidaires accompagnées de l’élaboration d’un plan
- Hallucinations impérieuses, délire de persécution, délire d’indignité
- Suicide altruiste (amener les proches avec soi dans la mort pour les sortir de la misère), pacte de suicide.
Évaluation du patient suicidaire: Éléments cliniques à considérer
- instincts de survie vs de mort
- D’identifier et d’amplifier les instincts de survie. Question directement ce qui retient le patient, avec empathie.
- Détecter les instincts de mort (ex : fantaisie de réunion avec le conjoint défunt)
Évaluation du patient suicidaire: Éléments cliniques à considérer
- tonus psychologique
- Évaluer le tonus psychologique, l’énergie pour poser le geste.
Évaluation du patient suicidaire: Éléments cliniques à considérer
- recréer le contexte de l’idée / du geste
Demander au patient de décrire les évènements de la journée, en passant du réveil pour arriver au moment où l’idée de mort est arrivée ou l’idée de suicide. Permet de recréer le contexte de l’idée ou du geste.
- Permet de comprendre l’affect du patient au moment de l’idée ou du geste
- Permet de mettre en lumière les enjeux personnels et relationnels qui répondent aux questions du pourquoi maintenant, comment, quand, où?
- Permet de soulager le patient qui peut raconter son tourment en toute confiance
Évaluation du patient suicidaire: Éléments cliniques à considérer
- collaboration
- Globalement, les patients collaborent à l’entretien.
- Il n’y a rien de magique, il faut savoir écouter avec empathie, s’enquérir de ses préoccupations récentes et actuelles ce qui soulage le patient.
Évaluation du patient suicidaire: Objectifs principaux
Après avoir abordé le sujet, identifier les desseins suicidaires (alloplastique vs autoplastique), deux objectifs principaux sont visés
- Évaluation de l’état mental et du potentiel de dangerosité que le patient présente pour lui-même et les autres membres de sa famille (estimation du risque suicidaire).
- Analyser la situation de crise afin de la clarifier aux yeux même du patient et de l’aider à trouver d’autres options à ses difficultés.
Évaluation du patient suicidaire: Objectifs principaux
- état mental
Après avoir abordé le sujet, identifier les desseins suicidaires (alloplastique vs autoplastique), deux objectifs principaux sont visés
- Évaluation de l’état mental et du potentiel de dangerosité que le patient présente pour lui-même et les autres membres de sa famille (estimation du risque suicidaire).
- Analyser la situation de crise afin de la clarifier aux yeux même du patient et de l’aider à trouver d’autres options à ses difficultés.
Évaluation du patient suicidaire: Objectifs principaux
- situation de crise
Après avoir abordé le sujet, identifier les desseins suicidaires (alloplastique vs autoplastique), deux objectifs principaux sont visés
- Évaluation de l’état mental et du potentiel de dangerosité que le patient présente pour lui-même et les autres membres de sa famille (estimation du risque suicidaire).
- Analyser la situation de crise afin de la clarifier aux yeux même du patient et de l’aider à trouver d’autres options à ses difficultés.
Dilemme suicidaire
De manière générale, il faut nuancer les mots gestes suicidaires, d’intention suicidaire et de dépression. Un geste n’implique pas nécessairement une intention et n’est pas nécessairement synonyme de dépression.
- C’est lorsqu’il y a une interaction entre ces 3 facteurs que le risque suicidaire augmente. Parmi tous les suicidés, les personnes souffrant de dépression majeure sont en minorité.
- Par contre, la majorité des patients avec idées suicidaires présentent une variété de psychopathologies incluant la psychose, un trouble d’adaptation, un trouble de la personnalité ou un abus de substance.
- L’idée suicidaire implique habituellement un désir de changement :
- Autoplastie
- Alloplastique
- Un patient peut se déplacer dans le temps entre ces deux modes de desseins.
Dilemme suicidaire: s’applique comment?
De manière générale, il faut nuancer les mots gestes suicidaires, d’intention suicidaire et de dépression. Un geste n’implique pas nécessairement une intention et n’est pas nécessairement synonyme de dépression.
- C’est lorsqu’il y a une interaction entre ces 3 facteurs que le risque suicidaire augmente. Parmi tous les suicidés, les personnes souffrant de dépression majeure sont en minorité.
- Par contre, la majorité des patients avec idées suicidaires présentent une variété de psychopathologies incluant la psychose, un trouble d’adaptation, un trouble de la personnalité ou un abus de substance.
- L’idée suicidaire implique habituellement un désir de changement :
- Autoplastie
- Alloplastique
- Un patient peut se déplacer dans le temps entre ces deux modes de desseins.
Dilemme suicidaire: facteurs
De manière générale, il faut nuancer les mots gestes suicidaires, d’intention suicidaire et de dépression. Un geste n’implique pas nécessairement une intention et n’est pas nécessairement synonyme de dépression.
- C’est lorsqu’il y a une interaction entre ces 3 facteurs que le risque suicidaire augmente. Parmi tous les suicidés, les personnes souffrant de dépression majeure sont en minorité.
- Par contre, la majorité des patients avec idées suicidaires présentent une variété de psychopathologies incluant la psychose, un trouble d’adaptation, un trouble de la personnalité ou un abus de substance.
- L’idée suicidaire implique habituellement un désir de changement :
- Autoplastie
- Alloplastique
- Un patient peut se déplacer dans le temps entre ces deux modes de desseins.
Dilemme suicidaire: pertinence des FDR suicidaires
De manière générale, il faut nuancer les mots gestes suicidaires, d’intention suicidaire et de dépression. Un geste n’implique pas nécessairement une intention et n’est pas nécessairement synonyme de dépression.
- C’est lorsqu’il y a une interaction entre ces 3 facteurs que le risque suicidaire augmente. Parmi tous les suicidés, les personnes souffrant de dépression majeure sont en minorité.
- Par contre, la majorité des patients avec idées suicidaires présentent une variété de psychopathologies incluant la psychose, un trouble d’adaptation, un trouble de la personnalité ou un abus de substance.
- L’idée suicidaire implique habituellement un désir de changement :
- Autoplastie
- Alloplastique
- Un patient peut se déplacer dans le temps entre ces deux modes de desseins.
Dilemme suicidaire: Fréquence de la dépression majeure chez les suicidés
De manière générale, il faut nuancer les mots gestes suicidaires, d’intention suicidaire et de dépression. Un geste n’implique pas nécessairement une intention et n’est pas nécessairement synonyme de dépression.
- C’est lorsqu’il y a une interaction entre ces 3 facteurs que le risque suicidaire augmente.
- Parmi tous les suicidés, les personnes souffrant de dépression majeure sont en minorité.
- Par contre, la majorité des patients avec idées suicidaires présentent une variété de psychopathologies incluant la psychose, un trouble d’adaptation, un trouble de la personnalité ou un abus de substance.
- L’idée suicidaire implique habituellement un désir de changement :
- Autoplastie
- Alloplastique
- Un patient peut se déplacer dans le temps entre ces deux modes de desseins.
Dilemme suicidaire: Fréquence des pathos psy chez les patients suicidaires
De manière générale, il faut nuancer les mots gestes suicidaires, d’intention suicidaire et de dépression. Un geste n’implique pas nécessairement une intention et n’est pas nécessairement synonyme de dépression.
- C’est lorsqu’il y a une interaction entre ces 3 facteurs que le risque suicidaire augmente.
- Parmi tous les suicidés, les personnes souffrant de dépression majeure sont en minorité.
- Par contre, la majorité des patients avec idées suicidaires présentent une variété de psychopathologies incluant la psychose, un trouble d’adaptation, un trouble de la personnalité ou un abus de substance.
- L’idée suicidaire implique habituellement un désir de changement :
- Autoplastie
- Alloplastique
- Un patient peut se déplacer dans le temps entre ces deux modes de desseins.
Dilemme suicidaire: Idée suicidaire implique habituellement le désir de quoi?
De manière générale, il faut nuancer les mots gestes suicidaires, d’intention suicidaire et de dépression. Un geste n’implique pas nécessairement une intention et n’est pas nécessairement synonyme de dépression.
- C’est lorsqu’il y a une interaction entre ces 3 facteurs que le risque suicidaire augmente. Parmi tous les suicidés, les personnes souffrant de dépression majeure sont en minorité.
- Par contre, la majorité des patients avec idées suicidaires présentent une variété de psychopathologies incluant la psychose, un trouble d’adaptation, un trouble de la personnalité ou un abus de substance.
-
L’idée suicidaire implique habituellement un désir de changement :
- Autoplastie
- Alloplastique
- Un patient peut se déplacer dans le temps entre ces deux modes de desseins.
Dilemme suicidaire: Types de désir de changements
De manière générale, il faut nuancer les mots gestes suicidaires, d’intention suicidaire et de dépression. Un geste n’implique pas nécessairement une intention et n’est pas nécessairement synonyme de dépression.
- C’est lorsqu’il y a une interaction entre ces 3 facteurs que le risque suicidaire augmente. Parmi tous les suicidés, les personnes souffrant de dépression majeure sont en minorité.
- Par contre, la majorité des patients avec idées suicidaires présentent une variété de psychopathologies incluant la psychose, un trouble d’adaptation, un trouble de la personnalité ou un abus de substance.
-
L’idée suicidaire implique habituellement un désir de changement :
- Autoplastie
- Alloplastique
- Un patient peut se déplacer dans le temps entre ces deux modes de desseins.
Dilemme suicidaire: Autoplastie vs alloplastie
L’idée suicidaire implique habituellement un désir de changement :
- Autoplastie : lorsqu’une modification (la mort) est visée. La recherche autoplastique se centre sur le désir du patient et le sens qu’il donne à une situation. L’idée suicidaire est donc un moyen pour le patient de communiquer que quelque chose doit changer, que la situation est intolérable et qu’il pense à disparaître pour laisse place à un nouvel équilibre.
- Alloplastique : lorsqu’une modification du milieu environnant est souhaitée. Les idéations à dessein alloplastique cherchent plus clairement à envoyer un message à une personne de l’entourage.
- Un patient peut se déplacer dans le temps entre ces deux modes de desseins.
Dilemme suicidaire: Définir ce qu’est l’autoplastie
L’idée suicidaire implique habituellement un désir de changement :
- Autoplastie : lorsqu’une modification (la mort) est visée.
- La recherche autoplastique se centre sur le désir du patient et le sens qu’il donne à une situation.
- L’idée suicidaire est donc un moyen pour le patient de communiquer que quelque chose doit changer, que la situation est intolérable et qu’il pense à disparaître pour laisse place à un nouvel équilibre.
- Alloplastique : lorsqu’une modification du milieu environnant est souhaitée. Les idéations à dessein alloplastique cherchent plus clairement à envoyer un message à une personne de l’entourage.
- Un patient peut se déplacer dans le temps entre ces deux modes de desseins.
Dilemme suicidaire:
- Autoplastie: c’est quoi?
L’idée suicidaire implique habituellement un désir de changement :
-
Autoplastie : lorsqu’une modification (la mort) est visée.
- La recherche autoplastique se centre sur le désir du patient et le sens qu’il donne à une situation.
- L’idée suicidaire est donc un moyen pour le patient de communiquer que quelque chose doit changer, que la situation est intolérable et qu’il pense à disparaître pour laisse place à un nouvel équilibre.
- Alloplastique : lorsqu’une modification du milieu environnant est souhaitée. Les idéations à dessein alloplastique cherchent plus clairement à envoyer un message à une personne de l’entourage.
- Un patient peut se déplacer dans le temps entre ces deux modes de desseins.
Dilemme suicidaire:
- Alloplastie: définition
L’idée suicidaire implique habituellement un désir de changement :
- Autoplastie : lorsqu’une modification (la mort) est visée. La recherche autoplastique se centre sur le désir du patient et le sens qu’il donne à une situation. L’idée suicidaire est donc un moyen pour le patient de communiquer que quelque chose doit changer, que la situation est intolérable et qu’il pense à disparaître pour laisse place à un nouvel équilibre.
-
Alloplastique : lorsqu’une modification du milieu environnant est souhaitée.
- Les idéations à dessein alloplastique cherchent plus clairement à envoyer un message à une personne de l’entourage. - Un patient peut se déplacer dans le temps entre ces deux modes de desseins.
Dilemme suicidaire:
- Alloplastie: sur quoi se centre-t-elle?
L’idée suicidaire implique habituellement un désir de changement :
- Autoplastie : lorsqu’une modification (la mort) est visée. La recherche autoplastique se centre sur le désir du patient et le sens qu’il donne à une situation. L’idée suicidaire est donc un moyen pour le patient de communiquer que quelque chose doit changer, que la situation est intolérable et qu’il pense à disparaître pour laisse place à un nouvel équilibre.
- Alloplastique : lorsqu’une modification du milieu environnant est souhaitée.
- Les idéations à dessein alloplastique cherchent plus clairement à envoyer un message à une personne de l’entourage.
- Un patient peut se déplacer dans le temps entre ces deux modes de desseins.
Dilemme suicidaire:
- Autoplastie: sur quoi se centre-t-elle?
L’idée suicidaire implique habituellement un désir de changement :
- Autoplastie : lorsqu’une modification (la mort) est visée.
- La recherche autoplastique se centre sur le désir du patient et le sens qu’il donne à une situation.
- L’idée suicidaire est donc un moyen pour le patient de communiquer que quelque chose doit changer, que la situation est intolérable et qu’il pense à disparaître pour laisse place à un nouvel équilibre.
- Alloplastique : lorsqu’une modification du milieu environnant est souhaitée. Les idéations à dessein alloplastique cherchent plus clairement à envoyer un message à une personne de l’entourage.
- Un patient peut se déplacer dans le temps entre ces deux modes de desseins.
Dilemme suicidaire:
- Autoplastie: l’idée suicidaire signifie donc quoi pour le patient?
L’idée suicidaire implique habituellement un désir de changement :
- Autoplastie : lorsqu’une modification (la mort) est visée.
- La recherche autoplastique se centre sur le désir du patient et le sens qu’il donne à une situation.
- L’idée suicidaire est donc un moyen pour le patient de communiquer que quelque chose doit changer, que la situation est intolérable et qu’il pense à disparaître pour laisse place à un nouvel équilibre.
- Alloplastique : lorsqu’une modification du milieu environnant est souhaitée. Les idéations à dessein alloplastique cherchent plus clairement à envoyer un message à une personne de l’entourage.
- Un patient peut se déplacer dans le temps entre ces deux modes de desseins.
Dilemme suicidaire:
- Alloplastie
L’idée suicidaire implique habituellement un désir de changement :
- Autoplastie : lorsqu’une modification (la mort) est visée. La recherche autoplastique se centre sur le désir du patient et le sens qu’il donne à une situation. L’idée suicidaire est donc un moyen pour le patient de communiquer que quelque chose doit changer, que la situation est intolérable et qu’il pense à disparaître pour laisse place à un nouvel équilibre.
-
Alloplastique : lorsqu’une modification du milieu environnant est souhaitée.
- Les idéations à dessein alloplastique cherchent plus clairement à envoyer un message à une personne de l’entourage. - Un patient peut se déplacer dans le temps entre ces deux modes de desseins.
Acquérir les connaissances pharmacologiques de base en relation avec les thymorégulateurs et les antidépresseurs. (Cf modules d’auto-apprentissage)
En plus, nommer le nom générique et commercial utilisés au Canada ainsi que les doses usuelles et le mécanisme d’action pour la Vanlafaxine, le Citalopram, le Bupropion, le Lithium et l’Acide valproique et la lamotrigine
Procéder à l’application de la démarche clinique dans deux cas de trouble de l’humeur présenté sur vignette
- Voir la vignette de la semaine
- Bon! Il ne reste que les modules d’auto-apprentissage ! Félicitations, vous avez passé au travers d’un très gros thème!
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Critères distinctifs
- Tr dépressif caractérisé: Ø de manies / hypomanies, juste des « downs »
- MAB type 1 et 2:
- TB T1 : manies TB
- T2 : hypomanies + dépressions
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Critères distinctifs: TDC
- Tr dépressif caractérisé: Ø de manies / hypomanies, juste des « downs »
- MAB type 1 et 2:
- TB T1 : manies TB
- T2 : hypomanies + dépressions
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Critères distinctifs: MAB
- Tr dépressif caractérisé: Ø de manies / hypomanies, juste des « downs »
-
MAB type 1 et 2:
- TB T1 : manies TB
- T2 : hypomanies + dépressions
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Spécificateurs
- Tr dépressif caractérisé: voir plus loin
- MAB type 1 et 2: voir plus loin
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Épidémio
- Tr dépressif caractérisé:
- Dépression majeure : 4.1-4.8% / an, 15 % à vie
- 1.5 – 3 F : 1 H
- Médiane 27 ans pour le 1er épisode 40 % ont 1 épisode avant 21 ans.
- MAB type 1 et 2:
- TB T1 : 1 (0.2 – 2) %
- TB T2 : 1.1 %
- TB formes atténuées : 2.4 %
- Prévalence totale (toute forme) : 4.5 %
- 1 H : 1 F
- ½ des cas < 25 ans pic d’incidence → ado / jeune adulte
- Top 10 des maladies amenant une atteinte fonctionnelle.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Épidémio: Tr dépressif caractérisé
-
Tr dépressif caractérisé:
- Dépression majeure : 4.1-4.8% / an, 15 % à vie
- 1.5 – 3 F : 1 H
- Médiane 27 ans pour le 1er épisode 40 % ont 1 épisode avant 21 ans.
- MAB type 1 et 2:
- TB T1 : 1 (0.2 – 2) %
- TB T2 : 1.1 %
- TB formes atténuées : 2.4 %
- Prévalence totale (toute forme) : 4.5 %
- 1 H : 1 F
- ½ des cas < 25 ans pic d’incidence → ado / jeune adulte
- Top 10 des maladies amenant une atteinte fonctionnelle.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Épidémio: Tr dépressif caractérisé - incidence
- Tr dépressif caractérisé:
- Dépression majeure : 4.1-4.8% / an, 15 % à vie
- 1.5 – 3 F : 1 H
- Médiane 27 ans pour le 1er épisode 40 % ont 1 épisode avant 21 ans.
- MAB type 1 et 2:
- TB T1 : 1 (0.2 – 2) %
- TB T2 : 1.1 %
- TB formes atténuées : 2.4 %
- Prévalence totale (toute forme) : 4.5 %
- 1 H : 1 F
- ½ des cas < 25 ans pic d’incidence → ado / jeune adulte
- Top 10 des maladies amenant une atteinte fonctionnelle.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Épidémio: Tr dépressif caractérisé - H vs F
- Tr dépressif caractérisé:
- Dépression majeure : 4.1-4.8% / an, 15 % à vie
- 1.5 – 3 F : 1 H
- Médiane 27 ans pour le 1er épisode 40 % ont 1 épisode avant 21 ans.
- MAB type 1 et 2:
- TB T1 : 1 (0.2 – 2) %
- TB T2 : 1.1 %
- TB formes atténuées : 2.4 %
- Prévalence totale (toute forme) : 4.5 %
- 1 H : 1 F
- ½ des cas < 25 ans pic d’incidence → ado / jeune adulte
- Top 10 des maladies amenant une atteinte fonctionnelle.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Épidémio: Tr dépressif caractérisé - Âge
- Tr dépressif caractérisé:
- Dépression majeure : 4.1-4.8% / an, 15 % à vie
- 1.5 – 3 F : 1 H
- Médiane 27 ans pour le 1er épisode 40 % ont 1 épisode avant 21 ans.
- MAB type 1 et 2:
- TB T1 : 1 (0.2 – 2) %
- TB T2 : 1.1 %
- TB formes atténuées : 2.4 %
- Prévalence totale (toute forme) : 4.5 %
- 1 H : 1 F
- ½ des cas < 25 ans pic d’incidence → ado / jeune adulte
- Top 10 des maladies amenant une atteinte fonctionnelle.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Épidémio: MAB
- Tr dépressif caractérisé:
- Dépression majeure : 4.1-4.8% / an, 15 % à vie
- 1.5 – 3 F : 1 H
- Médiane 27 ans pour le 1er épisode 40 % ont 1 épisode avant 21 ans.
-
MAB type 1 et 2:
- TB T1 : 1 (0.2 – 2) %
- TB T2 : 1.1 %
- TB formes atténuées : 2.4 %
- Prévalence totale (toute forme) : 4.5 %
- 1 H : 1 F
- ½ des cas < 25 ans pic d’incidence → ado / jeune adulte
- Top 10 des maladies amenant une atteinte fonctionnelle.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Épidémio: MAB - prévalence
- Tr dépressif caractérisé:
- Dépression majeure : 4.1-4.8% / an, 15 % à vie
- 1.5 – 3 F : 1 H
- Médiane 27 ans pour le 1er épisode 40 % ont 1 épisode avant 21 ans.
- MAB type 1 et 2:
- TB T1 : 1 (0.2 – 2) %
- TB T2 : 1.1 %
- TB formes atténuées : 2.4 %
- Prévalence totale (toute forme) : 4.5 %
- 1 H : 1 F
- ½ des cas < 25 ans pic d’incidence → ado / jeune adulte
- Top 10 des maladies amenant une atteinte fonctionnelle.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Épidémio: prévalence MAB type 1
- Tr dépressif caractérisé:
- Dépression majeure : 4.1-4.8% / an, 15 % à vie
- 1.5 – 3 F : 1 H
- Médiane 27 ans pour le 1er épisode 40 % ont 1 épisode avant 21 ans.
- MAB type 1 et 2:
- TB T1 : 1 (0.2 – 2) %
- TB T2 : 1.1 %
- TB formes atténuées : 2.4 %
- Prévalence totale (toute forme) : 4.5 %
- 1 H : 1 F
- ½ des cas < 25 ans pic d’incidence → ado / jeune adulte
- Top 10 des maladies amenant une atteinte fonctionnelle.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Épidémio: prévalence MAB type 2
- Tr dépressif caractérisé:
- Dépression majeure : 4.1-4.8% / an, 15 % à vie
- 1.5 – 3 F : 1 H
- Médiane 27 ans pour le 1er épisode 40 % ont 1 épisode avant 21 ans.
- MAB type 1 et 2:
- TB T1 : 1 (0.2 – 2) %
- TB T2 : 1.1 %
- TB formes atténuées : 2.4 %
- Prévalence totale (toute forme) : 4.5 %
- 1 H : 1 F
- ½ des cas < 25 ans pic d’incidence → ado / jeune adulte
- Top 10 des maladies amenant une atteinte fonctionnelle.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Épidémio: prévalence MAB formes atténuées
- Tr dépressif caractérisé:
- Dépression majeure : 4.1-4.8% / an, 15 % à vie
- 1.5 – 3 F : 1 H
- Médiane 27 ans pour le 1er épisode 40 % ont 1 épisode avant 21 ans.
- MAB type 1 et 2:
- TB T1 : 1 (0.2 – 2) %
- TB T2 : 1.1 %
- TB formes atténuées : 2.4 %
- Prévalence totale (toute forme) : 4.5 %
- 1 H : 1 F
- ½ des cas < 25 ans pic d’incidence → ado / jeune adulte
- Top 10 des maladies amenant une atteinte fonctionnelle.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Épidémio: prévalence MAB - toutes formes
- Tr dépressif caractérisé:
- Dépression majeure : 4.1-4.8% / an, 15 % à vie
- 1.5 – 3 F : 1 H
- Médiane 27 ans pour le 1er épisode 40 % ont 1 épisode avant 21 ans.
- MAB type 1 et 2:
- TB T1 : 1 (0.2 – 2) %
- TB T2 : 1.1 %
- TB formes atténuées : 2.4 %
- Prévalence totale (toute forme) : 4.5 %
- 1 H : 1 F
- ½ des cas < 25 ans pic d’incidence → ado / jeune adulte
- Top 10 des maladies amenant une atteinte fonctionnelle.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Épidémio: MAB - H vs F
- Tr dépressif caractérisé:
- Dépression majeure : 4.1-4.8% / an, 15 % à vie
- 1.5 – 3 F : 1 H
- Médiane 27 ans pour le 1er épisode 40 % ont 1 épisode avant 21 ans.
- MAB type 1 et 2:
- TB T1 : 1 (0.2 – 2) %
- TB T2 : 1.1 %
- TB formes atténuées : 2.4 %
- Prévalence totale (toute forme) : 4.5 %
- 1 H : 1 F
- ½ des cas < 25 ans pic d’incidence → ado / jeune adulte
- Top 10 des maladies amenant une atteinte fonctionnelle.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Épidémio: MAB - âge d’apparition
- Tr dépressif caractérisé:
- Dépression majeure : 4.1-4.8% / an, 15 % à vie
- 1.5 – 3 F : 1 H
- Médiane 27 ans pour le 1er épisode 40 % ont 1 épisode avant 21 ans.
- MAB type 1 et 2:
- TB T1 : 1 (0.2 – 2) %
- TB T2 : 1.1 %
- TB formes atténuées : 2.4 %
- Prévalence totale (toute forme) : 4.5 %
- 1 H : 1 F
- ½ des cas < 25 ans pic d’incidence → ado / jeune adulte
- Top 10 des maladies amenant une atteinte fonctionnelle.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Épidémio: MAB - impacts
- Tr dépressif caractérisé:
- Dépression majeure : 4.1-4.8% / an, 15 % à vie
- 1.5 – 3 F : 1 H
- Médiane 27 ans pour le 1er épisode 40 % ont 1 épisode avant 21 ans.
- MAB type 1 et 2:
- TB T1 : 1 (0.2 – 2) %
- TB T2 : 1.1 %
- TB formes atténuées : 2.4 %
- Prévalence totale (toute forme) : 4.5 %
- 1 H : 1 F
- ½ des cas < 25 ans pic d’incidence → ado / jeune adulte
- Top 10 des maladies amenant une atteinte fonctionnelle.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- DDX
- Tr dépressif caractérisé:
- Maladies organiques (anémie, hypothyroïdie, endocrinopathies, maladies inflammatoires)
- Parkinson / Alzheimer / démence
- Trouble de l’adaptation et deuil
- Abus de substances
- Troubles anxieux et de la personnalité
- MAB:
- Troubles psychotiques
- Trouble dépressif majeur
- TP, particulièrement TPL
- TDA/H
- Maladie organique
- Abus de substances (dx le plus comorbide, ROH > cannabis >stimulants > cocaïne
- Trouble anxieux (60 % comorbidité)
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- DDX: tr dépressif caractérisé
-
Tr dépressif caractérisé:
- Maladies organiques (anémie, hypothyroïdie, endocrinopathies, maladies inflammatoires)
- Parkinson / Alzheimer / démence
- Trouble de l’adaptation et deuil
- Abus de substances
- Troubles anxieux et de la personnalité
- MAB:
- Troubles psychotiques
- Trouble dépressif majeur
- TP, particulièrement TPL
- TDA/H
- Maladie organique
- Abus de substances (dx le plus comorbide, ROH > cannabis >stimulants > cocaïne
- Trouble anxieux (60 % comorbidité)
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- DDX: MAB
- Tr dépressif caractérisé:
- Maladies organiques (anémie, hypothyroïdie, endocrinopathies, maladies inflammatoires)
- Parkinson / Alzheimer / démence
- Trouble de l’adaptation et deuil
- Abus de substances
- Troubles anxieux et de la personnalité
-
MAB:
- Troubles psychotiques
- Trouble dépressif majeur
- TP, particulièrement TPL
- TDA/H
- Maladie organique
- Abus de substances (dx le plus comorbide, ROH > cannabis > stimulants > cocaïne
- Trouble anxieux (60 % comorbidité)
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Cours et pronostic
- Tr dépressif caractérisé:
- 12 % chronique sans rémission
- Épisodes de 6 – 8 mois en moyenne
- Récidive souvent :
- 50% après 1 épisode
- 70 % après 2
- 90 % 3 et plus
- (En moyenne aux 5 ans)
- Décès 1.7 X + élevé → suicide + CV
- MAB:
- 25 % rémission complète
- 75 % de rechutes même avec traitement
- 20 % sx chroniques, surtout négatifs
- 2/3 limitations fonctionnelles
- Décès 2.3 X + élevé → suicide + CV
- 50 % évolution favorable
- En TB T1, autant de chance que le 1er épisode soit maniaque ou dépressif, mais hommes plus maniaque et femmes plus dépressif
- Un premier épisode dépressif est associé à : un début précoce, une fréquence plus élevée d’épisode dépressif, un risque suicidaire accru, une fréquence de cycle rapide accrue.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Cours et pronostic: Tr dépressif caractérisé
-
Tr dépressif caractérisé:
- 12 % chronique sans rémission
- Épisodes de 6 – 8 mois en moyenne
-
Récidive souvent :
- 50% après 1 épisode
- 70 % après 2
- 90 % 3 et plus
- (En moyenne aux 5 ans)
- Décès 1.7 X + élevé → suicide + CV
- MAB:
- 25 % rémission complète
- 75 % de rechutes même avec traitement
- 20 % sx chroniques, surtout négatifs
- 2/3 limitations fonctionnelles
- Décès 2.3 X + élevé → suicide + CV
- 50 % évolution favorable
- En TB T1, autant de chance que le 1er épisode soit maniaque ou dépressif, mais hommes plus maniaque et femmes plus dépressif
- Un premier épisode dépressif est associé à : un début précoce, une fréquence plus élevée d’épisode dépressif, un risque suicidaire accru, une fréquence de cycle rapide accrue.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Cours et pronostic: Tr dépressif caractérisé - chronocisation?
- Tr dépressif caractérisé:
- 12 % chronique sans rémission
- Épisodes de 6 – 8 mois en moyenne
- Récidive souvent :
- 50% après 1 épisode
- 70 % après 2
- 90 % 3 et plus
- (En moyenne aux 5 ans)
- Décès 1.7 X + élevé → suicide + CV
- MAB:
- 25 % rémission complète
- 75 % de rechutes même avec traitement
- 20 % sx chroniques, surtout négatifs
- 2/3 limitations fonctionnelles
- Décès 2.3 X + élevé → suicide + CV
- 50 % évolution favorable
- En TB T1, autant de chance que le 1er épisode soit maniaque ou dépressif, mais hommes plus maniaque et femmes plus dépressif
- Un premier épisode dépressif est associé à : un début précoce, une fréquence plus élevée d’épisode dépressif, un risque suicidaire accru, une fréquence de cycle rapide accrue.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Cours et pronostic: Tr dépressif caractérisé - durée des épisodes
- Tr dépressif caractérisé:
- 12 % chronique sans rémission
- Épisodes de 6 – 8 mois en moyenne
- Récidive souvent :
- 50% après 1 épisode
- 70 % après 2
- 90 % 3 et plus
- (En moyenne aux 5 ans)
- Décès 1.7 X + élevé → suicide + CV
- MAB:
- 25 % rémission complète
- 75 % de rechutes même avec traitement
- 20 % sx chroniques, surtout négatifs
- 2/3 limitations fonctionnelles
- Décès 2.3 X + élevé → suicide + CV
- 50 % évolution favorable
- En TB T1, autant de chance que le 1er épisode soit maniaque ou dépressif, mais hommes plus maniaque et femmes plus dépressif
- Un premier épisode dépressif est associé à : un début précoce, une fréquence plus élevée d’épisode dépressif, un risque suicidaire accru, une fréquence de cycle rapide accrue.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Cours et pronostic: Tr dépressif caractérisé - récidives
- Tr dépressif caractérisé:
- 12 % chronique sans rémission
- Épisodes de 6 – 8 mois en moyenne
-
Récidive souvent :
- 50% après 1 épisode
- 70 % après 2
- 90 % 3 et plus
- (En moyenne aux 5 ans)
- Décès 1.7 X + élevé → suicide + CV
- MAB:
- 25 % rémission complète
- 75 % de rechutes même avec traitement
- 20 % sx chroniques, surtout négatifs
- 2/3 limitations fonctionnelles
- Décès 2.3 X + élevé → suicide + CV
- 50 % évolution favorable
- En TB T1, autant de chance que le 1er épisode soit maniaque ou dépressif, mais hommes plus maniaque et femmes plus dépressif
- Un premier épisode dépressif est associé à : un début précoce, une fréquence plus élevée d’épisode dépressif, un risque suicidaire accru, une fréquence de cycle rapide accrue.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Cours et pronostic: Tr dépressif caractérisé - décès
- Tr dépressif caractérisé:
- 12 % chronique sans rémission
- Épisodes de 6 – 8 mois en moyenne
- Récidive souvent :
- 50% après 1 épisode
- 70 % après 2
- 90 % 3 et plus
- (En moyenne aux 5 ans)
- Décès 1.7 X + élevé → suicide + CV
- MAB:
- 25 % rémission complète
- 75 % de rechutes même avec traitement
- 20 % sx chroniques, surtout négatifs
- 2/3 limitations fonctionnelles
- Décès 2.3 X + élevé → suicide + CV
- 50 % évolution favorable
- En TB T1, autant de chance que le 1er épisode soit maniaque ou dépressif, mais hommes plus maniaque et femmes plus dépressif
- Un premier épisode dépressif est associé à : un début précoce, une fréquence plus élevée d’épisode dépressif, un risque suicidaire accru, une fréquence de cycle rapide accrue.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Cours et pronostic: MAB
- Tr dépressif caractérisé:
- 12 % chronique sans rémission
- Épisodes de 6 – 8 mois en moyenne
- Récidive souvent :
- 50% après 1 épisode
- 70 % après 2
- 90 % 3 et plus
- (En moyenne aux 5 ans)
- Décès 1.7 X + élevé → suicide + CV
-
MAB:
- 25 % rémission complète
- 75 % de rechutes même avec traitement
- 20 % sx chroniques, surtout négatifs
- 2/3 limitations fonctionnelles
- Décès 2.3 X + élevé → suicide + CV
- 50 % évolution favorable
- En TB T1, autant de chance que le 1er épisode soit maniaque ou dépressif, mais hommes plus maniaque et femmes plus dépressif
- Un premier épisode dépressif est associé à : un début précoce, une fréquence plus élevée d’épisode dépressif, un risque suicidaire accru, une fréquence de cycle rapide accrue.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Cours et pronostic: MAB - fréquence rémission vs fréquence rechute
- Tr dépressif caractérisé:
- 12 % chronique sans rémission
- Épisodes de 6 – 8 mois en moyenne
- Récidive souvent :
- 50% après 1 épisode
- 70 % après 2
- 90 % 3 et plus
- (En moyenne aux 5 ans)
- Décès 1.7 X + élevé → suicide + CV
- MAB:
- 25 % rémission complète
- 75 % de rechutes même avec traitement
- 20 % sx chroniques, surtout négatifs
- 2/3 limitations fonctionnelles
- Décès 2.3 X + élevé → suicide + CV
- 50 % évolution favorable
- En TB T1, autant de chance que le 1er épisode soit maniaque ou dépressif, mais hommes plus maniaque et femmes plus dépressif
- Un premier épisode dépressif est associé à : un début précoce, une fréquence plus élevée d’épisode dépressif, un risque suicidaire accru, une fréquence de cycle rapide accrue.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Cours et pronostic: MAB - fréquences sx chroniques
- Tr dépressif caractérisé:
- 12 % chronique sans rémission
- Épisodes de 6 – 8 mois en moyenne
- Récidive souvent :
- 50% après 1 épisode
- 70 % après 2
- 90 % 3 et plus
- (En moyenne aux 5 ans)
- Décès 1.7 X + élevé → suicide + CV
- MAB:
- 25 % rémission complète
- 75 % de rechutes même avec traitement
- 20 % sx chroniques, surtout négatifs
- 2/3 limitations fonctionnelles
- Décès 2.3 X + élevé → suicide + CV
- 50 % évolution favorable
- En TB T1, autant de chance que le 1er épisode soit maniaque ou dépressif, mais hommes plus maniaque et femmes plus dépressif
- Un premier épisode dépressif est associé à : un début précoce, une fréquence plus élevée d’épisode dépressif, un risque suicidaire accru, une fréquence de cycle rapide accrue.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Cours et pronostic: MAB - fréquences limitations fonctionnelles
- Tr dépressif caractérisé:
- 12 % chronique sans rémission
- Épisodes de 6 – 8 mois en moyenne
- Récidive souvent :
- 50% après 1 épisode
- 70 % après 2
- 90 % 3 et plus
- (En moyenne aux 5 ans)
- Décès 1.7 X + élevé → suicide + CV
- MAB:
- 25 % rémission complète
- 75 % de rechutes même avec traitement
- 20 % sx chroniques, surtout négatifs
- 2/3 limitations fonctionnelles
- Décès 2.3 X + élevé → suicide + CV
- 50 % évolution favorable
- En TB T1, autant de chance que le 1er épisode soit maniaque ou dépressif, mais hommes plus maniaque et femmes plus dépressif
- Un premier épisode dépressif est associé à : un début précoce, une fréquence plus élevée d’épisode dépressif, un risque suicidaire accru, une fréquence de cycle rapide accrue.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Cours et pronostic: MAB - fréquence décès
- Tr dépressif caractérisé:
- 12 % chronique sans rémission
- Épisodes de 6 – 8 mois en moyenne
- Récidive souvent :
- 50% après 1 épisode
- 70 % après 2
- 90 % 3 et plus
- (En moyenne aux 5 ans)
- Décès 1.7 X + élevé → suicide + CV
- MAB:
- 25 % rémission complète
- 75 % de rechutes même avec traitement
- 20 % sx chroniques, surtout négatifs
- 2/3 limitations fonctionnelles
- Décès 2.3 X + élevé → suicide + CV
- 50 % évolution favorable
- En TB T1, autant de chance que le 1er épisode soit maniaque ou dépressif, mais hommes plus maniaque et femmes plus dépressif
- Un premier épisode dépressif est associé à : un début précoce, une fréquence plus élevée d’épisode dépressif, un risque suicidaire accru, une fréquence de cycle rapide accrue.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Cours et pronostic: MAB - fréquence évolution favorable
- Tr dépressif caractérisé:
- 12 % chronique sans rémission
- Épisodes de 6 – 8 mois en moyenne
- Récidive souvent :
- 50% après 1 épisode
- 70 % après 2
- 90 % 3 et plus
- (En moyenne aux 5 ans)
- Décès 1.7 X + élevé → suicide + CV
- MAB:
- 25 % rémission complète
- 75 % de rechutes même avec traitement
- 20 % sx chroniques, surtout négatifs
- 2/3 limitations fonctionnelles
- Décès 2.3 X + élevé → suicide + CV
- 50 % évolution favorable
- En TB T1, autant de chance que le 1er épisode soit maniaque ou dépressif, mais hommes plus maniaque et femmes plus dépressif
- Un premier épisode dépressif est associé à : un début précoce, une fréquence plus élevée d’épisode dépressif, un risque suicidaire accru, une fréquence de cycle rapide accrue.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Cours et pronostic: MAB - en type 1
- Tr dépressif caractérisé:
- 12 % chronique sans rémission
- Épisodes de 6 – 8 mois en moyenne
- Récidive souvent :
- 50% après 1 épisode
- 70 % après 2
- 90 % 3 et plus
- (En moyenne aux 5 ans)
- Décès 1.7 X + élevé → suicide + CV
- MAB:
- 25 % rémission complète
- 75 % de rechutes même avec traitement
- 20 % sx chroniques, surtout négatifs
- 2/3 limitations fonctionnelles
- Décès 2.3 X + élevé → suicide + CV
- 50 % évolution favorable
- En TB T1, autant de chance que le 1er épisode soit maniaque ou dépressif, mais hommes plus maniaque et femmes plus dépressif
- Un premier épisode dépressif est associé à : un début précoce, une fréquence plus élevée d’épisode dépressif, un risque suicidaire accru, une fréquence de cycle rapide accrue.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Cours et pronostic: MAB - type 1: H vs F
- Tr dépressif caractérisé:
- 12 % chronique sans rémission
- Épisodes de 6 – 8 mois en moyenne
- Récidive souvent :
- 50% après 1 épisode
- 70 % après 2
- 90 % 3 et plus
- (En moyenne aux 5 ans)
- Décès 1.7 X + élevé → suicide + CV
- MAB:
- 25 % rémission complète
- 75 % de rechutes même avec traitement
- 20 % sx chroniques, surtout négatifs
- 2/3 limitations fonctionnelles
- Décès 2.3 X + élevé → suicide + CV
- 50 % évolution favorable
- En TB T1, autant de chance que le 1er épisode soit maniaque ou dépressif, mais hommes plus maniaque et femmes plus dépressif
- Un premier épisode dépressif est associé à : un début précoce, une fréquence plus élevée d’épisode dépressif, un risque suicidaire accru, une fréquence de cycle rapide accrue.
Tr dépressif caractérisé vs MAB I et II
- Cours et pronostic: MAB - un 1er épisode dépressif est associé à quoi?
- Tr dépressif caractérisé:
- 12 % chronique sans rémission
- Épisodes de 6 – 8 mois en moyenne
- Récidive souvent :
- 50% après 1 épisode
- 70 % après 2
- 90 % 3 et plus
- (En moyenne aux 5 ans)
- Décès 1.7 X + élevé → suicide + CV
- MAB:
- 25 % rémission complète
- 75 % de rechutes même avec traitement
- 20 % sx chroniques, surtout négatifs
- 2/3 limitations fonctionnelles
- Décès 2.3 X + élevé → suicide + CV
- 50 % évolution favorable
- En TB T1, autant de chance que le 1er épisode soit maniaque ou dépressif, mais hommes plus maniaque et femmes plus dépressif
- Un premier épisode dépressif est associé à : un début précoce, une fréquence plus élevée d’épisode dépressif, un risque suicidaire accru, une fréquence de cycle rapide accrue.
Spécificateurs du trouble dépressif caractérisé: Nommez-les
Spécificateurs du trouble dépressif caractérisé:
- Avec détresse anxieuse
- Avec caractéristiques mixtes
- Avec caractéristiques mélancoliques
- Avec caractéristiques atypiques
- Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
- Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
- Avec catatonie
- Avec début lors du péripartum
- Avec caractère saisonnier
Spécificateurs du MAB Type 1: Nommez-les
Spécificateurs du TB Type 1 :
- Avec détresse anxieuse
- Avec caractéristiques mixtes
- Avec caractéristiques mélancoliques
- Avec caractéristiques atypiques
- Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
- Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
- Avec catatonie
- Avec début lors du péripartum
- Avec caractère saisonnier
- Avec cycles rapides
- Spécifier l’évolution (rémission partielle / complète)
- Spécifier la sévérité des symptômes si les critères complets d’un épisode thymique ne sont pas réunis (léger / moyen / grave)
Spécificateurs du MAB Type 2: Nommez-les
Spécificateurs du TB Type 2
- Spécifier l’épisode (hypomaniaque vs dépressif)
- Avec détresse anxieuse
- Avec caractéristiques mixtes
- Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
- Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
- Avec catatonie
- Avec début lors du péripartum
- Avec caractère saisonnier (seulement pour l’épisode dépressif caractérisé)
- Avec cycles rapides
- Spécifier l’évolution (rémission partielle / complète)
- Spécifier la sévérité des symptômes si les critères complets d’un épisode thymique ne sont pas réunis (léger / moyen / grave)
Spécificateurs du tr dépressif persistant: Nommez-les
Spécificateurs du trouble dépressif persistant :
- Avec détresse anxieuse
- Avec caractéristiques mixtes
- Avec caractéristiques mélancoliques
- Avec caractéristiques atypiques
- Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
- Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
- Avec début lors du péripartum
- Avec syndrome dysthymique pur
- Avec épisode dépressif caractérisé persistant
- Avec épisodes dépressifs caractérisés intermittents, y compris l’épisode actuel
- Avec épisodes dépressifs caractérisés intermittents, mais pas au cours de l’épisode actuel
- Spécifier la sévérité des symptômes actuels (léger / moyen / grave)
- Spécifier l’évolution (rémission partielle / complète)
- Spécifier le début (précoce / tardif) → âge d’apparition avant / après 21 ans.
Spécificateurs du trouble cyclothymique: Nommez-les
Spécificateurs du trouble cyclothymique :
- Avec détresse anxieuse
Spécificateur: Avec - Détresse anxieuse
Présence d’au moins 2 symptômes la plupart des jours au cours d’un épisode thymique ou d’une dysthymie :
- Sentiment d’énervement / de tension
- Sentiment d’agitation inhabituel
- Difficulté de concentration due à des soucis
- Peur que quelque chose d’horrible ne survienne
- Sentiment d’une possible perte de contrôle de soi
Spécificateur: Avec - Détresse anxieuse
- nommez les symptômes
Présence d’au moins 2 symptômes la plupart des jours au cours d’un épisode thymique ou d’une dysthymie :
- Sentiment d’énervement / de tension
- Sentiment d’agitation inhabituel
- Difficulté de concentration due à des soucis
- Peur que quelque chose d’horrible ne survienne
- Sentiment d’une possible perte de contrôle de soi
Spécificateur: Avec - Détresse anxieuse
- nombre de symptômes nécessaires
Présence d’au moins 2 symptômes la plupart des jours au cours d’un épisode thymique ou d’une dysthymie :
- Sentiment d’énervement / de tension
- Sentiment d’agitation inhabituel
- Difficulté de concentration due à des soucis
- Peur que quelque chose d’horrible ne survienne
- Sentiment d’une possible perte de contrôle de soi
Spécificateur: Avec - Détresse anxieuse
- fréquence des symptômes
Présence d’au moins 2 symptômes la plupart des jours au cours d’un épisode thymique ou d’une dysthymie :
- Sentiment d’énervement / de tension
- Sentiment d’agitation inhabituel
- Difficulté de concentration due à des soucis
- Peur que quelque chose d’horrible ne survienne
- Sentiment d’une possible perte de contrôle de soi
Spécificateur: Avec - Détresse anxieuse
- à quel moment?
Présence d’au moins 2 symptômes la plupart des jours au cours d’un épisode thymique ou d’une dysthymie :
- Sentiment d’énervement / de tension
- Sentiment d’agitation inhabituel
- Difficulté de concentration due à des soucis
- Peur que quelque chose d’horrible ne survienne
- Sentiment d’une possible perte de contrôle de soi
Spécificateur: Avec - Caractéristiques mixtes
- Pour un trouble dépressif caractérisé, on dit donc qu’il faut avoir au moins 3 symptômes majeurs de manie/hypomanie.
- C’est l’inverse pour l’épisode maniaque ou hypomaniaque mixte.
- On peut utiliser ce spécificateur lorsque des éléments subsyndromiques du pôle opposé sont présents.
- Fréquents chez les MAB et s’applique pour les types I et II.
- On dit donc que l’épisode thymique possède des caractéristiques de l’épisode thymique opposé (dépression ←→ maniaque) sans pour autant remplir les critères de l’épisode opposé.
Spécificateur: Avec - Caractéristiques mixtes
- symptôme nécessaires
-
Pour un trouble dépressif caractérisé, on dit donc qu’il faut avoir au moins 3 symptômes majeurs de manie/hypomanie.
- C’est l’inverse pour l’épisode maniaque ou hypomaniaque mixte.
- On peut utiliser ce spécificateur lorsque des éléments subsyndromiques du pôle opposé sont présents.
- Fréquents chez les MAB et s’applique pour les types I et II.
- On dit donc que l’épisode thymique possède des caractéristiques de l’épisode thymique opposé (dépression ←→ maniaque) sans pour autant remplir les critères de l’épisode opposé.
Spécificateur: Avec - Caractéristiques mixtes
- c’est quoi?
- Pour un trouble dépressif caractérisé, on dit donc qu’il faut avoir au moins 3 symptômes majeurs de manie/hypomanie.
- C’est l’inverse pour l’épisode maniaque ou hypomaniaque mixte.
- On peut utiliser ce spécificateur lorsque des éléments subsyndromiques du pôle opposé sont présents.
- Fréquents chez les MAB et s’applique pour les types I et II.
- On dit donc que l’épisode thymique possède des caractéristiques de l’épisode thymique opposé (dépression ←→ maniaque) sans pour autant remplir les critères de l’épisode opposé.
Spécificateur: Avec - Caractéristiques mixtes
- on utilise ce spécificateur dans quel contexte?
- Pour un trouble dépressif caractérisé, on dit donc qu’il faut avoir au moins 3 symptômes majeurs de manie/hypomanie.
- C’est l’inverse pour l’épisode maniaque ou hypomaniaque mixte.
- On peut utiliser ce spécificateur lorsque des éléments subsyndromiques du pôle opposé sont présents.
- Fréquents chez les MAB et s’applique pour les types I et II.
- On dit donc que l’épisode thymique possède des caractéristiques de l’épisode thymique opposé (dépression ←→ maniaque) sans pour autant remplir les critères de l’épisode opposé.
Spécificateur: Avec - Caractéristiques mixtes
- fréquent dans quels troubles?
- Pour un trouble dépressif caractérisé, on dit donc qu’il faut avoir au moins 3 symptômes majeurs de manie/hypomanie.
- C’est l’inverse pour l’épisode maniaque ou hypomaniaque mixte.
- On peut utiliser ce spécificateur lorsque des éléments subsyndromiques du pôle opposé sont présents.
- Fréquents chez les MAB et s’applique pour les types I et II.
- On dit donc que l’épisode thymique possède des caractéristiques de l’épisode thymique opposé (dépression ←→ maniaque) sans pour autant remplir les critères de l’épisode opposé.
Spécificateur: Avec - Caractéristiques mixtes
- on dit quoi? (trouve une meilleure question future maude please)
- Pour un trouble dépressif caractérisé, on dit donc qu’il faut avoir au moins 3 symptômes majeurs de manie/hypomanie.
- C’est l’inverse pour l’épisode maniaque ou hypomaniaque mixte.
- On peut utiliser ce spécificateur lorsque des éléments subsyndromiques du pôle opposé sont présents.
- Fréquents chez les MAB et s’applique pour les types I et II.
- On dit donc que l’épisode thymique possède des caractéristiques de l’épisode thymique opposé (dépression ←→ maniaque) sans pour autant remplir les critères de l’épisode opposé.
Spécificateur: Avec - Cycles rapides
- Survenue d’au moins 4 épisodes thymiques dans les 12 derniers mois.
- Ces épisodes doivent être délimités par une rémission de 2 mois ou par la survenue d’un changement de l’humeur.
- 5-15% des MAB présentent ce type de spécificateur, avec une majorité de femmes.
- Possible association à l’hypothyroïdie à un traitement antidépresseur.
- Aucun marqueur génétique.
- Le spécificateur peut être transitoire.
- La réponse au traitement est souvent moins bonne.
- Une forme ultrarapide existe avec des épisodes thymiques de quelques jours seulement, quoique lorsque les cycles sont ultradiens (dans la même journée), on évoque plus un diagnostic de TPL.
Spécificateur: Avec - Cycles rapides
- critères / caractéristiques nécessaires
- Survenue d’au moins 4 épisodes thymiques dans les 12 derniers mois.
- Ces épisodes doivent être délimités par une rémission de 2 mois ou par la survenue d’un changement de l’humeur.
- 5-15% des MAB présentent ce type de spécificateur, avec une majorité de femmes.
- Possible association à l’hypothyroïdie à un traitement antidépresseur.
- Aucun marqueur génétique.
- Le spécificateur peut être transitoire.
- La réponse au traitement est souvent moins bonne.
- Une forme ultrarapide existe avec des épisodes thymiques de quelques jours seulement, quoique lorsque les cycles sont ultradiens (dans la même journée), on évoque plus un diagnostic de TPL.
Spécificateur: Avec - Cycles rapides
- type d’épisode nécessaires
- Survenue d’au moins 4 épisodes thymiques dans les 12 derniers mois.
- Ces épisodes doivent être délimités par une rémission de 2 mois ou par la survenue d’un changement de l’humeur.
- 5-15% des MAB présentent ce type de spécificateur, avec une majorité de femmes.
- Possible association à l’hypothyroïdie à un traitement antidépresseur.
- Aucun marqueur génétique.
- Le spécificateur peut être transitoire.
- La réponse au traitement est souvent moins bonne.
- Une forme ultrarapide existe avec des épisodes thymiques de quelques jours seulement, quoique lorsque les cycles sont ultradiens (dans la même journée), on évoque plus un diagnostic de TPL.
Spécificateur: Avec - Cycles rapides
- nb d’épisodes nécessaires
- Survenue d’au moins 4 épisodes thymiques dans les 12 derniers mois.
- Ces épisodes doivent être délimités par une rémission de 2 mois ou par la survenue d’un changement de l’humeur.
- 5-15% des MAB présentent ce type de spécificateur, avec une majorité de femmes.
- Possible association à l’hypothyroïdie à un traitement antidépresseur.
- Aucun marqueur génétique.
- Le spécificateur peut être transitoire.
- La réponse au traitement est souvent moins bonne.
- Une forme ultrarapide existe avec des épisodes thymiques de quelques jours seulement, quoique lorsque les cycles sont ultradiens (dans la même journée), on évoque plus un diagnostic de TPL.
Spécificateur: Avec - Cycles rapides
- dans quelle durée?
- Survenue d’au moins 4 épisodes thymiques dans les 12 derniers mois.
- Ces épisodes doivent être délimités par une rémission de 2 mois ou par la survenue d’un changement de l’humeur.
- 5-15% des MAB présentent ce type de spécificateur, avec une majorité de femmes.
- Possible association à l’hypothyroïdie à un traitement antidépresseur.
- Aucun marqueur génétique.
- Le spécificateur peut être transitoire.
- La réponse au traitement est souvent moins bonne.
- Une forme ultrarapide existe avec des épisodes thymiques de quelques jours seulement, quoique lorsque les cycles sont ultradiens (dans la même journée), on évoque plus un diagnostic de TPL.
Spécificateur: Avec - Cycles rapides
- épisodes délimités par quoi?
- Survenue d’au moins 4 épisodes thymiques dans les 12 derniers mois.
- Ces épisodes doivent être délimités par une rémission de 2 mois ou par la survenue d’un changement de l’humeur.
- 5-15% des MAB présentent ce type de spécificateur, avec une majorité de femmes.
- Possible association à l’hypothyroïdie à un traitement antidépresseur.
- Aucun marqueur génétique.
- Le spécificateur peut être transitoire.
- La réponse au traitement est souvent moins bonne.
- Une forme ultrarapide existe avec des épisodes thymiques de quelques jours seulement, quoique lorsque les cycles sont ultradiens (dans la même journée), on évoque plus un diagnostic de TPL.
Spécificateur: Avec - Cycles rapides
- durée des épisodes de rémission
- Survenue d’au moins 4 épisodes thymiques dans les 12 derniers mois.
- Ces épisodes doivent être délimités par une rémission de 2 mois ou par la survenue d’un changement de l’humeur.
- 5-15% des MAB présentent ce type de spécificateur, avec une majorité de femmes.
- Possible association à l’hypothyroïdie à un traitement antidépresseur.
- Aucun marqueur génétique.
- Le spécificateur peut être transitoire.
- La réponse au traitement est souvent moins bonne.
- Une forme ultrarapide existe avec des épisodes thymiques de quelques jours seulement, quoique lorsque les cycles sont ultradiens (dans la même journée), on évoque plus un diagnostic de TPL.
Spécificateur: Avec - Cycles rapides
- fréquence
- Survenue d’au moins 4 épisodes thymiques dans les 12 derniers mois.
- Ces épisodes doivent être délimités par une rémission de 2 mois ou par la survenue d’un changement de l’humeur.
- 5-15% des MAB présentent ce type de spécificateur, avec une majorité de femmes.
- Possible association à l’hypothyroïdie à un traitement antidépresseur.
- Aucun marqueur génétique.
- Le spécificateur peut être transitoire.
- La réponse au traitement est souvent moins bonne.
- Une forme ultrarapide existe avec des épisodes thymiques de quelques jours seulement, quoique lorsque les cycles sont ultradiens (dans la même journée), on évoque plus un diagnostic de TPL.
Spécificateur: Avec - Cycles rapides
- association avec quoi?
- Survenue d’au moins 4 épisodes thymiques dans les 12 derniers mois.
- Ces épisodes doivent être délimités par une rémission de 2 mois ou par la survenue d’un changement de l’humeur.
- 5-15% des MAB présentent ce type de spécificateur, avec une majorité de femmes.
- Possible association à l’hypothyroïdie à un traitement antidépresseur.
- Aucun marqueur génétique.
- Le spécificateur peut être transitoire.
- La réponse au traitement est souvent moins bonne.
- Une forme ultrarapide existe avec des épisodes thymiques de quelques jours seulement, quoique lorsque les cycles sont ultradiens (dans la même journée), on évoque plus un diagnostic de TPL.
Spécificateur: Avec - Cycles rapides
- marqueur génétique
- Survenue d’au moins 4 épisodes thymiques dans les 12 derniers mois.
- Ces épisodes doivent être délimités par une rémission de 2 mois ou par la survenue d’un changement de l’humeur.
- 5-15% des MAB présentent ce type de spécificateur, avec une majorité de femmes.
- Possible association à l’hypothyroïdie à un traitement antidépresseur.
- Aucun marqueur génétique.
- Le spécificateur peut être transitoire.
- La réponse au traitement est souvent moins bonne.
- Une forme ultrarapide existe avec des épisodes thymiques de quelques jours seulement, quoique lorsque les cycles sont ultradiens (dans la même journée), on évoque plus un diagnostic de TPL.
Spécificateur: Avec - Cycles rapides
- durée de ce spécificateur
- Survenue d’au moins 4 épisodes thymiques dans les 12 derniers mois.
- Ces épisodes doivent être délimités par une rémission de 2 mois ou par la survenue d’un changement de l’humeur.
- 5-15% des MAB présentent ce type de spécificateur, avec une majorité de femmes.
- Possible association à l’hypothyroïdie à un traitement antidépresseur.
- Aucun marqueur génétique.
- Le spécificateur peut être transitoire.
- La réponse au traitement est souvent moins bonne.
- Une forme ultrarapide existe avec des épisodes thymiques de quelques jours seulement, quoique lorsque les cycles sont ultradiens (dans la même journée), on évoque plus un diagnostic de TPL.
Spécificateur: Avec - Cycles rapides
- réponse au tx
- Survenue d’au moins 4 épisodes thymiques dans les 12 derniers mois.
- Ces épisodes doivent être délimités par une rémission de 2 mois ou par la survenue d’un changement de l’humeur.
- 5-15% des MAB présentent ce type de spécificateur, avec une majorité de femmes.
- Possible association à l’hypothyroïdie à un traitement antidépresseur.
- Aucun marqueur génétique.
- Le spécificateur peut être transitoire.
- La réponse au traitement est souvent moins bonne.
- Une forme ultrarapide existe avec des épisodes thymiques de quelques jours seulement, quoique lorsque les cycles sont ultradiens (dans la même journée), on évoque plus un diagnostic de TPL.
Spécificateur: Avec - Cycles rapides
- forme ultrarapide
- Survenue d’au moins 4 épisodes thymiques dans les 12 derniers mois.
- Ces épisodes doivent être délimités par une rémission de 2 mois ou par la survenue d’un changement de l’humeur.
- 5-15% des MAB présentent ce type de spécificateur, avec une majorité de femmes.
- Possible association à l’hypothyroïdie à un traitement antidépresseur.
- Aucun marqueur génétique.
- Le spécificateur peut être transitoire.
- La réponse au traitement est souvent moins bonne.
- Une forme ultrarapide existe avec des épisodes thymiques de quelques jours seulement, quoique lorsque les cycles sont ultradiens (dans la même journée), on évoque plus un diagnostic de TPL.
Spécificateur: Avec - Caractéristiques mélancoliques
- Un élément suivant est présent au cours de la période la plus grave de l’épisode actuel :
- Perte de plaisir pour toutes ou presque toutes les activités
- Absence de réactivité aux stimuli habituellement agréables
- 3 éléments parmi les suivants (ou +) :
- Qualité particulière de l’humeur par un abattement profond, un sentiment de désespoir et/ou une morosité (anesthésie affective)
- Dépression régulièrement plus marquée le matin
- Réveil matinal précoce (2h avant l’heure de réveil ou +)
- Agitation ou ralentissement psychomoteur marqué
- Anorexie ou perte de poids significative
- Culpabilité excessive ou inappropriée
Spécificateur: Avec - Caractéristiques mélancoliques
- éléments présents
-
Un élément suivant est présent au cours de la période la plus grave de l’épisode actuel :
- Perte de plaisir pour toutes ou presque toutes les activités
- Absence de réactivité aux stimuli habituellement agréables
- 3 éléments parmi les suivants (ou +) :
- Qualité particulière de l’humeur par un abattement profond, un sentiment de désespoir et/ou une morosité (anesthésie affective)
- Dépression régulièrement plus marquée le matin
- Réveil matinal précoce (2h avant l’heure de réveil ou +)
- Agitation ou ralentissement psychomoteur marqué
- Anorexie ou perte de poids significative
- Culpabilité excessive ou inappropriée
Spécificateur: Avec - Caractéristiques mélancoliques
- sx nécessaires
- Un élément suivant est présent au cours de la période la plus grave de l’épisode actuel :
- Perte de plaisir pour toutes ou presque toutes les activités
- Absence de réactivité aux stimuli habituellement agréables
-
3 éléments parmi les suivants (ou +) :
- Qualité particulière de l’humeur par un abattement profond, un sentiment de désespoir et/ou une morosité (anesthésie affective)
- Dépression régulièrement plus marquée le matin
- Réveil matinal précoce (2h avant l’heure de réveil ou +)
- Agitation ou ralentissement psychomoteur marqué
- Anorexie ou perte de poids significative
- Culpabilité excessive ou inappropriée
Spécificateur: Avec - Caractéristiques mélancoliques
- nb de sx nécessaires
- Un élément suivant est présent au cours de la période la plus grave de l’épisode actuel :
- Perte de plaisir pour toutes ou presque toutes les activités
- Absence de réactivité aux stimuli habituellement agréables
-
3 éléments parmi les suivants (ou +) :
- Qualité particulière de l’humeur par un abattement profond, un sentiment de désespoir et/ou une morosité (anesthésie affective)
- Dépression régulièrement plus marquée le matin
- Réveil matinal précoce (2h avant l’heure de réveil ou +)
- Agitation ou ralentissement psychomoteur marqué
- Anorexie ou perte de poids significative
- Culpabilité excessive ou inappropriée
Spécificateur: Avec - Caractéristiques mélancoliques
- sx nécessaires: nommez-les
- Un élément suivant est présent au cours de la période la plus grave de l’épisode actuel :
- Perte de plaisir pour toutes ou presque toutes les activités
- Absence de réactivité aux stimuli habituellement agréables
-
3 éléments parmi les suivants (ou +) :
- Qualité particulière de l’humeur par un abattement profond, un sentiment de désespoir et/ou une morosité (anesthésie affective)
- Dépression régulièrement plus marquée le matin
- Réveil matinal précoce (2h avant l’heure de réveil ou +)
- Agitation ou ralentissement psychomoteur marqué
- Anorexie ou perte de poids significative
- Culpabilité excessive ou inappropriée
Spécificateur: Avec - Caractéristiques atypiques
- Réactivité de l’humeur.
- 2 symotômes ou plus parmi :
- Prise de poids ou ↑ appétit significative
- Hypersomnie
- Membres en plomb (lourdeur, dans les bras et les jambes)
- Sensibilité au rejet dans les relations est un trait durable (pas seulement à l’épisode thymique) et induit une altération du fonctionnement
- Ne répond pas aux critères de caractéristiques mélancoliques
Spécificateur: Avec - Caractéristiques atypiques
- décrire
- Réactivité de l’humeur.
- 2 symotômes ou plus parmi :
- Prise de poids ou ↑ appétit significative
- Hypersomnie
- Membres en plomb (lourdeur, dans les bras et les jambes)
- Sensibilité au rejet dans les relations est un trait durable (pas seulement à l’épisode thymique) et induit une altération du fonctionnement
- Ne répond pas aux critères de caractéristiques mélancoliques
Spécificateur: Avec - Caractéristiques atypiques
- sx nécessaires
- Réactivité de l’humeur.
-
2 symotômes ou plus parmi :
- Prise de poids ou ↑ appétit significative
- Hypersomnie
- Membres en plomb (lourdeur, dans les bras et les jambes)
- Sensibilité au rejet dans les relations est un trait durable (pas seulement à l’épisode thymique) et induit une altération du fonctionnement
- Ne répond pas aux critères de caractéristiques mélancoliques
Spécificateur: Avec - Caractéristiques atypiques
- sx nécessaires: nombre
- Réactivité de l’humeur.
-
2 symotômes ou plus parmi :
- Prise de poids ou ↑ appétit significative
- Hypersomnie
- Membres en plomb (lourdeur, dans les bras et les jambes)
- Sensibilité au rejet dans les relations est un trait durable (pas seulement à l’épisode thymique) et induit une altération du fonctionnement
- Ne répond pas aux critères de caractéristiques mélancoliques
Spécificateur: Avec - Caractéristiques atypiques
- sx nécessaires: nommez-les
- Réactivité de l’humeur.
-
2 symotômes ou plus parmi :
- Prise de poids ou ↑ appétit significative
- Hypersomnie
- Membres en plomb (lourdeur, dans les bras et les jambes)
- Sensibilité au rejet dans les relations est un trait durable (pas seulement à l’épisode thymique) et induit une altération du fonctionnement
- Ne répond pas aux critères de caractéristiques mélancoliques
Spécificateur: Avec - Caractéristiques psychotiques, congruentes ou non congruentes à l’humeur
- Congruentes à l’humeur : contenu des idées délirantes et des hallucinations concorde avec les thèmes de l’épisode thymique typiques. Les thèmes dépressifs sont culpabilité, mort, nihilisme et punition méritée. Les thèmes maniaques sont grandeur, invulnérabilité, méfiance et persécution.
- Non congruente à l’humeur : le contenu des idées délirantes ou hallucinations n’implique pas les thèmes dépressifs typiques.
Spécificateur: Avec - Caractéristiques psychotiques, congruentes ou non congruentes à l’humeur
- différenciez congruentes à l’humeur vs non congruente à l’humeur
- Congruentes à l’humeur : contenu des idées délirantes et des hallucinations concorde avec les thèmes de l’épisode thymique typiques. Les thèmes dépressifs sont culpabilité, mort, nihilisme et punition méritée. Les thèmes maniaques sont grandeur, invulnérabilité, méfiance et persécution.
- Non congruente à l’humeur : le contenu des idées délirantes ou hallucinations n’implique pas les thèmes dépressifs typiques.
Spécificateur: Avec - Caractéristiques psychotiques, congruentes ou non congruentes à l’humeur
- définir congruente à l’humeur
-
Congruentes à l’humeur : contenu des idées délirantes et des hallucinations concorde avec les thèmes de l’épisode thymique typiques.
- Les thèmes dépressifs sont culpabilité, mort, nihilisme et punition méritée.
- Les thèmes maniaques sont grandeur, invulnérabilité, méfiance et persécution.
- Non congruente à l’humeur : le contenu des idées délirantes ou hallucinations n’implique pas les thèmes dépressifs typiques.
Spécificateur: Avec - Caractéristiques psychotiques, congruentes ou non congruentes à l’humeur
- Congruente à l’humeur: c’est quoi?
-
Congruentes à l’humeur : contenu des idées délirantes et des hallucinations concorde avec les thèmes de l’épisode thymique typiques.
- Les thèmes dépressifs sont culpabilité, mort, nihilisme et punition méritée.
- Les thèmes maniaques sont grandeur, invulnérabilité, méfiance et persécution.
- Non congruente à l’humeur : le contenu des idées délirantes ou hallucinations n’implique pas les thèmes dépressifs typiques.
Spécificateur: Avec - Caractéristiques psychotiques, congruentes ou non congruentes à l’humeur
- Congruente à l’humeur: thèmes dépressifs
- Congruentes à l’humeur : contenu des idées délirantes et des hallucinations concorde avec les thèmes de l’épisode thymique typiques.
- Les thèmes dépressifs sont culpabilité, mort, nihilisme et punition méritée.
- Les thèmes maniaques sont grandeur, invulnérabilité, méfiance et persécution.
- Non congruente à l’humeur : le contenu des idées délirantes ou hallucinations n’implique pas les thèmes dépressifs typiques.
Spécificateur: Avec - Caractéristiques psychotiques, congruentes ou non congruentes à l’humeur
- Congruente à l’humeur: thèmes maniaques
- Congruentes à l’humeur : contenu des idées délirantes et des hallucinations concorde avec les thèmes de l’épisode thymique typiques.
- Les thèmes dépressifs sont culpabilité, mort, nihilisme et punition méritée.
- Les thèmes maniaques sont grandeur, invulnérabilité, méfiance et persécution.
- Non congruente à l’humeur : le contenu des idées délirantes ou hallucinations n’implique pas les thèmes dépressifs typiques.
Spécificateur: Avec - Caractéristiques psychotiques, congruentes ou non congruentes à l’humeur
- NON congruente à l’humeur
- Congruentes à l’humeur : contenu des idées délirantes et des hallucinations concorde avec les thèmes de l’épisode thymique typiques.
- Les thèmes dépressifs sont culpabilité, mort, nihilisme et punition méritée.
- Les thèmes maniaques sont grandeur, invulnérabilité, méfiance et persécution.
- Non congruente à l’humeur : le contenu des idées délirantes ou hallucinations n’implique pas les thèmes dépressifs typiques.
Spécificateur: Avec - Caractéristiques psychotiques, congruentes ou non congruentes à l’humeur
- NON congruente à l’humeur: contenu des idées délirantes / hallucinations
- Congruentes à l’humeur : contenu des idées délirantes et des hallucinations concorde avec les thèmes de l’épisode thymique typiques.
- Les thèmes dépressifs sont culpabilité, mort, nihilisme et punition méritée.
- Les thèmes maniaques sont grandeur, invulnérabilité, méfiance et persécution.
- Non congruente à l’humeur : le contenu des idées délirantes ou hallucinations n’implique pas les thèmes dépressifs typiques.
Spécificateur: Avec - Caractéristique catatonique
Caractéristiques catatoniques sont présentant pendant la plus grande partie de l’épisode.
Spécificateur: Avec - Caractéristique catatonique
- critère à respecter
Caractéristiques catatoniques sont présentant pendant la plus grande partie de l’épisode.
Spécificateur: Avec - Début lors du péripartum
- Début des symptômes thymiques survient pendant la grossesse ou jusqu’à 4 semaines suivant l’accouchement.
Spécificateur: Avec - Début lors du péripartum
- critère à respecter
- Début des symptômes thymiques survient pendant la grossesse ou jusqu’à 4 semaines suivant l’accouchement.
Spécificateur: Avec - Caractère saisonnier
- Autant chez les dépressifs majeurs que MAB, mais le MAB de type II est préférentiellement atteint que le MAB de type I.
- La caractéristique essentielle est une modalité évolutive saisonnière régulière pour au moins un type d’épisode thymique.
- Les autres types d’épisodes ne sont pas obligés de suivre cette modalité.
- La plupart des cas, c’est une modalité dépressive à l’automne et à l’inverse des phases maniaques/hypomaniaques à l’été ou au printemps.
- Notons que parfois ils se suivent, laissant une fin d’épisode dépressif et un début d’épisode maniaque avec impulsivité au printemps, faisant augmenter le taux de suicide.
- Anergie, hypersomnie, hyperphagie et gain de poids sont souvent associés à la saison provoquant l’humeur thymique.
- La découverte de ce spécificateur permet d’orienter le patient vers de thérapie plus ciblée, comme la luminothérapie.
Spécificateur: Avec - Caractère saisonnier
- MAB type 1 vs 2
- Autant chez les dépressifs majeurs que MAB, mais le MAB de type II est préférentiellement atteint que le MAB de type I.
- La caractéristique essentielle est une modalité évolutive saisonnière régulière pour au moins un type d’épisode thymique.
- Les autres types d’épisodes ne sont pas obligés de suivre cette modalité.
- La plupart des cas, c’est une modalité dépressive à l’automne et à l’inverse des phases maniaques/hypomaniaques à l’été ou au printemps.
- Notons que parfois ils se suivent, laissant une fin d’épisode dépressif et un début d’épisode maniaque avec impulsivité au printemps, faisant augmenter le taux de suicide.
- Anergie, hypersomnie, hyperphagie et gain de poids sont souvent associés à la saison provoquant l’humeur thymique.
- La découverte de ce spécificateur permet d’orienter le patient vers de thérapie plus ciblée, comme la luminothérapie.
Spécificateur: Avec - Caractère saisonnier
- caractéristique essentielle
- Autant chez les dépressifs majeurs que MAB, mais le MAB de type II est préférentiellement atteint que le MAB de type I.
- La caractéristique essentielle est une modalité évolutive saisonnière régulière pour au moins un type d’épisode thymique.
- Les autres types d’épisodes ne sont pas obligés de suivre cette modalité.
- La plupart des cas, c’est une modalité dépressive à l’automne et à l’inverse des phases maniaques/hypomaniaques à l’été ou au printemps.
- Notons que parfois ils se suivent, laissant une fin d’épisode dépressif et un début d’épisode maniaque avec impulsivité au printemps, faisant augmenter le taux de suicide.
- Anergie, hypersomnie, hyperphagie et gain de poids sont souvent associés à la saison provoquant l’humeur thymique.
- La découverte de ce spécificateur permet d’orienter le patient vers de thérapie plus ciblée, comme la luminothérapie.
Spécificateur: Avec - Caractère saisonnier
- décrire
- Autant chez les dépressifs majeurs que MAB, mais le MAB de type II est préférentiellement atteint que le MAB de type I.
- La caractéristique essentielle est une modalité évolutive saisonnière régulière pour au moins un type d’épisode thymique.
- Les autres types d’épisodes ne sont pas obligés de suivre cette modalité.
- La plupart des cas, c’est une modalité dépressive à l’automne et à l’inverse des phases maniaques/hypomaniaques à l’été ou au printemps.
- Notons que parfois ils se suivent, laissant une fin d’épisode dépressif et un début d’épisode maniaque avec impulsivité au printemps, faisant augmenter le taux de suicide.
- Anergie, hypersomnie, hyperphagie et gain de poids sont souvent associés à la saison provoquant l’humeur thymique.
- La découverte de ce spécificateur permet d’orienter le patient vers de thérapie plus ciblée, comme la luminothérapie.
Spécificateur: Avec - Caractère saisonnier
- décrire les épisodes
- Autant chez les dépressifs majeurs que MAB, mais le MAB de type II est préférentiellement atteint que le MAB de type I.
- La caractéristique essentielle est une modalité évolutive saisonnière régulière pour au moins un type d’épisode thymique.
- Les autres types d’épisodes ne sont pas obligés de suivre cette modalité.
- La plupart des cas, c’est une modalité dépressive à l’automne et à l’inverse des phases maniaques/hypomaniaques à l’été ou au printemps.
- Notons que parfois ils se suivent, laissant une fin d’épisode dépressif et un début d’épisode maniaque avec impulsivité au printemps, faisant augmenter le taux de suicide.
- Anergie, hypersomnie, hyperphagie et gain de poids sont souvent associés à la saison provoquant l’humeur thymique.
- La découverte de ce spécificateur permet d’orienter le patient vers de thérapie plus ciblée, comme la luminothérapie.
Spécificateur: Avec - Caractère saisonnier
- décrire la succession des épisodes
- Autant chez les dépressifs majeurs que MAB, mais le MAB de type II est préférentiellement atteint que le MAB de type I.
- La caractéristique essentielle est une modalité évolutive saisonnière régulière pour au moins un type d’épisode thymique.
- Les autres types d’épisodes ne sont pas obligés de suivre cette modalité.
- La plupart des cas, c’est une modalité dépressive à l’automne et à l’inverse des phases maniaques/hypomaniaques à l’été ou au printemps.
- Notons que parfois ils se suivent, laissant une fin d’épisode dépressif et un début d’épisode maniaque avec impulsivité au printemps, faisant augmenter le taux de suicide.
- Anergie, hypersomnie, hyperphagie et gain de poids sont souvent associés à la saison provoquant l’humeur thymique.
- La découverte de ce spécificateur permet d’orienter le patient vers de thérapie plus ciblée, comme la luminothérapie.
Spécificateur: Avec - Caractère saisonnier
- symptômes
- Autant chez les dépressifs majeurs que MAB, mais le MAB de type II est préférentiellement atteint que le MAB de type I.
- La caractéristique essentielle est une modalité évolutive saisonnière régulière pour au moins un type d’épisode thymique.
- Les autres types d’épisodes ne sont pas obligés de suivre cette modalité.
- La plupart des cas, c’est une modalité dépressive à l’automne et à l’inverse des phases maniaques/hypomaniaques à l’été ou au printemps.
- Notons que parfois ils se suivent, laissant une fin d’épisode dépressif et un début d’épisode maniaque avec impulsivité au printemps, faisant augmenter le taux de suicide.
- Anergie, hypersomnie, hyperphagie et gain de poids sont souvent associés à la saison provoquant l’humeur thymique.
- La découverte de ce spécificateur permet d’orienter le patient vers de thérapie plus ciblée, comme la luminothérapie.
Spécificateur: Avec - Caractère saisonnier
- ce que permet la découverte de ce spécificateur
- Autant chez les dépressifs majeurs que MAB, mais le MAB de type II est préférentiellement atteint que le MAB de type I.
- La caractéristique essentielle est une modalité évolutive saisonnière régulière pour au moins un type d’épisode thymique.
- Les autres types d’épisodes ne sont pas obligés de suivre cette modalité.
- La plupart des cas, c’est une modalité dépressive à l’automne et à l’inverse des phases maniaques/hypomaniaques à l’été ou au printemps.
- Notons que parfois ils se suivent, laissant une fin d’épisode dépressif et un début d’épisode maniaque avec impulsivité au printemps, faisant augmenter le taux de suicide.
- Anergie, hypersomnie, hyperphagie et gain de poids sont souvent associés à la saison provoquant l’humeur thymique.
- La découverte de ce spécificateur permet d’orienter le patient vers de thérapie plus ciblée, comme la luminothérapie.
Spécificateur: Avec - Caractère saisonnier
- traitement
- Autant chez les dépressifs majeurs que MAB, mais le MAB de type II est préférentiellement atteint que le MAB de type I.
- La caractéristique essentielle est une modalité évolutive saisonnière régulière pour au moins un type d’épisode thymique.
- Les autres types d’épisodes ne sont pas obligés de suivre cette modalité.
- La plupart des cas, c’est une modalité dépressive à l’automne et à l’inverse des phases maniaques/hypomaniaques à l’été ou au printemps.
- Notons que parfois ils se suivent, laissant une fin d’épisode dépressif et un début d’épisode maniaque avec impulsivité au printemps, faisant augmenter le taux de suicide.
- Anergie, hypersomnie, hyperphagie et gain de poids sont souvent associés à la saison provoquant l’humeur thymique.
- La découverte de ce spécificateur permet d’orienter le patient vers de thérapie plus ciblée, comme la luminothérapie.
Spécificateur: Avec - Syndrome dysthymique pur
- Les critères d’épisode caractérisé n’ont pas été rempli dans les 2 dernières années.