Médecine psychosomatique Flashcards

1
Q

Troubles somatoformes: Critiques

A
  1. Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
  2. Faible usage du trouble somatoforme
  3. Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
  4. Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
  5. Est un diagnostic d’exclusion
  6. Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
  7. Manque de consensus
  8. Stigmatisation élevée
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Q

Troubles somatoformes: Critiques
- approche

A
  1. Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
  2. Faible usage du trouble somatoforme
  3. Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
  4. Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
  5. Est un diagnostic d’exclusion
  6. Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
  7. Manque de consensus
  8. Stigmatisation élevée
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Q

Troubles somatoformes: Critiques
- utilité

A
  1. Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
  2. Faible usage du trouble somatoforme
  3. Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
  4. Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
  5. Est un diagnostic d’exclusion
  6. Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
  7. Manque de consensus
  8. Stigmatisation élevée
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4
Q

Troubles somatoformes: Critiques
- appellations

A
  1. Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
  2. Faible usage du trouble somatoforme
  3. Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
  4. Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
  5. Est un diagnostic d’exclusion
  6. Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
  7. Manque de consensus
  8. Stigmatisation élevée
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Q

Troubles somatoformes: Critiques
- seuil

A
  1. Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
  2. Faible usage du trouble somatoforme
  3. Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
  4. Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
  5. Est un diagnostic d’exclusion
  6. Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
  7. Manque de consensus
  8. Stigmatisation élevée
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6
Q

Troubles somatoformes: Critiques
- type de dx

A
  1. Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
  2. Faible usage du trouble somatoforme
  3. Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
  4. Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
  5. Est un diagnostic d’exclusion
  6. Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
  7. Manque de consensus
  8. Stigmatisation élevée
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7
Q

Troubles somatoformes: Critiques
- comorbidités

A
  1. Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
  2. Faible usage du trouble somatoforme
  3. Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
  4. Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
  5. Est un diagnostic d’exclusion
  6. Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
  7. Manque de consensus
  8. Stigmatisation élevée
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8
Q

Troubles somatoformes: Critiques
- accord

A
  1. Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
  2. Faible usage du trouble somatoforme
  3. Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
  4. Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
  5. Est un diagnostic d’exclusion
  6. Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
  7. Manque de consensus
  8. Stigmatisation élevée
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9
Q

Troubles somatoformes: Critiques
- stigma

A
  1. Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
  2. Faible usage du trouble somatoforme
  3. Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
  4. Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
  5. Est un diagnostic d’exclusion
  6. Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
  7. Manque de consensus
  8. Stigmatisation élevée
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10
Q

Troubles somatoformes: Définition

A
  • Trouble dont le mode de présentation est constitué principalement de symptômes somatiques et de préoccupations / distorsions cognitives face à la maladie.
  • On dit qu’il y a chez l’humain une tendance universelle à expérimenter et communiquer de la détresse psychologique sous forme de symptômes physiques.
  • C’est le principe de somatisation, à travers duquel différents troubles plus spécifiques s’articulent.
  • Notons que des conditions médicalement inexpliquées existent aussi et sont à différencier des somatisations.
  • Ils sont habituellement nommés des troubles somatiques fonctionnels et comportent plusieurs entités tels que le syndrome du côlon irritable en gastro-entérologie et ne s’articulent pas toujours à travers une psychopathologie.
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11
Q

Troubles somatoformes: Définition
- présentation clinique

A
  • Trouble dont le mode de présentation est constitué principalement de symptômes somatiques et de préoccupations / distorsions cognitives face à la maladie.
  • On dit qu’il y a chez l’humain une tendance universelle à expérimenter et communiquer de la détresse psychologique sous forme de symptômes physiques.
  • C’est le principe de somatisation, à travers duquel différents troubles plus spécifiques s’articulent.
  • Notons que des conditions médicalement inexpliquées existent aussi et sont à différencier des somatisations.
  • Ils sont habituellement nommés des troubles somatiques fonctionnels et comportent plusieurs entités tels que le syndrome du côlon irritable en gastro-entérologie et ne s’articulent pas toujours à travers une psychopathologie.
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12
Q

Troubles somatoformes: Définition
- tendance universelle

A
  • Trouble dont le mode de présentation est constitué principalement de symptômes somatiques et de préoccupations / distorsions cognitives face à la maladie.
  • On dit qu’il y a chez l’humain une tendance universelle à expérimenter et communiquer de la détresse psychologique sous forme de symptômes physiques.
  • C’est le principe de somatisation, à travers duquel différents troubles plus spécifiques s’articulent.
  • Notons que des conditions médicalement inexpliquées existent aussi et sont à différencier des somatisations.
  • Ils sont habituellement nommés des troubles somatiques fonctionnels et comportent plusieurs entités tels que le syndrome du côlon irritable en gastro-entérologie et ne s’articulent pas toujours à travers une psychopathologie.
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13
Q

Troubles somatoformes: Définition
- principe sous-jacent

A
  • Trouble dont le mode de présentation est constitué principalement de symptômes somatiques et de préoccupations / distorsions cognitives face à la maladie.
  • On dit qu’il y a chez l’humain une tendance universelle à expérimenter et communiquer de la détresse psychologique sous forme de symptômes physiques.
  • C’est le principe de somatisation, à travers duquel différents troubles plus spécifiques s’articulent.
  • Notons que des conditions médicalement inexpliquées existent aussi et sont à différencier des somatisations.
  • Ils sont habituellement nommés des troubles somatiques fonctionnels et comportent plusieurs entités tels que le syndrome du côlon irritable en gastro-entérologie et ne s’articulent pas toujours à travers une psychopathologie.
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14
Q

Troubles somatoformes: Définition
- décrire le principe de somatisation

A
  • Trouble dont le mode de présentation est constitué principalement de symptômes somatiques et de préoccupations / distorsions cognitives face à la maladie.
  • On dit qu’il y a chez l’humain une tendance universelle à expérimenter et communiquer de la détresse psychologique sous forme de symptômes physiques.
  • C’est le principe de somatisation, à travers duquel différents troubles plus spécifiques s’articulent.
  • Notons que des conditions médicalement inexpliquées existent aussi et sont à différencier des somatisations.
  • Ils sont habituellement nommés des troubles somatiques fonctionnels et comportent plusieurs entités tels que le syndrome du côlon irritable en gastro-entérologie et ne s’articulent pas toujours à travers une psychopathologie.
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15
Q

Troubles somatoformes: Définition
- conditions médicales

A
  • Trouble dont le mode de présentation est constitué principalement de symptômes somatiques et de préoccupations / distorsions cognitives face à la maladie.
  • On dit qu’il y a chez l’humain une tendance universelle à expérimenter et communiquer de la détresse psychologique sous forme de symptômes physiques.
  • C’est le principe de somatisation, à travers duquel différents troubles plus spécifiques s’articulent.
  • Notons que des conditions médicalement inexpliquées existent aussi et sont à différencier des somatisations.
  • Ils sont habituellement nommés des troubles somatiques fonctionnels et comportent plusieurs entités tels que le syndrome du côlon irritable en gastro-entérologie et ne s’articulent pas toujours à travers une psychopathologie.
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16
Q

Troubles somatoformes: Définition
- entités

A
  • Trouble dont le mode de présentation est constitué principalement de symptômes somatiques et de préoccupations / distorsions cognitives face à la maladie.
  • On dit qu’il y a chez l’humain une tendance universelle à expérimenter et communiquer de la détresse psychologique sous forme de symptômes physiques.
  • C’est le principe de somatisation, à travers duquel différents troubles plus spécifiques s’articulent.
  • Notons que des conditions médicalement inexpliquées existent aussi et sont à différencier des somatisations.
  • Ils sont habituellement nommés des troubles somatiques fonctionnels et comportent plusieurs entités tels que le syndrome du côlon irritable en gastro-entérologie et ne s’articulent pas toujours à travers une psychopathologie.
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17
Q

Troubles somatiques fonctionnels les plus fréquents

A
  • Céphalée de tension
  • Syndrome temporomandibulaire
  • Douleur thoracique non spécifiée
  • Syndrome d’hyperventilation
  • Dyspepsie non ulcéreuse
  • Syndrome de l’intestin irritable
  • Lombalgie
  • Cystite interstitielle
  • Douleur pelvienne chronique
  • Syndrome prémenstruel
  • Fibromyalgie
  • Syndrome de fatigue chronique
  • Hypersensibilité environnementale idiopathique : sensibilité à plusieurs produits (p. ex., parfums, produits de nettoyage) qui causent des réactions dans diverses parties de l’organisme
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18
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Facteurs psychologiques influençant des affections médicales

A
  • Affection médicale
    • Oui
  • Caractéristiques du critère A
    • Présence d’un symptôme ou d’une affection médicale (autre qu’un trouble mental)
  • Caractéristiques du critère B
    • Des facteurs psychologiques ou comportementaux influençant négativement l’affection médicale
  • Détresse
    • +/-
  • Principaux ddx
    • Trouble mental lié à une affection médicale
    • Trouble de l’adaptation
    • Trouble à symptomatologie somatique
    • Crainte excessive d’avoir une maladie
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19
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Facteurs psychologiques influençant des affections médicales: Affection médicale

A
  • Affection médicale
    • Oui
  • Caractéristiques du critère A
    • Présence d’un symptôme ou d’une affection médicale (autre qu’un trouble mental)
  • Caractéristiques du critère B
    • Des facteurs psychologiques ou comportementaux influençant négativement l’affection médicale
  • Détresse
    • +/-
  • Principaux ddx
    • Trouble mental lié à une affection médicale
    • Trouble de l’adaptation
    • Trouble à symptomatologie somatique
    • Crainte excessive d’avoir une maladie
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20
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Facteurs psychologiques influençant des affections médicales: Caractéristiques du critère A

A
  • Affection médicale
    • Oui
  • Caractéristiques du critère A
    • Présence d’un symptôme ou d’une affection médicale (autre qu’un trouble mental)
  • Caractéristiques du critère B
    • Des facteurs psychologiques ou comportementaux influençant négativement l’affection médicale
  • Détresse
    • +/-
  • Principaux ddx
    • Trouble mental lié à une affection médicale
    • Trouble de l’adaptation
    • Trouble à symptomatologie somatique
    • Crainte excessive d’avoir une maladie
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21
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Facteurs psychologiques influençant des affections médicales: Caractéristiques du critère B

A
  • Affection médicale
    • Oui
  • Caractéristiques du critère A
    • Présence d’un symptôme ou d’une affection médicale (autre qu’un trouble mental)
  • Caractéristiques du critère B
    • Des facteurs psychologiques ou comportementaux influençant négativement l’affection médicale
  • Détresse
    • +/-
  • Principaux ddx
    • Trouble mental lié à une affection médicale
    • Trouble de l’adaptation
    • Trouble à symptomatologie somatique
    • Crainte excessive d’avoir une maladie
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22
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Facteurs psychologiques influençant des affections médicales: Détresse

A
  • Affection médicale
    • Oui
  • Caractéristiques du critère A
    • Présence d’un symptôme ou d’une affection médicale (autre qu’un trouble mental)
  • Caractéristiques du critère B
    • Des facteurs psychologiques ou comportementaux influençant négativement l’affection médicale
  • Détresse
    • +/-
  • Principaux ddx
    • Trouble mental lié à une affection médicale
    • Trouble de l’adaptation
    • Trouble à symptomatologie somatique
    • Crainte excessive d’avoir une maladie
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23
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Facteurs psychologiques influençant des affections médicales: Principaux ddx

A
  • Affection médicale
    • Oui
  • Caractéristiques du critère A
    • Présence d’un symptôme ou d’une affection médicale (autre qu’un trouble mental)
  • Caractéristiques du critère B
    • Des facteurs psychologiques ou comportementaux influençant négativement l’affection médicale
  • Détresse
    • +/-
  • Principaux ddx
    • Trouble mental lié à une affection médicale
    • Trouble de l’adaptation
    • Trouble à symptomatologie somatique
    • Crainte excessive d’avoir une maladie
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24
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble à symptomatologie somatique (TSS)

A
  • Affection médicale
    • Oui/non
  • Caractéristiques du critère A
    • Un ou plusieurs symptômes somatiques causant de la détresse ou entraînant une altération de la vie quotidienne
  • Caractéristiques du critère B
    • (1) Pensées persistantes et excessives concernant la gravité des symptômes
    • (2) Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes
    • (3) Énergie et temps excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé
  • Détresse
    • +
  • Principaux ddx
    • Si pas de plaintes somatiques, crainte excessive d’avoir une maladie
    • Autre affection médicale
    • Trouble panique
    • Anxiété généralisée
    • Dépression
    • Trouble délirant, type somatique
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25
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble à symptomatologie somatique (TSS): Affection médicale?

A
  • Affection médicale
    • Oui/non
  • Caractéristiques du critère A
    • Un ou plusieurs symptômes somatiques causant de la détresse ou entraînant une altération de la vie quotidienne
  • Caractéristiques du critère B
    • (1) Pensées persistantes et excessives concernant la gravité des symptômes
    • (2) Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes
    • (3) Énergie et temps excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé
  • Détresse
    • +
  • Principaux ddx
    • Si pas de plaintes somatiques, crainte excessive d’avoir une maladie
    • Autre affection médicale
    • Trouble panique
    • Anxiété généralisée
    • Dépression
    • Trouble délirant, type somatique
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26
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble à symptomatologie somatique (TSS): Caractéristique du critère A

A
  • Affection médicale
    • Oui/non
  • Caractéristiques du critère A
    • Un ou plusieurs symptômes somatiques causant de la détresse ou entraînant une altération de la vie quotidienne
  • Caractéristiques du critère B
    • (1) Pensées persistantes et excessives concernant la gravité des symptômes
    • (2) Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes
    • (3) Énergie et temps excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé
  • Détresse
    • +
  • Principaux ddx
    • Si pas de plaintes somatiques, crainte excessive d’avoir une maladie
    • Autre affection médicale
    • Trouble panique
    • Anxiété généralisée
    • Dépression
    • Trouble délirant, type somatique
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27
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble à symptomatologie somatique (TSS): Caractéristique du critère B

A
  • Affection médicale
    • Oui/non
  • Caractéristiques du critère A
    • Un ou plusieurs symptômes somatiques causant de la détresse ou entraînant une altération de la vie quotidienne
  • Caractéristiques du critère B
    • (1) Pensées persistantes et excessives concernant la gravité des symptômes
    • (2) Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes
    • (3) Énergie et temps excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé
  • Détresse
    • +
  • Principaux ddx
    • Si pas de plaintes somatiques, crainte excessive d’avoir une maladie
    • Autre affection médicale
    • Trouble panique
    • Anxiété généralisée
    • Dépression
    • Trouble délirant, type somatique
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28
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble à symptomatologie somatique (TSS): : Caractéristique du critère B - nommez-les

A
  • Affection médicale
    • Oui/non
  • Caractéristiques du critère A
    • Un ou plusieurs symptômes somatiques causant de la détresse ou entraînant une altération de la vie quotidienne
  • Caractéristiques du critère B
    • (1) Pensées persistantes et excessives concernant la gravité des symptômes
    • (2) Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes
    • (3) Énergie et temps excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé
  • Détresse
    • +
  • Principaux ddx
    • Si pas de plaintes somatiques, crainte excessive d’avoir une maladie
    • Autre affection médicale
    • Trouble panique
    • Anxiété généralisée
    • Dépression
    • Trouble délirant, type somatique
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29
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble à symptomatologie somatique (TSS): Détresse

A
  • Affection médicale
    • Oui/non
  • Caractéristiques du critère A
    • Un ou plusieurs symptômes somatiques causant de la détresse ou entraînant une altération de la vie quotidienne
  • Caractéristiques du critère B
    • (1) Pensées persistantes et excessives concernant la gravité des symptômes
    • (2) Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes
    • (3) Énergie et temps excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé
  • Détresse
    • +
  • Principaux ddx
    • Si pas de plaintes somatiques, crainte excessive d’avoir une maladie
    • Autre affection médicale
    • Trouble panique
    • Anxiété généralisée
    • Dépression
    • Trouble délirant, type somatique
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30
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble à symptomatologie somatique (TSS): Principaux ddx

A
  • Affection médicale
    • Oui/non
  • Caractéristiques du critère A
    • Un ou plusieurs symptômes somatiques causant de la détresse ou entraînant une altération de la vie quotidienne
  • Caractéristiques du critère B
    • (1) Pensées persistantes et excessives concernant la gravité des symptômes
    • (2) Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes
    • (3) Énergie et temps excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé
  • Détresse
    • +
  • Principaux ddx
    • Si pas de plaintes somatiques, crainte excessive d’avoir une maladie
    • Autre affection médicale
    • Trouble panique
    • Anxiété généralisée
    • Dépression
    • Trouble délirant, type somatique
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31
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Conversion

A
  • Affection médicale
    • Oui/non
  • Caractéristiques du critère A
    • Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles
  • Caractéristiques du critère B
    • Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnus.
  • Détresse
    • +/-
  • Principaux ddx
    • Maladie neurologique
    • Trouble à symptomatologie somatique comorbide
    • Trouble factice
    • Simulation
    • Trouble dissociatif comorbide
    • Dépression
    • Trouble panique
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32
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Conversion: Affection médicale

A
  • Affection médicale
    • Oui/non
  • Caractéristiques du critère A
    • Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles
  • Caractéristiques du critère B
    • Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnus.
  • Détresse
    • +/-
  • Principaux ddx
    • Maladie neurologique
    • Trouble à symptomatologie somatique comorbide
    • Trouble factice
    • Simulation
    • Trouble dissociatif comorbide
    • Dépression
    • Trouble panique
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Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Conversion: Caractéristiques de critère A

A
  • Affection médicale
    • Oui/non
  • Caractéristiques du critère A
    • Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles
  • Caractéristiques du critère B
    • Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnus.
  • Détresse
    • +/-
  • Principaux ddx
    • Maladie neurologique
    • Trouble à symptomatologie somatique comorbide
    • Trouble factice
    • Simulation
    • Trouble dissociatif comorbide
    • Dépression
    • Trouble panique
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Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Conversion: Caractéristiques de critère B

A
  • Affection médicale
    • Oui/non
  • Caractéristiques du critère A
    • Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles
  • Caractéristiques du critère B
    • Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnus.
  • Détresse
    • +/-
  • Principaux ddx
    • Maladie neurologique
    • Trouble à symptomatologie somatique comorbide
    • Trouble factice
    • Simulation
    • Trouble dissociatif comorbide
    • Dépression
    • Trouble panique
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35
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Conversion: Détresse

A
  • Affection médicale
    • Oui/non
  • Caractéristiques du critère A
    • Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles
  • Caractéristiques du critère B
    • Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnus.
  • Détresse
    • +/-
  • Principaux ddx
    • Maladie neurologique
    • Trouble à symptomatologie somatique comorbide
    • Trouble factice
    • Simulation
    • Trouble dissociatif comorbide
    • Dépression
    • Trouble panique
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36
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Conversion: Principaux ddx

A
  • Affection médicale
    • Oui/non
  • Caractéristiques du critère A
    • Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles
  • Caractéristiques du critère B
    • Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnus.
  • Détresse
    • +/-
  • Principaux ddx
    • Maladie neurologique
    • Trouble à symptomatologie somatique comorbide
    • Trouble factice
    • Simulation
    • Trouble dissociatif comorbide
    • Dépression
    • Trouble panique
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37
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble factice

A
  • Affection médicale
    • Non
  • Caractéristiques du critère A
    • Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies associée à une tromperie identiée
  • Caractéristiques du critère B
    • La personne se présente aux autres comme malade, invalide ou blessée.
  • Détresse
    • +/-
  • Principaux ddx
    • Il y a simulation si la poursuite d’un gain secondaire, tel que des compensations financières, un logement, des médicaments et autres, est démontrée.
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38
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble factice: Affection médicale?

A
  • Affection médicale
    • Non
  • Caractéristiques du critère A
    • Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies associée à une tromperie identiée
  • Caractéristiques du critère B
    • La personne se présente aux autres comme malade, invalide ou blessée.
  • Détresse
    • +/-
  • Principaux ddx
    • Il y a simulation si la poursuite d’un gain secondaire, tel que des compensations financières, un logement, des médicaments et autres, est démontrée.
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39
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble factice: Caractéristiques de critère A

A
  • Affection médicale
    • Non
  • Caractéristiques du critère A
    • Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies associée à une tromperie identifiée
  • Caractéristiques du critère B
    • La personne se présente aux autres comme malade, invalide ou blessée.
  • Détresse
    • +/-
  • Principaux ddx
    • Il y a simulation si la poursuite d’un gain secondaire, tel que des compensations financières, un logement, des médicaments et autres, est démontrée.
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40
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble factice: Caractéristiques de critère B

A
  • Affection médicale
    • Non
  • Caractéristiques du critère A
    • Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies associée à une tromperie identiée
  • Caractéristiques du critère B
    • La personne se présente aux autres comme malade, invalide ou blessée.
  • Détresse
    • +/-
  • Principaux ddx
    • Il y a simulation si la poursuite d’un gain secondaire, tel que des compensations financières, un logement, des médicaments et autres, est démontrée.
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41
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble factice: Détresse

A
  • Affection médicale
    • Non
  • Caractéristiques du critère A
    • Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies associée à une tromperie identiée
  • Caractéristiques du critère B
    • La personne se présente aux autres comme malade, invalide ou blessée.
  • Détresse
    • +/-
  • Principaux ddx
    • Il y a simulation si la poursuite d’un gain secondaire, tel que des compensations financières, un logement, des médicaments et autres, est démontrée.
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42
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble factice: Principaux ddx

A
  • Affection médicale
    • Non
  • Caractéristiques du critère A
    • Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies associée à une tromperie identiée
  • Caractéristiques du critère B
    • La personne se présente aux autres comme malade, invalide ou blessée.
  • Détresse
    • +/-
  • Principaux ddx
    • Il y a simulation si la poursuite d’un gain secondaire, tel que des compensations financières, un logement, des médicaments et autres, est démontrée.
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Q

Tr. symptomatologie somatique VS Tr. de la crainte excessive d’avoir une maladie VS Tr. conversion

A
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44
Q

Tr. symptomatologie somatique
- Épidémio
- Étiologies
- Ddx et comorbidités
- Pronostic
- Traitement

A
  • Épidémiologie
    • On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur)
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau.
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive)
  • Pronostic
    • La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient.
  • Traitement
    • Ø de pharmacothérapie
    • activation physique peut aider
    • les différentes psychothérapies aident de façon modérée
    • la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
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45
Q

Tr. symptomatologie somatique
- Prévalence

A
  • Épidémiologie
    • On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur)
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau.
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive)
  • Pronostic
    • La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient.
  • Traitement
    • Ø de pharmacothérapie
    • activation physique peut aider
    • les différentes psychothérapies aident de façon modérée
    • la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
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46
Q

Tr. symptomatologie somatique
- Étiologie

A
  • Épidémiologie
    • On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur)
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau.
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive)
  • Pronostic
    • La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient.
  • Traitement
    • Ø de pharmacothérapie
    • activation physique peut aider
    • les différentes psychothérapies aident de façon modérée
    • la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
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47
Q

Tr. symptomatologie somatique
- Ddx et comorbidités

A
  • Épidémiologie
    • On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur)
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau.
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive)
  • Pronostic
    • La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient.
  • Traitement
    • Ø de pharmacothérapie
    • activation physique peut aider
    • les différentes psychothérapies aident de façon modérée
    • la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
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48
Q

Tr. symptomatologie somatique
- Ddx et comorbidités: Quel traits / TP associés?

A
  • Épidémiologie
    • On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur)
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau.
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive)
  • Pronostic
    • La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient.
  • Traitement
    • Ø de pharmacothérapie
    • activation physique peut aider
    • les différentes psychothérapies aident de façon modérée
    • la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
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49
Q

Tr. symptomatologie somatique
- Pronostic

A
  • Épidémiologie
    • On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur)
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau.
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive)
  • Pronostic
    • La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient.
  • Traitement
    • Ø de pharmacothérapie
    • activation physique peut aider
    • les différentes psychothérapies aident de façon modérée
    • la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
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Q

Tr. symptomatologie somatique
- Traitement

A
  • Épidémiologie
    • On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur)
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau.
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive)
  • Pronostic
    • La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient.
  • Traitement
    • Ø de pharmacothérapie
    • activation physique peut aider
    • les différentes psychothérapies aident de façon modérée
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Q

Tr. symptomatologie somatique
- Traitement: Pharmacothérapie

A
  • Épidémiologie
    • On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur)
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau.
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive)
  • Pronostic
    • La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient.
  • Traitement
    • Ø de pharmacothérapie
    • activation physique peut aider
    • les différentes psychothérapies aident de façon modérée
    • la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
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Q

Tr. symptomatologie somatique
- Traitement: autres

A
  • Épidémiologie
    • On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur)
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau.
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive)
  • Pronostic
    • La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient.
  • Traitement
    • Ø de pharmacothérapie
    • activation physique peut aider
    • les différentes psychothérapies aident de façon modérée
    • la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
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Q

Tr. symptomatologie somatique
- Traitement: psychothérapie

A
  • Épidémiologie
    • On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur)
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau.
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive)
  • Pronostic
    • La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient.
  • Traitement
    • Ø de pharmacothérapie
    • activation physique peut aider
    • les différentes psychothérapies aident de façon modérée
    • la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
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54
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Tr. symptomatologie somatique
- Traitement: principal outil thérapeutique

A
  • Épidémiologie
    • On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur)
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau.
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive)
  • Pronostic
    • La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient.
  • Traitement
    • Ø de pharmacothérapie
    • activation physique peut aider
    • les différentes psychothérapies aident de façon modérée
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Tr. de la crainte excessive d’avoir une maladie
- Épidémio
- Étiologies
- Ddx et comorbidités
- Pronostic
- Traitement

A
  • Épidémio
    • ø d’infos
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le
  • Ddx et comorbidités
    • Trouble anxieux généralisé
    • Caractéristiques de phobies
    • Comportements obsessionnels
  • Pronostic
    • ø d’infos
  • Traitement
    • Difficulté à traiter le patient, puisque rien ne le rassure.
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Tr. de la crainte excessive d’avoir une maladie
- Épidémio

A
  • Épidémio
    • ø d’infos
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le
  • Ddx et comorbidités
    • Trouble anxieux généralisé
    • Caractéristiques de phobies
    • Comportements obsessionnels
  • Pronostic
    • ø d’infos
  • Traitement
    • Difficulté à traiter le patient, puisque rien ne le rassure.
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Tr. de la crainte excessive d’avoir une maladie
- Étiologies

A
  • Épidémio
    • ø d’infos
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
  • Ddx et comorbidités
    • Trouble anxieux généralisé
    • Caractéristiques de phobies
    • Comportements obsessionnels
  • Pronostic
    • ø d’infos
  • Traitement
    • Difficulté à traiter le patient, puisque rien ne le rassure.
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Tr. de la crainte excessive d’avoir une maladie
- Ddx et comorbidités

A
  • Épidémio
    • ø d’infos
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le
  • Ddx et comorbidités
    • Trouble anxieux généralisé
    • Caractéristiques de phobies
    • Comportements obsessionnels
  • Pronostic
    • ø d’infos
  • Traitement
    • Difficulté à traiter le patient, puisque rien ne le rassure.
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Tr. de la crainte excessive d’avoir une maladie
- Pronostic

A
  • Épidémio
    • ø d’infos
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le
  • Ddx et comorbidités
    • Trouble anxieux généralisé
    • Caractéristiques de phobies
    • Comportements obsessionnels
  • Pronostic
    • ø d’infos
  • Traitement
    • Difficulté à traiter le patient, puisque rien ne le rassure.
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Q

Tr. de la crainte excessive d’avoir une maladie
- Traitement

A
  • Épidémio
    • ø d’infos
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le
  • Ddx et comorbidités
    • Trouble anxieux généralisé
    • Caractéristiques de phobies
    • Comportements obsessionnels
  • Pronostic
    • ø d’infos
  • Traitement
    • Difficulté à traiter le patient, puisque rien ne le rassure.
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Q

Tr conversion
- Épidémio
- Étiologies
- Ddx et comorbidités
- Pronostic
- Traitement

A
  • Épidémio
      • fréquent ado / début 20aine
    • 0.3 % / an
    • 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
    • Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Événements traumatiques durant l’enfance
    • Abus de substances
    • Troubles de la personnalité
    • SEP / épilepsie
  • Pronostic
    • Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
    • 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
  • Traitement
    • Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
    • La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
    • Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
    • Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
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Q

Tr conversion
- Épidémio

A
  • Épidémio
    • + fréquent ado / début 20aine
    • 0.3 % / an
    • 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
    • Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Événements traumatiques durant l’enfance
    • Abus de substances
    • Troubles de la personnalité
    • SEP / épilepsie
  • Pronostic
    • Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
    • 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
  • Traitement
    • Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
    • La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
    • Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
    • Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
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Q

Tr conversion
- Épidémio: plus fréquent chez les groupe d’âge?

A
  • Épidémio
    • + fréquent ado / début 20aine
    • 0.3 % / an
    • 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
    • Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Événements traumatiques durant l’enfance
    • Abus de substances
    • Troubles de la personnalité
    • SEP / épilepsie
  • Pronostic
    • Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
    • 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
  • Traitement
    • Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
    • La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
    • Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
    • Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
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Q

Tr conversion
- Épidémio: incidence par an

A
  • Épidémio
      • fréquent ado / début 20aine
    • 0.3 % / an
    • 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
    • Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Événements traumatiques durant l’enfance
    • Abus de substances
    • Troubles de la personnalité
    • SEP / épilepsie
  • Pronostic
    • Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
    • 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
  • Traitement
    • Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
    • La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
    • Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
    • Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
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Q

Tr conversion
- Épidémio: H vs F

A
  • Épidémio
      • fréquent ado / début 20aine
    • 0.3 % / an
    • 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
    • Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Événements traumatiques durant l’enfance
    • Abus de substances
    • Troubles de la personnalité
    • SEP / épilepsie
  • Pronostic
    • Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
    • 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
  • Traitement
    • Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
    • La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
    • Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
    • Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
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Q

Tr conversion
- Épidémio: FDR

A
  • Épidémio
      • fréquent ado / début 20aine
    • 0.3 % / an
    • 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
    • Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Événements traumatiques durant l’enfance
    • Abus de substances
    • Troubles de la personnalité
    • SEP / épilepsie
  • Pronostic
    • Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
    • 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
  • Traitement
    • Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
    • La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
    • Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
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Q

Tr conversion
- Étiologies

A
  • Épidémio
      • fréquent ado / début 20aine
    • 0.3 % / an
    • 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
    • Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Événements traumatiques durant l’enfance
    • Abus de substances
    • Troubles de la personnalité
    • SEP / épilepsie
  • Pronostic
    • Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
    • 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
  • Traitement
    • Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
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Q

Tr conversion
- Ddx et comorbidités

A
  • Épidémio
      • fréquent ado / début 20aine
    • 0.3 % / an
    • 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
    • Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Événements traumatiques durant l’enfance
    • Abus de substances
    • Troubles de la personnalité
    • SEP / épilepsie
  • Pronostic
    • Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
    • 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
  • Traitement
    • Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
    • La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
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Q

Tr conversion
- Pronostic

A
  • Épidémio
      • fréquent ado / début 20aine
    • 0.3 % / an
    • 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
    • Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Événements traumatiques durant l’enfance
    • Abus de substances
    • Troubles de la personnalité
    • SEP / épilepsie
  • Pronostic
    • Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
    • 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
  • Traitement
    • Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
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Q

Tr conversion
- Pronostic: est favorable dans quel contexte?

A
  • Épidémio
      • fréquent ado / début 20aine
    • 0.3 % / an
    • 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
    • Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Événements traumatiques durant l’enfance
    • Abus de substances
    • Troubles de la personnalité
    • SEP / épilepsie
  • Pronostic
    • Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
    • 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
  • Traitement
    • Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
    • La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
    • Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
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Q

Tr conversion
- Pronostic: si hospit

A
  • Épidémio
      • fréquent ado / début 20aine
    • 0.3 % / an
    • 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
    • Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Événements traumatiques durant l’enfance
    • Abus de substances
    • Troubles de la personnalité
    • SEP / épilepsie
  • Pronostic
    • Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
    • 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
  • Traitement
    • Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
    • La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
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Q

Tr conversion
- Traitement

A
  • Épidémio
      • fréquent ado / début 20aine
    • 0.3 % / an
    • 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
    • Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Événements traumatiques durant l’enfance
    • Abus de substances
    • Troubles de la personnalité
    • SEP / épilepsie
  • Pronostic
    • Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
    • 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
  • Traitement
    • Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
    • La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
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Q

Tr conversion
- Traitement: élément central

A
  • Épidémio
      • fréquent ado / début 20aine
    • 0.3 % / an
    • 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
    • Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Événements traumatiques durant l’enfance
    • Abus de substances
    • Troubles de la personnalité
    • SEP / épilepsie
  • Pronostic
    • Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
    • 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
  • Traitement
    • Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
    • La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
    • Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
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Q

Tr conversion
- Traitement: Psychotx

A
  • Épidémio
      • fréquent ado / début 20aine
    • 0.3 % / an
    • 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
    • Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Événements traumatiques durant l’enfance
    • Abus de substances
    • Troubles de la personnalité
    • SEP / épilepsie
  • Pronostic
    • Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
    • 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
  • Traitement
    • Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
    • La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
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Q

Tr conversion
- Traitement: Autres

A
  • Épidémio
      • fréquent ado / début 20aine
    • 0.3 % / an
    • 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
    • Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Événements traumatiques durant l’enfance
    • Abus de substances
    • Troubles de la personnalité
    • SEP / épilepsie
  • Pronostic
    • Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
    • 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
  • Traitement
    • Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
    • La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
    • Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
    • Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
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76
Q

Tr conversion
- Traitement: Approche de résolutions de problèmes

A
  • Épidémio
      • fréquent ado / début 20aine
    • 0.3 % / an
    • 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
    • Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
  • Étiologies
    • Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
    • Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
    • Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
  • Ddx et comorbidités
    • Troubles dépressifs
    • Troubles anxieux
    • Événements traumatiques durant l’enfance
    • Abus de substances
    • Troubles de la personnalité
    • SEP / épilepsie
  • Pronostic
    • Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
    • 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
  • Traitement
    • Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
    • La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
    • Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
    • Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
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77
Q

Tr. symptomatologie somatique VS Tr. de la crainte excessive d’avoir une maladie VS Tr. conversion
- ce qui oriente vers un TSS plutôt qu’une maladie organique

A
  • Certains indices peuvent orienter vers un TSS et permet d’éviter l’approche par exclusion traditionnelle ;
    • Tableau de sx vagues, diffus, fluctuants, difficile à circonscrire, chronique
    • Consultations médicales multiples et des ATCD chirurgicaux non spécifiques
    • Histoire développementale marquée par des sévices physiques ou sexuels/ carence affective / somatisations ou de maladies en bas âge chez les proches
    • Facteurs liés à l’apprentissage familial
    • Dysfonctionnement relationnel, social, professionnel de longue date
    • etc.
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78
Q

Autres troubles symptomatologiques somatiques

A
  • Il est à noter que la colonne de « autres troubles symptomatologiques somatiques a été enlevé par absence d’information spécifique dans le Lalonde.
  • De plus, le trouble factice sera abordé séparément plus tard dans ce guide de lecture.
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79
Q

Facteurs bio-psycho-sociaux
- Prédisposants
- Précipitants
- Perpétuants

A
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80
Q

Facteurs PRÉDISPOSANTS
- Bio
- Psycho
- Sociaux

A
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81
Q

Facteurs PRÉDISPOSANTS
- Biologique

A
  • Génétique : non formellement prouvé, mais des tendances génétiques complexes semblent exister entre les syndromes somatiques fonctionnels (comme anxiété et dépression)
  • Dysfonctionnement de neurotransmetteurs : la 5HT et la NA sont mis en causes, des mécanismes de structures (SNC et corne postérieure de la moelle)
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82
Q

Facteurs PRÉDISPOSANTS
- Biologique: Génétique

A
  • Génétique : non formellement prouvé, mais des tendances génétiques complexes semblent exister entre les syndromes somatiques fonctionnels (comme anxiété et dépression)
  • Dysfonctionnement de neurotransmetteurs : la 5HT et la NA sont mis en causes, des mécanismes de structures (SNC et corne postérieure de la moelle)
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83
Q

Facteurs PRÉDISPOSANTS
- Biologique: Dysfonctionnement de neurotransmetteur

A
  • Génétique : non formellement prouvé, mais des tendances génétiques complexes semblent exister entre les syndromes somatiques fonctionnels (comme anxiété et dépression)
  • Dysfonctionnement de neurotransmetteurs : la 5HT et la NA sont mis en causes, des mécanismes de structures (SNC et corne postérieure de la moelle)
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84
Q

Facteurs PRÉDISPOSANTS
- Psychologique

A
  • Facteurs liés à la personnalité : divers auteurs amènent diverses théories. Certains voient ces troubles comme étant un trouble de personnalité considérant leur début précoce et les TP associés, d’autres les voient comme des fixations psychodynamiques freudiennes, d’autres expriment encore que les facteurs de la personnalité peuvent influencer la recherche de soins.
  • Recherche à la médecine traditionnelle lorsque la contemporaine offre peu d’écoute/réconfort (aussi social)
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85
Q

Facteurs PRÉDISPOSANTS
- Psychologique: Personnalité

A
  • Facteurs liés à la personnalité : divers auteurs amènent diverses théories. Certains voient ces troubles comme étant un trouble de personnalité considérant leur début précoce et les TP associés, d’autres les voient comme des fixations psychodynamiques freudiennes, d’autres expriment encore que les facteurs de la personnalité peuvent influencer la recherche de soins.
  • Recherche à la médecine traditionnelle lorsque la contemporaine offre peu d’écoute/réconfort (aussi social)
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86
Q

Facteurs PRÉDISPOSANTS
- Psychologique: Médecine traditionnelle

A
  • Facteurs liés à la personnalité : divers auteurs amènent diverses théories. Certains voient ces troubles comme étant un trouble de personnalité considérant leur début précoce et les TP associés, d’autres les voient comme des fixations psychodynamiques freudiennes, d’autres expriment encore que les facteurs de la personnalité peuvent influencer la recherche de soins.
  • Recherche à la médecine traditionnelle lorsque la contemporaine offre peu d’écoute/réconfort (aussi social)
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87
Q

Facteurs PRÉDISPOSANTS
- Sociaux

A
  • Facteurs développementaux : expérience infantile négative qui entraîne une vie dans une famille dysfonctionnelle, de la maltraitance, des abus physiques et sexuels, expériences précoces de maladies ou de vie avec des malades, et la perte de proches
  • Le style d’attachement à l’âge adulte (attachement anxieux et rigide)
  • Culture
  • Classe socioéconomique : une atteint préférentielle chez les classes faibles (défaut de verbalisation linguistique)
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88
Q

Facteurs PRÉDISPOSANTS
- Sociaux: Facteurs développementaux

A
  • Facteurs développementaux : expérience infantile négative qui entraîne une vie dans une famille dysfonctionnelle, de la maltraitance, des abus physiques et sexuels, expériences précoces de maladies ou de vie avec des malades, et la perte de proches
  • Le style d’attachement à l’âge adulte (attachement anxieux et rigide)
  • Culture
  • Classe socioéconomique : une atteint préférentielle chez les classes faibles (défaut de verbalisation linguistique)
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89
Q

Facteurs PRÉDISPOSANTS
- Sociaux: Style d’attachement à l’âge adulte

A
  • Facteurs développementaux : expérience infantile négative qui entraîne une vie dans une famille dysfonctionnelle, de la maltraitance, des abus physiques et sexuels, expériences précoces de maladies ou de vie avec des malades, et la perte de proches
  • Le style d’attachement à l’âge adulte (attachement anxieux et rigide)
  • Culture
  • Classe socioéconomique : une atteint préférentielle chez les classes faibles (défaut de verbalisation linguistique)
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Q

Facteurs PRÉDISPOSANTS
- Sociaux: Culture

A
  • Facteurs développementaux : expérience infantile négative qui entraîne une vie dans une famille dysfonctionnelle, de la maltraitance, des abus physiques et sexuels, expériences précoces de maladies ou de vie avec des malades, et la perte de proches
  • Le style d’attachement à l’âge adulte (attachement anxieux et rigide)
  • Culture
  • Classe socioéconomique : une atteint préférentielle chez les classes faibles (défaut de verbalisation linguistique)
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Facteurs PRÉDISPOSANTS
- Sociaux: Classe socio-économique

A
  • Facteurs développementaux : expérience infantile négative qui entraîne une vie dans une famille dysfonctionnelle, de la maltraitance, des abus physiques et sexuels, expériences précoces de maladies ou de vie avec des malades, et la perte de proches
  • Le style d’attachement à l’âge adulte (attachement anxieux et rigide)
  • Culture
  • Classe socioéconomique : une atteint préférentielle chez les classes faibles (défaut de verbalisation linguistique)
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Q

Facteurs PRÉCIPITANTS
- Bio
- Psycho
- Sociaux

A
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93
Q

Facteurs PRÉCIPITANTS
- Biologique

A
  • Traumatisme physique
  • Incidents mineurs de santé
  • Le stress est un facteur contributif au développement d’une somatisation, principalement via l’HHS et l’information sensorielle.
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Q

Facteurs PRÉCIPITANTS
- Biologique: Trauma

A
  • Traumatisme physique
  • Incidents mineurs de santé
  • Le stress est un facteur contributif au développement d’une somatisation, principalement via l’HHS et l’information sensorielle.
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Q

Facteurs PRÉCIPITANTS
- Biologique: Santé

A
  • Traumatisme physique
  • Incidents mineurs de santé
  • Le stress est un facteur contributif au développement d’une somatisation, principalement via l’HHS et l’information sensorielle.
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96
Q

Facteurs PRÉCIPITANTS
- Biologique: Stress

A
  • Traumatisme physique
  • Incidents mineurs de santé
  • Le stress est un facteur contributif au développement d’une somatisation, principalement via l’HHS et l’information sensorielle.
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97
Q

Facteurs PRÉCIPITANTS
- Psychologique

A
  • Difficulté au travail (aussi social)
  • Facteurs émotionnels : principalement des facteurs reliés à la régulation émotionnelle. Alexithymie / style d’adaptation répressif / mode d’attachement insécure sont associés
  • Deux stéréotypes de patient somatisant
    • Refoulé / inhibé contrôlant / obsédé de son corps,
    • Névrotique / hypersensible / histrionique / anxiété / dépression + plaintes dramatiques.
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98
Q

Facteurs PRÉCIPITANTS
- Psychologique: travail

A
  • Difficulté au travail (aussi social)
  • Facteurs émotionnels : principalement des facteurs reliés à la régulation émotionnelle. Alexithymie / style d’adaptation répressif / mode d’attachement insécure sont associés
  • Deux stéréotypes de patient somatisant
    • Refoulé / inhibé contrôlant / obsédé de son corps,
    • Névrotique / hypersensible / histrionique / anxiété / dépression + plaintes dramatiques.
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Facteurs PRÉCIPITANTS
- Psychologique: Facteurs émotionnels

A
  • Difficulté au travail (aussi social)
  • Facteurs émotionnels : principalement des facteurs reliés à la régulation émotionnelle. Alexithymie / style d’adaptation répressif / mode d’attachement insécure sont associés
  • Deux stéréotypes de patient somatisant
    • Refoulé / inhibé contrôlant / obsédé de son corps,
    • Névrotique / hypersensible / histrionique / anxiété / dépression + plaintes dramatiques.
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Q

Facteurs PRÉCIPITANTS
- Psychologique: Stéréotypes de patients somatisants

A
  • Difficulté au travail (aussi social)
  • Facteurs émotionnels : principalement des facteurs reliés à la régulation émotionnelle. Alexithymie / style d’adaptation répressif / mode d’attachement insécure sont associés
  • Deux stéréotypes de patient somatisant
    • Refoulé / inhibé contrôlant / obsédé de son corps,
    • Névrotique / hypersensible / histrionique / anxiété / dépression + plaintes dramatiques.
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Q

Facteurs PRÉCIPITANTS
- Psychologique: Stéréotypes de patients somatisants - nommez-les

A
  • Difficulté au travail (aussi social)
  • Facteurs émotionnels : principalement des facteurs reliés à la régulation émotionnelle. Alexithymie / style d’adaptation répressif / mode d’attachement insécure sont associés
  • Deux stéréotypes de patient somatisant
    • Refoulé / inhibé contrôlant / obsédé de son corps,
    • Névrotique / hypersensible / histrionique / anxiété / dépression + plaintes dramatiques.
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Q

Facteurs PRÉCIPITANTS
- Sociaux

A
  • Tensions provoquées par des conflits familiaux
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103
Q

Facteurs PRÉCIPITANTS
- Sociaux: Tensions

A
  • Tensions provoquées par des conflits familiaux
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104
Q

Facteurs PERPÉTUANTS
- Bio
- Psycho
- Sociaux

A
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105
Q

Facteurs PERPÉTUANTS
- Bio

A
  • Facteurs cognitifs : l’installation et le maintien de la somatisation découlent du style cognitif et perceptuel.
  • Des interférences inadaptées, des distorsions ou encore des croyances erronées sur la santé et le fonctionnement du corps peuvent être causales.
  • La plupart évalueront négativement des Sx bénins (selles molles, urines puantes).
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106
Q

Facteurs PERPÉTUANTS
- Bio: facteurs cognitifs

A
  • Facteurs cognitifs : l’installation et le maintien de la somatisation découlent du style cognitif et perceptuel.
  • Des interférences inadaptées, des distorsions ou encore des croyances erronées sur la santé et le fonctionnement du corps peuvent être causales.
  • La plupart évalueront négativement des Sx bénins (selles molles, urines puantes).
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107
Q

Facteurs PERPÉTUANTS
- Bio: somatisation

A
  • Facteurs cognitifs : l’installation et le maintien de la somatisation découlent du style cognitif et perceptuel.
  • Des interférences inadaptées, des distorsions ou encore des croyances erronées sur la santé et le fonctionnement du corps peuvent être causales.
  • La plupart évalueront négativement des Sx bénins (selles molles, urines puantes).
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108
Q

Facteurs PERPÉTUANTS
- Bio: distorsions

A
  • Facteurs cognitifs : l’installation et le maintien de la somatisation découlent du style cognitif et perceptuel.
  • Des interférences inadaptées, des distorsions ou encore des croyances erronées sur la santé et le fonctionnement du corps peuvent être causales.
  • La plupart évalueront négativement des Sx bénins (selles molles, urines puantes).
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109
Q

Facteurs PERPÉTUANTS
- Bio: facteurs cognitifs - impact sur perception

A
  • Facteurs cognitifs : l’installation et le maintien de la somatisation découlent du style cognitif et perceptuel.
  • Des interférences inadaptées, des distorsions ou encore des croyances erronées sur la santé et le fonctionnement du corps peuvent être causales.
  • La plupart évalueront négativement des Sx bénins (selles molles, urines puantes).
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Q

Facteurs PERPÉTUANTS
- Psycho

A
  • Troubles du sommeil, trouble dépressif et anxieux sont souvent comorbides.
    • La douleur provoque l’insomnie, de la fatigue s’installe et amplifie la douleur ressentie.
    • La dépression peut abaisser le seuil de la perception de la douleur.
  • Le « rôle du malade » sociétaire (moins d’exigence de performance, mais plus de rétablissement) peut être adopté comme le mode normal du patient. Malgré des désavantages, il y a tout de même des gains à avoir ce rôle :
    • Évitement de certaines activités
    • Mobilise le soutien et la sympathie
    • Maintien du partenaire dans un couple
    • Évitement de punition/blâme
    • La thérapie visera à minimiser ces gains
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Q

Facteurs PERPÉTUANTS
- Psycho: tr sommeil et tr dépressif

A
  • Troubles du sommeil, trouble dépressif et anxieux sont souvent comorbides.
    • La douleur provoque l’insomnie, de la fatigue s’installe et amplifie la douleur ressentie.
    • La dépression peut abaisser le seuil de la perception de la douleur.
  • Le « rôle du malade » sociétaire (moins d’exigence de performance, mais plus de rétablissement) peut être adopté comme le mode normal du patient. Malgré des désavantages, il y a tout de même des gains à avoir ce rôle :
    • Évitement de certaines activités
    • Mobilise le soutien et la sympathie
    • Maintien du partenaire dans un couple
    • Évitement de punition/blâme
    • La thérapie visera à minimiser ces gains
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112
Q

Facteurs PERPÉTUANTS
- Psycho: lien entre insomnie, douleur et dépression

A
  • Troubles du sommeil, trouble dépressif et anxieux sont souvent comorbides.
    • La douleur provoque l’insomnie, de la fatigue s’installe et amplifie la douleur ressentie.
    • La dépression peut abaisser le seuil de la perception de la douleur.
  • Le « rôle du malade » sociétaire (moins d’exigence de performance, mais plus de rétablissement) peut être adopté comme le mode normal du patient. Malgré des désavantages, il y a tout de même des gains à avoir ce rôle :
    • Évitement de certaines activités
    • Mobilise le soutien et la sympathie
    • Maintien du partenaire dans un couple
    • Évitement de punition/blâme
    • La thérapie visera à minimiser ces gains
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Q

Facteurs PERPÉTUANTS
- Psycho: rôle du malade sociétaire

A
  • Troubles du sommeil, trouble dépressif et anxieux sont souvent comorbides.
    • La douleur provoque l’insomnie, de la fatigue s’installe et amplifie la douleur ressentie.
    • La dépression peut abaisser le seuil de la perception de la douleur.
  • Le « rôle du malade » sociétaire (moins d’exigence de performance, mais plus de rétablissement) peut être adopté comme le mode normal du patient. Malgré des désavantages, il y a tout de même des gains à avoir ce rôle :
    • Évitement de certaines activités
    • Mobilise le soutien et la sympathie
    • Maintien du partenaire dans un couple
    • Évitement de punition/blâme
    • La thérapie visera à minimiser ces gains
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114
Q

Facteurs PERPÉTUANTS
- Psycho: bénéfices du rôle de malade

A
  • Troubles du sommeil, trouble dépressif et anxieux sont souvent comorbides.
    • La douleur provoque l’insomnie, de la fatigue s’installe et amplifie la douleur ressentie.
    • La dépression peut abaisser le seuil de la perception de la douleur.
  • Le « rôle du malade » sociétaire (moins d’exigence de performance, mais plus de rétablissement) peut être adopté comme le mode normal du patient. Malgré des désavantages, il y a tout de même des gains à avoir ce rôle :
    • Évitement de certaines activités
    • Mobilise le soutien et la sympathie
    • Maintien du partenaire dans un couple
    • Évitement de punition/blâme
    • La thérapie visera à minimiser ces gains
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Q

Facteurs PERPÉTUANTS
- Psycho: rôle de la thérapie dans le rôle du malade

A
  • Troubles du sommeil, trouble dépressif et anxieux sont souvent comorbides.
    • La douleur provoque l’insomnie, de la fatigue s’installe et amplifie la douleur ressentie.
    • La dépression peut abaisser le seuil de la perception de la douleur.
  • Le « rôle du malade » sociétaire (moins d’exigence de performance, mais plus de rétablissement) peut être adopté comme le mode normal du patient. Malgré des désavantages, il y a tout de même des gains à avoir ce rôle :
    • Évitement de certaines activités
    • Mobilise le soutien et la sympathie
    • Maintien du partenaire dans un couple
    • Évitement de punition/blâme
    • La thérapie visera à minimiser ces gains
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116
Q

Facteurs PERPÉTUANTS
- Sociaux

A
  • Surtout chez l’enfant, la somatisation peut être une manière de s’exprimer et devenir un mode privilégié de communication (dlr abdo pour éviter les abandons), ce qui traduit souvent des styles d’attachement insécure
  • Chez la personne âgée, bien que la maladie soit fréquente, il est également fréquent de rencontrer des somatisations.
    • À l’inverse, il faut faire attention aux changements « normaux » du vieillissement!
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Q

Facteurs PERPÉTUANTS
- Sociaux: chez qui?

A
  • Surtout chez l’enfant, la somatisation peut être une manière de s’exprimer et devenir un mode privilégié de communication (dlr abdo pour éviter les abandons), ce qui traduit souvent des styles d’attachement insécure
  • Chez la personne âgée, bien que la maladie soit fréquente, il est également fréquent de rencontrer des somatisations.
    • À l’inverse, il faut faire attention aux changements « normaux » du vieillissement!
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118
Q

Facteurs PERPÉTUANTS
- Sociaux: chez l’enfant

A
  • Surtout chez l’enfant, la somatisation peut être une manière de s’exprimer et devenir un mode privilégié de communication (dlr abdo pour éviter les abandons), ce qui traduit souvent des styles d’attachement insécure
  • Chez la personne âgée, bien que la maladie soit fréquente, il est également fréquent de rencontrer des somatisations.
    • À l’inverse, il faut faire attention aux changements « normaux » du vieillissement!
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119
Q

Facteurs PERPÉTUANTS
- Sociaux: chez la personne âgée

A
  • Surtout chez l’enfant, la somatisation peut être une manière de s’exprimer et devenir un mode privilégié de communication (dlr abdo pour éviter les abandons), ce qui traduit souvent des styles d’attachement insécure
  • Chez la personne âgée, bien que la maladie soit fréquente, il est également fréquent de rencontrer des somatisations.
    • À l’inverse, il faut faire attention aux changements « normaux » du vieillissement!
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120
Q

Facteurs PERPÉTUANTS
- Sociaux: personne âgée - différencier de quoi?

A
  • Surtout chez l’enfant, la somatisation peut être une manière de s’exprimer et devenir un mode privilégié de communication (dlr abdo pour éviter les abandons), ce qui traduit souvent des styles d’attachement insécure
  • Chez la personne âgée, bien que la maladie soit fréquente, il est également fréquent de rencontrer des somatisations.
    • À l’inverse, il faut faire attention aux changements « normaux » du vieillissement!
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121
Q

Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels

A
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122
Q

Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels
- Nommez les facteurs précipitants

A
  • Événements de vie
  • Stress non spécifique
  • Maladie organique
  • Tr dépressif et/ou anxieux
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123
Q

Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels
- Nommez les facteurs prédisposants

A
  • Génétiques
  • Apprentissage intrafamilial des conduites de maladie
  • ATCD médicaux
  • Maltraitance et traumatsimes
  • Culture et classe sociale
  • Personnalité
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124
Q

Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels
- Sensations somatiques

A
  • d’origine physiologique ou pathologique
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125
Q

Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels
- conséquences des facteurs précipitants, précipitants et sensations somatiques

A

Interprétation des sensations corporelles comme symptômes (amplification somatique)

  • Attention sélective du corps
  • Attribution somatique
  • Inquiétudes concernat la santé
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126
Q

Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels
- Amplification somatique

A

Interprétation des sensations corporelles comme symptômes (amplification somatique)

  • Attention sélective du corps
  • Attribution somatique
  • Inquiétudes concernat la santé
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127
Q

Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels
- Nommez les facteurs biologiques et comportementaux perpétuants

A
  • Manifestation physiologiques de l’émotion
  • Hyperventilation
  • Hyperalgésie
  • Déconditionnement musculaire
  • Troubles du sommeil
  • Recherche de réassurance
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128
Q

Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels
- conséquences

A
  • Recherche de soins
  • Symptômes chroniques
  • Invalidité
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129
Q

Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels
- Nommez les facteurs psychosociaux perpétuants

A
  • Renforcement du rôle de malade par la famille et les proches
  • Dépression et anxiété
  • Iatrogénique
  • Systèmes de compensation (gains secondaires)
  • Conflits avec les organismes administratif
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130
Q

V ou F: Aucun facteur biologique ou génétique n’a été encore proposé dans l’étiologie du trouble à symptomatologie somatique

A
  • Faux, voir image
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131
Q

Exemples explications de sx somatiques inexpliqués dans différentes cultures

A
  • Le « mauvais œil » → bassin méditerranéen
  • Vaudou → Antilles
  • Possession démoniaque → Chrétienté
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132
Q

Exemples explications de sx somatiques inexpliqués dans différentes cultures
- mauvais oeil

A
  • Le « mauvais œil » → bassin méditerranéen
  • Vaudou → Antilles
  • Possession démoniaque → Chrétienté
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133
Q

Exemples explications de sx somatiques inexpliqués dans différentes cultures
- vaudou

A
  • Le « mauvais œil » → bassin méditerranéen
  • Vaudou → Antilles
  • Possession démoniaque → Chrétienté
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134
Q

Exemples explications de sx somatiques inexpliqués dans différentes cultures
- possession démoniaque

A
  • Le « mauvais œil » → bassin méditerranéen
  • Vaudou → Antilles
  • Possession démoniaque → Chrétienté
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135
Q

Type de personnalité associé aux tr lié à la somatisation

A
  • Au niveau de l’étiologie, aucun.
  • On observe les trois troubles et aucun spécifique n’y semble associé.
  • On a précédemment cru à l’hystérie pour la conversion (Freud) puis les traits obsessionnels pour l’hypocondriaque.
  • Par contre, au niveau des comorbidités entraînant des dysfonctionnements, les plus marqués sont les personnalités évitante, paranoïde et obsessionnelle-compulsive.
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136
Q

Type de personnalité associé aux tr lié à la somatisation
- Étiologie

A
  • Au niveau de l’étiologie, aucun.
  • On observe les trois troubles et aucun spécifique n’y semble associé.
  • On a précédemment cru à l’hystérie pour la conversion (Freud) puis les traits obsessionnels pour l’hypocondriaque.
  • Par contre, au niveau des comorbidités entraînant des dysfonctionnements, les plus marqués sont les personnalités évitante, paranoïde et obsessionnelle-compulsive.
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137
Q

Type de personnalité associé aux tr lié à la somatisation
- Nommez les types de personnalité associés

A
  • Au niveau de l’étiologie, aucun.
  • On observe les trois troubles et aucun spécifique n’y semble associé.
  • On a précédemment cru à l’hystérie pour la conversion (Freud) puis les traits obsessionnels pour l’hypocondriaque.
  • Par contre, au niveau des comorbidités entraînant des dysfonctionnements, les plus marqués sont les personnalités évitante, paranoïde et obsessionnelle-compulsive.
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138
Q

Conversion: Types de symptômes

A
  1. Moteurs
  2. Systémiques
  3. Sensoriels
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139
Q

Conversion: Types de sx
- Moteurs: nommez-les

A

Moteurs :

  • Faiblesse / spasmes musculaires / paralysie / évanouissement
  • Troubles du mouvement
  • Troubles de la déglutition
  • Symptômes reliés au langage
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140
Q

Conversion: Types de sx
- Systémiques: nommez-les

A

Systémiques :

  • Pseudo-convulsions / syncope
  • Symptômes cognitifs
  • Amnésie / état de transe ou de possession
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141
Q

Conversion: Types de sx
- Sensoriels: nommez-les

A

Sensoriels :

  • Paresthésies
  • Anesthésies
  • Étourdissements
  • Déficits visuels / olfactifs / auditifs
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142
Q

Belle indifférence

A
  • Un terme du Kaplan
  • La belle indifférence est évoquée lorsque le patient ne semble pas émotionnellement affecté par la gravité d’une condition aiguë / d’un symptômes.
  • Longtemps jugée pathognomonique de la conversion, elle n’est plus jugée essentielle, car on peut la retrouver dans différentes affections PSY ou neuro (ex. anosognosie, conversion post-AVC, paralysies…)
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143
Q

Belle indifférence: C’est quoi?

A
  • Un terme du Kaplan
  • La belle indifférence est évoquée lorsque le patient ne semble pas émotionnellement affecté par la gravité d’une condition aiguë / d’un symptômes.
  • Longtemps jugée pathognomonique de la conversion, elle n’est plus jugée essentielle, car on peut la retrouver dans différentes affections PSY ou neuro (ex. anosognosie, conversion post-AVC, paralysies…)
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144
Q

Belle indifférence: Définir

A
  • Un terme du Kaplan
  • La belle indifférence est évoquée lorsque le patient ne semble pas émotionnellement affecté par la gravité d’une condition aiguë / d’un symptômes.
  • Longtemps jugée pathognomonique de la conversion, elle n’est plus jugée essentielle, car on peut la retrouver dans différentes affections PSY ou neuro (ex. anosognosie, conversion post-AVC, paralysies…)
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145
Q

Belle indifférence: Pathognomonique

A
  • Un terme du Kaplan
  • La belle indifférence est évoquée lorsque le patient ne semble pas émotionnellement affecté par la gravité d’une condition aiguë / d’un symptômes.
  • Longtemps jugée pathognomonique de la conversion, elle n’est plus jugée essentielle, car on peut la retrouver dans différentes affections PSY ou neuro (ex. anosognosie, conversion post-AVC, paralysies…)
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146
Q

Bénéfice: Primaire VS secondaire
- les différencier

A
  • Primaire : protection du rôle de malade et celui-ci profite ainsi de certains privilèges (soins et services) et est exempté de plusieurs responsabilités, à condition qu’il veuille retrouver son état de santé.
    • Bref : Offrir un environnement de soins dans le but de recouvrer la santé.
  • Secondaire : obtention de bénéfices secondaires (privilèges et fuite de certaines responsabilités) en adoptant un comportement de malade que l’on qualifie d’anormal (perpétuation du rôle de malade).
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147
Q

Bénéfice: Primaire VS secondaire
- définir: bénéfice primaire

A
  • Primaire : protection du rôle de malade et celui-ci profite ainsi de certains privilèges (soins et services) et est exempté de plusieurs responsabilités, à condition qu’il veuille retrouver son état de santé.
    • Bref : Offrir un environnement de soins dans le but de recouvrer la santé.
  • Secondaire : obtention de bénéfices secondaires (privilèges et fuite de certaines responsabilités) en adoptant un comportement de malade que l’on qualifie d’anormal (perpétuation du rôle de malade).
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148
Q

Bénéfice: Primaire VS secondaire
- bénéfice primaire: bref

A
  • Primaire : protection du rôle de malade et celui-ci profite ainsi de certains privilèges (soins et services) et est exempté de plusieurs responsabilités, à condition qu’il veuille retrouver son état de santé.
    • Bref : Offrir un environnement de soins dans le but de recouvrer la santé.
  • Secondaire : obtention de bénéfices secondaires (privilèges et fuite de certaines responsabilités) en adoptant un comportement de malade que l’on qualifie d’anormal (perpétuation du rôle de malade).
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149
Q

Bénéfice: Primaire VS secondaire
- définir: bénéfice secondaire

A
  • Primaire : protection du rôle de malade et celui-ci profite ainsi de certains privilèges (soins et services) et est exempté de plusieurs responsabilités, à condition qu’il veuille retrouver son état de santé.
    • Bref : Offrir un environnement de soins dans le but de recouvrer la santé.
  • Secondaire : obtention de bénéfices secondaires (privilèges et fuite de certaines responsabilités) en adoptant un comportement de malade que l’on qualifie d’anormal (perpétuation du rôle de malade).
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150
Q

Facteurs contribuant à la chronicité des symptômes de somatisation
- nommez-les

A
  • Litige administratif
  • Attente d’une compensation
  • Croyances liées à une attribution somatique
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151
Q

Vrai ou faux : La personne souffrant du trouble « crainte excessive d’avoir une maladie » répond habituellement rapidement à une intervention de nature psychologique visant à rassurer. Justifiez.

A
  • Faux, la personne est difficile à rassurer et le patient demeure préoccupé, même si les résultats sont normaux.
  • Ceci le porte à être hypervigilant et à surveiller ses signes corporels de façon excessive.
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152
Q

Tr crainte excessive d’avoir une maladie: Réponse à psychothérapie servant à le rassurer

A
  • La personne est difficile à rassurer et le patient demeure préoccupé, même si les résultats sont normaux.
  • Ceci le porte à être hypervigilant et à surveiller ses signes corporels de façon excessive.
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153
Q

Somatisation: Types de facteurs pouvant précipiter les sx de somatisation

A

Voir schéma ci-haut expliquant les différentes étiologies et leurs interactions entre elles

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154
Q

Catégories diagnostiques de la symptomatologie somatique: Nommez-les

A
  1. Trouble à symptomatologie somatique (DSM-5)
  2. Troubles somatoformes (DSM-IV-TR)
  3. Troubles somatoformes et autres (CIM-10)
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155
Q

Catégories diagnostiques de la symptomatologie somatique: Tr à symptomatologie somatique (DSM-5)

A
  • Trouble à symptomatologie somatique
  • Crainte excessive d’avoir une maladie
  • Conversion (trouble à symptomatologie neurologique fonctionnelle)
  • Autres troubles spécifiés à symptomatologie somatique
  • Troubles non spécifiés à symptomatologie somatique
  • Facteurs psychologiques influençant une affection médicale
  • Trouble factice
  • Obsession d’une dysmorphie corporelle
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156
Q

Catégories diagnostiques de la symptomatologie somatique: Tr à symptomatologie somatique (DSM-5)
- nommez-les

A
  • Trouble à symptomatologie somatique
  • Crainte excessive d’avoir une maladie
  • Conversion (trouble à symptomatologie neurologique fonctionnelle)
  • Autres troubles spécifiés à symptomatologie somatique
  • Troubles non spécifiés à symptomatologie somatique
  • Facteurs psychologiques influençant une affection médicale
  • Trouble factice
  • Obsession d’une dysmorphie corporelle
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157
Q

Catégories diagnostiques de la symptomatologie somatique: Tr somatoformes (DSM-IV-TR)

A
  • Trouble de somatisation
  • Trouble somatoforme indifférencié
  • Trouble douloureux
  • Hypocondrie (avec symptômes somatiques)
  • Hypocondrie (sans symptômes somatiques prédominants)
  • Trouble de conversion
  • Trouble somatoforme non spécifié
  • Catégorie incluse dans « autres conditions d’intérêt clinique »
  • Catégorie spécifique non incluse dans les troubles somatoformes
  • Trouble dysmorphique corporel
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158
Q

Catégories diagnostiques de la symptomatologie somatique: Tr somatoformes (DSM-IV-TR)
- nommez-les

A
  • Trouble de somatisation
  • Trouble somatoforme indifférencié
  • Trouble douloureux
  • Hypocondrie (avec symptômes somatiques)
  • Hypocondrie (sans symptômes somatiques prédominants)
  • Trouble de conversion
  • Trouble somatoforme non spécifié
  • Catégorie incluse dans « autres conditions d’intérêt clinique »
  • Catégorie spécifique non incluse dans les troubles somatoformes
  • Trouble dysmorphique corporel
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159
Q

Catégories diagnostiques de la symptomatologie somatique: Tr somatoformes et autres (CIM-10)

A
  • Somatisation
  • Trouble somatoforme indifférencié
  • Syndrome douloureux somatoforme persistant
  • Trouble hypocondriaque
  • Trouble hypocondriaque (nosophobie)
  • Troubles dissociatifs (de conversion)
  • Troubles dissociatifs de la motricité et des organes de sens
  • Troubles moteurs dissociatifs
  • Convulsions dissociatives
  • Anesthésie dissociative et atteintes sensorielles
  • Troubles dissociatifs (de conversion) mixtes
  • Autres troubles dissociatifs (de conversion)
  • Troubles dissociatifs (de conversion) sans précision
  • Autres troubles somatoformes
  • Trouble somatoforme sans précision
  • Production intentionnelle ou simulation de symptômes ou d’incapacités, soit physiques, soit psychologiques (trouble factice)
  • Peur d’une dysmorphie corporelle
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160
Q

Catégories diagnostiques de la symptomatologie somatique: Tr somatoformes et autres (CIM-10)
- nommez-les

A
  • Somatisation
  • Trouble somatoforme indifférencié
  • Syndrome douloureux somatoforme persistant
  • Trouble hypocondriaque
  • Trouble hypocondriaque (nosophobie)
  • Troubles dissociatifs (de conversion)
  • Troubles dissociatifs de la motricité et des organes de sens
  • Troubles moteurs dissociatifs
  • Convulsions dissociatives
  • Anesthésie dissociative et atteintes sensorielles
  • Troubles dissociatifs (de conversion) mixtes
  • Autres troubles dissociatifs (de conversion)
  • Troubles dissociatifs (de conversion) sans précision
  • Autres troubles somatoformes
  • Trouble somatoforme sans précision
  • Production intentionnelle ou simulation de symptômes ou d’incapacités, soit physiques, soit psychologiques (trouble factice)
  • Peur d’une dysmorphie corporelle
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161
Q

Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques

A
  • A. Un ou plusieurs symptômes somatiques causes de détresse ou entraînant une altération significative de la vie quotidienne.
  • B. Pensées, sentiments ou comportements excessifs liés aux symptômes somatiques ou associés à des préoccupations sur la santé suscitées par ces symptômes, se manifestant par au moins un des symptômes suivants :
    • 1.Pensées persistantes et excessives concernant la gravité de ses symptômes.
    • 2.Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes.
    • 3.Temps et énergie excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé.
  • C. Bien qu’un symptôme spécifique puisse ne pas être continuellement présent, l’état symptomatique est durable (typiquement plus de 6 mois).
  • Spécifier si :
    • Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
  • Spécifier si :
    • Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
    • Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
    • Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
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162
Q

Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- c’est quoi?

A
  • A. Un ou plusieurs symptômes somatiques causes de détresse ou entraînant une altération significative de la vie quotidienne.
  • B. Pensées, sentiments ou comportements excessifs liés aux symptômes somatiques ou associés à des préoccupations sur la santé suscitées par ces symptômes, se manifestant par au moins un des symptômes suivants :
    • 1.Pensées persistantes et excessives concernant la gravité de ses symptômes.
    • 2.Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes.
    • 3.Temps et énergie excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé.
  • C. Bien qu’un symptôme spécifique puisse ne pas être continuellement présent, l’état symptomatique est durable (typiquement plus de 6 mois).
  • Spécifier si :
    • Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
  • Spécifier si :
    • Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
    • Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
    • Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
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Q

Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- nb de sx nécessaires

A
  • A. Un ou plusieurs symptômes somatiques causes de détresse ou entraînant une altération significative de la vie quotidienne.
  • B. Pensées, sentiments ou comportements excessifs liés aux symptômes somatiques ou associés à des préoccupations sur la santé suscitées par ces symptômes, se manifestant par au moins un des symptômes suivants :
    • 1.Pensées persistantes et excessives concernant la gravité de ses symptômes.
    • 2.Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes.
    • 3.Temps et énergie excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé.
  • C. Bien qu’un symptôme spécifique puisse ne pas être continuellement présent, l’état symptomatique est durable (typiquement plus de 6 mois).
  • Spécifier si :
    • Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
  • Spécifier si :
    • Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
    • Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
    • Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
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164
Q

Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- impacts

A
  • A. Un ou plusieurs symptômes somatiques causes de détresse ou entraînant une altération significative de la vie quotidienne.
  • B. Pensées, sentiments ou comportements excessifs liés aux symptômes somatiques ou associés à des préoccupations sur la santé suscitées par ces symptômes, se manifestant par au moins un des symptômes suivants :
    • 1.Pensées persistantes et excessives concernant la gravité de ses symptômes.
    • 2.Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes.
    • 3.Temps et énergie excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé.
  • C. Bien qu’un symptôme spécifique puisse ne pas être continuellement présent, l’état symptomatique est durable (typiquement plus de 6 mois).
  • Spécifier si :
    • Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
  • Spécifier si :
    • Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
    • Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
    • Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
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Q

Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- nommez les symptômes

A
  • A. Un ou plusieurs symptômes somatiques causes de détresse ou entraînant une altération significative de la vie quotidienne.
  • B. Pensées, sentiments ou comportements excessifs liés aux symptômes somatiques ou associés à des préoccupations sur la santé suscitées par ces symptômes, se manifestant par au moins un des symptômes suivants :
    • 1.Pensées persistantes et excessives concernant la gravité de ses symptômes.
    • 2.Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes.
    • 3.Temps et énergie excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé.
  • C. Bien qu’un symptôme spécifique puisse ne pas être continuellement présent, l’état symptomatique est durable (typiquement plus de 6 mois).
  • Spécifier si :
    • Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
  • Spécifier si :
    • Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
    • Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
    • Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
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166
Q

Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- durée

A
  • A. Un ou plusieurs symptômes somatiques causes de détresse ou entraînant une altération significative de la vie quotidienne.
  • B. Pensées, sentiments ou comportements excessifs liés aux symptômes somatiques ou associés à des préoccupations sur la santé suscitées par ces symptômes, se manifestant par au moins un des symptômes suivants :
    • 1.Pensées persistantes et excessives concernant la gravité de ses symptômes.
    • 2.Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes.
    • 3.Temps et énergie excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé.
  • C. Bien qu’un symptôme spécifique puisse ne pas être continuellement présent, l’état symptomatique est durable (typiquement plus de 6 mois).
  • Spécifier si :
    • Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
  • Spécifier si :
    • Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
    • Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
    • Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
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167
Q

Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- spécifications

A
  • Spécifier si :
    • Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
  • Spécifier si :
    • Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
    • Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
    • Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
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168
Q

Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- spécifications: douleur dominante

A
  • Spécifier si :
    • Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
  • Spécifier si :
    • Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
    • Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
    • Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
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169
Q

Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- spécifications: chronique

A
  • Spécifier si :
    • Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
  • Spécifier si :
    • Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
    • Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
    • Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
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170
Q

Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- spécifications: sévérité

A
  • Spécifier si :
    • Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
  • Spécifier si :
    • Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
    • Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
    • Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
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171
Q

Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- spécifications: sévérité - légère

A
  • Spécifier si :
    • Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
  • Spécifier si :
    • Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
    • Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
    • Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
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172
Q

Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- spécifications: sévérité - moyenne

A
  • Spécifier si :
    • Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
  • Spécifier si :
    • Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
    • Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
    • Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
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173
Q

Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- spécifications: sévérité - grave

A
  • Spécifier si :
    • Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
  • Spécifier si :
    • Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
    • Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
    • Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
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174
Q

Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques

A
  • A. Préoccupation concernant le fait d’avoir ou de développer une maladie grave.
  • B. Les symptômes somatiques sont absents ou s’ils sont présents, ils sont d’intensité mineure. Si un autre problème médical est présent ou en cas de risque notable de développement d’une affection médicale (p. ex., du fait de la présence d’antécédents familiaux importants), la préoccupation est clairement excessive ou disproportionnée.
  • C. Il existe un degré important d’anxiété concernant la santé et la personne s’inquiète facilement de son état de santé personnel.
  • D. La personne présente des comportements excessifs par rapport à sa santé (p. ex., effectue des vérifications répétées de son corps à la recherche des signes d’une maladie) ou présente un évitement inadapté (p. ex., évite les rendez-vous médicaux et les hôpitaux).
  • E. Les préoccupations concernant la maladie sont présentes depuis au moins 6 mois mais la nature de la maladie qui est spécifiquement anticipée peut avoir changé durant cette période de temps.
  • F. La préoccupation relative aux maladies n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental tel que :
    • un trouble à symptomatologie somatique,
    • un trouble panique,
    • une anxiété généralisée,
    • une obsession de dysmorphie corporelle,
    • un trouble obsessionnel-compulsif,
    • un trouble délirant à type somatique.
  • Spécifier le type :
    • À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente.
    • À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
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Q

Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques
- c’est quoi?

A
  • A. Préoccupation concernant le fait d’avoir ou de développer une maladie grave.
  • B. Les symptômes somatiques sont absents ou s’ils sont présents, ils sont d’intensité mineure. Si un autre problème médical est présent ou en cas de risque notable de développement d’une affection médicale (p. ex., du fait de la présence d’antécédents familiaux importants), la préoccupation est clairement excessive ou disproportionnée.
  • C. Il existe un degré important d’anxiété concernant la santé et la personne s’inquiète facilement de son état de santé personnel.
  • D. La personne présente des comportements excessifs par rapport à sa santé (p. ex., effectue des vérifications répétées de son corps à la recherche des signes d’une maladie) ou présente un évitement inadapté (p. ex., évite les rendez-vous médicaux et les hôpitaux).
  • E. Les préoccupations concernant la maladie sont présentes depuis au moins 6 mois mais la nature de la maladie qui est spécifiquement anticipée peut avoir changé durant cette période de temps.
  • F. La préoccupation relative aux maladies n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental tel que :
    • un trouble à symptomatologie somatique,
    • un trouble panique,
    • une anxiété généralisée,
    • une obsession de dysmorphie corporelle,
    • un trouble obsessionnel-compulsif,
    • un trouble délirant à type somatique.
  • Spécifier le type :
    • À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente.
    • À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
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Q

Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques
- symptômes somatiques

A
  • A. Préoccupation concernant le fait d’avoir ou de développer une maladie grave.
  • B. Les symptômes somatiques sont absents ou s’ils sont présents, ils sont d’intensité mineure. Si un autre problème médical est présent ou en cas de risque notable de développement d’une affection médicale (p. ex., du fait de la présence d’antécédents familiaux importants), la préoccupation est clairement excessive ou disproportionnée.
  • C. Il existe un degré important d’anxiété concernant la santé et la personne s’inquiète facilement de son état de santé personnel.
  • D. La personne présente des comportements excessifs par rapport à sa santé (p. ex., effectue des vérifications répétées de son corps à la recherche des signes d’une maladie) ou présente un évitement inadapté (p. ex., évite les rendez-vous médicaux et les hôpitaux).
  • E. Les préoccupations concernant la maladie sont présentes depuis au moins 6 mois mais la nature de la maladie qui est spécifiquement anticipée peut avoir changé durant cette période de temps.
  • F. La préoccupation relative aux maladies n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental tel que :
    • un trouble à symptomatologie somatique,
    • un trouble panique,
    • une anxiété généralisée,
    • une obsession de dysmorphie corporelle,
    • un trouble obsessionnel-compulsif,
    • un trouble délirant à type somatique.
  • Spécifier le type :
    • À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente.
    • À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
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Q

Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques
- si autre problème médical présent

A
  • A. Préoccupation concernant le fait d’avoir ou de développer une maladie grave.
  • B. Les symptômes somatiques sont absents ou s’ils sont présents, ils sont d’intensité mineure. Si un autre problème médical est présent ou en cas de risque notable de développement d’une affection médicale (p. ex., du fait de la présence d’antécédents familiaux importants), la préoccupation est clairement excessive ou disproportionnée.
  • C. Il existe un degré important d’anxiété concernant la santé et la personne s’inquiète facilement de son état de santé personnel.
  • D. La personne présente des comportements excessifs par rapport à sa santé (p. ex., effectue des vérifications répétées de son corps à la recherche des signes d’une maladie) ou présente un évitement inadapté (p. ex., évite les rendez-vous médicaux et les hôpitaux).
  • E. Les préoccupations concernant la maladie sont présentes depuis au moins 6 mois mais la nature de la maladie qui est spécifiquement anticipée peut avoir changé durant cette période de temps.
  • F. La préoccupation relative aux maladies n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental tel que :
    • un trouble à symptomatologie somatique,
    • un trouble panique,
    • une anxiété généralisée,
    • une obsession de dysmorphie corporelle,
    • un trouble obsessionnel-compulsif,
    • un trouble délirant à type somatique.
  • Spécifier le type :
    • À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente.
    • À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
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Q

Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques
- anxiété

A
  • A. Préoccupation concernant le fait d’avoir ou de développer une maladie grave.
  • B. Les symptômes somatiques sont absents ou s’ils sont présents, ils sont d’intensité mineure. Si un autre problème médical est présent ou en cas de risque notable de développement d’une affection médicale (p. ex., du fait de la présence d’antécédents familiaux importants), la préoccupation est clairement excessive ou disproportionnée.
  • C. Il existe un degré important d’anxiété concernant la santé et la personne s’inquiète facilement de son état de santé personnel.
  • D. La personne présente des comportements excessifs par rapport à sa santé (p. ex., effectue des vérifications répétées de son corps à la recherche des signes d’une maladie) ou présente un évitement inadapté (p. ex., évite les rendez-vous médicaux et les hôpitaux).
  • E. Les préoccupations concernant la maladie sont présentes depuis au moins 6 mois mais la nature de la maladie qui est spécifiquement anticipée peut avoir changé durant cette période de temps.
  • F. La préoccupation relative aux maladies n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental tel que :
    • un trouble à symptomatologie somatique,
    • un trouble panique,
    • une anxiété généralisée,
    • une obsession de dysmorphie corporelle,
    • un trouble obsessionnel-compulsif,
    • un trouble délirant à type somatique.
  • Spécifier le type :
    • À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente.
    • À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
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Q

Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques
- impacts

A
  • A. Préoccupation concernant le fait d’avoir ou de développer une maladie grave.
  • B. Les symptômes somatiques sont absents ou s’ils sont présents, ils sont d’intensité mineure. Si un autre problème médical est présent ou en cas de risque notable de développement d’une affection médicale (p. ex., du fait de la présence d’antécédents familiaux importants), la préoccupation est clairement excessive ou disproportionnée.
  • C. Il existe un degré important d’anxiété concernant la santé et la personne s’inquiète facilement de son état de santé personnel.
  • D. La personne présente des comportements excessifs par rapport à sa santé (p. ex., effectue des vérifications répétées de son corps à la recherche des signes d’une maladie) ou présente un évitement inadapté (p. ex., évite les rendez-vous médicaux et les hôpitaux).
  • E. Les préoccupations concernant la maladie sont présentes depuis au moins 6 mois mais la nature de la maladie qui est spécifiquement anticipée peut avoir changé durant cette période de temps.
  • F. La préoccupation relative aux maladies n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental tel que :
    • un trouble à symptomatologie somatique,
    • un trouble panique,
    • une anxiété généralisée,
    • une obsession de dysmorphie corporelle,
    • un trouble obsessionnel-compulsif,
    • un trouble délirant à type somatique.
  • Spécifier le type :
    • À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente.
    • À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
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Q

Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques
- durée

A
  • A. Préoccupation concernant le fait d’avoir ou de développer une maladie grave.
  • B. Les symptômes somatiques sont absents ou s’ils sont présents, ils sont d’intensité mineure. Si un autre problème médical est présent ou en cas de risque notable de développement d’une affection médicale (p. ex., du fait de la présence d’antécédents familiaux importants), la préoccupation est clairement excessive ou disproportionnée.
  • C. Il existe un degré important d’anxiété concernant la santé et la personne s’inquiète facilement de son état de santé personnel.
  • D. La personne présente des comportements excessifs par rapport à sa santé (p. ex., effectue des vérifications répétées de son corps à la recherche des signes d’une maladie) ou présente un évitement inadapté (p. ex., évite les rendez-vous médicaux et les hôpitaux).
  • E. Les préoccupations concernant la maladie sont présentes depuis au moins 6 mois mais la nature de la maladie qui est spécifiquement anticipée peut avoir changé durant cette période de temps.
  • F. La préoccupation relative aux maladies n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental tel que :
    • un trouble à symptomatologie somatique,
    • un trouble panique,
    • une anxiété généralisée,
    • une obsession de dysmorphie corporelle,
    • un trouble obsessionnel-compulsif,
    • un trouble délirant à type somatique.
  • Spécifier le type :
    • À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente.
    • À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
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Q

Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques
- exclure quoi?

A
  • A. Préoccupation concernant le fait d’avoir ou de développer une maladie grave.
  • B. Les symptômes somatiques sont absents ou s’ils sont présents, ils sont d’intensité mineure. Si un autre problème médical est présent ou en cas de risque notable de développement d’une affection médicale (p. ex., du fait de la présence d’antécédents familiaux importants), la préoccupation est clairement excessive ou disproportionnée.
  • C. Il existe un degré important d’anxiété concernant la santé et la personne s’inquiète facilement de son état de santé personnel.
  • D. La personne présente des comportements excessifs par rapport à sa santé (p. ex., effectue des vérifications répétées de son corps à la recherche des signes d’une maladie) ou présente un évitement inadapté (p. ex., évite les rendez-vous médicaux et les hôpitaux).
  • E. Les préoccupations concernant la maladie sont présentes depuis au moins 6 mois mais la nature de la maladie qui est spécifiquement anticipée peut avoir changé durant cette période de temps.
  • F. La préoccupation relative aux maladies n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental tel que :
    • un trouble à symptomatologie somatique,
    • un trouble panique,
    • une anxiété généralisée,
    • une obsession de dysmorphie corporelle,
    • un trouble obsessionnel-compulsif,
    • un trouble délirant à type somatique.
  • Spécifier le type :
    • À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente.
    • À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
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Q

Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques
- spécifications

A
  • Spécifier le type :
    • À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente.
    • À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
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Q

Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques
- spécifications: types

A
  • Spécifier le type :
    • À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente.
    • À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
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Q

Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques
- spécifications: type demande de soins

A
  • Spécifier le type :
    • À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente.
    • À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
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Q

Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques
- spécifications: type évitant les soins

A
  • Spécifier le type :
    • À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente.
    • À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
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Q

Trouble de conversion: Synonyme

A

Trouble à symptomatologie neurologique fonctionnelle

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Q

Tr de conversion: Critères diagnostiques

A
  • A. Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles.
  • B. Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnue.
  • C. Les symptômes ou les handicaps ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble médical ou mental.
  • D. Le symptôme ou le handicap entraîne une détresse ou une altération cliniquement signicative dans le domaine du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, ou nécessite une évaluation médicale.
  • Spécifier le type de symptôme :
    • Avec faiblesse ou paralysie
    • Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche)
    • Avec des symptômes de déglutition
    • Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation)
    • Avec attaques ou crises épileptiformes
    • Avec anesthésie ou perte sensorielle
    • Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition)
    • Avec symptômes associés
  • Spécifier si :
    • Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois.
    • Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus.
  • Spécifier si :
    • Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress)
    • Sans facteur de stress psychologique
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Q

Tr de conversion: Critères diagnostiques
- c’est quoi?

A
  • A. Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles.
  • B. Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnue.
  • C. Les symptômes ou les handicaps ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble médical ou mental.
  • D. Le symptôme ou le handicap entraîne une détresse ou une altération cliniquement signicative dans le domaine du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, ou nécessite une évaluation médicale.
  • Spécifier le type de symptôme :
    • Avec faiblesse ou paralysie
    • Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche)
    • Avec des symptômes de déglutition
    • Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation)
    • Avec attaques ou crises épileptiformes
    • Avec anesthésie ou perte sensorielle
    • Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition)
    • Avec symptômes associés
  • Spécifier si :
    • Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois.
    • Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus.
  • Spécifier si :
    • Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress)
    • Sans facteur de stress psychologique
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Q

Tr de conversion: Critères diagnostiques
- nb de symptômes

A
  • A. Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles.
  • B. Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnue.
  • C. Les symptômes ou les handicaps ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble médical ou mental.
  • D. Le symptôme ou le handicap entraîne une détresse ou une altération cliniquement signicative dans le domaine du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, ou nécessite une évaluation médicale.
  • Spécifier le type de symptôme :
    • Avec faiblesse ou paralysie
    • Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche)
    • Avec des symptômes de déglutition
    • Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation)
    • Avec attaques ou crises épileptiformes
    • Avec anesthésie ou perte sensorielle
    • Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition)
    • Avec symptômes associés
  • Spécifier si :
    • Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois.
    • Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus.
  • Spécifier si :
    • Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress)
    • Sans facteur de stress psychologique
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Tr de conversion: Critères diagnostiques
- type de symptômes

A
  • A. Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles.
  • B. Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnue.
  • C. Les symptômes ou les handicaps ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble médical ou mental.
  • D. Le symptôme ou le handicap entraîne une détresse ou une altération cliniquement signicative dans le domaine du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, ou nécessite une évaluation médicale.
  • Spécifier le type de symptôme :
    • Avec faiblesse ou paralysie
    • Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche)
    • Avec des symptômes de déglutition
    • Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation)
    • Avec attaques ou crises épileptiformes
    • Avec anesthésie ou perte sensorielle
    • Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition)
    • Avec symptômes associés
  • Spécifier si :
    • Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois.
    • Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus.
  • Spécifier si :
    • Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress)
    • Sans facteur de stress psychologique
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Tr de conversion: Critères diagnostiques
- ce que démontrent les données cliniques

A
  • A. Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles.
  • B. Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnue.
  • C. Les symptômes ou les handicaps ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble médical ou mental.
  • D. Le symptôme ou le handicap entraîne une détresse ou une altération cliniquement signicative dans le domaine du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, ou nécessite une évaluation médicale.
  • Spécifier le type de symptôme :
    • Avec faiblesse ou paralysie
    • Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche)
    • Avec des symptômes de déglutition
    • Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation)
    • Avec attaques ou crises épileptiformes
    • Avec anesthésie ou perte sensorielle
    • Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition)
    • Avec symptômes associés
  • Spécifier si :
    • Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois.
    • Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus.
  • Spécifier si :
    • Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress)
    • Sans facteur de stress psychologique
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Q

Tr de conversion: Critères diagnostiques
- exclure quoi?

A
  • A. Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles.
  • B. Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnue.
  • C. Les symptômes ou les handicaps ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble médical ou mental.
  • D. Le symptôme ou le handicap entraîne une détresse ou une altération cliniquement signicative dans le domaine du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, ou nécessite une évaluation médicale.
  • Spécifier le type de symptôme :
    • Avec faiblesse ou paralysie
    • Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche)
    • Avec des symptômes de déglutition
    • Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation)
    • Avec attaques ou crises épileptiformes
    • Avec anesthésie ou perte sensorielle
    • Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition)
    • Avec symptômes associés
  • Spécifier si :
    • Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois.
    • Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus.
  • Spécifier si :
    • Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress)
    • Sans facteur de stress psychologique
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Tr de conversion: Critères diagnostiques
- impacts

A
  • A. Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles.
  • B. Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnue.
  • C. Les symptômes ou les handicaps ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble médical ou mental.
  • D. Le symptôme ou le handicap entraîne une détresse ou une altération cliniquement significative dans le domaine du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, ou nécessite une évaluation médicale.
  • Spécifier le type de symptôme :
    • Avec faiblesse ou paralysie
    • Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche)
    • Avec des symptômes de déglutition
    • Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation)
    • Avec attaques ou crises épileptiformes
    • Avec anesthésie ou perte sensorielle
    • Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition)
    • Avec symptômes associés
  • Spécifier si :
    • Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois.
    • Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus.
  • Spécifier si :
    • Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress)
    • Sans facteur de stress psychologique
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Tr de conversion: Critères
- spécifications

A
  • Spécifier le type de symptôme :
    • Avec faiblesse ou paralysie
    • Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche)
    • Avec des symptômes de déglutition
    • Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation)
    • Avec attaques ou crises épileptiformes
    • Avec anesthésie ou perte sensorielle
    • Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition)
    • Avec symptômes associés
  • Spécifier si :
    • Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois.
    • Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus.
  • Spécifier si :
    • Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress)
    • Sans facteur de stress psychologique
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Q

Tr de conversion: Critères
- spécifications: types de symptômes

A
  • Spécifier le type de symptôme :
    • Avec faiblesse ou paralysie
    • Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche)
    • Avec des symptômes de déglutition
    • Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation)
    • Avec attaques ou crises épileptiformes
    • Avec anesthésie ou perte sensorielle
    • Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition)
    • Avec symptômes associés
  • Spécifier si :
    • Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois.
    • Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus.
  • Spécifier si :
    • Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress)
    • Sans facteur de stress psychologique
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Q

Tr de conversion: Critères
- spécifications: chronique vs aigu

A
  • Spécifier le type de symptôme :
    • Avec faiblesse ou paralysie
    • Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche)
    • Avec des symptômes de déglutition
    • Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation)
    • Avec attaques ou crises épileptiformes
    • Avec anesthésie ou perte sensorielle
    • Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition)
    • Avec symptômes associés
  • Spécifier si :
    • Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois.
    • Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus.
  • Spécifier si :
    • Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress)
    • Sans facteur de stress psychologique
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197
Q

Tr de conversion: Critères
- spécifications: facteur de stress

A
  • Spécifier le type de symptôme :
    • Avec faiblesse ou paralysie
    • Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche)
    • Avec des symptômes de déglutition
    • Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation)
    • Avec attaques ou crises épileptiformes
    • Avec anesthésie ou perte sensorielle
    • Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition)
    • Avec symptômes associés
  • Spécifier si :
    • Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois.
    • Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus.
  • Spécifier si :
    • Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress)
    • Sans facteur de stress psychologique
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198
Q

Autres tr spécifiés et non spécifiés à symptomatologie somatique

A

Cette catégorie s’applique aux présentations dans lesquelles des symptômes caractéristiques d’un trouble à symptomatologie somatique, entraînant une détresse significative ou un handicap social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, prédominent sans remplir toutefois l’ensemble des critères de l’un des troubles de cette classe.

Les exemples de présentations qui peuvent répondre au qualificatif de « autre trouble spécifié » comprennent les troubles suivants :

  • A.Trouble à symptomatologie somatique, brève: Durée des symptômes de moins 6 mois.
  • B.Crainte excessive d’avoir une maladie,brève : Durée des symptômes de moins 6 mois.
  • C.Crainte excessive d’avoir une maladie,sans comportement excessif relatif à la santé : Le critère D de la crainte excessive d’avoir une maladie n’est pas rempli.
  • D.Grossesse nerveuse (pseudocyèse): Conviction erronée d’être enceinte associée à des signes objectifs et des symptômes associés à la grossesse.
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199
Q

Autres tr spécifiés et non spécifiés à symptomatologie somatique
- définir

A

Cette catégorie s’applique aux présentations dans lesquelles des symptômes caractéristiques d’un trouble à symptomatologie somatique, entraînant une détresse significative ou un handicap social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, prédominent sans remplir toutefois l’ensemble des critères de l’un des troubles de cette classe.

Les exemples de présentations qui peuvent répondre au qualificatif de « autre trouble spécifié » comprennent les troubles suivants :

  • A.Trouble à symptomatologie somatique, brève: Durée des symptômes de moins 6 mois.
  • B.Crainte excessive d’avoir une maladie,brève : Durée des symptômes de moins 6 mois.
  • C.Crainte excessive d’avoir une maladie,sans comportement excessif relatif à la santé : Le critère D de la crainte excessive d’avoir une maladie n’est pas rempli.
  • D.Grossesse nerveuse (pseudocyèse): Conviction erronée d’être enceinte associée à des signes objectifs et des symptômes associés à la grossesse.
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200
Q

Autres tr spécifiés et non spécifiés à symptomatologie somatique
- impacts

A

Cette catégorie s’applique aux présentations dans lesquelles des symptômes caractéristiques d’un trouble à symptomatologie somatique, entraînant une détresse significative ou un handicap social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, prédominent sans remplir toutefois l’ensemble des critères de l’un des troubles de cette classe.

Les exemples de présentations qui peuvent répondre au qualificatif de « autre trouble spécifié » comprennent les troubles suivants :

  • A.Trouble à symptomatologie somatique, brève: Durée des symptômes de moins 6 mois.
  • B.Crainte excessive d’avoir une maladie,brève : Durée des symptômes de moins 6 mois.
  • C.Crainte excessive d’avoir une maladie,sans comportement excessif relatif à la santé : Le critère D de la crainte excessive d’avoir une maladie n’est pas rempli.
  • D.Grossesse nerveuse (pseudocyèse): Conviction erronée d’être enceinte associée à des signes objectifs et des symptômes associés à la grossesse.
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201
Q

Autres tr spécifiés et non spécifiés à symptomatologie somatique
- exemples de présentations

A

Cette catégorie s’applique aux présentations dans lesquelles des symptômes caractéristiques d’un trouble à symptomatologie somatique, entraînant une détresse significative ou un handicap social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, prédominent sans remplir toutefois l’ensemble des critères de l’un des troubles de cette classe.

Les exemples de présentations qui peuvent répondre au qualificatif de « autre trouble spécifié » comprennent les troubles suivants :

  • A.Trouble à symptomatologie somatique, brève: Durée des symptômes de moins 6 mois.
  • B.Crainte excessive d’avoir une maladie,brève : Durée des symptômes de moins 6 mois.
  • C.Crainte excessive d’avoir une maladie,sans comportement excessif relatif à la santé : Le critère D de la crainte excessive d’avoir une maladie n’est pas rempli.
  • D.Grossesse nerveuse (pseudocyèse): Conviction erronée d’être enceinte associée à des signes objectifs et des symptômes associés à la grossesse.
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202
Q

Autres tr spécifiés et non spécifiés à symptomatologie somatique
- exemples de présentations: tr à symptomatologie brève

A

Cette catégorie s’applique aux présentations dans lesquelles des symptômes caractéristiques d’un trouble à symptomatologie somatique, entraînant une détresse significative ou un handicap social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, prédominent sans remplir toutefois l’ensemble des critères de l’un des troubles de cette classe.

Les exemples de présentations qui peuvent répondre au qualificatif de « autre trouble spécifié » comprennent les troubles suivants :

  • A.Trouble à symptomatologie somatique, brève: Durée des symptômes de moins 6 mois.
  • B.Crainte excessive d’avoir une maladie,brève : Durée des symptômes de moins 6 mois.
  • C.Crainte excessive d’avoir une maladie,sans comportement excessif relatif à la santé : Le critère D de la crainte excessive d’avoir une maladie n’est pas rempli.
  • D.Grossesse nerveuse (pseudocyèse): Conviction erronée d’être enceinte associée à des signes objectifs et des symptômes associés à la grossesse.
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203
Q

Autres tr spécifiés et non spécifiés à symptomatologie somatique
- exemples de présentations: Crainte excessive d’avoir une maladie brève

A

Cette catégorie s’applique aux présentations dans lesquelles des symptômes caractéristiques d’un trouble à symptomatologie somatique, entraînant une détresse significative ou un handicap social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, prédominent sans remplir toutefois l’ensemble des critères de l’un des troubles de cette classe.

Les exemples de présentations qui peuvent répondre au qualificatif de « autre trouble spécifié » comprennent les troubles suivants :

  • A.Trouble à symptomatologie somatique, brève: Durée des symptômes de moins 6 mois.
  • B.Crainte excessive d’avoir une maladie,brève : Durée des symptômes de moins 6 mois.
  • C.Crainte excessive d’avoir une maladie,sans comportement excessif relatif à la santé : Le critère D de la crainte excessive d’avoir une maladie n’est pas rempli.
  • D.Grossesse nerveuse (pseudocyèse): Conviction erronée d’être enceinte associée à des signes objectifs et des symptômes associés à la grossesse.
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204
Q

Autres tr spécifiés et non spécifiés à symptomatologie somatique
- exemples de présentations: Crainte excessive d’avoir une maladie sans comportement excessif relatif à la santé

A

Cette catégorie s’applique aux présentations dans lesquelles des symptômes caractéristiques d’un trouble à symptomatologie somatique, entraînant une détresse significative ou un handicap social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, prédominent sans remplir toutefois l’ensemble des critères de l’un des troubles de cette classe.

Les exemples de présentations qui peuvent répondre au qualificatif de « autre trouble spécifié » comprennent les troubles suivants :

  • A.Trouble à symptomatologie somatique, brève: Durée des symptômes de moins 6 mois.
  • B.Crainte excessive d’avoir une maladie,brève : Durée des symptômes de moins 6 mois.
  • C.Crainte excessive d’avoir une maladie,sans comportement excessif relatif à la santé : Le critère D de la crainte excessive d’avoir une maladie n’est pas rempli.
  • D.Grossesse nerveuse (pseudocyèse): Conviction erronée d’être enceinte associée à des signes objectifs et des symptômes associés à la grossesse.
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205
Q

Autres tr spécifiés et non spécifiés à symptomatologie somatique
- exemples de présentations: Grossesse nerveuse (pseudocyèse)

A

Cette catégorie s’applique aux présentations dans lesquelles des symptômes caractéristiques d’un trouble à symptomatologie somatique, entraînant une détresse significative ou un handicap social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, prédominent sans remplir toutefois l’ensemble des critères de l’un des troubles de cette classe.

Les exemples de présentations qui peuvent répondre au qualificatif de « autre trouble spécifié » comprennent les troubles suivants :

  • A.Trouble à symptomatologie somatique, brève: Durée des symptômes de moins 6 mois.
  • B.Crainte excessive d’avoir une maladie,brève : Durée des symptômes de moins 6 mois.
  • C.Crainte excessive d’avoir une maladie,sans comportement excessif relatif à la santé : Le critère D de la crainte excessive d’avoir une maladie n’est pas rempli.
  • D.Grossesse nerveuse (pseudocyèse): Conviction erronée d’être enceinte associée à des signes objectifs et des symptômes associés à la grossesse.
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206
Q

TSS: Nom long

A

Trouble à symptomatologie somatoforme

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207
Q

Tr à symptomatologie somatoforme: Traitements globaux

A
  • L’aspect fondamental avec ce type de patient est l’alliance thérapeutique entre le patient et le médecin
  • Approche générale globale
  • Modèle de réattribution
  • Traitement psychopharmacologique
  • Activation physique
  • Approches psychothérapeutiques spécifiques
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208
Q

Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- aspect fondamental

A
  • L’aspect fondamental avec ce type de patient est l’alliance thérapeutique entre le patient et le médecin
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209
Q

Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Approche générale globale

A

Approche générale globale : le traitement des TSS requiert certaines habiletés thérapeutiques et des attitudes particulières de la part du médecin. Une bonne relation médecin-malade constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.

La méthode d’évaluation est double :

  • Déterminer la présence ou non d’une pathologie physique
  • Acquérir une meilleure connaissance du malade, de ses perceptions et de ses préoccupations à l’égard de la maladie.
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210
Q

Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Approche générale globale: meilleur outil

A

Approche générale globale : le traitement des TSS requiert certaines habiletés thérapeutiques et des attitudes particulières de la part du médecin. Une bonne relation médecin-malade constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.

La méthode d’évaluation est double :

  • Déterminer la présence ou non d’une pathologie physique
  • Acquérir une meilleure connaissance du malade, de ses perceptions et de ses préoccupations à l’égard de la maladie.
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211
Q

Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Approche générale globale: habiletés nécessaires

A

Approche générale globale : le traitement des TSS requiert certaines habiletés thérapeutiques et des attitudes particulières de la part du médecin. Une bonne relation médecin-malade constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.

La méthode d’évaluation est double :

  • Déterminer la présence ou non d’une pathologie physique
  • Acquérir une meilleure connaissance du malade, de ses perceptions et de ses préoccupations à l’égard de la maladie.
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212
Q

Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Approche générale globale: type de méthode d’évaluation

A

Approche générale globale : le traitement des TSS requiert certaines habiletés thérapeutiques et des attitudes particulières de la part du médecin. Une bonne relation médecin-malade constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.

La méthode d’évaluation est double :

  • Déterminer la présence ou non d’une pathologie physique
  • Acquérir une meilleure connaissance du malade, de ses perceptions et de ses préoccupations à l’égard de la maladie.
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213
Q

Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Approche générale globale: définir / décrire ce qu’est la méthode d’évaluation double

A

Approche générale globale : le traitement des TSS requiert certaines habiletés thérapeutiques et des attitudes particulières de la part du médecin. Une bonne relation médecin-malade constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.

La méthode d’évaluation est double :

  • Déterminer la présence ou non d’une pathologie physique
  • Acquérir une meilleure connaissance du malade, de ses perceptions et de ses préoccupations à l’égard de la maladie.
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214
Q

Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Objectif thérapeutique

A
  • L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise.
  • Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade.
  • Dans ce sens, il faut :
    • Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien)
    • Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin.
    • Identifier les traits ou les troubles de personnalité
    • Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique
    • Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés
    • Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
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215
Q

Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Objectif thérapeutique: nommez-les

A
  • L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise.
  • Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade.
  • Dans ce sens, il faut :
    • Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien)
    • Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin.
    • Identifier les traits ou les troubles de personnalité
    • Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique
    • Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés
    • Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
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Q

Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Objectif thérapeutique: ce qui limite les changements du malade

A
  • L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise.
  • Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade.
  • Dans ce sens, il faut :
    • Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien)
    • Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin.
    • Identifier les traits ou les troubles de personnalité
    • Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique
    • Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés
    • Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
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Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Objectif thérapeutique: ce qui est conseillé de faire

A
  • L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise.
  • Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade.
  • Dans ce sens, il faut :
    • Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien)
    • Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin.
    • Identifier les traits ou les troubles de personnalité
    • Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique
    • Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés
    • Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
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Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Objectif thérapeutique: alliance thérapeutique

A
  • L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise.
  • Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade.
  • Dans ce sens, il faut :
    • Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien)
    • Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin.
    • Identifier les traits ou les troubles de personnalité
    • Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique
    • Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés
    • Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
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Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Objectif thérapeutique: suivi

A
  • L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise.
  • Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade.
  • Dans ce sens, il faut :
    • Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien)
    • Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin.
    • Identifier les traits ou les troubles de personnalité
    • Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique
    • Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés
    • Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
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Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Objectif thérapeutique: TP / traits de personnalité

A
  • L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise.
  • Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade.
  • Dans ce sens, il faut :
    • Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien)
    • Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin.
    • Identifier les traits ou les troubles de personnalité
    • Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique
    • Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés
    • Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
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Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Objectif thérapeutique: Facteurs systémiques

A
  • L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise.
  • Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade.
  • Dans ce sens, il faut :
    • Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien)
    • Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin.
    • Identifier les traits ou les troubles de personnalité
    • Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique
    • Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés
    • Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
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Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Objectif thérapeutique: comorbidités

A
  • L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise.
  • Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade.
  • Dans ce sens, il faut :
    • Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien)
    • Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin.
    • Identifier les traits ou les troubles de personnalité
    • Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique
    • Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés
    • Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
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223
Q

Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Objectif thérapeutique: polypharmacie

A
  • L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise.
  • Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade.
  • Dans ce sens, il faut :
    • Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien)
    • Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin.
    • Identifier les traits ou les troubles de personnalité
    • Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique
    • Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés
    • Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
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Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Modèle de réattribution

A
  • Modèle de réattribution : approche thérapeutique qui se révèle la plus pertinente, particulièrement si le trouble n’est pas encore chronique depuis très longtemps.
  • Elle est composée de 3 étapes et vise essentiellement à aider le patient à changer son style d’attribution de ses symptômes à une cause organique et à le remplacer par un modèle qui prend en compte l’ensemble des facteurs :
    • 1.Créer un sentiment de compréhension
    • 2.Prendre en considération la susceptibilité du patient.
    • 3.Faire le lien. Il s’agit de donner une explication au malade pour donner un sens à ses malaises.
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Q

Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Modèle de réattribution: définition

A
  • Modèle de réattribution : approche thérapeutique qui se révèle la plus pertinente, particulièrement si le trouble n’est pas encore chronique depuis très longtemps.
  • Elle est composée de 3 étapes et vise essentiellement à aider le patient à changer son style d’attribution de ses symptômes à une cause organique et à le remplacer par un modèle qui prend en compte l’ensemble des facteurs :
    • 1.Créer un sentiment de compréhension
    • 2.Prendre en considération la susceptibilité du patient.
    • 3.Faire le lien. Il s’agit de donner une explication au malade pour donner un sens à ses malaises.
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Q

Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Modèle de réattribution: objectifs

A
  • Modèle de réattribution : approche thérapeutique qui se révèle la plus pertinente, particulièrement si le trouble n’est pas encore chronique depuis très longtemps.
  • Elle est composée de 3 étapes et vise essentiellement à aider le patient à changer son style d’attribution de ses symptômes à une cause organique et à le remplacer par un modèle qui prend en compte l’ensemble des facteurs :
    • 1.Créer un sentiment de compréhension
    • 2.Prendre en considération la susceptibilité du patient.
    • 3.Faire le lien. Il s’agit de donner une explication au malade pour donner un sens à ses malaises.
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Q

Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Modèle de réattribution: étapes

A
  • Modèle de réattribution : approche thérapeutique qui se révèle la plus pertinente, particulièrement si le trouble n’est pas encore chronique depuis très longtemps.
  • Elle est composée de 3 étapes et vise essentiellement à aider le patient à changer son style d’attribution de ses symptômes à une cause organique et à le remplacer par un modèle qui prend en compte l’ensemble des facteurs :
    • 1.Créer un sentiment de compréhension
    • 2.Prendre en considération la susceptibilité du patient.
    • 3.Faire le lien. Il s’agit de donner une explication au malade pour donner un sens à ses malaises.
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Q

Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Modèle de réattribution: étapes - nommez-les

A
  • Modèle de réattribution : approche thérapeutique qui se révèle la plus pertinente, particulièrement si le trouble n’est pas encore chronique depuis très longtemps.
  • Elle est composée de 3 étapes et vise essentiellement à aider le patient à changer son style d’attribution de ses symptômes à une cause organique et à le remplacer par un modèle qui prend en compte l’ensemble des facteurs :
    • 1.Créer un sentiment de compréhension
    • 2.Prendre en considération la susceptibilité du patient.
    • 3.Faire le lien. Il s’agit de donner une explication au malade pour donner un sens à ses malaises.
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229
Q

Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Psychopharmacologique

A
  • Traitement psychopharmacologique : il n’existe pas de pharmacothérapie spécifique pour le TSS.
  • Si une maladie psychiatrique est comorbide, le TSS n’est pas une contre-indication à la traiter pharmacologiquement.
  • Rappelons que les dépressions avec somatisation répondent moins bien au traitement antidépresseur.
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230
Q

Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Psychopharmacologique: molécules spécifiques pour les TSS

A
  • Traitement psychopharmacologique : il n’existe pas de pharmacothérapie spécifique pour le TSS.
  • Si une maladie psychiatrique est comorbide, le TSS n’est pas une contre-indication à la traiter pharmacologiquement.
  • Rappelons que les dépressions avec somatisation répondent moins bien au traitement antidépresseur.
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231
Q

Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Psychopharmacologique: comorbidité

A
  • Traitement psychopharmacologique : il n’existe pas de pharmacothérapie spécifique pour le TSS.
  • Si une maladie psychiatrique est comorbide, le TSS n’est pas une contre-indication à la traiter pharmacologiquement.
  • Rappelons que les dépressions avec somatisation répondent moins bien au traitement antidépresseur.
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232
Q

Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Psychopharmacologique: réponse aux antidépresseurs si dépression avec TSS

A
  • Traitement psychopharmacologique : il n’existe pas de pharmacothérapie spécifique pour le TSS.
  • Si une maladie psychiatrique est comorbide, le TSS n’est pas une contre-indication à la traiter pharmacologiquement.
  • Rappelons que les dépressions avec somatisation répondent moins bien au traitement antidépresseur.
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233
Q

Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Activation physique

A
  • Activation physique : dans les TSS chroniques, il est fréquent de rencontrer des états de déconditionnement physique important.
  • L’exercice physique léger-modéré est reconnu efficace comme traitement adjuvant des états dépressifs et anxieux et aussi pour les affections organiques.
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234
Q

Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Activation physique: son utilité

A
  • Activation physique : dans les TSS chroniques, il est fréquent de rencontrer des états de déconditionnement physique important.
  • L’exercice physique léger-modéré est reconnu efficace comme traitement adjuvant des états dépressifs et anxieux et aussi pour les affections organiques.
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235
Q

Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Approches psychotx spécifiques

A
  • Approches psychothérapeutiques spécifiques : globalement, on dit que les approches psychologiques ciblant les somatisations parviennent de façon modérée à réduire les symptômes physiques découlant des TSS.
  • L’approche cognitivo-comportementale-affective est celle qui retient le plus l’attention.
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236
Q

Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Approches psychotx spécifiques: ce qu’elles ciblent

A
  • Approches psychothérapeutiques spécifiques : globalement, on dit que les approches psychologiques ciblant les somatisations parviennent de façon modérée à réduire les symptômes physiques découlant des TSS.
  • L’approche cognitivo-comportementale-affective est celle qui retient le plus l’attention.
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237
Q

Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Approches psychotx spécifiques: TCC

A
  • Approches psychothérapeutiques spécifiques : globalement, on dit que les approches psychologiques ciblant les somatisations parviennent de façon modérée à réduire les symptômes physiques découlant des TSS.
  • L’approche cognitivo-comportementale-affective est celle qui retient le plus l’attention.
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238
Q

Fibromyalgie: Définir / décrire

A
  • La fibromyalgie est aujourd’hui considérée comme une maladie chronique.
  • Il consiste brièvement en des points douloureux à la pression et la coexistence de fatigue et de troubles de sommeil.
  • Le seuil à la douleur serait plus bas et les sensibilités accentuées.
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239
Q

Fibromyalgie: Définir / décrire
- aigu ou chronique?

A
  • La fibromyalgie est aujourd’hui considérée comme une maladie chronique.
  • Il consiste brièvement en des points douloureux à la pression et la coexistence de fatigue et de troubles de sommeil.
  • Le seuil à la douleur serait plus bas et les sensibilités accentuées.
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240
Q

Fibromyalgie: Définir / décrire
- c’est quoi?

A
  • La fibromyalgie est aujourd’hui considérée comme une maladie chronique.
  • Il consiste brièvement en des points douloureux à la pression et la coexistence de fatigue et de troubles de sommeil.
  • Le seuil à la douleur serait plus bas et les sensibilités accentuées.
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241
Q

Fibromyalgie: Définir / décrire
- cause

A
  • La fibromyalgie est aujourd’hui considérée comme une maladie chronique.
  • Il consiste brièvement en des points douloureux à la pression et la coexistence de fatigue et de troubles de sommeil.
  • Le seuil à la douleur serait plus bas et les sensibilités accentuées.
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242
Q

V ou F: Il n’existe aucun signe diagnostic pathognomonique ou de test diagnostic validé pour le syndrome de fatigue chronique.

A
  • Vrai??
  • Le syndrome de fatigue chronique ne fait pas partie des objectifs, et n’est pas traité comme section dans le Lalonde (petit paragraphe p. 274 - 275).
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243
Q

Lien entre fibromyalgie et certains tr psychiatriques

A
  • Au niveau des comorbidités psychiatriques, on se rend compte que la prévalence de celles-ci est plus élevée que pour les autres maladies rhumatismales.
  • Les troubles les plus souvent associés sont l’anxiété, la somatisation, la dysthymie, le trouble panique, le TSPT et la dépression.
  • Par ailleurs, la fibromyalgie est souvent associée à des affections et étiologies idiopathiques et certaines maladies chroniques (PAR, LED, maladie de Sjögren, diabète, hépatite C et les dysfonctions thyroïdiennes).
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244
Q

Lien entre fibromyalgie et certains tr psychiatriques
- prévalence de comorbidités psy

A
  • Au niveau des comorbidités psychiatriques, on se rend compte que la prévalence de celles-ci est plus élevée que pour les autres maladies rhumatismales.
  • Les troubles les plus souvent associés sont l’anxiété, la somatisation, la dysthymie, le trouble panique, le TSPT et la dépression.
  • Par ailleurs, la fibromyalgie est souvent associée à des affections et étiologies idiopathiques et certaines maladies chroniques (PAR, LED, maladie de Sjögren, diabète, hépatite C et les dysfonctions thyroïdiennes).
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245
Q

Lien entre fibromyalgie et certains tr psychiatriques
- nommez les tr les plus souvent associés

A
  • Au niveau des comorbidités psychiatriques, on se rend compte que la prévalence de celles-ci est plus élevée que pour les autres maladies rhumatismales.
  • Les troubles les plus souvent associés sont l’anxiété, la somatisation, la dysthymie, le trouble panique, le TSPT et la dépression.
  • Par ailleurs, la fibromyalgie est souvent associée à des affections et étiologies idiopathiques et certaines maladies chroniques (PAR, LED, maladie de Sjögren, diabète, hépatite C et les dysfonctions thyroïdiennes).
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246
Q

Lien entre fibromyalgie et certains tr psychiatriques
- association avec pathos NON psy

A
  • Au niveau des comorbidités psychiatriques, on se rend compte que la prévalence de celles-ci est plus élevée que pour les autres maladies rhumatismales.
  • Les troubles les plus souvent associés sont l’anxiété, la somatisation, la dysthymie, le trouble panique, le TSPT et la dépression.
  • Par ailleurs, la fibromyalgie est souvent associée à des affections et étiologies idiopathiques et certaines maladies chroniques (PAR, LED, maladie de Sjögren, diabète, hépatite C et les dysfonctions thyroïdiennes).
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247
Q

Fibromyalgie: Traitement

A
  • Le meilleur traitement a pour but de diminuer la douleur, améliorer la qualité du sommeil et augmenter l’activité physique par la réduction des symptômes somatiques.
  • On propose comme traitement une combinaison d’exercice aérobique, de TCC et d’amitriptyline.
  • À noter :
    • Les antalgiques opioïdes ne sont recommandés par aucun guide de pratique clinique.
    • Les traitements adjuvants ayant une utilité clinique avérée sont :
      • L’exercice aérobique et en milieu aquatique
      • Les étirements musculaires
      • Les techniques de relaxation avec imagerie mentale
      • Le biofeedback
      • L’hypnose
      • L’acuponcture
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248
Q

Fibromyalgie: Traitement
- objectifs du tx

A
  • Le meilleur traitement a pour but de diminuer la douleur, améliorer la qualité du sommeil et augmenter l’activité physique par la réduction des symptômes somatiques.
  • On propose comme traitement une combinaison d’exercice aérobique, de TCC et d’amitriptyline.
  • À noter :
    • Les antalgiques opioïdes ne sont recommandés par aucun guide de pratique clinique.
    • Les traitements adjuvants ayant une utilité clinique avérée sont :
      • L’exercice aérobique et en milieu aquatique
      • Les étirements musculaires
      • Les techniques de relaxation avec imagerie mentale
      • Le biofeedback
      • L’hypnose
      • L’acuponcture
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249
Q

Fibromyalgie: Traitement
- tx utilisé le plus fréquent

A
  • Le meilleur traitement a pour but de diminuer la douleur, améliorer la qualité du sommeil et augmenter l’activité physique par la réduction des symptômes somatiques.
  • On propose comme traitement une combinaison d’exercice aérobique, de TCC et d’amitriptyline.
  • À noter :
    • Les antalgiques opioïdes ne sont recommandés par aucun guide de pratique clinique.
    • Les traitements adjuvants ayant une utilité clinique avérée sont :
      • L’exercice aérobique et en milieu aquatique
      • Les étirements musculaires
      • Les techniques de relaxation avec imagerie mentale
      • Le biofeedback
      • L’hypnose
      • L’acuponcture
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250
Q

Fibromyalgie: Traitement
- place des opïodes

A
  • Le meilleur traitement a pour but de diminuer la douleur, améliorer la qualité du sommeil et augmenter l’activité physique par la réduction des symptômes somatiques.
  • On propose comme traitement une combinaison d’exercice aérobique, de TCC et d’amitriptyline.
  • À noter :
    • Les antalgiques opioïdes ne sont recommandés par aucun guide de pratique clinique.
    • Les traitements adjuvants ayant une utilité clinique avérée sont :
      • L’exercice aérobique et en milieu aquatique
      • Les étirements musculaires
      • Les techniques de relaxation avec imagerie mentale
      • Le biofeedback
      • L’hypnose
      • L’acuponcture
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251
Q

Fibromyalgie: Traitement
- traitements adjuvants

A
  • Le meilleur traitement a pour but de diminuer la douleur, améliorer la qualité du sommeil et augmenter l’activité physique par la réduction des symptômes somatiques.
  • On propose comme traitement une combinaison d’exercice aérobique, de TCC et d’amitriptyline.
  • À noter :
    • Les antalgiques opioïdes ne sont recommandés par aucun guide de pratique clinique.
    • Les traitements adjuvants ayant une utilité clinique avérée sont :
      • L’exercice aérobique et en milieu aquatique
      • Les étirements musculaires
      • Les techniques de relaxation avec imagerie mentale
      • Le biofeedback
      • L’hypnose
      • L’acuponcture
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252
Q

Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Régions affectées

A
  • Noter le nombre de régions affectées par la douleur dans la dernière semaine.
  • Ces 12 régions incluent
    • 1.la mâchoire
    • 2.le cou
    • 3.la ceinture scapulaire (épaule)
    • 4.le haut du bras
    • 5.l’avant-bras
    • 6.le thorax
    • 7.l’abdomen
    • 8.le haut du dos
    • 9.le bas du dos
    • 10.la hanche (fesse, trochanter)
    • 11.le haut de la jambe
    • 12.le bas de la jambe

toutes ces régions doivent être évaluées bilatéralement, provoquant une douleur diffuse ou localisée

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253
Q

Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Régions affectées - nommez-les

A
  • Noter le nombre de régions affectées par la douleur dans la dernière semaine.
  • Ces 12 régions incluent
    • 1.la mâchoire
    • 2.le cou
    • 3.la ceinture scapulaire (épaule)
    • 4.le haut du bras
    • 5.l’avant-bras
    • 6.le thorax
    • 7.l’abdomen
    • 8.le haut du dos
    • 9.le bas du dos
    • 10.la hanche (fesse, trochanter)
    • 11.le haut de la jambe
    • 12.le bas de la jambe

toutes ces régions doivent être évaluées bilatéralement, provoquant une douleur diffuse ou localisée

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254
Q

Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Régions affectées - uni ou bilatéral?

A
  • Noter le nombre de régions affectées par la douleur dans la dernière semaine.
  • Ces 12 régions incluent
    • 1.la mâchoire
    • 2.le cou
    • 3.la ceinture scapulaire (épaule)
    • 4.le haut du bras
    • 5.l’avant-bras
    • 6.le thorax
    • 7.l’abdomen
    • 8.le haut du dos
    • 9.le bas du dos
    • 10.la hanche (fesse, trochanter)
    • 11.le haut de la jambe
    • 12.le bas de la jambe

toutes ces régions doivent être évaluées bilatéralement, provoquant une douleur diffuse ou localisée

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255
Q

Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Échelle graduée des symptômes

A
  1. Fatigue
  2. Sommeil non réparateur
  3. Symptômes cognitifs (p.ex. mémoire de travail, mémoire de reconnaissance, connaissance verbale, anxiété, dépression)
  • Pour chacun de ces trois symptômes, indiquer l’intensité dans la dernière semaine en utilisant l’échelle suivante
    • 0 = aucun problème
    • 1 = léger problème, généralement intermittent
    • 2 = problème modéré ou considérable, fréquent et/ou à un niveau modéré
    • 3 = problème grave, envahissant, continu, interfère avec le bien-être quotidiennement
  • Pour les symptômes somatiques généraux dans les 12 régions, indiquer l’intensité selon l’échelle suivante :
    • 0 = aucun symptôme
    • 1 = quelques symptômes
    • 2 = un nombre modéré de symptômes
    • 3 = beaucoup de symptômes
    • Cote totale entre 0 et 12.
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256
Q

Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Échelle graduée des symptômes
- nommez les symptômes

A
  1. Fatigue
  2. Sommeil non réparateur
  3. Symptômes cognitifs (p.ex. mémoire de travail, mémoire de reconnaissance, connaissance verbale, anxiété, dépression)
  • Pour chacun de ces trois symptômes, indiquer l’intensité dans la dernière semaine en utilisant l’échelle suivante
    • 0 = aucun problème
    • 1 = léger problème, généralement intermittent
    • 2 = problème modéré ou considérable, fréquent et/ou à un niveau modéré
    • 3 = problème grave, envahissant, continu, interfère avec le bien-être quotidiennement
  • Pour les symptômes somatiques généraux dans les 12 régions, indiquer l’intensité selon l’échelle suivante :
    • 0 = aucun symptôme
    • 1 = quelques symptômes
    • 2 = un nombre modéré de symptômes
    • 3 = beaucoup de symptômes
    • Cote totale entre 0 et 12.
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257
Q

Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Échelle graduée des symptômes
- échelle d’intensité

A
  1. Fatigue
  2. Sommeil non réparateur
  3. Symptômes cognitifs (p.ex. mémoire de travail, mémoire de reconnaissance, connaissance verbale, anxiété, dépression)
  • Pour chacun de ces trois symptômes, indiquer l’intensité dans la dernière semaine en utilisant l’échelle suivante
    • 0 = aucun problème
    • 1 = léger problème, généralement intermittent
    • 2 = problème modéré ou considérable, fréquent et/ou à un niveau modéré
    • 3 = problème grave, envahissant, continu, interfère avec le bien-être quotidiennement
  • Pour les symptômes somatiques généraux dans les 12 régions, indiquer l’intensité selon l’échelle suivante :
    • 0 = aucun symptôme
    • 1 = quelques symptômes
    • 2 = un nombre modéré de symptômes
    • 3 = beaucoup de symptômes
    • Cote totale entre 0 et 12.
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258
Q

Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Échelle graduée des symptômes
- Échelle d’intensité: définir ce qu’est de 0 à 3

A
  1. Fatigue
  2. Sommeil non réparateur
  3. Symptômes cognitifs (p.ex. mémoire de travail, mémoire de reconnaissance, connaissance verbale, anxiété, dépression)
  • Pour chacun de ces trois symptômes, indiquer l’intensité dans la dernière semaine en utilisant l’échelle suivante
    • 0 = aucun problème
    • 1 = léger problème, généralement intermittent
    • 2 = problème modéré ou considérable, fréquent et/ou à un niveau modéré
    • 3 = problème grave, envahissant, continu, interfère avec le bien-être quotidiennement
  • Pour les symptômes somatiques généraux dans les 12 régions, indiquer l’intensité selon l’échelle suivante :
    • 0 = aucun symptôme
    • 1 = quelques symptômes
    • 2 = un nombre modéré de symptômes
    • 3 = beaucoup de symptômes
    • Cote totale entre 0 et 12.
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259
Q

Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Échelle graduée des symptômes
- Échelle graduée: pour les sx généraux dans les 12 régions

A
  1. Fatigue
  2. Sommeil non réparateur
  3. Symptômes cognitifs (p.ex. mémoire de travail, mémoire de reconnaissance, connaissance verbale, anxiété, dépression)
  • Pour chacun de ces trois symptômes, indiquer l’intensité dans la dernière semaine en utilisant l’échelle suivante
    • 0 = aucun problème
    • 1 = léger problème, généralement intermittent
    • 2 = problème modéré ou considérable, fréquent et/ou à un niveau modéré
    • 3 = problème grave, envahissant, continu, interfère avec le bien-être quotidiennement
  • Pour les symptômes somatiques généraux dans les 12 régions, indiquer l’intensité selon l’échelle suivante :
    • 0 = aucun symptôme
    • 1 = quelques symptômes
    • 2 = un nombre modéré de symptômes
    • 3 = beaucoup de symptômes
    • Cote totale entre 0 et 12.
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260
Q

Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Échelle graduée des symptômes
- Échelle graduée: pour les sx généraux dans les 12 régions - échelle de 0 à 3

A
  1. Fatigue
  2. Sommeil non réparateur
  3. Symptômes cognitifs (p.ex. mémoire de travail, mémoire de reconnaissance, connaissance verbale, anxiété, dépression)
  • Pour chacun de ces trois symptômes, indiquer l’intensité dans la dernière semaine en utilisant l’échelle suivante
    • 0 = aucun problème
    • 1 = léger problème, généralement intermittent
    • 2 = problème modéré ou considérable, fréquent et/ou à un niveau modéré
    • 3 = problème grave, envahissant, continu, interfère avec le bien-être quotidiennement
  • Pour les symptômes somatiques généraux dans les 12 régions, indiquer l’intensité selon l’échelle suivante :
    • 0 = aucun symptôme
    • 1 = quelques symptômes
    • 2 = un nombre modéré de symptômes
    • 3 = beaucoup de symptômes
    • Cote totale entre 0 et 12.
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261
Q

Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Échelle graduée des symptômes
- Échelle graduée: pour les sx généraux dans les 12 régions - cote totale

A
  1. Fatigue
  2. Sommeil non réparateur
  3. Symptômes cognitifs (p.ex. mémoire de travail, mémoire de reconnaissance, connaissance verbale, anxiété, dépression)
  • Pour chacun de ces trois symptômes, indiquer l’intensité dans la dernière semaine en utilisant l’échelle suivante
    • 0 = aucun problème
    • 1 = léger problème, généralement intermittent
    • 2 = problème modéré ou considérable, fréquent et/ou à un niveau modéré
    • 3 = problème grave, envahissant, continu, interfère avec le bien-être quotidiennement
  • Pour les symptômes somatiques généraux dans les 12 régions, indiquer l’intensité selon l’échelle suivante :
    • 0 = aucun symptôme
    • 1 = quelques symptômes
    • 2 = un nombre modéré de symptômes
    • 3 = beaucoup de symptômes
    • Cote totale entre 0 et 12.
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262
Q

Critères diagnostiques de la fibromyalgie

A
  • Un patient répond aux critères diagnostiques de la fibromyalgie si les trois conditions suivantes sont présentes :
    • 1.WPI ≥ 7/19 et Cote totale SS ≥ 5 ou WPI = 3–6 et Cote totale SS ≥ 9
    • 2.Les symptômes sont présents et au même degré depuis au moins trois mois.
    • 3.La douleur n’est pas mieux expliquée par une autre affection médicale.
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263
Q

Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Nombre de critères devant être présents

A
  • Un patient répond aux critères diagnostiques de la fibromyalgie si les trois conditions suivantes sont présentes :
    • 1.WPI ≥ 7/19 et Cote totale SS ≥ 5 ou WPI = 3–6 et Cote totale SS ≥ 9
    • 2.Les symptômes sont présents et au même degré depuis au moins trois mois.
    • 3.La douleur n’est pas mieux expliquée par une autre affection médicale.
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264
Q

Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Nb de “points” nécessaires

A
  • Un patient répond aux critères diagnostiques de la fibromyalgie si les trois conditions suivantes sont présentes :
    • 1.WPI ≥ 7/19 et Cote totale SS ≥ 5 ou WPI = 3–6 et Cote totale SS ≥ 9
    • 2.Les symptômes sont présents et au même degré depuis au moins trois mois.
    • 3.La douleur n’est pas mieux expliquée par une autre affection médicale.
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265
Q

Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Durée des sx et leur intensité

A
  • Un patient répond aux critères diagnostiques de la fibromyalgie si les trois conditions suivantes sont présentes :
    • 1.WPI ≥ 7/19 et Cote totale SS ≥ 5 ou WPI = 3–6 et Cote totale SS ≥ 9
    • 2.Les symptômes sont présents et au même degré depuis au moins trois mois.
    • 3.La douleur n’est pas mieux expliquée par une autre affection médicale.
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266
Q

Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Exclure quoi?

A
  • Un patient répond aux critères diagnostiques de la fibromyalgie si les trois conditions suivantes sont présentes :
    • 1.WPI ≥ 7/19 et Cote totale SS ≥ 5 ou WPI = 3–6 et Cote totale SS ≥ 9
    • 2.Les symptômes sont présents et au même degré depuis au moins trois mois.
    • 3.La douleur n’est pas mieux expliquée par une autre affection médicale.
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267
Q

Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Critères modifiés

A
  1. Wide spread index(WPI) (voir ci-dessus)
  2. Échelle Symtoms severity (SS) (voir ci-dessus, mais sans symptômes somatiques)
  3. Présence de douleur abdominale, dépression, céphalées (oui = 1, non = 0)

Cote totale (WPI + SS + symptômes associés) entre 0 et 31.

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268
Q

Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Critères modifiés
- cote totale

A
  1. Wide spread index(WPI) (voir ci-dessus) 2
  2. Échelle Symtoms severity (SS) (voir ci-dessus, mais sans symptômes somatiques)
  3. Présence de douleur abdominale, dépression, céphalées (oui = 1, non = 0)

Cote totale (WPI + SS + symptômes associés) entre 0 et 31.

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269
Q

Fibromyalgie: Ddx

A
  • Syndrome myofascial
  • Syndrome de fatigue chronique
  • Hypothyroïdie
  • Autres maladies organiques ayant des sx semblables
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270
Q

Fibromyalgie: Classification

A
  • La fibromyalgie ne fait pas partie du DSM-5 puisque c’est une pathologie qui est maintenant classée comme étant rhumatismale.
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271
Q

Fibromyalgie: Épidémio

A
  • 2 % des Nord-Américains (3.4 % chez la femme et 0.5 % chez l’homme)
  • Facteurs de risque :
    • Adulte
    • Femme
    • Faible niveau de scolarité
    • Faible revenu
    • Divorce
    • Souffrir d’un handicap
    • Avoir vécu des abus psychologiques, physiques ou sexuels précoces
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272
Q

Fibromyalgie: Épidémio
- prévalence

A
  • 2 % des Nord-Américains (3.4 % chez la femme et 0.5 % chez l’homme)
  • Facteurs de risque :
    • Adulte
    • Femme
    • Faible niveau de scolarité
    • Faible revenu
    • Divorce
    • Souffrir d’un handicap
    • Avoir vécu des abus psychologiques, physiques ou sexuels précoces
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273
Q

Fibromyalgie: Épidémio
- H vs F

A
  • 2 % des Nord-Américains
    • 3.4 % chez la femme et 0.5 % chez l’homme
  • Facteurs de risque :
    • Adulte
    • Femme
    • Faible niveau de scolarité
    • Faible revenu
    • Divorce
    • Souffrir d’un handicap
    • Avoir vécu des abus psychologiques, physiques ou sexuels précoces
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274
Q

Fibromyalgie: Épidémio
- FDR

A
  • 2 % des Nord-Américains (3.4 % chez la femme et 0.5 % chez l’homme)
  • Facteurs de risque :
    • Adulte
    • Femme
    • Faible niveau de scolarité
    • Faible revenu
    • Divorce
    • Souffrir d’un handicap
    • Avoir vécu des abus psychologiques, physiques ou sexuels précoces
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275
Q

Fibromyalgie: Étiologie

A
  • Cette maladie semble d’origine neuropathique, et certains facteurs génétiques et épigénétiques semblent impliqués.
  • Il s’agirait d’un déséquilibre neurochimique du SNC provoquant une amplification de la perception douloureuse au niveau du SNC.
  • La permanence de la douleur enlève toute l’utilité biologique de cette dernière.
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276
Q

Fibromyalgie: Étiologie
- nommez les types de causes

A
  • Cette maladie semble d’origine neuropathique, et certains facteurs génétiques et épigénétiques semblent impliqués.
  • Il s’agirait d’un déséquilibre neurochimique du SNC provoquant une amplification de la perception douloureuse au niveau du SNC.
  • La permanence de la douleur enlève toute l’utilité biologique de cette dernière.
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277
Q

Fibromyalgie: Étiologie
- déséquilibre neurochimique

A
  • Cette maladie semble d’origine neuropathique, et certains facteurs génétiques et épigénétiques semblent impliqués.
  • Il s’agirait d’un déséquilibre neurochimique du SNC provoquant une amplification de la perception douloureuse au niveau du SNC.
  • La permanence de la douleur enlève toute l’utilité biologique de cette dernière.
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278
Q

Fibromyalgie: Étiologie
- biologie

A
  • Cette maladie semble d’origine neuropathique, et certains facteurs génétiques et épigénétiques semblent impliqués.
  • Il s’agirait d’un déséquilibre neurochimique du SNC provoquant une amplification de la perception douloureuse au niveau du SNC.
  • La permanence de la douleur enlève toute l’utilité biologique de cette dernière.
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279
Q

Mécanismes pathologiques de la fibromyalgie

A
  • NGF :nerve growth factor;
  • BDNF :brain-derived neurotrophic factor
  • SNC : système nerveux central
  • LCR : liquide céphalo-rachidien
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280
Q

Mécanismes pathologiques de la fibromyalgie

A
  • NGF :nerve growth factor;
  • BDNF :brain-derived neurotrophic factor
  • SNC : système nerveux central
  • LCR : liquide céphalo-rachidien
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281
Q

Mécanismes pathologiques de la fibromyalgie
- Sensibilisation centrale anormale

A
  • Abaissement du seuil de perception douloureuse comparativement aux personnes témoins avec une amplification anormale de la nociception au niveau de la moelle épinière et du SNC.
282
Q

Mécanismes pathologiques de la fibromyalgie
- Altération des voies excitatrices ascendantes

A
  • Augmentation de l’activité des voies pronociceptives ascendantes entraînant une élévation des niveaux de substance P, de glutamate, de NGF et de BDNF dans le LCR.
283
Q

Mécanismes pathologiques de la fibromyalgie
- Altération des voies inhibitrices descendantes

A
  • Diminution de l’activité inhibitrice des voies descendantes avec une diminution des métabolites de la sérotonine, de la noradrénaline et de la dopamine dans le LCR.
284
Q

Mécanismes pathologiques de la fibromyalgie
- Anomalie de la neurotransmission

A
  • Augmentation des niveaux d’opioïdes endogènes et régulation à la baisse des récepteurs opioïdes, diminuant ainsi l’efficacité antalgique endogène et exogène.
285
Q

Mécanismes pathologiques de la fibromyalgie
- Comorbidités psychiatriques

A
  • Altérations de la neurotransmission affectant l’humeur, les niveaux d’énergie et le sommeil, contribuant ainsi à l’émergence et au maintien symptomatologique.
286
Q

Fibromyalgie: Comment se fait le diagnostic?

A
  • Se base sur un index de douleur diffuse et identifient des régions corporelles et des symptômes somatiques typiques. (voir schéma ci-haut pour les points douloureux)
287
Q

Tr psychosomatiques

A
  • Bon…hummmm…il s’agit d’un très bon chapitre, bien rédigé, mais qui relève plus de la spécialité que de votre niveau je crois…alors limitons-nous aux pages d’introduction.
  • Un peu d’histoire…
    • Il existe une unité et une interaction entre le corps et l’esprit.
    • Aussi, des facteurs psychologiques sont impliqués dans le développement de toute maladie physique, que ce soit dans l’initiation, la progression, l’aggravation ou l’exacerbation des symptômes, ou encore dans la prédisposition ou la réaction à la maladie elle-même.
    • La maladie ne se traite pas uniquement une relation médecin-maladie.
    • Hippocrate décrit 3 types de relations :
      • Médecin-Patient
      • Patient-Maladie
      • Médecin-Maladie
  • Historiquement, le mouvement psychosomatique a précédé le mouvement psychiatrique. Il est issu de l’interaction entre la psyché et le corps (soma).
    • Aujourd’hui, on accorde une importance moins marquée au facteur psychique et on insiste plus sur le facteur somatique de la maladie.
288
Q

Tr psychosomatiques: quoi savoir?

A
  • Bon…hummmm…il s’agit d’un très bon chapitre, bien rédigé, mais qui relève plus de la spécialité que de votre niveau je crois…alors limitons-nous aux pages d’introduction.
  • Un peu d’histoire…
    • Il existe une unité et une interaction entre le corps et l’esprit.
    • Aussi, des facteurs psychologiques sont impliqués dans le développement de toute maladie physique, que ce soit dans l’initiation, la progression, l’aggravation ou l’exacerbation des symptômes, ou encore dans la prédisposition ou la réaction à la maladie elle-même.
    • La maladie ne se traite pas uniquement une relation médecin-maladie.
    • Hippocrate décrit 3 types de relations :
      • Médecin-Patient
      • Patient-Maladie
      • Médecin-Maladie
  • Historiquement, le mouvement psychosomatique a précédé le mouvement psychiatrique. Il est issu de l’interaction entre la psyché et le corps (soma).
    • Aujourd’hui, on accorde une importance moins marquée au facteur psychique et on insiste plus sur le facteur somatique de la maladie.
289
Q

Tr psychosomatiques: Un peu d’histoire

A
  • Bon…hummmm…il s’agit d’un très bon chapitre, bien rédigé, mais qui relève plus de la spécialité que de votre niveau je crois…alors limitons-nous aux pages d’introduction.
  • Un peu d’histoire…
    • Il existe une unité et une interaction entre le corps et l’esprit.
    • Aussi, des facteurs psychologiques sont impliqués dans le développement de toute maladie physique, que ce soit dans l’initiation, la progression, l’aggravation ou l’exacerbation des symptômes, ou encore dans la prédisposition ou la réaction à la maladie elle-même.
    • La maladie ne se traite pas uniquement une relation médecin-maladie.
    • Hippocrate décrit 3 types de relations :
      • Médecin-Patient
      • Patient-Maladie
      • Médecin-Maladie
  • Historiquement, le mouvement psychosomatique a précédé le mouvement psychiatrique. Il est issu de l’interaction entre la psyché et le corps (soma).
    • Aujourd’hui, on accorde une importance moins marquée au facteur psychique et on insiste plus sur le facteur somatique de la maladie.
290
Q

Tr psychosomatiques: Un peu d’histoire
- types de relation décrits par Hippocrate

A
  • Bon…hummmm…il s’agit d’un très bon chapitre, bien rédigé, mais qui relève plus de la spécialité que de votre niveau je crois…alors limitons-nous aux pages d’introduction.
  • Un peu d’histoire…
    • Il existe une unité et une interaction entre le corps et l’esprit.
    • Aussi, des facteurs psychologiques sont impliqués dans le développement de toute maladie physique, que ce soit dans l’initiation, la progression, l’aggravation ou l’exacerbation des symptômes, ou encore dans la prédisposition ou la réaction à la maladie elle-même.
    • La maladie ne se traite pas uniquement une relation médecin-maladie.
    • Hippocrate décrit 3 types de relations :
      • Médecin-Patient
      • Patient-Maladie
      • Médecin-Maladie
  • Historiquement, le mouvement psychosomatique a précédé le mouvement psychiatrique. Il est issu de l’interaction entre la psyché et le corps (soma).
    • Aujourd’hui, on accorde une importance moins marquée au facteur psychique et on insiste plus sur le facteur somatique de la maladie.
291
Q

Tr psychosomatiques: Un peu d’histoire
- mouvement psychosomatique

A
  • Bon…hummmm…il s’agit d’un très bon chapitre, bien rédigé, mais qui relève plus de la spécialité que de votre niveau je crois…alors limitons-nous aux pages d’introduction.
  • Un peu d’histoire…
    • Il existe une unité et une interaction entre le corps et l’esprit.
    • Aussi, des facteurs psychologiques sont impliqués dans le développement de toute maladie physique, que ce soit dans l’initiation, la progression, l’aggravation ou l’exacerbation des symptômes, ou encore dans la prédisposition ou la réaction à la maladie elle-même.
    • La maladie ne se traite pas uniquement une relation médecin-maladie.
    • Hippocrate décrit 3 types de relations :
      • Médecin-Patient
      • Patient-Maladie
      • Médecin-Maladie
  • Historiquement, le mouvement psychosomatique a précédé le mouvement psychiatrique. Il est issu de l’interaction entre la psyché et le corps (soma).
    • Aujourd’hui, on accorde une importance moins marquée au facteur psychique et on insiste plus sur le facteur somatique de la maladie.
292
Q

Tr psychosomatiques: Un peu d’histoire
- mouvement psychosomatique: issu de quoi?

A
  • Bon…hummmm…il s’agit d’un très bon chapitre, bien rédigé, mais qui relève plus de la spécialité que de votre niveau je crois…alors limitons-nous aux pages d’introduction.
  • Un peu d’histoire…
    • Il existe une unité et une interaction entre le corps et l’esprit.
    • Aussi, des facteurs psychologiques sont impliqués dans le développement de toute maladie physique, que ce soit dans l’initiation, la progression, l’aggravation ou l’exacerbation des symptômes, ou encore dans la prédisposition ou la réaction à la maladie elle-même.
    • La maladie ne se traite pas uniquement une relation médecin-maladie.
    • Hippocrate décrit 3 types de relations :
      • Médecin-Patient
      • Patient-Maladie
      • Médecin-Maladie
  • Historiquement, le mouvement psychosomatique a précédé le mouvement psychiatrique. Il est issu de l’interaction entre la psyché et le corps (soma).
    • Aujourd’hui, on accorde une importance moins marquée au facteur psychique et on insiste plus sur le facteur somatique de la maladie.
293
Q

Tr psychosomatiques: Un peu d’histoire
- mouvement psychosomatique: aujourd’hui

A
  • Bon…hummmm…il s’agit d’un très bon chapitre, bien rédigé, mais qui relève plus de la spécialité que de votre niveau je crois…alors limitons-nous aux pages d’introduction.
  • Un peu d’histoire…
    • Il existe une unité et une interaction entre le corps et l’esprit.
    • Aussi, des facteurs psychologiques sont impliqués dans le développement de toute maladie physique, que ce soit dans l’initiation, la progression, l’aggravation ou l’exacerbation des symptômes, ou encore dans la prédisposition ou la réaction à la maladie elle-même.
    • La maladie ne se traite pas uniquement une relation médecin-maladie.
    • Hippocrate décrit 3 types de relations :
      • Médecin-Patient
      • Patient-Maladie
      • Médecin-Maladie
  • Historiquement, le mouvement psychosomatique a précédé le mouvement psychiatrique. Il est issu de l’interaction entre la psyché et le corps (soma).
    • Aujourd’hui, on accorde une importance moins marquée au facteur psychique et on insiste plus sur le facteur somatique de la maladie.
294
Q

Médecine psychosomatique

A
  • LE postulat de base est qu’il existe une affection médicale réelle (le contenu) pour le contenant psychologique (maladie psychiatrique / symptôme psychologique).
295
Q

Médecine psychosomatique: Postulat

A
  • LE postulat de base est qu’il existe une affection médicale réelle (le contenu) pour le contenant psychologique (maladie psychiatrique / symptôme psychologique).
296
Q

Influence des facteurs psychologiques sur une problématique somatique

A
  • Les patients qui expriment des problèmes psychosomatiques sont en fait immature au niveau de l’expression de leurs affects, ce que l’on nomme l’alexithymie.
  • L’expression des émotions, au-delà de l’anxiété, est traduite par des phénomènes physiologiques et corporels chez ses patients, dont le but est la décharge de cette émotion
297
Q

Influence des facteurs psychologiques sur une problématique somatique
- alexithymie

A
  • Les patients qui expriment des problèmes psychosomatiques sont en fait immature au niveau de l’expression de leurs affects, ce que l’on nomme l’alexithymie.
  • L’expression des émotions, au-delà de l’anxiété, est traduite par des phénomènes physiologiques et corporels chez ses patients, dont le but est la décharge de cette émotion
298
Q

Influence des facteurs psychologiques sur une problématique somatique
- cause de ces problèmes somatiques

A
  • Les patients qui expriment des problèmes psychosomatiques sont en fait immature au niveau de l’expression de leurs affects, ce que l’on nomme l’alexithymie.
  • L’expression des émotions, au-delà de l’anxiété, est traduite par des phénomènes physiologiques et corporels chez ses patients, dont le but est la décharge de cette émotion
299
Q

Concept d’alexithymie développé par Sifnéos et Nemiah

A
  • Sifneos propose ce terme pour les patients qui ne semblent pas avoir de mots pour décrire leurs affects et leurs émois.
  • Il observe la pauvreté de la vie fantasmatique et un manque d’importance de représentation mentale.
  • Cette configuration clinique est également observable chez les somatiques sans cause physique objectivable.
  • La personne semble curieusement étrangère à ses propres affects…
300
Q

Concepts d’alexithymie: développé par qui?

A
  • développé par Sifnéos et Nemiah
  • Sifneos propose ce terme pour les patients qui ne semblent pas avoir de mots pour décrire leurs affects et leurs émois.
  • Il observe la pauvreté de la vie fantasmatique et un manque d’importance de représentation mentale.
  • Cette configuration clinique est également observable chez les somatiques sans cause physique objectivable.
  • La personne semble curieusement étrangère à ses propres affects…
301
Q

Concept d’alexithymie développé
- qui propose ce terme en 1er?

A
  • Sifneos propose ce terme pour les patients qui ne semblent pas avoir de mots pour décrire leurs affects et leurs émois.
  • Il observe la pauvreté de la vie fantasmatique et un manque d’importance de représentation mentale.
  • Cette configuration clinique est également observable chez les somatiques sans cause physique objectivable.
  • La personne semble curieusement étrangère à ses propres affects…
302
Q

Concept d’alexithymie
- ce que Sifneos observe

A
  • Sifneos propose ce terme pour les patients qui ne semblent pas avoir de mots pour décrire leurs affects et leurs émois.
  • Il observe la pauvreté de la vie fantasmatique et un manque d’importance de représentation mentale.
  • Cette configuration clinique est également observable chez les somatiques sans cause physique objectivable.
  • La personne semble curieusement étrangère à ses propres affects…
303
Q

Concept d’alexithymie développé par Sifnéos et Nemiah
- souvent observé chez qui?

A
  • Sifneos propose ce terme pour les patients qui ne semblent pas avoir de mots pour décrire leurs affects et leurs émois.
  • Il observe la pauvreté de la vie fantasmatique et un manque d’importance de représentation mentale.
  • Cette configuration clinique est également observable chez les somatiques sans cause physique objectivable.
  • La personne semble curieusement étrangère à ses propres affects…
304
Q

Concept d’alexithymie développé par Sifnéos et Nemiah
- définir / décrire

A
  • Sifneos propose ce terme pour les patients qui ne semblent pas avoir de mots pour décrire leurs affects et leurs émois.
  • Il observe la pauvreté de la vie fantasmatique et un manque d’importance de représentation mentale.
  • Cette configuration clinique est également observable chez les somatiques sans cause physique objectivable.
  • La personne semble curieusement étrangère à ses propres affects…
305
Q

Médecine psychosomatique s’intéresse à quoi?

A
  • La médecine psychosomatique s’intéresse aux dispositions psychiques (conflits ou tempéraments), qui accompagnent les maladies, voir favorisent et modifient le cours de celles-ci.
306
Q

Trouble factice: Quoi savoir?

A

Bon…encore un truc qui va pas mal trop loin…contentez-vous de bien maîtriser concept, épidémio et étiologie…et d’apprendre le petit tableau 30.3 de la page 694…

307
Q

Trouble factice: Concept

A
  • Le concept de trouble factice ne sous-tend pas une étiologie commune, mais est un diagnostic qui présente une utilité clinique.
  • On pense à des patients qui ne collaborent pas honnêtement, qui mentent et recherchent la maladie, ou du moins ses apparences, avec force de symptômes fictifs, simulés ou provoqués, sans égard aux souffrances qu’ils encourent en conséquence.
  • Il y a une composante de mauvaise volonté et de souffrance ; on qualifie souvent le patient d’auteur de la falsification.
  • Il est à noter que la présence de gains extérieurs évidents constitue toujours un facteur d’exclusion qui ramène le diagnostic de simulation.
308
Q

Trouble factice: Concept
- définir / décrire

A
  • Le concept de trouble factice ne sous-tend pas une étiologie commune, mais est un diagnostic qui présente une utilité clinique.
  • On pense à des patients qui ne collaborent pas honnêtement, qui mentent et recherchent la maladie, ou du moins ses apparences, avec force de symptômes fictifs, simulés ou provoqués, sans égard aux souffrances qu’ils encourent en conséquence.
  • Il y a une composante de mauvaise volonté et de souffrance ; on qualifie souvent le patient d’auteur de la falsification.
  • Il est à noter que la présence de gains extérieurs évidents constitue toujours un facteur d’exclusion qui ramène le diagnostic de simulation.
309
Q

Trouble factice: Concept
- décrire les patients

A
  • Le concept de trouble factice ne sous-tend pas une étiologie commune, mais est un diagnostic qui présente une utilité clinique.
  • On pense à des patients qui ne collaborent pas honnêtement, qui mentent et recherchent la maladie, ou du moins ses apparences, avec force de symptômes fictifs, simulés ou provoqués, sans égard aux souffrances qu’ils encourent en conséquence.
  • Il y a une composante de mauvaise volonté et de souffrance ; on qualifie souvent le patient d’auteur de la falsification.
  • Il est à noter que la présence de gains extérieurs évidents constitue toujours un facteur d’exclusion qui ramène le diagnostic de simulation.
310
Q

Trouble factice: Concept
- causes

A
  • Le concept de trouble factice ne sous-tend pas une étiologie commune, mais est un diagnostic qui présente une utilité clinique.
  • On pense à des patients qui ne collaborent pas honnêtement, qui mentent et recherchent la maladie, ou du moins ses apparences, avec force de symptômes fictifs, simulés ou provoqués, sans égard aux souffrances qu’ils encourent en conséquence.
  • Il y a une composante de mauvaise volonté et de souffrance ; on qualifie souvent le patient d’auteur de la falsification.
  • Il est à noter que la présence de gains extérieurs évidents constitue toujours un facteur d’exclusion qui ramène le diagnostic de simulation.
311
Q

Trouble factice: Concept
- gains extérieurs

A
  • Le concept de trouble factice ne sous-tend pas une étiologie commune, mais est un diagnostic qui présente une utilité clinique.
  • On pense à des patients qui ne collaborent pas honnêtement, qui mentent et recherchent la maladie, ou du moins ses apparences, avec force de symptômes fictifs, simulés ou provoqués, sans égard aux souffrances qu’ils encourent en conséquence.
  • Il y a une composante de mauvaise volonté et de souffrance ; on qualifie souvent le patient d’auteur de la falsification.
  • Il est à noter que la présence de gains extérieurs évidents constitue toujours un facteur d’exclusion qui ramène le diagnostic de simulation.
312
Q

Trouble factice: Épidémio

A
  • Environ 1 % en milieu hospitalier, et on dénote une prévalence plus accrue chez les femmes
  • ≈3 F : 1 H
313
Q

Trouble factice: Épidémio
- prévalence

A
  • Environ 1 % en milieu hospitalier, et on dénote une prévalence plus accrue chez les femmes
  • ≈3 F : 1 H
314
Q

Trouble factice: Épidémio
- H vs F

A
  • Environ 1 % en milieu hospitalier, et on dénote une prévalence plus accrue chez les femmes
  • ≈3 F : 1 H
315
Q

Trouble factice: Étiologie

A
  • Biologique
    • Ø transmission génétique / familiale
    • Ø étiologie organique connue
  • Psychologique
    • Appétence pour le monde médical
    • Pauvres capacités d’adaptation
    • Présence d’un TP limite / narcissique / dépendant / antisocial (lié par un manque d’autonomie et d’habiletés sociales)
    • Étiologies possibles et facteurs interreliés : Carences affectives / dépendance / besoin de contrôle / masochisme / suicide partiel (pseudosuicide) / gratification perverse / réactivation de problèmes de l’enfance / sentiment de vulnérabilité / besoin de se sentir supérieur en trompant une figure d’autorité
  • Sociale
    • Histoire passée d’abus
    • Histoire passée de carence affective
316
Q

Trouble factice: Étiologie
- Biologique

A
  • Biologique
    • Ø transmission génétique / familiale
    • Ø étiologie organique connue
  • Psychologique
    • Appétence pour le monde médical
    • Pauvres capacités d’adaptation
    • Présence d’un TP limite / narcissique / dépendant / antisocial (lié par un manque d’autonomie et d’habiletés sociales)
    • Étiologies possibles et facteurs interreliés : Carences affectives / dépendance / besoin de contrôle / masochisme / suicide partiel (pseudosuicide) / gratification perverse / réactivation de problèmes de l’enfance / sentiment de vulnérabilité / besoin de se sentir supérieur en trompant une figure d’autorité
  • Sociale
    • Histoire passée d’abus
    • Histoire passée de carence affective
317
Q

Trouble factice: Étiologie
- Biologique: transmission génétique

A
  • Biologique
    • Ø transmission génétique / familiale
    • Ø étiologie organique connue
  • Psychologique
    • Appétence pour le monde médical
    • Pauvres capacités d’adaptation
    • Présence d’un TP limite / narcissique / dépendant / antisocial (lié par un manque d’autonomie et d’habiletés sociales)
    • Étiologies possibles et facteurs interreliés : Carences affectives / dépendance / besoin de contrôle / masochisme / suicide partiel (pseudosuicide) / gratification perverse / réactivation de problèmes de l’enfance / sentiment de vulnérabilité / besoin de se sentir supérieur en trompant une figure d’autorité
  • Sociale
    • Histoire passée d’abus
    • Histoire passée de carence affective
318
Q

Trouble factice: Étiologie
- Biologique: étiologie organique

A
  • Biologique
    • Ø transmission génétique / familiale
    • Ø étiologie organique connue
  • Psychologique
    • Appétence pour le monde médical
    • Pauvres capacités d’adaptation
    • Présence d’un TP limite / narcissique / dépendant / antisocial (lié par un manque d’autonomie et d’habiletés sociales)
    • Étiologies possibles et facteurs interreliés : Carences affectives / dépendance / besoin de contrôle / masochisme / suicide partiel (pseudosuicide) / gratification perverse / réactivation de problèmes de l’enfance / sentiment de vulnérabilité / besoin de se sentir supérieur en trompant une figure d’autorité
  • Sociale
    • Histoire passée d’abus
    • Histoire passée de carence affective
319
Q

Trouble factice: Étiologie
- Psychologique

A
  • Biologique
    • Ø transmission génétique / familiale
    • Ø étiologie organique connue
  • Psychologique
    • Appétence pour le monde médical
    • Pauvres capacités d’adaptation
    • Présence d’un TP limite / narcissique / dépendant / antisocial (lié par un manque d’autonomie et d’habiletés sociales)
    • Étiologies possibles et facteurs interreliés : Carences affectives / dépendance / besoin de contrôle / masochisme / suicide partiel (pseudosuicide) / gratification perverse / réactivation de problèmes de l’enfance / sentiment de vulnérabilité / besoin de se sentir supérieur en trompant une figure d’autorité
  • Sociale
    • Histoire passée d’abus
    • Histoire passée de carence affective
320
Q

Trouble factice: Étiologie
- Psychologique: en général

A
  • Biologique
    • Ø transmission génétique / familiale
    • Ø étiologie organique connue
  • Psychologique
    • Appétence pour le monde médical
    • Pauvres capacités d’adaptation
    • Présence d’un TP limite / narcissique / dépendant / antisocial (lié par un manque d’autonomie et d’habiletés sociales)
    • Étiologies possibles et facteurs interreliés : Carences affectives / dépendance / besoin de contrôle / masochisme / suicide partiel (pseudosuicide) / gratification perverse / réactivation de problèmes de l’enfance / sentiment de vulnérabilité / besoin de se sentir supérieur en trompant une figure d’autorité
  • Sociale
    • Histoire passée d’abus
    • Histoire passée de carence affective
321
Q

Trouble factice: Étiologie
- Psychologique: TP

A
  • Biologique
    • Ø transmission génétique / familiale
    • Ø étiologie organique connue
  • Psychologique
    • Appétence pour le monde médical
    • Pauvres capacités d’adaptation
    • Présence d’un TP limite / narcissique / dépendant / antisocial (lié par un manque d’autonomie et d’habiletés sociales)
    • Étiologies possibles et facteurs interreliés : Carences affectives / dépendance / besoin de contrôle / masochisme / suicide partiel (pseudosuicide) / gratification perverse / réactivation de problèmes de l’enfance / sentiment de vulnérabilité / besoin de se sentir supérieur en trompant une figure d’autorité
  • Sociale
    • Histoire passée d’abus
    • Histoire passée de carence affective
322
Q

Trouble factice: Étiologie
- Psychologique: Facteurs interreliés

A
  • Biologique
    • Ø transmission génétique / familiale
    • Ø étiologie organique connue
  • Psychologique
    • Appétence pour le monde médical
    • Pauvres capacités d’adaptation
    • Présence d’un TP limite / narcissique / dépendant / antisocial (lié par un manque d’autonomie et d’habiletés sociales)
    • Étiologies possibles et facteurs interreliés : Carences affectives / dépendance / besoin de contrôle / masochisme / suicide partiel (pseudosuicide) / gratification perverse / réactivation de problèmes de l’enfance / sentiment de vulnérabilité / besoin de se sentir supérieur en trompant une figure d’autorité
  • Sociale
    • Histoire passée d’abus
    • Histoire passée de carence affective
323
Q

Trouble factice: Étiologie
- Sociale

A
  • Biologique
    • Ø transmission génétique / familiale
    • Ø étiologie organique connue
  • Psychologique
    • Appétence pour le monde médical
    • Pauvres capacités d’adaptation
    • Présence d’un TP limite / narcissique / dépendant / antisocial (lié par un manque d’autonomie et d’habiletés sociales)
    • Étiologies possibles et facteurs interreliés : Carences affectives / dépendance / besoin de contrôle / masochisme / suicide partiel (pseudosuicide) / gratification perverse / réactivation de problèmes de l’enfance / sentiment de vulnérabilité / besoin de se sentir supérieur en trompant une figure d’autorité
  • Sociale
    • Histoire passée d’abus
    • Histoire passée de carence affective
324
Q

Critères diagnostiques du trouble factice auto-induit

A
  • A. Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies, associée à une tromperie identiée.
  • B. L’individu se présente aux autres comme malade, invalide ou blessé.
  • C. Le comportement de tromperie est évident, même en l’absence de bénéfices externes objectivables.
  • D. Le comportement n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental tel qu’un trouble délirant ou un autre trouble psychotique.
  • Spécifier si :
    • Épisode unique
    • Épisodes répétés(deux événements ou plus de falsification d’une maladie et/ou d’induction d’une blessure)
325
Q

Critères diagnostiques du trouble factice auto-induit
- c’est quoi?

A
  • A. Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies, associée à une tromperie identifiée.
  • B. L’individu se présente aux autres comme malade, invalide ou blessé.
  • C. Le comportement de tromperie est évident, même en l’absence de bénéfices externes objectivables.
  • D. Le comportement n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental tel qu’un trouble délirant ou un autre trouble psychotique.
  • Spécifier si :
    • Épisode unique
    • Épisodes répétés(deux événements ou plus de falsification d’une maladie et/ou d’induction d’une blessure)
326
Q

Critères diagnostiques du trouble factice auto-induit
- sa présentation de lui-même aux autres

A
  • A. Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies, associée à une tromperie identiée.
  • B. L’individu se présente aux autres comme malade, invalide ou blessé.
  • C. Le comportement de tromperie est évident, même en l’absence de bénéfices externes objectivables.
  • D. Le comportement n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental tel qu’un trouble délirant ou un autre trouble psychotique.
  • Spécifier si :
    • Épisode unique
    • Épisodes répétés(deux événements ou plus de falsification d’une maladie et/ou d’induction d’une blessure)
327
Q

Critères diagnostiques du trouble factice auto-induit
- ce qui est évident

A
  • A. Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies, associée à une tromperie identiée.
  • B. L’individu se présente aux autres comme malade, invalide ou blessé.
  • C. Le comportement de tromperie est évident, même en l’absence de bénéfices externes objectivables.
  • D. Le comportement n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental tel qu’un trouble délirant ou un autre trouble psychotique.
  • Spécifier si :
    • Épisode unique
    • Épisodes répétés(deux événements ou plus de falsification d’une maladie et/ou d’induction d’une blessure)
328
Q

Critères diagnostiques du trouble factice auto-induit
- exclure quoi?

A
  • A. Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies, associée à une tromperie identiée.
  • B. L’individu se présente aux autres comme malade, invalide ou blessé.
  • C. Le comportement de tromperie est évident, même en l’absence de bénéfices externes objectivables.
  • D. Le comportement n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental tel qu’un trouble délirant ou un autre trouble psychotique.
  • Spécifier si :
    • Épisode unique
    • Épisodes répétés(deux événements ou plus de falsification d’une maladie et/ou d’induction d’une blessure)
329
Q

Critères diagnostiques du trouble factice auto-induit
- spécifications

A
  • A. Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies, associée à une tromperie identiée.
  • B. L’individu se présente aux autres comme malade, invalide ou blessé.
  • C. Le comportement de tromperie est évident, même en l’absence de bénéfices externes objectivables.
  • D. Le comportement n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental tel qu’un trouble délirant ou un autre trouble psychotique.
  • Spécifier si :
    • Épisode unique
    • Épisodes répétés (deux événements ou plus de falsification d’une maladie et/ou d’induction d’une blessure)
330
Q

Critères diagnostiques du trouble factice imposé à autrui

A
  • A. Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies chez autrui, associée à une tromperie identiée.
  • B. Le sujet fait passer une autre personne présente (la victime) pour malade, invalide ou blessée.
  • C. Le comportement de tromperie est évident, même en l’absence de bénéfices externes objectivables.
  • D. Le comportement n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental tel qu’un trouble délirant ou un autre trouble psychotique.
  • N.B. :Le diagnostic s’applique au coupable et non à la victime.
  • Spécifier si :
    • Épisode unique
    • Épisodes récurrents(deux événements ou plus de falsification d’une maladie et/ou d’induction d’une blessure).
331
Q

Critères diagnostiques du trouble factice imposé à autrui
- c’est quoi?

A
  • A. Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies chez autrui, associée à une tromperie identifiée.
  • B. Le sujet fait passer une autre personne présente (la victime) pour malade, invalide ou blessée.
  • C. Le comportement de tromperie est évident, même en l’absence de bénéfices externes objectivables.
  • D. Le comportement n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental tel qu’un trouble délirant ou un autre trouble psychotique.
  • N.B. :Le diagnostic s’applique au coupable et non à la victime.
  • Spécifier si :
    • Épisode unique
    • Épisodes récurrents(deux événements ou plus de falsification d’une maladie et/ou d’induction d’une blessure).
332
Q

Critères diagnostiques du trouble factice imposé à autrui
- ce qui doit être évident

A
  • A. Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies chez autrui, associée à une tromperie identiée.
  • B. Le sujet fait passer une autre personne présente (la victime) pour malade, invalide ou blessée.
  • C. Le comportement de tromperie est évident, même en l’absence de bénéfices externes objectivables.
  • D. Le comportement n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental tel qu’un trouble délirant ou un autre trouble psychotique.
  • N.B. :Le diagnostic s’applique au coupable et non à la victime.
  • Spécifier si :
    • Épisode unique
    • Épisodes récurrents(deux événements ou plus de falsification d’une maladie et/ou d’induction d’une blessure).
333
Q

Critères diagnostiques du trouble factice imposé à autrui
- exclure quoi?

A
  • A. Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies chez autrui, associée à une tromperie identiée.
  • B. Le sujet fait passer une autre personne présente (la victime) pour malade, invalide ou blessée.
  • C. Le comportement de tromperie est évident, même en l’absence de bénéfices externes objectivables.
  • D. Le comportement n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental tel qu’un trouble délirant ou un autre trouble psychotique.
  • N.B. :Le diagnostic s’applique au coupable et non à la victime.
  • Spécifier si :
    • Épisode unique
    • Épisodes récurrents(deux événements ou plus de falsification d’une maladie et/ou d’induction d’une blessure).
334
Q

Critères diagnostiques du trouble factice imposé à autrui
- le dx s’applique à qui?

A
  • A. Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies chez autrui, associée à une tromperie identiée.
  • B. Le sujet fait passer une autre personne présente (la victime) pour malade, invalide ou blessée.
  • C. Le comportement de tromperie est évident, même en l’absence de bénéfices externes objectivables.
  • D. Le comportement n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental tel qu’un trouble délirant ou un autre trouble psychotique.
  • N.B. :Le diagnostic s’applique au coupable et non à la victime.
  • Spécifier si :
    • Épisode unique
    • Épisodes récurrents(deux événements ou plus de falsification d’une maladie et/ou d’induction d’une blessure).
335
Q

Critères diagnostiques du trouble factice imposé à autrui
- spécifications

A
  • A. Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies chez autrui, associée à une tromperie identiée.
  • B. Le sujet fait passer une autre personne présente (la victime) pour malade, invalide ou blessée.
  • C. Le comportement de tromperie est évident, même en l’absence de bénéfices externes objectivables.
  • D. Le comportement n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental tel qu’un trouble délirant ou un autre trouble psychotique.
  • N.B. :Le diagnostic s’applique au coupable et non à la victime.
  • Spécifier si :
    • Épisode unique
    • Épisodes récurrents(deux événements ou plus de falsification d’une maladie et/ou d’induction d’une blessure).
336
Q

Rôle de la volonté dans la manifestation des symptômes

A
337
Q

Rôle de la volonté dans la manifestation des symptômes
- Troubles à symptomatologie somatique: Intervention de la volonté?

A

Oui

338
Q

Rôle de la volonté dans la manifestation des symptômes
- Troubles à symptomatologie somatique: Conscience du comportement volontaire?

A

Non

339
Q

Rôle de la volonté dans la manifestation des symptômes
- Troubles à symptomatologie somatique: Conscience de la motivation?

A

Non

340
Q

Rôle de la volonté dans la manifestation des symptômes
- Troubles factices: Intervention de la volonté?

A

Oui

341
Q

Rôle de la volonté dans la manifestation des symptômes
- Troubles factices: Conscience du comportement volontaire

A

Oui

342
Q

Rôle de la volonté dans la manifestation des symptômes
- Troubles factices: Conscience de la motivation?

A

Non

343
Q

Rôle de la volonté dans la manifestation des symptômes
- Simulation: Intervention de la volonté?

A

Oui

344
Q

Rôle de la volonté dans la manifestation des symptômes
- Simulation: Conscience du comportement volontaire?

A

Oui

345
Q

Rôle de la volonté dans la manifestation des symptômes
- Simulation: Conscience de la motivation?

A

Oui

346
Q

Conditions médicales localisées ou généralisées pouvant se manifester par un tr mental: Quoi savoir?

A
  • Ooooooouuuuuufffffffff!!
  • Méchant chapitre…
  • C’est là une surspécialisation de la psychiatrie: la consultation liaison et psychosomatique, vous savez ???
  • Concentrez-vous sur le tableau 28.5 et pour le tableau 28.6 sur les affections endocriniennes, infectieuses, néoplasiques et neurologiques.
  • Le tableau 28.7 me semble pas mal pratique…
  • Pour le reste, c’est pour votre culture médicale. Pour l’instant…
347
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable

A
348
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable

A
349
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: Nommez-les

A
  1. Dépression
  2. Démence
  3. Délirium
  4. Catatonie
350
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: PROBLÈME INITIAL
- Dépression
- Démence
- Délirium
- Catatonie

A
  • Dépression: Humeur dysphorique
  • Démence: Tr de mémoire
  • Délirium: Diminution de la prise de conscience de l’environnement
  • Catatonie: Stupeur
351
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: PROBLÈME INITIAL
- Dépression

A
  • Dépression: Humeur dysphorique
  • Démence: Tr de mémoire
  • Délirium: Diminution de la prise de conscience de l’environnement
  • Catatonie: Stupeur
352
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: PROBLÈME INITIAL
- Démence

A
  • Dépression: Humeur dysphorique
  • Démence: Tr de mémoire
  • Délirium: Diminution de la prise de conscience de l’environnement
  • Catatonie: Stupeur
353
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: PROBLÈME INITIAL
- Délirium

A
  • Dépression: Humeur dysphorique
  • Démence: Tr de mémoire
  • Délirium: Diminution de la prise de conscience de l’environnement
  • Catatonie: Stupeur
354
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: PROBLÈME INITIAL
- Catatonie

A
  • Dépression: Humeur dysphorique
  • Démence: Tr de mémoire
  • Délirium: Diminution de la prise de conscience de l’environnement
  • Catatonie: Stupeur
355
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: APPARITION
- Dépression
- Démence
- Délirium
- Catatonie

A
  • Dépression: Dsicrète
  • Démence: Insidieuse
  • Délirium: Abrupte
  • Catatonie: Abrupte
356
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: APPARITION
- Dépression

A
  • Dépression: Discrète
  • Démence: Insidieuse
  • Délirium: Abrupte
  • Catatonie: Abrupte
357
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: APPARITION
- Démence

A
  • Dépression: Dsicrète
  • Démence: Insidieuse
  • Délirium: Abrupte
  • Catatonie: Abrupte
358
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: APPARITION
- Délirium

A
  • Dépression: Dsicrète
  • Démence: Insidieuse
  • Délirium: Abrupte
  • Catatonie: Abrupte
359
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: APPARITION
- Catatonie

A
  • Dépression: Dsicrète
  • Démence: Insidieuse
  • Délirium: Abrupte
  • Catatonie: Abrupte
360
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ÉVOLUTION
- Dépression
- Démence
- Délirium
- Catatonie

A
  • Dépression: Persistante
  • Démence: Progressive
  • Délirium: Fluctuante
  • Catatonie: Transitoire ou prolongée
361
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ÉVOLUTION
- Dépression

A
  • Dépression: Persistante
  • Démence: Progressive
  • Délirium: Fluctuante
  • Catatonie: Transitoire ou prolongée
362
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ÉVOLUTION
- Démence

A
  • Dépression: Persistante
  • Démence: Progressive
  • Délirium: Fluctuante
  • Catatonie: Transitoire ou prolongée
363
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ÉVOLUTION
- Délirium

A
  • Dépression: Persistante
  • Démence: Progressive
  • Délirium: Fluctuante
  • Catatonie: Transitoire ou prolongée
364
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ÉVOLUTION
- Catatonie

A
  • Dépression: Persistante
  • Démence: Progressive
  • Délirium: Fluctuante
  • Catatonie: Transitoire ou prolongée
365
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: VIGILANCE / ÉVEIL
- Dépression
- Démence
- Délirium
- Catatonie

A
  • Dépression: Normal
  • Démence: Normal
  • Délirium: Perturbé
  • Catatonie: Normal
366
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: VIGILANCE / ÉVEIL
- Dépression

A
  • Dépression: Normal
  • Démence: Normal
  • Délirium: Perturbé
  • Catatonie: Normal
367
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: VIGILANCE / ÉVEIL
- Démence

A
  • Dépression: Normal
  • Démence: Normal
  • Délirium: Perturbé
  • Catatonie: Normal
368
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: VIGILANCE / ÉVEIL
- Délirium

A
  • Dépression: Normal
  • Démence: Normal
  • Délirium: Perturbé
  • Catatonie: Normal
369
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: VIGILANCE / ÉVEIL
- Catatonie

A
  • Dépression: Normal
  • Démence: Normal
  • Délirium: Perturbé
  • Catatonie: Normal
370
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ATTENTION
- Dépression
- Démence
- Délirium
- Catatonie

A
  • Dépression: Diminuée
  • Démence: Normale
  • Délirium: Perturbée
  • Catatonie: Absente
371
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ATTENTION
- Dépression

A
  • Dépression: Diminuée
  • Démence: Normale
  • Délirium: Perturbée
  • Catatonie: Absente
372
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ATTENTION
- Démence

A
  • Dépression: Diminuée
  • Démence: Normale
  • Délirium: Perturbée
  • Catatonie: Absente
373
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ATTENTION
- Délirium

A
  • Dépression: Diminuée
  • Démence: Normale
  • Délirium: Perturbée
  • Catatonie: Absente
374
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ATTENTION
- Catatonie

A
  • Dépression: Diminuée
  • Démence: Normale
  • Délirium: Perturbée
  • Catatonie: Absente
375
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ORIENTATION
- Dépression
- Démence
- Délirium
- Catatonie

A
  • Dépression: Normale
  • Démence: Normale
  • Délirium: Perturbée
  • Catatonie: Non évaluable
376
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ORIENTATION
- Dépression

A
  • Dépression: Normale
  • Démence: Normale
  • Délirium: Perturbée
  • Catatonie: Non évaluable
377
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ORIENTATION
- Démence

A
  • Dépression: Normale
  • Démence: Normale
  • Délirium: Perturbée
  • Catatonie: Non évaluable
378
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ORIENTATION
- Délirium

A
  • Dépression: Normale
  • Démence: Normale
  • Délirium: Perturbée
  • Catatonie: Non évaluable
379
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ORIENTATION
- Catatonie

A
  • Dépression: Normale
  • Démence: Normale
  • Délirium: Perturbée
  • Catatonie: Non évaluable
380
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: MÉMOIRE
- Dépression
- Démence
- Délirium
- Catatonie

A
  • Dépression:
    • Inégale, inconsistante
    • Faible collaboration à l’évaluation
  • Démence: Perturbée, surtout la mémoire récente
  • Délirium:
    • Perturbée
    • Encodage faible
  • Catatonie:
    • Non évaluable
    • Déficits parfois permanents
381
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: MÉMOIRE
- Dépression

A
  • Dépression:
    • Inégale, inconsistante
    • Faible collaboration à l’évaluation
  • Démence: Perturbée, surtout la mémoire récente
  • Délirium:
    • Perturbée
    • Encodage faible
  • Catatonie:
    • Non évaluable
    • Déficits parfois permanents
382
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: MÉMOIRE
- Démence

A
  • Dépression:
    • Inégale, inconsistante
    • Faible collaboration à l’évaluation
  • Démence: Perturbée, surtout la mémoire récente
  • Délirium:
    • Perturbée
    • Encodage faible
  • Catatonie:
    • Non évaluable
    • Déficits parfois permanents
383
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: MÉMOIRE
- Délirium

A
  • Dépression:
    • Inégale, inconsistante
    • Faible collaboration à l’évaluation
  • Démence: Perturbée, surtout la mémoire récente
  • Délirium:
    • Perturbée
    • Encodage faible
  • Catatonie:
    • Non évaluable
    • Déficits parfois permanents
384
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: MÉMOIRE
- Catatonie

A
  • Dépression:
    • Inégale, inconsistante
    • Faible collaboration à l’évaluation
  • Démence: Perturbée, surtout la mémoire récente
  • Délirium:
    • Perturbée
    • Encodage faible
  • Catatonie:
    • Non évaluable
    • Déficits parfois permanents
385
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: PLAINTES MNÉSIQUES
- Dépression
- Démence
- Délirium
- Catatonie

A
  • Dépression: Soulignées
  • Démence: Dissimulées, méconnues ou indifférence
  • Délirium: Absentes
  • Catatonie: Absentes
386
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: PLAINTES MNÉSIQUES
- Dépression

A
  • Dépression: Soulignées
  • Démence: Dissimulées, méconnues ou indifférence
  • Délirium: Absentes
  • Catatonie: Absentes
387
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: PLAINTES MNÉSIQUES
- Démence

A
  • Dépression: Soulignées
  • Démence: Dissimulées, méconnues ou indifférence
  • Délirium: Absentes
  • Catatonie: Absentes
388
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: PLAINTES MNÉSIQUES
- Délirium

A
  • Dépression: Soulignées
  • Démence: Dissimulées, méconnues ou indifférence
  • Délirium: Absentes
  • Catatonie: Absentes
389
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: PLAINTES MNÉSIQUES
- Catatonie

A
  • Dépression: Soulignées
  • Démence: Dissimulées, méconnues ou indifférence
  • Délirium: Absentes
  • Catatonie: Absentes
390
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: AFFECTS
- Dépression
- Démence
- Délirium
- Catatonie

A
  • Dépression: Triste, variation diurne
  • Démence: Variable
  • Délirium: Labile
  • Catatonie: Restreint
391
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: AFFECTS
- Dépression

A
  • Dépression: Triste, variation diurne
  • Démence: Variable
  • Délirium: Labile
  • Catatonie: Restreint
392
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: AFFECTS
- Démence

A
  • Dépression: Triste, variation diurne
  • Démence: Variable
  • Délirium: Labile
  • Catatonie: Restreint
393
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: AFFECTS
- Délirium

A
  • Dépression: Triste, variation diurne
  • Démence: Variable
  • Délirium: Labile
  • Catatonie: Restreint
394
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: AFFECTS
- Catatonie

A
  • Dépression: Triste, variation diurne
  • Démence: Variable
  • Délirium: Labile
  • Catatonie: Restreint
395
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ACTIVITÉ PSYCHOMOTRICE
- Dépression
- Démence
- Délirium
- Catatonie

A
  • Dépression: Ralentie
  • Démence: Variable
  • Délirium: Augmentée ou diminuée
  • Catatonie: Immobilité ou agitation
396
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ACTIVITÉ PSYCHOMOTRICE
- Dépression

A
  • Dépression: Ralentie
  • Démence: Variable
  • Délirium: Augmentée ou diminuée
  • Catatonie: Immobilité ou agitation
397
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ACTIVITÉ PSYCHOMOTRICE
- Démence

A
  • Dépression: Ralentie
  • Démence: Variable
  • Délirium: Augmentée ou diminuée
  • Catatonie: Immobilité ou agitation
398
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ACTIVITÉ PSYCHOMOTRICE
- Délirium

A
  • Dépression: Ralentie
  • Démence: Variable
  • Délirium: Augmentée ou diminuée
  • Catatonie: Immobilité ou agitation
399
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ACTIVITÉ PSYCHOMOTRICE
- Catatonie

A
  • Dépression: Ralentie
  • Démence: Variable
  • Délirium: Augmentée ou diminuée
  • Catatonie: Immobilité ou agitation
400
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: SYMPTÔMES PSYCHOTIQUES
- Dépression
- Démence
- Délirium
- Catatonie

A
  • Dépression: Occassionnels
  • Démence: Fréquents
  • Délirium: Très fréquents
  • Catatonie: Occasionnels
401
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: SYMPTÔMES PSYCHOTIQUES
- Dépression

A
  • Dépression: Occassionnels
  • Démence: Fréquents
  • Délirium: Très fréquents
  • Catatonie: Occasionnels
402
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: SYMPTÔMES PSYCHOTIQUES
- Démence

A
  • Dépression: Occassionnels
  • Démence: Fréquents
  • Délirium: Très fréquents
  • Catatonie: Occasionnels
403
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: SYMPTÔMES PSYCHOTIQUES
- Délirium

A
  • Dépression: Occassionnels
  • Démence: Fréquents
  • Délirium: Très fréquents
  • Catatonie: Occasionnels
404
Q

Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: SYMPTÔMES PSYCHOTIQUES
- Catatonie

A
  • Dépression: Occassionnels
  • Démence: Fréquents
  • Délirium: Très fréquents
  • Catatonie: Occasionnels
405
Q

LONGUE LISTE DE CONDITIONS MÉDICALES

A

p. 50-52

406
Q

Sommeil: C’est quoi?

A
  • Le sommeil est un état naturel de repos, cyclique et réversible, caractérisé par une réactivité réduite aux stimuli.
  • Au cours des dernières décennies, le temps consacré au sommeil aurait diminué de 20%.
  • La moyenne de temps de sommeil chez les personnes de 15 ans et plus se situe entre 7,5 et 8h par jour, avec une importante dispersion des valeurs autour de cette moyenne.
  • 15-19% dorment moins de 6,5h par jour en coupant volontairement leur temps de sommeil
  • La somnolence diurne interfère avec le fonctionnement de 50% des travailleurs
407
Q

Sommeil: Définition

A
  • Le sommeil est un état naturel de repos, cyclique et réversible, caractérisé par une réactivité réduite aux stimuli.
  • Au cours des dernières décennies, le temps consacré au sommeil aurait diminué de 20%.
  • La moyenne de temps de sommeil chez les personnes de 15 ans et plus se situe entre 7,5 et 8h par jour, avec une importante dispersion des valeurs autour de cette moyenne.
  • 15-19% dorment moins de 6,5h par jour en coupant volontairement leur temps de sommeil
  • La somnolence diurne interfère avec le fonctionnement de 50% des travailleurs
408
Q

Sommeil: Décrire l’état

A
  • Le sommeil est un état naturel de repos, cyclique et réversible, caractérisé par une réactivité réduite aux stimuli.
  • Au cours des dernières décennies, le temps consacré au sommeil aurait diminué de 20%.
  • La moyenne de temps de sommeil chez les personnes de 15 ans et plus se situe entre 7,5 et 8h par jour, avec une importante dispersion des valeurs autour de cette moyenne.
  • 15-19% dorment moins de 6,5h par jour en coupant volontairement leur temps de sommeil
  • La somnolence diurne interfère avec le fonctionnement de 50% des travailleurs
409
Q

Sommeil: Caractérisé par quoi?

A
  • Le sommeil est un état naturel de repos, cyclique et réversible, caractérisé par une réactivité réduite aux stimuli.
  • Au cours des dernières décennies, le temps consacré au sommeil aurait diminué de 20%.
  • La moyenne de temps de sommeil chez les personnes de 15 ans et plus se situe entre 7,5 et 8h par jour, avec une importante dispersion des valeurs autour de cette moyenne.
  • 15-19% dorment moins de 6,5h par jour en coupant volontairement leur temps de sommeil
  • La somnolence diurne interfère avec le fonctionnement de 50% des travailleurs
410
Q

Sommeil: Évolution du temps consacré au sommeil

A
  • Le sommeil est un état naturel de repos, cyclique et réversible, caractérisé par une réactivité réduite aux stimuli.
  • Au cours des dernières décennies, le temps consacré au sommeil aurait diminué de 20%.
  • La moyenne de temps de sommeil chez les personnes de 15 ans et plus se situe entre 7,5 et 8h par jour, avec une importante dispersion des valeurs autour de cette moyenne.
  • 15-19% dorment moins de 6,5h par jour en coupant volontairement leur temps de sommeil
  • La somnolence diurne interfère avec le fonctionnement de 50% des travailleurs
411
Q

Sommeil: Durée moyenne du sommeil par jour

A
  • Le sommeil est un état naturel de repos, cyclique et réversible, caractérisé par une réactivité réduite aux stimuli.
  • Au cours des dernières décennies, le temps consacré au sommeil aurait diminué de 20%.
  • La moyenne de temps de sommeil chez les personnes de 15 ans et plus se situe entre 7,5 et 8h par jour, avec une importante dispersion des valeurs autour de cette moyenne.
  • 15-19% dorment moins de 6,5h par jour en coupant volontairement leur temps de sommeil
  • La somnolence diurne interfère avec le fonctionnement de 50% des travailleurs
412
Q

Sommeil: Proportion des gens qui dorment moins de 6,5 heures

A
  • Le sommeil est un état naturel de repos, cyclique et réversible, caractérisé par une réactivité réduite aux stimuli.
  • Au cours des dernières décennies, le temps consacré au sommeil aurait diminué de 20%.
  • La moyenne de temps de sommeil chez les personnes de 15 ans et plus se situe entre 7,5 et 8h par jour, avec une importante dispersion des valeurs autour de cette moyenne.
  • 15-19% dorment moins de 6,5h par jour en coupant volontairement leur temps de sommeil
  • La somnolence diurne interfère avec le fonctionnement de 50% des travailleurs
413
Q

Sommeil: Impact de la somnolence diurne

A
  • Le sommeil est un état naturel de repos, cyclique et réversible, caractérisé par une réactivité réduite aux stimuli.
  • Au cours des dernières décennies, le temps consacré au sommeil aurait diminué de 20%.
  • La moyenne de temps de sommeil chez les personnes de 15 ans et plus se situe entre 7,5 et 8h par jour, avec une importante dispersion des valeurs autour de cette moyenne.
  • 15-19% dorment moins de 6,5h par jour en coupant volontairement leur temps de sommeil
  • La somnolence diurne interfère avec le fonctionnement de 50% des travailleurs
414
Q

Conséquences physiques du manque chronique de sommeil

A

Le manque chronique de sommeil peut entraîner d’importante conséquence physique sur la santé :

  • Complications cardiovasculaires
  • Troubles métaboliques (intolérance au glucose / obésité / HTA / incompétence immunitaire)
415
Q

Conséquences physiques du manque chronique de sommeil: Nommez-les

A

Le manque chronique de sommeil peut entraîner d’importante conséquence physique sur la santé :

  • Complications cardiovasculaires
  • Troubles métaboliques (intolérance au glucose / obésité / HTA / incompétence immunitaire)
416
Q

Problèmes de sommeil

A
  • Globalement, nous pouvons dire qu’environ 13% des personnes de 15 ans et plus souffrent d’un problème chronique de sommeil et que chaque année, 6-7% de cette population présente un problème occasionnel.
  • Remettre à plus tard un problème de trouble du sommeil sous prétexte que ce n’est pas la raison de consultation principale ou encore croire que c’est la plainte originale qui mène à ce trouble du sommeil ne sont pas des raisonnements véridiques :
    • La résolution des troubles du sommeil améliore l’adhésion au traitement et ses chances de succès
    • Les troubles du sommeil ne sont pas toujours la conséquence d’un autre problème de santé
417
Q

Problèmes de sommeil: Prévalence

A
  • Globalement, nous pouvons dire qu’environ 13% des personnes de 15 ans et plus souffrent d’un problème chronique de sommeil et que chaque année, 6-7% de cette population présente un problème occasionnel.
  • Remettre à plus tard un problème de trouble du sommeil sous prétexte que ce n’est pas la raison de consultation principale ou encore croire que c’est la plainte originale qui mène à ce trouble du sommeil ne sont pas des raisonnements véridiques :
    • La résolution des troubles du sommeil améliore l’adhésion au traitement et ses chances de succès
    • Les troubles du sommeil ne sont pas toujours la conséquence d’un autre problème de santé
418
Q

Problèmes de sommeil: Prévalence
- Chronique vs occasionnel

A
  • Globalement, nous pouvons dire qu’environ 13% des personnes de 15 ans et plus souffrent d’un problème chronique de sommeil et que chaque année, 6-7% de cette population présente un problème occasionnel.
  • Remettre à plus tard un problème de trouble du sommeil sous prétexte que ce n’est pas la raison de consultation principale ou encore croire que c’est la plainte originale qui mène à ce trouble du sommeil ne sont pas des raisonnements véridiques :
    • La résolution des troubles du sommeil améliore l’adhésion au traitement et ses chances de succès
    • Les troubles du sommeil ne sont pas toujours la conséquence d’un autre problème de santé
419
Q

Problèmes de sommeil: Quand consulter?

A
  • Globalement, nous pouvons dire qu’environ 13% des personnes de 15 ans et plus souffrent d’un problème chronique de sommeil et que chaque année, 6-7% de cette population présente un problème occasionnel.
  • Remettre à plus tard un problème de trouble du sommeil sous prétexte que ce n’est pas la raison de consultation principale ou encore croire que c’est la plainte originale qui mène à ce trouble du sommeil ne sont pas des raisonnements véridiques :
    • La résolution des troubles du sommeil améliore l’adhésion au traitement et ses chances de succès
    • Les troubles du sommeil ne sont pas toujours la conséquence d’un autre problème de santé
420
Q

Problèmes de sommeil: Comment les résoudre?

A
  • Globalement, nous pouvons dire qu’environ 13% des personnes de 15 ans et plus souffrent d’un problème chronique de sommeil et que chaque année, 6-7% de cette population présente un problème occasionnel.
  • Remettre à plus tard un problème de trouble du sommeil sous prétexte que ce n’est pas la raison de consultation principale ou encore croire que c’est la plainte originale qui mène à ce trouble du sommeil ne sont pas des raisonnements véridiques :
    • La résolution des troubles du sommeil améliore l’adhésion au traitement et ses chances de succès
    • Les troubles du sommeil ne sont pas toujours la conséquence d’un autre problème de santé
421
Q

Problèmes de sommeil: Causés par problème de santé?

A
  • Globalement, nous pouvons dire qu’environ 13% des personnes de 15 ans et plus souffrent d’un problème chronique de sommeil et que chaque année, 6-7% de cette population présente un problème occasionnel.
  • Remettre à plus tard un problème de trouble du sommeil sous prétexte que ce n’est pas la raison de consultation principale ou encore croire que c’est la plainte originale qui mène à ce trouble du sommeil ne sont pas des raisonnements véridiques :
    • La résolution des troubles du sommeil améliore l’adhésion au traitement et ses chances de succès
    • Les troubles du sommeil ne sont pas toujours la conséquence d’un autre problème de santé
422
Q

Sommeil: États physiologiques

A
  • Le sommeil est constitué de deux états physiologiques distincts:
    • Le sommeil paradoxal (REM), qui apparait entre chaque cycle (90 min) de sommeil.
    • Le sommeil lent (non REM), qui constitue la majorité du temps de sommeil (80%).
423
Q

Sommeil: États physiologiques - Nommez-les

A
  • Le sommeil est constitué de deux états physiologiques distincts:
    • Le sommeil paradoxal (REM), qui apparait entre chaque cycle (90 min) de sommeil.
    • Le sommeil lent (non REM), qui constitue la majorité du temps de sommeil (80%).
424
Q

Stades composant le sommeil NREM

A
  1. Éveillé - yeux ouverts
  2. Éveillé - yeux fermés
  3. Stade 1 - N1 (sommeil lent léger)
  4. Stade 2 – N2 (sommeil lent léger)
  5. Stade 3-4 – N3 (sommeil lent profond)
  6. Sommeil paradoxal - REM
425
Q

Stades composant le sommeil NREM: Nommez les phases éveillées

A
  1. Éveillé - yeux ouverts
  2. Éveillé - yeux fermés
  3. Stade 1 - N1 (sommeil lent léger)
  4. Stade 2 – N2 (sommeil lent léger)
  5. Stade 3-4 – N3 (sommeil lent profond)
  6. Sommeil paradoxal - REM
426
Q

Stades composant le sommeil NREM: Nommez les phases de sommeil lent léger

A
  1. Éveillé - yeux ouverts
  2. Éveillé - yeux fermés
  3. Stade 1 - N1 (sommeil lent léger)
  4. Stade 2 – N2 (sommeil lent léger)
  5. Stade 3-4 – N3 (sommeil lent profond)
  6. Sommeil paradoxal - REM
427
Q

Stades composant le sommeil NREM: Nommez les phases sommeil lent profond

A
  1. Éveillé - yeux ouverts
  2. Éveillé - yeux fermés
  3. Stade 1 - N1 (sommeil lent léger)
  4. Stade 2 – N2 (sommeil lent léger)
  5. Stade 3-4 – N3 (sommeil lent profond)
  6. Sommeil paradoxal - REM
428
Q

Stades composant le sommeil NREM: Synonyme REM

A
  1. Éveillé - yeux ouverts
  2. Éveillé - yeux fermés
  3. Stade 1 - N1 (sommeil lent léger)
  4. Stade 2 – N2 (sommeil lent léger)
  5. Stade 3-4 – N3 (sommeil lent profond)
  6. Sommeil paradoxal - REM
429
Q

Stades composant le sommeil NREM: Nommez-les en ordre

A
  1. Éveillé - yeux ouverts
  2. Éveillé - yeux fermés
  3. Stade 1 - N1 (sommeil lent léger)
  4. Stade 2 – N2 (sommeil lent léger)
  5. Stade 3-4 – N3 (sommeil lent profond)
  6. Sommeil paradoxal - REM
430
Q

Stades sommeil: Éveillé – yeux ouverts
- Tracé

A
  • EEG: tracé d’ondes rapides et de faibles amplitudes (13-30Hz)
  • EMG: élevé
  • EOG: rapide et adapté au comportement
431
Q

Stades sommeil: Éveillé – yeux ouverts
- EEG

A
  • EEG: tracé d’ondes rapides et de faibles amplitudes (13-30Hz)
  • EMG: élevé
  • EOG: rapide et adapté au comportement
432
Q

Stades sommeil: Éveillé – yeux ouverts
- EMG

A
  • EEG: tracé d’ondes rapides et de faibles amplitudes (13-30Hz)
  • EMG: élevé
  • EOG: rapide et adapté au comportement
433
Q

Stades sommeil: Éveillé – yeux ouverts
- EOG

A
  • EEG: tracé d’ondes rapides et de faibles amplitudes (13-30Hz)
  • EMG: élevé
  • EOG: rapide et adapté au comportement
434
Q

Stades sommeil: Éveillé – yeux fermés
- Tracé

A
  • EEG: avec onde α (8-12Hz) et disparaissent à l’ouverture des yeux ou au cours d’une tâche mentale
435
Q

Stades sommeil: Éveillé – yeux fermés
- EEG

A
  • EEG: avec onde α (8-12Hz) et disparaissent à l’ouverture des yeux ou au cours d’une tâche mentale
436
Q

Stades sommeil: Stade 1 – N1
- Type de sommeil

A

Sommeil lent léger

437
Q

Stades sommeil: Stade 1 – N1
- Tracé

A

Sommeil lent léger

438
Q

Stades sommeil: Stade 1 – N1
- Description

A
  • Avec l’assoupissement, le rythme α disparaît pour faire place à un EEG lent (4-7Hz) et synchrone.
  • EOG présente des mouvements lents
  • EMG : le tonus musculaire est maintenu
  • La flèche montre la transition de l’éveil-yeux fermés à N1
  • Si réveillée, la personne rapporte une sensation de demi-sommeil et rêverie.
439
Q

Stades sommeil: Stade 1 – N1
- EEG

A
  • Avec l’assoupissement, le rythme α disparaît pour faire place à un EEG lent (4-7Hz) et synchrone.
  • EOG présente des mouvements lents
  • EMG : le tonus musculaire est maintenu
  • La flèche montre la transition de l’éveil-yeux fermés à N1
  • Si réveillée, la personne rapporte une sensation de demi-sommeil et rêverie.
440
Q

Stades sommeil: Stade 1 – N1
- EOG

A
  • Avec l’assoupissement, le rythme α disparaît pour faire place à un EEG lent (4-7Hz) et synchrone.
  • EOG présente des mouvements lents
  • EMG : le tonus musculaire est maintenu
  • La flèche montre la transition de l’éveil-yeux fermés à N1
  • Si réveillée, la personne rapporte une sensation de demi-sommeil et rêverie.
441
Q

Stades sommeil: Stade 1 – N1
- EMG

A
  • Avec l’assoupissement, le rythme α disparaît pour faire place à un EEG lent (4-7Hz) et synchrone.
  • EOG présente des mouvements lents
  • EMG : le tonus musculaire est maintenu
  • La flèche montre la transition de l’éveil-yeux fermés à N1
  • Si réveillée, la personne rapporte une sensation de demi-sommeil et rêverie.
442
Q

Stades sommeil: Stade 1 – N1
- Transition éveil (yeux fermés) à N1

A
  • Avec l’assoupissement, le rythme α disparaît pour faire place à un EEG lent (4-7Hz) et synchrone.
  • EOG présente des mouvements lents
  • EMG : le tonus musculaire est maintenu
  • La flèche montre la transition de l’éveil-yeux fermés à N1
  • Si réveillée, la personne rapporte une sensation de demi-sommeil et rêverie.
443
Q

Stades sommeil: Stade 1 – N1
- Senstion si personne réveillée

A
  • Avec l’assoupissement, le rythme α disparaît pour faire place à un EEG lent (4-7Hz) et synchrone.
  • EOG présente des mouvements lents
  • EMG : le tonus musculaire est maintenu
  • La flèche montre la transition de l’éveil-yeux fermés à N1
  • Si réveillée, la personne rapporte une sensation de demi-sommeil et rêverie.
444
Q

Stades sommeil: Stade 2 – N2
- Description

A
  • Apparaît en quelques minutes à l’EEG des caractéristiques en bouffées
    • Témoigne de l’inhibition de la réactivité sensorielle par l’inhibition du thalamus
  • Les complexes K peuvent apparaître spontanément ou en réponse à un stimulus extérieur → preuve que le cerveau reste réceptif
    • Si la stimulation sensorielle est répétée, les ondes K diminuent en fréquences → preuve que le cerveau traite l’information durant le sommeil
    • Si la stimulation est signifiante, la personne peut se réveiller abruptement
    • Le complexe K protège le cerveau en favorisant une activité EEG lente et synchrone
  • Si réveillée, la personne au N2 à l’impression d’avoir réellement dormi
  • EOG : Ø de mouvement oculaire
  • EMG : Tonus musculaire maintenu
445
Q

Stades sommeil: Stade 2 – N2
- EEG

A
  • Apparaît en quelques minutes à l’EEG des caractéristiques en bouffées
    • Témoigne de l’inhibition de la réactivité sensorielle par l’inhibition du thalamus
  • Les complexes K peuvent apparaître spontanément ou en réponse à un stimulus extérieur → preuve que le cerveau reste réceptif
    • Si la stimulation sensorielle est répétée, les ondes K diminuent en fréquences → preuve que le cerveau traite l’information durant le sommeil
    • Si la stimulation est signifiante, la personne peut se réveiller abruptement
    • Le complexe K protège le cerveau en favorisant une activité EEG lente et synchrone
  • Si réveillée, la personne au N2 à l’impression d’avoir réellement dormi
  • EOG : Ø de mouvement oculaire
  • EMG : Tonus musculaire maintenu
446
Q

Stades sommeil: Stade 2 – N2
- Complexes K

A
  • Apparaît en quelques minutes à l’EEG des caractéristiques en bouffées
    • Témoigne de l’inhibition de la réactivité sensorielle par l’inhibition du thalamus
  • Les complexes K peuvent apparaître spontanément ou en réponse à un stimulus extérieur → preuve que le cerveau reste réceptif
    • Si la stimulation sensorielle est répétée, les ondes K diminuent en fréquences → preuve que le cerveau traite l’information durant le sommeil
    • Si la stimulation est signifiante, la personne peut se réveiller abruptement
    • Le complexe K protège le cerveau en favorisant une activité EEG lente et synchrone
  • Si réveillée, la personne au N2 à l’impression d’avoir réellement dormi
  • EOG : Ø de mouvement oculaire
  • EMG : Tonus musculaire maintenu
447
Q

Stades sommeil: Stade 2 – N2
- sensation si personne réveillée

A
  • Apparaît en quelques minutes à l’EEG des caractéristiques en bouffées
    • Témoigne de l’inhibition de la réactivité sensorielle par l’inhibition du thalamus
  • Les complexes K peuvent apparaître spontanément ou en réponse à un stimulus extérieur → preuve que le cerveau reste réceptif
    • Si la stimulation sensorielle est répétée, les ondes K diminuent en fréquences → preuve que le cerveau traite l’information durant le sommeil
    • Si la stimulation est signifiante, la personne peut se réveiller abruptement
    • Le complexe K protège le cerveau en favorisant une activité EEG lente et synchrone
  • Si réveillée, la personne au N2 à l’impression d’avoir réellement dormi
  • EOG : Ø de mouvement oculaire
  • EMG : Tonus musculaire maintenu
448
Q

Stades sommeil: Stade 2 – N2
- EOG

A
  • Apparaît en quelques minutes à l’EEG des caractéristiques en bouffées
    • Témoigne de l’inhibition de la réactivité sensorielle par l’inhibition du thalamus
  • Les complexes K peuvent apparaître spontanément ou en réponse à un stimulus extérieur → preuve que le cerveau reste réceptif
    • Si la stimulation sensorielle est répétée, les ondes K diminuent en fréquences → preuve que le cerveau traite l’information durant le sommeil
    • Si la stimulation est signifiante, la personne peut se réveiller abruptement
    • Le complexe K protège le cerveau en favorisant une activité EEG lente et synchrone
  • Si réveillée, la personne au N2 à l’impression d’avoir réellement dormi
  • EOG : Ø de mouvement oculaire
  • EMG : Tonus musculaire maintenu
449
Q

Stades sommeil: Stade 2 – N2
- EMG

A
  • Apparaît en quelques minutes à l’EEG des caractéristiques en bouffées
    • Témoigne de l’inhibition de la réactivité sensorielle par l’inhibition du thalamus
  • Les complexes K peuvent apparaître spontanément ou en réponse à un stimulus extérieur → preuve que le cerveau reste réceptif
    • Si la stimulation sensorielle est répétée, les ondes K diminuent en fréquences → preuve que le cerveau traite l’information durant le sommeil
    • Si la stimulation est signifiante, la personne peut se réveiller abruptement
    • Le complexe K protège le cerveau en favorisant une activité EEG lente et synchrone
  • Si réveillée, la personne au N2 à l’impression d’avoir réellement dormi
  • EOG : Ø de mouvement oculaire
  • EMG : Tonus musculaire maintenu
450
Q

Stades sommeil: Stade 2 – N2
- Tracé

A
451
Q

Stades sommeil: Stade 3-4 – N3
- Type de sommeil

A

Sommeil lent profond

452
Q

Stades sommeil: Stade 3-4 – N3
- Description

A
  • 15-40 min après le N2
  • EEG ralentit et devient hypersynchrone avec des ondes delta (σ) très amples (0,5-4Hz et amplitude supérieure à 75uV)
  • Ondes σ occupent 20 à 49% ou plus de 50% d’un segment de tracé
  • En plus de σ, on observe :
    • Ralentissement des fonctions végétatives
    • Diminution de la TA
    • Baisse de la température corporelle
    • Élévation du seuil d’éveil → la personne est confuse en se réveillant
  • EOG : Ø de mouvements oculaires
  • EMG : Tonus PSYM
453
Q

Stades sommeil: Stade 3-4 – N3
- Quand?

A
  • 15-40 min après le N2
  • EEG ralentit et devient hypersynchrone avec des ondes delta (σ) très amples (0,5-4Hz et amplitude supérieure à 75uV)
  • Ondes σ occupent 20 à 49% ou plus de 50% d’un segment de tracé
  • En plus de σ, on observe :
    • Ralentissement des fonctions végétatives
    • Diminution de la TA
    • Baisse de la température corporelle
    • Élévation du seuil d’éveil → la personne est confuse en se réveillant
  • EOG : Ø de mouvements oculaires
  • EMG : Tonus PSYM
454
Q

Stades sommeil: Stade 3-4 – N3
- EEG

A
  • 15-40 min après le N2
  • EEG ralentit et devient hypersynchrone avec des ondes delta (σ) très amples (0,5-4Hz et amplitude supérieure à 75uV)
  • Ondes σ occupent 20 à 49% ou plus de 50% d’un segment de tracé
  • En plus de σ, on observe :
    • Ralentissement des fonctions végétatives
    • Diminution de la TA
    • Baisse de la température corporelle
    • Élévation du seuil d’éveil → la personne est confuse en se réveillant
  • EOG : Ø de mouvements oculaires
  • EMG : Tonus PSYM
455
Q

Stades sommeil: Stade 3-4 – N3
- Ondes delta

A
  • 15-40 min après le N2
  • EEG ralentit et devient hypersynchrone avec des ondes delta (σ) très amples (0,5-4Hz et amplitude supérieure à 75uV)
  • Ondes σ occupent 20 à 49% ou plus de 50% d’un segment de tracé
  • En plus de σ, on observe :
    • Ralentissement des fonctions végétatives
    • Diminution de la TA
    • Baisse de la température corporelle
    • Élévation du seuil d’éveil → la personne est confuse en se réveillant
  • EOG : Ø de mouvements oculaires
  • EMG : Tonus PSYM
456
Q

Stades sommeil: Stade 3-4 – N3
- autres choses que l’on observe

A
  • 15-40 min après le N2
  • EEG ralentit et devient hypersynchrone avec des ondes delta (σ) très amples (0,5-4Hz et amplitude supérieure à 75uV)
  • Ondes σ occupent 20 à 49% ou plus de 50% d’un segment de tracé
  • En plus de σ, on observe :
    • Ralentissement des fonctions végétatives
    • Diminution de la TA
    • Baisse de la température corporelle
    • Élévation du seuil d’éveil → la personne est confuse en se réveillant
  • EOG : Ø de mouvements oculaires
  • EMG : Tonus PSYM
457
Q

Stades sommeil: Stade 3-4 – N3
- Autres signes / symptômes

A
  • 15-40 min après le N2
  • EEG ralentit et devient hypersynchrone avec des ondes delta (σ) très amples (0,5-4Hz et amplitude supérieure à 75uV)
  • Ondes σ occupent 20 à 49% ou plus de 50% d’un segment de tracé
  • En plus de σ, on observe :
    • Ralentissement des fonctions végétatives
    • Diminution de la TA
    • Baisse de la température corporelle
    • Élévation du seuil d’éveil → la personne est confuse en se réveillant
  • EOG : Ø de mouvements oculaires
  • EMG : Tonus PSYM
458
Q

Stades sommeil: Stade 3-4 – N3
- EOG

A
  • 15-40 min après le N2
  • EEG ralentit et devient hypersynchrone avec des ondes delta (σ) très amples (0,5-4Hz et amplitude supérieure à 75uV)
  • Ondes σ occupent 20 à 49% ou plus de 50% d’un segment de tracé
  • En plus de σ, on observe :
    • Ralentissement des fonctions végétatives
    • Diminution de la TA
    • Baisse de la température corporelle
    • Élévation du seuil d’éveil → la personne est confuse en se réveillant
  • EOG : Ø de mouvements oculaires
  • EMG : Tonus PSYM
459
Q

Stades sommeil: Stade 3-4 – N3
- EMG

A
  • 15-40 min après le N2
  • EEG ralentit et devient hypersynchrone avec des ondes delta (σ) très amples (0,5-4Hz et amplitude supérieure à 75uV)
  • Ondes σ occupent 20 à 49% ou plus de 50% d’un segment de tracé
  • En plus de σ, on observe :
    • Ralentissement des fonctions végétatives
    • Diminution de la TA
    • Baisse de la température corporelle
    • Élévation du seuil d’éveil → la personne est confuse en se réveillant
  • EOG : Ø de mouvements oculaires
  • EMG : Tonus PSYM
460
Q

Stades sommeil: Stade 3-4 – N3
- Tracé

A
461
Q

Stades sommeil: Sommeil paradoxal - synonyme

A

REM

462
Q

Stades sommeil: Sommeil paradoxal / REM

A
  • Après 90 min de sommeil lent, la première période de REM survient.
  • Plusieurs signes d’activation centrale et végétative apparaissent simultanément :
    • EEG désynchronisé semblable au N1 ou éveil
  • EMG : Atonie musculaire complète (inhibition active, soutenue et réversible des motoneurones α de la moelle).
  • EOG : Bouffées de mouvements oculaires rapides
  • Sur le plan physiologique, on observe :
    • Prédominance SYM
    • Irrégularité du pouls et respiration
    • Clonies irrégulières de la face et des extrémités
    • Vasodilatation et une érection du pénis ou clitoris
    • Contractions par bouffées des muscles de l’oreille moyenne
  • La personne est autant endormie qu’en N3/N4, mais plus sensible aux stimuli
463
Q

Stades sommeil: Sommeil paradoxal / REM
- survient quand?

A
  • Après 90 min de sommeil lent, la première période de REM survient.
  • Plusieurs signes d’activation centrale et végétative apparaissent simultanément :
    • EEG désynchronisé semblable au N1 ou éveil
  • EMG : Atonie musculaire complète (inhibition active, soutenue et réversible des motoneurones α de la moelle).
  • EOG : Bouffées de mouvements oculaires rapides
  • Sur le plan physiologique, on observe :
    • Prédominance SYM
    • Irrégularité du pouls et respiration
    • Clonies irrégulières de la face et des extrémités
    • Vasodilatation et une érection du pénis ou clitoris
    • Contractions par bouffées des muscles de l’oreille moyenne
  • La personne est autant endormie qu’en N3/N4, mais plus sensible aux stimuli
464
Q

Stades sommeil: Sommeil paradoxal / REM
- survient après combien de temps de sommeil lent?

A
  • Après 90 min de sommeil lent, la première période de REM survient.
  • Plusieurs signes d’activation centrale et végétative apparaissent simultanément :
    • EEG désynchronisé semblable au N1 ou éveil
  • EMG : Atonie musculaire complète (inhibition active, soutenue et réversible des motoneurones α de la moelle).
  • EOG : Bouffées de mouvements oculaires rapides
  • Sur le plan physiologique, on observe :
    • Prédominance SYM
    • Irrégularité du pouls et respiration
    • Clonies irrégulières de la face et des extrémités
    • Vasodilatation et une érection du pénis ou clitoris
    • Contractions par bouffées des muscles de l’oreille moyenne
  • La personne est autant endormie qu’en N3/N4, mais plus sensible aux stimuli
465
Q

Stades sommeil: Sommeil paradoxal / REM
- EEG

A
  • Après 90 min de sommeil lent, la première période de REM survient.
  • Plusieurs signes d’activation centrale et végétative apparaissent simultanément :
    • EEG désynchronisé semblable au N1 ou éveil
  • EMG : Atonie musculaire complète (inhibition active, soutenue et réversible des motoneurones α de la moelle).
  • EOG : Bouffées de mouvements oculaires rapides
  • Sur le plan physiologique, on observe :
    • Prédominance SYM
    • Irrégularité du pouls et respiration
    • Clonies irrégulières de la face et des extrémités
    • Vasodilatation et une érection du pénis ou clitoris
    • Contractions par bouffées des muscles de l’oreille moyenne
  • La personne est autant endormie qu’en N3/N4, mais plus sensible aux stimuli
466
Q

Stades sommeil: Sommeil paradoxal / REM
- Signes d’activation centrale et végétative

A
  • Après 90 min de sommeil lent, la première période de REM survient.
  • Plusieurs signes d’activation centrale et végétative apparaissent simultanément :
    • EEG désynchronisé semblable au N1 ou éveil
  • EMG : Atonie musculaire complète (inhibition active, soutenue et réversible des motoneurones α de la moelle).
  • EOG : Bouffées de mouvements oculaires rapides
  • Sur le plan physiologique, on observe :
    • Prédominance SYM
    • Irrégularité du pouls et respiration
    • Clonies irrégulières de la face et des extrémités
    • Vasodilatation et une érection du pénis ou clitoris
    • Contractions par bouffées des muscles de l’oreille moyenne
  • La personne est autant endormie qu’en N3/N4, mais plus sensible aux stimuli
467
Q

Stades sommeil: Sommeil paradoxal / REM
- EMG

A
  • Après 90 min de sommeil lent, la première période de REM survient.
  • Plusieurs signes d’activation centrale et végétative apparaissent simultanément :
    • EEG désynchronisé semblable au N1 ou éveil
  • EMG : Atonie musculaire complète (inhibition active, soutenue et réversible des motoneurones α de la moelle).
  • EOG : Bouffées de mouvements oculaires rapides
  • Sur le plan physiologique, on observe :
    • Prédominance SYM
    • Irrégularité du pouls et respiration
    • Clonies irrégulières de la face et des extrémités
    • Vasodilatation et une érection du pénis ou clitoris
    • Contractions par bouffées des muscles de l’oreille moyenne
  • La personne est autant endormie qu’en N3/N4, mais plus sensible aux stimuli
468
Q

Stades sommeil: Sommeil paradoxal / REM
- EOG

A
  • Après 90 min de sommeil lent, la première période de REM survient.
  • Plusieurs signes d’activation centrale et végétative apparaissent simultanément :
    • EEG désynchronisé semblable au N1 ou éveil
  • EMG : Atonie musculaire complète (inhibition active, soutenue et réversible des motoneurones α de la moelle).
  • EOG : Bouffées de mouvements oculaires rapides
  • Sur le plan physiologique, on observe :
    • Prédominance SYM
    • Irrégularité du pouls et respiration
    • Clonies irrégulières de la face et des extrémités
    • Vasodilatation et une érection du pénis ou clitoris
    • Contractions par bouffées des muscles de l’oreille moyenne
  • La personne est autant endormie qu’en N3/N4, mais plus sensible aux stimuli
469
Q

Stades sommeil: Sommeil paradoxal / REM
- Sur le plan phsyiologique

A
  • Après 90 min de sommeil lent, la première période de REM survient.
  • Plusieurs signes d’activation centrale et végétative apparaissent simultanément :
    • EEG désynchronisé semblable au N1 ou éveil
  • EMG : Atonie musculaire complète (inhibition active, soutenue et réversible des motoneurones α de la moelle).
  • EOG : Bouffées de mouvements oculaires rapides
  • Sur le plan physiologique, on observe :
    • Prédominance SYM
    • Irrégularité du pouls et respiration
    • Clonies irrégulières de la face et des extrémités
    • Vasodilatation et une érection du pénis ou clitoris
    • Contractions par bouffées des muscles de l’oreille moyenne
  • La personne est autant endormie qu’en N3/N4, mais plus sensible aux stimuli
470
Q

Stades sommeil: Sommeil paradoxal / REM
- différence avec N3 / N4

A
  • Après 90 min de sommeil lent, la première période de REM survient.
  • Plusieurs signes d’activation centrale et végétative apparaissent simultanément :
    • EEG désynchronisé semblable au N1 ou éveil
  • EMG : Atonie musculaire complète (inhibition active, soutenue et réversible des motoneurones α de la moelle).
  • EOG : Bouffées de mouvements oculaires rapides
  • Sur le plan physiologique, on observe :
    • Prédominance SYM
    • Irrégularité du pouls et respiration
    • Clonies irrégulières de la face et des extrémités
    • Vasodilatation et une érection du pénis ou clitoris
    • Contractions par bouffées des muscles de l’oreille moyenne
  • La personne est autant endormie qu’en N3/N4, mais plus sensible aux stimuli
471
Q

Stades sommeil: Sommeil paradoxal / REM
- Tracé

A
472
Q

Hypnogramme d’une nuit normale de sommeil

A
  • La figure 32.2 est importante à connaître…
  • Remarquez notamment la distribution du sommeil réparateur et du REM.
  • Vous comprendrez pourquoi il est si difficile de se faire réveiller alors qu’on est de garde et qu’on a fait qu’un « petit somme » …
  • Elle est présente dans le tableau précédent.
473
Q

Hypnogramme d’une nuit normale de sommeil: Séquence des différents stades de sommeil

A
  • La figure 32.2 est importante à connaître…
  • Remarquez notamment la distribution du sommeil réparateur et du REM.
  • Vous comprendrez pourquoi il est si difficile de se faire réveiller alors qu’on est de garde et qu’on a fait qu’un « petit somme » …
  • Elle est présente dans le tableau précédent.
474
Q

Identifiez le.s énoncé.s vrai.s
1) Les ondes delta sont des ondes de faible amplitude, typiques de l’endormissement
2) Les complexes K s’observent dans le stade 2 du sommeil
3) Les ondes rapides en dents de scie caractérisent le tracé d’EEG des stades 3 et 4
4) Les ondes thêta caractérisent le stade 1 du sommeil

A

1) Les ondes delta sont des ondes de faible amplitude, typiques de l’endormissement
2) Les complexes K s’observent dans le stade 2 du sommeil
3) Les ondes rapides en dents de scie caractérisent le tracé d’EEG des stades 3 et 4
4) Les ondes thêta caractérisent le stade 1 du sommeil

475
Q

Sommeil: Rôle des neurones cholinergiques

A
  • Plusieurs zones spécifiques et neurotransmetteurs spécifiques ont des rôles à jouer au niveau de l’éveil et du sommeil.
  • Zones spécifiques :
    • Hypothalamus : interrupteur qui permet l’alternance entre l’éveil et le sommeil
    • Thalamus : interrupteur du passage ou du blocage de l’information vers le cortex (utile à partir de la phase N2…)
    • Tronc cérébral : interrupteur permettant l’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal.
  • Neurotransmetteurs :
    • Adénosine : responsable de l’apparition du sommeil en désinhibant la neurotransmission GABAergique
    • GABA : protection des stimulations du monde extérieur (diminue la sensibilité aux stimuli)
    • Neurones cholinergiques (TC) : induction et maintien du sommeil paradoxal
    • Neurones aminergiques (TC) : inhibition du sommeil paradoxal
476
Q

Sommeil: Zones spécifiques du cerveau en lien avec le sommeil

A
  • Plusieurs zones spécifiques et neurotransmetteurs spécifiques ont des rôles à jouer au niveau de l’éveil et du sommeil.
  • Zones spécifiques :
    • Hypothalamus : interrupteur qui permet l’alternance entre l’éveil et le sommeil
    • Thalamus : interrupteur du passage ou du blocage de l’information vers le cortex (utile à partir de la phase N2…)
    • Tronc cérébral : interrupteur permettant l’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal.
  • Neurotransmetteurs :
    • Adénosine : responsable de l’apparition du sommeil en désinhibant la neurotransmission GABAergique
    • GABA : protection des stimulations du monde extérieur (diminue la sensibilité aux stimuli)
    • Neurones cholinergiques (TC) : induction et maintien du sommeil paradoxal
    • Neurones aminergiques (TC) : inhibition du sommeil paradoxal
477
Q

Sommeil: Zones spécifiques du cerveau en lien avec le sommeil
- Nommez-les

A
  • Plusieurs zones spécifiques et neurotransmetteurs spécifiques ont des rôles à jouer au niveau de l’éveil et du sommeil.
  • Zones spécifiques :
    • Hypothalamus : interrupteur qui permet l’alternance entre l’éveil et le sommeil
    • Thalamus : interrupteur du passage ou du blocage de l’information vers le cortex (utile à partir de la phase N2…)
    • Tronc cérébral : interrupteur permettant l’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal.
  • Neurotransmetteurs :
    • Adénosine : responsable de l’apparition du sommeil en désinhibant la neurotransmission GABAergique
    • GABA : protection des stimulations du monde extérieur (diminue la sensibilité aux stimuli)
    • Neurones cholinergiques (TC) : induction et maintien du sommeil paradoxal
    • Neurones aminergiques (TC) : inhibition du sommeil paradoxal
478
Q

Sommeil: Zones spécifiques du cerveau en lien avec le sommeil
- Rôle de: Hypothalamus

A
  • Plusieurs zones spécifiques et neurotransmetteurs spécifiques ont des rôles à jouer au niveau de l’éveil et du sommeil.
  • Zones spécifiques :
    • Hypothalamus : interrupteur qui permet l’alternance entre l’éveil et le sommeil
    • Thalamus : interrupteur du passage ou du blocage de l’information vers le cortex (utile à partir de la phase N2…)
    • Tronc cérébral : interrupteur permettant l’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal.
  • Neurotransmetteurs :
    • Adénosine : responsable de l’apparition du sommeil en désinhibant la neurotransmission GABAergique
    • GABA : protection des stimulations du monde extérieur (diminue la sensibilité aux stimuli)
    • Neurones cholinergiques (TC) : induction et maintien du sommeil paradoxal
    • Neurones aminergiques (TC) : inhibition du sommeil paradoxal
479
Q

Sommeil: Zones spécifiques du cerveau en lien avec le sommeil
- Rôle de: Thalamus

A
  • Plusieurs zones spécifiques et neurotransmetteurs spécifiques ont des rôles à jouer au niveau de l’éveil et du sommeil.
  • Zones spécifiques :
    • Hypothalamus : interrupteur qui permet l’alternance entre l’éveil et le sommeil
    • Thalamus : interrupteur du passage ou du blocage de l’information vers le cortex (utile à partir de la phase N2…)
    • Tronc cérébral : interrupteur permettant l’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal.
  • Neurotransmetteurs :
    • Adénosine : responsable de l’apparition du sommeil en désinhibant la neurotransmission GABAergique
    • GABA : protection des stimulations du monde extérieur (diminue la sensibilité aux stimuli)
    • Neurones cholinergiques (TC) : induction et maintien du sommeil paradoxal
    • Neurones aminergiques (TC) : inhibition du sommeil paradoxal
480
Q

Sommeil: Zones spécifiques du cerveau en lien avec le sommeil
- Rôle de: Tronc cérébral

A
  • Plusieurs zones spécifiques et neurotransmetteurs spécifiques ont des rôles à jouer au niveau de l’éveil et du sommeil.
  • Zones spécifiques :
    • Hypothalamus : interrupteur qui permet l’alternance entre l’éveil et le sommeil
    • Thalamus : interrupteur du passage ou du blocage de l’information vers le cortex (utile à partir de la phase N2…)
    • Tronc cérébral : interrupteur permettant l’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal.
  • Neurotransmetteurs :
    • Adénosine : responsable de l’apparition du sommeil en désinhibant la neurotransmission GABAergique
    • GABA : protection des stimulations du monde extérieur (diminue la sensibilité aux stimuli)
    • Neurones cholinergiques (TC) : induction et maintien du sommeil paradoxal
    • Neurones aminergiques (TC) : inhibition du sommeil paradoxal
481
Q

Sommeil: NT en lien avec le sommeil

A
  • Plusieurs zones spécifiques et neurotransmetteurs spécifiques ont des rôles à jouer au niveau de l’éveil et du sommeil.
  • Neurotransmetteurs :
    • Adénosine : responsable de l’apparition du sommeil en désinhibant la neurotransmission GABAergique
    • GABA : protection des stimulations du monde extérieur (diminue la sensibilité aux stimuli)
    • Neurones cholinergiques (TC) : induction et maintien du sommeil paradoxal
    • Neurones aminergiques (TC) : inhibition du sommeil paradoxal
  • Zones spécifiques :
    • Hypothalamus : interrupteur qui permet l’alternance entre l’éveil et le sommeil
    • Thalamus : interrupteur du passage ou du blocage de l’information vers le cortex (utile à partir de la phase N2…)
    • Tronc cérébral : interrupteur permettant l’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal.
482
Q

Sommeil: NT en lien avec le sommeil
- Nommez-les

A
  • Plusieurs zones spécifiques et neurotransmetteurs spécifiques ont des rôles à jouer au niveau de l’éveil et du sommeil.
  • Neurotransmetteurs :
    • Adénosine : responsable de l’apparition du sommeil en désinhibant la neurotransmission GABAergique
    • GABA : protection des stimulations du monde extérieur (diminue la sensibilité aux stimuli)
    • Neurones cholinergiques (TC) : induction et maintien du sommeil paradoxal
    • Neurones aminergiques (TC) : inhibition du sommeil paradoxal
  • Zones spécifiques :
    • Hypothalamus : interrupteur qui permet l’alternance entre l’éveil et le sommeil
    • Thalamus : interrupteur du passage ou du blocage de l’information vers le cortex (utile à partir de la phase N2…)
    • Tronc cérébral : interrupteur permettant l’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal.
483
Q

Sommeil: NT en lien avec le sommeil
- Rôle de: Adénosine

A
  • Plusieurs zones spécifiques et neurotransmetteurs spécifiques ont des rôles à jouer au niveau de l’éveil et du sommeil.
  • Neurotransmetteurs :
    • Adénosine : responsable de l’apparition du sommeil en désinhibant la neurotransmission GABAergique
    • GABA : protection des stimulations du monde extérieur (diminue la sensibilité aux stimuli)
    • Neurones cholinergiques (TC) : induction et maintien du sommeil paradoxal
    • Neurones aminergiques (TC) : inhibition du sommeil paradoxal
  • Zones spécifiques :
    • Hypothalamus : interrupteur qui permet l’alternance entre l’éveil et le sommeil
    • Thalamus : interrupteur du passage ou du blocage de l’information vers le cortex (utile à partir de la phase N2…)
    • Tronc cérébral : interrupteur permettant l’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal.
484
Q

Sommeil: NT en lien avec le sommeil
- Rôle de: GABA

A
  • Plusieurs zones spécifiques et neurotransmetteurs spécifiques ont des rôles à jouer au niveau de l’éveil et du sommeil.
  • Neurotransmetteurs :
    • Adénosine : responsable de l’apparition du sommeil en désinhibant la neurotransmission GABAergique
    • GABA : protection des stimulations du monde extérieur (diminue la sensibilité aux stimuli)
    • Neurones cholinergiques (TC) : induction et maintien du sommeil paradoxal
    • Neurones aminergiques (TC) : inhibition du sommeil paradoxal
  • Zones spécifiques :
    • Hypothalamus : interrupteur qui permet l’alternance entre l’éveil et le sommeil
    • Thalamus : interrupteur du passage ou du blocage de l’information vers le cortex (utile à partir de la phase N2…)
    • Tronc cérébral : interrupteur permettant l’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal.
485
Q

Sommeil: NT en lien avec le sommeil
- Rôle de: Neurones cholinergiques (TC)

A
  • Plusieurs zones spécifiques et neurotransmetteurs spécifiques ont des rôles à jouer au niveau de l’éveil et du sommeil.
  • Neurotransmetteurs :
    • Adénosine : responsable de l’apparition du sommeil en désinhibant la neurotransmission GABAergique
    • GABA : protection des stimulations du monde extérieur (diminue la sensibilité aux stimuli)
    • Neurones cholinergiques (TC) : induction et maintien du sommeil paradoxal
    • Neurones aminergiques (TC) : inhibition du sommeil paradoxal
  • Zones spécifiques :
    • Hypothalamus : interrupteur qui permet l’alternance entre l’éveil et le sommeil
    • Thalamus : interrupteur du passage ou du blocage de l’information vers le cortex (utile à partir de la phase N2…)
    • Tronc cérébral : interrupteur permettant l’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal.
486
Q

Sommeil: NT en lien avec le sommeil
- Rôle de: Neurones aminergiques (TC)

A
  • Plusieurs zones spécifiques et neurotransmetteurs spécifiques ont des rôles à jouer au niveau de l’éveil et du sommeil.
  • Neurotransmetteurs :
    • Adénosine : responsable de l’apparition du sommeil en désinhibant la neurotransmission GABAergique
    • GABA : protection des stimulations du monde extérieur (diminue la sensibilité aux stimuli)
    • Neurones cholinergiques (TC) : induction et maintien du sommeil paradoxal
    • Neurones aminergiques (TC) : inhibition du sommeil paradoxal
  • Zones spécifiques :
    • Hypothalamus : interrupteur qui permet l’alternance entre l’éveil et le sommeil
    • Thalamus : interrupteur du passage ou du blocage de l’information vers le cortex (utile à partir de la phase N2…)
    • Tronc cérébral : interrupteur permettant l’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal.
487
Q

Représentation schématique des trois principaux interrupteurs neurophysiologiques de l’éveil et du sommeil

A
488
Q

Systèmes régulant le sommeil: Nommez-les

A
  1. Horloge biologique circadienne
  2. Pression homéostastique
489
Q

Systèmes régulant le sommeil: Horloge biologique circadienne

A
  • Sa composante maîtresse se situe dans les noyaux suprachiasmatiques de l’hypothalamus antérieur.
  • Elle s’occupe de réguler :
    • Le cycle veille-sommeil
    • La T° corporelle
    • La sécrétion de plusieurs hormones (dont la mélatonine…)
    • L’humeur
    • Certaines habiletés cognitives (attention / mémoire / fluidité verbale)
    • Habiletés psychomotrices (temps de réaction par exemple)
  • Cette horloge est influencée par plusieurs synchroniseurs extrinsèques (lumière) et intrinsèques (transmissions de certains gènes).
  • Afin de favoriser un meilleur sommeil, 3 composantes doivent être réunies (T° corporelle, lumière et de la sécrétion de mélatonine).
  • Il est à noter que la sécrétion de mélatonine est supprimée par la lumière.
490
Q

Systèmes régulant le sommeil: Horloge biologique circadienne
- composante principale

A
  • Sa composante maîtresse se situe dans les noyaux suprachiasmatiques de l’hypothalamus antérieur.
  • Elle s’occupe de réguler :
    • Le cycle veille-sommeil
    • La T° corporelle
    • La sécrétion de plusieurs hormones (dont la mélatonine…)
    • L’humeur
    • Certaines habiletés cognitives (attention / mémoire / fluidité verbale)
    • Habiletés psychomotrices (temps de réaction par exemple)
  • Cette horloge est influencée par plusieurs synchroniseurs extrinsèques (lumière) et intrinsèques (transmissions de certains gènes).
  • Afin de favoriser un meilleur sommeil, 3 composantes doivent être réunies (T° corporelle, lumière et de la sécrétion de mélatonine).
  • Il est à noter que la sécrétion de mélatonine est supprimée par la lumière.
491
Q

Systèmes régulant le sommeil: Horloge biologique circadienne
- son rôle

A
  • Sa composante maîtresse se situe dans les noyaux suprachiasmatiques de l’hypothalamus antérieur.
  • Elle s’occupe de réguler :
    • Le cycle veille-sommeil
    • La T° corporelle
    • La sécrétion de plusieurs hormones (dont la mélatonine…)
    • L’humeur
    • Certaines habiletés cognitives (attention / mémoire / fluidité verbale)
    • Habiletés psychomotrices (temps de réaction par exemple)
  • Cette horloge est influencée par plusieurs synchroniseurs extrinsèques (lumière) et intrinsèques (transmissions de certains gènes).
  • Afin de favoriser un meilleur sommeil, 3 composantes doivent être réunies (T° corporelle, lumière et de la sécrétion de mélatonine).
  • Il est à noter que la sécrétion de mélatonine est supprimée par la lumière.
492
Q

Systèmes régulant le sommeil: Horloge biologique circadienne
- ce qui influence cette horloge

A
  • Sa composante maîtresse se situe dans les noyaux suprachiasmatiques de l’hypothalamus antérieur.
  • Elle s’occupe de réguler :
    • Le cycle veille-sommeil
    • La T° corporelle
    • La sécrétion de plusieurs hormones (dont la mélatonine…)
    • L’humeur
    • Certaines habiletés cognitives (attention / mémoire / fluidité verbale)
    • Habiletés psychomotrices (temps de réaction par exemple)
  • Cette horloge est influencée par plusieurs synchroniseurs extrinsèques (lumière) et intrinsèques (transmissions de certains gènes).
  • Afin de favoriser un meilleur sommeil, 3 composantes doivent être réunies (T° corporelle, lumière et de la sécrétion de mélatonine).
  • Il est à noter que la sécrétion de mélatonine est supprimée par la lumière.
493
Q

Systèmes régulant le sommeil: Horloge biologique circadienne
- types de composantes influençant cette horloge

A
  • Sa composante maîtresse se situe dans les noyaux suprachiasmatiques de l’hypothalamus antérieur.
  • Elle s’occupe de réguler :
    • Le cycle veille-sommeil
    • La T° corporelle
    • La sécrétion de plusieurs hormones (dont la mélatonine…)
    • L’humeur
    • Certaines habiletés cognitives (attention / mémoire / fluidité verbale)
    • Habiletés psychomotrices (temps de réaction par exemple)
  • Cette horloge est influencée par plusieurs synchroniseurs extrinsèques (lumière) et intrinsèques (transmissions de certains gènes).
  • Afin de favoriser un meilleur sommeil, 3 composantes doivent être réunies (T° corporelle, lumière et de la sécrétion de mélatonine).
  • Il est à noter que la sécrétion de mélatonine est supprimée par la lumière.
494
Q

Systèmes régulant le sommeil: Horloge biologique circadienne
- composantes favorisant le sommeil

A
  • Sa composante maîtresse se situe dans les noyaux suprachiasmatiques de l’hypothalamus antérieur.
  • Elle s’occupe de réguler :
    • Le cycle veille-sommeil
    • La T° corporelle
    • La sécrétion de plusieurs hormones (dont la mélatonine…)
    • L’humeur
    • Certaines habiletés cognitives (attention / mémoire / fluidité verbale)
    • Habiletés psychomotrices (temps de réaction par exemple)
  • Cette horloge est influencée par plusieurs synchroniseurs extrinsèques (lumière) et intrinsèques (transmissions de certains gènes).
  • Afin de favoriser un meilleur sommeil, 3 composantes doivent être réunies (T° corporelle, lumière et de la sécrétion de mélatonine).
  • Il est à noter que la sécrétion de mélatonine est supprimée par la lumière.
495
Q

Systèmes régulant le sommeil: Horloge biologique circadienne
- ce qui supprime la sécrétion de la mélatonine

A
  • Sa composante maîtresse se situe dans les noyaux suprachiasmatiques de l’hypothalamus antérieur.
  • Elle s’occupe de réguler :
    • Le cycle veille-sommeil
    • La T° corporelle
    • La sécrétion de plusieurs hormones (dont la mélatonine…)
    • L’humeur
    • Certaines habiletés cognitives (attention / mémoire / fluidité verbale)
    • Habiletés psychomotrices (temps de réaction par exemple)
  • Cette horloge est influencée par plusieurs synchroniseurs extrinsèques (lumière) et intrinsèques (transmissions de certains gènes).
  • Afin de favoriser un meilleur sommeil, 3 composantes doivent être réunies (T° corporelle, lumière et de la sécrétion de mélatonine).
  • Il est à noter que la sécrétion de mélatonine est supprimée par la lumière.
496
Q

Systèmes régulant le sommeil: Pression homéostatique

A
  • Pression homéostatique : mécanisme qui facilite le sommeil proportionnellement au temps d’éveil avant le coucher.
  • C’est la « dette accumulée de besoin de sommeil ».
  • L’horloge biologique circadienne et la pression homéostatique cumulent leur influence respective et permet un chronotype uniquement à chaque personne qui permet généralement différentes caractéristiques :
    • Type de matin (maximum de fonctionnement physique et psychologique)
    • Type du soir (meilleure performance en soirée)
    • Durée du sommeil (court ou grand dormeur)
497
Q

Systèmes régulant le sommeil: Pression homéostatique
- définition

A
  • Pression homéostatique : mécanisme qui facilite le sommeil proportionnellement au temps d’éveil avant le coucher.
  • C’est la « dette accumulée de besoin de sommeil ».
498
Q

Systèmes régulant le sommeil: Relation entre horloge biologique et pression homéostatique

A
  • L’horloge biologique circadienne et la pression homéostatique cumulent leur influence respective et permet un chronotype uniquement à chaque personne qui permet généralement différentes caractéristiques :
    • Type de matin (maximum de fonctionnement physique et psychologique)
    • Type du soir (meilleure performance en soirée)
    • Durée du sommeil (court ou grand dormeur)
499
Q

Systèmes régulant le sommeil: Relation entre horloge biologique et pression homéostatique

A
  • L’horloge biologique circadienne et la pression homéostatique cumulent leur influence respective et permet un chronotype uniquement à chaque personne qui permet généralement différentes caractéristiques :
    • Type de matin (maximum de fonctionnement physique et psychologique)
    • Type du soir (meilleure performance en soirée)
    • Durée du sommeil (court ou grand dormeur)
500
Q

Systèmes régulant le sommeil: Relation entre horloge biologique et pression homéostatique
- Nommez-les types

A
  • L’horloge biologique circadienne et la pression homéostatique cumulent leur influence respective et permet un chronotype uniquement à chaque personne qui permet généralement différentes caractéristiques :
    • Type de matin (maximum de fonctionnement physique et psychologique)
    • Type du soir (meilleure performance en soirée)
    • Durée du sommeil (court ou grand dormeur)
501
Q

Systèmes régulant le sommeil: Relation entre horloge biologique et pression homéostatique
- expliquez

A
  • L’horloge biologique circadienne et la pression homéostatique cumulent leur influence respective et permet un chronotype uniquement à chaque personne qui permet généralement différentes caractéristiques :
    • Type de matin (maximum de fonctionnement physique et psychologique)
    • Type du soir (meilleure performance en soirée)
    • Durée du sommeil (court ou grand dormeur)
502
Q

Systèmes régulant le sommeil: Relation entre horloge biologique et pression homéostatique
- Type de matin

A
  • L’horloge biologique circadienne et la pression homéostatique cumulent leur influence respective et permet un chronotype uniquement à chaque personne qui permet généralement différentes caractéristiques :
    • Type de matin (maximum de fonctionnement physique et psychologique)
    • Type du soir (meilleure performance en soirée)
    • Durée du sommeil (court ou grand dormeur)
503
Q

Systèmes régulant le sommeil: Relation entre horloge biologique et pression homéostatique
- Type du soir

A
  • L’horloge biologique circadienne et la pression homéostatique cumulent leur influence respective et permet un chronotype uniquement à chaque personne qui permet généralement différentes caractéristiques :
    • Type de matin (maximum de fonctionnement physique et psychologique)
    • Type du soir (meilleure performance en soirée)
    • Durée du sommeil (court ou grand dormeur)
504
Q

Systèmes régulant le sommeil: Relation entre horloge biologique et pression homéostatique
- durée du sommeil

A
  • L’horloge biologique circadienne et la pression homéostatique cumulent leur influence respective et permet un chronotype uniquement à chaque personne qui permet généralement différentes caractéristiques :
    • Type de matin (maximum de fonctionnement physique et psychologique)
    • Type du soir (meilleure performance en soirée)
    • Durée du sommeil (court ou grand dormeur)
505
Q

Représentation schématique de synchroniseurs circadiens qui déterminent le début du sommeil et sa durée

A
506
Q

Fonctions du sommeil: Nommez-les

A
  • Fonctions cognitives, notamment sur la mémoire explicite/déclarative, implicite/procédurale, la mémoire de travail et l’attention :
    • Le sommeil lent et le sommeil paradoxal se succèdent et favorisent une consolidation des apprentissages (les 2 étapes sont nécessaires, d’où l’importance d’une bonne hygiène de sommeil) :
      • Renforcement des traces mnésiques utiles et effacement de ceux obsolètes dans le sommeil lent
      • Consolidation des traces mnésiques utiles dans le sommeil paradoxal
507
Q

Fonctions du sommeil: Fonctions cognitives

A
  • Fonctions cognitives, notamment sur la mémoire explicite/déclarative, implicite/procédurale, la mémoire de travail et l’attention :
    • Le sommeil lent et le sommeil paradoxal se succèdent et favorisent une consolidation des apprentissages (les 2 étapes sont nécessaires, d’où l’importance d’une bonne hygiène de sommeil) :
      • Renforcement des traces mnésiques utiles et effacement de ceux obsolètes dans le sommeil lent
      • Consolidation des traces mnésiques utiles dans le sommeil paradoxal
508
Q

Fonctions du sommeil: Fonctions cognitives
- types de mémoire

A
  • Fonctions cognitives, notamment sur la mémoire explicite/déclarative, implicite/procédurale, la mémoire de travail et l’attention :
    • Le sommeil lent et le sommeil paradoxal se succèdent et favorisent une consolidation des apprentissages (les 2 étapes sont nécessaires, d’où l’importance d’une bonne hygiène de sommeil) :
      • Renforcement des traces mnésiques utiles et effacement de ceux obsolètes dans le sommeil lent
      • Consolidation des traces mnésiques utiles dans le sommeil paradoxal
509
Q

Fonctions du sommeil: Fonctions cognitives
- types de sommeil

A
  • Fonctions cognitives, notamment sur la mémoire explicite/déclarative, implicite/procédurale, la mémoire de travail et l’attention :
    • Le sommeil lent et le sommeil paradoxal se succèdent et favorisent une consolidation des apprentissages (les 2 étapes sont nécessaires, d’où l’importance d’une bonne hygiène de sommeil) :
      • Renforcement des traces mnésiques utiles et effacement de ceux obsolètes dans le sommeil lent
      • Consolidation des traces mnésiques utiles dans le sommeil paradoxal
510
Q

Fonctions du sommeil: Fonctions cognitives
- ce qui est nécessaire

A
  • Fonctions cognitives, notamment sur la mémoire explicite/déclarative, implicite/procédurale, la mémoire de travail et l’attention :
    • Le sommeil lent et le sommeil paradoxal se succèdent et favorisent une consolidation des apprentissages (les 2 étapes sont nécessaires, d’où l’importance d’une bonne hygiène de sommeil) :
      • Renforcement des traces mnésiques utiles et effacement de ceux obsolètes dans le sommeil lent
      • Consolidation des traces mnésiques utiles dans le sommeil paradoxal
511
Q

Fonctions du sommeil: Fonctions cognitives
- impacts d’une nuit fragmentée

A
  • Fonctions cognitives, notamment sur la mémoire explicite/déclarative, implicite/procédurale, la mémoire de travail et l’attention :
    • Le sommeil lent et le sommeil paradoxal se succèdent et favorisent une consolidation des apprentissages (les 2 étapes sont nécessaires, d’où l’importance d’une bonne hygiène de sommeil) :
      • Renforcement des traces mnésiques utiles et effacement de ceux obsolètes dans le sommeil lent
      • Consolidation des traces mnésiques utiles dans le sommeil paradoxal
  • Ceci peut expliquer pourquoi une nuit fragmentée de multiples brefs réveils crée plus de dommage sur la consolidation des apprentissages qu’une nuit blanche (Donc, c’est mieux une nuit blanche pré-exam que de se réveiller 4 X 10 min en stressant pour l’exam… RIP).
512
Q

Fonctions du sommeil: Fonctions cognitives
- ce qui se passe lorsqu’on cumule une dette de sommeil

A
  • Lorsque l’on accumule une dette de sommeil, on repend TOUT le sommeil lent profond et 50 % du sommeil paradoxal.
  • Il est à noter que le nombre de minutes de sommeil lent profond est le même chez les grands dormeurs que chez les petits dormeurs
513
Q

Fonctions du sommeil: Fonctions cognitives
- petits vs grands dormeurs: impact sur nb de minutes de sommeil profond

A
  • Lorsque l’on accumule une dette de sommeil, on repend TOUT le sommeil lent profond et 50 % du sommeil paradoxal.
  • Il est à noter que le nombre de minutes de sommeil lent profond est le même chez les grands dormeurs que chez les petits dormeurs
514
Q

Rôles du sommeil profond

A
  • Les rôles du sommeil paradoxal sont la maturation du système nerveux central, la synaptogenèse et la mise en action pendant le rêve de comportements essentiels à la survie.
  • Effectivement, 80% des rêves sont des rêves d’infortunes et permettent à l’individu de s’entraîner à réagir à des situations conflictuelles réelles diurnes.
  • Le cerveau travaille et tente d’effectuer des processus aussi efficaces qu’à l’éveil pour apprendre à dominer la peur, mais si l’apaisement de la peur échoue, le rêve se transforme en cauchemar et amène l’éveil.
  • Il est à noter que la majorité des rêves sont porteurs de sens pour l’individu.
  • La probabilité d’obtenir un récit de rêve suite au réveil est de 80 – 90 % suite au réveil d’un sommeil paradoxal et 20 % si le patient est en sommeil lent.
515
Q

Rôles du sommeil profond: Nommez-les

A
  • Les rôles du sommeil paradoxal sont la maturation du système nerveux central, la synaptogenèse et la mise en action pendant le rêve de comportements essentiels à la survie.
  • Effectivement, 80% des rêves sont des rêves d’infortunes et permettent à l’individu de s’entraîner à réagir à des situations conflictuelles réelles diurnes.
  • Le cerveau travaille et tente d’effectuer des processus aussi efficaces qu’à l’éveil pour apprendre à dominer la peur, mais si l’apaisement de la peur échoue, le rêve se transforme en cauchemar et amène l’éveil.
  • Il est à noter que la majorité des rêves sont porteurs de sens pour l’individu.
  • La probabilité d’obtenir un récit de rêve suite au réveil est de 80 – 90 % suite au réveil d’un sommeil paradoxal et 20 % si le patient est en sommeil lent.
516
Q

Rôles du sommeil profond: Rôle de la plupart des rêves

A
  • Les rôles du sommeil paradoxal sont la maturation du système nerveux central, la synaptogenèse et la mise en action pendant le rêve de comportements essentiels à la survie.
  • Effectivement, 80% des rêves sont des rêves d’infortunes et permettent à l’individu de s’entraîner à réagir à des situations conflictuelles réelles diurnes.
  • Le cerveau travaille et tente d’effectuer des processus aussi efficaces qu’à l’éveil pour apprendre à dominer la peur, mais si l’apaisement de la peur échoue, le rêve se transforme en cauchemar et amène l’éveil.
  • Il est à noter que la majorité des rêves sont porteurs de sens pour l’individu.
  • La probabilité d’obtenir un récit de rêve suite au réveil est de 80 – 90 % suite au réveil d’un sommeil paradoxal et 20 % si le patient est en sommeil lent.
517
Q

Rôles du sommeil profond: Expliquez

A
  • Les rôles du sommeil paradoxal sont la maturation du système nerveux central, la synaptogenèse et la mise en action pendant le rêve de comportements essentiels à la survie.
  • Effectivement, 80% des rêves sont des rêves d’infortunes et permettent à l’individu de s’entraîner à réagir à des situations conflictuelles réelles diurnes.
  • Le cerveau travaille et tente d’effectuer des processus aussi efficaces qu’à l’éveil pour apprendre à dominer la peur, mais si l’apaisement de la peur échoue, le rêve se transforme en cauchemar et amène l’éveil.
  • Il est à noter que la majorité des rêves sont porteurs de sens pour l’individu.
  • La probabilité d’obtenir un récit de rêve suite au réveil est de 80 – 90 % suite au réveil d’un sommeil paradoxal et 20 % si le patient est en sommeil lent.
518
Q

Rôles du sommeil profond: Sens des rêves pour l’individu

A
  • Les rôles du sommeil paradoxal sont la maturation du système nerveux central, la synaptogenèse et la mise en action pendant le rêve de comportements essentiels à la survie.
  • Effectivement, 80% des rêves sont des rêves d’infortunes et permettent à l’individu de s’entraîner à réagir à des situations conflictuelles réelles diurnes.
  • Le cerveau travaille et tente d’effectuer des processus aussi efficaces qu’à l’éveil pour apprendre à dominer la peur, mais si l’apaisement de la peur échoue, le rêve se transforme en cauchemar et amène l’éveil.
  • Il est à noter que la majorité des rêves sont porteurs de sens pour l’individu.
  • La probabilité d’obtenir un récit de rêve suite au réveil est de 80 – 90 % suite au réveil d’un sommeil paradoxal et 20 % si le patient est en sommeil lent.
519
Q

Rôles du sommeil profond: Capable de raconter ses rêves?

A
  • Les rôles du sommeil paradoxal sont la maturation du système nerveux central, la synaptogenèse et la mise en action pendant le rêve de comportements essentiels à la survie.
  • Effectivement, 80% des rêves sont des rêves d’infortunes et permettent à l’individu de s’entraîner à réagir à des situations conflictuelles réelles diurnes.
  • Le cerveau travaille et tente d’effectuer des processus aussi efficaces qu’à l’éveil pour apprendre à dominer la peur, mais si l’apaisement de la peur échoue, le rêve se transforme en cauchemar et amène l’éveil.
  • Il est à noter que la majorité des rêves sont porteurs de sens pour l’individu.
  • La probabilité d’obtenir un récit de rêve suite au réveil est de 80 – 90 % suite au réveil d’un sommeil paradoxal et 20 % si le patient est en sommeil lent.
520
Q

Troubles sommeil-éveil: Ce qu’il faut savoir

A
  • Pour les manifestations cliniques caractérisant les troubles de l’alternance éveil-sommeil… ouin… il y a bien trop de pages à lire, et pas toujours super pertinentes… et en plus, bon, c’est vrai, ce n’est pas la lecture la plus enthousiasmante du Lalonde… peut-être même la plus… endormante…
  • Faisons donc un peu de ménage pour vous permettre de distinguer ce qui est important pour votre niveau de ce qui ne l’est plus ou moins… ou pas du tout.
521
Q

Troubles sommeil-éveil: Quoi retenir?

A
  • Je vous suggère fortement de retenir grossièrement les critères diagnostics DSM de l’insomnie, hypersomnolence (p 735) et narcolepsie (p 736 sans les sous-types bien sûr), et des parasomnies et troubles secondaires (à une condition médicale ou toxique) du sommeil en oubliant les troubles liés à la respiration qui seront vus en pneumologie… histoire de savoir que ça existe et d’avoir une idée du vocabulaire utilisé.
  • Pour la thérapeutique, tenez-vous- en aux trois pages de notes suivantes sur l’hygiène du sommeil, les traitements non pharmacologiques et un algorithme d’évaluation des troubles du sommeil rédigées par le Dr Sylvain Faucher.
  • Vous en aurez bien assez pour l’instant. Vous êtes d’accord, non ?
522
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge

A
  • Le délai d’endormissement augmente progressivement avec l’âge, mais la taille de l’effet statistique est faible. Il n’y a pas de changement notable de l’enfance à l’adolescence et l’allongement est surtout apparent à compter de 60-65 ans : les moyennes obtenues augmentent d’environ 10 minutes de 20 à 80 ans.
  • La durée totale du sommeil montre une diminution en deux temps. D’abord, de l’enfance à l’adolescence, cette diminution n’est apparente que les jours d’école puisque les adolescents rattrapent, les fins de semaine, le sommeil qu’ils ont perdu pendant les jours de classe, eu égard au délai de phase qui caractérise souvent leur cycle veille-sommeil. Ensuite, on perd 10 minutes de sommeil par décennie de 30 à 60 ans, puis le temps dormi devient un peu plus stable.
  • Le sommeil léger de stade 1 augmente presque parallèlement à l’allongement du délai d’endormissement : pas de changement de l’enfance à l’adolescence, puis une augmentation significative de 5 % au total de 20 à 70 ans.
  • Le stade 2 montre peu de changement.
  • Le sommeil lent profond (stades 3 et 4) diminue significativement tout au long de la vie : la perte est importante dès l’enfance, avec une diminution de 7 % par cinq ans de 5 à 15 ans, puis d’environ 2 % par décennie à compter de 20 ans, pour éventuellement disparaître complètement, quelque part entre 50 et 80 ans. Certains auteurs considèrent qu’au moins une partie de la diminution de sommeil lent profond est attribuable à une perte d’amplitude des ondes lentes de type delta à l’EEG, critère caractéristique de ce stade, alors que leur fréquence serait maintenue. Il s’avère toutefois que l’âge s’accompagne également d’une perte du pic sécrétoire de l’hormone de croissance qui accompagne normalement le sommeil lent profond.
  • Le délai d’apparition du sommeil paradoxal raccourcit de façon importante de 5 ans (130 minutes) à 25 ans (80 minutes), puis cette diminution devient moins importante, quoiqu’encore significative dans les années suivantes.
  • La durée du sommeil paradoxal varie inversement selon l’âge : on observe d’abord une augmentation de 2 % de l’enfance à l’adolescence, puis une perte de 4 % de 20 à 60 ans, pour ensuite demeurer plus ou moins stable.
  • Les réveils nocturnes et l’efficacité du sommeil ne changent pas pendant l’enfance et l’adolescence, mais ces deux mesures se détériorent ensuite avec 10 minutes de plus d’éveil par décennie à compter de 30 ans et 3 % de moins d’efcacité par décennie à compter de 40 ans.
523
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- délai d’endormissement

A
  • Le délai d’endormissement augmente progressivement avec l’âge, mais la taille de l’effet statistique est faible.
  • Il n’y a pas de changement notable de l’enfance à l’adolescence et l’allongement est surtout apparent à compter de 60-65 ans : les moyennes obtenues augmentent d’environ 10 minutes de 20 à 80 ans.
524
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- délai d’endormissement: effet de l’âge

A
  • Le délai d’endormissement augmente progressivement avec l’âge, mais la taille de l’effet statistique est faible.
  • Il n’y a pas de changement notable de l’enfance à l’adolescence et l’allongement est surtout apparent à compter de 60-65 ans : les moyennes obtenues augmentent d’environ 10 minutes de 20 à 80 ans.
525
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- délai d’endormissement: importance de l’effet de l’âge

A
  • Le délai d’endormissement augmente progressivement avec l’âge, mais la taille de l’effet statistique est faible.
  • Il n’y a pas de changement notable de l’enfance à l’adolescence et l’allongement est surtout apparent à compter de 60-65 ans : les moyennes obtenues augmentent d’environ 10 minutes de 20 à 80 ans.
526
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- délai d’endormissement: enfants vs ados

A
  • Le délai d’endormissement augmente progressivement avec l’âge, mais la taille de l’effet statistique est faible.
  • Il n’y a pas de changement notable de l’enfance à l’adolescence et l’allongement est surtout apparent à compter de 60-65 ans : les moyennes obtenues augmentent d’environ 10 minutes de 20 à 80 ans.
527
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- délai d’endormissement: moyennes

A
  • Le délai d’endormissement augmente progressivement avec l’âge, mais la taille de l’effet statistique est faible.
  • Il n’y a pas de changement notable de l’enfance à l’adolescence et l’allongement est surtout apparent à compter de 60-65 ans : les moyennes obtenues augmentent d’environ 10 minutes de 20 à 80 ans.
528
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- délai d’endormissement: changement marqué à quel âge?

A
  • Le délai d’endormissement augmente progressivement avec l’âge, mais la taille de l’effet statistique est faible.
  • Il n’y a pas de changement notable de l’enfance à l’adolescence et l’allongement est surtout apparent à compter de 60-65 ans : les moyennes obtenues augmentent d’environ 10 minutes de 20 à 80 ans.
529
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- durée totale du sommeil

A
  • La durée totale du sommeil montre une diminution en deux temps.
  • D’abord, de l’enfance à l’adolescence, cette diminution n’est apparente que les jours d’école puisque les adolescents rattrapent, les fins de semaine, le sommeil qu’ils ont perdu pendant les jours de classe, eu égard au délai de phase qui caractérise souvent leur cycle veille-sommeil.
  • Ensuite, on perd 10 minutes de sommeil par décennie de 30 à 60 ans, puis le temps dormi devient un peu plus stable.
530
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- durée totale du sommeil: comment évolue-t-elle avec l’âge?

A
  • La durée totale du sommeil montre une diminution en deux temps.
  • D’abord, de l’enfance à l’adolescence, cette diminution n’est apparente que les jours d’école puisque les adolescents rattrapent, les fins de semaine, le sommeil qu’ils ont perdu pendant les jours de classe, eu égard au délai de phase qui caractérise souvent leur cycle veille-sommeil.
  • Ensuite, on perd 10 minutes de sommeil par décennie de 30 à 60 ans, puis le temps dormi devient un peu plus stable.
531
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- durée totale du sommeil: moments dans la vie où la durée totale du sommeil diminue

A
  • La durée totale du sommeil montre une diminution en deux temps.
  • D’abord, de l’enfance à l’adolescence, cette diminution n’est apparente que les jours d’école puisque les adolescents rattrapent, les fins de semaine, le sommeil qu’ils ont perdu pendant les jours de classe, eu égard au délai de phase qui caractérise souvent leur cycle veille-sommeil.
  • Ensuite, on perd 10 minutes de sommeil par décennie de 30 à 60 ans, puis le temps dormi devient un peu plus stable.
532
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- durée totale du sommeil: diminution du sommeil - enfant à l’adolescence

A
  • La durée totale du sommeil montre une diminution en deux temps.
  • D’abord, de l’enfance à l’adolescence, cette diminution n’est apparente que les jours d’école puisque les adolescents rattrapent, les fins de semaine, le sommeil qu’ils ont perdu pendant les jours de classe, eu égard au délai de phase qui caractérise souvent leur cycle veille-sommeil.
  • Ensuite, on perd 10 minutes de sommeil par décennie de 30 à 60 ans, puis le temps dormi devient un peu plus stable.
533
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- durée totale du sommeil: dimunution - 30 à 60 ans

A
  • La durée totale du sommeil montre une diminution en deux temps.
  • D’abord, de l’enfance à l’adolescence, cette diminution n’est apparente que les jours d’école puisque les adolescents rattrapent, les fins de semaine, le sommeil qu’ils ont perdu pendant les jours de classe, eu égard au délai de phase qui caractérise souvent leur cycle veille-sommeil.
  • Ensuite, on perd 10 minutes de sommeil par décennie de 30 à 60 ans, puis le temps dormi devient un peu plus stable.
534
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- stade 1

A
  • Le sommeil léger de stade 1 augmente presque parallèlement à l’allongement du délai d’endormissement : pas de changement de l’enfance à l’adolescence, puis une augmentation significative de 5 % au total de 20 à 70 ans.
535
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- stade 1: ce stade est particulièrement touché à quel moment de la vie?

A
  • Le sommeil léger de stade 1 augmente presque parallèlement à l’allongement du délai d’endormissement : pas de changement de l’enfance à l’adolescence, puis une augmentation significative de 5 % au total de 20 à 70 ans.
536
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- stade 2

A
  • Le stade 2 montre peu de changement.
537
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- sommeil profond

A
  • Le sommeil lent profond (stades 3 et 4) diminue significativement tout au long de la vie : la perte est importante dès l’enfance, avec une diminution de 7 % par cinq ans de 5 à 15 ans, puis d’environ 2 % par décennie à compter de 20 ans, pour éventuellement disparaître complètement, quelque part entre 50 et 80 ans.
  • Certains auteurs considèrent qu’au moins une partie de la diminution de sommeil lent profond est attribuable à une perte d’amplitude des ondes lentes de type delta à l’EEG, critère caractéristique de ce stade, alors que leur fréquence serait maintenue.
  • Il s’avère toutefois que l’âge s’accompagne également d’une perte du pic sécrétoire de l’hormone de croissance qui accompagne normalement le sommeil lent profond.
538
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- sommeil profond: nommez les stades

A
  • Le sommeil lent profond (stades 3 et 4) diminue significativement tout au long de la vie : la perte est importante dès l’enfance, avec une diminution de 7 % par cinq ans de 5 à 15 ans, puis d’environ 2 % par décennie à compter de 20 ans, pour éventuellement disparaître complètement, quelque part entre 50 et 80 ans.
  • Certains auteurs considèrent qu’au moins une partie de la diminution de sommeil lent profond est attribuable à une perte d’amplitude des ondes lentes de type delta à l’EEG, critère caractéristique de ce stade, alors que leur fréquence serait maintenue.
  • Il s’avère toutefois que l’âge s’accompagne également d’une perte du pic sécrétoire de l’hormone de croissance qui accompagne normalement le sommeil lent profond.
539
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- sommeil profond: conséquence de l’âge sur le sommeil profond

A
  • Le sommeil lent profond (stades 3 et 4) diminue significativement tout au long de la vie : la perte est importante dès l’enfance, avec une diminution de 7 % par cinq ans de 5 à 15 ans, puis d’environ 2 % par décennie à compter de 20 ans, pour éventuellement disparaître complètement, quelque part entre 50 et 80 ans.
  • Certains auteurs considèrent qu’au moins une partie de la diminution de sommeil lent profond est attribuable à une perte d’amplitude des ondes lentes de type delta à l’EEG, critère caractéristique de ce stade, alors que leur fréquence serait maintenue.
  • Il s’avère toutefois que l’âge s’accompagne également d’une perte du pic sécrétoire de l’hormone de croissance qui accompagne normalement le sommeil lent profond.
540
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- sommeil profond: moments de la vie les plus affectés

A
  • Le sommeil lent profond (stades 3 et 4) diminue significativement tout au long de la vie : la perte est importante dès l’enfance, avec une diminution de 7 % par cinq ans de 5 à 15 ans, puis d’environ 2 % par décennie à compter de 20 ans, pour éventuellement disparaître complètement, quelque part entre 50 et 80 ans.
  • Certains auteurs considèrent qu’au moins une partie de la diminution de sommeil lent profond est attribuable à une perte d’amplitude des ondes lentes de type delta à l’EEG, critère caractéristique de ce stade, alors que leur fréquence serait maintenue.
  • Il s’avère toutefois que l’âge s’accompagne également d’une perte du pic sécrétoire de l’hormone de croissance qui accompagne normalement le sommeil lent profond.
541
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- sommeil profond: causes des conséquences sur le sommeil profond

A
  • Le sommeil lent profond (stades 3 et 4) diminue significativement tout au long de la vie : la perte est importante dès l’enfance, avec une diminution de 7 % par cinq ans de 5 à 15 ans, puis d’environ 2 % par décennie à compter de 20 ans, pour éventuellement disparaître complètement, quelque part entre 50 et 80 ans.
  • Certains auteurs considèrent qu’au moins une partie de la diminution de sommeil lent profond est attribuable à une perte d’amplitude des ondes lentes de type delta à l’EEG, critère caractéristique de ce stade, alors que leur fréquence serait maintenue.
  • Il s’avère toutefois que l’âge s’accompagne également d’une perte du pic sécrétoire de l’hormone de croissance qui accompagne normalement le sommeil lent profond.
542
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- sommeil profond: autre particularité

A
  • Le sommeil lent profond (stades 3 et 4) diminue significativement tout au long de la vie : la perte est importante dès l’enfance, avec une diminution de 7 % par cinq ans de 5 à 15 ans, puis d’environ 2 % par décennie à compter de 20 ans, pour éventuellement disparaître complètement, quelque part entre 50 et 80 ans.
  • Certains auteurs considèrent qu’au moins une partie de la diminution de sommeil lent profond est attribuable à une perte d’amplitude des ondes lentes de type delta à l’EEG, critère caractéristique de ce stade, alors que leur fréquence serait maintenue.
  • Il s’avère toutefois que l’âge s’accompagne également d’une perte du pic sécrétoire de l’hormone de croissance qui accompagne normalement le sommeil lent profond.
543
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- sommeil paradoxal

A
  • Le délai d’apparition du sommeil paradoxal raccourcit de façon importante de 5 ans (130 minutes) à 25 ans (80 minutes), puis cette diminution devient moins importante, quoiqu’encore significative dans les années suivantes.
  • La durée du sommeil paradoxal varie inversement selon l’âge : on observe d’abord une augmentation de 2 % de l’enfance à l’adolescence, puis une perte de 4 % de 20 à 60 ans, pour ensuite demeurer plus ou moins stable.
544
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- sommeil paradoxal: à quels moments de la vie est-il affecté?

A
  • Le délai d’apparition du sommeil paradoxal raccourcit de façon importante de 5 ans (130 minutes) à 25 ans (80 minutes), puis cette diminution devient moins importante, quoiqu’encore significative dans les années suivantes.
  • La durée du sommeil paradoxal varie inversement selon l’âge : on observe d’abord une augmentation de 2 % de l’enfance à l’adolescence, puis une perte de 4 % de 20 à 60 ans, pour ensuite demeurer plus ou moins stable.
545
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- sommeil paradoxal: moments de la vie affectés

A
  • Le délai d’apparition du sommeil paradoxal raccourcit de façon importante de 5 ans (130 minutes) à 25 ans (80 minutes), puis cette diminution devient moins importante, quoiqu’encore significative dans les années suivantes.
  • La durée du sommeil paradoxal varie inversement selon l’âge : on observe d’abord une augmentation de 2 % de l’enfance à l’adolescence, puis une perte de 4 % de 20 à 60 ans, pour ensuite demeurer plus ou moins stable.
546
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- sommeil paradoxal: durée du sommeil paradoxal

A
  • Le délai d’apparition du sommeil paradoxal raccourcit de façon importante de 5 ans (130 minutes) à 25 ans (80 minutes), puis cette diminution devient moins importante, quoiqu’encore significative dans les années suivantes.
  • La durée du sommeil paradoxal varie inversement selon l’âge : on observe d’abord une augmentation de 2 % de l’enfance à l’adolescence, puis une perte de 4 % de 20 à 60 ans, pour ensuite demeurer plus ou moins stable.
547
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- sommeil paradoxal: durée du sommeil paradoxal - moments de la vie les plus affectés

A
  • Le délai d’apparition du sommeil paradoxal raccourcit de façon importante de 5 ans (130 minutes) à 25 ans (80 minutes), puis cette diminution devient moins importante, quoiqu’encore significative dans les années suivantes.
  • La durée du sommeil paradoxal varie inversement selon l’âge : on observe d’abord une augmentation de 2 % de l’enfance à l’adolescence, puis une perte de 4 % de 20 à 60 ans, pour ensuite demeurer plus ou moins stable.
548
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- efficacité du sommeil

A
  • Les réveils nocturnes et l’efficacité du sommeil ne changent pas pendant l’enfance et l’adolescence, mais ces deux mesures se détériorent ensuite avec 10 minutes de plus d’éveil par décennie à compter de 30 ans et 3 % de moins d’efficacité par décennie à compter de 40 ans.
549
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- réveils nocturnes

A
  • Les réveils nocturnes et l’efficacité du sommeil ne changent pas pendant l’enfance et l’adolescence, mais ces deux mesures se détériorent ensuite avec 10 minutes de plus d’éveil par décennie à compter de 30 ans et 3 % de moins d’efficacité par décennie à compter de 40 ans.
550
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- efficacité du sommeil: moments de la vie les plus affectés

A
  • Les réveils nocturnes et l’efficacité du sommeil ne changent pas pendant l’enfance et l’adolescence, mais ces deux mesures se détériorent ensuite avec 10 minutes de plus d’éveil par décennie à compter de 30 ans et 3 % de moins d’efficacité par décennie à compter de 40 ans.
551
Q

Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- réveils nocturnes: moments de la vie les plus affectés

A
  • Les réveils nocturnes et l’efficacité du sommeil ne changent pas pendant l’enfance et l’adolescence, mais ces deux mesures se détériorent ensuite avec 10 minutes de plus d’éveil par décennie à compter de 30 ans et 3 % de moins d’efficacité par décennie à compter de 40 ans.
552
Q

Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie

A
  • A. Somnolence excessive (hypersomnolence) rapportée malgré une période principale de sommeil d’au moins 7 heures et présence d’au moins un des symptômes suivants :
    • 1.Périodes de sommeil ou d’assoupissement se répétant au cours d’une même journée.
    • 2.Une période principale de sommeil prolongée d’au moins 9 heures par jour d’un sommeil non réparateur (ne permettant pas de récupérer).
    • 3.Difficulté à être totalement éveillé après un réveil brutal.
  • B. L’hypersomnolence survient au moins 3 fois par semaine, pendant au moins 3 mois.
  • C. L’hypersomnolence s’accompagne d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement cognitif, social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. L’hypersomnolence n’est pas mieux expliquée par un autre trouble veillesommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble, p. ex. :
    • narcolepsie ;
    • trouble du sommeil lié à la respiration ;
    • trouble du sommeil lié au rythme circadien ;
    • parasomnie.
  • E. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • F. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’hypersomnolence.
553
Q

Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie
- critère de base

A
  • A. Somnolence excessive (hypersomnolence) rapportée malgré une période principale de sommeil d’au moins 7 heures et présence d’au moins un des symptômes suivants :
    • 1.Périodes de sommeil ou d’assoupissement se répétant au cours d’une même journée.
    • 2.Une période principale de sommeil prolongée d’au moins 9 heures par jour d’un sommeil non réparateur (ne permettant pas de récupérer).
    • 3.Difficulté à être totalement éveillé après un réveil brutal.
  • B. L’hypersomnolence survient au moins 3 fois par semaine, pendant au moins 3 mois.
  • C. L’hypersomnolence s’accompagne d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement cognitif, social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. L’hypersomnolence n’est pas mieux expliquée par un autre trouble veillesommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble, p. ex. :
    • narcolepsie ;
    • trouble du sommeil lié à la respiration ;
    • trouble du sommeil lié au rythme circadien ;
    • parasomnie.
  • E. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • F. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’hypersomnolence.
554
Q

Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie
- symptôme de base

A
  • A. Somnolence excessive (hypersomnolence) rapportée malgré une période principale de sommeil d’au moins 7 heures et présence d’au moins un des symptômes suivants :
    • 1.Périodes de sommeil ou d’assoupissement se répétant au cours d’une même journée.
    • 2.Une période principale de sommeil prolongée d’au moins 9 heures par jour d’un sommeil non réparateur (ne permettant pas de récupérer).
    • 3.Difficulté à être totalement éveillé après un réveil brutal.
  • B. L’hypersomnolence survient au moins 3 fois par semaine, pendant au moins 3 mois.
  • C. L’hypersomnolence s’accompagne d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement cognitif, social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. L’hypersomnolence n’est pas mieux expliquée par un autre trouble veillesommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble, p. ex. :
    • narcolepsie ;
    • trouble du sommeil lié à la respiration ;
    • trouble du sommeil lié au rythme circadien ;
    • parasomnie.
  • E. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • F. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’hypersomnolence.
555
Q

Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie
- la personne doit dormir combien de temps dans leur période principale de sommeil?

A
  • A. Somnolence excessive (hypersomnolence) rapportée malgré une période principale de sommeil d’au moins 7 heures et présence d’au moins un des symptômes suivants :
    • 1.Périodes de sommeil ou d’assoupissement se répétant au cours d’une même journée.
    • 2.Une période principale de sommeil prolongée d’au moins 9 heures par jour d’un sommeil non réparateur (ne permettant pas de récupérer).
    • 3.Difficulté à être totalement éveillé après un réveil brutal.
  • B. L’hypersomnolence survient au moins 3 fois par semaine, pendant au moins 3 mois.
  • C. L’hypersomnolence s’accompagne d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement cognitif, social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. L’hypersomnolence n’est pas mieux expliquée par un autre trouble veillesommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble, p. ex. :
    • narcolepsie ;
    • trouble du sommeil lié à la respiration ;
    • trouble du sommeil lié au rythme circadien ;
    • parasomnie.
  • E. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • F. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’hypersomnolence.
556
Q

Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie
- symptômes

A
  • A. Somnolence excessive (hypersomnolence) rapportée malgré une période principale de sommeil d’au moins 7 heures et présence d’au moins un des symptômes suivants :
    • 1.Périodes de sommeil ou d’assoupissement se répétant au cours d’une même journée.
    • 2.Une période principale de sommeil prolongée d’au moins 9 heures par jour d’un sommeil non réparateur (ne permettant pas de récupérer).
    • 3.Difficulté à être totalement éveillé après un réveil brutal.
  • B. L’hypersomnolence survient au moins 3 fois par semaine, pendant au moins 3 mois.
  • C. L’hypersomnolence s’accompagne d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement cognitif, social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. L’hypersomnolence n’est pas mieux expliquée par un autre trouble veillesommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble, p. ex. :
    • narcolepsie ;
    • trouble du sommeil lié à la respiration ;
    • trouble du sommeil lié au rythme circadien ;
    • parasomnie.
  • E. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • F. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’hypersomnolence.
557
Q

Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie
- durée et fréquence

A
  • A. Somnolence excessive (hypersomnolence) rapportée malgré une période principale de sommeil d’au moins 7 heures et présence d’au moins un des symptômes suivants :
    • 1.Périodes de sommeil ou d’assoupissement se répétant au cours d’une même journée.
    • 2.Une période principale de sommeil prolongée d’au moins 9 heures par jour d’un sommeil non réparateur (ne permettant pas de récupérer).
    • 3.Difficulté à être totalement éveillé après un réveil brutal.
  • B. L’hypersomnolence survient au moins 3 fois par semaine, pendant au moins 3 mois.
  • C. L’hypersomnolence s’accompagne d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement cognitif, social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. L’hypersomnolence n’est pas mieux expliquée par un autre trouble veillesommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble, p. ex. :
    • narcolepsie ;
    • trouble du sommeil lié à la respiration ;
    • trouble du sommeil lié au rythme circadien ;
    • parasomnie.
  • E. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • F. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’hypersomnolence.
558
Q

Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie
- fréquence

A
  • A. Somnolence excessive (hypersomnolence) rapportée malgré une période principale de sommeil d’au moins 7 heures et présence d’au moins un des symptômes suivants :
    • 1.Périodes de sommeil ou d’assoupissement se répétant au cours d’une même journée.
    • 2.Une période principale de sommeil prolongée d’au moins 9 heures par jour d’un sommeil non réparateur (ne permettant pas de récupérer).
    • 3.Difficulté à être totalement éveillé après un réveil brutal.
  • B. L’hypersomnolence survient au moins 3 fois par semaine, pendant au moins 3 mois.
  • C. L’hypersomnolence s’accompagne d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement cognitif, social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. L’hypersomnolence n’est pas mieux expliquée par un autre trouble veillesommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble, p. ex. :
    • narcolepsie ;
    • trouble du sommeil lié à la respiration ;
    • trouble du sommeil lié au rythme circadien ;
    • parasomnie.
  • E. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • F. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’hypersomnolence.
559
Q

Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie
- durée

A
  • A. Somnolence excessive (hypersomnolence) rapportée malgré une période principale de sommeil d’au moins 7 heures et présence d’au moins un des symptômes suivants :
    • 1.Périodes de sommeil ou d’assoupissement se répétant au cours d’une même journée.
    • 2.Une période principale de sommeil prolongée d’au moins 9 heures par jour d’un sommeil non réparateur (ne permettant pas de récupérer).
    • 3.Difficulté à être totalement éveillé après un réveil brutal.
  • B. L’hypersomnolence survient au moins 3 fois par semaine, pendant au moins 3 mois.
  • C. L’hypersomnolence s’accompagne d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement cognitif, social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. L’hypersomnolence n’est pas mieux expliquée par un autre trouble veillesommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble, p. ex. :
    • narcolepsie ;
    • trouble du sommeil lié à la respiration ;
    • trouble du sommeil lié au rythme circadien ;
    • parasomnie.
  • E. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • F. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’hypersomnolence.
560
Q

Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie
- exclure quoi?

A
  • A. Somnolence excessive (hypersomnolence) rapportée malgré une période principale de sommeil d’au moins 7 heures et présence d’au moins un des symptômes suivants :
    • 1.Périodes de sommeil ou d’assoupissement se répétant au cours d’une même journée.
    • 2.Une période principale de sommeil prolongée d’au moins 9 heures par jour d’un sommeil non réparateur (ne permettant pas de récupérer).
    • 3.Difficulté à être totalement éveillé après un réveil brutal.
  • B. L’hypersomnolence survient au moins 3 fois par semaine, pendant au moins 3 mois.
  • C. L’hypersomnolence s’accompagne d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement cognitif, social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. L’hypersomnolence n’est pas mieux expliquée par un autre trouble veillesommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble, p. ex. :
    • narcolepsie ;
    • trouble du sommeil lié à la respiration ;
    • trouble du sommeil lié au rythme circadien ;
    • parasomnie.
  • E. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • F. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’hypersomnolence.
561
Q

Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie
- spécifications

A
  • Spécifier si :
    • Avec un trouble mental, y compris les troubles liés à l’usage de substances
    • Avec une autre affection médicale
    • Avec un autre trouble du sommeil
  • Spécifier si : Aigu :
    • Durée de moins d’un mois.
    • Subaigu :Durée de 1 à 3 mois.
    • Persistant :Durée de plus de 3 mois.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
  • Spécifier la sévérité en se fondant sur la difficulté de maintien de la vigilance diurne se manifestant par la survenue, en un jour donné, de multiples attaques irrépressibles de sommeil, par exemple dans des situations d’inactivité physique, en conduisant un véhicule, lors d’une visite chez des amis ou au travail.
    • Léger : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 1 à 2 fois par semaine.
    • Moyen : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 3 à 4 fois par semaine.
    • Grave : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 5 à 7 fois par semaine.
562
Q

Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie
- spécifications: avec ….

A
  • Spécifier si :
    • Avec un trouble mental, y compris les troubles liés à l’usage de substances
    • Avec une autre affection médicale
    • Avec un autre trouble du sommeil
  • Spécifier si :
    • Aigu: Durée de moins d’un mois.
    • Subaigu :Durée de 1 à 3 mois.
    • Persistant :Durée de plus de 3 mois.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
  • Spécifier la sévérité en se fondant sur la difficulté de maintien de la vigilance diurne se manifestant par la survenue, en un jour donné, de multiples attaques irrépressibles de sommeil, par exemple dans des situations d’inactivité physique, en conduisant un véhicule, lors d’une visite chez des amis ou au travail.
    • Léger : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 1 à 2 fois par semaine.
    • Moyen : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 3 à 4 fois par semaine.
    • Grave : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 5 à 7 fois par semaine.
563
Q

Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie
- spécifications: type de durée

A
  • Spécifier si :
    • Avec un trouble mental, y compris les troubles liés à l’usage de substances
    • Avec une autre affection médicale
    • Avec un autre trouble du sommeil
  • Spécifier si :
    • Aigu: Durée de moins d’un mois.
    • Subaigu :Durée de 1 à 3 mois.
    • Persistant :Durée de plus de 3 mois.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
  • Spécifier la sévérité en se fondant sur la difficulté de maintien de la vigilance diurne se manifestant par la survenue, en un jour donné, de multiples attaques irrépressibles de sommeil, par exemple dans des situations d’inactivité physique, en conduisant un véhicule, lors d’une visite chez des amis ou au travail.
    • Léger : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 1 à 2 fois par semaine.
    • Moyen : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 3 à 4 fois par semaine.
    • Grave : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 5 à 7 fois par semaine.
564
Q

Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie
- spécifications: types de durée - AIGU

A
  • Spécifier si :
    • Avec un trouble mental, y compris les troubles liés à l’usage de substances
    • Avec une autre affection médicale
    • Avec un autre trouble du sommeil
  • Spécifier si :
    • Aigu: Durée de moins d’un mois.
    • Subaigu :Durée de 1 à 3 mois.
    • Persistant :Durée de plus de 3 mois.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
  • Spécifier la sévérité en se fondant sur la difficulté de maintien de la vigilance diurne se manifestant par la survenue, en un jour donné, de multiples attaques irrépressibles de sommeil, par exemple dans des situations d’inactivité physique, en conduisant un véhicule, lors d’une visite chez des amis ou au travail.
    • Léger : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 1 à 2 fois par semaine.
    • Moyen : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 3 à 4 fois par semaine.
    • Grave : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 5 à 7 fois par semaine.
565
Q

Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie
- spécifications: types de durée - SUBAIGU

A
  • Spécifier si :
    • Avec un trouble mental, y compris les troubles liés à l’usage de substances
    • Avec une autre affection médicale
    • Avec un autre trouble du sommeil
  • Spécifier si :
    • Aigu: Durée de moins d’un mois.
    • Subaigu :Durée de 1 à 3 mois.
    • Persistant :Durée de plus de 3 mois.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
  • Spécifier la sévérité en se fondant sur la difficulté de maintien de la vigilance diurne se manifestant par la survenue, en un jour donné, de multiples attaques irrépressibles de sommeil, par exemple dans des situations d’inactivité physique, en conduisant un véhicule, lors d’une visite chez des amis ou au travail.
    • Léger : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 1 à 2 fois par semaine.
    • Moyen : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 3 à 4 fois par semaine.
    • Grave : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 5 à 7 fois par semaine.
566
Q

Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie
- spécifications: types de durée - PERSISTANT

A
  • Spécifier si :
    • Avec un trouble mental, y compris les troubles liés à l’usage de substances
    • Avec une autre affection médicale
    • Avec un autre trouble du sommeil
  • Spécifier si :
    • Aigu: Durée de moins d’un mois.
    • Subaigu :Durée de 1 à 3 mois.
    • Persistant :Durée de plus de 3 mois.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
  • Spécifier la sévérité en se fondant sur la difficulté de maintien de la vigilance diurne se manifestant par la survenue, en un jour donné, de multiples attaques irrépressibles de sommeil, par exemple dans des situations d’inactivité physique, en conduisant un véhicule, lors d’une visite chez des amis ou au travail.
    • Léger : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 1 à 2 fois par semaine.
    • Moyen : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 3 à 4 fois par semaine.
    • Grave : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 5 à 7 fois par semaine.
567
Q

Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie
- spécifications: sévérité

A
  • Spécifier si :
    • Avec un trouble mental, y compris les troubles liés à l’usage de substances
    • Avec une autre affection médicale
    • Avec un autre trouble du sommeil
  • Spécifier si :
    • Aigu: Durée de moins d’un mois.
    • Subaigu :Durée de 1 à 3 mois.
    • Persistant :Durée de plus de 3 mois.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
  • Spécifier la sévérité en se fondant sur la difficulté de maintien de la vigilance diurne se manifestant par la survenue, en un jour donné, de multiples attaques irrépressibles de sommeil, par exemple dans des situations d’inactivité physique, en conduisant un véhicule, lors d’une visite chez des amis ou au travail.
    • Léger : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 1 à 2 fois par semaine.
    • Moyen : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 3 à 4 fois par semaine.
    • Grave : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 5 à 7 fois par semaine.
568
Q

Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie
- spécifications: sévérité - comment la décrire

A
  • Spécifier si :
    • Avec un trouble mental, y compris les troubles liés à l’usage de substances
    • Avec une autre affection médicale
    • Avec un autre trouble du sommeil
  • Spécifier si :
    • Aigu: Durée de moins d’un mois.
    • Subaigu :Durée de 1 à 3 mois.
    • Persistant :Durée de plus de 3 mois.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
  • Spécifier la sévérité en se fondant sur la difficulté de maintien de la vigilance diurne se manifestant par la survenue, en un jour donné, de multiples attaques irrépressibles de sommeil, par exemple dans des situations d’inactivité physique, en conduisant un véhicule, lors d’une visite chez des amis ou au travail.
    • Léger : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 1 à 2 fois par semaine.
    • Moyen : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 3 à 4 fois par semaine.
    • Grave : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 5 à 7 fois par semaine.
569
Q

Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie
- spécifications: sévérité - LÉGER

A
  • Spécifier si :
    • Avec un trouble mental, y compris les troubles liés à l’usage de substances
    • Avec une autre affection médicale
    • Avec un autre trouble du sommeil
  • Spécifier si :
    • Aigu: Durée de moins d’un mois.
    • Subaigu :Durée de 1 à 3 mois.
    • Persistant :Durée de plus de 3 mois.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
  • Spécifier la sévérité en se fondant sur la difficulté de maintien de la vigilance diurne se manifestant par la survenue, en un jour donné, de multiples attaques irrépressibles de sommeil, par exemple dans des situations d’inactivité physique, en conduisant un véhicule, lors d’une visite chez des amis ou au travail.
    • Léger : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 1 à 2 fois par semaine.
    • Moyen : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 3 à 4 fois par semaine.
    • Grave : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 5 à 7 fois par semaine.
570
Q

Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie
- spécifications: sévérité - MOYEN

A
  • Spécifier si :
    • Avec un trouble mental, y compris les troubles liés à l’usage de substances
    • Avec une autre affection médicale
    • Avec un autre trouble du sommeil
  • Spécifier si :
    • Aigu: Durée de moins d’un mois.
    • Subaigu :Durée de 1 à 3 mois.
    • Persistant :Durée de plus de 3 mois.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
  • Spécifier la sévérité en se fondant sur la difficulté de maintien de la vigilance diurne se manifestant par la survenue, en un jour donné, de multiples attaques irrépressibles de sommeil, par exemple dans des situations d’inactivité physique, en conduisant un véhicule, lors d’une visite chez des amis ou au travail.
    • Léger : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 1 à 2 fois par semaine.
    • Moyen : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 3 à 4 fois par semaine.
    • Grave : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 5 à 7 fois par semaine.
571
Q

Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie
- spécifications: sévérité - GRAVE

A
  • Spécifier si :
    • Avec un trouble mental, y compris les troubles liés à l’usage de substances
    • Avec une autre affection médicale
    • Avec un autre trouble du sommeil
  • Spécifier si :
    • Aigu: Durée de moins d’un mois.
    • Subaigu :Durée de 1 à 3 mois.
    • Persistant :Durée de plus de 3 mois.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
  • Spécifier la sévérité en se fondant sur la difficulté de maintien de la vigilance diurne se manifestant par la survenue, en un jour donné, de multiples attaques irrépressibles de sommeil, par exemple dans des situations d’inactivité physique, en conduisant un véhicule, lors d’une visite chez des amis ou au travail.
    • Léger : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 1 à 2 fois par semaine.
    • Moyen : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 3 à 4 fois par semaine.
    • Grave : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 5 à 7 fois par semaine.
572
Q

Critères diagnostiques de la narcolepsie

A
  • A. Besoin irrépressible de sommeil, assoupissement ou sieste se répétant au cours d’une même journée et survenant au moins 3 fois par semaine au cours des 3 derniers mois.
  • B. Présence d’au moins un des critères suivants :
    • 1.Épisodes de cataplexie, défini selon (a) ou (b), survenant au moins plusieurs fois par mois :
      • a. Chez des individus présentant la maladie de longue date, brefs épisodes (de quelques secondes à quelques minutes) de perte soudaine et bilatérale du tonus musculaire avec maintien de la conscience déclenchés par le rire ou la plaisanterie.
      • b. Chez l’enfant et les individus présentant la maladie depuis moins de 6 mois, grimaces spontanées ou épisodes d’ouverture de la mâchoire avec protrusion linguale, ou hypotonie généralisée survenant sans lien évident avec un contenu émotionnel.
      1. Déficience en hypocrétine estimée par immunoréactivité de l’hypocrétine-1 dans le liquide céphalorachidien (LCR) (valeur inférieure ou égale à un tiers des valeurs obtenues chez des sujets sains en utilisant le même test, ou inférieure ou égale à 110 pg/ mL). Les taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ne doivent pas avoir été mesurés dans un contexte de lésion cérébrale aiguë, d’inflammation ou d’infection.
    • 3.La polysomnographie nocturne montre une latence de sommeil paradoxal inférieure ou égale à 15 minutes, ou un test itératif de latence d’endormissement révèle une latence d’endormissement moyenne de moins de 8 minutes et la présence de sommeil paradoxal à au moins deux reprises.
573
Q

Critères diagnostiques de la narcolepsie
- symptôme base

A
  • A. Besoin irrépressible de sommeil, assoupissement ou sieste se répétant au cours d’une même journée et survenant au moins 3 fois par semaine au cours des 3 derniers mois.
  • B. Présence d’au moins un des critères suivants :
    • 1.Épisodes de cataplexie, défini selon (a) ou (b), survenant au moins plusieurs fois par mois :
      • a. Chez des individus présentant la maladie de longue date, brefs épisodes (de quelques secondes à quelques minutes) de perte soudaine et bilatérale du tonus musculaire avec maintien de la conscience déclenchés par le rire ou la plaisanterie.
      • b. Chez l’enfant et les individus présentant la maladie depuis moins de 6 mois, grimaces spontanées ou épisodes d’ouverture de la mâchoire avec protrusion linguale, ou hypotonie généralisée survenant sans lien évident avec un contenu émotionnel.
      1. Déficience en hypocrétine estimée par immunoréactivité de l’hypocrétine-1 dans le liquide céphalorachidien (LCR) (valeur inférieure ou égale à un tiers des valeurs obtenues chez des sujets sains en utilisant le même test, ou inférieure ou égale à 110 pg/ mL). Les taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ne doivent pas avoir été mesurés dans un contexte de lésion cérébrale aiguë, d’inflammation ou d’infection.
    • 3.La polysomnographie nocturne montre une latence de sommeil paradoxal inférieure ou égale à 15 minutes, ou un test itératif de latence d’endormissement révèle une latence d’endormissement moyenne de moins de 8 minutes et la présence de sommeil paradoxal à au moins deux reprises.
574
Q

Critères diagnostiques de la narcolepsie
- fréquence

A
  • A. Besoin irrépressible de sommeil, assoupissement ou sieste se répétant au cours d’une même journée et survenant au moins 3 fois par semaine au cours des 3 derniers mois.
  • B. Présence d’au moins un des critères suivants :
    • 1.Épisodes de cataplexie, défini selon (a) ou (b), survenant au moins plusieurs fois par mois :
      • a. Chez des individus présentant la maladie de longue date, brefs épisodes (de quelques secondes à quelques minutes) de perte soudaine et bilatérale du tonus musculaire avec maintien de la conscience déclenchés par le rire ou la plaisanterie.
      • b. Chez l’enfant et les individus présentant la maladie depuis moins de 6 mois, grimaces spontanées ou épisodes d’ouverture de la mâchoire avec protrusion linguale, ou hypotonie généralisée survenant sans lien évident avec un contenu émotionnel.
      1. Déficience en hypocrétine estimée par immunoréactivité de l’hypocrétine-1 dans le liquide céphalorachidien (LCR) (valeur inférieure ou égale à un tiers des valeurs obtenues chez des sujets sains en utilisant le même test, ou inférieure ou égale à 110 pg/ mL). Les taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ne doivent pas avoir été mesurés dans un contexte de lésion cérébrale aiguë, d’inflammation ou d’infection.
    • 3.La polysomnographie nocturne montre une latence de sommeil paradoxal inférieure ou égale à 15 minutes, ou un test itératif de latence d’endormissement révèle une latence d’endormissement moyenne de moins de 8 minutes et la présence de sommeil paradoxal à au moins deux reprises.
575
Q

Critères diagnostiques de la narcolepsie
- durée

A
  • A. Besoin irrépressible de sommeil, assoupissement ou sieste se répétant au cours d’une même journée et survenant au moins 3 fois par semaine au cours des 3 derniers mois.
  • B. Présence d’au moins un des critères suivants :
    • 1.Épisodes de cataplexie, défini selon (a) ou (b), survenant au moins plusieurs fois par mois :
      • a. Chez des individus présentant la maladie de longue date, brefs épisodes (de quelques secondes à quelques minutes) de perte soudaine et bilatérale du tonus musculaire avec maintien de la conscience déclenchés par le rire ou la plaisanterie.
      • b. Chez l’enfant et les individus présentant la maladie depuis moins de 6 mois, grimaces spontanées ou épisodes d’ouverture de la mâchoire avec protrusion linguale, ou hypotonie généralisée survenant sans lien évident avec un contenu émotionnel.
      1. Déficience en hypocrétine estimée par immunoréactivité de l’hypocrétine-1 dans le liquide céphalorachidien (LCR) (valeur inférieure ou égale à un tiers des valeurs obtenues chez des sujets sains en utilisant le même test, ou inférieure ou égale à 110 pg/ mL). Les taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ne doivent pas avoir été mesurés dans un contexte de lésion cérébrale aiguë, d’inflammation ou d’infection.
    • 3.La polysomnographie nocturne montre une latence de sommeil paradoxal inférieure ou égale à 15 minutes, ou un test itératif de latence d’endormissement révèle une latence d’endormissement moyenne de moins de 8 minutes et la présence de sommeil paradoxal à au moins deux reprises.
576
Q

Critères diagnostiques de la narcolepsie
- critères à remplir

A
  • A. Besoin irrépressible de sommeil, assoupissement ou sieste se répétant au cours d’une même journée et survenant au moins 3 fois par semaine au cours des 3 derniers mois.
  • B. Présence d’au moins un des critères suivants :
    • 1.Épisodes de cataplexie, défini selon (a) ou (b), survenant au moins plusieurs fois par mois :
      • a. Chez des individus présentant la maladie de longue date, brefs épisodes (de quelques secondes à quelques minutes) de perte soudaine et bilatérale du tonus musculaire avec maintien de la conscience déclenchés par le rire ou la plaisanterie.
      • b. Chez l’enfant et les individus présentant la maladie depuis moins de 6 mois, grimaces spontanées ou épisodes d’ouverture de la mâchoire avec protrusion linguale, ou hypotonie généralisée survenant sans lien évident avec un contenu émotionnel.
      1. Déficience en hypocrétine estimée par immunoréactivité de l’hypocrétine-1 dans le liquide céphalorachidien (LCR) (valeur inférieure ou égale à un tiers des valeurs obtenues chez des sujets sains en utilisant le même test, ou inférieure ou égale à 110 pg/ mL). Les taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ne doivent pas avoir été mesurés dans un contexte de lésion cérébrale aiguë, d’inflammation ou d’infection.
    • 3.La polysomnographie nocturne montre une latence de sommeil paradoxal inférieure ou égale à 15 minutes, ou un test itératif de latence d’endormissement révèle une latence d’endormissement moyenne de moins de 8 minutes et la présence de sommeil paradoxal à au moins deux reprises.
577
Q

Critères diagnostiques de la narcolepsie
- critères à remplir: épisodes de cataplexie

A
  • A. Besoin irrépressible de sommeil, assoupissement ou sieste se répétant au cours d’une même journée et survenant au moins 3 fois par semaine au cours des 3 derniers mois.
  • B. Présence d’au moins un des critères suivants :
    • 1.Épisodes de cataplexie, défini selon (a) ou (b), survenant au moins plusieurs fois par mois :
      • a. Chez des individus présentant la maladie de longue date, brefs épisodes (de quelques secondes à quelques minutes) de perte soudaine et bilatérale du tonus musculaire avec maintien de la conscience déclenchés par le rire ou la plaisanterie.
      • b. Chez l’enfant et les individus présentant la maladie depuis moins de 6 mois, grimaces spontanées ou épisodes d’ouverture de la mâchoire avec protrusion linguale, ou hypotonie généralisée survenant sans lien évident avec un contenu émotionnel.
    • 2.Déficience en hypocrétine estimée par immunoréactivité de l’hypocrétine-1 dans le liquide céphalorachidien (LCR) (valeur inférieure ou égale à un tiers des valeurs obtenues chez des sujets sains en utilisant le même test, ou inférieure ou égale à 110 pg/ mL). Les taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ne doivent pas avoir été mesurés dans un contexte de lésion cérébrale aiguë, d’inflammation ou d’infection.
    • 3.La polysomnographie nocturne montre une latence de sommeil paradoxal inférieure ou égale à 15 minutes, ou un test itératif de latence d’endormissement révèle une latence d’endormissement moyenne de moins de 8 minutes et la présence de sommeil paradoxal à au moins deux reprises.
578
Q

Critères diagnostiques de la narcolepsie
- critères de cataplexie: détaillez les épisodes de cataplexie

A
  • A. Besoin irrépressible de sommeil, assoupissement ou sieste se répétant au cours d’une même journée et survenant au moins 3 fois par semaine au cours des 3 derniers mois.
  • B. Présence d’au moins un des critères suivants :
    • 1.Épisodes de cataplexie, défini selon (a) ou (b), survenant au moins plusieurs fois par mois :
      • a. Chez des individus présentant la maladie de longue date, brefs épisodes (de quelques secondes à quelques minutes) de perte soudaine et bilatérale du tonus musculaire avec maintien de la conscience déclenchés par le rire ou la plaisanterie.
      • b. Chez l’enfant et les individus présentant la maladie depuis moins de 6 mois, grimaces spontanées ou épisodes d’ouverture de la mâchoire avec protrusion linguale, ou hypotonie généralisée survenant sans lien évident avec un contenu émotionnel.
      1. Déficience en hypocrétine estimée par immunoréactivité de l’hypocrétine-1 dans le liquide céphalorachidien (LCR) (valeur inférieure ou égale à un tiers des valeurs obtenues chez des sujets sains en utilisant le même test, ou inférieure ou égale à 110 pg/ mL). Les taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ne doivent pas avoir été mesurés dans un contexte de lésion cérébrale aiguë, d’inflammation ou d’infection.
    • 3.La polysomnographie nocturne montre une latence de sommeil paradoxal inférieure ou égale à 15 minutes, ou un test itératif de latence d’endormissement révèle une latence d’endormissement moyenne de moins de 8 minutes et la présence de sommeil paradoxal à au moins deux reprises.
579
Q

Critères diagnostiques de la narcolepsie
- critères de cataplexie: LCR

A
  • A. Besoin irrépressible de sommeil, assoupissement ou sieste se répétant au cours d’une même journée et survenant au moins 3 fois par semaine au cours des 3 derniers mois.
  • B. Présence d’au moins un des critères suivants :
    • 1.Épisodes de cataplexie, défini selon (a) ou (b), survenant au moins plusieurs fois par mois :
      • a. Chez des individus présentant la maladie de longue date, brefs épisodes (de quelques secondes à quelques minutes) de perte soudaine et bilatérale du tonus musculaire avec maintien de la conscience déclenchés par le rire ou la plaisanterie.
      • b. Chez l’enfant et les individus présentant la maladie depuis moins de 6 mois, grimaces spontanées ou épisodes d’ouverture de la mâchoire avec protrusion linguale, ou hypotonie généralisée survenant sans lien évident avec un contenu émotionnel.
    • 2.Déficience en hypocrétine estimée par immunoréactivité de l’hypocrétine-1 dans le liquide céphalorachidien (LCR) (valeur inférieure ou égale à un tiers des valeurs obtenues chez des sujets sains en utilisant le même test, ou inférieure ou égale à 110 pg/ mL). Les taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ne doivent pas avoir été mesurés dans un contexte de lésion cérébrale aiguë, d’inflammation ou d’infection.
    • 3.La polysomnographie nocturne montre une latence de sommeil paradoxal inférieure ou égale à 15 minutes, ou un test itératif de latence d’endormissement révèle une latence d’endormissement moyenne de moins de 8 minutes et la présence de sommeil paradoxal à au moins deux reprises.
580
Q

Critères diagnostiques de la narcolepsie
- critères à remplir: polysomnographie nocturne

A
  • A. Besoin irrépressible de sommeil, assoupissement ou sieste se répétant au cours d’une même journée et survenant au moins 3 fois par semaine au cours des 3 derniers mois.
  • B. Présence d’au moins un des critères suivants :
    • 1.Épisodes de cataplexie, défini selon (a) ou (b), survenant au moins plusieurs fois par mois :
      • a. Chez des individus présentant la maladie de longue date, brefs épisodes (de quelques secondes à quelques minutes) de perte soudaine et bilatérale du tonus musculaire avec maintien de la conscience déclenchés par le rire ou la plaisanterie.
      • b. Chez l’enfant et les individus présentant la maladie depuis moins de 6 mois, grimaces spontanées ou épisodes d’ouverture de la mâchoire avec protrusion linguale, ou hypotonie généralisée survenant sans lien évident avec un contenu émotionnel.
      1. Déficience en hypocrétine estimée par immunoréactivité de l’hypocrétine-1 dans le liquide céphalorachidien (LCR) (valeur inférieure ou égale à un tiers des valeurs obtenues chez des sujets sains en utilisant le même test, ou inférieure ou égale à 110 pg/ mL). Les taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ne doivent pas avoir été mesurés dans un contexte de lésion cérébrale aiguë, d’inflammation ou d’infection.
    • 3.La polysomnographie nocturne montre une latence de sommeil paradoxal inférieure ou égale à 15 minutes, ou un test itératif de latence d’endormissement révèle une latence d’endormissement moyenne de moins de 8 minutes et la présence de sommeil paradoxal à au moins deux reprises.
581
Q

Critères diagnostiques de la narcolepsie
- spécifications

A
  • Spécifier le type :
    • Narcolepsie sans cataplexie avec déficience en hypocrétine : Les exigences du critère b concernant la déficience en hypocrétine et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites en l’absence de cataplexie (le critère B1 n’est pas rempli).
    • Narcolepsie avec cataplexie sans déficience en hypocrétine : Dans ce sous-type rare de la narcolepsie (moins de 5 % des cas de narcolepsie), les exigences du critère B pour la cataplexie et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites et le niveau d’hypocrétine-1 dans le LCR est normal (le critère B2 n’est pas rempli).
    • Ataxie cérébelleuse autosomique dominante avec surdité et narcolepsie : Une mutation de l’exon 21 de l’ADN (cytosine-5)-méthyltransférase-1 est responsable de ce soustype caractérisé par une apparition tardive de la narcolepsie (entre 30 et 40 ans), une surdité, une ataxie cérébelleuse et finalement par une démence.
    • Narcolepsie autosomique dominante avec obésité et diabète de type 2 : La narcolepsie, l’obésité, le diabète de type 2 et un taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ont été observés dans de rares cas et sont associés à une mutation du gène de la glycoprotéine myéline oligodendrocyte.
    • Narcolepsie secondaire à une autre affection médicale : Ce sous-type concerne la narcolepsie qui survient secondairement à une affection médicale responsable d’une infection (p. ex., maladie de Whippie, sarcoïdose), d’un traumatisme ou d’une destruction tumorale des neurones à hypocrétine.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Léger :Cataplexie peu fréquente (moins d’une fois par semaine), besoin de sieste seulement une ou deux fois par jour, et sommeil nocturne peu perturbé.
    • Moyen : Cataplexie quotidienne ou presque tous les jours, sommeil nocturne perturbé et besoin quotidien de plusieurs siestes.
    • Grave : Cataplexie résistante aux traitements avec plusieurs attaques quotidiennes, somnolence quasi constante et sommeil nocturne perturbé (c.-à-d. agitation, insomnie et rêves intenses).
582
Q

Critères diagnostiques de la narcolepsie
- spécifications: types

A
  • Spécifier le type :
    • Narcolepsie sans cataplexie avec déficience en hypocrétine : Les exigences du critère b concernant la déficience en hypocrétine et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites en l’absence de cataplexie (le critère B1 n’est pas rempli).
    • Narcolepsie avec cataplexie sans déficience en hypocrétine : Dans ce sous-type rare de la narcolepsie (moins de 5 % des cas de narcolepsie), les exigences du critère B pour la cataplexie et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites et le niveau d’hypocrétine-1 dans le LCR est normal (le critère B2 n’est pas rempli).
    • Ataxie cérébelleuse autosomique dominante avec surdité et narcolepsie : Une mutation de l’exon 21 de l’ADN (cytosine-5)-méthyltransférase-1 est responsable de ce soustype caractérisé par une apparition tardive de la narcolepsie (entre 30 et 40 ans), une surdité, une ataxie cérébelleuse et finalement par une démence.
    • Narcolepsie autosomique dominante avec obésité et diabète de type 2 : La narcolepsie, l’obésité, le diabète de type 2 et un taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ont été observés dans de rares cas et sont associés à une mutation du gène de la glycoprotéine myéline oligodendrocyte.
    • Narcolepsie secondaire à une autre affection médicale : Ce sous-type concerne la narcolepsie qui survient secondairement à une affection médicale responsable d’une infection (p. ex., maladie de Whippie, sarcoïdose), d’un traumatisme ou d’une destruction tumorale des neurones à hypocrétine.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Léger :Cataplexie peu fréquente (moins d’une fois par semaine), besoin de sieste seulement une ou deux fois par jour, et sommeil nocturne peu perturbé.
    • Moyen : Cataplexie quotidienne ou presque tous les jours, sommeil nocturne perturbé et besoin quotidien de plusieurs siestes.
    • Grave : Cataplexie résistante aux traitements avec plusieurs attaques quotidiennes, somnolence quasi constante et sommeil nocturne perturbé (c.-à-d. agitation, insomnie et rêves intenses).
583
Q

Critères diagnostiques de la narcolepsie
- spécifications: Narcolepsie sans cataplexie avec déficience en hypocrétine

A
  • Spécifier le type :
    • Narcolepsie sans cataplexie avec déficience en hypocrétine : Les exigences du critère b concernant la déficience en hypocrétine et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites en l’absence de cataplexie (le critère B1 n’est pas rempli).
    • Narcolepsie avec cataplexie sans déficience en hypocrétine : Dans ce sous-type rare de la narcolepsie (moins de 5 % des cas de narcolepsie), les exigences du critère B pour la cataplexie et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites et le niveau d’hypocrétine-1 dans le LCR est normal (le critère B2 n’est pas rempli).
    • Ataxie cérébelleuse autosomique dominante avec surdité et narcolepsie : Une mutation de l’exon 21 de l’ADN (cytosine-5)-méthyltransférase-1 est responsable de ce soustype caractérisé par une apparition tardive de la narcolepsie (entre 30 et 40 ans), une surdité, une ataxie cérébelleuse et finalement par une démence.
    • Narcolepsie autosomique dominante avec obésité et diabète de type 2 : La narcolepsie, l’obésité, le diabète de type 2 et un taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ont été observés dans de rares cas et sont associés à une mutation du gène de la glycoprotéine myéline oligodendrocyte.
    • Narcolepsie secondaire à une autre affection médicale : Ce sous-type concerne la narcolepsie qui survient secondairement à une affection médicale responsable d’une infection (p. ex., maladie de Whippie, sarcoïdose), d’un traumatisme ou d’une destruction tumorale des neurones à hypocrétine.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Léger :Cataplexie peu fréquente (moins d’une fois par semaine), besoin de sieste seulement une ou deux fois par jour, et sommeil nocturne peu perturbé.
    • Moyen : Cataplexie quotidienne ou presque tous les jours, sommeil nocturne perturbé et besoin quotidien de plusieurs siestes.
    • Grave : Cataplexie résistante aux traitements avec plusieurs attaques quotidiennes, somnolence quasi constante et sommeil nocturne perturbé (c.-à-d. agitation, insomnie et rêves intenses).
584
Q

Critères diagnostiques de la narcolepsie
- spécifications: Narcolepsie avec cataplexie sans déficience en hypocrétine

A
  • Spécifier le type :
    • Narcolepsie sans cataplexie avec déficience en hypocrétine : Les exigences du critère b concernant la déficience en hypocrétine et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites en l’absence de cataplexie (le critère B1 n’est pas rempli).
    • Narcolepsie avec cataplexie sans déficience en hypocrétine : Dans ce sous-type rare de la narcolepsie (moins de 5 % des cas de narcolepsie), les exigences du critère B pour la cataplexie et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites et le niveau d’hypocrétine-1 dans le LCR est normal (le critère B2 n’est pas rempli).
    • Ataxie cérébelleuse autosomique dominante avec surdité et narcolepsie : Une mutation de l’exon 21 de l’ADN (cytosine-5)-méthyltransférase-1 est responsable de ce soustype caractérisé par une apparition tardive de la narcolepsie (entre 30 et 40 ans), une surdité, une ataxie cérébelleuse et finalement par une démence.
    • Narcolepsie autosomique dominante avec obésité et diabète de type 2 : La narcolepsie, l’obésité, le diabète de type 2 et un taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ont été observés dans de rares cas et sont associés à une mutation du gène de la glycoprotéine myéline oligodendrocyte.
    • Narcolepsie secondaire à une autre affection médicale : Ce sous-type concerne la narcolepsie qui survient secondairement à une affection médicale responsable d’une infection (p. ex., maladie de Whippie, sarcoïdose), d’un traumatisme ou d’une destruction tumorale des neurones à hypocrétine.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Léger :Cataplexie peu fréquente (moins d’une fois par semaine), besoin de sieste seulement une ou deux fois par jour, et sommeil nocturne peu perturbé.
    • Moyen : Cataplexie quotidienne ou presque tous les jours, sommeil nocturne perturbé et besoin quotidien de plusieurs siestes.
    • Grave : Cataplexie résistante aux traitements avec plusieurs attaques quotidiennes, somnolence quasi constante et sommeil nocturne perturbé (c.-à-d. agitation, insomnie et rêves intenses).
585
Q

Critères diagnostiques de la narcolepsie
- spécifications: Ataxie cérébelleuse autosomique dominante avec surdité et narcolepsie

A
  • Spécifier le type :
    • Narcolepsie sans cataplexie avec déficience en hypocrétine : Les exigences du critère b concernant la déficience en hypocrétine et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites en l’absence de cataplexie (le critère B1 n’est pas rempli).
    • Narcolepsie avec cataplexie sans déficience en hypocrétine : Dans ce sous-type rare de la narcolepsie (moins de 5 % des cas de narcolepsie), les exigences du critère B pour la cataplexie et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites et le niveau d’hypocrétine-1 dans le LCR est normal (le critère B2 n’est pas rempli).
    • Ataxie cérébelleuse autosomique dominante avec surdité et narcolepsie : Une mutation de l’exon 21 de l’ADN (cytosine-5)-méthyltransférase-1 est responsable de ce soustype caractérisé par une apparition tardive de la narcolepsie (entre 30 et 40 ans), une surdité, une ataxie cérébelleuse et finalement par une démence.
    • Narcolepsie autosomique dominante avec obésité et diabète de type 2 : La narcolepsie, l’obésité, le diabète de type 2 et un taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ont été observés dans de rares cas et sont associés à une mutation du gène de la glycoprotéine myéline oligodendrocyte.
    • Narcolepsie secondaire à une autre affection médicale : Ce sous-type concerne la narcolepsie qui survient secondairement à une affection médicale responsable d’une infection (p. ex., maladie de Whippie, sarcoïdose), d’un traumatisme ou d’une destruction tumorale des neurones à hypocrétine.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Léger :Cataplexie peu fréquente (moins d’une fois par semaine), besoin de sieste seulement une ou deux fois par jour, et sommeil nocturne peu perturbé.
    • Moyen : Cataplexie quotidienne ou presque tous les jours, sommeil nocturne perturbé et besoin quotidien de plusieurs siestes.
    • Grave : Cataplexie résistante aux traitements avec plusieurs attaques quotidiennes, somnolence quasi constante et sommeil nocturne perturbé (c.-à-d. agitation, insomnie et rêves intenses).
586
Q

Critères diagnostiques de la narcolepsie
- spécifications: Narcolepsie autosomique dominante avec obésité et diabète de type 2

A
  • Spécifier le type :
    • Narcolepsie sans cataplexie avec déficience en hypocrétine : Les exigences du critère b concernant la déficience en hypocrétine et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites en l’absence de cataplexie (le critère B1 n’est pas rempli).
    • Narcolepsie avec cataplexie sans déficience en hypocrétine : Dans ce sous-type rare de la narcolepsie (moins de 5 % des cas de narcolepsie), les exigences du critère B pour la cataplexie et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites et le niveau d’hypocrétine-1 dans le LCR est normal (le critère B2 n’est pas rempli).
    • Ataxie cérébelleuse autosomique dominante avec surdité et narcolepsie : Une mutation de l’exon 21 de l’ADN (cytosine-5)-méthyltransférase-1 est responsable de ce soustype caractérisé par une apparition tardive de la narcolepsie (entre 30 et 40 ans), une surdité, une ataxie cérébelleuse et finalement par une démence.
    • Narcolepsie autosomique dominante avec obésité et diabète de type 2 : La narcolepsie, l’obésité, le diabète de type 2 et un taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ont été observés dans de rares cas et sont associés à une mutation du gène de la glycoprotéine myéline oligodendrocyte.
    • Narcolepsie secondaire à une autre affection médicale : Ce sous-type concerne la narcolepsie qui survient secondairement à une affection médicale responsable d’une infection (p. ex., maladie de Whippie, sarcoïdose), d’un traumatisme ou d’une destruction tumorale des neurones à hypocrétine.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Léger :Cataplexie peu fréquente (moins d’une fois par semaine), besoin de sieste seulement une ou deux fois par jour, et sommeil nocturne peu perturbé.
    • Moyen : Cataplexie quotidienne ou presque tous les jours, sommeil nocturne perturbé et besoin quotidien de plusieurs siestes.
    • Grave : Cataplexie résistante aux traitements avec plusieurs attaques quotidiennes, somnolence quasi constante et sommeil nocturne perturbé (c.-à-d. agitation, insomnie et rêves intenses).
587
Q

Critères diagnostiques de la narcolepsie
- spécifications: Narcolepsie secondaire à une autre affection médicale

A
  • Spécifier le type :
    • Narcolepsie sans cataplexie avec déficience en hypocrétine : Les exigences du critère b concernant la déficience en hypocrétine et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites en l’absence de cataplexie (le critère B1 n’est pas rempli).
    • Narcolepsie avec cataplexie sans déficience en hypocrétine : Dans ce sous-type rare de la narcolepsie (moins de 5 % des cas de narcolepsie), les exigences du critère B pour la cataplexie et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites et le niveau d’hypocrétine-1 dans le LCR est normal (le critère B2 n’est pas rempli).
    • Ataxie cérébelleuse autosomique dominante avec surdité et narcolepsie : Une mutation de l’exon 21 de l’ADN (cytosine-5)-méthyltransférase-1 est responsable de ce soustype caractérisé par une apparition tardive de la narcolepsie (entre 30 et 40 ans), une surdité, une ataxie cérébelleuse et finalement par une démence.
    • Narcolepsie autosomique dominante avec obésité et diabète de type 2 : La narcolepsie, l’obésité, le diabète de type 2 et un taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ont été observés dans de rares cas et sont associés à une mutation du gène de la glycoprotéine myéline oligodendrocyte.
    • Narcolepsie secondaire à une autre affection médicale : Ce sous-type concerne la narcolepsie qui survient secondairement à une affection médicale responsable d’une infection (p. ex., maladie de Whippie, sarcoïdose), d’un traumatisme ou d’une destruction tumorale des neurones à hypocrétine.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Léger :Cataplexie peu fréquente (moins d’une fois par semaine), besoin de sieste seulement une ou deux fois par jour, et sommeil nocturne peu perturbé.
    • Moyen : Cataplexie quotidienne ou presque tous les jours, sommeil nocturne perturbé et besoin quotidien de plusieurs siestes.
    • Grave : Cataplexie résistante aux traitements avec plusieurs attaques quotidiennes, somnolence quasi constante et sommeil nocturne perturbé (c.-à-d. agitation, insomnie et rêves intenses).
588
Q

Critères diagnostiques de la narcolepsie
- spécifications: sévérité

A
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Léger :Cataplexie peu fréquente (moins d’une fois par semaine), besoin de sieste seulement une ou deux fois par jour, et sommeil nocturne peu perturbé.
    • Moyen : Cataplexie quotidienne ou presque tous les jours, sommeil nocturne perturbé et besoin quotidien de plusieurs siestes.
    • Grave : Cataplexie résistante aux traitements avec plusieurs attaques quotidiennes, somnolence quasi constante et sommeil nocturne perturbé (c.-à-d. agitation, insomnie et rêves intenses).
  • Spécifier le type :
    • Narcolepsie sans cataplexie avec déficience en hypocrétine : Les exigences du critère b concernant la déficience en hypocrétine et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites en l’absence de cataplexie (le critère B1 n’est pas rempli).
    • Narcolepsie avec cataplexie sans déficience en hypocrétine : Dans ce sous-type rare de la narcolepsie (moins de 5 % des cas de narcolepsie), les exigences du critère B pour la cataplexie et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites et le niveau d’hypocrétine-1 dans le LCR est normal (le critère B2 n’est pas rempli).
    • Ataxie cérébelleuse autosomique dominante avec surdité et narcolepsie : Une mutation de l’exon 21 de l’ADN (cytosine-5)-méthyltransférase-1 est responsable de ce soustype caractérisé par une apparition tardive de la narcolepsie (entre 30 et 40 ans), une surdité, une ataxie cérébelleuse et finalement par une démence.
    • Narcolepsie autosomique dominante avec obésité et diabète de type 2 : La narcolepsie, l’obésité, le diabète de type 2 et un taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ont été observés dans de rares cas et sont associés à une mutation du gène de la glycoprotéine myéline oligodendrocyte.
    • Narcolepsie secondaire à une autre affection médicale : Ce sous-type concerne la narcolepsie qui survient secondairement à une affection médicale responsable d’une infection (p. ex., maladie de Whippie, sarcoïdose), d’un traumatisme ou d’une destruction tumorale des neurones à hypocrétine.
589
Q

Critères diagnostiques de la narcolepsie
- spécifications: sévérité - léger

A
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Léger :Cataplexie peu fréquente (moins d’une fois par semaine), besoin de sieste seulement une ou deux fois par jour, et sommeil nocturne peu perturbé.
    • Moyen : Cataplexie quotidienne ou presque tous les jours, sommeil nocturne perturbé et besoin quotidien de plusieurs siestes.
    • Grave : Cataplexie résistante aux traitements avec plusieurs attaques quotidiennes, somnolence quasi constante et sommeil nocturne perturbé (c.-à-d. agitation, insomnie et rêves intenses).
  • Spécifier le type :
    • Narcolepsie sans cataplexie avec déficience en hypocrétine : Les exigences du critère b concernant la déficience en hypocrétine et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites en l’absence de cataplexie (le critère B1 n’est pas rempli).
    • Narcolepsie avec cataplexie sans déficience en hypocrétine : Dans ce sous-type rare de la narcolepsie (moins de 5 % des cas de narcolepsie), les exigences du critère B pour la cataplexie et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites et le niveau d’hypocrétine-1 dans le LCR est normal (le critère B2 n’est pas rempli).
    • Ataxie cérébelleuse autosomique dominante avec surdité et narcolepsie : Une mutation de l’exon 21 de l’ADN (cytosine-5)-méthyltransférase-1 est responsable de ce soustype caractérisé par une apparition tardive de la narcolepsie (entre 30 et 40 ans), une surdité, une ataxie cérébelleuse et finalement par une démence.
    • Narcolepsie autosomique dominante avec obésité et diabète de type 2 : La narcolepsie, l’obésité, le diabète de type 2 et un taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ont été observés dans de rares cas et sont associés à une mutation du gène de la glycoprotéine myéline oligodendrocyte.
    • Narcolepsie secondaire à une autre affection médicale : Ce sous-type concerne la narcolepsie qui survient secondairement à une affection médicale responsable d’une infection (p. ex., maladie de Whippie, sarcoïdose), d’un traumatisme ou d’une destruction tumorale des neurones à hypocrétine.
590
Q

Critères diagnostiques de la narcolepsie
- spécifications: sévérité - moyen

A
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Léger :Cataplexie peu fréquente (moins d’une fois par semaine), besoin de sieste seulement une ou deux fois par jour, et sommeil nocturne peu perturbé.
    • Moyen : Cataplexie quotidienne ou presque tous les jours, sommeil nocturne perturbé et besoin quotidien de plusieurs siestes.
    • Grave : Cataplexie résistante aux traitements avec plusieurs attaques quotidiennes, somnolence quasi constante et sommeil nocturne perturbé (c.-à-d. agitation, insomnie et rêves intenses).
  • Spécifier le type :
    • Narcolepsie sans cataplexie avec déficience en hypocrétine : Les exigences du critère b concernant la déficience en hypocrétine et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites en l’absence de cataplexie (le critère B1 n’est pas rempli).
    • Narcolepsie avec cataplexie sans déficience en hypocrétine : Dans ce sous-type rare de la narcolepsie (moins de 5 % des cas de narcolepsie), les exigences du critère B pour la cataplexie et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites et le niveau d’hypocrétine-1 dans le LCR est normal (le critère B2 n’est pas rempli).
    • Ataxie cérébelleuse autosomique dominante avec surdité et narcolepsie : Une mutation de l’exon 21 de l’ADN (cytosine-5)-méthyltransférase-1 est responsable de ce soustype caractérisé par une apparition tardive de la narcolepsie (entre 30 et 40 ans), une surdité, une ataxie cérébelleuse et finalement par une démence.
    • Narcolepsie autosomique dominante avec obésité et diabète de type 2 : La narcolepsie, l’obésité, le diabète de type 2 et un taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ont été observés dans de rares cas et sont associés à une mutation du gène de la glycoprotéine myéline oligodendrocyte.
    • Narcolepsie secondaire à une autre affection médicale : Ce sous-type concerne la narcolepsie qui survient secondairement à une affection médicale responsable d’une infection (p. ex., maladie de Whippie, sarcoïdose), d’un traumatisme ou d’une destruction tumorale des neurones à hypocrétine.
591
Q

Critères diagnostiques de la narcolepsie
- spécifications: sévérité - grave

A
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Léger :Cataplexie peu fréquente (moins d’une fois par semaine), besoin de sieste seulement une ou deux fois par jour, et sommeil nocturne peu perturbé.
    • Moyen : Cataplexie quotidienne ou presque tous les jours, sommeil nocturne perturbé et besoin quotidien de plusieurs siestes.
    • Grave : Cataplexie résistante aux traitements avec plusieurs attaques quotidiennes, somnolence quasi constante et sommeil nocturne perturbé (c.-à-d. agitation, insomnie et rêves intenses).
  • Spécifier le type :
    • Narcolepsie sans cataplexie avec déficience en hypocrétine : Les exigences du critère b concernant la déficience en hypocrétine et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites en l’absence de cataplexie (le critère B1 n’est pas rempli).
    • Narcolepsie avec cataplexie sans déficience en hypocrétine : Dans ce sous-type rare de la narcolepsie (moins de 5 % des cas de narcolepsie), les exigences du critère B pour la cataplexie et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites et le niveau d’hypocrétine-1 dans le LCR est normal (le critère B2 n’est pas rempli).
    • Ataxie cérébelleuse autosomique dominante avec surdité et narcolepsie : Une mutation de l’exon 21 de l’ADN (cytosine-5)-méthyltransférase-1 est responsable de ce soustype caractérisé par une apparition tardive de la narcolepsie (entre 30 et 40 ans), une surdité, une ataxie cérébelleuse et finalement par une démence.
    • Narcolepsie autosomique dominante avec obésité et diabète de type 2 : La narcolepsie, l’obésité, le diabète de type 2 et un taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ont été observés dans de rares cas et sont associés à une mutation du gène de la glycoprotéine myéline oligodendrocyte.
    • Narcolepsie secondaire à une autre affection médicale : Ce sous-type concerne la narcolepsie qui survient secondairement à une affection médicale responsable d’une infection (p. ex., maladie de Whippie, sarcoïdose), d’un traumatisme ou d’une destruction tumorale des neurones à hypocrétine.
592
Q

Critères dx de l’insomnie

A
  • A. La plainte essentielle concerne une insatisfaction liée à la quantité ou à la qualité du sommeil, associée à un (ou plusieurs) des symptômes suivants :
    • 1.Difficulté d’endormissement. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficulté d’endormissement sans l’intervention d’un tiers responsable.)
    • 2.Difficulté de maintien du sommeil caractérisée par des réveils fréquents ou des problèmes à retrouver le sommeil après un éveil. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficultés à retrouver le sommeil sans l’intervention d’un tiers responsable.)
    • 3.Réveil matinal précoce assorti d’une incapacité à se rendormir.
  • B. La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement dans les domaines social, professionnel, éducatif, scolaire ou dans d’autres domaines importants.
  • C. Les difficultés de sommeil surviennent au moins 3 nuits par semaine.
  • D. Les difficultés de sommeil sont présentes depuis au moins 3 mois.
  • E. Les difficultés de sommeil surviennent malgré l’adéquation des conditions de sommeil.
  • F. L’insomnie n’est pas mieux expliquée par un autre trouble de l’alternance veille-sommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble (p. ex., narcolepsie, trouble du sommeil lié à la respiration, trouble du sommeil lié au rythme circadien, parasomnie).
  • G. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • H. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’insomnie.
593
Q

Critères dx de l’insomnie
- plainte essentielle

A
  • A. La plainte essentielle concerne une insatisfaction liée à la quantité ou à la qualité du sommeil, associée à un (ou plusieurs) des symptômes suivants :
    • 1.Difficulté d’endormissement. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficulté d’endormissement sans l’intervention d’un tiers responsable.)
    • 2.Difficulté de maintien du sommeil caractérisée par des réveils fréquents ou des problèmes à retrouver le sommeil après un éveil. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficultés à retrouver le sommeil sans l’intervention d’un tiers responsable.)
    • 3.Réveil matinal précoce assorti d’une incapacité à se rendormir.
  • B. La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement dans les domaines social, professionnel, éducatif, scolaire ou dans d’autres domaines importants.
  • C. Les difficultés de sommeil surviennent au moins 3 nuits par semaine.
  • D. Les difficultés de sommeil sont présentes depuis au moins 3 mois.
  • E. Les difficultés de sommeil surviennent malgré l’adéquation des conditions de sommeil.
  • F. L’insomnie n’est pas mieux expliquée par un autre trouble de l’alternance veille-sommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble (p. ex., narcolepsie, trouble du sommeil lié à la respiration, trouble du sommeil lié au rythme circadien, parasomnie).
  • G. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • H. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’insomnie.
594
Q

Critères dx de l’insomnie
- symptômes en lien avec la qualité / quantité du sommeil

A
  • A. La plainte essentielle concerne une insatisfaction liée à la quantité ou à la qualité du sommeil, associée à un (ou plusieurs) des symptômes suivants :
    • 1.Difficulté d’endormissement. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficulté d’endormissement sans l’intervention d’un tiers responsable.)
    • 2.Difficulté de maintien du sommeil caractérisée par des réveils fréquents ou des problèmes à retrouver le sommeil après un éveil. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficultés à retrouver le sommeil sans l’intervention d’un tiers responsable.)
    • 3.Réveil matinal précoce assorti d’une incapacité à se rendormir.
  • B. La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement dans les domaines social, professionnel, éducatif, scolaire ou dans d’autres domaines importants.
  • C. Les difficultés de sommeil surviennent au moins 3 nuits par semaine.
  • D. Les difficultés de sommeil sont présentes depuis au moins 3 mois.
  • E. Les difficultés de sommeil surviennent malgré l’adéquation des conditions de sommeil.
  • F. L’insomnie n’est pas mieux expliquée par un autre trouble de l’alternance veille-sommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble (p. ex., narcolepsie, trouble du sommeil lié à la respiration, trouble du sommeil lié au rythme circadien, parasomnie).
  • G. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • H. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’insomnie.
595
Q

Critères dx de l’insomnie
- impacts

A
  • A. La plainte essentielle concerne une insatisfaction liée à la quantité ou à la qualité du sommeil, associée à un (ou plusieurs) des symptômes suivants :
    • 1.Difficulté d’endormissement. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficulté d’endormissement sans l’intervention d’un tiers responsable.)
    • 2.Difficulté de maintien du sommeil caractérisée par des réveils fréquents ou des problèmes à retrouver le sommeil après un éveil. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficultés à retrouver le sommeil sans l’intervention d’un tiers responsable.)
    • 3.Réveil matinal précoce assorti d’une incapacité à se rendormir.
  • B. La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement dans les domaines social, professionnel, éducatif, scolaire ou dans d’autres domaines importants.
  • C. Les difficultés de sommeil surviennent au moins 3 nuits par semaine.
  • D. Les difficultés de sommeil sont présentes depuis au moins 3 mois.
  • E. Les difficultés de sommeil surviennent malgré l’adéquation des conditions de sommeil.
  • F. L’insomnie n’est pas mieux expliquée par un autre trouble de l’alternance veille-sommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble (p. ex., narcolepsie, trouble du sommeil lié à la respiration, trouble du sommeil lié au rythme circadien, parasomnie).
  • G. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • H. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’insomnie.
596
Q

Critères dx de l’insomnie
- fréquence

A
  • A. La plainte essentielle concerne une insatisfaction liée à la quantité ou à la qualité du sommeil, associée à un (ou plusieurs) des symptômes suivants :
    • 1.Difficulté d’endormissement. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficulté d’endormissement sans l’intervention d’un tiers responsable.)
    • 2.Difficulté de maintien du sommeil caractérisée par des réveils fréquents ou des problèmes à retrouver le sommeil après un éveil. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficultés à retrouver le sommeil sans l’intervention d’un tiers responsable.)
    • 3.Réveil matinal précoce assorti d’une incapacité à se rendormir.
  • B. La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement dans les domaines social, professionnel, éducatif, scolaire ou dans d’autres domaines importants.
  • C. Les difficultés de sommeil surviennent au moins 3 nuits par semaine.
  • D. Les difficultés de sommeil sont présentes depuis au moins 3 mois.
  • E. Les difficultés de sommeil surviennent malgré l’adéquation des conditions de sommeil.
  • F. L’insomnie n’est pas mieux expliquée par un autre trouble de l’alternance veille-sommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble (p. ex., narcolepsie, trouble du sommeil lié à la respiration, trouble du sommeil lié au rythme circadien, parasomnie).
  • G. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • H. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’insomnie.
597
Q

Critères dx de l’insomnie
- durée

A
  • A. La plainte essentielle concerne une insatisfaction liée à la quantité ou à la qualité du sommeil, associée à un (ou plusieurs) des symptômes suivants :
    • 1.Difficulté d’endormissement. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficulté d’endormissement sans l’intervention d’un tiers responsable.)
    • 2.Difficulté de maintien du sommeil caractérisée par des réveils fréquents ou des problèmes à retrouver le sommeil après un éveil. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficultés à retrouver le sommeil sans l’intervention d’un tiers responsable.)
    • 3.Réveil matinal précoce assorti d’une incapacité à se rendormir.
  • B. La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement dans les domaines social, professionnel, éducatif, scolaire ou dans d’autres domaines importants.
  • C. Les difficultés de sommeil surviennent au moins 3 nuits par semaine.
  • D. Les difficultés de sommeil sont présentes depuis au moins 3 mois.
  • E. Les difficultés de sommeil surviennent malgré l’adéquation des conditions de sommeil.
  • F. L’insomnie n’est pas mieux expliquée par un autre trouble de l’alternance veille-sommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble (p. ex., narcolepsie, trouble du sommeil lié à la respiration, trouble du sommeil lié au rythme circadien, parasomnie).
  • G. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • H. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’insomnie.
598
Q

Critères dx de l’insomnie
- doit survenir malgré quoi?

A
  • A. La plainte essentielle concerne une insatisfaction liée à la quantité ou à la qualité du sommeil, associée à un (ou plusieurs) des symptômes suivants :
    • 1.Difficulté d’endormissement. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficulté d’endormissement sans l’intervention d’un tiers responsable.)
    • 2.Difficulté de maintien du sommeil caractérisée par des réveils fréquents ou des problèmes à retrouver le sommeil après un éveil. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficultés à retrouver le sommeil sans l’intervention d’un tiers responsable.)
    • 3.Réveil matinal précoce assorti d’une incapacité à se rendormir.
  • B. La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement dans les domaines social, professionnel, éducatif, scolaire ou dans d’autres domaines importants.
  • C. Les difficultés de sommeil surviennent au moins 3 nuits par semaine.
  • D. Les difficultés de sommeil sont présentes depuis au moins 3 mois.
  • E. Les difficultés de sommeil surviennent malgré l’adéquation des conditions de sommeil.
  • F. L’insomnie n’est pas mieux expliquée par un autre trouble de l’alternance veille-sommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble (p. ex., narcolepsie, trouble du sommeil lié à la respiration, trouble du sommeil lié au rythme circadien, parasomnie).
  • G. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • H. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’insomnie.
599
Q

Critères dx de l’insomnie
- exclure quoi?

A
  • A. La plainte essentielle concerne une insatisfaction liée à la quantité ou à la qualité du sommeil, associée à un (ou plusieurs) des symptômes suivants :
    • 1.Difficulté d’endormissement. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficulté d’endormissement sans l’intervention d’un tiers responsable.)
    • 2.Difficulté de maintien du sommeil caractérisée par des réveils fréquents ou des problèmes à retrouver le sommeil après un éveil. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficultés à retrouver le sommeil sans l’intervention d’un tiers responsable.)
    • 3.Réveil matinal précoce assorti d’une incapacité à se rendormir.
  • B. La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement dans les domaines social, professionnel, éducatif, scolaire ou dans d’autres domaines importants.
  • C. Les difficultés de sommeil surviennent au moins 3 nuits par semaine.
  • D. Les difficultés de sommeil sont présentes depuis au moins 3 mois.
  • E. Les difficultés de sommeil surviennent malgré l’adéquation des conditions de sommeil.
  • F. L’insomnie n’est pas mieux expliquée par un autre trouble de l’alternance veille-sommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble (p. ex., narcolepsie, trouble du sommeil lié à la respiration, trouble du sommeil lié au rythme circadien, parasomnie).
  • G. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • H. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’insomnie.
600
Q

Critères dx de l’insomnie: Spécification

A
  • Spécifier si :
    • Avec une comorbidité d’un trouble mental non lié au sommeil, y compris les troubles de l’usage de substances
    • Avec une autre comorbidité médicale
    • Avec un autre trouble du sommeil
  • Spécifier si :
    • Épisodique : Symptômes présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois.
    • Persistant: Symptômes présents depuis 3 mois ou plus.
    • Récurrent: Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
601
Q

Critères dx de l’insomnie: Spécification
- comorbidités

A
  • Spécifier si :
    • Avec une comorbidité d’un trouble mental non lié au sommeil, y compris les troubles de l’usage de substances
    • Avec une autre comorbidité médicale
    • Avec un autre trouble du sommeil
  • Spécifier si :
    • Épisodique : Symptômes présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois.
    • Persistant: Symptômes présents depuis 3 mois ou plus.
    • Récurrent: Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
602
Q

Critères dx de l’insomnie: Spécification
- fréquence / durée

A
  • Spécifier si :
    • Avec une comorbidité d’un trouble mental non lié au sommeil, y compris les troubles de l’usage de substances
    • Avec une autre comorbidité médicale
    • Avec un autre trouble du sommeil
  • Spécifier si :
    • Épisodique : Symptômes présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois.
    • Persistant: Symptômes présents depuis 3 mois ou plus.
    • Récurrent: Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
603
Q

Critères diagnostiques des troubles de l’éveil: Nom dans le DSM V

A

Trouble de l’éveil en sommeil non paradoxal

604
Q

Critères dx des troubles de l’éveil: Nommez-les

A
  • A. Épisodes récurrents de réveil incomplet, survenant habituellement pendant le premier tiers de la période principale de sommeil, accompagnés par l’un des deux critères suivants :
    • 1.Somnambulisme :Épisodes répétés au cours desquels la personne quitte son lit et déambule pendant son sommeil. Au cours de ses déambulations, le sujet a un visage inexpressif, le regard fixe et ne réagit guère aux efforts de son entourage pour communiquer avec lui ; il ne peut être réveillé qu’avec beaucoup de difficultés.
    • 2.Terreurs nocturnes :Épisodes récurrents de réveils brutaux et terrifiants, débutant habituellement par un cri d’effroi. Présence au cours de chaque épisode d’une peur intense et d’une activation neurovégétative se traduisant par des signes tels que mydriase, tachycardie, polypnée, transpiration. Pendant l’épisode, la personne ne réagit que peu aux efforts faits par son entourage pour la réconforter.
  • B. Il n’y a pas ou très peu (p. ex., seulement une scène visuelle unique) de souvenir d’un rêve.
  • C. La personne garde une amnésie de l’épisode.
  • D. Les épisodes sont à l’origine d’une détresse significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • E. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • F. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes de somnambulisme ou de terreurs nocturnes.
605
Q

Critères dx des troubles de l’éveil: Critères nécessaires

A
  • A. Épisodes récurrents de réveil incomplet, survenant habituellement pendant le premier tiers de la période principale de sommeil, accompagnés par l’un des deux critères suivants :
    • 1.Somnambulisme :Épisodes répétés au cours desquels la personne quitte son lit et déambule pendant son sommeil. Au cours de ses déambulations, le sujet a un visage inexpressif, le regard fixe et ne réagit guère aux efforts de son entourage pour communiquer avec lui ; il ne peut être réveillé qu’avec beaucoup de difficultés.
    • 2.Terreurs nocturnes :Épisodes récurrents de réveils brutaux et terrifiants, débutant habituellement par un cri d’effroi. Présence au cours de chaque épisode d’une peur intense et d’une activation neurovégétative se traduisant par des signes tels que mydriase, tachycardie, polypnée, transpiration. Pendant l’épisode, la personne ne réagit que peu aux efforts faits par son entourage pour la réconforter.
  • B. Il n’y a pas ou très peu (p. ex., seulement une scène visuelle unique) de souvenir d’un rêve.
  • C. La personne garde une amnésie de l’épisode.
  • D. Les épisodes sont à l’origine d’une détresse significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • E. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • F. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes de somnambulisme ou de terreurs nocturnes.
606
Q

Critères dx des troubles de l’éveil: Critères nécessaires - Somnambulisme

A
  • A. Épisodes récurrents de réveil incomplet, survenant habituellement pendant le premier tiers de la période principale de sommeil, accompagnés par l’un des deux critères suivants :
    • 1.Somnambulisme :Épisodes répétés au cours desquels la personne quitte son lit et déambule pendant son sommeil. Au cours de ses déambulations, le sujet a un visage inexpressif, le regard fixe et ne réagit guère aux efforts de son entourage pour communiquer avec lui ; il ne peut être réveillé qu’avec beaucoup de difficultés.
    • 2.Terreurs nocturnes :Épisodes récurrents de réveils brutaux et terrifiants, débutant habituellement par un cri d’effroi. Présence au cours de chaque épisode d’une peur intense et d’une activation neurovégétative se traduisant par des signes tels que mydriase, tachycardie, polypnée, transpiration. Pendant l’épisode, la personne ne réagit que peu aux efforts faits par son entourage pour la réconforter.
  • B. Il n’y a pas ou très peu (p. ex., seulement une scène visuelle unique) de souvenir d’un rêve.
  • C. La personne garde une amnésie de l’épisode.
  • D. Les épisodes sont à l’origine d’une détresse significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • E. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • F. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes de somnambulisme ou de terreurs nocturnes.
607
Q

Critères dx des troubles de l’éveil: Critères nécessaires - Terreurs nocturnes

A
  • A. Épisodes récurrents de réveil incomplet, survenant habituellement pendant le premier tiers de la période principale de sommeil, accompagnés par l’un des deux critères suivants :
    • 1.Somnambulisme :Épisodes répétés au cours desquels la personne quitte son lit et déambule pendant son sommeil. Au cours de ses déambulations, le sujet a un visage inexpressif, le regard fixe et ne réagit guère aux efforts de son entourage pour communiquer avec lui ; il ne peut être réveillé qu’avec beaucoup de difficultés.
    • 2.Terreurs nocturnes :Épisodes récurrents de réveils brutaux et terrifiants, débutant habituellement par un cri d’effroi. Présence au cours de chaque épisode d’une peur intense et d’une activation neurovégétative se traduisant par des signes tels que mydriase, tachycardie, polypnée, transpiration. Pendant l’épisode, la personne ne réagit que peu aux efforts faits par son entourage pour la réconforter.
  • B. Il n’y a pas ou très peu (p. ex., seulement une scène visuelle unique) de souvenir d’un rêve.
  • C. La personne garde une amnésie de l’épisode.
  • D. Les épisodes sont à l’origine d’une détresse significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • E. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • F. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes de somnambulisme ou de terreurs nocturnes.
608
Q

Critères dx des troubles de l’éveil: Survient à quel moment de la nuit?

A
  • A. Épisodes récurrents de réveil incomplet, survenant habituellement pendant le premier tiers de la période principale de sommeil, accompagnés par l’un des deux critères suivants :
    • 1.Somnambulisme :Épisodes répétés au cours desquels la personne quitte son lit et déambule pendant son sommeil. Au cours de ses déambulations, le sujet a un visage inexpressif, le regard fixe et ne réagit guère aux efforts de son entourage pour communiquer avec lui ; il ne peut être réveillé qu’avec beaucoup de difficultés.
    • 2.Terreurs nocturnes :Épisodes récurrents de réveils brutaux et terrifiants, débutant habituellement par un cri d’effroi. Présence au cours de chaque épisode d’une peur intense et d’une activation neurovégétative se traduisant par des signes tels que mydriase, tachycardie, polypnée, transpiration. Pendant l’épisode, la personne ne réagit que peu aux efforts faits par son entourage pour la réconforter.
  • B. Il n’y a pas ou très peu (p. ex., seulement une scène visuelle unique) de souvenir d’un rêve.
  • C. La personne garde une amnésie de l’épisode.
  • D. Les épisodes sont à l’origine d’une détresse significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • E. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • F. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes de somnambulisme ou de terreurs nocturnes.
609
Q

Critères dx des troubles de l’éveil: Critère essentiel

A
  • A. Épisodes récurrents de réveil incomplet, survenant habituellement pendant le premier tiers de la période principale de sommeil, accompagnés par l’un des deux critères suivants :
    • 1.Somnambulisme :Épisodes répétés au cours desquels la personne quitte son lit et déambule pendant son sommeil. Au cours de ses déambulations, le sujet a un visage inexpressif, le regard fixe et ne réagit guère aux efforts de son entourage pour communiquer avec lui ; il ne peut être réveillé qu’avec beaucoup de difficultés.
    • 2.Terreurs nocturnes :Épisodes récurrents de réveils brutaux et terrifiants, débutant habituellement par un cri d’effroi. Présence au cours de chaque épisode d’une peur intense et d’une activation neurovégétative se traduisant par des signes tels que mydriase, tachycardie, polypnée, transpiration. Pendant l’épisode, la personne ne réagit que peu aux efforts faits par son entourage pour la réconforter.
  • B. Il n’y a pas ou très peu (p. ex., seulement une scène visuelle unique) de souvenir d’un rêve.
  • C. La personne garde une amnésie de l’épisode.
  • D. Les épisodes sont à l’origine d’une détresse significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • E. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • F. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes de somnambulisme ou de terreurs nocturnes.
610
Q

Critères dx des troubles de l’éveil: Particularité des rêves

A
  • A. Épisodes récurrents de réveil incomplet, survenant habituellement pendant le premier tiers de la période principale de sommeil, accompagnés par l’un des deux critères suivants :
    • 1.Somnambulisme :Épisodes répétés au cours desquels la personne quitte son lit et déambule pendant son sommeil. Au cours de ses déambulations, le sujet a un visage inexpressif, le regard fixe et ne réagit guère aux efforts de son entourage pour communiquer avec lui ; il ne peut être réveillé qu’avec beaucoup de difficultés.
    • 2.Terreurs nocturnes :Épisodes récurrents de réveils brutaux et terrifiants, débutant habituellement par un cri d’effroi. Présence au cours de chaque épisode d’une peur intense et d’une activation neurovégétative se traduisant par des signes tels que mydriase, tachycardie, polypnée, transpiration. Pendant l’épisode, la personne ne réagit que peu aux efforts faits par son entourage pour la réconforter.
  • B. Il n’y a pas ou très peu (p. ex., seulement une scène visuelle unique) de souvenir d’un rêve.
  • C. La personne garde une amnésie de l’épisode.
  • D. Les épisodes sont à l’origine d’une détresse significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • E. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • F. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes de somnambulisme ou de terreurs nocturnes.
611
Q

Critères dx des troubles de l’éveil: Se souvient de son rêve?

A
  • A. Épisodes récurrents de réveil incomplet, survenant habituellement pendant le premier tiers de la période principale de sommeil, accompagnés par l’un des deux critères suivants :
    • 1.Somnambulisme :Épisodes répétés au cours desquels la personne quitte son lit et déambule pendant son sommeil. Au cours de ses déambulations, le sujet a un visage inexpressif, le regard fixe et ne réagit guère aux efforts de son entourage pour communiquer avec lui ; il ne peut être réveillé qu’avec beaucoup de difficultés.
    • 2.Terreurs nocturnes :Épisodes récurrents de réveils brutaux et terrifiants, débutant habituellement par un cri d’effroi. Présence au cours de chaque épisode d’une peur intense et d’une activation neurovégétative se traduisant par des signes tels que mydriase, tachycardie, polypnée, transpiration. Pendant l’épisode, la personne ne réagit que peu aux efforts faits par son entourage pour la réconforter.
  • B. Il n’y a pas ou très peu (p. ex., seulement une scène visuelle unique) de souvenir d’un rêve.
  • C. La personne garde une amnésie de l’épisode.
  • D. Les épisodes sont à l’origine d’une détresse significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • E. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • F. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes de somnambulisme ou de terreurs nocturnes.
612
Q

Critères dx des troubles de l’éveil: Mémoire de l’épisode

A
  • A. Épisodes récurrents de réveil incomplet, survenant habituellement pendant le premier tiers de la période principale de sommeil, accompagnés par l’un des deux critères suivants :
    • 1.Somnambulisme :Épisodes répétés au cours desquels la personne quitte son lit et déambule pendant son sommeil. Au cours de ses déambulations, le sujet a un visage inexpressif, le regard fixe et ne réagit guère aux efforts de son entourage pour communiquer avec lui ; il ne peut être réveillé qu’avec beaucoup de difficultés.
    • 2.Terreurs nocturnes :Épisodes récurrents de réveils brutaux et terrifiants, débutant habituellement par un cri d’effroi. Présence au cours de chaque épisode d’une peur intense et d’une activation neurovégétative se traduisant par des signes tels que mydriase, tachycardie, polypnée, transpiration. Pendant l’épisode, la personne ne réagit que peu aux efforts faits par son entourage pour la réconforter.
  • B. Il n’y a pas ou très peu (p. ex., seulement une scène visuelle unique) de souvenir d’un rêve.
  • C. La personne garde une amnésie de l’épisode.
  • D. Les épisodes sont à l’origine d’une détresse significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • E. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • F. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes de somnambulisme ou de terreurs nocturnes.
613
Q

Critères dx des troubles de l’éveil: Impacts

A
  • A. Épisodes récurrents de réveil incomplet, survenant habituellement pendant le premier tiers de la période principale de sommeil, accompagnés par l’un des deux critères suivants :
    • 1.Somnambulisme :Épisodes répétés au cours desquels la personne quitte son lit et déambule pendant son sommeil. Au cours de ses déambulations, le sujet a un visage inexpressif, le regard fixe et ne réagit guère aux efforts de son entourage pour communiquer avec lui ; il ne peut être réveillé qu’avec beaucoup de difficultés.
    • 2.Terreurs nocturnes :Épisodes récurrents de réveils brutaux et terrifiants, débutant habituellement par un cri d’effroi. Présence au cours de chaque épisode d’une peur intense et d’une activation neurovégétative se traduisant par des signes tels que mydriase, tachycardie, polypnée, transpiration. Pendant l’épisode, la personne ne réagit que peu aux efforts faits par son entourage pour la réconforter.
  • B. Il n’y a pas ou très peu (p. ex., seulement une scène visuelle unique) de souvenir d’un rêve.
  • C. La personne garde une amnésie de l’épisode.
  • D. Les épisodes sont à l’origine d’une détresse significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • E. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • F. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes de somnambulisme ou de terreurs nocturnes.
614
Q

Critères dx des troubles de l’éveil: Quoi exclure?

A
  • A. Épisodes récurrents de réveil incomplet, survenant habituellement pendant le premier tiers de la période principale de sommeil, accompagnés par l’un des deux critères suivants :
    • 1.Somnambulisme :Épisodes répétés au cours desquels la personne quitte son lit et déambule pendant son sommeil. Au cours de ses déambulations, le sujet a un visage inexpressif, le regard fixe et ne réagit guère aux efforts de son entourage pour communiquer avec lui ; il ne peut être réveillé qu’avec beaucoup de difficultés.
    • 2.Terreurs nocturnes :Épisodes récurrents de réveils brutaux et terrifiants, débutant habituellement par un cri d’effroi. Présence au cours de chaque épisode d’une peur intense et d’une activation neurovégétative se traduisant par des signes tels que mydriase, tachycardie, polypnée, transpiration. Pendant l’épisode, la personne ne réagit que peu aux efforts faits par son entourage pour la réconforter.
  • B. Il n’y a pas ou très peu (p. ex., seulement une scène visuelle unique) de souvenir d’un rêve.
  • C. La personne garde une amnésie de l’épisode.
  • D. Les épisodes sont à l’origine d’une détresse significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • E. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament).
  • F. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes de somnambulisme ou de terreurs nocturnes.
615
Q

Critères dx des troubles de l’éveil: Spécifications

A
  • Spécifier le type :
    • Type somnambulisme
      • Spécifier si :
        • Avec alimentation liée au sommeil
        • Avec comportement sexuel lié au sommeil (sexsomnie)
    • Type terreur nocturne
616
Q

Critères dx des troubles de l’éveil: Spécifications - Types

A
  • Spécifier le type :
    • Type somnambulisme
      • Spécifier si :
        • Avec alimentation liée au sommeil
        • Avec comportement sexuel lié au sommeil (sexsomnie)
    • Type terreur nocturne
617
Q

Critères dx des cauchemars: Nommez-les

A
  • A. Survenues répétées de rêves prolongés, extrêmement dysphoriques, dont le souvenir persiste lors de l’éveil, qui impliquent généralement des efforts pour éviter des menaces contre la survie, la sécurité ou l’intégrité physique et qui surviennent habituellement pendant la deuxième partie de la principale période de sommeil.
  • B. Lorsque le sujet se réveille immédiatement après un rêve dysphorique, il est rapidement orienté et pleinement éveillé.
  • C. La perturbation du sommeil provoque une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les symptômes du cauchemar ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à un abus, médicament).
  • E. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas convenablement la plainte principale de rêves dysphoriques.
618
Q

Critères dx des cauchemars: Critère principal

A
  • A. Survenues répétées de rêves prolongés, extrêmement dysphoriques, dont le souvenir persiste lors de l’éveil, qui impliquent généralement des efforts pour éviter des menaces contre la survie, la sécurité ou l’intégrité physique et qui surviennent habituellement pendant la deuxième partie de la principale période de sommeil.
  • B. Lorsque le sujet se réveille immédiatement après un rêve dysphorique, il est rapidement orienté et pleinement éveillé.
  • C. La perturbation du sommeil provoque une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les symptômes du cauchemar ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à un abus, médicament).
  • E. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas convenablement la plainte principale de rêves dysphoriques.
619
Q

Critères dx des cauchemars: Critère principal - décrivez les rêves

A
  • A. Survenues répétées de rêves prolongés, extrêmement dysphoriques, dont le souvenir persiste lors de l’éveil, qui impliquent généralement des efforts pour éviter des menaces contre la survie, la sécurité ou l’intégrité physique et qui surviennent habituellement pendant la deuxième partie de la principale période de sommeil.
  • B. Lorsque le sujet se réveille immédiatement après un rêve dysphorique, il est rapidement orienté et pleinement éveillé.
  • C. La perturbation du sommeil provoque une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les symptômes du cauchemar ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à un abus, médicament).
  • E. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas convenablement la plainte principale de rêves dysphoriques.
620
Q

Critères dx des cauchemars: Critère principal - survient à quel moment de la nuit?

A
  • A. Survenues répétées de rêves prolongés, extrêmement dysphoriques, dont le souvenir persiste lors de l’éveil, qui impliquent généralement des efforts pour éviter des menaces contre la survie, la sécurité ou l’intégrité physique et qui surviennent habituellement pendant la deuxième partie de la principale période de sommeil.
  • B. Lorsque le sujet se réveille immédiatement après un rêve dysphorique, il est rapidement orienté et pleinement éveillé.
  • C. La perturbation du sommeil provoque une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les symptômes du cauchemar ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à un abus, médicament).
  • E. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas convenablement la plainte principale de rêves dysphoriques.
621
Q

Critères dx des cauchemars: Ce qui se passe après le cauchemar

A
  • A. Survenues répétées de rêves prolongés, extrêmement dysphoriques, dont le souvenir persiste lors de l’éveil, qui impliquent généralement des efforts pour éviter des menaces contre la survie, la sécurité ou l’intégrité physique et qui surviennent habituellement pendant la deuxième partie de la principale période de sommeil.
  • B. Lorsque le sujet se réveille immédiatement après un rêve dysphorique, il est rapidement orienté et pleinement éveillé.
  • C. La perturbation du sommeil provoque une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les symptômes du cauchemar ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à un abus, médicament).
  • E. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas convenablement la plainte principale de rêves dysphoriques.
622
Q

Critères dx des cauchemars Impacts

A
  • A. Survenues répétées de rêves prolongés, extrêmement dysphoriques, dont le souvenir persiste lors de l’éveil, qui impliquent généralement des efforts pour éviter des menaces contre la survie, la sécurité ou l’intégrité physique et qui surviennent habituellement pendant la deuxième partie de la principale période de sommeil.
  • B. Lorsque le sujet se réveille immédiatement après un rêve dysphorique, il est rapidement orienté et pleinement éveillé.
  • C. La perturbation du sommeil provoque une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les symptômes du cauchemar ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à un abus, médicament).
  • E. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas convenablement la plainte principale de rêves dysphoriques.
623
Q

Critères dx des cauchemars: Exclure quoi?

A
  • A. Survenues répétées de rêves prolongés, extrêmement dysphoriques, dont le souvenir persiste lors de l’éveil, qui impliquent généralement des efforts pour éviter des menaces contre la survie, la sécurité ou l’intégrité physique et qui surviennent habituellement pendant la deuxième partie de la principale période de sommeil.
  • B. Lorsque le sujet se réveille immédiatement après un rêve dysphorique, il est rapidement orienté et pleinement éveillé.
  • C. La perturbation du sommeil provoque une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les symptômes du cauchemar ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à un abus, médicament).
  • E. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas convenablement la plainte principale de rêves dysphoriques.
624
Q

Critères dx des cauchemars: Spécifications

A
  • Spécifier si :
    • Aigu : La durée de la période de cauchemars est de 1 mois ou moins.
    • Subaigu : La durée de la période de cauchemars est supérieure à 1 mois mais inférieure à 6 mois.
    • Persistant : La durée de la période de cauchemars est de 6 mois ou plus.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • La sévérité peut être évaluée selon la fréquence avec laquelle les cauchemars se produisent :
    • Léger : Moins d’un épisode par semaine en moyenne.
    • Moyen : Un ou plusieurs épisodes par semaine mais pas toutes les nuits.
    • Grave : Épisodes toutes les nuits
625
Q

Critères dx des cauchemars: Spécifications
- durée

A
  • Spécifier si :
    • Aigu : La durée de la période de cauchemars est de 1 mois ou moins.
    • Subaigu : La durée de la période de cauchemars est supérieure à 1 mois mais inférieure à 6 mois.
    • Persistant : La durée de la période de cauchemars est de 6 mois ou plus.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • La sévérité peut être évaluée selon la fréquence avec laquelle les cauchemars se produisent :
    • Léger : Moins d’un épisode par semaine en moyenne.
    • Moyen : Un ou plusieurs épisodes par semaine mais pas toutes les nuits.
    • Grave : Épisodes toutes les nuits
626
Q

Critères dx des cauchemars: Spécifications
- sévérité

A
  • Spécifier si :
    • Aigu : La durée de la période de cauchemars est de 1 mois ou moins.
    • Subaigu : La durée de la période de cauchemars est supérieure à 1 mois mais inférieure à 6 mois.
    • Persistant : La durée de la période de cauchemars est de 6 mois ou plus.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • La sévérité peut être évaluée selon la fréquence avec laquelle les cauchemars se produisent :
    • Léger : Moins d’un épisode par semaine en moyenne.
    • Moyen : Un ou plusieurs épisodes par semaine mais pas toutes les nuits.
    • Grave : Épisodes toutes les nuits
627
Q

Critères dx du tr du comportement en sommeil paradoxal

A
  • A. Épisodes répétés de réveils pendant le sommeil associés à des vocalisations et/ou des comportements moteurs complexes.
  • B. Ces comportements surviennent pendant le sommeil paradoxal et apparaissent donc généralement plus de 90 minutes après l’endormissement ; ils sont plus fréquents pendant les dernières parties du sommeil et surviennent exceptionnellement pendant les siestes diurnes.
  • C. Au moment du réveil de ces épisodes, le sujet est complètement réveillé, alerte et il n’est pas confus ni désorienté.
  • D. L’une ou l’autre des conditions suivantes :
    • 1.Sommeil paradoxal sans atonie sur l’enregistrement polysomnographique.
    • 2.Des antécédents évoquant des troubles du comportement liés au sommeil paradoxal et un diagnostic établi de synucléopathie (p. ex., maladie de Parkinson, atrophie multisystémique).
  • E. Les comportements provoquent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants (qui peut inclure des blessures sur soi ou sur le partenaire).
  • F. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. substance donnant lieu à un abus, médicament) ou à une autre affection médicale.
  • G. Des troubles mentaux ou médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes.
628
Q

Critères dx du tr du comportement en sommeil paradoxal: C’est quoi?

A
  • A. Épisodes répétés de réveils pendant le sommeil associés à des vocalisations et/ou des comportements moteurs complexes.
  • B. Ces comportements surviennent pendant le sommeil paradoxal et apparaissent donc généralement plus de 90 minutes après l’endormissement ; ils sont plus fréquents pendant les dernières parties du sommeil et surviennent exceptionnellement pendant les siestes diurnes.
  • C. Au moment du réveil de ces épisodes, le sujet est complètement réveillé, alerte et il n’est pas confus ni désorienté.
  • D. L’une ou l’autre des conditions suivantes :
    • 1.Sommeil paradoxal sans atonie sur l’enregistrement polysomnographique.
    • 2.Des antécédents évoquant des troubles du comportement liés au sommeil paradoxal et un diagnostic établi de synucléopathie (p. ex., maladie de Parkinson, atrophie multisystémique).
  • E. Les comportements provoquent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants (qui peut inclure des blessures sur soi ou sur le partenaire).
  • F. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. substance donnant lieu à un abus, médicament) ou à une autre affection médicale.
  • G. Des troubles mentaux ou médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes.
629
Q

Critères dx du tr du comportement en sommeil paradoxal: Sx primordiaux

A
  • A. Épisodes répétés de réveils pendant le sommeil associés à des vocalisations et/ou des comportements moteurs complexes.
  • B. Ces comportements surviennent pendant le sommeil paradoxal et apparaissent donc généralement plus de 90 minutes après l’endormissement ; ils sont plus fréquents pendant les dernières parties du sommeil et surviennent exceptionnellement pendant les siestes diurnes.
  • C. Au moment du réveil de ces épisodes, le sujet est complètement réveillé, alerte et il n’est pas confus ni désorienté.
  • D. L’une ou l’autre des conditions suivantes :
    • 1.Sommeil paradoxal sans atonie sur l’enregistrement polysomnographique.
    • 2.Des antécédents évoquant des troubles du comportement liés au sommeil paradoxal et un diagnostic établi de synucléopathie (p. ex., maladie de Parkinson, atrophie multisystémique).
  • E. Les comportements provoquent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants (qui peut inclure des blessures sur soi ou sur le partenaire).
  • F. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. substance donnant lieu à un abus, médicament) ou à une autre affection médicale.
  • G. Des troubles mentaux ou médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes.
630
Q

Critères dx du tr du comportement en sommeil paradoxal: Décrire

A
  • A. Épisodes répétés de réveils pendant le sommeil associés à des vocalisations et/ou des comportements moteurs complexes.
  • B. Ces comportements surviennent pendant le sommeil paradoxal et apparaissent donc généralement plus de 90 minutes après l’endormissement ; ils sont plus fréquents pendant les dernières parties du sommeil et surviennent exceptionnellement pendant les siestes diurnes.
  • C. Au moment du réveil de ces épisodes, le sujet est complètement réveillé, alerte et il n’est pas confus ni désorienté.
  • D. L’une ou l’autre des conditions suivantes :
    • 1.Sommeil paradoxal sans atonie sur l’enregistrement polysomnographique.
    • 2.Des antécédents évoquant des troubles du comportement liés au sommeil paradoxal et un diagnostic établi de synucléopathie (p. ex., maladie de Parkinson, atrophie multisystémique).
  • E. Les comportements provoquent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants (qui peut inclure des blessures sur soi ou sur le partenaire).
  • F. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. substance donnant lieu à un abus, médicament) ou à une autre affection médicale.
  • G. Des troubles mentaux ou médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes.
631
Q

Critères dx du tr du comportement en sommeil paradoxal: Survient quand?

A
  • A. Épisodes répétés de réveils pendant le sommeil associés à des vocalisations et/ou des comportements moteurs complexes.
  • B. Ces comportements surviennent pendant le sommeil paradoxal et apparaissent donc généralement plus de 90 minutes après l’endormissement ; ils sont plus fréquents pendant les dernières parties du sommeil et surviennent exceptionnellement pendant les siestes diurnes.
  • C. Au moment du réveil de ces épisodes, le sujet est complètement réveillé, alerte et il n’est pas confus ni désorienté.
  • D. L’une ou l’autre des conditions suivantes :
    • 1.Sommeil paradoxal sans atonie sur l’enregistrement polysomnographique.
    • 2.Des antécédents évoquant des troubles du comportement liés au sommeil paradoxal et un diagnostic établi de synucléopathie (p. ex., maladie de Parkinson, atrophie multisystémique).
  • E. Les comportements provoquent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants (qui peut inclure des blessures sur soi ou sur le partenaire).
  • F. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. substance donnant lieu à un abus, médicament) ou à une autre affection médicale.
  • G. Des troubles mentaux ou médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes.
632
Q

Critères dx du tr du comportement en sommeil paradoxal: Décrire le patient au moment du réveil

A
  • A. Épisodes répétés de réveils pendant le sommeil associés à des vocalisations et/ou des comportements moteurs complexes.
  • B. Ces comportements surviennent pendant le sommeil paradoxal et apparaissent donc généralement plus de 90 minutes après l’endormissement ; ils sont plus fréquents pendant les dernières parties du sommeil et surviennent exceptionnellement pendant les siestes diurnes.
  • C. Au moment du réveil de ces épisodes, le sujet est complètement réveillé, alerte et il n’est pas confus ni désorienté.
  • D. L’une ou l’autre des conditions suivantes :
    • 1.Sommeil paradoxal sans atonie sur l’enregistrement polysomnographique.
    • 2.Des antécédents évoquant des troubles du comportement liés au sommeil paradoxal et un diagnostic établi de synucléopathie (p. ex., maladie de Parkinson, atrophie multisystémique).
  • E. Les comportements provoquent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants (qui peut inclure des blessures sur soi ou sur le partenaire).
  • F. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. substance donnant lieu à un abus, médicament) ou à une autre affection médicale.
  • G. Des troubles mentaux ou médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes.
633
Q

Critères dx du tr du comportement en sommeil paradoxal: Conditions nécessaires

A
  • A. Épisodes répétés de réveils pendant le sommeil associés à des vocalisations et/ou des comportements moteurs complexes.
  • B. Ces comportements surviennent pendant le sommeil paradoxal et apparaissent donc généralement plus de 90 minutes après l’endormissement ; ils sont plus fréquents pendant les dernières parties du sommeil et surviennent exceptionnellement pendant les siestes diurnes.
  • C. Au moment du réveil de ces épisodes, le sujet est complètement réveillé, alerte et il n’est pas confus ni désorienté.
  • D. L’une ou l’autre des conditions suivantes :
    • 1.Sommeil paradoxal sans atonie sur l’enregistrement polysomnographique.
    • 2.Des antécédents évoquant des troubles du comportement liés au sommeil paradoxal et un diagnostic établi de synucléopathie (p. ex., maladie de Parkinson, atrophie multisystémique).
  • E. Les comportements provoquent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants (qui peut inclure des blessures sur soi ou sur le partenaire).
  • F. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. substance donnant lieu à un abus, médicament) ou à une autre affection médicale.
  • G. Des troubles mentaux ou médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes.
634
Q

Critères dx du tr du comportement en sommeil paradoxal: Conditions nécessaires
- sommeil paradoxal

A
  • A. Épisodes répétés de réveils pendant le sommeil associés à des vocalisations et/ou des comportements moteurs complexes.
  • B. Ces comportements surviennent pendant le sommeil paradoxal et apparaissent donc généralement plus de 90 minutes après l’endormissement ; ils sont plus fréquents pendant les dernières parties du sommeil et surviennent exceptionnellement pendant les siestes diurnes.
  • C. Au moment du réveil de ces épisodes, le sujet est complètement réveillé, alerte et il n’est pas confus ni désorienté.
  • D. L’une ou l’autre des conditions suivantes :
    • 1.Sommeil paradoxal sans atonie sur l’enregistrement polysomnographique.
    • 2.Des antécédents évoquant des troubles du comportement liés au sommeil paradoxal et un diagnostic établi de synucléopathie (p. ex., maladie de Parkinson, atrophie multisystémique).
  • E. Les comportements provoquent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants (qui peut inclure des blessures sur soi ou sur le partenaire).
  • F. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. substance donnant lieu à un abus, médicament) ou à une autre affection médicale.
  • G. Des troubles mentaux ou médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes.
635
Q

Critères dx du tr du comportement en sommeil paradoxal: Conditions nécessaires
- ATCD

A
  • A. Épisodes répétés de réveils pendant le sommeil associés à des vocalisations et/ou des comportements moteurs complexes.
  • B. Ces comportements surviennent pendant le sommeil paradoxal et apparaissent donc généralement plus de 90 minutes après l’endormissement ; ils sont plus fréquents pendant les dernières parties du sommeil et surviennent exceptionnellement pendant les siestes diurnes.
  • C. Au moment du réveil de ces épisodes, le sujet est complètement réveillé, alerte et il n’est pas confus ni désorienté.
  • D. L’une ou l’autre des conditions suivantes :
    • 1.Sommeil paradoxal sans atonie sur l’enregistrement polysomnographique.
    • 2.Des antécédents évoquant des troubles du comportement liés au sommeil paradoxal et un diagnostic établi de synucléopathie (p. ex., maladie de Parkinson, atrophie multisystémique).
  • E. Les comportements provoquent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants (qui peut inclure des blessures sur soi ou sur le partenaire).
  • F. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. substance donnant lieu à un abus, médicament) ou à une autre affection médicale.
  • G. Des troubles mentaux ou médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes.
636
Q

Critères dx du tr du comportement en sommeil paradoxal: Impacts

A
  • A. Épisodes répétés de réveils pendant le sommeil associés à des vocalisations et/ou des comportements moteurs complexes.
  • B. Ces comportements surviennent pendant le sommeil paradoxal et apparaissent donc généralement plus de 90 minutes après l’endormissement ; ils sont plus fréquents pendant les dernières parties du sommeil et surviennent exceptionnellement pendant les siestes diurnes.
  • C. Au moment du réveil de ces épisodes, le sujet est complètement réveillé, alerte et il n’est pas confus ni désorienté.
  • D. L’une ou l’autre des conditions suivantes :
    • 1.Sommeil paradoxal sans atonie sur l’enregistrement polysomnographique.
    • 2.Des antécédents évoquant des troubles du comportement liés au sommeil paradoxal et un diagnostic établi de synucléopathie (p. ex., maladie de Parkinson, atrophie multisystémique).
  • E. Les comportements provoquent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants (qui peut inclure des blessures sur soi ou sur le partenaire).
  • F. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. substance donnant lieu à un abus, médicament) ou à une autre affection médicale.
  • G. Des troubles mentaux ou médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes.
637
Q

Critères dx du tr du comportement en sommeil paradoxal: exclure quoi?

A
  • A. Épisodes répétés de réveils pendant le sommeil associés à des vocalisations et/ou des comportements moteurs complexes.
  • B. Ces comportements surviennent pendant le sommeil paradoxal et apparaissent donc généralement plus de 90 minutes après l’endormissement ; ils sont plus fréquents pendant les dernières parties du sommeil et surviennent exceptionnellement pendant les siestes diurnes.
  • C. Au moment du réveil de ces épisodes, le sujet est complètement réveillé, alerte et il n’est pas confus ni désorienté.
  • D. L’une ou l’autre des conditions suivantes :
    • 1.Sommeil paradoxal sans atonie sur l’enregistrement polysomnographique.
    • 2.Des antécédents évoquant des troubles du comportement liés au sommeil paradoxal et un diagnostic établi de synucléopathie (p. ex., maladie de Parkinson, atrophie multisystémique).
  • E. Les comportements provoquent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants (qui peut inclure des blessures sur soi ou sur le partenaire).
  • F. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. substance donnant lieu à un abus, médicament) ou à une autre affection médicale.
  • G. Des troubles mentaux ou médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes.
638
Q

Critères dx du synd des jambes sans repos

A
  • A. Un besoin pressant de bouger les jambes, en général accompagné par ou en réponse à des sensations pénibles et désagréables dans les jambes, caractérisé par l’ensemble des éléments suivants :
    • 1.Le besoin de bouger les jambes commence ou s’aggrave pendant les périodes de repos ou d’inactivité.
    • 2.Le besoin de bouger les jambes est partiellement ou totalement soulagé par le mouvement.
    • 3.Le besoin de bouger les jambes est pire dans la soirée ou la nuit que pendant la journée, ou ne survient que dans la soirée ou la nuit.
  • B. Les symptômes du critère A surviennent au moins trois fois par semaine et persistent au moins 3 mois.
  • C. Les symptômes du critère A sont accompagnés par une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, pédagogique, scolaire, comportemental ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas imputables :
    • à un autre trouble mental ou
    • à une affection médicale (p. ex., arthrite, œdème des membres inférieurs, ischémie périphérique, crampes des jambes) et
    • ne peuvent pas être mieux expliqués par une condition comportementale (p. ex., inconfort lié à la position, tapotement habituel du pied).
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance donnant lieu à un abus ou d’un médicament (p. ex., akathisie).
639
Q

Critères dx du synd des jambes sans repos: Symptômes nécessaires

A
  • A. Un besoin pressant de bouger les jambes, en général accompagné par ou en réponse à des sensations pénibles et désagréables dans les jambes, caractérisé par l’ensemble des éléments suivants :
    • 1.Le besoin de bouger les jambes commence ou s’aggrave pendant les périodes de repos ou d’inactivité.
    • 2.Le besoin de bouger les jambes est partiellement ou totalement soulagé par le mouvement.
    • 3.Le besoin de bouger les jambes est pire dans la soirée ou la nuit que pendant la journée, ou ne survient que dans la soirée ou la nuit.
  • B. Les symptômes du critère A surviennent au moins trois fois par semaine et persistent au moins 3 mois.
  • C. Les symptômes du critère A sont accompagnés par une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, pédagogique, scolaire, comportemental ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas imputables :
    • à un autre trouble mental ou
    • à une affection médicale (p. ex., arthrite, œdème des membres inférieurs, ischémie périphérique, crampes des jambes) et
    • ne peuvent pas être mieux expliqués par une condition comportementale (p. ex., inconfort lié à la position, tapotement habituel du pied).
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance donnant lieu à un abus ou d’un médicament (p. ex., akathisie).
640
Q

Critères dx du synd des jambes sans repos: Décrire le besoin de bouger ses jambes

A
  • A. Un besoin pressant de bouger les jambes, en général accompagné par ou en réponse à des sensations pénibles et désagréables dans les jambes, caractérisé par l’ensemble des éléments suivants :
    • 1.Le besoin de bouger les jambes commence ou s’aggrave pendant les périodes de repos ou d’inactivité.
    • 2.Le besoin de bouger les jambes est partiellement ou totalement soulagé par le mouvement.
    • 3.Le besoin de bouger les jambes est pire dans la soirée ou la nuit que pendant la journée, ou ne survient que dans la soirée ou la nuit.
  • B. Les symptômes du critère A surviennent au moins trois fois par semaine et persistent au moins 3 mois.
  • C. Les symptômes du critère A sont accompagnés par une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, pédagogique, scolaire, comportemental ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas imputables :
    • à un autre trouble mental ou
    • à une affection médicale (p. ex., arthrite, œdème des membres inférieurs, ischémie périphérique, crampes des jambes) et
    • ne peuvent pas être mieux expliqués par une condition comportementale (p. ex., inconfort lié à la position, tapotement habituel du pied).
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance donnant lieu à un abus ou d’un médicament (p. ex., akathisie).
641
Q

Critères dx du synd des jambes sans repos: Décrire le besoin de bouger ses jambes - provoqué par quoi?

A
  • A. Un besoin pressant de bouger les jambes, en général accompagné par ou en réponse à des sensations pénibles et désagréables dans les jambes, caractérisé par l’ensemble des éléments suivants :
    • 1.Le besoin de bouger les jambes commence ou s’aggrave pendant les périodes de repos ou d’inactivité.
    • 2.Le besoin de bouger les jambes est partiellement ou totalement soulagé par le mouvement.
    • 3.Le besoin de bouger les jambes est pire dans la soirée ou la nuit que pendant la journée, ou ne survient que dans la soirée ou la nuit.
  • B. Les symptômes du critère A surviennent au moins trois fois par semaine et persistent au moins 3 mois.
  • C. Les symptômes du critère A sont accompagnés par une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, pédagogique, scolaire, comportemental ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas imputables :
    • à un autre trouble mental ou
    • à une affection médicale (p. ex., arthrite, œdème des membres inférieurs, ischémie périphérique, crampes des jambes) et
    • ne peuvent pas être mieux expliqués par une condition comportementale (p. ex., inconfort lié à la position, tapotement habituel du pied).
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance donnant lieu à un abus ou d’un médicament (p. ex., akathisie).
642
Q

Critères dx du synd des jambes sans repos: Décrire le besoin de bouger ses jambes - symptôme accompagnateur

A
  • A. Un besoin pressant de bouger les jambes, en général accompagné par ou en réponse à des sensations pénibles et désagréables dans les jambes, caractérisé par l’ensemble des éléments suivants :
    • 1.Le besoin de bouger les jambes commence ou s’aggrave pendant les périodes de repos ou d’inactivité.
    • 2.Le besoin de bouger les jambes est partiellement ou totalement soulagé par le mouvement.
    • 3.Le besoin de bouger les jambes est pire dans la soirée ou la nuit que pendant la journée, ou ne survient que dans la soirée ou la nuit.
  • B. Les symptômes du critère A surviennent au moins trois fois par semaine et persistent au moins 3 mois.
  • C. Les symptômes du critère A sont accompagnés par une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, pédagogique, scolaire, comportemental ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas imputables :
    • à un autre trouble mental ou
    • à une affection médicale (p. ex., arthrite, œdème des membres inférieurs, ischémie périphérique, crampes des jambes) et
    • ne peuvent pas être mieux expliqués par une condition comportementale (p. ex., inconfort lié à la position, tapotement habituel du pied).
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance donnant lieu à un abus ou d’un médicament (p. ex., akathisie).
643
Q

Critères dx du synd des jambes sans repos: Décrire le besoin de bouger ses jambes - pallié par quoi?

A
  • A. Un besoin pressant de bouger les jambes, en général accompagné par ou en réponse à des sensations pénibles et désagréables dans les jambes, caractérisé par l’ensemble des éléments suivants :
    • 1.Le besoin de bouger les jambes commence ou s’aggrave pendant les périodes de repos ou d’inactivité.
    • 2.Le besoin de bouger les jambes est partiellement ou totalement soulagé par le mouvement.
    • 3.Le besoin de bouger les jambes est pire dans la soirée ou la nuit que pendant la journée, ou ne survient que dans la soirée ou la nuit.
  • B. Les symptômes du critère A surviennent au moins trois fois par semaine et persistent au moins 3 mois.
  • C. Les symptômes du critère A sont accompagnés par une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, pédagogique, scolaire, comportemental ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas imputables :
    • à un autre trouble mental ou
    • à une affection médicale (p. ex., arthrite, œdème des membres inférieurs, ischémie périphérique, crampes des jambes) et
    • ne peuvent pas être mieux expliqués par une condition comportementale (p. ex., inconfort lié à la position, tapotement habituel du pied).
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance donnant lieu à un abus ou d’un médicament (p. ex., akathisie).
644
Q

Critères dx du synd des jambes sans repos: Décrire le besoin de bouger ses jambes - survient à quel moment?

A
  • A. Un besoin pressant de bouger les jambes, en général accompagné par ou en réponse à des sensations pénibles et désagréables dans les jambes, caractérisé par l’ensemble des éléments suivants :
    • 1.Le besoin de bouger les jambes commence ou s’aggrave pendant les périodes de repos ou d’inactivité.
    • 2.Le besoin de bouger les jambes est partiellement ou totalement soulagé par le mouvement.
    • 3.Le besoin de bouger les jambes est pire dans la soirée ou la nuit que pendant la journée, ou ne survient que dans la soirée ou la nuit.
  • B. Les symptômes du critère A surviennent au moins trois fois par semaine et persistent au moins 3 mois.
  • C. Les symptômes du critère A sont accompagnés par une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, pédagogique, scolaire, comportemental ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas imputables :
    • à un autre trouble mental ou
    • à une affection médicale (p. ex., arthrite, œdème des membres inférieurs, ischémie périphérique, crampes des jambes) et
    • ne peuvent pas être mieux expliqués par une condition comportementale (p. ex., inconfort lié à la position, tapotement habituel du pied).
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance donnant lieu à un abus ou d’un médicament (p. ex., akathisie).
645
Q

Critères dx du synd des jambes sans repos: Durée / fréquence

A
  • A. Un besoin pressant de bouger les jambes, en général accompagné par ou en réponse à des sensations pénibles et désagréables dans les jambes, caractérisé par l’ensemble des éléments suivants :
    • 1.Le besoin de bouger les jambes commence ou s’aggrave pendant les périodes de repos ou d’inactivité.
    • 2.Le besoin de bouger les jambes est partiellement ou totalement soulagé par le mouvement.
    • 3.Le besoin de bouger les jambes est pire dans la soirée ou la nuit que pendant la journée, ou ne survient que dans la soirée ou la nuit.
  • B. Les symptômes du critère A surviennent au moins trois fois par semaine et persistent au moins 3 mois.
  • C. Les symptômes du critère A sont accompagnés par une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, pédagogique, scolaire, comportemental ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas imputables :
    • à un autre trouble mental ou
    • à une affection médicale (p. ex., arthrite, œdème des membres inférieurs, ischémie périphérique, crampes des jambes) et
    • ne peuvent pas être mieux expliqués par une condition comportementale (p. ex., inconfort lié à la position, tapotement habituel du pied).
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance donnant lieu à un abus ou d’un médicament (p. ex., akathisie).
646
Q

Critères dx du synd des jambes sans repos: Fréquence

A
  • A. Un besoin pressant de bouger les jambes, en général accompagné par ou en réponse à des sensations pénibles et désagréables dans les jambes, caractérisé par l’ensemble des éléments suivants :
    • 1.Le besoin de bouger les jambes commence ou s’aggrave pendant les périodes de repos ou d’inactivité.
    • 2.Le besoin de bouger les jambes est partiellement ou totalement soulagé par le mouvement.
    • 3.Le besoin de bouger les jambes est pire dans la soirée ou la nuit que pendant la journée, ou ne survient que dans la soirée ou la nuit.
  • B. Les symptômes du critère A surviennent au moins trois fois par semaine et persistent au moins 3 mois.
  • C. Les symptômes du critère A sont accompagnés par une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, pédagogique, scolaire, comportemental ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas imputables :
    • à un autre trouble mental ou
    • à une affection médicale (p. ex., arthrite, œdème des membres inférieurs, ischémie périphérique, crampes des jambes) et
    • ne peuvent pas être mieux expliqués par une condition comportementale (p. ex., inconfort lié à la position, tapotement habituel du pied).
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance donnant lieu à un abus ou d’un médicament (p. ex., akathisie).
647
Q

Critères dx du synd des jambes sans repos: Durée

A
  • A. Un besoin pressant de bouger les jambes, en général accompagné par ou en réponse à des sensations pénibles et désagréables dans les jambes, caractérisé par l’ensemble des éléments suivants :
    • 1.Le besoin de bouger les jambes commence ou s’aggrave pendant les périodes de repos ou d’inactivité.
    • 2.Le besoin de bouger les jambes est partiellement ou totalement soulagé par le mouvement.
    • 3.Le besoin de bouger les jambes est pire dans la soirée ou la nuit que pendant la journée, ou ne survient que dans la soirée ou la nuit.
  • B. Les symptômes du critère A surviennent au moins trois fois par semaine et persistent au moins 3 mois.
  • C. Les symptômes du critère A sont accompagnés par une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, pédagogique, scolaire, comportemental ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas imputables :
    • à un autre trouble mental ou
    • à une affection médicale (p. ex., arthrite, œdème des membres inférieurs, ischémie périphérique, crampes des jambes) et
    • ne peuvent pas être mieux expliqués par une condition comportementale (p. ex., inconfort lié à la position, tapotement habituel du pied).
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance donnant lieu à un abus ou d’un médicament (p. ex., akathisie).
648
Q

Critères dx du synd des jambes sans repos: Impacts

A
  • A. Un besoin pressant de bouger les jambes, en général accompagné par ou en réponse à des sensations pénibles et désagréables dans les jambes, caractérisé par l’ensemble des éléments suivants :
    • 1.Le besoin de bouger les jambes commence ou s’aggrave pendant les périodes de repos ou d’inactivité.
    • 2.Le besoin de bouger les jambes est partiellement ou totalement soulagé par le mouvement.
    • 3.Le besoin de bouger les jambes est pire dans la soirée ou la nuit que pendant la journée, ou ne survient que dans la soirée ou la nuit.
  • B. Les symptômes du critère A surviennent au moins trois fois par semaine et persistent au moins 3 mois.
  • C. Les symptômes du critère A sont accompagnés par une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, pédagogique, scolaire, comportemental ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas imputables :
    • à un autre trouble mental ou
    • à une affection médicale (p. ex., arthrite, œdème des membres inférieurs, ischémie périphérique, crampes des jambes) et
    • ne peuvent pas être mieux expliqués par une condition comportementale (p. ex., inconfort lié à la position, tapotement habituel du pied).
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance donnant lieu à un abus ou d’un médicament (p. ex., akathisie).
649
Q

Critères dx du synd des jambes sans repos: Exclure quoi?

A
  • A. Un besoin pressant de bouger les jambes, en général accompagné par ou en réponse à des sensations pénibles et désagréables dans les jambes, caractérisé par l’ensemble des éléments suivants :
    • 1.Le besoin de bouger les jambes commence ou s’aggrave pendant les périodes de repos ou d’inactivité.
    • 2.Le besoin de bouger les jambes est partiellement ou totalement soulagé par le mouvement.
    • 3.Le besoin de bouger les jambes est pire dans la soirée ou la nuit que pendant la journée, ou ne survient que dans la soirée ou la nuit.
  • B. Les symptômes du critère A surviennent au moins trois fois par semaine et persistent au moins 3 mois.
  • C. Les symptômes du critère A sont accompagnés par une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, pédagogique, scolaire, comportemental ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Les symptômes du critère A ne sont pas imputables :
    • à un autre trouble mental ou
    • à une affection médicale (p. ex., arthrite, œdème des membres inférieurs, ischémie périphérique, crampes des jambes) et
    • ne peuvent pas être mieux expliqués par une condition comportementale (p. ex., inconfort lié à la position, tapotement habituel du pied).
  • E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance donnant lieu à un abus ou d’un médicament (p. ex., akathisie).
650
Q

Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien

A
  • A. Fractionnement persistant ou récurrent du sommeil qui s’explique principalement par une perturbation du système circadien ou par un décalage entre le rythme circadien endogène et l’horaire veille-sommeil approprié à l’environnement physique d’un individu, ou à ses activités sociales ou professionnelles.
  • B. La perturbation du sommeil entraîne de la somnolence excessive et/ou de l’insomnie.
  • C. La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
651
Q

Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Décrire

A
  • A. Fractionnement persistant ou récurrent du sommeil qui s’explique principalement par une perturbation du système circadien ou par un décalage entre le rythme circadien endogène et l’horaire veille-sommeil approprié à l’environnement physique d’un individu, ou à ses activités sociales ou professionnelles.
  • B. La perturbation du sommeil entraîne de la somnolence excessive et/ou de l’insomnie.
  • C. La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
652
Q

Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: C’est quoi?

A
  • A. Fractionnement persistant ou récurrent du sommeil qui s’explique principalement par une perturbation du système circadien ou par un décalage entre le rythme circadien endogène et l’horaire veille-sommeil approprié à l’environnement physique d’un individu, ou à ses activités sociales ou professionnelles.
  • B. La perturbation du sommeil entraîne de la somnolence excessive et/ou de l’insomnie.
  • C. La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
653
Q

Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Impact sur sommeil / éveil

A
  • A. Fractionnement persistant ou récurrent du sommeil qui s’explique principalement par une perturbation du système circadien ou par un décalage entre le rythme circadien endogène et l’horaire veille-sommeil approprié à l’environnement physique d’un individu, ou à ses activités sociales ou professionnelles.
  • B. La perturbation du sommeil entraîne de la somnolence excessive et/ou de l’insomnie.
  • C. La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
654
Q

Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Impacts

A
  • A. Fractionnement persistant ou récurrent du sommeil qui s’explique principalement par une perturbation du système circadien ou par un décalage entre le rythme circadien endogène et l’horaire veille-sommeil approprié à l’environnement physique d’un individu, ou à ses activités sociales ou professionnelles.
  • B. La perturbation du sommeil entraîne de la somnolence excessive et/ou de l’insomnie.
  • C. La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
655
Q

Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications

A
  • Spécifier le type :
    • 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux de retard de phase.
      • Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures. 307.45
    • 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase.
    • 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil.
    • 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil.
    • 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels).
    • 6.Type non spécifié
  • Spécifier le type :
    • Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois.
    • Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus.
    • Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
656
Q

Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications
- nommez les types

A
  • Spécifier le type :
    • 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux de retard de phase.
      • Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures. 307.45
    • 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase.
    • 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil.
    • 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil.
    • 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels).
    • 6.Type non spécifié
  • Spécifier le type :
    • Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois.
    • Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus.
    • Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
657
Q

Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications
- Type avec retard de phase

A
  • Spécifier le type :
    • 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux de retard de phase.
      • Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures.
    • 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase.
    • 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil.
    • 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil.
    • 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels).
    • 6.Type non spécifié
  • Spécifier le type :
    • Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois.
    • Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus.
    • Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
658
Q

Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications
- Type avec retard de phase: types de causes

A
  • Spécifier le type :
    • 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux de retard de phase.
      • Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures. 307.45
    • 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase.
    • 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil.
    • 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil.
    • 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels).
    • 6.Type non spécifié
  • Spécifier le type :
    • Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois.
    • Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus.
    • Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
659
Q

Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications
- Type avec retard de phase: définir / décrire

A
  • Spécifier le type :
    • 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux de retard de phase.
      • Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures.
    • 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase.
    • 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil.
    • 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil.
    • 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels).
    • 6.Type non spécifié
  • Spécifier le type :
    • Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois.
    • Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus.
    • Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
660
Q

Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications
- Type avec retard de phase: Familial

A
  • Spécifier le type :
    • 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux de retard de phase.
      • Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures.
    • 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase.
    • 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil.
    • 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil.
    • 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels).
    • 6.Type non spécifié
  • Spécifier le type :
    • Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois.
    • Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus.
    • Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
661
Q

Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications
- Type avec retard de phase: Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures

A
  • Spécifier le type :
    • 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux de retard de phase.
      • Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures.
    • 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase.
    • 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil.
    • 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil.
    • 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels).
    • 6.Type non spécifié
  • Spécifier le type :
    • Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois.
    • Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus.
    • Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
662
Q

Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications
- Type avec avance de phase

A
  • Spécifier le type :
    • 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux de retard de phase.
      • Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures.
    • 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase.
    • 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil.
    • 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil.
    • 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels).
    • 6.Type non spécifié
  • Spécifier le type :
    • Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois.
    • Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus.
    • Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
663
Q

Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications
- Type avec avance de phase: décrire

A
  • Spécifier le type :
    • 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux de retard de phase.
      • Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures.
    • 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase.
    • 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil.
    • 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil.
    • 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels).
    • 6.Type non spécifié
  • Spécifier le type :
    • Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois.
    • Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus.
    • Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
664
Q

Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications
- Type avec avance de phase: types de causes

A
  • Spécifier le type :
    • 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux de retard de phase.
      • Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures.
    • 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase.
    • 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil.
    • 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil.
    • 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels).
    • 6.Type non spécifié
  • Spécifier le type :
    • Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois.
    • Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus.
    • Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
665
Q

Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications
- Type avec avance de phase: Type familial

A
  • Spécifier le type :
    • 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux de retard de phase.
      • Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures.
    • 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase.
    • 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil.
    • 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil.
    • 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels).
    • 6.Type non spécifié
  • Spécifier le type :
    • Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois.
    • Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus.
    • Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
666
Q

Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications
- Type rythme veille-sommeil irrégulier

A
  • Spécifier le type :
    • 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux de retard de phase.
      • Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures.
    • 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase.
    • 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil.
    • 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil.
    • 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels).
    • 6.Type non spécifié
  • Spécifier le type :
    • Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois.
    • Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus.
    • Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
667
Q

Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications
- Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures

A
  • Spécifier le type :
    • 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux de retard de phase.
      • Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures.
    • 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase.
    • 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil.
    • 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil.
    • 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels).
    • 6.Type non spécifié
  • Spécifier le type :
    • Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois.
    • Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus.
    • Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
668
Q

Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications
- Type travail posté

A
  • Spécifier le type :
    • 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux de retard de phase.
      • Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures.
    • 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase.
    • 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil.
    • 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil.
    • 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels).
    • 6.Type non spécifié
  • Spécifier le type :
    • Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois.
    • Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus.
    • Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
669
Q

Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications
- Type non spécifié

A
  • Spécifier le type :
    • 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux de retard de phase.
      • Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures.
    • 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase.
    • 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil.
    • 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil.
    • 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels).
    • 6.Type non spécifié
  • Spécifier le type :
    • Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois.
    • Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus.
    • Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
670
Q

Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications
- durée / fréquence épisodes

A
  • Spécifier le type :
    • 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux de retard de phase.
      • Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures.
    • 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel.
      • Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase.
    • 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil.
    • 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil.
    • 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels).
    • 6.Type non spécifié
  • Spécifier le type :
    • Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois.
    • Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus.
    • Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
671
Q

Hygiène du sommeil: Éléments

A
  • Activité physique
  • Activité intellectuelle
  • Nutrition
  • À éviter
  • Organisation du temps de sommeil
  • Heure du coucher
  • Heure du lever
  • Éveil dans la nuit
  • Sieste
  • Environnement
  • Travail
672
Q

Hygiène du sommeil: Utilité

A

Chercher et corriger, si possible, dans l’environnement et le comportement de l’individu ce qui pourrait altérer le rythme veille-sommeil.

673
Q

Hygiène du sommeil: Activité physique

A

Au matin peu de rôle sur le sommeil, en après-midi favorise le sommeil, en soirée altère le sommeil donc préférence d’activités de détente en soirée.

674
Q

Hygiène du sommeil: Activité intellectuelle

A
  • Attention à l’hyperactivité intellectuelle en fin de soirée (par exemple lecture prolongée au lit) ou au retour introspectif sur la journée ou sur 1’agenda du lendemain lors du coucher.
  • L’utilisation de technique de relaxation.
675
Q

Hygiène du sommeil: Nutrition

A
  • Repas du soir léger.
  • En cas d’éveil nocturne: manger peu pourrait avoir un effet anxiolytique comme utiliser un lait chaud.
676
Q

Hygiène du sommeil: Quoi éviter?

A
  • Cigarettes, thé, café, chocolat, tisane à saveur de menthe et l’alcool.
  • Cette dernière substance favorise certes l’endormissement, mais procure un sommeil de mauvaise qualité (fractionné, léger et instable).
677
Q

Hygiène du sommeil: Organisation du temps de sommeil

A
  • La fin de journée doit préparer au sommeil en évitant toute stimulation excessive.
678
Q

Hygiène du sommeil: Heure du coucher et lever

A
  • Heure du coucher: Varie selon le besoin et le désir de s’endormir. N’a pas à être fixe.
  • Heure du lever: Régulière. Ne pas tenter de rattraper le sommeil perdu… cercle vicieux de l’insomnie.
679
Q

Hygiène du sommeil: Heure du coucher

A
  • Heure du coucher: Varie selon le besoin et le désir de s’endormir. N’a pas à être fixe.
  • Heure du lever: Régulière. Ne pas tenter de rattraper le sommeil perdu… cercle vicieux de l’insomnie.
680
Q

Hygiène du sommeil: Heure du lever

A
  • Heure du coucher: Varie selon le besoin et le désir de s’endormir. N’a pas à être fixe.
  • Heure du lever: Régulière. Ne pas tenter de rattraper le sommeil perdu… cercle vicieux de l’insomnie.
681
Q

Hygiène du sommeil: Éveil dans la nuit

A
  • Tenter de se rendormir, après 10 ou 15 minutes, se lever et faire une activité neutre.
682
Q

Hygiène du sommeil: Sieste

A
  • Peut être utile si tôt en journée, nuit au sommeil nocturne si plus tard en après-midi.
683
Q

Hygiène du sommeil: Sieste - quand la faire?

A
  • Peut être utile si tôt en journée, nuit au sommeil nocturne si plus tard en après-midi.
684
Q

Hygiène du sommeil: Environnement

A

À vérifier: Bruit, température ambiante et qualité du lit.

685
Q

Hygiène du sommeil: Travail

A

À éviter : Horaire variable, travail de soirée et de nuit.

686
Q

Traitement non pharmaco: Nommez-les

A
  1. Thérapie de contrôle des stimuli
  2. Thérapie de restriction de sommeil
  3. Thérapie cognitive
  4. Traitement de relaxation
687
Q

Traitement non pharmaco: Thérapie de contrôle des stimuli

A
  • Veiller à éviter que l’environnement n’influe négativement sur le sommeil et à favoriser un rythme veille - sommeil stable.
  • Le lit et la chambre à coucher sont réservés au sommeil et aux activités sexuelles; on se couche seulement si on est somnolent; on quitte sa chambre après 15 ou 20 minutes si le sommeil tarde puis on y retourne seulement si on est somnolent; on se lève à la même heure chaque matin, peu importe la durée du sommeil; on ne fait pas de sieste.
688
Q

Traitement non pharmaco: Thérapie de contrôle des stimuli
- c’est quoi?

A
  • Veiller à éviter que l’environnement n’influe négativement sur le sommeil et à favoriser un rythme veille - sommeil stable.
  • Le lit et la chambre à coucher sont réservés au sommeil et aux activités sexuelles; on se couche seulement si on est somnolent; on quitte sa chambre après 15 ou 20 minutes si le sommeil tarde puis on y retourne seulement si on est somnolent; on se lève à la même heure chaque matin, peu importe la durée du sommeil; on ne fait pas de sieste.
689
Q

Traitement non pharmaco: Thérapie de contrôle des stimuli
- chambre à coucher est réservée à quoi?

A
  • Veiller à éviter que l’environnement n’influe négativement sur le sommeil et à favoriser un rythme veille - sommeil stable.
  • Le lit et la chambre à coucher sont réservés au sommeil et aux activités sexuelles; on se couche seulement si on est somnolent; on quitte sa chambre après 15 ou 20 minutes si le sommeil tarde puis on y retourne seulement si on est somnolent; on se lève à la même heure chaque matin, peu importe la durée du sommeil; on ne fait pas de sieste.
690
Q

Traitement non pharmaco: Thérapie de restriction de sommeil

A
  • Vise à restreindre le temps passé au lit au temps de sommeil estimé pour empêcher la fragmentation du sommeil et en augmenter l’efficacité.
  • La privation de sommeil qui en résulte, favorise un endormissement plus rapide et contribue à l’augmentation de l’efficacité du sommeil.
  • Ainsi, un sujet qui mentionne dormir seulement quatre heures alors qu’il en passe neuf au lit, devra rester seulement quatre heures au lit; au fur et à mesure que se consolide son sommeil, le temps passé au lit est accru d’une quinzaine de minutes par semaine.
691
Q

Traitement non pharmaco: Thérapie de restriction de sommeil
- Objectif

A
  • Vise à restreindre le temps passé au lit au temps de sommeil estimé pour empêcher la fragmentation du sommeil et en augmenter l’efficacité.
  • La privation de sommeil qui en résulte, favorise un endormissement plus rapide et contribue à l’augmentation de l’efficacité du sommeil.
  • Ainsi, un sujet qui mentionne dormir seulement quatre heures alors qu’il en passe neuf au lit, devra rester seulement quatre heures au lit; au fur et à mesure que se consolide son sommeil, le temps passé au lit est accru d’une quinzaine de minutes par semaine.
692
Q

Traitement non pharmaco: Thérapie de restriction de sommeil
- fonctionnement

A
  • Vise à restreindre le temps passé au lit au temps de sommeil estimé pour empêcher la fragmentation du sommeil et en augmenter l’efficacité.
  • La privation de sommeil qui en résulte, favorise un endormissement plus rapide et contribue à l’augmentation de l’efficacité du sommeil.
  • Ainsi, un sujet qui mentionne dormir seulement quatre heures alors qu’il en passe neuf au lit, devra rester seulement quatre heures au lit; au fur et à mesure que se consolide son sommeil, le temps passé au lit est accru d’une quinzaine de minutes par semaine.
693
Q

Traitement non pharmaco: Thérapie cognitive

A
  • Cible les attentes réalistes ainsi que les conceptions erronées concernant les causes et les conséquences de l’insomnie.
  • La crainte de souffrir des conséquences de l’insomnie est un souci majeur.
  • Or, bien que l’insomnie puisse occasionner fatigue et irritabilité, particulièrement chez les sujets soucieux, les mesures objectives de performance et de somnolence indiquent peu de déficits.
  • La thérapie cognitive permet ainsi de modifier les attentes irréalistes, d’imputer à d’autres causes les conséquences présumées de l’insomnie et de favoriser un sentiment de contrôle sur son sommeil.
694
Q

Traitement non pharmaco: Thérapie cognitive
- sert à quoi?

A
  • Cible les attentes réalistes ainsi que les conceptions erronées concernant les causes et les conséquences de l’insomnie.
  • La crainte de souffrir des conséquences de l’insomnie est un souci majeur.
  • Or, bien que l’insomnie puisse occasionner fatigue et irritabilité, particulièrement chez les sujets soucieux, les mesures objectives de performance et de somnolence indiquent peu de déficits.
  • La thérapie cognitive permet ainsi de modifier les attentes irréalistes, d’imputer à d’autres causes les conséquences présumées de l’insomnie et de favoriser un sentiment de contrôle sur son sommeil.
695
Q

Traitement non pharmaco: Thérapie cognitive
- fonctionnement

A
  • Cible les attentes réalistes ainsi que les conceptions erronées concernant les causes et les conséquences de l’insomnie.
  • La crainte de souffrir des conséquences de l’insomnie est un souci majeur.
  • Or, bien que l’insomnie puisse occasionner fatigue et irritabilité, particulièrement chez les sujets soucieux, les mesures objectives de performance et de somnolence indiquent peu de déficits.
  • La thérapie cognitive permet ainsi de modifier les attentes irréalistes, d’imputer à d’autres causes les conséquences présumées de l’insomnie et de favoriser un sentiment de contrôle sur son sommeil.
696
Q

Traitement non pharmaco: Thérapie cognitive
- impacts

A
  • Cible les attentes réalistes ainsi que les conceptions erronées concernant les causes et les conséquences de l’insomnie.
  • La crainte de souffrir des conséquences de l’insomnie est un souci majeur.
  • Or, bien que l’insomnie puisse occasionner fatigue et irritabilité, particulièrement chez les sujets soucieux, les mesures objectives de performance et de somnolence indiquent peu de déficits.
  • La thérapie cognitive permet ainsi de modifier les attentes irréalistes, d’imputer à d’autres causes les conséquences présumées de l’insomnie et de favoriser un sentiment de contrôle sur son sommeil.
697
Q

Traitement non pharmaco: Traitement de relaxation

A
  • Sous forme de relaxation progressive, de training autogène ou de rétroaction biologique, permet de réduire l’éveil et les tensions somatiques; ils améliorent la qualité du sommeil en quatre à six semaines et leur efficacité est plus durable que celle des somnifères.
698
Q

Traitement non pharmaco: Traitement de relaxation
- c’est quoi?

A
  • Sous forme de relaxation progressive, de training autogène ou de rétroaction biologique, permet de réduire l’éveil et les tensions somatiques; ils améliorent la qualité du sommeil en quatre à six semaines et leur efficacité est plus durable que celle des somnifères.
699
Q

Traitement non pharmaco: Traitement de relaxation
- impacts

A
  • Sous forme de relaxation progressive, de training autogène ou de rétroaction biologique, permet de réduire l’éveil et les tensions somatiques; ils améliorent la qualité du sommeil en quatre à six semaines et leur efficacité est plus durable que celle des somnifères.
700
Q

Évaluation et traitements des tr du sommeil

A
701
Q

Identifier, en se référant aux critères utilisés dans le DSM 5, les manifestations cliniques en relation avec l’intoxication et le sevrage liés aux substances suivantes (Lalonde 874 à 908) :

A

Identifier, en se référant aux critères utilisés dans le DSM 5, les manifestations cliniques en relation avec l’intoxication et le sevrage liés aux substances suivantes (Lalonde 874 à 908) :

  • 143.Amphétamines
  • 144.Cannabis
  • 145.Cocaïne
  • 146.Anxiolytiques, hypnotiques, sédatifs
  • 147.Phencyclidine (PCP)
  • 148.Nicotine
  • 149.Inhalants et hallucinatoires
  • 150.Caféine
  • 151.Procéder à l’application de la démarche clinique dans un cas d’abus de substances présenté sur vignette