Médecine psychosomatique Flashcards
Troubles somatoformes: Critiques
- Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
- Faible usage du trouble somatoforme
- Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
- Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
- Est un diagnostic d’exclusion
- Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
- Manque de consensus
- Stigmatisation élevée
Troubles somatoformes: Critiques
- approche
- Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
- Faible usage du trouble somatoforme
- Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
- Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
- Est un diagnostic d’exclusion
- Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
- Manque de consensus
- Stigmatisation élevée
Troubles somatoformes: Critiques
- utilité
- Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
- Faible usage du trouble somatoforme
- Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
- Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
- Est un diagnostic d’exclusion
- Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
- Manque de consensus
- Stigmatisation élevée
Troubles somatoformes: Critiques
- appellations
- Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
- Faible usage du trouble somatoforme
- Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
- Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
- Est un diagnostic d’exclusion
- Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
- Manque de consensus
- Stigmatisation élevée
Troubles somatoformes: Critiques
- seuil
- Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
- Faible usage du trouble somatoforme
- Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
- Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
- Est un diagnostic d’exclusion
- Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
- Manque de consensus
- Stigmatisation élevée
Troubles somatoformes: Critiques
- type de dx
- Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
- Faible usage du trouble somatoforme
- Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
- Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
- Est un diagnostic d’exclusion
- Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
- Manque de consensus
- Stigmatisation élevée
Troubles somatoformes: Critiques
- comorbidités
- Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
- Faible usage du trouble somatoforme
- Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
- Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
- Est un diagnostic d’exclusion
- Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
- Manque de consensus
- Stigmatisation élevée
Troubles somatoformes: Critiques
- accord
- Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
- Faible usage du trouble somatoforme
- Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
- Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
- Est un diagnostic d’exclusion
- Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
- Manque de consensus
- Stigmatisation élevée
Troubles somatoformes: Critiques
- stigma
- Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
- Faible usage du trouble somatoforme
- Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
- Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
- Est un diagnostic d’exclusion
- Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
- Manque de consensus
- Stigmatisation élevée
Troubles somatoformes: Définition
- Trouble dont le mode de présentation est constitué principalement de symptômes somatiques et de préoccupations / distorsions cognitives face à la maladie.
- On dit qu’il y a chez l’humain une tendance universelle à expérimenter et communiquer de la détresse psychologique sous forme de symptômes physiques.
- C’est le principe de somatisation, à travers duquel différents troubles plus spécifiques s’articulent.
- Notons que des conditions médicalement inexpliquées existent aussi et sont à différencier des somatisations.
- Ils sont habituellement nommés des troubles somatiques fonctionnels et comportent plusieurs entités tels que le syndrome du côlon irritable en gastro-entérologie et ne s’articulent pas toujours à travers une psychopathologie.
Troubles somatoformes: Définition
- présentation clinique
- Trouble dont le mode de présentation est constitué principalement de symptômes somatiques et de préoccupations / distorsions cognitives face à la maladie.
- On dit qu’il y a chez l’humain une tendance universelle à expérimenter et communiquer de la détresse psychologique sous forme de symptômes physiques.
- C’est le principe de somatisation, à travers duquel différents troubles plus spécifiques s’articulent.
- Notons que des conditions médicalement inexpliquées existent aussi et sont à différencier des somatisations.
- Ils sont habituellement nommés des troubles somatiques fonctionnels et comportent plusieurs entités tels que le syndrome du côlon irritable en gastro-entérologie et ne s’articulent pas toujours à travers une psychopathologie.
Troubles somatoformes: Définition
- tendance universelle
- Trouble dont le mode de présentation est constitué principalement de symptômes somatiques et de préoccupations / distorsions cognitives face à la maladie.
- On dit qu’il y a chez l’humain une tendance universelle à expérimenter et communiquer de la détresse psychologique sous forme de symptômes physiques.
- C’est le principe de somatisation, à travers duquel différents troubles plus spécifiques s’articulent.
- Notons que des conditions médicalement inexpliquées existent aussi et sont à différencier des somatisations.
- Ils sont habituellement nommés des troubles somatiques fonctionnels et comportent plusieurs entités tels que le syndrome du côlon irritable en gastro-entérologie et ne s’articulent pas toujours à travers une psychopathologie.
Troubles somatoformes: Définition
- principe sous-jacent
- Trouble dont le mode de présentation est constitué principalement de symptômes somatiques et de préoccupations / distorsions cognitives face à la maladie.
- On dit qu’il y a chez l’humain une tendance universelle à expérimenter et communiquer de la détresse psychologique sous forme de symptômes physiques.
- C’est le principe de somatisation, à travers duquel différents troubles plus spécifiques s’articulent.
- Notons que des conditions médicalement inexpliquées existent aussi et sont à différencier des somatisations.
- Ils sont habituellement nommés des troubles somatiques fonctionnels et comportent plusieurs entités tels que le syndrome du côlon irritable en gastro-entérologie et ne s’articulent pas toujours à travers une psychopathologie.
Troubles somatoformes: Définition
- décrire le principe de somatisation
- Trouble dont le mode de présentation est constitué principalement de symptômes somatiques et de préoccupations / distorsions cognitives face à la maladie.
- On dit qu’il y a chez l’humain une tendance universelle à expérimenter et communiquer de la détresse psychologique sous forme de symptômes physiques.
- C’est le principe de somatisation, à travers duquel différents troubles plus spécifiques s’articulent.
- Notons que des conditions médicalement inexpliquées existent aussi et sont à différencier des somatisations.
- Ils sont habituellement nommés des troubles somatiques fonctionnels et comportent plusieurs entités tels que le syndrome du côlon irritable en gastro-entérologie et ne s’articulent pas toujours à travers une psychopathologie.
Troubles somatoformes: Définition
- conditions médicales
- Trouble dont le mode de présentation est constitué principalement de symptômes somatiques et de préoccupations / distorsions cognitives face à la maladie.
- On dit qu’il y a chez l’humain une tendance universelle à expérimenter et communiquer de la détresse psychologique sous forme de symptômes physiques.
- C’est le principe de somatisation, à travers duquel différents troubles plus spécifiques s’articulent.
- Notons que des conditions médicalement inexpliquées existent aussi et sont à différencier des somatisations.
- Ils sont habituellement nommés des troubles somatiques fonctionnels et comportent plusieurs entités tels que le syndrome du côlon irritable en gastro-entérologie et ne s’articulent pas toujours à travers une psychopathologie.
Troubles somatoformes: Définition
- entités
- Trouble dont le mode de présentation est constitué principalement de symptômes somatiques et de préoccupations / distorsions cognitives face à la maladie.
- On dit qu’il y a chez l’humain une tendance universelle à expérimenter et communiquer de la détresse psychologique sous forme de symptômes physiques.
- C’est le principe de somatisation, à travers duquel différents troubles plus spécifiques s’articulent.
- Notons que des conditions médicalement inexpliquées existent aussi et sont à différencier des somatisations.
- Ils sont habituellement nommés des troubles somatiques fonctionnels et comportent plusieurs entités tels que le syndrome du côlon irritable en gastro-entérologie et ne s’articulent pas toujours à travers une psychopathologie.
Troubles somatiques fonctionnels les plus fréquents
- Céphalée de tension
- Syndrome temporomandibulaire
- Douleur thoracique non spécifiée
- Syndrome d’hyperventilation
- Dyspepsie non ulcéreuse
- Syndrome de l’intestin irritable
- Lombalgie
- Cystite interstitielle
- Douleur pelvienne chronique
- Syndrome prémenstruel
- Fibromyalgie
- Syndrome de fatigue chronique
- Hypersensibilité environnementale idiopathique : sensibilité à plusieurs produits (p. ex., parfums, produits de nettoyage) qui causent des réactions dans diverses parties de l’organisme
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Facteurs psychologiques influençant des affections médicales
- Affection médicale
- Oui
- Caractéristiques du critère A
- Présence d’un symptôme ou d’une affection médicale (autre qu’un trouble mental)
- Caractéristiques du critère B
- Des facteurs psychologiques ou comportementaux influençant négativement l’affection médicale
- Détresse
- +/-
- Principaux ddx
- Trouble mental lié à une affection médicale
- Trouble de l’adaptation
- Trouble à symptomatologie somatique
- Crainte excessive d’avoir une maladie
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Facteurs psychologiques influençant des affections médicales: Affection médicale
-
Affection médicale
- Oui
- Caractéristiques du critère A
- Présence d’un symptôme ou d’une affection médicale (autre qu’un trouble mental)
- Caractéristiques du critère B
- Des facteurs psychologiques ou comportementaux influençant négativement l’affection médicale
- Détresse
- +/-
- Principaux ddx
- Trouble mental lié à une affection médicale
- Trouble de l’adaptation
- Trouble à symptomatologie somatique
- Crainte excessive d’avoir une maladie
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Facteurs psychologiques influençant des affections médicales: Caractéristiques du critère A
- Affection médicale
- Oui
-
Caractéristiques du critère A
- Présence d’un symptôme ou d’une affection médicale (autre qu’un trouble mental)
- Caractéristiques du critère B
- Des facteurs psychologiques ou comportementaux influençant négativement l’affection médicale
- Détresse
- +/-
- Principaux ddx
- Trouble mental lié à une affection médicale
- Trouble de l’adaptation
- Trouble à symptomatologie somatique
- Crainte excessive d’avoir une maladie
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Facteurs psychologiques influençant des affections médicales: Caractéristiques du critère B
- Affection médicale
- Oui
- Caractéristiques du critère A
- Présence d’un symptôme ou d’une affection médicale (autre qu’un trouble mental)
-
Caractéristiques du critère B
- Des facteurs psychologiques ou comportementaux influençant négativement l’affection médicale
- Détresse
- +/-
- Principaux ddx
- Trouble mental lié à une affection médicale
- Trouble de l’adaptation
- Trouble à symptomatologie somatique
- Crainte excessive d’avoir une maladie
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Facteurs psychologiques influençant des affections médicales: Détresse
- Affection médicale
- Oui
- Caractéristiques du critère A
- Présence d’un symptôme ou d’une affection médicale (autre qu’un trouble mental)
- Caractéristiques du critère B
- Des facteurs psychologiques ou comportementaux influençant négativement l’affection médicale
-
Détresse
- +/-
- Principaux ddx
- Trouble mental lié à une affection médicale
- Trouble de l’adaptation
- Trouble à symptomatologie somatique
- Crainte excessive d’avoir une maladie
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Facteurs psychologiques influençant des affections médicales: Principaux ddx
- Affection médicale
- Oui
- Caractéristiques du critère A
- Présence d’un symptôme ou d’une affection médicale (autre qu’un trouble mental)
- Caractéristiques du critère B
- Des facteurs psychologiques ou comportementaux influençant négativement l’affection médicale
- Détresse
- +/-
-
Principaux ddx
- Trouble mental lié à une affection médicale
- Trouble de l’adaptation
- Trouble à symptomatologie somatique
- Crainte excessive d’avoir une maladie
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble à symptomatologie somatique (TSS)
- Affection médicale
- Oui/non
- Caractéristiques du critère A
- Un ou plusieurs symptômes somatiques causant de la détresse ou entraînant une altération de la vie quotidienne
- Caractéristiques du critère B
- (1) Pensées persistantes et excessives concernant la gravité des symptômes
- (2) Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes
- (3) Énergie et temps excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé
- Détresse
- +
- Principaux ddx
- Si pas de plaintes somatiques, crainte excessive d’avoir une maladie
- Autre affection médicale
- Trouble panique
- Anxiété généralisée
- Dépression
- Trouble délirant, type somatique
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble à symptomatologie somatique (TSS): Affection médicale?
-
Affection médicale
- Oui/non
- Caractéristiques du critère A
- Un ou plusieurs symptômes somatiques causant de la détresse ou entraînant une altération de la vie quotidienne
- Caractéristiques du critère B
- (1) Pensées persistantes et excessives concernant la gravité des symptômes
- (2) Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes
- (3) Énergie et temps excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé
- Détresse
- +
- Principaux ddx
- Si pas de plaintes somatiques, crainte excessive d’avoir une maladie
- Autre affection médicale
- Trouble panique
- Anxiété généralisée
- Dépression
- Trouble délirant, type somatique
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble à symptomatologie somatique (TSS): Caractéristique du critère A
- Affection médicale
- Oui/non
-
Caractéristiques du critère A
- Un ou plusieurs symptômes somatiques causant de la détresse ou entraînant une altération de la vie quotidienne
- Caractéristiques du critère B
- (1) Pensées persistantes et excessives concernant la gravité des symptômes
- (2) Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes
- (3) Énergie et temps excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé
- Détresse
- +
- Principaux ddx
- Si pas de plaintes somatiques, crainte excessive d’avoir une maladie
- Autre affection médicale
- Trouble panique
- Anxiété généralisée
- Dépression
- Trouble délirant, type somatique
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble à symptomatologie somatique (TSS): Caractéristique du critère B
- Affection médicale
- Oui/non
- Caractéristiques du critère A
- Un ou plusieurs symptômes somatiques causant de la détresse ou entraînant une altération de la vie quotidienne
-
Caractéristiques du critère B
- (1) Pensées persistantes et excessives concernant la gravité des symptômes
- (2) Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes
- (3) Énergie et temps excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé
- Détresse
- +
- Principaux ddx
- Si pas de plaintes somatiques, crainte excessive d’avoir une maladie
- Autre affection médicale
- Trouble panique
- Anxiété généralisée
- Dépression
- Trouble délirant, type somatique
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble à symptomatologie somatique (TSS): : Caractéristique du critère B - nommez-les
- Affection médicale
- Oui/non
- Caractéristiques du critère A
- Un ou plusieurs symptômes somatiques causant de la détresse ou entraînant une altération de la vie quotidienne
-
Caractéristiques du critère B
- (1) Pensées persistantes et excessives concernant la gravité des symptômes
- (2) Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes
- (3) Énergie et temps excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé
- Détresse
- +
- Principaux ddx
- Si pas de plaintes somatiques, crainte excessive d’avoir une maladie
- Autre affection médicale
- Trouble panique
- Anxiété généralisée
- Dépression
- Trouble délirant, type somatique
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble à symptomatologie somatique (TSS): Détresse
- Affection médicale
- Oui/non
- Caractéristiques du critère A
- Un ou plusieurs symptômes somatiques causant de la détresse ou entraînant une altération de la vie quotidienne
- Caractéristiques du critère B
- (1) Pensées persistantes et excessives concernant la gravité des symptômes
- (2) Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes
- (3) Énergie et temps excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé
-
Détresse
- +
- Principaux ddx
- Si pas de plaintes somatiques, crainte excessive d’avoir une maladie
- Autre affection médicale
- Trouble panique
- Anxiété généralisée
- Dépression
- Trouble délirant, type somatique
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble à symptomatologie somatique (TSS): Principaux ddx
- Affection médicale
- Oui/non
- Caractéristiques du critère A
- Un ou plusieurs symptômes somatiques causant de la détresse ou entraînant une altération de la vie quotidienne
- Caractéristiques du critère B
- (1) Pensées persistantes et excessives concernant la gravité des symptômes
- (2) Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes
- (3) Énergie et temps excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé
- Détresse
- +
-
Principaux ddx
- Si pas de plaintes somatiques, crainte excessive d’avoir une maladie
- Autre affection médicale
- Trouble panique
- Anxiété généralisée
- Dépression
- Trouble délirant, type somatique
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Conversion
- Affection médicale
- Oui/non
- Caractéristiques du critère A
- Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles
- Caractéristiques du critère B
- Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnus.
- Détresse
- +/-
- Principaux ddx
- Maladie neurologique
- Trouble à symptomatologie somatique comorbide
- Trouble factice
- Simulation
- Trouble dissociatif comorbide
- Dépression
- Trouble panique
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Conversion: Affection médicale
-
Affection médicale
- Oui/non
- Caractéristiques du critère A
- Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles
- Caractéristiques du critère B
- Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnus.
- Détresse
- +/-
- Principaux ddx
- Maladie neurologique
- Trouble à symptomatologie somatique comorbide
- Trouble factice
- Simulation
- Trouble dissociatif comorbide
- Dépression
- Trouble panique
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Conversion: Caractéristiques de critère A
- Affection médicale
- Oui/non
-
Caractéristiques du critère A
- Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles
- Caractéristiques du critère B
- Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnus.
- Détresse
- +/-
- Principaux ddx
- Maladie neurologique
- Trouble à symptomatologie somatique comorbide
- Trouble factice
- Simulation
- Trouble dissociatif comorbide
- Dépression
- Trouble panique
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Conversion: Caractéristiques de critère B
- Affection médicale
- Oui/non
- Caractéristiques du critère A
- Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles
-
Caractéristiques du critère B
- Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnus.
- Détresse
- +/-
- Principaux ddx
- Maladie neurologique
- Trouble à symptomatologie somatique comorbide
- Trouble factice
- Simulation
- Trouble dissociatif comorbide
- Dépression
- Trouble panique
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Conversion: Détresse
- Affection médicale
- Oui/non
- Caractéristiques du critère A
- Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles
- Caractéristiques du critère B
- Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnus.
-
Détresse
- +/-
- Principaux ddx
- Maladie neurologique
- Trouble à symptomatologie somatique comorbide
- Trouble factice
- Simulation
- Trouble dissociatif comorbide
- Dépression
- Trouble panique
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Conversion: Principaux ddx
- Affection médicale
- Oui/non
- Caractéristiques du critère A
- Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles
- Caractéristiques du critère B
- Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnus.
- Détresse
- +/-
-
Principaux ddx
- Maladie neurologique
- Trouble à symptomatologie somatique comorbide
- Trouble factice
- Simulation
- Trouble dissociatif comorbide
- Dépression
- Trouble panique
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble factice
- Affection médicale
- Non
- Caractéristiques du critère A
- Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies associée à une tromperie identiée
- Caractéristiques du critère B
- La personne se présente aux autres comme malade, invalide ou blessée.
- Détresse
- +/-
- Principaux ddx
- Il y a simulation si la poursuite d’un gain secondaire, tel que des compensations financières, un logement, des médicaments et autres, est démontrée.
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble factice: Affection médicale?
-
Affection médicale
- Non
- Caractéristiques du critère A
- Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies associée à une tromperie identiée
- Caractéristiques du critère B
- La personne se présente aux autres comme malade, invalide ou blessée.
- Détresse
- +/-
- Principaux ddx
- Il y a simulation si la poursuite d’un gain secondaire, tel que des compensations financières, un logement, des médicaments et autres, est démontrée.
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble factice: Caractéristiques de critère A
- Affection médicale
- Non
- Caractéristiques du critère A
- Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies associée à une tromperie identifiée
- Caractéristiques du critère B
- La personne se présente aux autres comme malade, invalide ou blessée.
- Détresse
- +/-
- Principaux ddx
- Il y a simulation si la poursuite d’un gain secondaire, tel que des compensations financières, un logement, des médicaments et autres, est démontrée.
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble factice: Caractéristiques de critère B
- Affection médicale
- Non
- Caractéristiques du critère A
- Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies associée à une tromperie identiée
-
Caractéristiques du critère B
- La personne se présente aux autres comme malade, invalide ou blessée.
- Détresse
- +/-
- Principaux ddx
- Il y a simulation si la poursuite d’un gain secondaire, tel que des compensations financières, un logement, des médicaments et autres, est démontrée.
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble factice: Détresse
- Affection médicale
- Non
- Caractéristiques du critère A
- Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies associée à une tromperie identiée
- Caractéristiques du critère B
- La personne se présente aux autres comme malade, invalide ou blessée.
-
Détresse
- +/-
- Principaux ddx
- Il y a simulation si la poursuite d’un gain secondaire, tel que des compensations financières, un logement, des médicaments et autres, est démontrée.
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble factice: Principaux ddx
- Affection médicale
- Non
- Caractéristiques du critère A
- Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies associée à une tromperie identiée
- Caractéristiques du critère B
- La personne se présente aux autres comme malade, invalide ou blessée.
- Détresse
- +/-
-
Principaux ddx
- Il y a simulation si la poursuite d’un gain secondaire, tel que des compensations financières, un logement, des médicaments et autres, est démontrée.
Tr. symptomatologie somatique VS Tr. de la crainte excessive d’avoir une maladie VS Tr. conversion
Tr. symptomatologie somatique
- Épidémio
- Étiologies
- Ddx et comorbidités
- Pronostic
- Traitement
- Épidémiologie
- On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur)
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau.
- Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive)
- Pronostic
- La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient.
- Traitement
- Ø de pharmacothérapie
- activation physique peut aider
- les différentes psychothérapies aident de façon modérée
- la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
Tr. symptomatologie somatique
- Prévalence
-
Épidémiologie
- On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur)
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau.
- Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive)
- Pronostic
- La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient.
- Traitement
- Ø de pharmacothérapie
- activation physique peut aider
- les différentes psychothérapies aident de façon modérée
- la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
Tr. symptomatologie somatique
- Étiologie
- Épidémiologie
- On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur)
-
Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau.
- Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive)
- Pronostic
- La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient.
- Traitement
- Ø de pharmacothérapie
- activation physique peut aider
- les différentes psychothérapies aident de façon modérée
- la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
Tr. symptomatologie somatique
- Ddx et comorbidités
- Épidémiologie
- On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur)
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau.
-
Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive)
- Pronostic
- La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient.
- Traitement
- Ø de pharmacothérapie
- activation physique peut aider
- les différentes psychothérapies aident de façon modérée
- la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
Tr. symptomatologie somatique
- Ddx et comorbidités: Quel traits / TP associés?
- Épidémiologie
- On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur)
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau.
- Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive)
- Pronostic
- La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient.
- Traitement
- Ø de pharmacothérapie
- activation physique peut aider
- les différentes psychothérapies aident de façon modérée
- la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
Tr. symptomatologie somatique
- Pronostic
- Épidémiologie
- On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur)
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau.
- Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive)
-
Pronostic
- La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient.
- Traitement
- Ø de pharmacothérapie
- activation physique peut aider
- les différentes psychothérapies aident de façon modérée
- la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
Tr. symptomatologie somatique
- Traitement
- Épidémiologie
- On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur)
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau.
- Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive)
- Pronostic
- La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient.
-
Traitement
- Ø de pharmacothérapie
- activation physique peut aider
- les différentes psychothérapies aident de façon modérée
- la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
Tr. symptomatologie somatique
- Traitement: Pharmacothérapie
- Épidémiologie
- On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur)
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau.
- Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive)
- Pronostic
- La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient.
-
Traitement
- Ø de pharmacothérapie
- activation physique peut aider
- les différentes psychothérapies aident de façon modérée
- la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
Tr. symptomatologie somatique
- Traitement: autres
- Épidémiologie
- On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur)
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau.
- Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive)
- Pronostic
- La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient.
-
Traitement
- Ø de pharmacothérapie
- activation physique peut aider
- les différentes psychothérapies aident de façon modérée
- la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
Tr. symptomatologie somatique
- Traitement: psychothérapie
- Épidémiologie
- On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur)
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau.
- Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive)
- Pronostic
- La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient.
- Traitement
- Ø de pharmacothérapie
- activation physique peut aider
- les différentes psychothérapies aident de façon modérée
- la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
Tr. symptomatologie somatique
- Traitement: principal outil thérapeutique
- Épidémiologie
- On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur)
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau.
- Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive)
- Pronostic
- La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient.
- Traitement
- Ø de pharmacothérapie
- activation physique peut aider
- les différentes psychothérapies aident de façon modérée
- la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
Tr. de la crainte excessive d’avoir une maladie
- Épidémio
- Étiologies
- Ddx et comorbidités
- Pronostic
- Traitement
- Épidémio
- ø d’infos
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le
- Ddx et comorbidités
- Trouble anxieux généralisé
- Caractéristiques de phobies
- Comportements obsessionnels
- Pronostic
- ø d’infos
- Traitement
- Difficulté à traiter le patient, puisque rien ne le rassure.
Tr. de la crainte excessive d’avoir une maladie
- Épidémio
-
Épidémio
- ø d’infos
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le
- Ddx et comorbidités
- Trouble anxieux généralisé
- Caractéristiques de phobies
- Comportements obsessionnels
- Pronostic
- ø d’infos
- Traitement
- Difficulté à traiter le patient, puisque rien ne le rassure.
Tr. de la crainte excessive d’avoir une maladie
- Étiologies
- Épidémio
- ø d’infos
-
Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
- Ddx et comorbidités
- Trouble anxieux généralisé
- Caractéristiques de phobies
- Comportements obsessionnels
- Pronostic
- ø d’infos
- Traitement
- Difficulté à traiter le patient, puisque rien ne le rassure.
Tr. de la crainte excessive d’avoir une maladie
- Ddx et comorbidités
- Épidémio
- ø d’infos
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le
-
Ddx et comorbidités
- Trouble anxieux généralisé
- Caractéristiques de phobies
- Comportements obsessionnels
- Pronostic
- ø d’infos
- Traitement
- Difficulté à traiter le patient, puisque rien ne le rassure.
Tr. de la crainte excessive d’avoir une maladie
- Pronostic
- Épidémio
- ø d’infos
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le
- Ddx et comorbidités
- Trouble anxieux généralisé
- Caractéristiques de phobies
- Comportements obsessionnels
-
Pronostic
- ø d’infos
- Traitement
- Difficulté à traiter le patient, puisque rien ne le rassure.
Tr. de la crainte excessive d’avoir une maladie
- Traitement
- Épidémio
- ø d’infos
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le
- Ddx et comorbidités
- Trouble anxieux généralisé
- Caractéristiques de phobies
- Comportements obsessionnels
- Pronostic
- ø d’infos
-
Traitement
- Difficulté à traiter le patient, puisque rien ne le rassure.
Tr conversion
- Épidémio
- Étiologies
- Ddx et comorbidités
- Pronostic
- Traitement
- Épidémio
- fréquent ado / début 20aine
- 0.3 % / an
- 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
- Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
- Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Événements traumatiques durant l’enfance
- Abus de substances
- Troubles de la personnalité
- SEP / épilepsie
- Pronostic
- Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
- 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
- Traitement
- Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
- La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
- Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
- Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
Tr conversion
- Épidémio
-
Épidémio
- + fréquent ado / début 20aine
- 0.3 % / an
- 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
- Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
- Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Événements traumatiques durant l’enfance
- Abus de substances
- Troubles de la personnalité
- SEP / épilepsie
- Pronostic
- Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
- 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
- Traitement
- Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
- La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
- Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
- Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
Tr conversion
- Épidémio: plus fréquent chez les groupe d’âge?
- Épidémio
- + fréquent ado / début 20aine
- 0.3 % / an
- 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
- Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
- Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Événements traumatiques durant l’enfance
- Abus de substances
- Troubles de la personnalité
- SEP / épilepsie
- Pronostic
- Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
- 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
- Traitement
- Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
- La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
- Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
- Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
Tr conversion
- Épidémio: incidence par an
- Épidémio
- fréquent ado / début 20aine
- 0.3 % / an
- 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
- Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
- Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Événements traumatiques durant l’enfance
- Abus de substances
- Troubles de la personnalité
- SEP / épilepsie
- Pronostic
- Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
- 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
- Traitement
- Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
- La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
- Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
- Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
Tr conversion
- Épidémio: H vs F
- Épidémio
- fréquent ado / début 20aine
- 0.3 % / an
- 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
- Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
- Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Événements traumatiques durant l’enfance
- Abus de substances
- Troubles de la personnalité
- SEP / épilepsie
- Pronostic
- Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
- 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
- Traitement
- Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
- La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
- Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
- Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
Tr conversion
- Épidémio: FDR
- Épidémio
- fréquent ado / début 20aine
- 0.3 % / an
- 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
- Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
- Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Événements traumatiques durant l’enfance
- Abus de substances
- Troubles de la personnalité
- SEP / épilepsie
- Pronostic
- Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
- 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
- Traitement
- Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
- La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
- Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
- Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
Tr conversion
- Étiologies
- Épidémio
- fréquent ado / début 20aine
- 0.3 % / an
- 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
- Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
-
Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
- Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Événements traumatiques durant l’enfance
- Abus de substances
- Troubles de la personnalité
- SEP / épilepsie
- Pronostic
- Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
- 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
- Traitement
- Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
- La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
- Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
- Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
Tr conversion
- Ddx et comorbidités
- Épidémio
- fréquent ado / début 20aine
- 0.3 % / an
- 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
- Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
-
Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Événements traumatiques durant l’enfance
- Abus de substances
- Troubles de la personnalité
- SEP / épilepsie
- Pronostic
- Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
- 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
- Traitement
- Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
- La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
- Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
- Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
Tr conversion
- Pronostic
- Épidémio
- fréquent ado / début 20aine
- 0.3 % / an
- 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
- Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
- Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Événements traumatiques durant l’enfance
- Abus de substances
- Troubles de la personnalité
- SEP / épilepsie
-
Pronostic
- Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
- 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
- Traitement
- Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
- La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
- Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
- Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
Tr conversion
- Pronostic: est favorable dans quel contexte?
- Épidémio
- fréquent ado / début 20aine
- 0.3 % / an
- 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
- Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
- Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Événements traumatiques durant l’enfance
- Abus de substances
- Troubles de la personnalité
- SEP / épilepsie
-
Pronostic
- Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
- 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
- Traitement
- Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
- La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
- Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
- Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
Tr conversion
- Pronostic: si hospit
- Épidémio
- fréquent ado / début 20aine
- 0.3 % / an
- 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
- Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
- Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Événements traumatiques durant l’enfance
- Abus de substances
- Troubles de la personnalité
- SEP / épilepsie
- Pronostic
- Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
- 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
- Traitement
- Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
- La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
- Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
- Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
Tr conversion
- Traitement
- Épidémio
- fréquent ado / début 20aine
- 0.3 % / an
- 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
- Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
- Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Événements traumatiques durant l’enfance
- Abus de substances
- Troubles de la personnalité
- SEP / épilepsie
- Pronostic
- Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
- 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
-
Traitement
- Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
- La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
- Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
- Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
Tr conversion
- Traitement: élément central
- Épidémio
- fréquent ado / début 20aine
- 0.3 % / an
- 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
- Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
- Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Événements traumatiques durant l’enfance
- Abus de substances
- Troubles de la personnalité
- SEP / épilepsie
- Pronostic
- Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
- 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
- Traitement
- Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
- La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
- Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
- Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
Tr conversion
- Traitement: Psychotx
- Épidémio
- fréquent ado / début 20aine
- 0.3 % / an
- 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
- Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
- Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Événements traumatiques durant l’enfance
- Abus de substances
- Troubles de la personnalité
- SEP / épilepsie
- Pronostic
- Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
- 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
- Traitement
- Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
- La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
- Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
- Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
Tr conversion
- Traitement: Autres
- Épidémio
- fréquent ado / début 20aine
- 0.3 % / an
- 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
- Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
- Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Événements traumatiques durant l’enfance
- Abus de substances
- Troubles de la personnalité
- SEP / épilepsie
- Pronostic
- Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
- 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
- Traitement
- Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
- La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
- Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
- Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
Tr conversion
- Traitement: Approche de résolutions de problèmes
- Épidémio
- fréquent ado / début 20aine
- 0.3 % / an
- 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)
- Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement
- Étiologies
- Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).
- Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.
- Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau
- Ddx et comorbidités
- Troubles dépressifs
- Troubles anxieux
- Événements traumatiques durant l’enfance
- Abus de substances
- Troubles de la personnalité
- SEP / épilepsie
- Pronostic
- Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy
- 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé
-
Traitement
- Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique
- La suggestion constitue l’élément central de la thérapie
- Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider
- Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
Tr. symptomatologie somatique VS Tr. de la crainte excessive d’avoir une maladie VS Tr. conversion
- ce qui oriente vers un TSS plutôt qu’une maladie organique
- Certains indices peuvent orienter vers un TSS et permet d’éviter l’approche par exclusion traditionnelle ;
- Tableau de sx vagues, diffus, fluctuants, difficile à circonscrire, chronique
- Consultations médicales multiples et des ATCD chirurgicaux non spécifiques
- Histoire développementale marquée par des sévices physiques ou sexuels/ carence affective / somatisations ou de maladies en bas âge chez les proches
- Facteurs liés à l’apprentissage familial
- Dysfonctionnement relationnel, social, professionnel de longue date
- etc.
Autres troubles symptomatologiques somatiques
- Il est à noter que la colonne de « autres troubles symptomatologiques somatiques a été enlevé par absence d’information spécifique dans le Lalonde.
- De plus, le trouble factice sera abordé séparément plus tard dans ce guide de lecture.
Facteurs bio-psycho-sociaux
- Prédisposants
- Précipitants
- Perpétuants
Facteurs PRÉDISPOSANTS
- Bio
- Psycho
- Sociaux
Facteurs PRÉDISPOSANTS
- Biologique
- Génétique : non formellement prouvé, mais des tendances génétiques complexes semblent exister entre les syndromes somatiques fonctionnels (comme anxiété et dépression)
- Dysfonctionnement de neurotransmetteurs : la 5HT et la NA sont mis en causes, des mécanismes de structures (SNC et corne postérieure de la moelle)
Facteurs PRÉDISPOSANTS
- Biologique: Génétique
- Génétique : non formellement prouvé, mais des tendances génétiques complexes semblent exister entre les syndromes somatiques fonctionnels (comme anxiété et dépression)
- Dysfonctionnement de neurotransmetteurs : la 5HT et la NA sont mis en causes, des mécanismes de structures (SNC et corne postérieure de la moelle)
Facteurs PRÉDISPOSANTS
- Biologique: Dysfonctionnement de neurotransmetteur
- Génétique : non formellement prouvé, mais des tendances génétiques complexes semblent exister entre les syndromes somatiques fonctionnels (comme anxiété et dépression)
- Dysfonctionnement de neurotransmetteurs : la 5HT et la NA sont mis en causes, des mécanismes de structures (SNC et corne postérieure de la moelle)
Facteurs PRÉDISPOSANTS
- Psychologique
- Facteurs liés à la personnalité : divers auteurs amènent diverses théories. Certains voient ces troubles comme étant un trouble de personnalité considérant leur début précoce et les TP associés, d’autres les voient comme des fixations psychodynamiques freudiennes, d’autres expriment encore que les facteurs de la personnalité peuvent influencer la recherche de soins.
- Recherche à la médecine traditionnelle lorsque la contemporaine offre peu d’écoute/réconfort (aussi social)
Facteurs PRÉDISPOSANTS
- Psychologique: Personnalité
- Facteurs liés à la personnalité : divers auteurs amènent diverses théories. Certains voient ces troubles comme étant un trouble de personnalité considérant leur début précoce et les TP associés, d’autres les voient comme des fixations psychodynamiques freudiennes, d’autres expriment encore que les facteurs de la personnalité peuvent influencer la recherche de soins.
- Recherche à la médecine traditionnelle lorsque la contemporaine offre peu d’écoute/réconfort (aussi social)
Facteurs PRÉDISPOSANTS
- Psychologique: Médecine traditionnelle
- Facteurs liés à la personnalité : divers auteurs amènent diverses théories. Certains voient ces troubles comme étant un trouble de personnalité considérant leur début précoce et les TP associés, d’autres les voient comme des fixations psychodynamiques freudiennes, d’autres expriment encore que les facteurs de la personnalité peuvent influencer la recherche de soins.
- Recherche à la médecine traditionnelle lorsque la contemporaine offre peu d’écoute/réconfort (aussi social)
Facteurs PRÉDISPOSANTS
- Sociaux
- Facteurs développementaux : expérience infantile négative qui entraîne une vie dans une famille dysfonctionnelle, de la maltraitance, des abus physiques et sexuels, expériences précoces de maladies ou de vie avec des malades, et la perte de proches
- Le style d’attachement à l’âge adulte (attachement anxieux et rigide)
- Culture
- Classe socioéconomique : une atteint préférentielle chez les classes faibles (défaut de verbalisation linguistique)
Facteurs PRÉDISPOSANTS
- Sociaux: Facteurs développementaux
- Facteurs développementaux : expérience infantile négative qui entraîne une vie dans une famille dysfonctionnelle, de la maltraitance, des abus physiques et sexuels, expériences précoces de maladies ou de vie avec des malades, et la perte de proches
- Le style d’attachement à l’âge adulte (attachement anxieux et rigide)
- Culture
- Classe socioéconomique : une atteint préférentielle chez les classes faibles (défaut de verbalisation linguistique)
Facteurs PRÉDISPOSANTS
- Sociaux: Style d’attachement à l’âge adulte
- Facteurs développementaux : expérience infantile négative qui entraîne une vie dans une famille dysfonctionnelle, de la maltraitance, des abus physiques et sexuels, expériences précoces de maladies ou de vie avec des malades, et la perte de proches
- Le style d’attachement à l’âge adulte (attachement anxieux et rigide)
- Culture
- Classe socioéconomique : une atteint préférentielle chez les classes faibles (défaut de verbalisation linguistique)
Facteurs PRÉDISPOSANTS
- Sociaux: Culture
- Facteurs développementaux : expérience infantile négative qui entraîne une vie dans une famille dysfonctionnelle, de la maltraitance, des abus physiques et sexuels, expériences précoces de maladies ou de vie avec des malades, et la perte de proches
- Le style d’attachement à l’âge adulte (attachement anxieux et rigide)
- Culture
- Classe socioéconomique : une atteint préférentielle chez les classes faibles (défaut de verbalisation linguistique)
Facteurs PRÉDISPOSANTS
- Sociaux: Classe socio-économique
- Facteurs développementaux : expérience infantile négative qui entraîne une vie dans une famille dysfonctionnelle, de la maltraitance, des abus physiques et sexuels, expériences précoces de maladies ou de vie avec des malades, et la perte de proches
- Le style d’attachement à l’âge adulte (attachement anxieux et rigide)
- Culture
- Classe socioéconomique : une atteint préférentielle chez les classes faibles (défaut de verbalisation linguistique)
Facteurs PRÉCIPITANTS
- Bio
- Psycho
- Sociaux
Facteurs PRÉCIPITANTS
- Biologique
- Traumatisme physique
- Incidents mineurs de santé
- Le stress est un facteur contributif au développement d’une somatisation, principalement via l’HHS et l’information sensorielle.
Facteurs PRÉCIPITANTS
- Biologique: Trauma
- Traumatisme physique
- Incidents mineurs de santé
- Le stress est un facteur contributif au développement d’une somatisation, principalement via l’HHS et l’information sensorielle.
Facteurs PRÉCIPITANTS
- Biologique: Santé
- Traumatisme physique
- Incidents mineurs de santé
- Le stress est un facteur contributif au développement d’une somatisation, principalement via l’HHS et l’information sensorielle.
Facteurs PRÉCIPITANTS
- Biologique: Stress
- Traumatisme physique
- Incidents mineurs de santé
- Le stress est un facteur contributif au développement d’une somatisation, principalement via l’HHS et l’information sensorielle.
Facteurs PRÉCIPITANTS
- Psychologique
- Difficulté au travail (aussi social)
- Facteurs émotionnels : principalement des facteurs reliés à la régulation émotionnelle. Alexithymie / style d’adaptation répressif / mode d’attachement insécure sont associés
- Deux stéréotypes de patient somatisant
- Refoulé / inhibé contrôlant / obsédé de son corps,
- Névrotique / hypersensible / histrionique / anxiété / dépression + plaintes dramatiques.
Facteurs PRÉCIPITANTS
- Psychologique: travail
- Difficulté au travail (aussi social)
- Facteurs émotionnels : principalement des facteurs reliés à la régulation émotionnelle. Alexithymie / style d’adaptation répressif / mode d’attachement insécure sont associés
- Deux stéréotypes de patient somatisant
- Refoulé / inhibé contrôlant / obsédé de son corps,
- Névrotique / hypersensible / histrionique / anxiété / dépression + plaintes dramatiques.
Facteurs PRÉCIPITANTS
- Psychologique: Facteurs émotionnels
- Difficulté au travail (aussi social)
- Facteurs émotionnels : principalement des facteurs reliés à la régulation émotionnelle. Alexithymie / style d’adaptation répressif / mode d’attachement insécure sont associés
- Deux stéréotypes de patient somatisant
- Refoulé / inhibé contrôlant / obsédé de son corps,
- Névrotique / hypersensible / histrionique / anxiété / dépression + plaintes dramatiques.
Facteurs PRÉCIPITANTS
- Psychologique: Stéréotypes de patients somatisants
- Difficulté au travail (aussi social)
- Facteurs émotionnels : principalement des facteurs reliés à la régulation émotionnelle. Alexithymie / style d’adaptation répressif / mode d’attachement insécure sont associés
-
Deux stéréotypes de patient somatisant
- Refoulé / inhibé contrôlant / obsédé de son corps,
- Névrotique / hypersensible / histrionique / anxiété / dépression + plaintes dramatiques.
Facteurs PRÉCIPITANTS
- Psychologique: Stéréotypes de patients somatisants - nommez-les
- Difficulté au travail (aussi social)
- Facteurs émotionnels : principalement des facteurs reliés à la régulation émotionnelle. Alexithymie / style d’adaptation répressif / mode d’attachement insécure sont associés
- Deux stéréotypes de patient somatisant
- Refoulé / inhibé contrôlant / obsédé de son corps,
- Névrotique / hypersensible / histrionique / anxiété / dépression + plaintes dramatiques.
Facteurs PRÉCIPITANTS
- Sociaux
- Tensions provoquées par des conflits familiaux
Facteurs PRÉCIPITANTS
- Sociaux: Tensions
- Tensions provoquées par des conflits familiaux
Facteurs PERPÉTUANTS
- Bio
- Psycho
- Sociaux
Facteurs PERPÉTUANTS
- Bio
- Facteurs cognitifs : l’installation et le maintien de la somatisation découlent du style cognitif et perceptuel.
- Des interférences inadaptées, des distorsions ou encore des croyances erronées sur la santé et le fonctionnement du corps peuvent être causales.
- La plupart évalueront négativement des Sx bénins (selles molles, urines puantes).
Facteurs PERPÉTUANTS
- Bio: facteurs cognitifs
- Facteurs cognitifs : l’installation et le maintien de la somatisation découlent du style cognitif et perceptuel.
- Des interférences inadaptées, des distorsions ou encore des croyances erronées sur la santé et le fonctionnement du corps peuvent être causales.
- La plupart évalueront négativement des Sx bénins (selles molles, urines puantes).
Facteurs PERPÉTUANTS
- Bio: somatisation
- Facteurs cognitifs : l’installation et le maintien de la somatisation découlent du style cognitif et perceptuel.
- Des interférences inadaptées, des distorsions ou encore des croyances erronées sur la santé et le fonctionnement du corps peuvent être causales.
- La plupart évalueront négativement des Sx bénins (selles molles, urines puantes).
Facteurs PERPÉTUANTS
- Bio: distorsions
- Facteurs cognitifs : l’installation et le maintien de la somatisation découlent du style cognitif et perceptuel.
- Des interférences inadaptées, des distorsions ou encore des croyances erronées sur la santé et le fonctionnement du corps peuvent être causales.
- La plupart évalueront négativement des Sx bénins (selles molles, urines puantes).
Facteurs PERPÉTUANTS
- Bio: facteurs cognitifs - impact sur perception
- Facteurs cognitifs : l’installation et le maintien de la somatisation découlent du style cognitif et perceptuel.
- Des interférences inadaptées, des distorsions ou encore des croyances erronées sur la santé et le fonctionnement du corps peuvent être causales.
- La plupart évalueront négativement des Sx bénins (selles molles, urines puantes).
Facteurs PERPÉTUANTS
- Psycho
- Troubles du sommeil, trouble dépressif et anxieux sont souvent comorbides.
- La douleur provoque l’insomnie, de la fatigue s’installe et amplifie la douleur ressentie.
- La dépression peut abaisser le seuil de la perception de la douleur.
- Le « rôle du malade » sociétaire (moins d’exigence de performance, mais plus de rétablissement) peut être adopté comme le mode normal du patient. Malgré des désavantages, il y a tout de même des gains à avoir ce rôle :
- Évitement de certaines activités
- Mobilise le soutien et la sympathie
- Maintien du partenaire dans un couple
- Évitement de punition/blâme
- La thérapie visera à minimiser ces gains
Facteurs PERPÉTUANTS
- Psycho: tr sommeil et tr dépressif
-
Troubles du sommeil, trouble dépressif et anxieux sont souvent comorbides.
- La douleur provoque l’insomnie, de la fatigue s’installe et amplifie la douleur ressentie.
- La dépression peut abaisser le seuil de la perception de la douleur.
- Le « rôle du malade » sociétaire (moins d’exigence de performance, mais plus de rétablissement) peut être adopté comme le mode normal du patient. Malgré des désavantages, il y a tout de même des gains à avoir ce rôle :
- Évitement de certaines activités
- Mobilise le soutien et la sympathie
- Maintien du partenaire dans un couple
- Évitement de punition/blâme
- La thérapie visera à minimiser ces gains
Facteurs PERPÉTUANTS
- Psycho: lien entre insomnie, douleur et dépression
-
Troubles du sommeil, trouble dépressif et anxieux sont souvent comorbides.
- La douleur provoque l’insomnie, de la fatigue s’installe et amplifie la douleur ressentie.
- La dépression peut abaisser le seuil de la perception de la douleur.
- Le « rôle du malade » sociétaire (moins d’exigence de performance, mais plus de rétablissement) peut être adopté comme le mode normal du patient. Malgré des désavantages, il y a tout de même des gains à avoir ce rôle :
- Évitement de certaines activités
- Mobilise le soutien et la sympathie
- Maintien du partenaire dans un couple
- Évitement de punition/blâme
- La thérapie visera à minimiser ces gains
Facteurs PERPÉTUANTS
- Psycho: rôle du malade sociétaire
- Troubles du sommeil, trouble dépressif et anxieux sont souvent comorbides.
- La douleur provoque l’insomnie, de la fatigue s’installe et amplifie la douleur ressentie.
- La dépression peut abaisser le seuil de la perception de la douleur.
-
Le « rôle du malade » sociétaire (moins d’exigence de performance, mais plus de rétablissement) peut être adopté comme le mode normal du patient. Malgré des désavantages, il y a tout de même des gains à avoir ce rôle :
- Évitement de certaines activités
- Mobilise le soutien et la sympathie
- Maintien du partenaire dans un couple
- Évitement de punition/blâme
- La thérapie visera à minimiser ces gains
Facteurs PERPÉTUANTS
- Psycho: bénéfices du rôle de malade
- Troubles du sommeil, trouble dépressif et anxieux sont souvent comorbides.
- La douleur provoque l’insomnie, de la fatigue s’installe et amplifie la douleur ressentie.
- La dépression peut abaisser le seuil de la perception de la douleur.
-
Le « rôle du malade » sociétaire (moins d’exigence de performance, mais plus de rétablissement) peut être adopté comme le mode normal du patient. Malgré des désavantages, il y a tout de même des gains à avoir ce rôle :
- Évitement de certaines activités
- Mobilise le soutien et la sympathie
- Maintien du partenaire dans un couple
- Évitement de punition/blâme
- La thérapie visera à minimiser ces gains
Facteurs PERPÉTUANTS
- Psycho: rôle de la thérapie dans le rôle du malade
- Troubles du sommeil, trouble dépressif et anxieux sont souvent comorbides.
- La douleur provoque l’insomnie, de la fatigue s’installe et amplifie la douleur ressentie.
- La dépression peut abaisser le seuil de la perception de la douleur.
- Le « rôle du malade » sociétaire (moins d’exigence de performance, mais plus de rétablissement) peut être adopté comme le mode normal du patient. Malgré des désavantages, il y a tout de même des gains à avoir ce rôle :
- Évitement de certaines activités
- Mobilise le soutien et la sympathie
- Maintien du partenaire dans un couple
- Évitement de punition/blâme
- La thérapie visera à minimiser ces gains
Facteurs PERPÉTUANTS
- Sociaux
- Surtout chez l’enfant, la somatisation peut être une manière de s’exprimer et devenir un mode privilégié de communication (dlr abdo pour éviter les abandons), ce qui traduit souvent des styles d’attachement insécure
- Chez la personne âgée, bien que la maladie soit fréquente, il est également fréquent de rencontrer des somatisations.
- À l’inverse, il faut faire attention aux changements « normaux » du vieillissement!
Facteurs PERPÉTUANTS
- Sociaux: chez qui?
- Surtout chez l’enfant, la somatisation peut être une manière de s’exprimer et devenir un mode privilégié de communication (dlr abdo pour éviter les abandons), ce qui traduit souvent des styles d’attachement insécure
-
Chez la personne âgée, bien que la maladie soit fréquente, il est également fréquent de rencontrer des somatisations.
- À l’inverse, il faut faire attention aux changements « normaux » du vieillissement!
Facteurs PERPÉTUANTS
- Sociaux: chez l’enfant
- Surtout chez l’enfant, la somatisation peut être une manière de s’exprimer et devenir un mode privilégié de communication (dlr abdo pour éviter les abandons), ce qui traduit souvent des styles d’attachement insécure
- Chez la personne âgée, bien que la maladie soit fréquente, il est également fréquent de rencontrer des somatisations.
- À l’inverse, il faut faire attention aux changements « normaux » du vieillissement!
Facteurs PERPÉTUANTS
- Sociaux: chez la personne âgée
- Surtout chez l’enfant, la somatisation peut être une manière de s’exprimer et devenir un mode privilégié de communication (dlr abdo pour éviter les abandons), ce qui traduit souvent des styles d’attachement insécure
-
Chez la personne âgée, bien que la maladie soit fréquente, il est également fréquent de rencontrer des somatisations.
- À l’inverse, il faut faire attention aux changements « normaux » du vieillissement!
Facteurs PERPÉTUANTS
- Sociaux: personne âgée - différencier de quoi?
- Surtout chez l’enfant, la somatisation peut être une manière de s’exprimer et devenir un mode privilégié de communication (dlr abdo pour éviter les abandons), ce qui traduit souvent des styles d’attachement insécure
- Chez la personne âgée, bien que la maladie soit fréquente, il est également fréquent de rencontrer des somatisations.
- À l’inverse, il faut faire attention aux changements « normaux » du vieillissement!
Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels
Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels
- Nommez les facteurs précipitants
- Événements de vie
- Stress non spécifique
- Maladie organique
- Tr dépressif et/ou anxieux
Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels
- Nommez les facteurs prédisposants
- Génétiques
- Apprentissage intrafamilial des conduites de maladie
- ATCD médicaux
- Maltraitance et traumatsimes
- Culture et classe sociale
- Personnalité
Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels
- Sensations somatiques
- d’origine physiologique ou pathologique
Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels
- conséquences des facteurs précipitants, précipitants et sensations somatiques
Interprétation des sensations corporelles comme symptômes (amplification somatique)
- Attention sélective du corps
- Attribution somatique
- Inquiétudes concernat la santé
Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels
- Amplification somatique
Interprétation des sensations corporelles comme symptômes (amplification somatique)
- Attention sélective du corps
- Attribution somatique
- Inquiétudes concernat la santé
Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels
- Nommez les facteurs biologiques et comportementaux perpétuants
- Manifestation physiologiques de l’émotion
- Hyperventilation
- Hyperalgésie
- Déconditionnement musculaire
- Troubles du sommeil
- Recherche de réassurance
Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels
- conséquences
- Recherche de soins
- Symptômes chroniques
- Invalidité
Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels
- Nommez les facteurs psychosociaux perpétuants
- Renforcement du rôle de malade par la famille et les proches
- Dépression et anxiété
- Iatrogénique
- Systèmes de compensation (gains secondaires)
- Conflits avec les organismes administratif
V ou F: Aucun facteur biologique ou génétique n’a été encore proposé dans l’étiologie du trouble à symptomatologie somatique
- Faux, voir image
Exemples explications de sx somatiques inexpliqués dans différentes cultures
- Le « mauvais œil » → bassin méditerranéen
- Vaudou → Antilles
- Possession démoniaque → Chrétienté
Exemples explications de sx somatiques inexpliqués dans différentes cultures
- mauvais oeil
- Le « mauvais œil » → bassin méditerranéen
- Vaudou → Antilles
- Possession démoniaque → Chrétienté
Exemples explications de sx somatiques inexpliqués dans différentes cultures
- vaudou
- Le « mauvais œil » → bassin méditerranéen
- Vaudou → Antilles
- Possession démoniaque → Chrétienté
Exemples explications de sx somatiques inexpliqués dans différentes cultures
- possession démoniaque
- Le « mauvais œil » → bassin méditerranéen
- Vaudou → Antilles
- Possession démoniaque → Chrétienté
Type de personnalité associé aux tr lié à la somatisation
- Au niveau de l’étiologie, aucun.
- On observe les trois troubles et aucun spécifique n’y semble associé.
- On a précédemment cru à l’hystérie pour la conversion (Freud) puis les traits obsessionnels pour l’hypocondriaque.
- Par contre, au niveau des comorbidités entraînant des dysfonctionnements, les plus marqués sont les personnalités évitante, paranoïde et obsessionnelle-compulsive.
Type de personnalité associé aux tr lié à la somatisation
- Étiologie
- Au niveau de l’étiologie, aucun.
- On observe les trois troubles et aucun spécifique n’y semble associé.
- On a précédemment cru à l’hystérie pour la conversion (Freud) puis les traits obsessionnels pour l’hypocondriaque.
- Par contre, au niveau des comorbidités entraînant des dysfonctionnements, les plus marqués sont les personnalités évitante, paranoïde et obsessionnelle-compulsive.
Type de personnalité associé aux tr lié à la somatisation
- Nommez les types de personnalité associés
- Au niveau de l’étiologie, aucun.
- On observe les trois troubles et aucun spécifique n’y semble associé.
- On a précédemment cru à l’hystérie pour la conversion (Freud) puis les traits obsessionnels pour l’hypocondriaque.
- Par contre, au niveau des comorbidités entraînant des dysfonctionnements, les plus marqués sont les personnalités évitante, paranoïde et obsessionnelle-compulsive.
Conversion: Types de symptômes
- Moteurs
- Systémiques
- Sensoriels
Conversion: Types de sx
- Moteurs: nommez-les
Moteurs :
- Faiblesse / spasmes musculaires / paralysie / évanouissement
- Troubles du mouvement
- Troubles de la déglutition
- Symptômes reliés au langage
Conversion: Types de sx
- Systémiques: nommez-les
Systémiques :
- Pseudo-convulsions / syncope
- Symptômes cognitifs
- Amnésie / état de transe ou de possession
Conversion: Types de sx
- Sensoriels: nommez-les
Sensoriels :
- Paresthésies
- Anesthésies
- Étourdissements
- Déficits visuels / olfactifs / auditifs
Belle indifférence
- Un terme du Kaplan
- La belle indifférence est évoquée lorsque le patient ne semble pas émotionnellement affecté par la gravité d’une condition aiguë / d’un symptômes.
- Longtemps jugée pathognomonique de la conversion, elle n’est plus jugée essentielle, car on peut la retrouver dans différentes affections PSY ou neuro (ex. anosognosie, conversion post-AVC, paralysies…)
Belle indifférence: C’est quoi?
- Un terme du Kaplan
- La belle indifférence est évoquée lorsque le patient ne semble pas émotionnellement affecté par la gravité d’une condition aiguë / d’un symptômes.
- Longtemps jugée pathognomonique de la conversion, elle n’est plus jugée essentielle, car on peut la retrouver dans différentes affections PSY ou neuro (ex. anosognosie, conversion post-AVC, paralysies…)
Belle indifférence: Définir
- Un terme du Kaplan
- La belle indifférence est évoquée lorsque le patient ne semble pas émotionnellement affecté par la gravité d’une condition aiguë / d’un symptômes.
- Longtemps jugée pathognomonique de la conversion, elle n’est plus jugée essentielle, car on peut la retrouver dans différentes affections PSY ou neuro (ex. anosognosie, conversion post-AVC, paralysies…)
Belle indifférence: Pathognomonique
- Un terme du Kaplan
- La belle indifférence est évoquée lorsque le patient ne semble pas émotionnellement affecté par la gravité d’une condition aiguë / d’un symptômes.
- Longtemps jugée pathognomonique de la conversion, elle n’est plus jugée essentielle, car on peut la retrouver dans différentes affections PSY ou neuro (ex. anosognosie, conversion post-AVC, paralysies…)
Bénéfice: Primaire VS secondaire
- les différencier
- Primaire : protection du rôle de malade et celui-ci profite ainsi de certains privilèges (soins et services) et est exempté de plusieurs responsabilités, à condition qu’il veuille retrouver son état de santé.
- Bref : Offrir un environnement de soins dans le but de recouvrer la santé.
- Secondaire : obtention de bénéfices secondaires (privilèges et fuite de certaines responsabilités) en adoptant un comportement de malade que l’on qualifie d’anormal (perpétuation du rôle de malade).
Bénéfice: Primaire VS secondaire
- définir: bénéfice primaire
-
Primaire : protection du rôle de malade et celui-ci profite ainsi de certains privilèges (soins et services) et est exempté de plusieurs responsabilités, à condition qu’il veuille retrouver son état de santé.
- Bref : Offrir un environnement de soins dans le but de recouvrer la santé.
- Secondaire : obtention de bénéfices secondaires (privilèges et fuite de certaines responsabilités) en adoptant un comportement de malade que l’on qualifie d’anormal (perpétuation du rôle de malade).
Bénéfice: Primaire VS secondaire
- bénéfice primaire: bref
- Primaire : protection du rôle de malade et celui-ci profite ainsi de certains privilèges (soins et services) et est exempté de plusieurs responsabilités, à condition qu’il veuille retrouver son état de santé.
- Bref : Offrir un environnement de soins dans le but de recouvrer la santé.
- Secondaire : obtention de bénéfices secondaires (privilèges et fuite de certaines responsabilités) en adoptant un comportement de malade que l’on qualifie d’anormal (perpétuation du rôle de malade).
Bénéfice: Primaire VS secondaire
- définir: bénéfice secondaire
- Primaire : protection du rôle de malade et celui-ci profite ainsi de certains privilèges (soins et services) et est exempté de plusieurs responsabilités, à condition qu’il veuille retrouver son état de santé.
- Bref : Offrir un environnement de soins dans le but de recouvrer la santé.
- Secondaire : obtention de bénéfices secondaires (privilèges et fuite de certaines responsabilités) en adoptant un comportement de malade que l’on qualifie d’anormal (perpétuation du rôle de malade).
Facteurs contribuant à la chronicité des symptômes de somatisation
- nommez-les
- Litige administratif
- Attente d’une compensation
- Croyances liées à une attribution somatique
Vrai ou faux : La personne souffrant du trouble « crainte excessive d’avoir une maladie » répond habituellement rapidement à une intervention de nature psychologique visant à rassurer. Justifiez.
- Faux, la personne est difficile à rassurer et le patient demeure préoccupé, même si les résultats sont normaux.
- Ceci le porte à être hypervigilant et à surveiller ses signes corporels de façon excessive.
Tr crainte excessive d’avoir une maladie: Réponse à psychothérapie servant à le rassurer
- La personne est difficile à rassurer et le patient demeure préoccupé, même si les résultats sont normaux.
- Ceci le porte à être hypervigilant et à surveiller ses signes corporels de façon excessive.
Somatisation: Types de facteurs pouvant précipiter les sx de somatisation
Voir schéma ci-haut expliquant les différentes étiologies et leurs interactions entre elles
Catégories diagnostiques de la symptomatologie somatique: Nommez-les
- Trouble à symptomatologie somatique (DSM-5)
- Troubles somatoformes (DSM-IV-TR)
- Troubles somatoformes et autres (CIM-10)
Catégories diagnostiques de la symptomatologie somatique: Tr à symptomatologie somatique (DSM-5)
- Trouble à symptomatologie somatique
- Crainte excessive d’avoir une maladie
- Conversion (trouble à symptomatologie neurologique fonctionnelle)
- Autres troubles spécifiés à symptomatologie somatique
- Troubles non spécifiés à symptomatologie somatique
- Facteurs psychologiques influençant une affection médicale
- Trouble factice
- Obsession d’une dysmorphie corporelle
Catégories diagnostiques de la symptomatologie somatique: Tr à symptomatologie somatique (DSM-5)
- nommez-les
- Trouble à symptomatologie somatique
- Crainte excessive d’avoir une maladie
- Conversion (trouble à symptomatologie neurologique fonctionnelle)
- Autres troubles spécifiés à symptomatologie somatique
- Troubles non spécifiés à symptomatologie somatique
- Facteurs psychologiques influençant une affection médicale
- Trouble factice
- Obsession d’une dysmorphie corporelle
Catégories diagnostiques de la symptomatologie somatique: Tr somatoformes (DSM-IV-TR)
- Trouble de somatisation
- Trouble somatoforme indifférencié
- Trouble douloureux
- Hypocondrie (avec symptômes somatiques)
- Hypocondrie (sans symptômes somatiques prédominants)
- Trouble de conversion
- Trouble somatoforme non spécifié
- Catégorie incluse dans « autres conditions d’intérêt clinique »
- Catégorie spécifique non incluse dans les troubles somatoformes
- Trouble dysmorphique corporel
Catégories diagnostiques de la symptomatologie somatique: Tr somatoformes (DSM-IV-TR)
- nommez-les
- Trouble de somatisation
- Trouble somatoforme indifférencié
- Trouble douloureux
- Hypocondrie (avec symptômes somatiques)
- Hypocondrie (sans symptômes somatiques prédominants)
- Trouble de conversion
- Trouble somatoforme non spécifié
- Catégorie incluse dans « autres conditions d’intérêt clinique »
- Catégorie spécifique non incluse dans les troubles somatoformes
- Trouble dysmorphique corporel
Catégories diagnostiques de la symptomatologie somatique: Tr somatoformes et autres (CIM-10)
- Somatisation
- Trouble somatoforme indifférencié
- Syndrome douloureux somatoforme persistant
- Trouble hypocondriaque
- Trouble hypocondriaque (nosophobie)
- Troubles dissociatifs (de conversion)
- Troubles dissociatifs de la motricité et des organes de sens
- Troubles moteurs dissociatifs
- Convulsions dissociatives
- Anesthésie dissociative et atteintes sensorielles
- Troubles dissociatifs (de conversion) mixtes
- Autres troubles dissociatifs (de conversion)
- Troubles dissociatifs (de conversion) sans précision
- Autres troubles somatoformes
- Trouble somatoforme sans précision
- Production intentionnelle ou simulation de symptômes ou d’incapacités, soit physiques, soit psychologiques (trouble factice)
- Peur d’une dysmorphie corporelle
Catégories diagnostiques de la symptomatologie somatique: Tr somatoformes et autres (CIM-10)
- nommez-les
- Somatisation
- Trouble somatoforme indifférencié
- Syndrome douloureux somatoforme persistant
- Trouble hypocondriaque
- Trouble hypocondriaque (nosophobie)
- Troubles dissociatifs (de conversion)
- Troubles dissociatifs de la motricité et des organes de sens
- Troubles moteurs dissociatifs
- Convulsions dissociatives
- Anesthésie dissociative et atteintes sensorielles
- Troubles dissociatifs (de conversion) mixtes
- Autres troubles dissociatifs (de conversion)
- Troubles dissociatifs (de conversion) sans précision
- Autres troubles somatoformes
- Trouble somatoforme sans précision
- Production intentionnelle ou simulation de symptômes ou d’incapacités, soit physiques, soit psychologiques (trouble factice)
- Peur d’une dysmorphie corporelle
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- A. Un ou plusieurs symptômes somatiques causes de détresse ou entraînant une altération significative de la vie quotidienne.
- B. Pensées, sentiments ou comportements excessifs liés aux symptômes somatiques ou associés à des préoccupations sur la santé suscitées par ces symptômes, se manifestant par au moins un des symptômes suivants :
- 1.Pensées persistantes et excessives concernant la gravité de ses symptômes.
- 2.Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes.
- 3.Temps et énergie excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé.
- C. Bien qu’un symptôme spécifique puisse ne pas être continuellement présent, l’état symptomatique est durable (typiquement plus de 6 mois).
- Spécifier si :
- Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
- Spécifier si :
- Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
- Spécifier la sévérité actuelle :
- Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
- Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
- Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- c’est quoi?
- A. Un ou plusieurs symptômes somatiques causes de détresse ou entraînant une altération significative de la vie quotidienne.
- B. Pensées, sentiments ou comportements excessifs liés aux symptômes somatiques ou associés à des préoccupations sur la santé suscitées par ces symptômes, se manifestant par au moins un des symptômes suivants :
- 1.Pensées persistantes et excessives concernant la gravité de ses symptômes.
- 2.Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes.
- 3.Temps et énergie excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé.
- C. Bien qu’un symptôme spécifique puisse ne pas être continuellement présent, l’état symptomatique est durable (typiquement plus de 6 mois).
- Spécifier si :
- Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
- Spécifier si :
- Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
- Spécifier la sévérité actuelle :
- Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
- Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
- Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- nb de sx nécessaires
- A. Un ou plusieurs symptômes somatiques causes de détresse ou entraînant une altération significative de la vie quotidienne.
- B. Pensées, sentiments ou comportements excessifs liés aux symptômes somatiques ou associés à des préoccupations sur la santé suscitées par ces symptômes, se manifestant par au moins un des symptômes suivants :
- 1.Pensées persistantes et excessives concernant la gravité de ses symptômes.
- 2.Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes.
- 3.Temps et énergie excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé.
- C. Bien qu’un symptôme spécifique puisse ne pas être continuellement présent, l’état symptomatique est durable (typiquement plus de 6 mois).
- Spécifier si :
- Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
- Spécifier si :
- Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
- Spécifier la sévérité actuelle :
- Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
- Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
- Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- impacts
- A. Un ou plusieurs symptômes somatiques causes de détresse ou entraînant une altération significative de la vie quotidienne.
- B. Pensées, sentiments ou comportements excessifs liés aux symptômes somatiques ou associés à des préoccupations sur la santé suscitées par ces symptômes, se manifestant par au moins un des symptômes suivants :
- 1.Pensées persistantes et excessives concernant la gravité de ses symptômes.
- 2.Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes.
- 3.Temps et énergie excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé.
- C. Bien qu’un symptôme spécifique puisse ne pas être continuellement présent, l’état symptomatique est durable (typiquement plus de 6 mois).
- Spécifier si :
- Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
- Spécifier si :
- Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
- Spécifier la sévérité actuelle :
- Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
- Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
- Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- nommez les symptômes
- A. Un ou plusieurs symptômes somatiques causes de détresse ou entraînant une altération significative de la vie quotidienne.
- B. Pensées, sentiments ou comportements excessifs liés aux symptômes somatiques ou associés à des préoccupations sur la santé suscitées par ces symptômes, se manifestant par au moins un des symptômes suivants :
- 1.Pensées persistantes et excessives concernant la gravité de ses symptômes.
- 2.Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes.
- 3.Temps et énergie excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé.
- C. Bien qu’un symptôme spécifique puisse ne pas être continuellement présent, l’état symptomatique est durable (typiquement plus de 6 mois).
- Spécifier si :
- Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
- Spécifier si :
- Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
- Spécifier la sévérité actuelle :
- Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
- Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
- Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- durée
- A. Un ou plusieurs symptômes somatiques causes de détresse ou entraînant une altération significative de la vie quotidienne.
- B. Pensées, sentiments ou comportements excessifs liés aux symptômes somatiques ou associés à des préoccupations sur la santé suscitées par ces symptômes, se manifestant par au moins un des symptômes suivants :
- 1.Pensées persistantes et excessives concernant la gravité de ses symptômes.
- 2.Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes.
- 3.Temps et énergie excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé.
- C. Bien qu’un symptôme spécifique puisse ne pas être continuellement présent, l’état symptomatique est durable (typiquement plus de 6 mois).
- Spécifier si :
- Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
- Spécifier si :
- Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
- Spécifier la sévérité actuelle :
- Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
- Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
- Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- spécifications
- Spécifier si :
- Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
- Spécifier si :
- Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
- Spécifier la sévérité actuelle :
- Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
- Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
- Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- spécifications: douleur dominante
-
Spécifier si :
- Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
- Spécifier si :
- Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
- Spécifier la sévérité actuelle :
- Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
- Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
- Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- spécifications: chronique
- Spécifier si :
- Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
-
Spécifier si :
- Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
- Spécifier la sévérité actuelle :
- Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
- Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
- Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- spécifications: sévérité
- Spécifier si :
- Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
- Spécifier si :
- Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
-
Spécifier la sévérité actuelle :
- Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
- Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
- Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- spécifications: sévérité - légère
- Spécifier si :
- Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
- Spécifier si :
- Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
-
Spécifier la sévérité actuelle :
- Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
- Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
- Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- spécifications: sévérité - moyenne
- Spécifier si :
- Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
- Spécifier si :
- Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
-
Spécifier la sévérité actuelle :
- Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
- Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
- Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- spécifications: sévérité - grave
- Spécifier si :
- Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur.
- Spécifier si :
- Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois).
- Spécifier la sévérité actuelle :
- Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent.
- Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents.
- Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques
- A. Préoccupation concernant le fait d’avoir ou de développer une maladie grave.
- B. Les symptômes somatiques sont absents ou s’ils sont présents, ils sont d’intensité mineure. Si un autre problème médical est présent ou en cas de risque notable de développement d’une affection médicale (p. ex., du fait de la présence d’antécédents familiaux importants), la préoccupation est clairement excessive ou disproportionnée.
- C. Il existe un degré important d’anxiété concernant la santé et la personne s’inquiète facilement de son état de santé personnel.
- D. La personne présente des comportements excessifs par rapport à sa santé (p. ex., effectue des vérifications répétées de son corps à la recherche des signes d’une maladie) ou présente un évitement inadapté (p. ex., évite les rendez-vous médicaux et les hôpitaux).
- E. Les préoccupations concernant la maladie sont présentes depuis au moins 6 mois mais la nature de la maladie qui est spécifiquement anticipée peut avoir changé durant cette période de temps.
- F. La préoccupation relative aux maladies n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental tel que :
- un trouble à symptomatologie somatique,
- un trouble panique,
- une anxiété généralisée,
- une obsession de dysmorphie corporelle,
- un trouble obsessionnel-compulsif,
- un trouble délirant à type somatique.
- Spécifier le type :
- À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente.
- À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques
- c’est quoi?
- A. Préoccupation concernant le fait d’avoir ou de développer une maladie grave.
- B. Les symptômes somatiques sont absents ou s’ils sont présents, ils sont d’intensité mineure. Si un autre problème médical est présent ou en cas de risque notable de développement d’une affection médicale (p. ex., du fait de la présence d’antécédents familiaux importants), la préoccupation est clairement excessive ou disproportionnée.
- C. Il existe un degré important d’anxiété concernant la santé et la personne s’inquiète facilement de son état de santé personnel.
- D. La personne présente des comportements excessifs par rapport à sa santé (p. ex., effectue des vérifications répétées de son corps à la recherche des signes d’une maladie) ou présente un évitement inadapté (p. ex., évite les rendez-vous médicaux et les hôpitaux).
- E. Les préoccupations concernant la maladie sont présentes depuis au moins 6 mois mais la nature de la maladie qui est spécifiquement anticipée peut avoir changé durant cette période de temps.
- F. La préoccupation relative aux maladies n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental tel que :
- un trouble à symptomatologie somatique,
- un trouble panique,
- une anxiété généralisée,
- une obsession de dysmorphie corporelle,
- un trouble obsessionnel-compulsif,
- un trouble délirant à type somatique.
- Spécifier le type :
- À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente.
- À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques
- symptômes somatiques
- A. Préoccupation concernant le fait d’avoir ou de développer une maladie grave.
- B. Les symptômes somatiques sont absents ou s’ils sont présents, ils sont d’intensité mineure. Si un autre problème médical est présent ou en cas de risque notable de développement d’une affection médicale (p. ex., du fait de la présence d’antécédents familiaux importants), la préoccupation est clairement excessive ou disproportionnée.
- C. Il existe un degré important d’anxiété concernant la santé et la personne s’inquiète facilement de son état de santé personnel.
- D. La personne présente des comportements excessifs par rapport à sa santé (p. ex., effectue des vérifications répétées de son corps à la recherche des signes d’une maladie) ou présente un évitement inadapté (p. ex., évite les rendez-vous médicaux et les hôpitaux).
- E. Les préoccupations concernant la maladie sont présentes depuis au moins 6 mois mais la nature de la maladie qui est spécifiquement anticipée peut avoir changé durant cette période de temps.
- F. La préoccupation relative aux maladies n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental tel que :
- un trouble à symptomatologie somatique,
- un trouble panique,
- une anxiété généralisée,
- une obsession de dysmorphie corporelle,
- un trouble obsessionnel-compulsif,
- un trouble délirant à type somatique.
- Spécifier le type :
- À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente.
- À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques
- si autre problème médical présent
- A. Préoccupation concernant le fait d’avoir ou de développer une maladie grave.
- B. Les symptômes somatiques sont absents ou s’ils sont présents, ils sont d’intensité mineure. Si un autre problème médical est présent ou en cas de risque notable de développement d’une affection médicale (p. ex., du fait de la présence d’antécédents familiaux importants), la préoccupation est clairement excessive ou disproportionnée.
- C. Il existe un degré important d’anxiété concernant la santé et la personne s’inquiète facilement de son état de santé personnel.
- D. La personne présente des comportements excessifs par rapport à sa santé (p. ex., effectue des vérifications répétées de son corps à la recherche des signes d’une maladie) ou présente un évitement inadapté (p. ex., évite les rendez-vous médicaux et les hôpitaux).
- E. Les préoccupations concernant la maladie sont présentes depuis au moins 6 mois mais la nature de la maladie qui est spécifiquement anticipée peut avoir changé durant cette période de temps.
- F. La préoccupation relative aux maladies n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental tel que :
- un trouble à symptomatologie somatique,
- un trouble panique,
- une anxiété généralisée,
- une obsession de dysmorphie corporelle,
- un trouble obsessionnel-compulsif,
- un trouble délirant à type somatique.
- Spécifier le type :
- À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente.
- À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques
- anxiété
- A. Préoccupation concernant le fait d’avoir ou de développer une maladie grave.
- B. Les symptômes somatiques sont absents ou s’ils sont présents, ils sont d’intensité mineure. Si un autre problème médical est présent ou en cas de risque notable de développement d’une affection médicale (p. ex., du fait de la présence d’antécédents familiaux importants), la préoccupation est clairement excessive ou disproportionnée.
- C. Il existe un degré important d’anxiété concernant la santé et la personne s’inquiète facilement de son état de santé personnel.
- D. La personne présente des comportements excessifs par rapport à sa santé (p. ex., effectue des vérifications répétées de son corps à la recherche des signes d’une maladie) ou présente un évitement inadapté (p. ex., évite les rendez-vous médicaux et les hôpitaux).
- E. Les préoccupations concernant la maladie sont présentes depuis au moins 6 mois mais la nature de la maladie qui est spécifiquement anticipée peut avoir changé durant cette période de temps.
- F. La préoccupation relative aux maladies n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental tel que :
- un trouble à symptomatologie somatique,
- un trouble panique,
- une anxiété généralisée,
- une obsession de dysmorphie corporelle,
- un trouble obsessionnel-compulsif,
- un trouble délirant à type somatique.
- Spécifier le type :
- À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente.
- À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques
- impacts
- A. Préoccupation concernant le fait d’avoir ou de développer une maladie grave.
- B. Les symptômes somatiques sont absents ou s’ils sont présents, ils sont d’intensité mineure. Si un autre problème médical est présent ou en cas de risque notable de développement d’une affection médicale (p. ex., du fait de la présence d’antécédents familiaux importants), la préoccupation est clairement excessive ou disproportionnée.
- C. Il existe un degré important d’anxiété concernant la santé et la personne s’inquiète facilement de son état de santé personnel.
- D. La personne présente des comportements excessifs par rapport à sa santé (p. ex., effectue des vérifications répétées de son corps à la recherche des signes d’une maladie) ou présente un évitement inadapté (p. ex., évite les rendez-vous médicaux et les hôpitaux).
- E. Les préoccupations concernant la maladie sont présentes depuis au moins 6 mois mais la nature de la maladie qui est spécifiquement anticipée peut avoir changé durant cette période de temps.
- F. La préoccupation relative aux maladies n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental tel que :
- un trouble à symptomatologie somatique,
- un trouble panique,
- une anxiété généralisée,
- une obsession de dysmorphie corporelle,
- un trouble obsessionnel-compulsif,
- un trouble délirant à type somatique.
- Spécifier le type :
- À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente.
- À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques
- durée
- A. Préoccupation concernant le fait d’avoir ou de développer une maladie grave.
- B. Les symptômes somatiques sont absents ou s’ils sont présents, ils sont d’intensité mineure. Si un autre problème médical est présent ou en cas de risque notable de développement d’une affection médicale (p. ex., du fait de la présence d’antécédents familiaux importants), la préoccupation est clairement excessive ou disproportionnée.
- C. Il existe un degré important d’anxiété concernant la santé et la personne s’inquiète facilement de son état de santé personnel.
- D. La personne présente des comportements excessifs par rapport à sa santé (p. ex., effectue des vérifications répétées de son corps à la recherche des signes d’une maladie) ou présente un évitement inadapté (p. ex., évite les rendez-vous médicaux et les hôpitaux).
- E. Les préoccupations concernant la maladie sont présentes depuis au moins 6 mois mais la nature de la maladie qui est spécifiquement anticipée peut avoir changé durant cette période de temps.
- F. La préoccupation relative aux maladies n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental tel que :
- un trouble à symptomatologie somatique,
- un trouble panique,
- une anxiété généralisée,
- une obsession de dysmorphie corporelle,
- un trouble obsessionnel-compulsif,
- un trouble délirant à type somatique.
- Spécifier le type :
- À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente.
- À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques
- exclure quoi?
- A. Préoccupation concernant le fait d’avoir ou de développer une maladie grave.
- B. Les symptômes somatiques sont absents ou s’ils sont présents, ils sont d’intensité mineure. Si un autre problème médical est présent ou en cas de risque notable de développement d’une affection médicale (p. ex., du fait de la présence d’antécédents familiaux importants), la préoccupation est clairement excessive ou disproportionnée.
- C. Il existe un degré important d’anxiété concernant la santé et la personne s’inquiète facilement de son état de santé personnel.
- D. La personne présente des comportements excessifs par rapport à sa santé (p. ex., effectue des vérifications répétées de son corps à la recherche des signes d’une maladie) ou présente un évitement inadapté (p. ex., évite les rendez-vous médicaux et les hôpitaux).
- E. Les préoccupations concernant la maladie sont présentes depuis au moins 6 mois mais la nature de la maladie qui est spécifiquement anticipée peut avoir changé durant cette période de temps.
- F. La préoccupation relative aux maladies n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental tel que :
- un trouble à symptomatologie somatique,
- un trouble panique,
- une anxiété généralisée,
- une obsession de dysmorphie corporelle,
- un trouble obsessionnel-compulsif,
- un trouble délirant à type somatique.
- Spécifier le type :
- À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente.
- À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques
- spécifications
- Spécifier le type :
- À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente.
- À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques
- spécifications: types
- Spécifier le type :
- À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente.
- À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques
- spécifications: type demande de soins
- Spécifier le type :
- À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente.
- À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques
- spécifications: type évitant les soins
- Spécifier le type :
- À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente.
- À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
Trouble de conversion: Synonyme
Trouble à symptomatologie neurologique fonctionnelle
Tr de conversion: Critères diagnostiques
- A. Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles.
- B. Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnue.
- C. Les symptômes ou les handicaps ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble médical ou mental.
- D. Le symptôme ou le handicap entraîne une détresse ou une altération cliniquement signicative dans le domaine du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, ou nécessite une évaluation médicale.
- Spécifier le type de symptôme :
- Avec faiblesse ou paralysie
- Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche)
- Avec des symptômes de déglutition
- Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation)
- Avec attaques ou crises épileptiformes
- Avec anesthésie ou perte sensorielle
- Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition)
- Avec symptômes associés
- Spécifier si :
- Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois.
- Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus.
- Spécifier si :
- Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress)
- Sans facteur de stress psychologique
Tr de conversion: Critères diagnostiques
- c’est quoi?
- A. Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles.
- B. Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnue.
- C. Les symptômes ou les handicaps ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble médical ou mental.
- D. Le symptôme ou le handicap entraîne une détresse ou une altération cliniquement signicative dans le domaine du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, ou nécessite une évaluation médicale.
- Spécifier le type de symptôme :
- Avec faiblesse ou paralysie
- Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche)
- Avec des symptômes de déglutition
- Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation)
- Avec attaques ou crises épileptiformes
- Avec anesthésie ou perte sensorielle
- Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition)
- Avec symptômes associés
- Spécifier si :
- Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois.
- Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus.
- Spécifier si :
- Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress)
- Sans facteur de stress psychologique
Tr de conversion: Critères diagnostiques
- nb de symptômes
- A. Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles.
- B. Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnue.
- C. Les symptômes ou les handicaps ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble médical ou mental.
- D. Le symptôme ou le handicap entraîne une détresse ou une altération cliniquement signicative dans le domaine du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, ou nécessite une évaluation médicale.
- Spécifier le type de symptôme :
- Avec faiblesse ou paralysie
- Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche)
- Avec des symptômes de déglutition
- Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation)
- Avec attaques ou crises épileptiformes
- Avec anesthésie ou perte sensorielle
- Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition)
- Avec symptômes associés
- Spécifier si :
- Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois.
- Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus.
- Spécifier si :
- Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress)
- Sans facteur de stress psychologique
Tr de conversion: Critères diagnostiques
- type de symptômes
- A. Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles.
- B. Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnue.
- C. Les symptômes ou les handicaps ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble médical ou mental.
- D. Le symptôme ou le handicap entraîne une détresse ou une altération cliniquement signicative dans le domaine du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, ou nécessite une évaluation médicale.
- Spécifier le type de symptôme :
- Avec faiblesse ou paralysie
- Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche)
- Avec des symptômes de déglutition
- Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation)
- Avec attaques ou crises épileptiformes
- Avec anesthésie ou perte sensorielle
- Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition)
- Avec symptômes associés
- Spécifier si :
- Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois.
- Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus.
- Spécifier si :
- Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress)
- Sans facteur de stress psychologique
Tr de conversion: Critères diagnostiques
- ce que démontrent les données cliniques
- A. Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles.
- B. Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnue.
- C. Les symptômes ou les handicaps ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble médical ou mental.
- D. Le symptôme ou le handicap entraîne une détresse ou une altération cliniquement signicative dans le domaine du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, ou nécessite une évaluation médicale.
- Spécifier le type de symptôme :
- Avec faiblesse ou paralysie
- Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche)
- Avec des symptômes de déglutition
- Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation)
- Avec attaques ou crises épileptiformes
- Avec anesthésie ou perte sensorielle
- Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition)
- Avec symptômes associés
- Spécifier si :
- Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois.
- Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus.
- Spécifier si :
- Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress)
- Sans facteur de stress psychologique
Tr de conversion: Critères diagnostiques
- exclure quoi?
- A. Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles.
- B. Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnue.
- C. Les symptômes ou les handicaps ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble médical ou mental.
- D. Le symptôme ou le handicap entraîne une détresse ou une altération cliniquement signicative dans le domaine du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, ou nécessite une évaluation médicale.
- Spécifier le type de symptôme :
- Avec faiblesse ou paralysie
- Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche)
- Avec des symptômes de déglutition
- Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation)
- Avec attaques ou crises épileptiformes
- Avec anesthésie ou perte sensorielle
- Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition)
- Avec symptômes associés
- Spécifier si :
- Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois.
- Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus.
- Spécifier si :
- Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress)
- Sans facteur de stress psychologique
Tr de conversion: Critères diagnostiques
- impacts
- A. Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles.
- B. Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnue.
- C. Les symptômes ou les handicaps ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble médical ou mental.
- D. Le symptôme ou le handicap entraîne une détresse ou une altération cliniquement significative dans le domaine du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, ou nécessite une évaluation médicale.
- Spécifier le type de symptôme :
- Avec faiblesse ou paralysie
- Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche)
- Avec des symptômes de déglutition
- Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation)
- Avec attaques ou crises épileptiformes
- Avec anesthésie ou perte sensorielle
- Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition)
- Avec symptômes associés
- Spécifier si :
- Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois.
- Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus.
- Spécifier si :
- Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress)
- Sans facteur de stress psychologique
Tr de conversion: Critères
- spécifications
- Spécifier le type de symptôme :
- Avec faiblesse ou paralysie
- Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche)
- Avec des symptômes de déglutition
- Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation)
- Avec attaques ou crises épileptiformes
- Avec anesthésie ou perte sensorielle
- Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition)
- Avec symptômes associés
- Spécifier si :
- Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois.
- Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus.
- Spécifier si :
- Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress)
- Sans facteur de stress psychologique
Tr de conversion: Critères
- spécifications: types de symptômes
-
Spécifier le type de symptôme :
- Avec faiblesse ou paralysie
- Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche)
- Avec des symptômes de déglutition
- Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation)
- Avec attaques ou crises épileptiformes
- Avec anesthésie ou perte sensorielle
- Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition)
- Avec symptômes associés
- Spécifier si :
- Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois.
- Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus.
- Spécifier si :
- Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress)
- Sans facteur de stress psychologique
Tr de conversion: Critères
- spécifications: chronique vs aigu
- Spécifier le type de symptôme :
- Avec faiblesse ou paralysie
- Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche)
- Avec des symptômes de déglutition
- Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation)
- Avec attaques ou crises épileptiformes
- Avec anesthésie ou perte sensorielle
- Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition)
- Avec symptômes associés
-
Spécifier si :
- Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois.
- Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus.
- Spécifier si :
- Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress)
- Sans facteur de stress psychologique
Tr de conversion: Critères
- spécifications: facteur de stress
- Spécifier le type de symptôme :
- Avec faiblesse ou paralysie
- Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche)
- Avec des symptômes de déglutition
- Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation)
- Avec attaques ou crises épileptiformes
- Avec anesthésie ou perte sensorielle
- Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition)
- Avec symptômes associés
- Spécifier si :
- Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois.
- Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus.
-
Spécifier si :
- Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress)
- Sans facteur de stress psychologique
Autres tr spécifiés et non spécifiés à symptomatologie somatique
Cette catégorie s’applique aux présentations dans lesquelles des symptômes caractéristiques d’un trouble à symptomatologie somatique, entraînant une détresse significative ou un handicap social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, prédominent sans remplir toutefois l’ensemble des critères de l’un des troubles de cette classe.
Les exemples de présentations qui peuvent répondre au qualificatif de « autre trouble spécifié » comprennent les troubles suivants :
- A.Trouble à symptomatologie somatique, brève: Durée des symptômes de moins 6 mois.
- B.Crainte excessive d’avoir une maladie,brève : Durée des symptômes de moins 6 mois.
- C.Crainte excessive d’avoir une maladie,sans comportement excessif relatif à la santé : Le critère D de la crainte excessive d’avoir une maladie n’est pas rempli.
- D.Grossesse nerveuse (pseudocyèse): Conviction erronée d’être enceinte associée à des signes objectifs et des symptômes associés à la grossesse.
Autres tr spécifiés et non spécifiés à symptomatologie somatique
- définir
Cette catégorie s’applique aux présentations dans lesquelles des symptômes caractéristiques d’un trouble à symptomatologie somatique, entraînant une détresse significative ou un handicap social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, prédominent sans remplir toutefois l’ensemble des critères de l’un des troubles de cette classe.
Les exemples de présentations qui peuvent répondre au qualificatif de « autre trouble spécifié » comprennent les troubles suivants :
- A.Trouble à symptomatologie somatique, brève: Durée des symptômes de moins 6 mois.
- B.Crainte excessive d’avoir une maladie,brève : Durée des symptômes de moins 6 mois.
- C.Crainte excessive d’avoir une maladie,sans comportement excessif relatif à la santé : Le critère D de la crainte excessive d’avoir une maladie n’est pas rempli.
- D.Grossesse nerveuse (pseudocyèse): Conviction erronée d’être enceinte associée à des signes objectifs et des symptômes associés à la grossesse.
Autres tr spécifiés et non spécifiés à symptomatologie somatique
- impacts
Cette catégorie s’applique aux présentations dans lesquelles des symptômes caractéristiques d’un trouble à symptomatologie somatique, entraînant une détresse significative ou un handicap social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, prédominent sans remplir toutefois l’ensemble des critères de l’un des troubles de cette classe.
Les exemples de présentations qui peuvent répondre au qualificatif de « autre trouble spécifié » comprennent les troubles suivants :
- A.Trouble à symptomatologie somatique, brève: Durée des symptômes de moins 6 mois.
- B.Crainte excessive d’avoir une maladie,brève : Durée des symptômes de moins 6 mois.
- C.Crainte excessive d’avoir une maladie,sans comportement excessif relatif à la santé : Le critère D de la crainte excessive d’avoir une maladie n’est pas rempli.
- D.Grossesse nerveuse (pseudocyèse): Conviction erronée d’être enceinte associée à des signes objectifs et des symptômes associés à la grossesse.
Autres tr spécifiés et non spécifiés à symptomatologie somatique
- exemples de présentations
Cette catégorie s’applique aux présentations dans lesquelles des symptômes caractéristiques d’un trouble à symptomatologie somatique, entraînant une détresse significative ou un handicap social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, prédominent sans remplir toutefois l’ensemble des critères de l’un des troubles de cette classe.
Les exemples de présentations qui peuvent répondre au qualificatif de « autre trouble spécifié » comprennent les troubles suivants :
- A.Trouble à symptomatologie somatique, brève: Durée des symptômes de moins 6 mois.
- B.Crainte excessive d’avoir une maladie,brève : Durée des symptômes de moins 6 mois.
- C.Crainte excessive d’avoir une maladie,sans comportement excessif relatif à la santé : Le critère D de la crainte excessive d’avoir une maladie n’est pas rempli.
- D.Grossesse nerveuse (pseudocyèse): Conviction erronée d’être enceinte associée à des signes objectifs et des symptômes associés à la grossesse.
Autres tr spécifiés et non spécifiés à symptomatologie somatique
- exemples de présentations: tr à symptomatologie brève
Cette catégorie s’applique aux présentations dans lesquelles des symptômes caractéristiques d’un trouble à symptomatologie somatique, entraînant une détresse significative ou un handicap social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, prédominent sans remplir toutefois l’ensemble des critères de l’un des troubles de cette classe.
Les exemples de présentations qui peuvent répondre au qualificatif de « autre trouble spécifié » comprennent les troubles suivants :
- A.Trouble à symptomatologie somatique, brève: Durée des symptômes de moins 6 mois.
- B.Crainte excessive d’avoir une maladie,brève : Durée des symptômes de moins 6 mois.
- C.Crainte excessive d’avoir une maladie,sans comportement excessif relatif à la santé : Le critère D de la crainte excessive d’avoir une maladie n’est pas rempli.
- D.Grossesse nerveuse (pseudocyèse): Conviction erronée d’être enceinte associée à des signes objectifs et des symptômes associés à la grossesse.
Autres tr spécifiés et non spécifiés à symptomatologie somatique
- exemples de présentations: Crainte excessive d’avoir une maladie brève
Cette catégorie s’applique aux présentations dans lesquelles des symptômes caractéristiques d’un trouble à symptomatologie somatique, entraînant une détresse significative ou un handicap social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, prédominent sans remplir toutefois l’ensemble des critères de l’un des troubles de cette classe.
Les exemples de présentations qui peuvent répondre au qualificatif de « autre trouble spécifié » comprennent les troubles suivants :
- A.Trouble à symptomatologie somatique, brève: Durée des symptômes de moins 6 mois.
- B.Crainte excessive d’avoir une maladie,brève : Durée des symptômes de moins 6 mois.
- C.Crainte excessive d’avoir une maladie,sans comportement excessif relatif à la santé : Le critère D de la crainte excessive d’avoir une maladie n’est pas rempli.
- D.Grossesse nerveuse (pseudocyèse): Conviction erronée d’être enceinte associée à des signes objectifs et des symptômes associés à la grossesse.
Autres tr spécifiés et non spécifiés à symptomatologie somatique
- exemples de présentations: Crainte excessive d’avoir une maladie sans comportement excessif relatif à la santé
Cette catégorie s’applique aux présentations dans lesquelles des symptômes caractéristiques d’un trouble à symptomatologie somatique, entraînant une détresse significative ou un handicap social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, prédominent sans remplir toutefois l’ensemble des critères de l’un des troubles de cette classe.
Les exemples de présentations qui peuvent répondre au qualificatif de « autre trouble spécifié » comprennent les troubles suivants :
- A.Trouble à symptomatologie somatique, brève: Durée des symptômes de moins 6 mois.
- B.Crainte excessive d’avoir une maladie,brève : Durée des symptômes de moins 6 mois.
- C.Crainte excessive d’avoir une maladie,sans comportement excessif relatif à la santé : Le critère D de la crainte excessive d’avoir une maladie n’est pas rempli.
- D.Grossesse nerveuse (pseudocyèse): Conviction erronée d’être enceinte associée à des signes objectifs et des symptômes associés à la grossesse.
Autres tr spécifiés et non spécifiés à symptomatologie somatique
- exemples de présentations: Grossesse nerveuse (pseudocyèse)
Cette catégorie s’applique aux présentations dans lesquelles des symptômes caractéristiques d’un trouble à symptomatologie somatique, entraînant une détresse significative ou un handicap social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, prédominent sans remplir toutefois l’ensemble des critères de l’un des troubles de cette classe.
Les exemples de présentations qui peuvent répondre au qualificatif de « autre trouble spécifié » comprennent les troubles suivants :
- A.Trouble à symptomatologie somatique, brève: Durée des symptômes de moins 6 mois.
- B.Crainte excessive d’avoir une maladie,brève : Durée des symptômes de moins 6 mois.
- C.Crainte excessive d’avoir une maladie,sans comportement excessif relatif à la santé : Le critère D de la crainte excessive d’avoir une maladie n’est pas rempli.
- D.Grossesse nerveuse (pseudocyèse): Conviction erronée d’être enceinte associée à des signes objectifs et des symptômes associés à la grossesse.
TSS: Nom long
Trouble à symptomatologie somatoforme
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitements globaux
- L’aspect fondamental avec ce type de patient est l’alliance thérapeutique entre le patient et le médecin
- Approche générale globale
- Modèle de réattribution
- Traitement psychopharmacologique
- Activation physique
- Approches psychothérapeutiques spécifiques
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- aspect fondamental
- L’aspect fondamental avec ce type de patient est l’alliance thérapeutique entre le patient et le médecin
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Approche générale globale
Approche générale globale : le traitement des TSS requiert certaines habiletés thérapeutiques et des attitudes particulières de la part du médecin. Une bonne relation médecin-malade constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
La méthode d’évaluation est double :
- Déterminer la présence ou non d’une pathologie physique
- Acquérir une meilleure connaissance du malade, de ses perceptions et de ses préoccupations à l’égard de la maladie.
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Approche générale globale: meilleur outil
Approche générale globale : le traitement des TSS requiert certaines habiletés thérapeutiques et des attitudes particulières de la part du médecin. Une bonne relation médecin-malade constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
La méthode d’évaluation est double :
- Déterminer la présence ou non d’une pathologie physique
- Acquérir une meilleure connaissance du malade, de ses perceptions et de ses préoccupations à l’égard de la maladie.
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Approche générale globale: habiletés nécessaires
Approche générale globale : le traitement des TSS requiert certaines habiletés thérapeutiques et des attitudes particulières de la part du médecin. Une bonne relation médecin-malade constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
La méthode d’évaluation est double :
- Déterminer la présence ou non d’une pathologie physique
- Acquérir une meilleure connaissance du malade, de ses perceptions et de ses préoccupations à l’égard de la maladie.
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Approche générale globale: type de méthode d’évaluation
Approche générale globale : le traitement des TSS requiert certaines habiletés thérapeutiques et des attitudes particulières de la part du médecin. Une bonne relation médecin-malade constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
La méthode d’évaluation est double :
- Déterminer la présence ou non d’une pathologie physique
- Acquérir une meilleure connaissance du malade, de ses perceptions et de ses préoccupations à l’égard de la maladie.
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Approche générale globale: définir / décrire ce qu’est la méthode d’évaluation double
Approche générale globale : le traitement des TSS requiert certaines habiletés thérapeutiques et des attitudes particulières de la part du médecin. Une bonne relation médecin-malade constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
La méthode d’évaluation est double :
- Déterminer la présence ou non d’une pathologie physique
- Acquérir une meilleure connaissance du malade, de ses perceptions et de ses préoccupations à l’égard de la maladie.
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Objectif thérapeutique
- L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise.
- Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade.
- Dans ce sens, il faut :
- Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien)
- Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin.
- Identifier les traits ou les troubles de personnalité
- Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique
- Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés
- Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Objectif thérapeutique: nommez-les
- L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise.
- Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade.
- Dans ce sens, il faut :
- Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien)
- Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin.
- Identifier les traits ou les troubles de personnalité
- Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique
- Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés
- Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Objectif thérapeutique: ce qui limite les changements du malade
- L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise.
- Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade.
- Dans ce sens, il faut :
- Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien)
- Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin.
- Identifier les traits ou les troubles de personnalité
- Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique
- Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés
- Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Objectif thérapeutique: ce qui est conseillé de faire
- L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise.
- Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade.
-
Dans ce sens, il faut :
- Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien)
- Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin.
- Identifier les traits ou les troubles de personnalité
- Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique
- Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés
- Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Objectif thérapeutique: alliance thérapeutique
- L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise.
- Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade.
- Dans ce sens, il faut :
- Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien)
- Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin.
- Identifier les traits ou les troubles de personnalité
- Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique
- Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés
- Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Objectif thérapeutique: suivi
- L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise.
- Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade.
- Dans ce sens, il faut :
- Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien)
- Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin.
- Identifier les traits ou les troubles de personnalité
- Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique
- Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés
- Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Objectif thérapeutique: TP / traits de personnalité
- L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise.
- Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade.
- Dans ce sens, il faut :
- Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien)
- Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin.
- Identifier les traits ou les troubles de personnalité
- Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique
- Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés
- Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Objectif thérapeutique: Facteurs systémiques
- L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise.
- Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade.
- Dans ce sens, il faut :
- Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien)
- Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin.
- Identifier les traits ou les troubles de personnalité
- Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique
- Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés
- Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Objectif thérapeutique: comorbidités
- L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise.
- Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade.
- Dans ce sens, il faut :
- Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien)
- Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin.
- Identifier les traits ou les troubles de personnalité
- Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique
- Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés
- Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement
- Objectif thérapeutique: polypharmacie
- L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise.
- Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade.
- Dans ce sens, il faut :
- Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien)
- Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin.
- Identifier les traits ou les troubles de personnalité
- Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique
- Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés
- Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Modèle de réattribution
- Modèle de réattribution : approche thérapeutique qui se révèle la plus pertinente, particulièrement si le trouble n’est pas encore chronique depuis très longtemps.
- Elle est composée de 3 étapes et vise essentiellement à aider le patient à changer son style d’attribution de ses symptômes à une cause organique et à le remplacer par un modèle qui prend en compte l’ensemble des facteurs :
- 1.Créer un sentiment de compréhension
- 2.Prendre en considération la susceptibilité du patient.
- 3.Faire le lien. Il s’agit de donner une explication au malade pour donner un sens à ses malaises.
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Modèle de réattribution: définition
- Modèle de réattribution : approche thérapeutique qui se révèle la plus pertinente, particulièrement si le trouble n’est pas encore chronique depuis très longtemps.
- Elle est composée de 3 étapes et vise essentiellement à aider le patient à changer son style d’attribution de ses symptômes à une cause organique et à le remplacer par un modèle qui prend en compte l’ensemble des facteurs :
- 1.Créer un sentiment de compréhension
- 2.Prendre en considération la susceptibilité du patient.
- 3.Faire le lien. Il s’agit de donner une explication au malade pour donner un sens à ses malaises.
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Modèle de réattribution: objectifs
- Modèle de réattribution : approche thérapeutique qui se révèle la plus pertinente, particulièrement si le trouble n’est pas encore chronique depuis très longtemps.
- Elle est composée de 3 étapes et vise essentiellement à aider le patient à changer son style d’attribution de ses symptômes à une cause organique et à le remplacer par un modèle qui prend en compte l’ensemble des facteurs :
- 1.Créer un sentiment de compréhension
- 2.Prendre en considération la susceptibilité du patient.
- 3.Faire le lien. Il s’agit de donner une explication au malade pour donner un sens à ses malaises.
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Modèle de réattribution: étapes
- Modèle de réattribution : approche thérapeutique qui se révèle la plus pertinente, particulièrement si le trouble n’est pas encore chronique depuis très longtemps.
- Elle est composée de 3 étapes et vise essentiellement à aider le patient à changer son style d’attribution de ses symptômes à une cause organique et à le remplacer par un modèle qui prend en compte l’ensemble des facteurs :
- 1.Créer un sentiment de compréhension
- 2.Prendre en considération la susceptibilité du patient.
- 3.Faire le lien. Il s’agit de donner une explication au malade pour donner un sens à ses malaises.
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Modèle de réattribution: étapes - nommez-les
- Modèle de réattribution : approche thérapeutique qui se révèle la plus pertinente, particulièrement si le trouble n’est pas encore chronique depuis très longtemps.
- Elle est composée de 3 étapes et vise essentiellement à aider le patient à changer son style d’attribution de ses symptômes à une cause organique et à le remplacer par un modèle qui prend en compte l’ensemble des facteurs :
- 1.Créer un sentiment de compréhension
- 2.Prendre en considération la susceptibilité du patient.
- 3.Faire le lien. Il s’agit de donner une explication au malade pour donner un sens à ses malaises.
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Psychopharmacologique
- Traitement psychopharmacologique : il n’existe pas de pharmacothérapie spécifique pour le TSS.
- Si une maladie psychiatrique est comorbide, le TSS n’est pas une contre-indication à la traiter pharmacologiquement.
- Rappelons que les dépressions avec somatisation répondent moins bien au traitement antidépresseur.
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Psychopharmacologique: molécules spécifiques pour les TSS
- Traitement psychopharmacologique : il n’existe pas de pharmacothérapie spécifique pour le TSS.
- Si une maladie psychiatrique est comorbide, le TSS n’est pas une contre-indication à la traiter pharmacologiquement.
- Rappelons que les dépressions avec somatisation répondent moins bien au traitement antidépresseur.
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Psychopharmacologique: comorbidité
- Traitement psychopharmacologique : il n’existe pas de pharmacothérapie spécifique pour le TSS.
- Si une maladie psychiatrique est comorbide, le TSS n’est pas une contre-indication à la traiter pharmacologiquement.
- Rappelons que les dépressions avec somatisation répondent moins bien au traitement antidépresseur.
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Psychopharmacologique: réponse aux antidépresseurs si dépression avec TSS
- Traitement psychopharmacologique : il n’existe pas de pharmacothérapie spécifique pour le TSS.
- Si une maladie psychiatrique est comorbide, le TSS n’est pas une contre-indication à la traiter pharmacologiquement.
- Rappelons que les dépressions avec somatisation répondent moins bien au traitement antidépresseur.
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Activation physique
- Activation physique : dans les TSS chroniques, il est fréquent de rencontrer des états de déconditionnement physique important.
- L’exercice physique léger-modéré est reconnu efficace comme traitement adjuvant des états dépressifs et anxieux et aussi pour les affections organiques.
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Activation physique: son utilité
- Activation physique : dans les TSS chroniques, il est fréquent de rencontrer des états de déconditionnement physique important.
- L’exercice physique léger-modéré est reconnu efficace comme traitement adjuvant des états dépressifs et anxieux et aussi pour les affections organiques.
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Approches psychotx spécifiques
- Approches psychothérapeutiques spécifiques : globalement, on dit que les approches psychologiques ciblant les somatisations parviennent de façon modérée à réduire les symptômes physiques découlant des TSS.
- L’approche cognitivo-comportementale-affective est celle qui retient le plus l’attention.
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Approches psychotx spécifiques: ce qu’elles ciblent
- Approches psychothérapeutiques spécifiques : globalement, on dit que les approches psychologiques ciblant les somatisations parviennent de façon modérée à réduire les symptômes physiques découlant des TSS.
- L’approche cognitivo-comportementale-affective est celle qui retient le plus l’attention.
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx
- Approches psychotx spécifiques: TCC
- Approches psychothérapeutiques spécifiques : globalement, on dit que les approches psychologiques ciblant les somatisations parviennent de façon modérée à réduire les symptômes physiques découlant des TSS.
- L’approche cognitivo-comportementale-affective est celle qui retient le plus l’attention.
Fibromyalgie: Définir / décrire
- La fibromyalgie est aujourd’hui considérée comme une maladie chronique.
- Il consiste brièvement en des points douloureux à la pression et la coexistence de fatigue et de troubles de sommeil.
- Le seuil à la douleur serait plus bas et les sensibilités accentuées.
Fibromyalgie: Définir / décrire
- aigu ou chronique?
- La fibromyalgie est aujourd’hui considérée comme une maladie chronique.
- Il consiste brièvement en des points douloureux à la pression et la coexistence de fatigue et de troubles de sommeil.
- Le seuil à la douleur serait plus bas et les sensibilités accentuées.
Fibromyalgie: Définir / décrire
- c’est quoi?
- La fibromyalgie est aujourd’hui considérée comme une maladie chronique.
- Il consiste brièvement en des points douloureux à la pression et la coexistence de fatigue et de troubles de sommeil.
- Le seuil à la douleur serait plus bas et les sensibilités accentuées.
Fibromyalgie: Définir / décrire
- cause
- La fibromyalgie est aujourd’hui considérée comme une maladie chronique.
- Il consiste brièvement en des points douloureux à la pression et la coexistence de fatigue et de troubles de sommeil.
- Le seuil à la douleur serait plus bas et les sensibilités accentuées.
V ou F: Il n’existe aucun signe diagnostic pathognomonique ou de test diagnostic validé pour le syndrome de fatigue chronique.
- Vrai??
- Le syndrome de fatigue chronique ne fait pas partie des objectifs, et n’est pas traité comme section dans le Lalonde (petit paragraphe p. 274 - 275).
Lien entre fibromyalgie et certains tr psychiatriques
- Au niveau des comorbidités psychiatriques, on se rend compte que la prévalence de celles-ci est plus élevée que pour les autres maladies rhumatismales.
- Les troubles les plus souvent associés sont l’anxiété, la somatisation, la dysthymie, le trouble panique, le TSPT et la dépression.
- Par ailleurs, la fibromyalgie est souvent associée à des affections et étiologies idiopathiques et certaines maladies chroniques (PAR, LED, maladie de Sjögren, diabète, hépatite C et les dysfonctions thyroïdiennes).
Lien entre fibromyalgie et certains tr psychiatriques
- prévalence de comorbidités psy
- Au niveau des comorbidités psychiatriques, on se rend compte que la prévalence de celles-ci est plus élevée que pour les autres maladies rhumatismales.
- Les troubles les plus souvent associés sont l’anxiété, la somatisation, la dysthymie, le trouble panique, le TSPT et la dépression.
- Par ailleurs, la fibromyalgie est souvent associée à des affections et étiologies idiopathiques et certaines maladies chroniques (PAR, LED, maladie de Sjögren, diabète, hépatite C et les dysfonctions thyroïdiennes).
Lien entre fibromyalgie et certains tr psychiatriques
- nommez les tr les plus souvent associés
- Au niveau des comorbidités psychiatriques, on se rend compte que la prévalence de celles-ci est plus élevée que pour les autres maladies rhumatismales.
- Les troubles les plus souvent associés sont l’anxiété, la somatisation, la dysthymie, le trouble panique, le TSPT et la dépression.
- Par ailleurs, la fibromyalgie est souvent associée à des affections et étiologies idiopathiques et certaines maladies chroniques (PAR, LED, maladie de Sjögren, diabète, hépatite C et les dysfonctions thyroïdiennes).
Lien entre fibromyalgie et certains tr psychiatriques
- association avec pathos NON psy
- Au niveau des comorbidités psychiatriques, on se rend compte que la prévalence de celles-ci est plus élevée que pour les autres maladies rhumatismales.
- Les troubles les plus souvent associés sont l’anxiété, la somatisation, la dysthymie, le trouble panique, le TSPT et la dépression.
- Par ailleurs, la fibromyalgie est souvent associée à des affections et étiologies idiopathiques et certaines maladies chroniques (PAR, LED, maladie de Sjögren, diabète, hépatite C et les dysfonctions thyroïdiennes).
Fibromyalgie: Traitement
- Le meilleur traitement a pour but de diminuer la douleur, améliorer la qualité du sommeil et augmenter l’activité physique par la réduction des symptômes somatiques.
- On propose comme traitement une combinaison d’exercice aérobique, de TCC et d’amitriptyline.
- À noter :
- Les antalgiques opioïdes ne sont recommandés par aucun guide de pratique clinique.
- Les traitements adjuvants ayant une utilité clinique avérée sont :
- L’exercice aérobique et en milieu aquatique
- Les étirements musculaires
- Les techniques de relaxation avec imagerie mentale
- Le biofeedback
- L’hypnose
- L’acuponcture
Fibromyalgie: Traitement
- objectifs du tx
- Le meilleur traitement a pour but de diminuer la douleur, améliorer la qualité du sommeil et augmenter l’activité physique par la réduction des symptômes somatiques.
- On propose comme traitement une combinaison d’exercice aérobique, de TCC et d’amitriptyline.
- À noter :
- Les antalgiques opioïdes ne sont recommandés par aucun guide de pratique clinique.
- Les traitements adjuvants ayant une utilité clinique avérée sont :
- L’exercice aérobique et en milieu aquatique
- Les étirements musculaires
- Les techniques de relaxation avec imagerie mentale
- Le biofeedback
- L’hypnose
- L’acuponcture
Fibromyalgie: Traitement
- tx utilisé le plus fréquent
- Le meilleur traitement a pour but de diminuer la douleur, améliorer la qualité du sommeil et augmenter l’activité physique par la réduction des symptômes somatiques.
- On propose comme traitement une combinaison d’exercice aérobique, de TCC et d’amitriptyline.
- À noter :
- Les antalgiques opioïdes ne sont recommandés par aucun guide de pratique clinique.
- Les traitements adjuvants ayant une utilité clinique avérée sont :
- L’exercice aérobique et en milieu aquatique
- Les étirements musculaires
- Les techniques de relaxation avec imagerie mentale
- Le biofeedback
- L’hypnose
- L’acuponcture
Fibromyalgie: Traitement
- place des opïodes
- Le meilleur traitement a pour but de diminuer la douleur, améliorer la qualité du sommeil et augmenter l’activité physique par la réduction des symptômes somatiques.
- On propose comme traitement une combinaison d’exercice aérobique, de TCC et d’amitriptyline.
- À noter :
- Les antalgiques opioïdes ne sont recommandés par aucun guide de pratique clinique.
- Les traitements adjuvants ayant une utilité clinique avérée sont :
- L’exercice aérobique et en milieu aquatique
- Les étirements musculaires
- Les techniques de relaxation avec imagerie mentale
- Le biofeedback
- L’hypnose
- L’acuponcture
Fibromyalgie: Traitement
- traitements adjuvants
- Le meilleur traitement a pour but de diminuer la douleur, améliorer la qualité du sommeil et augmenter l’activité physique par la réduction des symptômes somatiques.
- On propose comme traitement une combinaison d’exercice aérobique, de TCC et d’amitriptyline.
- À noter :
- Les antalgiques opioïdes ne sont recommandés par aucun guide de pratique clinique.
-
Les traitements adjuvants ayant une utilité clinique avérée sont :
- L’exercice aérobique et en milieu aquatique
- Les étirements musculaires
- Les techniques de relaxation avec imagerie mentale
- Le biofeedback
- L’hypnose
- L’acuponcture
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Régions affectées
- Noter le nombre de régions affectées par la douleur dans la dernière semaine.
- Ces 12 régions incluent
- 1.la mâchoire
- 2.le cou
- 3.la ceinture scapulaire (épaule)
- 4.le haut du bras
- 5.l’avant-bras
- 6.le thorax
- 7.l’abdomen
- 8.le haut du dos
- 9.le bas du dos
- 10.la hanche (fesse, trochanter)
- 11.le haut de la jambe
- 12.le bas de la jambe
toutes ces régions doivent être évaluées bilatéralement, provoquant une douleur diffuse ou localisée
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Régions affectées - nommez-les
- Noter le nombre de régions affectées par la douleur dans la dernière semaine.
- Ces 12 régions incluent
- 1.la mâchoire
- 2.le cou
- 3.la ceinture scapulaire (épaule)
- 4.le haut du bras
- 5.l’avant-bras
- 6.le thorax
- 7.l’abdomen
- 8.le haut du dos
- 9.le bas du dos
- 10.la hanche (fesse, trochanter)
- 11.le haut de la jambe
- 12.le bas de la jambe
toutes ces régions doivent être évaluées bilatéralement, provoquant une douleur diffuse ou localisée
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Régions affectées - uni ou bilatéral?
- Noter le nombre de régions affectées par la douleur dans la dernière semaine.
- Ces 12 régions incluent
- 1.la mâchoire
- 2.le cou
- 3.la ceinture scapulaire (épaule)
- 4.le haut du bras
- 5.l’avant-bras
- 6.le thorax
- 7.l’abdomen
- 8.le haut du dos
- 9.le bas du dos
- 10.la hanche (fesse, trochanter)
- 11.le haut de la jambe
- 12.le bas de la jambe
toutes ces régions doivent être évaluées bilatéralement, provoquant une douleur diffuse ou localisée
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Échelle graduée des symptômes
- Fatigue
- Sommeil non réparateur
- Symptômes cognitifs (p.ex. mémoire de travail, mémoire de reconnaissance, connaissance verbale, anxiété, dépression)
- Pour chacun de ces trois symptômes, indiquer l’intensité dans la dernière semaine en utilisant l’échelle suivante
- 0 = aucun problème
- 1 = léger problème, généralement intermittent
- 2 = problème modéré ou considérable, fréquent et/ou à un niveau modéré
- 3 = problème grave, envahissant, continu, interfère avec le bien-être quotidiennement
- Pour les symptômes somatiques généraux dans les 12 régions, indiquer l’intensité selon l’échelle suivante :
- 0 = aucun symptôme
- 1 = quelques symptômes
- 2 = un nombre modéré de symptômes
- 3 = beaucoup de symptômes
- Cote totale entre 0 et 12.
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Échelle graduée des symptômes
- nommez les symptômes
- Fatigue
- Sommeil non réparateur
- Symptômes cognitifs (p.ex. mémoire de travail, mémoire de reconnaissance, connaissance verbale, anxiété, dépression)
- Pour chacun de ces trois symptômes, indiquer l’intensité dans la dernière semaine en utilisant l’échelle suivante
- 0 = aucun problème
- 1 = léger problème, généralement intermittent
- 2 = problème modéré ou considérable, fréquent et/ou à un niveau modéré
- 3 = problème grave, envahissant, continu, interfère avec le bien-être quotidiennement
- Pour les symptômes somatiques généraux dans les 12 régions, indiquer l’intensité selon l’échelle suivante :
- 0 = aucun symptôme
- 1 = quelques symptômes
- 2 = un nombre modéré de symptômes
- 3 = beaucoup de symptômes
- Cote totale entre 0 et 12.
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Échelle graduée des symptômes
- échelle d’intensité
- Fatigue
- Sommeil non réparateur
- Symptômes cognitifs (p.ex. mémoire de travail, mémoire de reconnaissance, connaissance verbale, anxiété, dépression)
-
Pour chacun de ces trois symptômes, indiquer l’intensité dans la dernière semaine en utilisant l’échelle suivante
- 0 = aucun problème
- 1 = léger problème, généralement intermittent
- 2 = problème modéré ou considérable, fréquent et/ou à un niveau modéré
- 3 = problème grave, envahissant, continu, interfère avec le bien-être quotidiennement
- Pour les symptômes somatiques généraux dans les 12 régions, indiquer l’intensité selon l’échelle suivante :
- 0 = aucun symptôme
- 1 = quelques symptômes
- 2 = un nombre modéré de symptômes
- 3 = beaucoup de symptômes
- Cote totale entre 0 et 12.
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Échelle graduée des symptômes
- Échelle d’intensité: définir ce qu’est de 0 à 3
- Fatigue
- Sommeil non réparateur
- Symptômes cognitifs (p.ex. mémoire de travail, mémoire de reconnaissance, connaissance verbale, anxiété, dépression)
-
Pour chacun de ces trois symptômes, indiquer l’intensité dans la dernière semaine en utilisant l’échelle suivante
- 0 = aucun problème
- 1 = léger problème, généralement intermittent
- 2 = problème modéré ou considérable, fréquent et/ou à un niveau modéré
- 3 = problème grave, envahissant, continu, interfère avec le bien-être quotidiennement
- Pour les symptômes somatiques généraux dans les 12 régions, indiquer l’intensité selon l’échelle suivante :
- 0 = aucun symptôme
- 1 = quelques symptômes
- 2 = un nombre modéré de symptômes
- 3 = beaucoup de symptômes
- Cote totale entre 0 et 12.
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Échelle graduée des symptômes
- Échelle graduée: pour les sx généraux dans les 12 régions
- Fatigue
- Sommeil non réparateur
- Symptômes cognitifs (p.ex. mémoire de travail, mémoire de reconnaissance, connaissance verbale, anxiété, dépression)
- Pour chacun de ces trois symptômes, indiquer l’intensité dans la dernière semaine en utilisant l’échelle suivante
- 0 = aucun problème
- 1 = léger problème, généralement intermittent
- 2 = problème modéré ou considérable, fréquent et/ou à un niveau modéré
- 3 = problème grave, envahissant, continu, interfère avec le bien-être quotidiennement
-
Pour les symptômes somatiques généraux dans les 12 régions, indiquer l’intensité selon l’échelle suivante :
- 0 = aucun symptôme
- 1 = quelques symptômes
- 2 = un nombre modéré de symptômes
- 3 = beaucoup de symptômes
- Cote totale entre 0 et 12.
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Échelle graduée des symptômes
- Échelle graduée: pour les sx généraux dans les 12 régions - échelle de 0 à 3
- Fatigue
- Sommeil non réparateur
- Symptômes cognitifs (p.ex. mémoire de travail, mémoire de reconnaissance, connaissance verbale, anxiété, dépression)
- Pour chacun de ces trois symptômes, indiquer l’intensité dans la dernière semaine en utilisant l’échelle suivante
- 0 = aucun problème
- 1 = léger problème, généralement intermittent
- 2 = problème modéré ou considérable, fréquent et/ou à un niveau modéré
- 3 = problème grave, envahissant, continu, interfère avec le bien-être quotidiennement
-
Pour les symptômes somatiques généraux dans les 12 régions, indiquer l’intensité selon l’échelle suivante :
- 0 = aucun symptôme
- 1 = quelques symptômes
- 2 = un nombre modéré de symptômes
- 3 = beaucoup de symptômes
- Cote totale entre 0 et 12.
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Échelle graduée des symptômes
- Échelle graduée: pour les sx généraux dans les 12 régions - cote totale
- Fatigue
- Sommeil non réparateur
- Symptômes cognitifs (p.ex. mémoire de travail, mémoire de reconnaissance, connaissance verbale, anxiété, dépression)
- Pour chacun de ces trois symptômes, indiquer l’intensité dans la dernière semaine en utilisant l’échelle suivante
- 0 = aucun problème
- 1 = léger problème, généralement intermittent
- 2 = problème modéré ou considérable, fréquent et/ou à un niveau modéré
- 3 = problème grave, envahissant, continu, interfère avec le bien-être quotidiennement
- Pour les symptômes somatiques généraux dans les 12 régions, indiquer l’intensité selon l’échelle suivante :
- 0 = aucun symptôme
- 1 = quelques symptômes
- 2 = un nombre modéré de symptômes
- 3 = beaucoup de symptômes
- Cote totale entre 0 et 12.
Critères diagnostiques de la fibromyalgie
- Un patient répond aux critères diagnostiques de la fibromyalgie si les trois conditions suivantes sont présentes :
- 1.WPI ≥ 7/19 et Cote totale SS ≥ 5 ou WPI = 3–6 et Cote totale SS ≥ 9
- 2.Les symptômes sont présents et au même degré depuis au moins trois mois.
- 3.La douleur n’est pas mieux expliquée par une autre affection médicale.
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Nombre de critères devant être présents
-
Un patient répond aux critères diagnostiques de la fibromyalgie si les trois conditions suivantes sont présentes :
- 1.WPI ≥ 7/19 et Cote totale SS ≥ 5 ou WPI = 3–6 et Cote totale SS ≥ 9
- 2.Les symptômes sont présents et au même degré depuis au moins trois mois.
- 3.La douleur n’est pas mieux expliquée par une autre affection médicale.
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Nb de “points” nécessaires
- Un patient répond aux critères diagnostiques de la fibromyalgie si les trois conditions suivantes sont présentes :
- 1.WPI ≥ 7/19 et Cote totale SS ≥ 5 ou WPI = 3–6 et Cote totale SS ≥ 9
- 2.Les symptômes sont présents et au même degré depuis au moins trois mois.
- 3.La douleur n’est pas mieux expliquée par une autre affection médicale.
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Durée des sx et leur intensité
- Un patient répond aux critères diagnostiques de la fibromyalgie si les trois conditions suivantes sont présentes :
- 1.WPI ≥ 7/19 et Cote totale SS ≥ 5 ou WPI = 3–6 et Cote totale SS ≥ 9
- 2.Les symptômes sont présents et au même degré depuis au moins trois mois.
- 3.La douleur n’est pas mieux expliquée par une autre affection médicale.
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Exclure quoi?
- Un patient répond aux critères diagnostiques de la fibromyalgie si les trois conditions suivantes sont présentes :
- 1.WPI ≥ 7/19 et Cote totale SS ≥ 5 ou WPI = 3–6 et Cote totale SS ≥ 9
- 2.Les symptômes sont présents et au même degré depuis au moins trois mois.
- 3.La douleur n’est pas mieux expliquée par une autre affection médicale.
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Critères modifiés
- Wide spread index(WPI) (voir ci-dessus)
- Échelle Symtoms severity (SS) (voir ci-dessus, mais sans symptômes somatiques)
- Présence de douleur abdominale, dépression, céphalées (oui = 1, non = 0)
Cote totale (WPI + SS + symptômes associés) entre 0 et 31.
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Critères modifiés
- cote totale
- Wide spread index(WPI) (voir ci-dessus) 2
- Échelle Symtoms severity (SS) (voir ci-dessus, mais sans symptômes somatiques)
- Présence de douleur abdominale, dépression, céphalées (oui = 1, non = 0)
Cote totale (WPI + SS + symptômes associés) entre 0 et 31.
Fibromyalgie: Ddx
- Syndrome myofascial
- Syndrome de fatigue chronique
- Hypothyroïdie
- Autres maladies organiques ayant des sx semblables
Fibromyalgie: Classification
- La fibromyalgie ne fait pas partie du DSM-5 puisque c’est une pathologie qui est maintenant classée comme étant rhumatismale.
Fibromyalgie: Épidémio
- 2 % des Nord-Américains (3.4 % chez la femme et 0.5 % chez l’homme)
- Facteurs de risque :
- Adulte
- Femme
- Faible niveau de scolarité
- Faible revenu
- Divorce
- Souffrir d’un handicap
- Avoir vécu des abus psychologiques, physiques ou sexuels précoces
Fibromyalgie: Épidémio
- prévalence
- 2 % des Nord-Américains (3.4 % chez la femme et 0.5 % chez l’homme)
- Facteurs de risque :
- Adulte
- Femme
- Faible niveau de scolarité
- Faible revenu
- Divorce
- Souffrir d’un handicap
- Avoir vécu des abus psychologiques, physiques ou sexuels précoces
Fibromyalgie: Épidémio
- H vs F
- 2 % des Nord-Américains
- 3.4 % chez la femme et 0.5 % chez l’homme
- Facteurs de risque :
- Adulte
- Femme
- Faible niveau de scolarité
- Faible revenu
- Divorce
- Souffrir d’un handicap
- Avoir vécu des abus psychologiques, physiques ou sexuels précoces
Fibromyalgie: Épidémio
- FDR
- 2 % des Nord-Américains (3.4 % chez la femme et 0.5 % chez l’homme)
-
Facteurs de risque :
- Adulte
- Femme
- Faible niveau de scolarité
- Faible revenu
- Divorce
- Souffrir d’un handicap
- Avoir vécu des abus psychologiques, physiques ou sexuels précoces
Fibromyalgie: Étiologie
- Cette maladie semble d’origine neuropathique, et certains facteurs génétiques et épigénétiques semblent impliqués.
- Il s’agirait d’un déséquilibre neurochimique du SNC provoquant une amplification de la perception douloureuse au niveau du SNC.
- La permanence de la douleur enlève toute l’utilité biologique de cette dernière.
Fibromyalgie: Étiologie
- nommez les types de causes
- Cette maladie semble d’origine neuropathique, et certains facteurs génétiques et épigénétiques semblent impliqués.
- Il s’agirait d’un déséquilibre neurochimique du SNC provoquant une amplification de la perception douloureuse au niveau du SNC.
- La permanence de la douleur enlève toute l’utilité biologique de cette dernière.
Fibromyalgie: Étiologie
- déséquilibre neurochimique
- Cette maladie semble d’origine neuropathique, et certains facteurs génétiques et épigénétiques semblent impliqués.
- Il s’agirait d’un déséquilibre neurochimique du SNC provoquant une amplification de la perception douloureuse au niveau du SNC.
- La permanence de la douleur enlève toute l’utilité biologique de cette dernière.
Fibromyalgie: Étiologie
- biologie
- Cette maladie semble d’origine neuropathique, et certains facteurs génétiques et épigénétiques semblent impliqués.
- Il s’agirait d’un déséquilibre neurochimique du SNC provoquant une amplification de la perception douloureuse au niveau du SNC.
- La permanence de la douleur enlève toute l’utilité biologique de cette dernière.
Mécanismes pathologiques de la fibromyalgie
- NGF :nerve growth factor;
- BDNF :brain-derived neurotrophic factor
- SNC : système nerveux central
- LCR : liquide céphalo-rachidien
Mécanismes pathologiques de la fibromyalgie
- NGF :nerve growth factor;
- BDNF :brain-derived neurotrophic factor
- SNC : système nerveux central
- LCR : liquide céphalo-rachidien