Médecine psychosomatique Flashcards

1
Q

Troubles somatoformes: Critiques

A
  1. Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
  2. Faible usage du trouble somatoforme
  3. Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
  4. Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
  5. Est un diagnostic d’exclusion
  6. Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
  7. Manque de consensus
  8. Stigmatisation élevée
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Troubles somatoformes: Critiques
- approche

A
  1. Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
  2. Faible usage du trouble somatoforme
  3. Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
  4. Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
  5. Est un diagnostic d’exclusion
  6. Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
  7. Manque de consensus
  8. Stigmatisation élevée
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Troubles somatoformes: Critiques
- utilité

A
  1. Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
  2. Faible usage du trouble somatoforme
  3. Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
  4. Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
  5. Est un diagnostic d’exclusion
  6. Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
  7. Manque de consensus
  8. Stigmatisation élevée
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Troubles somatoformes: Critiques
- appellations

A
  1. Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
  2. Faible usage du trouble somatoforme
  3. Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
  4. Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
  5. Est un diagnostic d’exclusion
  6. Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
  7. Manque de consensus
  8. Stigmatisation élevée
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Troubles somatoformes: Critiques
- seuil

A
  1. Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
  2. Faible usage du trouble somatoforme
  3. Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
  4. Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
  5. Est un diagnostic d’exclusion
  6. Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
  7. Manque de consensus
  8. Stigmatisation élevée
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Troubles somatoformes: Critiques
- type de dx

A
  1. Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
  2. Faible usage du trouble somatoforme
  3. Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
  4. Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
  5. Est un diagnostic d’exclusion
  6. Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
  7. Manque de consensus
  8. Stigmatisation élevée
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Troubles somatoformes: Critiques
- comorbidités

A
  1. Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
  2. Faible usage du trouble somatoforme
  3. Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
  4. Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
  5. Est un diagnostic d’exclusion
  6. Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
  7. Manque de consensus
  8. Stigmatisation élevée
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Troubles somatoformes: Critiques
- accord

A
  1. Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
  2. Faible usage du trouble somatoforme
  3. Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
  4. Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
  5. Est un diagnostic d’exclusion
  6. Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
  7. Manque de consensus
  8. Stigmatisation élevée
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Troubles somatoformes: Critiques
- stigma

A
  1. Propose une approche catégorielle plutôt que dimensionnelle
  2. Faible usage du trouble somatoforme
  3. Maintien d’appellations variées qui entretiennent une confusion
  4. Seuil trop restrictif ou trop bas de différentes pathologies
  5. Est un diagnostic d’exclusion
  6. Beaucoup de comorbidité avec les troubles anxieux et dépressif, mais constitue une catégorie à part
  7. Manque de consensus
  8. Stigmatisation élevée
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Troubles somatoformes: Définition

A
  • Trouble dont le mode de présentation est constitué principalement de symptômes somatiques et de préoccupations / distorsions cognitives face à la maladie.
  • On dit qu’il y a chez l’humain une tendance universelle à expérimenter et communiquer de la détresse psychologique sous forme de symptômes physiques.
  • C’est le principe de somatisation, à travers duquel différents troubles plus spécifiques s’articulent.
  • Notons que des conditions médicalement inexpliquées existent aussi et sont à différencier des somatisations.
  • Ils sont habituellement nommés des troubles somatiques fonctionnels et comportent plusieurs entités tels que le syndrome du côlon irritable en gastro-entérologie et ne s’articulent pas toujours à travers une psychopathologie.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Troubles somatoformes: Définition
- présentation clinique

A
  • Trouble dont le mode de présentation est constitué principalement de symptômes somatiques et de préoccupations / distorsions cognitives face à la maladie.
  • On dit qu’il y a chez l’humain une tendance universelle à expérimenter et communiquer de la détresse psychologique sous forme de symptômes physiques.
  • C’est le principe de somatisation, à travers duquel différents troubles plus spécifiques s’articulent.
  • Notons que des conditions médicalement inexpliquées existent aussi et sont à différencier des somatisations.
  • Ils sont habituellement nommés des troubles somatiques fonctionnels et comportent plusieurs entités tels que le syndrome du côlon irritable en gastro-entérologie et ne s’articulent pas toujours à travers une psychopathologie.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Troubles somatoformes: Définition
- tendance universelle

A
  • Trouble dont le mode de présentation est constitué principalement de symptômes somatiques et de préoccupations / distorsions cognitives face à la maladie.
  • On dit qu’il y a chez l’humain une tendance universelle à expérimenter et communiquer de la détresse psychologique sous forme de symptômes physiques.
  • C’est le principe de somatisation, à travers duquel différents troubles plus spécifiques s’articulent.
  • Notons que des conditions médicalement inexpliquées existent aussi et sont à différencier des somatisations.
  • Ils sont habituellement nommés des troubles somatiques fonctionnels et comportent plusieurs entités tels que le syndrome du côlon irritable en gastro-entérologie et ne s’articulent pas toujours à travers une psychopathologie.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Troubles somatoformes: Définition
- principe sous-jacent

A
  • Trouble dont le mode de présentation est constitué principalement de symptômes somatiques et de préoccupations / distorsions cognitives face à la maladie.
  • On dit qu’il y a chez l’humain une tendance universelle à expérimenter et communiquer de la détresse psychologique sous forme de symptômes physiques.
  • C’est le principe de somatisation, à travers duquel différents troubles plus spécifiques s’articulent.
  • Notons que des conditions médicalement inexpliquées existent aussi et sont à différencier des somatisations.
  • Ils sont habituellement nommés des troubles somatiques fonctionnels et comportent plusieurs entités tels que le syndrome du côlon irritable en gastro-entérologie et ne s’articulent pas toujours à travers une psychopathologie.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Troubles somatoformes: Définition
- décrire le principe de somatisation

A
  • Trouble dont le mode de présentation est constitué principalement de symptômes somatiques et de préoccupations / distorsions cognitives face à la maladie.
  • On dit qu’il y a chez l’humain une tendance universelle à expérimenter et communiquer de la détresse psychologique sous forme de symptômes physiques.
  • C’est le principe de somatisation, à travers duquel différents troubles plus spécifiques s’articulent.
  • Notons que des conditions médicalement inexpliquées existent aussi et sont à différencier des somatisations.
  • Ils sont habituellement nommés des troubles somatiques fonctionnels et comportent plusieurs entités tels que le syndrome du côlon irritable en gastro-entérologie et ne s’articulent pas toujours à travers une psychopathologie.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Troubles somatoformes: Définition
- conditions médicales

A
  • Trouble dont le mode de présentation est constitué principalement de symptômes somatiques et de préoccupations / distorsions cognitives face à la maladie.
  • On dit qu’il y a chez l’humain une tendance universelle à expérimenter et communiquer de la détresse psychologique sous forme de symptômes physiques.
  • C’est le principe de somatisation, à travers duquel différents troubles plus spécifiques s’articulent.
  • Notons que des conditions médicalement inexpliquées existent aussi et sont à différencier des somatisations.
  • Ils sont habituellement nommés des troubles somatiques fonctionnels et comportent plusieurs entités tels que le syndrome du côlon irritable en gastro-entérologie et ne s’articulent pas toujours à travers une psychopathologie.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Troubles somatoformes: Définition
- entités

A
  • Trouble dont le mode de présentation est constitué principalement de symptômes somatiques et de préoccupations / distorsions cognitives face à la maladie.
  • On dit qu’il y a chez l’humain une tendance universelle à expérimenter et communiquer de la détresse psychologique sous forme de symptômes physiques.
  • C’est le principe de somatisation, à travers duquel différents troubles plus spécifiques s’articulent.
  • Notons que des conditions médicalement inexpliquées existent aussi et sont à différencier des somatisations.
  • Ils sont habituellement nommés des troubles somatiques fonctionnels et comportent plusieurs entités tels que le syndrome du côlon irritable en gastro-entérologie et ne s’articulent pas toujours à travers une psychopathologie.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

Troubles somatiques fonctionnels les plus fréquents

A
  • Céphalée de tension
  • Syndrome temporomandibulaire
  • Douleur thoracique non spécifiée
  • Syndrome d’hyperventilation
  • Dyspepsie non ulcéreuse
  • Syndrome de l’intestin irritable
  • Lombalgie
  • Cystite interstitielle
  • Douleur pelvienne chronique
  • Syndrome prémenstruel
  • Fibromyalgie
  • Syndrome de fatigue chronique
  • Hypersensibilité environnementale idiopathique : sensibilité à plusieurs produits (p. ex., parfums, produits de nettoyage) qui causent des réactions dans diverses parties de l’organisme
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Facteurs psychologiques influençant des affections médicales

A
  • Affection médicale
    • Oui
  • Caractéristiques du critère A
    • Présence d’un symptôme ou d’une affection médicale (autre qu’un trouble mental)
  • Caractéristiques du critère B
    • Des facteurs psychologiques ou comportementaux influençant négativement l’affection médicale
  • Détresse
    • +/-
  • Principaux ddx
    • Trouble mental lié à une affection médicale
    • Trouble de l’adaptation
    • Trouble à symptomatologie somatique
    • Crainte excessive d’avoir une maladie
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Facteurs psychologiques influençant des affections médicales: Affection médicale

A
  • Affection médicale
    • Oui
  • Caractéristiques du critère A
    • Présence d’un symptôme ou d’une affection médicale (autre qu’un trouble mental)
  • Caractéristiques du critère B
    • Des facteurs psychologiques ou comportementaux influençant négativement l’affection médicale
  • Détresse
    • +/-
  • Principaux ddx
    • Trouble mental lié à une affection médicale
    • Trouble de l’adaptation
    • Trouble à symptomatologie somatique
    • Crainte excessive d’avoir une maladie
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Facteurs psychologiques influençant des affections médicales: Caractéristiques du critère A

A
  • Affection médicale
    • Oui
  • Caractéristiques du critère A
    • Présence d’un symptôme ou d’une affection médicale (autre qu’un trouble mental)
  • Caractéristiques du critère B
    • Des facteurs psychologiques ou comportementaux influençant négativement l’affection médicale
  • Détresse
    • +/-
  • Principaux ddx
    • Trouble mental lié à une affection médicale
    • Trouble de l’adaptation
    • Trouble à symptomatologie somatique
    • Crainte excessive d’avoir une maladie
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Facteurs psychologiques influençant des affections médicales: Caractéristiques du critère B

A
  • Affection médicale
    • Oui
  • Caractéristiques du critère A
    • Présence d’un symptôme ou d’une affection médicale (autre qu’un trouble mental)
  • Caractéristiques du critère B
    • Des facteurs psychologiques ou comportementaux influençant négativement l’affection médicale
  • Détresse
    • +/-
  • Principaux ddx
    • Trouble mental lié à une affection médicale
    • Trouble de l’adaptation
    • Trouble à symptomatologie somatique
    • Crainte excessive d’avoir une maladie
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Facteurs psychologiques influençant des affections médicales: Détresse

A
  • Affection médicale
    • Oui
  • Caractéristiques du critère A
    • Présence d’un symptôme ou d’une affection médicale (autre qu’un trouble mental)
  • Caractéristiques du critère B
    • Des facteurs psychologiques ou comportementaux influençant négativement l’affection médicale
  • Détresse
    • +/-
  • Principaux ddx
    • Trouble mental lié à une affection médicale
    • Trouble de l’adaptation
    • Trouble à symptomatologie somatique
    • Crainte excessive d’avoir une maladie
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Facteurs psychologiques influençant des affections médicales: Principaux ddx

A
  • Affection médicale
    • Oui
  • Caractéristiques du critère A
    • Présence d’un symptôme ou d’une affection médicale (autre qu’un trouble mental)
  • Caractéristiques du critère B
    • Des facteurs psychologiques ou comportementaux influençant négativement l’affection médicale
  • Détresse
    • +/-
  • Principaux ddx
    • Trouble mental lié à une affection médicale
    • Trouble de l’adaptation
    • Trouble à symptomatologie somatique
    • Crainte excessive d’avoir une maladie
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q

Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5
- Trouble à symptomatologie somatique (TSS)

A
  • Affection médicale
    • Oui/non
  • Caractéristiques du critère A
    • Un ou plusieurs symptômes somatiques causant de la détresse ou entraînant une altération de la vie quotidienne
  • Caractéristiques du critère B
    • (1) Pensées persistantes et excessives concernant la gravité des symptômes
    • (2) Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes
    • (3) Énergie et temps excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé
  • Détresse
    • +
  • Principaux ddx
    • Si pas de plaintes somatiques, crainte excessive d’avoir une maladie
    • Autre affection médicale
    • Trouble panique
    • Anxiété généralisée
    • Dépression
    • Trouble délirant, type somatique
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5 - Trouble à symptomatologie somatique (TSS): Affection médicale?
- **Affection médicale** - **Oui/non** - Caractéristiques du critère A - Un ou plusieurs symptômes somatiques causant de la détresse ou entraînant une altération de la vie quotidienne - Caractéristiques du critère B - (1) Pensées persistantes et excessives concernant la gravité des symptômes - (2) Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes - (3) Énergie et temps excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé - Détresse - + - Principaux ddx - Si pas de plaintes somatiques, crainte excessive d’avoir une maladie - Autre affection médicale - Trouble panique - Anxiété généralisée - Dépression - Trouble délirant, type somatique
26
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5 - Trouble à symptomatologie somatique (TSS): Caractéristique du critère A
- Affection médicale - Oui/non - **Caractéristiques du critère A** - **Un ou plusieurs symptômes somatiques causant de la détresse ou entraînant une altération de la vie quotidienne** - Caractéristiques du critère B - (1) Pensées persistantes et excessives concernant la gravité des symptômes - (2) Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes - (3) Énergie et temps excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé - Détresse - + - Principaux ddx - Si pas de plaintes somatiques, crainte excessive d’avoir une maladie - Autre affection médicale - Trouble panique - Anxiété généralisée - Dépression - Trouble délirant, type somatique
27
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5 - Trouble à symptomatologie somatique (TSS): Caractéristique du critère B
- Affection médicale - Oui/non - Caractéristiques du critère A - Un ou plusieurs symptômes somatiques causant de la détresse ou entraînant une altération de la vie quotidienne - **Caractéristiques du critère B** - **(1) Pensées persistantes et excessives concernant la gravité des symptômes** - **(2) Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes** - **(3) Énergie et temps excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé** - Détresse - + - Principaux ddx - Si pas de plaintes somatiques, crainte excessive d’avoir une maladie - Autre affection médicale - Trouble panique - Anxiété généralisée - Dépression - Trouble délirant, type somatique
28
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5 - Trouble à symptomatologie somatique (TSS): : Caractéristique du critère B - nommez-les
- Affection médicale - Oui/non - Caractéristiques du critère A - Un ou plusieurs symptômes somatiques causant de la détresse ou entraînant une altération de la vie quotidienne - **Caractéristiques du critère B** - **(1) Pensées persistantes et excessives concernant la gravité des symptômes** - **(2) Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes** - **(3) Énergie et temps excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé** - Détresse - + - Principaux ddx - Si pas de plaintes somatiques, crainte excessive d’avoir une maladie - Autre affection médicale - Trouble panique - Anxiété généralisée - Dépression - Trouble délirant, type somatique
29
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5 - Trouble à symptomatologie somatique (TSS): Détresse
- Affection médicale - Oui/non - Caractéristiques du critère A - Un ou plusieurs symptômes somatiques causant de la détresse ou entraînant une altération de la vie quotidienne - Caractéristiques du critère B - (1) Pensées persistantes et excessives concernant la gravité des symptômes - (2) Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes - (3) Énergie et temps excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé - **Détresse** - **+** - Principaux ddx - Si pas de plaintes somatiques, crainte excessive d’avoir une maladie - Autre affection médicale - Trouble panique - Anxiété généralisée - Dépression - Trouble délirant, type somatique
30
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5 - Trouble à symptomatologie somatique (TSS): Principaux ddx
- Affection médicale - Oui/non - Caractéristiques du critère A - Un ou plusieurs symptômes somatiques causant de la détresse ou entraînant une altération de la vie quotidienne - Caractéristiques du critère B - (1) Pensées persistantes et excessives concernant la gravité des symptômes - (2) Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes - (3) Énergie et temps excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé - Détresse - + - **Principaux ddx** - **Si pas de plaintes somatiques, crainte excessive d’avoir une maladie** - **Autre affection médicale** - **Trouble panique** - **Anxiété généralisée** - **Dépression** - **Trouble délirant, type somatique**
31
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5 - Conversion
- Affection médicale - Oui/non - Caractéristiques du critère A - Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles - Caractéristiques du critère B - Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnus. - Détresse - +/- - Principaux ddx - Maladie neurologique - Trouble à symptomatologie somatique comorbide - Trouble factice - Simulation - Trouble dissociatif comorbide - Dépression - Trouble panique
32
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5 - Conversion: Affection médicale
- **Affection médicale** - **Oui/non** - Caractéristiques du critère A - Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles - Caractéristiques du critère B - Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnus. - Détresse - +/- - Principaux ddx - Maladie neurologique - Trouble à symptomatologie somatique comorbide - Trouble factice - Simulation - Trouble dissociatif comorbide - Dépression - Trouble panique
33
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5 - Conversion: Caractéristiques de critère A
- Affection médicale - Oui/non - **Caractéristiques du critère A** - **Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles** - Caractéristiques du critère B - Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnus. - Détresse - +/- - Principaux ddx - Maladie neurologique - Trouble à symptomatologie somatique comorbide - Trouble factice - Simulation - Trouble dissociatif comorbide - Dépression - Trouble panique
34
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5 - Conversion: Caractéristiques de critère B
- Affection médicale - Oui/non - Caractéristiques du critère A - Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles - **Caractéristiques du critère B** - **Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnus**. - Détresse - +/- - Principaux ddx - Maladie neurologique - Trouble à symptomatologie somatique comorbide - Trouble factice - Simulation - Trouble dissociatif comorbide - Dépression - Trouble panique
35
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5 - Conversion: Détresse
- Affection médicale - Oui/non - Caractéristiques du critère A - Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles - Caractéristiques du critère B - Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnus. - **Détresse** - **+/-** - Principaux ddx - Maladie neurologique - Trouble à symptomatologie somatique comorbide - Trouble factice - Simulation - Trouble dissociatif comorbide - Dépression - Trouble panique
36
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5 - Conversion: Principaux ddx
- Affection médicale - Oui/non - Caractéristiques du critère A - Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles - Caractéristiques du critère B - Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnus. - Détresse - +/- - **Principaux ddx** - **Maladie neurologique** - **Trouble à symptomatologie somatique comorbide** - **Trouble factice** - **Simulation** - **Trouble dissociatif comorbide** - **Dépression** - **Trouble panique**
37
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5 - Trouble factice
- Affection médicale - Non - Caractéristiques du critère A - Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies associée à une tromperie identiée - Caractéristiques du critère B - La personne se présente aux autres comme malade, invalide ou blessée. - Détresse - +/- - Principaux ddx - Il y a simulation si la poursuite d’un gain secondaire, tel que des compensations financières, un logement, des médicaments et autres, est démontrée.
38
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5 - Trouble factice: Affection médicale?
- **Affection médicale** - **Non** - Caractéristiques du critère A - Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies associée à une tromperie identiée - Caractéristiques du critère B - La personne se présente aux autres comme malade, invalide ou blessée. - Détresse - +/- - Principaux ddx - Il y a simulation si la poursuite d’un gain secondaire, tel que des compensations financières, un logement, des médicaments et autres, est démontrée.
39
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5 - Trouble factice: Caractéristiques de critère A
- Affection médicale - Non - Caractéristiques du critère A - **Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies associée à une tromperie identifiée** - Caractéristiques du critère B - La personne se présente aux autres comme malade, invalide ou blessée. - Détresse - +/- - Principaux ddx - Il y a simulation si la poursuite d’un gain secondaire, tel que des compensations financières, un logement, des médicaments et autres, est démontrée.
40
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5 - Trouble factice: Caractéristiques de critère B
- Affection médicale - Non - Caractéristiques du critère A - Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies associée à une tromperie identiée - **Caractéristiques du critère B** - **La personne se présente aux autres comme malade, invalide ou blessée.** - Détresse - +/- - Principaux ddx - Il y a simulation si la poursuite d’un gain secondaire, tel que des compensations financières, un logement, des médicaments et autres, est démontrée.
41
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5 - Trouble factice: Détresse
- Affection médicale - Non - Caractéristiques du critère A - Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies associée à une tromperie identiée - Caractéristiques du critère B - La personne se présente aux autres comme malade, invalide ou blessée. - **Détresse** - **+/-** - Principaux ddx - Il y a simulation si la poursuite d’un gain secondaire, tel que des compensations financières, un logement, des médicaments et autres, est démontrée.
42
Principaux dx de tr à symptomatologie selon le DSM-5 - Trouble factice: Principaux ddx
- Affection médicale - Non - Caractéristiques du critère A - Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies associée à une tromperie identiée - Caractéristiques du critère B - La personne se présente aux autres comme malade, invalide ou blessée. - Détresse - +/- - **Principaux ddx** - **Il y a simulation si la poursuite d’un gain secondaire, tel que des compensations financières, un logement, des médicaments et autres, est démontrée**.
43
Tr. symptomatologie somatique VS Tr. de la crainte excessive d’avoir une maladie VS Tr. conversion
44
Tr. symptomatologie somatique - Épidémio - Étiologies - Ddx et comorbidités - Pronostic - Traitement
- Épidémiologie - On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur) - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau. - Ddx et comorbidités - Troubles dépressifs - Troubles anxieux - Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive) - Pronostic - La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient. - Traitement - Ø de pharmacothérapie - activation physique peut aider - les différentes psychothérapies aident de façon modérée - la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
45
Tr. symptomatologie somatique - Prévalence
- **Épidémiologie** - **On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur)** - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau. - Ddx et comorbidités - Troubles dépressifs - Troubles anxieux - Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive) - Pronostic - La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient. - Traitement - Ø de pharmacothérapie - activation physique peut aider - les différentes psychothérapies aident de façon modérée - la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
46
Tr. symptomatologie somatique - Étiologie
- Épidémiologie - On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur) - **Étiologies** - **Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).** - **Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie**. - **Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau**. - Ddx et comorbidités - Troubles dépressifs - Troubles anxieux - Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive) - Pronostic - La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient. - Traitement - Ø de pharmacothérapie - activation physique peut aider - les différentes psychothérapies aident de façon modérée - la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
47
Tr. symptomatologie somatique - Ddx et comorbidités
- Épidémiologie - On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur) - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau. - **Ddx et comorbidités** - **Troubles dépressifs** - **Troubles anxieux** - **Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive)** - Pronostic - La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient. - Traitement - Ø de pharmacothérapie - activation physique peut aider - les différentes psychothérapies aident de façon modérée - la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
48
Tr. symptomatologie somatique - Ddx et comorbidités: Quel traits / TP associés?
- Épidémiologie - On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur) - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau. - Ddx et comorbidités - Troubles dépressifs - Troubles anxieux - **Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive)** - Pronostic - La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient. - Traitement - Ø de pharmacothérapie - activation physique peut aider - les différentes psychothérapies aident de façon modérée - la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
49
Tr. symptomatologie somatique - Pronostic
- Épidémiologie - On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur) - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau. - Ddx et comorbidités - Troubles dépressifs - Troubles anxieux - Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive) - **Pronostic** - **La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient**. - Traitement - Ø de pharmacothérapie - activation physique peut aider - les différentes psychothérapies aident de façon modérée - la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
50
Tr. symptomatologie somatique - Traitement
- Épidémiologie - On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur) - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau. - Ddx et comorbidités - Troubles dépressifs - Troubles anxieux - Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive) - Pronostic - La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient. - **Traitement** - **Ø de pharmacothérapie** - **activation physique peut aider** - **les différentes psychothérapies aident de façon modérée** - **la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.**
51
Tr. symptomatologie somatique - Traitement: Pharmacothérapie
- Épidémiologie - On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur) - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau. - Ddx et comorbidités - Troubles dépressifs - Troubles anxieux - Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive) - Pronostic - La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient. - **Traitement** - **Ø de pharmacothérapie** - activation physique peut aider - les différentes psychothérapies aident de façon modérée - la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.
52
Tr. symptomatologie somatique - Traitement: autres
- Épidémiologie - On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur) - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau. - Ddx et comorbidités - Troubles dépressifs - Troubles anxieux - Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive) - Pronostic - La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient. - **Traitement** - Ø de pharmacothérapie - **activation physique peut aider** - les différentes psychothérapies aident de façon modérée - **la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique**.
53
Tr. symptomatologie somatique - Traitement: psychothérapie
- Épidémiologie - On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur) - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau. - Ddx et comorbidités - Troubles dépressifs - Troubles anxieux - Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive) - Pronostic - La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient. - Traitement - Ø de pharmacothérapie - activation physique peut aider - **les différentes psychothérapies aident de façon modérée** - **la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique**.
54
Tr. symptomatologie somatique - Traitement: principal outil thérapeutique
- Épidémiologie - On estime une prévalence de 5 -7 % (nouvelle entité diagnostic : pas encore de valeur) - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau. - Ddx et comorbidités - Troubles dépressifs - Troubles anxieux - Traits et TP (surtout évitante, paranoïde et obsessionnelle compulsive) - Pronostic - La majorité des TSS sont chroniques et sont associés à des TP, ce qui limite les capacités de changement du patient. - Traitement - Ø de pharmacothérapie - activation physique peut aider - les différentes psychothérapies aident de façon modérée - **la bonne relation md-pt constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique**.
55
Tr. de la crainte excessive d’avoir une maladie - Épidémio - Étiologies - Ddx et comorbidités - Pronostic - Traitement
- Épidémio - ø d'infos - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le - Ddx et comorbidités - Trouble anxieux généralisé - Caractéristiques de phobies - Comportements obsessionnels - Pronostic - ø d'infos - Traitement - Difficulté à traiter le patient, puisque rien ne le rassure.
56
Tr. de la crainte excessive d’avoir une maladie - Épidémio
- **Épidémio** - **ø d'infos** - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le - Ddx et comorbidités - Trouble anxieux généralisé - Caractéristiques de phobies - Comportements obsessionnels - Pronostic - ø d'infos - Traitement - Difficulté à traiter le patient, puisque rien ne le rassure.
57
Tr. de la crainte excessive d’avoir une maladie - Étiologies
- Épidémio - ø d'infos - **Étiologies** - **Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale).** - **Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie**. - **Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau** - Ddx et comorbidités - Trouble anxieux généralisé - Caractéristiques de phobies - Comportements obsessionnels - Pronostic - ø d'infos - Traitement - Difficulté à traiter le patient, puisque rien ne le rassure.
58
Tr. de la crainte excessive d’avoir une maladie - Ddx et comorbidités
- Épidémio - ø d'infos - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le - **Ddx et comorbidités** - **Trouble anxieux généralisé** - **Caractéristiques de phobies** - **Comportements obsessionnels** - Pronostic - ø d'infos - Traitement - Difficulté à traiter le patient, puisque rien ne le rassure.
59
Tr. de la crainte excessive d’avoir une maladie - Pronostic
- Épidémio - ø d'infos - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le - Ddx et comorbidités - Trouble anxieux généralisé - Caractéristiques de phobies - Comportements obsessionnels - **Pronostic** - **ø d'infos** - Traitement - Difficulté à traiter le patient, puisque rien ne le rassure.
60
Tr. de la crainte excessive d’avoir une maladie - Traitement
- Épidémio - ø d'infos - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le - Ddx et comorbidités - Trouble anxieux généralisé - Caractéristiques de phobies - Comportements obsessionnels - Pronostic - ø d'infos - **Traitement** - **Difficulté à traiter le patient, puisque rien ne le rassure**.
61
Tr conversion - Épidémio - Étiologies - Ddx et comorbidités - Pronostic - Traitement
- Épidémio - + fréquent ado / début 20aine - 0.3 % / an - 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1) - Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau - Ddx et comorbidités - Troubles dépressifs - Troubles anxieux - Événements traumatiques durant l’enfance - Abus de substances - Troubles de la personnalité - SEP / épilepsie - Pronostic - Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy - 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé - Traitement - Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique - La suggestion constitue l’élément central de la thérapie - Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider - Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
62
Tr conversion - Épidémio
- **Épidémio** - **+ fréquent ado / début 20aine** - **0.3 % / an** - **2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)** - **Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement** - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau - Ddx et comorbidités - Troubles dépressifs - Troubles anxieux - Événements traumatiques durant l’enfance - Abus de substances - Troubles de la personnalité - SEP / épilepsie - Pronostic - Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy - 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé - Traitement - Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique - La suggestion constitue l’élément central de la thérapie - Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider - Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
63
Tr conversion - Épidémio: plus fréquent chez les groupe d'âge?
- Épidémio - **+ fréquent ado / début 20aine** - 0.3 % / an - 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1) - Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau - Ddx et comorbidités - Troubles dépressifs - Troubles anxieux - Événements traumatiques durant l’enfance - Abus de substances - Troubles de la personnalité - SEP / épilepsie - Pronostic - Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy - 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé - Traitement - Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique - La suggestion constitue l’élément central de la thérapie - Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider - Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
64
Tr conversion - Épidémio: incidence par an
- Épidémio - + fréquent ado / début 20aine - **0.3 % / an** - 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1) - Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau - Ddx et comorbidités - Troubles dépressifs - Troubles anxieux - Événements traumatiques durant l’enfance - Abus de substances - Troubles de la personnalité - SEP / épilepsie - Pronostic - Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy - 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé - Traitement - Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique - La suggestion constitue l’élément central de la thérapie - Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider - Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
65
Tr conversion - Épidémio: H vs F
- Épidémio - + fréquent ado / début 20aine - 0.3 % / an - **2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1)** - Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau - Ddx et comorbidités - Troubles dépressifs - Troubles anxieux - Événements traumatiques durant l’enfance - Abus de substances - Troubles de la personnalité - SEP / épilepsie - Pronostic - Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy - 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé - Traitement - Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique - La suggestion constitue l’élément central de la thérapie - Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider - Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
66
Tr conversion - Épidémio: FDR
- Épidémio - + fréquent ado / début 20aine - 0.3 % / an - 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1) - **Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement** - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau - Ddx et comorbidités - Troubles dépressifs - Troubles anxieux - Événements traumatiques durant l’enfance - Abus de substances - Troubles de la personnalité - SEP / épilepsie - Pronostic - Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy - 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé - Traitement - Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique - La suggestion constitue l’élément central de la thérapie - Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider - Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
67
Tr conversion - Étiologies
- Épidémio - + fréquent ado / début 20aine - 0.3 % / an - 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1) - Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement - **Étiologies** - **Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale)**. - **Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie.** - **Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau** - Ddx et comorbidités - Troubles dépressifs - Troubles anxieux - Événements traumatiques durant l’enfance - Abus de substances - Troubles de la personnalité - SEP / épilepsie - Pronostic - Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy - 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé - Traitement - Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique - La suggestion constitue l’élément central de la thérapie - Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider - Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
68
Tr conversion - Ddx et comorbidités
- Épidémio - + fréquent ado / début 20aine - 0.3 % / an - 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1) - Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau - **Ddx et comorbidités** - **Troubles dépressifs** - **Troubles anxieux** - **Événements traumatiques durant l’enfance** - **Abus de substances** - **Troubles de la personnalité** - **SEP / épilepsie** - Pronostic - Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy - 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé - Traitement - Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique - La suggestion constitue l’élément central de la thérapie - Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider - Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
69
Tr conversion - Pronostic
- Épidémio - + fréquent ado / début 20aine - 0.3 % / an - 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1) - Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau - Ddx et comorbidités - Troubles dépressifs - Troubles anxieux - Événements traumatiques durant l’enfance - Abus de substances - Troubles de la personnalité - SEP / épilepsie - **Pronostic** - **Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy** - **50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé** - Traitement - Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique - La suggestion constitue l’élément central de la thérapie - Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider - Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
70
Tr conversion - Pronostic: est favorable dans quel contexte?
- Épidémio - + fréquent ado / début 20aine - 0.3 % / an - 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1) - Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau - Ddx et comorbidités - Troubles dépressifs - Troubles anxieux - Événements traumatiques durant l’enfance - Abus de substances - Troubles de la personnalité - SEP / épilepsie - **Pronostic** - **Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy** - 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé - Traitement - Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique - La suggestion constitue l’élément central de la thérapie - Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider - Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
71
Tr conversion - Pronostic: si hospit
- Épidémio - + fréquent ado / début 20aine - 0.3 % / an - 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1) - Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau - Ddx et comorbidités - Troubles dépressifs - Troubles anxieux - Événements traumatiques durant l’enfance - Abus de substances - Troubles de la personnalité - SEP / épilepsie - Pronostic - Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy - **50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé** - Traitement - Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique - La suggestion constitue l’élément central de la thérapie - Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider - Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
72
Tr conversion - Traitement
- Épidémio - + fréquent ado / début 20aine - 0.3 % / an - 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1) - Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau - Ddx et comorbidités - Troubles dépressifs - Troubles anxieux - Événements traumatiques durant l’enfance - Abus de substances - Troubles de la personnalité - SEP / épilepsie - Pronostic - Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy - 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé - **Traitement** - **Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique** - **La suggestion constitue l’élément central de la thérapie** - **Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider** - **Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis**
73
Tr conversion - Traitement: élément central
- Épidémio - + fréquent ado / début 20aine - 0.3 % / an - 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1) - Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau - Ddx et comorbidités - Troubles dépressifs - Troubles anxieux - Événements traumatiques durant l’enfance - Abus de substances - Troubles de la personnalité - SEP / épilepsie - Pronostic - Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy - 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé - Traitement - **Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique** - **La suggestion constitue l’élément central de la thérapie** - Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider - Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis
74
Tr conversion - Traitement: Psychotx
- Épidémio - + fréquent ado / début 20aine - 0.3 % / an - 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1) - Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau - Ddx et comorbidités - Troubles dépressifs - Troubles anxieux - Événements traumatiques durant l’enfance - Abus de substances - Troubles de la personnalité - SEP / épilepsie - Pronostic - Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy - 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé - Traitement - Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique - **La suggestion constitue l’élément central de la thérapie** - Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider - **Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis**
75
Tr conversion - Traitement: Autres
- Épidémio - + fréquent ado / début 20aine - 0.3 % / an - 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1) - Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau - Ddx et comorbidités - Troubles dépressifs - Troubles anxieux - Événements traumatiques durant l’enfance - Abus de substances - Troubles de la personnalité - SEP / épilepsie - Pronostic - Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy - 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé - Traitement - Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique - La suggestion constitue l’élément central de la thérapie - **Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider** - **Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis**
76
Tr conversion - Traitement: Approche de résolutions de problèmes
- Épidémio - + fréquent ado / début 20aine - 0.3 % / an - 2-5 F : 1 H (enfants 1 : 1) - Facteurs de risque : milieux ruraux / faible scolarisation / défavorisation / pays en voie de développement - Étiologies - Un message général serait de délaisser la dichotomie traditionnelle de la médecine (soit physique, soit mentale). - Un patient se plaignant de troubles physiques chez lequel les tests reviennent normaux ne veut pas dire qu’il n’est pas maladie, les TSS étant une maladie. - Voir image + tableau explicatifs qui suivent le tableau - Ddx et comorbidités - Troubles dépressifs - Troubles anxieux - Événements traumatiques durant l’enfance - Abus de substances - Troubles de la personnalité - SEP / épilepsie - Pronostic - Favorable si d’apparition récente et absence de TP / autres patho psy - 50 – 90 % de rémission si hospitalisation avant le congé - **Traitement** - Consiste d’abord à établir une alliance thérapeutique - La suggestion constitue l’élément central de la thérapie - Physiothérapie / relaxation / hypnose peut aider - **Approche de résolutions de problèmes si stresseurs bien définis**
77
Tr. symptomatologie somatique VS Tr. de la crainte excessive d’avoir une maladie VS Tr. conversion - ce qui oriente vers un TSS plutôt qu'une maladie organique
* Certains indices peuvent orienter vers un TSS et permet d’éviter l’approche par exclusion traditionnelle ; * Tableau de sx vagues, diffus, fluctuants, difficile à circonscrire, chronique * Consultations médicales multiples et des ATCD chirurgicaux non spécifiques * Histoire développementale marquée par des sévices physiques ou sexuels/ carence affective / somatisations ou de maladies en bas âge chez les proches * Facteurs liés à l’apprentissage familial * Dysfonctionnement relationnel, social, professionnel de longue date * etc.
78
Autres troubles symptomatologiques somatiques
- Il est à noter que la colonne de « autres troubles symptomatologiques somatiques a été enlevé par absence d’information spécifique dans le Lalonde. - De plus, le trouble factice sera abordé séparément plus tard dans ce guide de lecture.
79
Facteurs bio-psycho-sociaux - Prédisposants - Précipitants - Perpétuants
80
Facteurs PRÉDISPOSANTS - Bio - Psycho - Sociaux
81
Facteurs PRÉDISPOSANTS - Biologique
- Génétique : non formellement prouvé, mais des tendances génétiques complexes semblent exister entre les syndromes somatiques fonctionnels (comme anxiété et dépression) - Dysfonctionnement de neurotransmetteurs : la 5HT et la NA sont mis en causes, des mécanismes de structures (SNC et corne postérieure de la moelle)
82
Facteurs PRÉDISPOSANTS - Biologique: Génétique
- **Génétique : non formellement prouvé, mais des tendances génétiques complexes semblent exister entre les syndromes somatiques fonctionnels (comme anxiété et dépression)** - Dysfonctionnement de neurotransmetteurs : la 5HT et la NA sont mis en causes, des mécanismes de structures (SNC et corne postérieure de la moelle)
83
Facteurs PRÉDISPOSANTS - Biologique: Dysfonctionnement de neurotransmetteur
- Génétique : non formellement prouvé, mais des tendances génétiques complexes semblent exister entre les syndromes somatiques fonctionnels (comme anxiété et dépression) - **Dysfonctionnement de neurotransmetteurs : la 5HT et la NA sont mis en causes, des mécanismes de structures (SNC et corne postérieure de la moelle)**
84
Facteurs PRÉDISPOSANTS - Psychologique
- Facteurs liés à la personnalité : divers auteurs amènent diverses théories. Certains voient ces troubles comme étant un trouble de personnalité considérant leur début précoce et les TP associés, d’autres les voient comme des fixations psychodynamiques freudiennes, d’autres expriment encore que les facteurs de la personnalité peuvent influencer la recherche de soins. - Recherche à la médecine traditionnelle lorsque la contemporaine offre peu d’écoute/réconfort (aussi social)
85
Facteurs PRÉDISPOSANTS - Psychologique: Personnalité
- **Facteurs liés à la personnalité : divers auteurs amènent diverses théories. Certains voient ces troubles comme étant un trouble de personnalité considérant leur début précoce et les TP associés, d’autres les voient comme des fixations psychodynamiques freudiennes, d’autres expriment encore que les facteurs de la personnalité peuvent influencer la recherche de soins**. - Recherche à la médecine traditionnelle lorsque la contemporaine offre peu d’écoute/réconfort (aussi social)
86
Facteurs PRÉDISPOSANTS - Psychologique: Médecine traditionnelle
- Facteurs liés à la personnalité : divers auteurs amènent diverses théories. Certains voient ces troubles comme étant un trouble de personnalité considérant leur début précoce et les TP associés, d’autres les voient comme des fixations psychodynamiques freudiennes, d’autres expriment encore que les facteurs de la personnalité peuvent influencer la recherche de soins. - **Recherche à la médecine traditionnelle lorsque la contemporaine offre peu d’écoute/réconfort (aussi social)**
87
Facteurs PRÉDISPOSANTS - Sociaux
- Facteurs développementaux : expérience infantile négative qui entraîne une vie dans une famille dysfonctionnelle, de la maltraitance, des abus physiques et sexuels, expériences précoces de maladies ou de vie avec des malades, et la perte de proches - Le style d’attachement à l’âge adulte (attachement anxieux et rigide) - Culture - Classe socioéconomique : une atteint préférentielle chez les classes faibles (défaut de verbalisation linguistique)
88
Facteurs PRÉDISPOSANTS - Sociaux: Facteurs développementaux
- **Facteurs développementaux : expérience infantile négative qui entraîne une vie dans une famille dysfonctionnelle, de la maltraitance, des abus physiques et sexuels, expériences précoces de maladies ou de vie avec des malades, et la perte de proches** - Le style d’attachement à l’âge adulte (attachement anxieux et rigide) - Culture - Classe socioéconomique : une atteint préférentielle chez les classes faibles (défaut de verbalisation linguistique)
89
Facteurs PRÉDISPOSANTS - Sociaux: Style d'attachement à l'âge adulte
- Facteurs développementaux : expérience infantile négative qui entraîne une vie dans une famille dysfonctionnelle, de la maltraitance, des abus physiques et sexuels, expériences précoces de maladies ou de vie avec des malades, et la perte de proches - **Le style d’attachement à l’âge adulte (attachement anxieux et rigide)** - Culture - Classe socioéconomique : une atteint préférentielle chez les classes faibles (défaut de verbalisation linguistique)
90
Facteurs PRÉDISPOSANTS - Sociaux: Culture
- Facteurs développementaux : expérience infantile négative qui entraîne une vie dans une famille dysfonctionnelle, de la maltraitance, des abus physiques et sexuels, expériences précoces de maladies ou de vie avec des malades, et la perte de proches - Le style d’attachement à l’âge adulte (attachement anxieux et rigide) - **Culture** - Classe socioéconomique : une atteint préférentielle chez les classes faibles (défaut de verbalisation linguistique)
91
Facteurs PRÉDISPOSANTS - Sociaux: Classe socio-économique
- Facteurs développementaux : expérience infantile négative qui entraîne une vie dans une famille dysfonctionnelle, de la maltraitance, des abus physiques et sexuels, expériences précoces de maladies ou de vie avec des malades, et la perte de proches - Le style d’attachement à l’âge adulte (attachement anxieux et rigide) - Culture - **Classe socioéconomique : une atteint préférentielle chez les classes faibles (défaut de verbalisation linguistique)**
92
Facteurs PRÉCIPITANTS - Bio - Psycho - Sociaux
93
Facteurs PRÉCIPITANTS - Biologique
- Traumatisme physique - Incidents mineurs de santé - Le stress est un facteur contributif au développement d’une somatisation, principalement via l’HHS et l’information sensorielle.
94
Facteurs PRÉCIPITANTS - Biologique: Trauma
- **Traumatisme physique** - Incidents mineurs de santé - Le stress est un facteur contributif au développement d’une somatisation, principalement via l’HHS et l’information sensorielle.
95
Facteurs PRÉCIPITANTS - Biologique: Santé
- Traumatisme physique - **Incidents mineurs de santé** - Le stress est un facteur contributif au développement d’une somatisation, principalement via l’HHS et l’information sensorielle.
96
Facteurs PRÉCIPITANTS - Biologique: Stress
- Traumatisme physique - Incidents mineurs de santé - **Le stress est un facteur contributif au développement d’une somatisation, principalement via l’HHS et l’information sensorielle**.
97
Facteurs PRÉCIPITANTS - Psychologique
- Difficulté au travail (aussi social) - Facteurs émotionnels : principalement des facteurs reliés à la régulation émotionnelle. Alexithymie / style d’adaptation répressif / mode d’attachement insécure sont associés - Deux stéréotypes de patient somatisant - Refoulé / inhibé contrôlant / obsédé de son corps, - Névrotique / hypersensible / histrionique / anxiété / dépression + plaintes dramatiques.
98
Facteurs PRÉCIPITANTS - Psychologique: travail
- **Difficulté au travail (aussi social)** - Facteurs émotionnels : principalement des facteurs reliés à la régulation émotionnelle. Alexithymie / style d’adaptation répressif / mode d’attachement insécure sont associés - Deux stéréotypes de patient somatisant - Refoulé / inhibé contrôlant / obsédé de son corps, - Névrotique / hypersensible / histrionique / anxiété / dépression + plaintes dramatiques.
99
Facteurs PRÉCIPITANTS - Psychologique: Facteurs émotionnels
- Difficulté au travail (aussi social) - **Facteurs émotionnels : principalement des facteurs reliés à la régulation émotionnelle. Alexithymie / style d’adaptation répressif / mode d’attachement insécure sont associés** - Deux stéréotypes de patient somatisant - Refoulé / inhibé contrôlant / obsédé de son corps, - Névrotique / hypersensible / histrionique / anxiété / dépression + plaintes dramatiques.
100
Facteurs PRÉCIPITANTS - Psychologique: Stéréotypes de patients somatisants
- Difficulté au travail (aussi social) - Facteurs émotionnels : principalement des facteurs reliés à la régulation émotionnelle. Alexithymie / style d’adaptation répressif / mode d’attachement insécure sont associés - **Deux stéréotypes de patient somatisant** - **Refoulé / inhibé contrôlant / obsédé de son corps**, - **Névrotique / hypersensible / histrionique / anxiété / dépression + plaintes dramatiques.**
101
Facteurs PRÉCIPITANTS - Psychologique: Stéréotypes de patients somatisants - nommez-les
- Difficulté au travail (aussi social) - Facteurs émotionnels : principalement des facteurs reliés à la régulation émotionnelle. Alexithymie / style d’adaptation répressif / mode d’attachement insécure sont associés - Deux stéréotypes de patient somatisant - Refoulé / inhibé contrôlant / obsédé de son corps, - Névrotique / hypersensible / histrionique / anxiété / dépression + plaintes dramatiques.
102
Facteurs PRÉCIPITANTS - Sociaux
- Tensions provoquées par des conflits familiaux
103
Facteurs PRÉCIPITANTS - Sociaux: Tensions
- Tensions provoquées par des conflits familiaux
104
Facteurs PERPÉTUANTS - Bio - Psycho - Sociaux
105
Facteurs PERPÉTUANTS - Bio
- Facteurs cognitifs : l’installation et le maintien de la somatisation découlent du style cognitif et perceptuel. - Des interférences inadaptées, des distorsions ou encore des croyances erronées sur la santé et le fonctionnement du corps peuvent être causales. - La plupart évalueront négativement des Sx bénins (selles molles, urines puantes).
106
Facteurs PERPÉTUANTS - Bio: facteurs cognitifs
- **Facteurs cognitifs : l’installation et le maintien de la somatisation découlent du style cognitif et perceptuel**. - Des interférences inadaptées, des distorsions ou encore des croyances erronées sur la santé et le fonctionnement du corps peuvent être causales. - La plupart évalueront négativement des Sx bénins (selles molles, urines puantes).
107
Facteurs PERPÉTUANTS - Bio: somatisation
- **Facteurs cognitifs : l’installation et le maintien de la somatisation découlent du style cognitif et perceptuel**. - Des interférences inadaptées, des distorsions ou encore des croyances erronées sur la santé et le fonctionnement du corps peuvent être causales. - La plupart évalueront négativement des Sx bénins (selles molles, urines puantes).
108
Facteurs PERPÉTUANTS - Bio: distorsions
- Facteurs cognitifs : l’installation et le maintien de la somatisation découlent du style cognitif et perceptuel. - **Des interférences inadaptées, des distorsions ou encore des croyances erronées sur la santé et le fonctionnement du corps peuvent être causales**. - La plupart évalueront négativement des Sx bénins (selles molles, urines puantes).
109
Facteurs PERPÉTUANTS - Bio: facteurs cognitifs - impact sur perception
- Facteurs cognitifs : l’installation et le maintien de la somatisation découlent du style cognitif et perceptuel. - Des interférences inadaptées, des distorsions ou encore des croyances erronées sur la santé et le fonctionnement du corps peuvent être causales. - **La plupart évalueront négativement des Sx bénins (selles molles, urines puantes).**
110
Facteurs PERPÉTUANTS - Psycho
- Troubles du sommeil, trouble dépressif et anxieux sont souvent comorbides. - La douleur provoque l’insomnie, de la fatigue s’installe et amplifie la douleur ressentie. - La dépression peut abaisser le seuil de la perception de la douleur. - Le « rôle du malade » sociétaire (moins d’exigence de performance, mais plus de rétablissement) peut être adopté comme le mode normal du patient. Malgré des désavantages, il y a tout de même des gains à avoir ce rôle : - Évitement de certaines activités - Mobilise le soutien et la sympathie - Maintien du partenaire dans un couple - Évitement de punition/blâme - La thérapie visera à minimiser ces gains
111
Facteurs PERPÉTUANTS - Psycho: tr sommeil et tr dépressif
- **Troubles du sommeil, trouble dépressif et anxieux sont souvent comorbides.** - **La douleur provoque l’insomnie, de la fatigue s’installe et amplifie la douleur ressentie**. - **La dépression peut abaisser le seuil de la perception de la douleur.** - Le « rôle du malade » sociétaire (moins d’exigence de performance, mais plus de rétablissement) peut être adopté comme le mode normal du patient. Malgré des désavantages, il y a tout de même des gains à avoir ce rôle : - Évitement de certaines activités - Mobilise le soutien et la sympathie - Maintien du partenaire dans un couple - Évitement de punition/blâme - La thérapie visera à minimiser ces gains
112
Facteurs PERPÉTUANTS - Psycho: lien entre insomnie, douleur et dépression
- **Troubles du sommeil, trouble dépressif et anxieux sont souvent comorbides**. - **La douleur provoque l’insomnie, de la fatigue s’installe et amplifie la douleur ressentie**. - **La dépression peut abaisser le seuil de la perception de la douleur.** - Le « rôle du malade » sociétaire (moins d’exigence de performance, mais plus de rétablissement) peut être adopté comme le mode normal du patient. Malgré des désavantages, il y a tout de même des gains à avoir ce rôle : - Évitement de certaines activités - Mobilise le soutien et la sympathie - Maintien du partenaire dans un couple - Évitement de punition/blâme - La thérapie visera à minimiser ces gains
113
Facteurs PERPÉTUANTS - Psycho: rôle du malade sociétaire
- Troubles du sommeil, trouble dépressif et anxieux sont souvent comorbides. - La douleur provoque l’insomnie, de la fatigue s’installe et amplifie la douleur ressentie. - La dépression peut abaisser le seuil de la perception de la douleur. - **Le « rôle du malade » sociétaire (moins d’exigence de performance, mais plus de rétablissement) peut être adopté comme le mode normal du patient. Malgré des désavantages, il y a tout de même des gains à avoir ce rôle** : - **Évitement de certaines activités** - **Mobilise le soutien et la sympathie** - **Maintien du partenaire dans un couple** - **Évitement de punition/blâme** - **La thérapie visera à minimiser ces gains**
114
Facteurs PERPÉTUANTS - Psycho: bénéfices du rôle de malade
- Troubles du sommeil, trouble dépressif et anxieux sont souvent comorbides. - La douleur provoque l’insomnie, de la fatigue s’installe et amplifie la douleur ressentie. - La dépression peut abaisser le seuil de la perception de la douleur. - **Le « rôle du malade » sociétaire (moins d’exigence de performance, mais plus de rétablissement) peut être adopté comme le mode normal du patient. Malgré des désavantages, il y a tout de même des gains à avoir ce rôle** : - **Évitement de certaines activités** - **Mobilise le soutien et la sympathie** - **Maintien du partenaire dans un couple** - **Évitement de punition/blâme** - **La thérapie visera à minimiser ces gains**
115
Facteurs PERPÉTUANTS - Psycho: rôle de la thérapie dans le rôle du malade
- Troubles du sommeil, trouble dépressif et anxieux sont souvent comorbides. - La douleur provoque l’insomnie, de la fatigue s’installe et amplifie la douleur ressentie. - La dépression peut abaisser le seuil de la perception de la douleur. - Le « rôle du malade » sociétaire (moins d’exigence de performance, mais plus de rétablissement) peut être adopté comme le mode normal du patient. Malgré des désavantages, il y a tout de même des gains à avoir ce rôle : - Évitement de certaines activités - Mobilise le soutien et la sympathie - Maintien du partenaire dans un couple - Évitement de punition/blâme - **La thérapie visera à minimiser ces gains**
116
Facteurs PERPÉTUANTS - Sociaux
- Surtout chez l’enfant, la somatisation peut être une manière de s’exprimer et devenir un mode privilégié de communication (dlr abdo pour éviter les abandons), ce qui traduit souvent des styles d’attachement insécure - Chez la personne âgée, bien que la maladie soit fréquente, il est également fréquent de rencontrer des somatisations. - À l’inverse, il faut faire attention aux changements « normaux » du vieillissement!
117
Facteurs PERPÉTUANTS - Sociaux: chez qui?
- **Surtout chez l’enfant**, la somatisation peut être une manière de s’exprimer et devenir un mode privilégié de communication (dlr abdo pour éviter les abandons), ce qui traduit souvent des styles d’attachement insécure - **Chez la personne âgée**, bien que la maladie soit fréquente, il est également fréquent de rencontrer des somatisations. - À l’inverse, il faut faire attention aux changements « normaux » du vieillissement!
118
Facteurs PERPÉTUANTS - Sociaux: chez l'enfant
- **Surtout chez l’enfant, la somatisation peut être une manière de s’exprimer et devenir un mode privilégié de communication (dlr abdo pour éviter les abandons), ce qui traduit souvent des styles d’attachement insécure** - Chez la personne âgée, bien que la maladie soit fréquente, il est également fréquent de rencontrer des somatisations. - À l’inverse, il faut faire attention aux changements « normaux » du vieillissement!
119
Facteurs PERPÉTUANTS - Sociaux: chez la personne âgée
- Surtout chez l’enfant, la somatisation peut être une manière de s’exprimer et devenir un mode privilégié de communication (dlr abdo pour éviter les abandons), ce qui traduit souvent des styles d’attachement insécure - **Chez la personne âgée, bien que la maladie soit fréquente, il est également fréquent de rencontrer des somatisations**. - **À l’inverse, il faut faire attention aux changements « normaux » du vieillissement!**
120
Facteurs PERPÉTUANTS - Sociaux: personne âgée - différencier de quoi?
- Surtout chez l’enfant, la somatisation peut être une manière de s’exprimer et devenir un mode privilégié de communication (dlr abdo pour éviter les abandons), ce qui traduit souvent des styles d’attachement insécure - Chez la personne âgée, bien que la maladie soit fréquente, il est également fréquent de rencontrer des somatisations. - **À l’inverse, il faut faire attention aux changements « normaux » du vieillissement!**
121
Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels
122
Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels - Nommez les facteurs précipitants
- Événements de vie - Stress non spécifique - Maladie organique - Tr dépressif et/ou anxieux
123
Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels - Nommez les facteurs prédisposants
- Génétiques - Apprentissage intrafamilial des conduites de maladie - ATCD médicaux - Maltraitance et traumatsimes - Culture et classe sociale - Personnalité
124
Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels - Sensations somatiques
- d'origine physiologique ou pathologique
125
Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels - conséquences des facteurs précipitants, précipitants et sensations somatiques
Interprétation des sensations corporelles comme symptômes (amplification somatique) - Attention sélective du corps - Attribution somatique - Inquiétudes concernat la santé
126
Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels - Amplification somatique
Interprétation des sensations corporelles comme symptômes (amplification somatique) - Attention sélective du corps - Attribution somatique - Inquiétudes concernat la santé
127
Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels - Nommez les facteurs biologiques et comportementaux perpétuants
- Manifestation physiologiques de l'émotion - Hyperventilation - Hyperalgésie - Déconditionnement musculaire - Troubles du sommeil - Recherche de réassurance
128
Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels - conséquences
- Recherche de soins - Symptômes chroniques - Invalidité
129
Modèle de la somatisation et des troubles de symptômes fonctionnels - Nommez les facteurs psychosociaux perpétuants
- Renforcement du rôle de malade par la famille et les proches - Dépression et anxiété - Iatrogénique - Systèmes de compensation (gains secondaires) - Conflits avec les organismes administratif
130
V ou F: Aucun facteur biologique ou génétique n’a été encore proposé dans l’étiologie du trouble à symptomatologie somatique
- Faux, voir image
131
Exemples explications de sx somatiques inexpliqués dans différentes cultures
- Le « mauvais œil » → bassin méditerranéen - Vaudou → Antilles - Possession démoniaque → Chrétienté
132
Exemples explications de sx somatiques inexpliqués dans différentes cultures - mauvais oeil
- **Le « mauvais œil » → bassin méditerranéen** - Vaudou → Antilles - Possession démoniaque → Chrétienté
133
Exemples explications de sx somatiques inexpliqués dans différentes cultures - vaudou
- Le « mauvais œil » → bassin méditerranéen - **Vaudou → Antilles** - Possession démoniaque → Chrétienté
134
Exemples explications de sx somatiques inexpliqués dans différentes cultures - possession démoniaque
- Le « mauvais œil » → bassin méditerranéen - Vaudou → Antilles - **Possession démoniaque → Chrétienté**
135
Type de personnalité associé aux tr lié à la somatisation
* Au niveau de l’étiologie, aucun. * On observe les trois troubles et aucun spécifique n’y semble associé. * On a précédemment cru à l’hystérie pour la conversion (Freud) puis les traits obsessionnels pour l’hypocondriaque. * Par contre, au niveau des comorbidités entraînant des dysfonctionnements, les plus marqués sont les personnalités évitante, paranoïde et obsessionnelle-compulsive.
136
Type de personnalité associé aux tr lié à la somatisation - Étiologie
* **Au niveau de l’étiologie, aucun**. * **On observe les trois troubles et aucun spécifique n’y semble associé.** * **On a précédemment cru à l’hystérie pour la conversion (Freud) puis les traits obsessionnels pour l’hypocondriaque**. * Par contre, au niveau des comorbidités entraînant des dysfonctionnements, les plus marqués sont les personnalités évitante, paranoïde et obsessionnelle-compulsive.
137
Type de personnalité associé aux tr lié à la somatisation - Nommez les types de personnalité associés
* Au niveau de l’étiologie, aucun. * On observe les trois troubles et aucun spécifique n’y semble associé. * On a précédemment cru à l’hystérie pour la conversion (Freud) puis les traits obsessionnels pour l’hypocondriaque. * **Par contre, au niveau des comorbidités entraînant des dysfonctionnements, les plus marqués sont les personnalités évitante, paranoïde et obsessionnelle-compulsive**.
138
Conversion: Types de symptômes
1. Moteurs 2. Systémiques 3. Sensoriels
139
Conversion: Types de sx - Moteurs: nommez-les
Moteurs : - Faiblesse / spasmes musculaires / paralysie / évanouissement - Troubles du mouvement - Troubles de la déglutition - Symptômes reliés au langage
140
Conversion: Types de sx - Systémiques: nommez-les
Systémiques : - Pseudo-convulsions / syncope - Symptômes cognitifs - Amnésie / état de transe ou de possession
141
Conversion: Types de sx - Sensoriels: nommez-les
Sensoriels : - Paresthésies - Anesthésies - Étourdissements - Déficits visuels / olfactifs / auditifs
142
Belle indifférence
* Un terme du Kaplan * La belle indifférence est évoquée lorsque le patient ne semble pas émotionnellement affecté par la gravité d’une condition aiguë / d'un symptômes. * Longtemps jugée pathognomonique de la conversion, elle n’est plus jugée essentielle, car on peut la retrouver dans différentes affections PSY ou neuro (ex. anosognosie, conversion post-AVC, paralysies…)
143
Belle indifférence: C'est quoi?
* **Un terme du Kaplan** * La belle indifférence est évoquée lorsque le patient ne semble pas émotionnellement affecté par la gravité d’une condition aiguë / d'un symptômes. * Longtemps jugée pathognomonique de la conversion, elle n’est plus jugée essentielle, car on peut la retrouver dans différentes affections PSY ou neuro (ex. anosognosie, conversion post-AVC, paralysies…)
144
Belle indifférence: Définir
* Un terme du Kaplan * **La belle indifférence est évoquée lorsque le patient ne semble pas émotionnellement affecté par la gravité d’une condition aiguë / d'un symptômes**. * Longtemps jugée pathognomonique de la conversion, elle n’est plus jugée essentielle, car on peut la retrouver dans différentes affections PSY ou neuro (ex. anosognosie, conversion post-AVC, paralysies…)
145
Belle indifférence: Pathognomonique
* Un terme du Kaplan * La belle indifférence est évoquée lorsque le patient ne semble pas émotionnellement affecté par la gravité d’une condition aiguë / d'un symptômes. * **Longtemps jugée pathognomonique de la conversion, elle n’est plus jugée essentielle, car on peut la retrouver dans différentes affections PSY ou neuro (ex. anosognosie, conversion post-AVC, paralysies…)**
146
Bénéfice: Primaire VS secondaire - les différencier
* Primaire : protection du rôle de malade et celui-ci profite ainsi de certains privilèges (soins et services) et est exempté de plusieurs responsabilités, à condition qu’il veuille retrouver son état de santé. * Bref : Offrir un environnement de soins dans le but de recouvrer la santé. * Secondaire : obtention de bénéfices secondaires (privilèges et fuite de certaines responsabilités) en adoptant un comportement de malade que l’on qualifie d’anormal (perpétuation du rôle de malade).
147
Bénéfice: Primaire VS secondaire - définir: bénéfice primaire
* **Primaire : protection du rôle de malade et celui-ci profite ainsi de certains privilèges (soins et services) et est exempté de plusieurs responsabilités, à condition qu’il veuille retrouver son état de santé**. * **Bref : Offrir un environnement de soins dans le but de recouvrer la santé**. * Secondaire : obtention de bénéfices secondaires (privilèges et fuite de certaines responsabilités) en adoptant un comportement de malade que l’on qualifie d’anormal (perpétuation du rôle de malade).
148
Bénéfice: Primaire VS secondaire - bénéfice primaire: bref
* Primaire : protection du rôle de malade et celui-ci profite ainsi de certains privilèges (soins et services) et est exempté de plusieurs responsabilités, à condition qu’il veuille retrouver son état de santé. * **Bref : Offrir un environnement de soins dans le but de recouvrer la santé.** * Secondaire : obtention de bénéfices secondaires (privilèges et fuite de certaines responsabilités) en adoptant un comportement de malade que l’on qualifie d’anormal (perpétuation du rôle de malade).
149
Bénéfice: Primaire VS secondaire - définir: bénéfice secondaire
* Primaire : protection du rôle de malade et celui-ci profite ainsi de certains privilèges (soins et services) et est exempté de plusieurs responsabilités, à condition qu’il veuille retrouver son état de santé. * Bref : Offrir un environnement de soins dans le but de recouvrer la santé. * **Secondaire : obtention de bénéfices secondaires (privilèges et fuite de certaines responsabilités) en adoptant un comportement de malade que l’on qualifie d’anormal (perpétuation du rôle de malade)**.
150
Facteurs contribuant à la chronicité des symptômes de somatisation - nommez-les
- Litige administratif - Attente d’une compensation - Croyances liées à une attribution somatique
151
Vrai ou faux : La personne souffrant du trouble « crainte excessive d’avoir une maladie » répond habituellement rapidement à une intervention de nature psychologique visant à rassurer. Justifiez.
* Faux, la personne est difficile à rassurer et le patient demeure préoccupé, même si les résultats sont normaux. * Ceci le porte à être hypervigilant et à surveiller ses signes corporels de façon excessive.
152
Tr crainte excessive d’avoir une maladie: Réponse à psychothérapie servant à le rassurer
* La personne est difficile à rassurer et le patient demeure préoccupé, même si les résultats sont normaux. * Ceci le porte à être hypervigilant et à surveiller ses signes corporels de façon excessive.
153
Somatisation: Types de facteurs pouvant précipiter les sx de somatisation
Voir schéma ci-haut expliquant les différentes étiologies et leurs interactions entre elles
154
Catégories diagnostiques de la symptomatologie somatique: Nommez-les
1. Trouble à symptomatologie somatique (DSM-5) 2. Troubles somatoformes (DSM-IV-TR) 3. Troubles somatoformes et autres (CIM-10)
155
Catégories diagnostiques de la symptomatologie somatique: Tr à symptomatologie somatique (DSM-5)
- Trouble à symptomatologie somatique - Crainte excessive d'avoir une maladie - Conversion (trouble à symptomatologie neurologique fonctionnelle) - Autres troubles spécifiés à symptomatologie somatique - Troubles non spécifiés à symptomatologie somatique - Facteurs psychologiques influençant une affection médicale - Trouble factice - Obsession d’une dysmorphie corporelle
156
Catégories diagnostiques de la symptomatologie somatique: Tr à symptomatologie somatique (DSM-5) - nommez-les
- Trouble à symptomatologie somatique - Crainte excessive d'avoir une maladie - Conversion (trouble à symptomatologie neurologique fonctionnelle) - Autres troubles spécifiés à symptomatologie somatique - Troubles non spécifiés à symptomatologie somatique - Facteurs psychologiques influençant une affection médicale - Trouble factice - Obsession d’une dysmorphie corporelle
157
Catégories diagnostiques de la symptomatologie somatique: Tr somatoformes (DSM-IV-TR)
- Trouble de somatisation - Trouble somatoforme indifférencié - Trouble douloureux - Hypocondrie (avec symptômes somatiques) - Hypocondrie (sans symptômes somatiques prédominants) - Trouble de conversion - Trouble somatoforme non spécifié - Catégorie incluse dans « autres conditions d’intérêt clinique » - Catégorie spécifique non incluse dans les troubles somatoformes - Trouble dysmorphique corporel
158
Catégories diagnostiques de la symptomatologie somatique: Tr somatoformes (DSM-IV-TR) - nommez-les
- Trouble de somatisation - Trouble somatoforme indifférencié - Trouble douloureux - Hypocondrie (avec symptômes somatiques) - Hypocondrie (sans symptômes somatiques prédominants) - Trouble de conversion - Trouble somatoforme non spécifié - Catégorie incluse dans « autres conditions d’intérêt clinique » - Catégorie spécifique non incluse dans les troubles somatoformes - Trouble dysmorphique corporel
159
Catégories diagnostiques de la symptomatologie somatique: Tr somatoformes et autres (CIM-10)
- Somatisation - Trouble somatoforme indifférencié - Syndrome douloureux somatoforme persistant - Trouble hypocondriaque - Trouble hypocondriaque (nosophobie) - Troubles dissociatifs (de conversion) - Troubles dissociatifs de la motricité et des organes de sens - Troubles moteurs dissociatifs - Convulsions dissociatives - Anesthésie dissociative et atteintes sensorielles - Troubles dissociatifs (de conversion) mixtes - Autres troubles dissociatifs (de conversion) - Troubles dissociatifs (de conversion) sans précision - Autres troubles somatoformes - Trouble somatoforme sans précision - Production intentionnelle ou simulation de symptômes ou d’incapacités, soit physiques, soit psychologiques (trouble factice) - Peur d’une dysmorphie corporelle
160
Catégories diagnostiques de la symptomatologie somatique: Tr somatoformes et autres (CIM-10) - nommez-les
- Somatisation - Trouble somatoforme indifférencié - Syndrome douloureux somatoforme persistant - Trouble hypocondriaque - Trouble hypocondriaque (nosophobie) - Troubles dissociatifs (de conversion) - Troubles dissociatifs de la motricité et des organes de sens - Troubles moteurs dissociatifs - Convulsions dissociatives - Anesthésie dissociative et atteintes sensorielles - Troubles dissociatifs (de conversion) mixtes - Autres troubles dissociatifs (de conversion) - Troubles dissociatifs (de conversion) sans précision - Autres troubles somatoformes - Trouble somatoforme sans précision - Production intentionnelle ou simulation de symptômes ou d’incapacités, soit physiques, soit psychologiques (trouble factice) - Peur d’une dysmorphie corporelle
161
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques
- A. Un ou plusieurs symptômes somatiques causes de détresse ou entraînant une altération significative de la vie quotidienne. - B. Pensées, sentiments ou comportements excessifs liés aux symptômes somatiques ou associés à des préoccupations sur la santé suscitées par ces symptômes, se manifestant par au moins un des symptômes suivants : - 1.Pensées persistantes et excessives concernant la gravité de ses symptômes. - 2.Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes. - 3.Temps et énergie excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé. - C. Bien qu’un symptôme spécifique puisse ne pas être continuellement présent, l’état symptomatique est durable (typiquement plus de 6 mois). - Spécifier si : - Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur. - Spécifier si : - Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois). - Spécifier la sévérité actuelle : - Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent. - Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents. - Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
162
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques - c'est quoi?
- **A. Un ou plusieurs symptômes somatiques causes de détresse ou entraînant une altération significative de la vie quotidienne**. - B. Pensées, sentiments ou comportements excessifs liés aux symptômes somatiques ou associés à des préoccupations sur la santé suscitées par ces symptômes, se manifestant par au moins un des symptômes suivants : - 1.Pensées persistantes et excessives concernant la gravité de ses symptômes. - 2.Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes. - 3.Temps et énergie excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé. - C. Bien qu’un symptôme spécifique puisse ne pas être continuellement présent, l’état symptomatique est durable (typiquement plus de 6 mois). - Spécifier si : - Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur. - Spécifier si : - Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois). - Spécifier la sévérité actuelle : - Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent. - Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents. - Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
163
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques - nb de sx nécessaires
- A. **Un ou plusieurs symptômes somatiques** causes de détresse ou entraînant une altération significative de la vie quotidienne. - B. Pensées, sentiments ou comportements excessifs liés aux symptômes somatiques ou associés à des préoccupations sur la santé suscitées par ces symptômes, se manifestant par au moins un des symptômes suivants : - 1.Pensées persistantes et excessives concernant la gravité de ses symptômes. - 2.Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes. - 3.Temps et énergie excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé. - C. Bien qu’un symptôme spécifique puisse ne pas être continuellement présent, l’état symptomatique est durable (typiquement plus de 6 mois). - Spécifier si : - Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur. - Spécifier si : - Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois). - Spécifier la sévérité actuelle : - Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent. - Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents. - Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
164
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques - impacts
- A. Un ou plusieurs symptômes somatiques **causes de détresse ou entraînant une altération significative de la vie quotidienne**. - B. Pensées, sentiments ou comportements excessifs liés aux symptômes somatiques ou associés à des préoccupations sur la santé suscitées par ces symptômes, se manifestant par au moins un des symptômes suivants : - 1.Pensées persistantes et excessives concernant la gravité de ses symptômes. - 2.Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes. - 3.Temps et énergie excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé. - C. Bien qu’un symptôme spécifique puisse ne pas être continuellement présent, l’état symptomatique est durable (typiquement plus de 6 mois). - Spécifier si : - Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur. - Spécifier si : - Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois). - Spécifier la sévérité actuelle : - Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent. - Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents. - Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
165
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques - nommez les symptômes
- A. Un ou plusieurs symptômes somatiques causes de détresse ou entraînant une altération significative de la vie quotidienne. - B. **Pensées, sentiments ou comportements excessifs liés aux symptômes somatiques ou associés à des préoccupations sur la santé suscitées par ces symptômes, se manifestant par au moins un des symptômes suivants** : - 1.**Pensées persistantes et excessives concernant la gravité de ses symptômes**. - 2.**Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes**. - 3.**Temps et énergie excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé**. - C. Bien qu’un symptôme spécifique puisse ne pas être continuellement présent, l’état symptomatique est durable (typiquement plus de 6 mois). - Spécifier si : - Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur. - Spécifier si : - Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois). - Spécifier la sévérité actuelle : - Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent. - Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents. - Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
166
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques - durée
- A. Un ou plusieurs symptômes somatiques causes de détresse ou entraînant une altération significative de la vie quotidienne. - B. Pensées, sentiments ou comportements excessifs liés aux symptômes somatiques ou associés à des préoccupations sur la santé suscitées par ces symptômes, se manifestant par au moins un des symptômes suivants : - 1.Pensées persistantes et excessives concernant la gravité de ses symptômes. - 2.Persistance d’un niveau élevé d’anxiété concernant la santé ou les symptômes. - 3.Temps et énergie excessifs dévolus à ces symptômes ou aux préoccupations concernant la santé. - C. **Bien qu’un symptôme spécifique puisse ne pas être continuellement présent, l’état symptomatique est durable (typiquement plus de 6 mois)**. - Spécifier si : - Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur. - Spécifier si : - Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois). - Spécifier la sévérité actuelle : - Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent. - Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents. - Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
167
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques - spécifications
- Spécifier si : - Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur. - Spécifier si : - Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois). - Spécifier la sévérité actuelle : - Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent. - Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents. - Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
168
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques - spécifications: douleur dominante
- **Spécifier si** : - **Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur**. - Spécifier si : - Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois). - Spécifier la sévérité actuelle : - Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent. - Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents. - Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
169
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques - spécifications: chronique
- Spécifier si : - Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur. - **Spécifier si** : - **Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois)**. - Spécifier la sévérité actuelle : - Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent. - Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents. - Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
170
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques - spécifications: sévérité
- Spécifier si : - Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur. - Spécifier si : - Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois). - **Spécifier la sévérité actuelle** : - **Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent**. - **Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents**. - **Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).**
171
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques - spécifications: sévérité - légère
- Spécifier si : - Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur. - Spécifier si : - Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois). - **Spécifier la sévérité actuelle** : - **Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent**. - Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents. - Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
172
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques - spécifications: sévérité - moyenne
- Spécifier si : - Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur. - Spécifier si : - Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois). - **Spécifier la sévérité actuelle** : - Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent. - **Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents**. - Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère).
173
Tr à symptomatologie somatique: Critères diagnostiques - spécifications: sévérité - grave
- Spécifier si : - Avec douleur prédominante (antérieurement trouble douloureux) : Cette spécification concerne les individus dont les symptômes somatiques comprennent principalement la douleur. - Spécifier si : - Chronique: Une évolution chronique est caractérisée par des symptômes sévères, un handicap marqué et une durée prolongée (plus de 6 mois). - Spécifier la sévérité actuelle : - Légère: Seulement l’un des symptômes spécifiés au critère B est présent. - Moyenne: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents. - **Grave: Deux symptômes ou plus spécifiés au critère B sont présents et sont associés à des plaintes somatiques multiples (ou à un symptôme somatique très sévère)**.
174
Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques
- A. Préoccupation concernant le fait d’avoir ou de développer une maladie grave. - B. Les symptômes somatiques sont absents ou s’ils sont présents, ils sont d’intensité mineure. Si un autre problème médical est présent ou en cas de risque notable de développement d’une affection médicale (p. ex., du fait de la présence d’antécédents familiaux importants), la préoccupation est clairement excessive ou disproportionnée. - C. Il existe un degré important d’anxiété concernant la santé et la personne s’inquiète facilement de son état de santé personnel. - D. La personne présente des comportements excessifs par rapport à sa santé (p. ex., effectue des vérifications répétées de son corps à la recherche des signes d’une maladie) ou présente un évitement inadapté (p. ex., évite les rendez-vous médicaux et les hôpitaux). - E. Les préoccupations concernant la maladie sont présentes depuis au moins 6 mois mais la nature de la maladie qui est spécifiquement anticipée peut avoir changé durant cette période de temps. - F. La préoccupation relative aux maladies n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental tel que : - un trouble à symptomatologie somatique, - un trouble panique, - une anxiété généralisée, - une obsession de dysmorphie corporelle, - un trouble obsessionnel-compulsif, - un trouble délirant à type somatique. - Spécifier le type : - À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente. - À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
175
Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques - c'est quoi?
- **A. Préoccupation concernant le fait d’avoir ou de développer une maladie grave**. - B. Les symptômes somatiques sont absents ou s’ils sont présents, ils sont d’intensité mineure. Si un autre problème médical est présent ou en cas de risque notable de développement d’une affection médicale (p. ex., du fait de la présence d’antécédents familiaux importants), la préoccupation est clairement excessive ou disproportionnée. - C. Il existe un degré important d’anxiété concernant la santé et la personne s’inquiète facilement de son état de santé personnel. - D. La personne présente des comportements excessifs par rapport à sa santé (p. ex., effectue des vérifications répétées de son corps à la recherche des signes d’une maladie) ou présente un évitement inadapté (p. ex., évite les rendez-vous médicaux et les hôpitaux). - E. Les préoccupations concernant la maladie sont présentes depuis au moins 6 mois mais la nature de la maladie qui est spécifiquement anticipée peut avoir changé durant cette période de temps. - F. La préoccupation relative aux maladies n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental tel que : - un trouble à symptomatologie somatique, - un trouble panique, - une anxiété généralisée, - une obsession de dysmorphie corporelle, - un trouble obsessionnel-compulsif, - un trouble délirant à type somatique. - Spécifier le type : - À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente. - À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
176
Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques - symptômes somatiques
- A. Préoccupation concernant le fait d’avoir ou de développer une maladie grave. - B. **Les symptômes somatiques sont absents ou s’ils sont présents, ils sont d’intensité mineure. Si un autre problème médical est présent ou en cas de risque notable de développement d’une affection médicale (p. ex., du fait de la présence d’antécédents familiaux importants), la préoccupation est clairement excessive ou disproportionnée**. - C. Il existe un degré important d’anxiété concernant la santé et la personne s’inquiète facilement de son état de santé personnel. - D. La personne présente des comportements excessifs par rapport à sa santé (p. ex., effectue des vérifications répétées de son corps à la recherche des signes d’une maladie) ou présente un évitement inadapté (p. ex., évite les rendez-vous médicaux et les hôpitaux). - E. Les préoccupations concernant la maladie sont présentes depuis au moins 6 mois mais la nature de la maladie qui est spécifiquement anticipée peut avoir changé durant cette période de temps. - F. La préoccupation relative aux maladies n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental tel que : - un trouble à symptomatologie somatique, - un trouble panique, - une anxiété généralisée, - une obsession de dysmorphie corporelle, - un trouble obsessionnel-compulsif, - un trouble délirant à type somatique. - Spécifier le type : - À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente. - À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
177
Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques - si autre problème médical présent
- A. Préoccupation concernant le fait d’avoir ou de développer une maladie grave. - B. Les symptômes somatiques sont absents ou s’ils sont présents, ils sont d’intensité mineure. **Si un autre problème médical est présent ou en cas de risque notable de développement d’une affection médicale (p. ex., du fait de la présence d’antécédents familiaux importants), la préoccupation est clairement excessive ou disproportionnée.** - C. Il existe un degré important d’anxiété concernant la santé et la personne s’inquiète facilement de son état de santé personnel. - D. La personne présente des comportements excessifs par rapport à sa santé (p. ex., effectue des vérifications répétées de son corps à la recherche des signes d’une maladie) ou présente un évitement inadapté (p. ex., évite les rendez-vous médicaux et les hôpitaux). - E. Les préoccupations concernant la maladie sont présentes depuis au moins 6 mois mais la nature de la maladie qui est spécifiquement anticipée peut avoir changé durant cette période de temps. - F. La préoccupation relative aux maladies n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental tel que : - un trouble à symptomatologie somatique, - un trouble panique, - une anxiété généralisée, - une obsession de dysmorphie corporelle, - un trouble obsessionnel-compulsif, - un trouble délirant à type somatique. - Spécifier le type : - À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente. - À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
178
Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques - anxiété
- A. Préoccupation concernant le fait d’avoir ou de développer une maladie grave. - B. Les symptômes somatiques sont absents ou s’ils sont présents, ils sont d’intensité mineure. Si un autre problème médical est présent ou en cas de risque notable de développement d’une affection médicale (p. ex., du fait de la présence d’antécédents familiaux importants), la préoccupation est clairement excessive ou disproportionnée. - C. **Il existe un degré important d’anxiété concernant la santé et la personne s’inquiète facilement de son état de santé personnel.** - D. La personne présente des comportements excessifs par rapport à sa santé (p. ex., effectue des vérifications répétées de son corps à la recherche des signes d’une maladie) ou présente un évitement inadapté (p. ex., évite les rendez-vous médicaux et les hôpitaux). - E. Les préoccupations concernant la maladie sont présentes depuis au moins 6 mois mais la nature de la maladie qui est spécifiquement anticipée peut avoir changé durant cette période de temps. - F. La préoccupation relative aux maladies n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental tel que : - un trouble à symptomatologie somatique, - un trouble panique, - une anxiété généralisée, - une obsession de dysmorphie corporelle, - un trouble obsessionnel-compulsif, - un trouble délirant à type somatique. - Spécifier le type : - À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente. - À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
179
Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques - impacts
- A. Préoccupation concernant le fait d’avoir ou de développer une maladie grave. - B. Les symptômes somatiques sont absents ou s’ils sont présents, ils sont d’intensité mineure. Si un autre problème médical est présent ou en cas de risque notable de développement d’une affection médicale (p. ex., du fait de la présence d’antécédents familiaux importants), la préoccupation est clairement excessive ou disproportionnée. - C. Il existe un degré important d’anxiété concernant la santé et la personne s’inquiète facilement de son état de santé personnel. - D. **La personne présente des *comportements excessifs* par rapport à sa santé (p. ex., effectue des vérifications répétées de son corps à la recherche des signes d’une maladie) ou présente un *évitement inadapté* (p. ex., évite les rendez-vous médicaux et les hôpitaux)**. - E. Les préoccupations concernant la maladie sont présentes depuis au moins 6 mois mais la nature de la maladie qui est spécifiquement anticipée peut avoir changé durant cette période de temps. - F. La préoccupation relative aux maladies n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental tel que : - un trouble à symptomatologie somatique, - un trouble panique, - une anxiété généralisée, - une obsession de dysmorphie corporelle, - un trouble obsessionnel-compulsif, - un trouble délirant à type somatique. - Spécifier le type : - À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente. - À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
180
Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques - durée
- A. Préoccupation concernant le fait d’avoir ou de développer une maladie grave. - B. Les symptômes somatiques sont absents ou s’ils sont présents, ils sont d’intensité mineure. Si un autre problème médical est présent ou en cas de risque notable de développement d’une affection médicale (p. ex., du fait de la présence d’antécédents familiaux importants), la préoccupation est clairement excessive ou disproportionnée. - C. Il existe un degré important d’anxiété concernant la santé et la personne s’inquiète facilement de son état de santé personnel. - D. La personne présente des comportements excessifs par rapport à sa santé (p. ex., effectue des vérifications répétées de son corps à la recherche des signes d’une maladie) ou présente un évitement inadapté (p. ex., évite les rendez-vous médicaux et les hôpitaux). - E. **Les préoccupations concernant la maladie sont présentes depuis au moins 6 mois mais la nature de la maladie qui est spécifiquement anticipée peut avoir changé durant cette période de temps.** - F. La préoccupation relative aux maladies n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental tel que : - un trouble à symptomatologie somatique, - un trouble panique, - une anxiété généralisée, - une obsession de dysmorphie corporelle, - un trouble obsessionnel-compulsif, - un trouble délirant à type somatique. - Spécifier le type : - À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente. - À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
181
Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques - exclure quoi?
- A. Préoccupation concernant le fait d’avoir ou de développer une maladie grave. - B. Les symptômes somatiques sont absents ou s’ils sont présents, ils sont d’intensité mineure. Si un autre problème médical est présent ou en cas de risque notable de développement d’une affection médicale (p. ex., du fait de la présence d’antécédents familiaux importants), la préoccupation est clairement excessive ou disproportionnée. - C. Il existe un degré important d’anxiété concernant la santé et la personne s’inquiète facilement de son état de santé personnel. - D. La personne présente des comportements excessifs par rapport à sa santé (p. ex., effectue des vérifications répétées de son corps à la recherche des signes d’une maladie) ou présente un évitement inadapté (p. ex., évite les rendez-vous médicaux et les hôpitaux). - E. Les préoccupations concernant la maladie sont présentes depuis au moins 6 mois mais la nature de la maladie qui est spécifiquement anticipée peut avoir changé durant cette période de temps. - F. **La préoccupation relative aux maladies n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental tel que** : - **un trouble à symptomatologie somatique**, - **un trouble panique**, - **une anxiété généralisée**, - **une obsession de dysmorphie corporelle**, - **un trouble obsessionnel-compulsif**, - **un trouble délirant à type somatique**. - Spécifier le type : - À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente. - À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
182
Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques - spécifications
- Spécifier le type : - À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente. - À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
183
Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques - spécifications: types
- Spécifier le type : - **À type de demande de soins**: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente. - **À type évitant les soins**: les soins médicaux sont rarement utilisés.
184
Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques - spécifications: type demande de soins
- Spécifier le type : - **À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente.** - À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés.
185
Crainte excessive d’avoir une maladie: Critères diagnostiques - spécifications: type évitant les soins
- Spécifier le type : - À type de demande de soins: Les soins médicaux incluant les visites chez des médecins ou les examens complémentaires sont utilisés de façon fréquente. - **À type évitant les soins: les soins médicaux sont rarement utilisés**.
186
Trouble de conversion: Synonyme
Trouble à symptomatologie neurologique fonctionnelle
187
Tr de conversion: Critères diagnostiques
- A. Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles. - B. Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnue. - C. Les symptômes ou les handicaps ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble médical ou mental. - D. Le symptôme ou le handicap entraîne une détresse ou une altération cliniquement signicative dans le domaine du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, ou nécessite une évaluation médicale. - Spécifier le type de symptôme : - Avec faiblesse ou paralysie - Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche) - Avec des symptômes de déglutition - Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation) - Avec attaques ou crises épileptiformes - Avec anesthésie ou perte sensorielle - Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition) - Avec symptômes associés - Spécifier si : - Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois. - Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus. - Spécifier si : - Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress) - Sans facteur de stress psychologique
188
Tr de conversion: Critères diagnostiques - c'est quoi?
- A. **Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles**. - B. Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnue. - C. Les symptômes ou les handicaps ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble médical ou mental. - D. Le symptôme ou le handicap entraîne une détresse ou une altération cliniquement signicative dans le domaine du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, ou nécessite une évaluation médicale. - Spécifier le type de symptôme : - Avec faiblesse ou paralysie - Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche) - Avec des symptômes de déglutition - Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation) - Avec attaques ou crises épileptiformes - Avec anesthésie ou perte sensorielle - Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition) - Avec symptômes associés - Spécifier si : - Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois. - Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus. - Spécifier si : - Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress) - Sans facteur de stress psychologique
189
Tr de conversion: Critères diagnostiques - nb de symptômes
- A. **Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles.** - B. Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnue. - C. Les symptômes ou les handicaps ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble médical ou mental. - D. Le symptôme ou le handicap entraîne une détresse ou une altération cliniquement signicative dans le domaine du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, ou nécessite une évaluation médicale. - Spécifier le type de symptôme : - Avec faiblesse ou paralysie - Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche) - Avec des symptômes de déglutition - Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation) - Avec attaques ou crises épileptiformes - Avec anesthésie ou perte sensorielle - Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition) - Avec symptômes associés - Spécifier si : - Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois. - Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus. - Spécifier si : - Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress) - Sans facteur de stress psychologique
190
Tr de conversion: Critères diagnostiques - type de symptômes
- A. Un ou plusieurs symptômes **d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles**. - B. Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnue. - C. Les symptômes ou les handicaps ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble médical ou mental. - D. Le symptôme ou le handicap entraîne une détresse ou une altération cliniquement signicative dans le domaine du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, ou nécessite une évaluation médicale. - Spécifier le type de symptôme : - Avec faiblesse ou paralysie - Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche) - Avec des symptômes de déglutition - Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation) - Avec attaques ou crises épileptiformes - Avec anesthésie ou perte sensorielle - Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition) - Avec symptômes associés - Spécifier si : - Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois. - Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus. - Spécifier si : - Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress) - Sans facteur de stress psychologique
191
Tr de conversion: Critères diagnostiques - ce que démontrent les données cliniques
- A. Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles. - B. **Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnue**. - C. Les symptômes ou les handicaps ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble médical ou mental. - D. Le symptôme ou le handicap entraîne une détresse ou une altération cliniquement signicative dans le domaine du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, ou nécessite une évaluation médicale. - Spécifier le type de symptôme : - Avec faiblesse ou paralysie - Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche) - Avec des symptômes de déglutition - Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation) - Avec attaques ou crises épileptiformes - Avec anesthésie ou perte sensorielle - Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition) - Avec symptômes associés - Spécifier si : - Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois. - Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus. - Spécifier si : - Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress) - Sans facteur de stress psychologique
192
Tr de conversion: Critères diagnostiques - exclure quoi?
- A. Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles. - B. Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnue. - C. **Les symptômes ou les handicaps ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble médical ou mental**. - D. Le symptôme ou le handicap entraîne une détresse ou une altération cliniquement signicative dans le domaine du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, ou nécessite une évaluation médicale. - Spécifier le type de symptôme : - Avec faiblesse ou paralysie - Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche) - Avec des symptômes de déglutition - Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation) - Avec attaques ou crises épileptiformes - Avec anesthésie ou perte sensorielle - Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition) - Avec symptômes associés - Spécifier si : - Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois. - Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus. - Spécifier si : - Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress) - Sans facteur de stress psychologique
193
Tr de conversion: Critères diagnostiques - impacts
- A. Un ou plusieurs symptômes d’altération de la motricité volontaire ou des fonctions sensorielles. - B. Les données cliniques démontrent l’incompatibilité entre les symptômes et une affection neurologique ou médicale reconnue. - C. Les symptômes ou les handicaps ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble médical ou mental. - D. **Le symptôme ou le handicap entraîne une détresse ou une altération cliniquement significative dans le domaine du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, ou nécessite une évaluation médicale.** - Spécifier le type de symptôme : - Avec faiblesse ou paralysie - Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche) - Avec des symptômes de déglutition - Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation) - Avec attaques ou crises épileptiformes - Avec anesthésie ou perte sensorielle - Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition) - Avec symptômes associés - Spécifier si : - Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois. - Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus. - Spécifier si : - Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress) - Sans facteur de stress psychologique
194
Tr de conversion: Critères - spécifications
- Spécifier le type de symptôme : - Avec faiblesse ou paralysie - Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche) - Avec des symptômes de déglutition - Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation) - Avec attaques ou crises épileptiformes - Avec anesthésie ou perte sensorielle - Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition) - Avec symptômes associés - Spécifier si : - Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois. - Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus. - Spécifier si : - Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress) - Sans facteur de stress psychologique
195
Tr de conversion: Critères - spécifications: types de symptômes
- **Spécifier le type de symptôme** : - **Avec faiblesse ou paralysie** - **Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche)** - **Avec des symptômes de déglutition** - **Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation)** - **Avec attaques ou crises épileptiformes** - **Avec anesthésie ou perte sensorielle** - **Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition)** - **Avec symptômes associés** - Spécifier si : - Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois. - Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus. - Spécifier si : - Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress) - Sans facteur de stress psychologique
196
Tr de conversion: Critères - spécifications: chronique vs aigu
- Spécifier le type de symptôme : - Avec faiblesse ou paralysie - Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche) - Avec des symptômes de déglutition - Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation) - Avec attaques ou crises épileptiformes - Avec anesthésie ou perte sensorielle - Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition) - Avec symptômes associés - **Spécifier si** : - **Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois.** - **Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus**. - Spécifier si : - Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress) - Sans facteur de stress psychologique
197
Tr de conversion: Critères - spécifications: facteur de stress
- Spécifier le type de symptôme : - Avec faiblesse ou paralysie - Avec mouvements anormaux(p. ex., tremblements, mouvements dystoniques, myoclonies, trouble de la marche) - Avec des symptômes de déglutition - Avec des troubles de l’élocution (p. ex., dysphonie, trouble de l’articulation) - Avec attaques ou crises épileptiformes - Avec anesthésie ou perte sensorielle - Avec symptôme sensoriel spécifique (p. ex., perturbations visuelles, olfactives ou de l’audition) - Avec symptômes associés - Spécifier si : - Épisode aigu: symptômes présents depuis moins de 6 mois. - Persistant: symptômes survenant depuis 6 mois ou plus. - **Spécifier si** : - **Avec facteur de stress psychologique (spécifier le facteur de stress)** - **Sans facteur de stress psychologique**
198
Autres tr spécifiés et non spécifiés à symptomatologie somatique
Cette catégorie s’applique aux présentations dans lesquelles des symptômes caractéristiques d’un trouble à symptomatologie somatique, entraînant une détresse significative ou un handicap social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, prédominent sans remplir toutefois l’ensemble des critères de l’un des troubles de cette classe. Les exemples de présentations qui peuvent répondre au qualificatif de « autre trouble spécifié » comprennent les troubles suivants : - A.Trouble à symptomatologie somatique, brève: Durée des symptômes de moins 6 mois. - B.Crainte excessive d’avoir une maladie,brève : Durée des symptômes de moins 6 mois. - C.Crainte excessive d’avoir une maladie,sans comportement excessif relatif à la santé : Le critère D de la crainte excessive d’avoir une maladie n’est pas rempli. - D.Grossesse nerveuse (pseudocyèse): Conviction erronée d’être enceinte associée à des signes objectifs et des symptômes associés à la grossesse.
199
Autres tr spécifiés et non spécifiés à symptomatologie somatique - définir
**Cette catégorie s’applique aux présentations dans lesquelles des symptômes caractéristiques d’un trouble à symptomatologie somatique, entraînant une détresse significative ou un handicap social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, prédominent sans remplir toutefois l’ensemble des critères de l’un des troubles de cette classe**. Les exemples de présentations qui peuvent répondre au qualificatif de « autre trouble spécifié » comprennent les troubles suivants : - A.Trouble à symptomatologie somatique, brève: Durée des symptômes de moins 6 mois. - B.Crainte excessive d’avoir une maladie,brève : Durée des symptômes de moins 6 mois. - C.Crainte excessive d’avoir une maladie,sans comportement excessif relatif à la santé : Le critère D de la crainte excessive d’avoir une maladie n’est pas rempli. - D.Grossesse nerveuse (pseudocyèse): Conviction erronée d’être enceinte associée à des signes objectifs et des symptômes associés à la grossesse.
200
Autres tr spécifiés et non spécifiés à symptomatologie somatique - impacts
Cette catégorie s’applique aux présentations dans lesquelles des symptômes caractéristiques d’un trouble à symptomatologie somatique, **entraînant une détresse significative ou un handicap social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, prédominent sans remplir toutefois l’ensemble des critères de l’un des troubles de cette classe**. Les exemples de présentations qui peuvent répondre au qualificatif de « autre trouble spécifié » comprennent les troubles suivants : - A.Trouble à symptomatologie somatique, brève: Durée des symptômes de moins 6 mois. - B.Crainte excessive d’avoir une maladie,brève : Durée des symptômes de moins 6 mois. - C.Crainte excessive d’avoir une maladie,sans comportement excessif relatif à la santé : Le critère D de la crainte excessive d’avoir une maladie n’est pas rempli. - D.Grossesse nerveuse (pseudocyèse): Conviction erronée d’être enceinte associée à des signes objectifs et des symptômes associés à la grossesse.
201
Autres tr spécifiés et non spécifiés à symptomatologie somatique - exemples de présentations
Cette catégorie s’applique aux présentations dans lesquelles des symptômes caractéristiques d’un trouble à symptomatologie somatique, entraînant une détresse significative ou un handicap social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, prédominent sans remplir toutefois l’ensemble des critères de l’un des troubles de cette classe. **Les exemples de présentations qui peuvent répondre au qualificatif de « autre trouble spécifié » comprennent les troubles suivants** : - A.**Trouble à symptomatologie somatique, brève**: Durée des symptômes de moins 6 mois. - B.**Crainte excessive d’avoir une maladie,brève** : Durée des symptômes de moins 6 mois. - C.**Crainte excessive d’avoir une maladie,sans comportement excessif relatif à la santé** : Le critère D de la crainte excessive d’avoir une maladie n’est pas rempli. - D.**Grossesse nerveuse (pseudocyèse)**: Conviction erronée d’être enceinte associée à des signes objectifs et des symptômes associés à la grossesse.
202
Autres tr spécifiés et non spécifiés à symptomatologie somatique - exemples de présentations: tr à symptomatologie brève
Cette catégorie s’applique aux présentations dans lesquelles des symptômes caractéristiques d’un trouble à symptomatologie somatique, entraînant une détresse significative ou un handicap social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, prédominent sans remplir toutefois l’ensemble des critères de l’un des troubles de cette classe. Les exemples de présentations qui peuvent répondre au qualificatif de « autre trouble spécifié » comprennent les troubles suivants : - **A.Trouble à symptomatologie somatique, brève: Durée des symptômes de moins 6 mois**. - B.Crainte excessive d’avoir une maladie,brève : Durée des symptômes de moins 6 mois. - C.Crainte excessive d’avoir une maladie,sans comportement excessif relatif à la santé : Le critère D de la crainte excessive d’avoir une maladie n’est pas rempli. - D.Grossesse nerveuse (pseudocyèse): Conviction erronée d’être enceinte associée à des signes objectifs et des symptômes associés à la grossesse.
203
Autres tr spécifiés et non spécifiés à symptomatologie somatique - exemples de présentations: Crainte excessive d’avoir une maladie brève
Cette catégorie s’applique aux présentations dans lesquelles des symptômes caractéristiques d’un trouble à symptomatologie somatique, entraînant une détresse significative ou un handicap social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, prédominent sans remplir toutefois l’ensemble des critères de l’un des troubles de cette classe. Les exemples de présentations qui peuvent répondre au qualificatif de « autre trouble spécifié » comprennent les troubles suivants : - A.Trouble à symptomatologie somatique, brève: Durée des symptômes de moins 6 mois. - **B.Crainte excessive d’avoir une maladie,brève : Durée des symptômes de moins 6 mois**. - C.Crainte excessive d’avoir une maladie,sans comportement excessif relatif à la santé : Le critère D de la crainte excessive d’avoir une maladie n’est pas rempli. - D.Grossesse nerveuse (pseudocyèse): Conviction erronée d’être enceinte associée à des signes objectifs et des symptômes associés à la grossesse.
204
Autres tr spécifiés et non spécifiés à symptomatologie somatique - exemples de présentations: Crainte excessive d’avoir une maladie sans comportement excessif relatif à la santé
Cette catégorie s’applique aux présentations dans lesquelles des symptômes caractéristiques d’un trouble à symptomatologie somatique, entraînant une détresse significative ou un handicap social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, prédominent sans remplir toutefois l’ensemble des critères de l’un des troubles de cette classe. Les exemples de présentations qui peuvent répondre au qualificatif de « autre trouble spécifié » comprennent les troubles suivants : - A.Trouble à symptomatologie somatique, brève: Durée des symptômes de moins 6 mois. - B.Crainte excessive d’avoir une maladie,brève : Durée des symptômes de moins 6 mois. - **C.Crainte excessive d’avoir une maladie,sans comportement excessif relatif à la santé : Le critère D de la crainte excessive d’avoir une maladie n’est pas rempli**. - D.Grossesse nerveuse (pseudocyèse): Conviction erronée d’être enceinte associée à des signes objectifs et des symptômes associés à la grossesse.
205
Autres tr spécifiés et non spécifiés à symptomatologie somatique - exemples de présentations: Grossesse nerveuse (pseudocyèse)
Cette catégorie s’applique aux présentations dans lesquelles des symptômes caractéristiques d’un trouble à symptomatologie somatique, entraînant une détresse significative ou un handicap social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, prédominent sans remplir toutefois l’ensemble des critères de l’un des troubles de cette classe. Les exemples de présentations qui peuvent répondre au qualificatif de « autre trouble spécifié » comprennent les troubles suivants : - A.Trouble à symptomatologie somatique, brève: Durée des symptômes de moins 6 mois. - B.Crainte excessive d’avoir une maladie,brève : Durée des symptômes de moins 6 mois. - C.Crainte excessive d’avoir une maladie,sans comportement excessif relatif à la santé : Le critère D de la crainte excessive d’avoir une maladie n’est pas rempli. - **D.Grossesse nerveuse (pseudocyèse): Conviction erronée d’être enceinte associée à des signes objectifs et des symptômes associés à la grossesse**.
206
TSS: Nom long
Trouble à symptomatologie somatoforme
207
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitements globaux
* L’aspect fondamental avec ce type de patient est l’alliance thérapeutique entre le patient et le médecin * Approche générale globale * Modèle de réattribution * Traitement psychopharmacologique * Activation physique * Approches psychothérapeutiques spécifiques
208
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement - aspect fondamental
* L’aspect fondamental avec ce type de patient est l’alliance thérapeutique entre le patient et le médecin
209
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement - Approche générale globale
Approche générale globale : le traitement des TSS requiert certaines habiletés thérapeutiques et des attitudes particulières de la part du médecin. Une bonne relation médecin-malade constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique. La méthode d’évaluation est double : - Déterminer la présence ou non d’une pathologie physique - Acquérir une meilleure connaissance du malade, de ses perceptions et de ses préoccupations à l’égard de la maladie.
210
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement - Approche générale globale: meilleur outil
**Approche générale globale : le traitement des TSS requiert certaines habiletés thérapeutiques et des attitudes particulières de la part du médecin. Une bonne relation médecin-malade constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique.** La méthode d’évaluation est double : - Déterminer la présence ou non d’une pathologie physique - Acquérir une meilleure connaissance du malade, de ses perceptions et de ses préoccupations à l’égard de la maladie.
211
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement - Approche générale globale: habiletés nécessaires
**Approche générale globale : le traitement des TSS requiert certaines habiletés thérapeutiques et des attitudes particulières de la part du médecin**. Une bonne relation médecin-malade constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique. La méthode d’évaluation est double : - Déterminer la présence ou non d’une pathologie physique - Acquérir une meilleure connaissance du malade, de ses perceptions et de ses préoccupations à l’égard de la maladie.
212
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement - Approche générale globale: type de méthode d'évaluation
Approche générale globale : le traitement des TSS requiert certaines habiletés thérapeutiques et des attitudes particulières de la part du médecin. Une bonne relation médecin-malade constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique. **La méthode d’évaluation est *double*** : - Déterminer la présence ou non d’une **pathologie physique** - Acquérir une **meilleure connaissance du malade**, de ses perceptions et de ses préoccupations à l’égard de la maladie.
213
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement - Approche générale globale: définir / décrire ce qu'est la méthode d'évaluation double
Approche générale globale : le traitement des TSS requiert certaines habiletés thérapeutiques et des attitudes particulières de la part du médecin. Une bonne relation médecin-malade constitue le principal outil diagnostique et thérapeutique. **La méthode d’évaluation est double** : - **Déterminer la présence ou non d’une pathologie physique** - **Acquérir une meilleure connaissance du malade, de ses perceptions et de ses préoccupations à l’égard de la maladie.**
214
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement - Objectif thérapeutique
- L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise. - Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade. - Dans ce sens, il faut : - Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien) - Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin. - Identifier les traits ou les troubles de personnalité - Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique - Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés - Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
215
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement - Objectif thérapeutique: nommez-les
- **L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise**. - Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade. - Dans ce sens, il faut : - Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien) - Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin. - Identifier les traits ou les troubles de personnalité - Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique - Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés - Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
216
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement - Objectif thérapeutique: ce qui limite les changements du malade
- L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise. - **Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade.** - Dans ce sens, il faut : - Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien) - Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin. - Identifier les traits ou les troubles de personnalité - Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique - Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés - Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
217
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement - Objectif thérapeutique: ce qui est conseillé de faire
- L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise. - Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade. - **Dans ce sens, il faut** : - **Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien)** - **Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin**. - **Identifier les traits ou les troubles de personnalité** - **Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique** - **Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés** - **Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle**.
218
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement - Objectif thérapeutique: alliance thérapeutique
- L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise. - Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade. - Dans ce sens, il faut : - **Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien)** - Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin. - Identifier les traits ou les troubles de personnalité - Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique - Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés - Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
219
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement - Objectif thérapeutique: suivi
- L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise. - Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade. - Dans ce sens, il faut : - Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien) - **Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin**. - Identifier les traits ou les troubles de personnalité - Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique - Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés - Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
220
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement - Objectif thérapeutique: TP / traits de personnalité
- L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise. - Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade. - Dans ce sens, il faut : - Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien) - Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin. - **Identifier les traits ou les troubles de personnalité** - Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique - Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés - Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
221
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement - Objectif thérapeutique: Facteurs systémiques
- L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise. - Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade. - Dans ce sens, il faut : - Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien) - Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin. - Identifier les traits ou les troubles de personnalité - **Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique** - Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés - Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
222
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement - Objectif thérapeutique: comorbidités
- L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise. - Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade. - Dans ce sens, il faut : - Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien) - Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin. - Identifier les traits ou les troubles de personnalité - Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique - **Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés** - Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.
223
Tr à symptomatologie somatoforme: Traitement - Objectif thérapeutique: polypharmacie
- L’objectif thérapeutique devrait viser l’adaptation optimale du malade et de sa condition et non la disparition des symptômes ou une psychologisation prématurée de son malaise. - Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade. - Dans ce sens, il faut : - Favoriser une alliance thérapeutique (reconnaître et accepter la souffrance, offrir une approche psychoéducative et de soutien) - Favoriser la continuité des soins en planifiant des rendez-vous réguliers plutôt qu’au besoin. - Identifier les traits ou les troubles de personnalité - Prendre en considération les facteurs systémiques (attitudes des proches, environnement de travail, etc.) qui peuvent influer sur le tableau clinique - Traiter les troubles dépressifs et anxieux souvent associés - **Éviter ou limiter la polypharmacie pour prévenir les dépenses et le souhait du malade de trouver un traitement miracle.**
224
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx - Modèle de réattribution
- Modèle de réattribution : approche thérapeutique qui se révèle la plus pertinente, particulièrement si le trouble n’est pas encore chronique depuis très longtemps. - Elle est composée de 3 étapes et vise essentiellement à aider le patient à changer son style d’attribution de ses symptômes à une cause organique et à le remplacer par un modèle qui prend en compte l’ensemble des facteurs : - 1.Créer un sentiment de compréhension - 2.Prendre en considération la susceptibilité du patient. - 3.Faire le lien. Il s’agit de donner une explication au malade pour donner un sens à ses malaises.
225
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx - Modèle de réattribution: définition
- **Modèle de réattribution : approche thérapeutique qui se révèle la plus pertinente, particulièrement si le trouble n’est pas encore chronique depuis très longtemps**. - Elle est composée de 3 étapes et vise essentiellement à aider le patient à changer son style d’attribution de ses symptômes à une cause organique et à le remplacer par un modèle qui prend en compte l’ensemble des facteurs : - 1.Créer un sentiment de compréhension - 2.Prendre en considération la susceptibilité du patient. - 3.Faire le lien. Il s’agit de donner une explication au malade pour donner un sens à ses malaises.
226
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx - Modèle de réattribution: objectifs
- Modèle de réattribution : approche thérapeutique qui se révèle la plus pertinente, particulièrement si le trouble n’est pas encore chronique depuis très longtemps. - Elle est composée de 3 étapes et **vise essentiellement à aider le patient à changer son style d’attribution de ses symptômes à une cause organique et à le remplacer par un modèle qui prend en compte l’ensemble des facteurs** : - 1.Créer un sentiment de compréhension - 2.Prendre en considération la susceptibilité du patient. - 3.Faire le lien. Il s’agit de donner une explication au malade pour donner un sens à ses malaises.
227
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx - Modèle de réattribution: étapes
- Modèle de réattribution : approche thérapeutique qui se révèle la plus pertinente, particulièrement si le trouble n’est pas encore chronique depuis très longtemps. - Elle est composée de **3 étapes** et vise essentiellement à aider le patient à changer son style d’attribution de ses symptômes à une cause organique et à le remplacer par un modèle qui prend en compte l’ensemble des facteurs : - **1.Créer un sentiment de compréhension** - **2.Prendre en considération la susceptibilité du patient.** - **3.Faire le lien. Il s’agit de donner une explication au malade pour donner un sens à ses malaises**.
228
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx - Modèle de réattribution: étapes - nommez-les
- Modèle de réattribution : approche thérapeutique qui se révèle la plus pertinente, particulièrement si le trouble n’est pas encore chronique depuis très longtemps. - Elle est composée de **3 étapes** et vise essentiellement à aider le patient à changer son style d’attribution de ses symptômes à une cause organique et à le remplacer par un modèle qui prend en compte l’ensemble des facteurs : - **1.Créer un sentiment de compréhension** - **2.Prendre en considération la susceptibilité du patient.** - **3.Faire le lien. Il s’agit de donner une explication au malade pour donner un sens à ses malaises**.
229
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx - Psychopharmacologique
* Traitement psychopharmacologique : il n’existe pas de pharmacothérapie spécifique pour le TSS. * Si une maladie psychiatrique est comorbide, le TSS n’est pas une contre-indication à la traiter pharmacologiquement. * Rappelons que les dépressions avec somatisation répondent moins bien au traitement antidépresseur.
230
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx - Psychopharmacologique: molécules spécifiques pour les TSS
* **Traitement psychopharmacologique : il n’existe pas de pharmacothérapie spécifique pour le TSS**. * Si une maladie psychiatrique est comorbide, le TSS n’est pas une contre-indication à la traiter pharmacologiquement. * Rappelons que les dépressions avec somatisation répondent moins bien au traitement antidépresseur.
231
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx - Psychopharmacologique: comorbidité
* Traitement psychopharmacologique : il n’existe pas de pharmacothérapie spécifique pour le TSS. * **Si une maladie psychiatrique est comorbide, le TSS n’est pas une contre-indication à la traiter pharmacologiquement.** * **Rappelons que les dépressions avec somatisation répondent moins bien au traitement antidépresseur.**
232
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx - Psychopharmacologique: réponse aux antidépresseurs si dépression avec TSS
* Traitement psychopharmacologique : il n’existe pas de pharmacothérapie spécifique pour le TSS. * Si une maladie psychiatrique est comorbide, le TSS n’est pas une contre-indication à la traiter pharmacologiquement. * **Rappelons que les dépressions avec somatisation répondent moins bien au traitement antidépresseur.**
233
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx - Activation physique
* Activation physique : dans les TSS chroniques, il est fréquent de rencontrer des états de déconditionnement physique important. * L’exercice physique léger-modéré est reconnu efficace comme traitement adjuvant des états dépressifs et anxieux et aussi pour les affections organiques.
234
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx - Activation physique: son utilité
* Activation physique : dans les TSS chroniques, il est fréquent de rencontrer des états de déconditionnement physique important. * L’exercice physique léger-modéré est reconnu efficace comme traitement adjuvant des états dépressifs et anxieux et aussi pour les affections organiques.
235
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx - Approches psychotx spécifiques
* Approches psychothérapeutiques spécifiques : globalement, on dit que les approches psychologiques ciblant les somatisations parviennent de façon modérée à réduire les symptômes physiques découlant des TSS. * L’approche cognitivo-comportementale-affective est celle qui retient le plus l’attention.
236
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx - Approches psychotx spécifiques: ce qu'elles ciblent
* **Approches psychothérapeutiques spécifiques : globalement, on dit que les approches psychologiques ciblant les somatisations parviennent de façon modérée à réduire les symptômes physiques découlant des TSS**. * L’approche cognitivo-comportementale-affective est celle qui retient le plus l’attention.
237
Tr à symptomatologie somatoforme: Tx - Approches psychotx spécifiques: TCC
* Approches psychothérapeutiques spécifiques : globalement, on dit que les approches psychologiques ciblant les somatisations parviennent de façon modérée à réduire les symptômes physiques découlant des TSS. * **L’approche cognitivo-comportementale-affective est celle qui retient le plus l’attention**.
238
Fibromyalgie: Définir / décrire
* La fibromyalgie est aujourd’hui considérée comme une maladie chronique. * Il consiste brièvement en des points douloureux à la pression et la coexistence de fatigue et de troubles de sommeil. * Le seuil à la douleur serait plus bas et les sensibilités accentuées.
239
Fibromyalgie: Définir / décrire - aigu ou chronique?
* **La fibromyalgie est aujourd’hui considérée comme une maladie chronique**. * Il consiste brièvement en des points douloureux à la pression et la coexistence de fatigue et de troubles de sommeil. * Le seuil à la douleur serait plus bas et les sensibilités accentuées.
240
Fibromyalgie: Définir / décrire - c'est quoi?
* La fibromyalgie est aujourd’hui considérée comme une maladie chronique. * **Il consiste brièvement en des points douloureux à la pression et la coexistence de fatigue et de troubles de sommeil.** * **Le seuil à la douleur serait plus bas et les sensibilités accentuées**.
241
Fibromyalgie: Définir / décrire - cause
* La fibromyalgie est aujourd’hui considérée comme une maladie chronique. * Il consiste brièvement en des points douloureux à la pression et la coexistence de fatigue et de troubles de sommeil. * **Le seuil à la douleur serait plus bas et les sensibilités accentuées**.
242
V ou F: Il n’existe aucun signe diagnostic pathognomonique ou de test diagnostic validé pour le syndrome de fatigue chronique.
- Vrai?? - Le syndrome de fatigue chronique ne fait pas partie des objectifs, et n’est pas traité comme section dans le Lalonde (petit paragraphe p. 274 - 275).
243
Lien entre fibromyalgie et certains tr psychiatriques
* Au niveau des comorbidités psychiatriques, on se rend compte que la prévalence de celles-ci est plus élevée que pour les autres maladies rhumatismales. * Les troubles les plus souvent associés sont l’anxiété, la somatisation, la dysthymie, le trouble panique, le TSPT et la dépression. * Par ailleurs, la fibromyalgie est souvent associée à des affections et étiologies idiopathiques et certaines maladies chroniques (PAR, LED, maladie de Sjögren, diabète, hépatite C et les dysfonctions thyroïdiennes).
244
Lien entre fibromyalgie et certains tr psychiatriques - prévalence de comorbidités psy
* **Au niveau des comorbidités psychiatriques, on se rend compte que la prévalence de celles-ci est plus élevée que pour les autres maladies rhumatismales**. * Les troubles les plus souvent associés sont l’anxiété, la somatisation, la dysthymie, le trouble panique, le TSPT et la dépression. * Par ailleurs, la fibromyalgie est souvent associée à des affections et étiologies idiopathiques et certaines maladies chroniques (PAR, LED, maladie de Sjögren, diabète, hépatite C et les dysfonctions thyroïdiennes).
245
Lien entre fibromyalgie et certains tr psychiatriques - nommez les tr les plus souvent associés
* Au niveau des comorbidités psychiatriques, on se rend compte que la prévalence de celles-ci est plus élevée que pour les autres maladies rhumatismales. * **Les troubles les plus souvent associés sont l’anxiété, la somatisation, la dysthymie, le trouble panique, le TSPT et la dépression**. * **Par ailleurs, la fibromyalgie est souvent associée à des affections et étiologies idiopathiques et certaines maladies chroniques (PAR, LED, maladie de Sjögren, diabète, hépatite C et les dysfonctions thyroïdiennes)**.
246
Lien entre fibromyalgie et certains tr psychiatriques - association avec pathos NON psy
* Au niveau des comorbidités psychiatriques, on se rend compte que la prévalence de celles-ci est plus élevée que pour les autres maladies rhumatismales. * Les troubles les plus souvent associés sont l’anxiété, la somatisation, la dysthymie, le trouble panique, le TSPT et la dépression. * **Par ailleurs, la fibromyalgie est souvent associée à des affections et étiologies idiopathiques et certaines maladies chroniques (PAR, LED, maladie de Sjögren, diabète, hépatite C et les dysfonctions thyroïdiennes)**.
247
Fibromyalgie: Traitement
* Le meilleur traitement a pour but de diminuer la douleur, améliorer la qualité du sommeil et augmenter l’activité physique par la réduction des symptômes somatiques. * On propose comme traitement une combinaison d’exercice aérobique, de TCC et d’amitriptyline. * À noter : * Les antalgiques opioïdes ne sont recommandés par aucun guide de pratique clinique. * Les traitements adjuvants ayant une utilité clinique avérée sont : * L’exercice aérobique et en milieu aquatique * Les étirements musculaires * Les techniques de relaxation avec imagerie mentale * Le biofeedback * L’hypnose * L’acuponcture
248
Fibromyalgie: Traitement - objectifs du tx
* **Le meilleur traitement a pour but de diminuer la douleur, améliorer la qualité du sommeil et augmenter l’activité physique par la réduction des symptômes somatiques**. * On propose comme traitement une combinaison d’exercice aérobique, de TCC et d’amitriptyline. * À noter : * Les antalgiques opioïdes ne sont recommandés par aucun guide de pratique clinique. * Les traitements adjuvants ayant une utilité clinique avérée sont : * L’exercice aérobique et en milieu aquatique * Les étirements musculaires * Les techniques de relaxation avec imagerie mentale * Le biofeedback * L’hypnose * L’acuponcture
249
Fibromyalgie: Traitement - tx utilisé le plus fréquent
* Le meilleur traitement a pour but de diminuer la douleur, améliorer la qualité du sommeil et augmenter l’activité physique par la réduction des symptômes somatiques. * **On propose comme traitement une combinaison d’exercice aérobique, de TCC et d’amitriptyline.** * À noter : * Les antalgiques opioïdes ne sont recommandés par aucun guide de pratique clinique. * Les traitements adjuvants ayant une utilité clinique avérée sont : * L’exercice aérobique et en milieu aquatique * Les étirements musculaires * Les techniques de relaxation avec imagerie mentale * Le biofeedback * L’hypnose * L’acuponcture
250
Fibromyalgie: Traitement - place des opïodes
* Le meilleur traitement a pour but de diminuer la douleur, améliorer la qualité du sommeil et augmenter l’activité physique par la réduction des symptômes somatiques. * On propose comme traitement une combinaison d’exercice aérobique, de TCC et d’amitriptyline. * À noter : * **Les antalgiques opioïdes ne sont recommandés par aucun guide de pratique clinique**. * Les traitements adjuvants ayant une utilité clinique avérée sont : * L’exercice aérobique et en milieu aquatique * Les étirements musculaires * Les techniques de relaxation avec imagerie mentale * Le biofeedback * L’hypnose * L’acuponcture
251
Fibromyalgie: Traitement - traitements adjuvants
* Le meilleur traitement a pour but de diminuer la douleur, améliorer la qualité du sommeil et augmenter l’activité physique par la réduction des symptômes somatiques. * On propose comme traitement une combinaison d’exercice aérobique, de TCC et d’amitriptyline. * À noter : * Les antalgiques opioïdes ne sont recommandés par aucun guide de pratique clinique. * **Les traitements adjuvants ayant une utilité clinique avérée sont** : * **L’exercice aérobique et en milieu aquatique** * **Les étirements musculaires** * **Les techniques de relaxation avec imagerie mentale** * **Le biofeedback** * **L’hypnose** * **L’acuponcture**
252
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Régions affectées
- Noter le nombre de régions affectées par la douleur dans la dernière semaine. - Ces 12 régions incluent - 1.la mâchoire - 2.le cou - 3.la ceinture scapulaire (épaule) - 4.le haut du bras - 5.l’avant-bras - 6.le thorax - 7.l’abdomen - 8.le haut du dos - 9.le bas du dos - 10.la hanche (fesse, trochanter) - 11.le haut de la jambe - 12.le bas de la jambe toutes ces régions doivent être évaluées bilatéralement, provoquant une douleur diffuse ou localisée
253
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Régions affectées - nommez-les
- Noter le nombre de régions affectées par la douleur dans la dernière semaine. - Ces 12 régions incluent - 1.la mâchoire - 2.le cou - 3.la ceinture scapulaire (épaule) - 4.le haut du bras - 5.l’avant-bras - 6.le thorax - 7.l’abdomen - 8.le haut du dos - 9.le bas du dos - 10.la hanche (fesse, trochanter) - 11.le haut de la jambe - 12.le bas de la jambe toutes ces régions doivent être évaluées bilatéralement, provoquant une douleur diffuse ou localisée
254
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Régions affectées - uni ou bilatéral?
- Noter le nombre de régions affectées par la douleur dans la dernière semaine. - Ces 12 régions incluent - 1.la mâchoire - 2.le cou - 3.la ceinture scapulaire (épaule) - 4.le haut du bras - 5.l’avant-bras - 6.le thorax - 7.l’abdomen - 8.le haut du dos - 9.le bas du dos - 10.la hanche (fesse, trochanter) - 11.le haut de la jambe - 12.le bas de la jambe **toutes ces régions doivent être évaluées bilatéralement, provoquant une douleur diffuse ou localisée**
255
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Échelle graduée des symptômes
1. Fatigue 2. Sommeil non réparateur 3. Symptômes cognitifs (p.ex. mémoire de travail, mémoire de reconnaissance, connaissance verbale, anxiété, dépression) - Pour chacun de ces trois symptômes, indiquer l’intensité dans la dernière semaine en utilisant l’échelle suivante - 0 = aucun problème - 1 = léger problème, généralement intermittent - 2 = problème modéré ou considérable, fréquent et/ou à un niveau modéré - 3 = problème grave, envahissant, continu, interfère avec le bien-être quotidiennement - Pour les symptômes somatiques généraux dans les 12 régions, indiquer l’intensité selon l’échelle suivante : - 0 = aucun symptôme - 1 = quelques symptômes - 2 = un nombre modéré de symptômes - 3 = beaucoup de symptômes - Cote totale entre 0 et 12.
256
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Échelle graduée des symptômes - nommez les symptômes
1. **Fatigue** 2. **Sommeil non réparateur** 3. **Symptômes cognitifs (p.ex. mémoire de travail, mémoire de reconnaissance, connaissance verbale, anxiété, dépression)** - Pour chacun de ces trois symptômes, indiquer l’intensité dans la dernière semaine en utilisant l’échelle suivante - 0 = aucun problème - 1 = léger problème, généralement intermittent - 2 = problème modéré ou considérable, fréquent et/ou à un niveau modéré - 3 = problème grave, envahissant, continu, interfère avec le bien-être quotidiennement - Pour les symptômes somatiques généraux dans les 12 régions, indiquer l’intensité selon l’échelle suivante : - 0 = aucun symptôme - 1 = quelques symptômes - 2 = un nombre modéré de symptômes - 3 = beaucoup de symptômes - Cote totale entre 0 et 12.
257
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Échelle graduée des symptômes - échelle d'intensité
1. Fatigue 2. Sommeil non réparateur 3. Symptômes cognitifs (p.ex. mémoire de travail, mémoire de reconnaissance, connaissance verbale, anxiété, dépression) - **Pour chacun de ces trois symptômes, indiquer l’intensité dans la dernière semaine en utilisant l’échelle suivante** - **0 = aucun problème** - **1 = léger problème, généralement intermittent** - **2 = problème modéré ou considérable, fréquent et/ou à un niveau modéré** - **3 = problème grave, envahissant, continu, interfère avec le bien-être quotidiennement** - Pour les symptômes somatiques généraux dans les 12 régions, indiquer l’intensité selon l’échelle suivante : - 0 = aucun symptôme - 1 = quelques symptômes - 2 = un nombre modéré de symptômes - 3 = beaucoup de symptômes - Cote totale entre 0 et 12.
258
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Échelle graduée des symptômes - Échelle d'intensité: définir ce qu'est de 0 à 3
1. Fatigue 2. Sommeil non réparateur 3. Symptômes cognitifs (p.ex. mémoire de travail, mémoire de reconnaissance, connaissance verbale, anxiété, dépression) - **Pour chacun de ces trois symptômes, indiquer l’intensité dans la dernière semaine en utilisant l’échelle suivante** - **0 = aucun problème** - **1 = léger problème, généralement intermittent** - **2 = problème modéré ou considérable, fréquent et/ou à un niveau modéré** - **3 = problème grave, envahissant, continu, interfère avec le bien-être quotidiennement** - Pour les symptômes somatiques généraux dans les 12 régions, indiquer l’intensité selon l’échelle suivante : - 0 = aucun symptôme - 1 = quelques symptômes - 2 = un nombre modéré de symptômes - 3 = beaucoup de symptômes - Cote totale entre 0 et 12.
259
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Échelle graduée des symptômes - Échelle graduée: pour les sx généraux dans les 12 régions
1. Fatigue 2. Sommeil non réparateur 3. Symptômes cognitifs (p.ex. mémoire de travail, mémoire de reconnaissance, connaissance verbale, anxiété, dépression) - Pour chacun de ces trois symptômes, indiquer l’intensité dans la dernière semaine en utilisant l’échelle suivante - 0 = aucun problème - 1 = léger problème, généralement intermittent - 2 = problème modéré ou considérable, fréquent et/ou à un niveau modéré - 3 = problème grave, envahissant, continu, interfère avec le bien-être quotidiennement - **Pour les symptômes somatiques généraux dans les 12 régions, indiquer l’intensité selon l’échelle suivante** : - **0 = aucun symptôme** - **1 = quelques symptômes** - **2 = un nombre modéré de symptômes** - **3 = beaucoup de symptômes** - **Cote totale entre 0 et 12.**
260
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Échelle graduée des symptômes - Échelle graduée: pour les sx généraux dans les 12 régions - échelle de 0 à 3
1. Fatigue 2. Sommeil non réparateur 3. Symptômes cognitifs (p.ex. mémoire de travail, mémoire de reconnaissance, connaissance verbale, anxiété, dépression) - Pour chacun de ces trois symptômes, indiquer l’intensité dans la dernière semaine en utilisant l’échelle suivante - 0 = aucun problème - 1 = léger problème, généralement intermittent - 2 = problème modéré ou considérable, fréquent et/ou à un niveau modéré - 3 = problème grave, envahissant, continu, interfère avec le bien-être quotidiennement - **Pour les symptômes somatiques généraux dans les 12 régions, indiquer l’intensité selon l’échelle suivante** : - **0 = aucun symptôme** - **1 = quelques symptômes** - **2 = un nombre modéré de symptômes** - **3 = beaucoup de symptômes** - **Cote totale entre 0 et 12.**
261
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Échelle graduée des symptômes - Échelle graduée: pour les sx généraux dans les 12 régions - cote totale
1. Fatigue 2. Sommeil non réparateur 3. Symptômes cognitifs (p.ex. mémoire de travail, mémoire de reconnaissance, connaissance verbale, anxiété, dépression) - Pour chacun de ces trois symptômes, indiquer l’intensité dans la dernière semaine en utilisant l’échelle suivante - 0 = aucun problème - 1 = léger problème, généralement intermittent - 2 = problème modéré ou considérable, fréquent et/ou à un niveau modéré - 3 = problème grave, envahissant, continu, interfère avec le bien-être quotidiennement - Pour les symptômes somatiques généraux dans les 12 régions, indiquer l’intensité selon l’échelle suivante : - 0 = aucun symptôme - 1 = quelques symptômes - 2 = un nombre modéré de symptômes - 3 = beaucoup de symptômes - **Cote totale entre 0 et 12.**
262
Critères diagnostiques de la fibromyalgie
* Un patient répond aux critères diagnostiques de la fibromyalgie si les trois conditions suivantes sont présentes : * 1.WPI ≥ 7/19 et Cote totale SS ≥ 5 ou WPI = 3–6 et Cote totale SS ≥ 9 * 2.Les symptômes sont présents et au même degré depuis au moins trois mois. * 3.La douleur n’est pas mieux expliquée par une autre affection médicale.
263
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Nombre de critères devant être présents
* **Un patient répond aux critères diagnostiques de la fibromyalgie si les trois conditions suivantes sont présentes** : * 1.WPI ≥ 7/19 et Cote totale SS ≥ 5 ou WPI = 3–6 et Cote totale SS ≥ 9 * 2.Les symptômes sont présents et au même degré depuis au moins trois mois. * 3.La douleur n’est pas mieux expliquée par une autre affection médicale.
264
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Nb de "points" nécessaires
* Un patient répond aux critères diagnostiques de la fibromyalgie si les trois conditions suivantes sont présentes : * **1.WPI ≥ 7/19 et Cote totale SS ≥ 5 ou WPI = 3–6 et Cote totale SS ≥ 9** * 2.Les symptômes sont présents et au même degré depuis au moins trois mois. * 3.La douleur n’est pas mieux expliquée par une autre affection médicale.
265
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Durée des sx et leur intensité
* Un patient répond aux critères diagnostiques de la fibromyalgie si les trois conditions suivantes sont présentes : * 1.WPI ≥ 7/19 et Cote totale SS ≥ 5 ou WPI = 3–6 et Cote totale SS ≥ 9 * **2.Les symptômes sont présents et au même degré depuis au moins trois mois.** * 3.La douleur n’est pas mieux expliquée par une autre affection médicale.
266
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Exclure quoi?
* Un patient répond aux critères diagnostiques de la fibromyalgie si les trois conditions suivantes sont présentes : * 1.WPI ≥ 7/19 et Cote totale SS ≥ 5 ou WPI = 3–6 et Cote totale SS ≥ 9 * 2.Les symptômes sont présents et au même degré depuis au moins trois mois. * **3.La douleur n’est pas mieux expliquée par une autre affection médicale.**
267
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Critères modifiés
1. Wide spread index(WPI) (voir ci-dessus) 2. Échelle Symtoms severity (SS) (voir ci-dessus, mais sans symptômes somatiques) 3. Présence de douleur abdominale, dépression, céphalées (oui = 1, non = 0) Cote totale (WPI + SS + symptômes associés) entre 0 et 31.
268
Critères diagnostiques de la fibromyalgie: Critères modifiés - cote totale
1. Wide spread index(WPI) (voir ci-dessus) 2 2. Échelle Symtoms severity (SS) (voir ci-dessus, mais sans symptômes somatiques) 3. Présence de douleur abdominale, dépression, céphalées (oui = 1, non = 0) **Cote totale (WPI + SS + symptômes associés) entre 0 et 31.**
269
Fibromyalgie: Ddx
- Syndrome myofascial - Syndrome de fatigue chronique - Hypothyroïdie - Autres maladies organiques ayant des sx semblables
270
Fibromyalgie: Classification
* La fibromyalgie ne fait pas partie du DSM-5 puisque c’est une pathologie qui est maintenant classée comme étant rhumatismale.
271
Fibromyalgie: Épidémio
- 2 % des Nord-Américains (3.4 % chez la femme et 0.5 % chez l’homme) - Facteurs de risque : - Adulte - Femme - Faible niveau de scolarité - Faible revenu - Divorce - Souffrir d’un handicap - Avoir vécu des abus psychologiques, physiques ou sexuels précoces
272
Fibromyalgie: Épidémio - prévalence
- **2 % des Nord-Américains (3.4 % chez la femme et 0.5 % chez l’homme)** - Facteurs de risque : - Adulte - Femme - Faible niveau de scolarité - Faible revenu - Divorce - Souffrir d’un handicap - Avoir vécu des abus psychologiques, physiques ou sexuels précoces
273
Fibromyalgie: Épidémio - H vs F
- 2 % des Nord-Américains - **3.4 % chez la femme et 0.5 % chez l’homme** - Facteurs de risque : - Adulte - Femme - Faible niveau de scolarité - Faible revenu - Divorce - Souffrir d’un handicap - Avoir vécu des abus psychologiques, physiques ou sexuels précoces
274
Fibromyalgie: Épidémio - FDR
- 2 % des Nord-Américains (3.4 % chez la femme et 0.5 % chez l’homme) - **Facteurs de risque** : - **Adulte** - **Femme** - **Faible niveau de scolarité** - **Faible revenu** - **Divorce** - **Souffrir d’un handicap** - **Avoir vécu des abus psychologiques, physiques ou sexuels précoces**
275
Fibromyalgie: Étiologie
- Cette maladie semble d’origine neuropathique, et certains facteurs génétiques et épigénétiques semblent impliqués. - Il s’agirait d’un déséquilibre neurochimique du SNC provoquant une amplification de la perception douloureuse au niveau du SNC. - La permanence de la douleur enlève toute l’utilité biologique de cette dernière.
276
Fibromyalgie: Étiologie - nommez les types de causes
- **Cette maladie semble d’origine neuropathique, et certains facteurs génétiques et épigénétiques semblent impliqués**. - Il s’agirait d’un déséquilibre neurochimique du SNC provoquant une amplification de la perception douloureuse au niveau du SNC. - La permanence de la douleur enlève toute l’utilité biologique de cette dernière.
277
Fibromyalgie: Étiologie - déséquilibre neurochimique
- Cette maladie semble d’origine neuropathique, et certains facteurs génétiques et épigénétiques semblent impliqués. - **Il s’agirait d’un déséquilibre neurochimique du SNC provoquant une amplification de la perception douloureuse au niveau du SNC**. - La permanence de la douleur enlève toute l’utilité biologique de cette dernière.
278
Fibromyalgie: Étiologie - biologie
- Cette maladie semble d’origine neuropathique, et certains facteurs génétiques et épigénétiques semblent impliqués. - Il s’agirait d’un déséquilibre neurochimique du SNC provoquant une amplification de la perception douloureuse au niveau du SNC. - **La permanence de la douleur enlève toute l’utilité biologique de cette dernière**.
279
Mécanismes pathologiques de la fibromyalgie
* NGF :nerve growth factor; * BDNF :brain-derived neurotrophic factor * SNC : système nerveux central * LCR : liquide céphalo-rachidien
280
Mécanismes pathologiques de la fibromyalgie
* NGF :nerve growth factor; * BDNF :brain-derived neurotrophic factor * SNC : système nerveux central * LCR : liquide céphalo-rachidien
281
Mécanismes pathologiques de la fibromyalgie - Sensibilisation centrale anormale
* Abaissement du seuil de perception douloureuse comparativement aux personnes témoins avec une amplification anormale de la nociception au niveau de la moelle épinière et du SNC.
282
Mécanismes pathologiques de la fibromyalgie - Altération des voies excitatrices ascendantes
* Augmentation de l’activité des voies pronociceptives ascendantes entraînant une élévation des niveaux de substance P, de glutamate, de NGF et de BDNF dans le LCR.
283
Mécanismes pathologiques de la fibromyalgie - Altération des voies inhibitrices descendantes
* Diminution de l’activité inhibitrice des voies descendantes avec une diminution des métabolites de la sérotonine, de la noradrénaline et de la dopamine dans le LCR.
284
Mécanismes pathologiques de la fibromyalgie - Anomalie de la neurotransmission
* Augmentation des niveaux d’opioïdes endogènes et régulation à la baisse des récepteurs opioïdes, diminuant ainsi l’efficacité antalgique endogène et exogène.
285
Mécanismes pathologiques de la fibromyalgie - Comorbidités psychiatriques
* Altérations de la neurotransmission affectant l’humeur, les niveaux d’énergie et le sommeil, contribuant ainsi à l’émergence et au maintien symptomatologique.
286
Fibromyalgie: Comment se fait le diagnostic?
- Se base sur un index de douleur diffuse et identifient des régions corporelles et des symptômes somatiques typiques. (voir schéma ci-haut pour les points douloureux)
287
Tr psychosomatiques
* Bon…hummmm…il s’agit d’un très bon chapitre, bien rédigé, mais qui relève plus de la spécialité que de votre niveau je crois…alors limitons-nous aux pages d’introduction. * Un peu d’histoire… * Il existe une unité et une interaction entre le corps et l’esprit. * Aussi, des facteurs psychologiques sont impliqués dans le développement de toute maladie physique, que ce soit dans l’initiation, la progression, l’aggravation ou l’exacerbation des symptômes, ou encore dans la prédisposition ou la réaction à la maladie elle-même. * La maladie ne se traite pas uniquement une relation médecin-maladie. * Hippocrate décrit 3 types de relations : * Médecin-Patient * Patient-Maladie * Médecin-Maladie * Historiquement, le mouvement psychosomatique a précédé le mouvement psychiatrique. Il est issu de l’interaction entre la psyché et le corps (soma). * Aujourd’hui, on accorde une importance moins marquée au facteur psychique et on insiste plus sur le facteur somatique de la maladie.
288
Tr psychosomatiques: quoi savoir?
* **Bon…hummmm…il s’agit d’un très bon chapitre, bien rédigé, mais qui relève plus de la spécialité que de votre niveau je crois…alors limitons-nous aux pages d’introduction.** * Un peu d’histoire… * Il existe une unité et une interaction entre le corps et l’esprit. * Aussi, des facteurs psychologiques sont impliqués dans le développement de toute maladie physique, que ce soit dans l’initiation, la progression, l’aggravation ou l’exacerbation des symptômes, ou encore dans la prédisposition ou la réaction à la maladie elle-même. * La maladie ne se traite pas uniquement une relation médecin-maladie. * Hippocrate décrit 3 types de relations : * Médecin-Patient * Patient-Maladie * Médecin-Maladie * Historiquement, le mouvement psychosomatique a précédé le mouvement psychiatrique. Il est issu de l’interaction entre la psyché et le corps (soma). * Aujourd’hui, on accorde une importance moins marquée au facteur psychique et on insiste plus sur le facteur somatique de la maladie.
289
Tr psychosomatiques: Un peu d'histoire
* Bon…hummmm…il s’agit d’un très bon chapitre, bien rédigé, mais qui relève plus de la spécialité que de votre niveau je crois…alors limitons-nous aux pages d’introduction. * **Un peu d’histoire…** * **Il existe une unité et une interaction entre le corps et l’esprit**. * **Aussi, des facteurs psychologiques sont impliqués dans le développement de toute maladie physique, que ce soit dans l’initiation, la progression, l’aggravation ou l’exacerbation des symptômes, ou encore dans la prédisposition ou la réaction à la maladie elle-même**. * **La maladie ne se traite pas uniquement une relation médecin-maladie**. * **Hippocrate décrit 3 types de relations** : * **Médecin-Patient** * **Patient-Maladie** * **Médecin-Maladie** * Historiquement, le mouvement psychosomatique a précédé le mouvement psychiatrique. Il est issu de l’interaction entre la psyché et le corps (soma). * Aujourd’hui, on accorde une importance moins marquée au facteur psychique et on insiste plus sur le facteur somatique de la maladie.
290
Tr psychosomatiques: Un peu d'histoire - types de relation décrits par Hippocrate
* Bon…hummmm…il s’agit d’un très bon chapitre, bien rédigé, mais qui relève plus de la spécialité que de votre niveau je crois…alors limitons-nous aux pages d’introduction. * Un peu d’histoire… * Il existe une unité et une interaction entre le corps et l’esprit. * Aussi, des facteurs psychologiques sont impliqués dans le développement de toute maladie physique, que ce soit dans l’initiation, la progression, l’aggravation ou l’exacerbation des symptômes, ou encore dans la prédisposition ou la réaction à la maladie elle-même. * **La maladie ne se traite pas uniquement une relation médecin-maladie**. * **Hippocrate décrit 3 types de relations** : * **Médecin-Patient** * **Patient-Maladie** * **Médecin-Maladie** * Historiquement, le mouvement psychosomatique a précédé le mouvement psychiatrique. Il est issu de l’interaction entre la psyché et le corps (soma). * Aujourd’hui, on accorde une importance moins marquée au facteur psychique et on insiste plus sur le facteur somatique de la maladie.
291
Tr psychosomatiques: Un peu d'histoire - mouvement psychosomatique
* Bon…hummmm…il s’agit d’un très bon chapitre, bien rédigé, mais qui relève plus de la spécialité que de votre niveau je crois…alors limitons-nous aux pages d’introduction. * Un peu d’histoire… * Il existe une unité et une interaction entre le corps et l’esprit. * Aussi, des facteurs psychologiques sont impliqués dans le développement de toute maladie physique, que ce soit dans l’initiation, la progression, l’aggravation ou l’exacerbation des symptômes, ou encore dans la prédisposition ou la réaction à la maladie elle-même. * La maladie ne se traite pas uniquement une relation médecin-maladie. * Hippocrate décrit 3 types de relations : * Médecin-Patient * Patient-Maladie * Médecin-Maladie * **Historiquement, le mouvement psychosomatique a précédé le mouvement psychiatrique. Il est issu de l’interaction entre la psyché et le corps (soma).** * **Aujourd’hui, on accorde une importance moins marquée au facteur psychique et on insiste plus sur le facteur somatique de la maladie**.
292
Tr psychosomatiques: Un peu d'histoire - mouvement psychosomatique: issu de quoi?
* Bon…hummmm…il s’agit d’un très bon chapitre, bien rédigé, mais qui relève plus de la spécialité que de votre niveau je crois…alors limitons-nous aux pages d’introduction. * Un peu d’histoire… * Il existe une unité et une interaction entre le corps et l’esprit. * Aussi, des facteurs psychologiques sont impliqués dans le développement de toute maladie physique, que ce soit dans l’initiation, la progression, l’aggravation ou l’exacerbation des symptômes, ou encore dans la prédisposition ou la réaction à la maladie elle-même. * La maladie ne se traite pas uniquement une relation médecin-maladie. * Hippocrate décrit 3 types de relations : * Médecin-Patient * Patient-Maladie * Médecin-Maladie * Historiquement, le mouvement psychosomatique a précédé le mouvement psychiatrique. **Il est issu de l’interaction entre la psyché et le corps (soma)**. * Aujourd’hui, on accorde une importance moins marquée au facteur psychique et on insiste plus sur le facteur somatique de la maladie.
293
Tr psychosomatiques: Un peu d'histoire - mouvement psychosomatique: aujourd'hui
* Bon…hummmm…il s’agit d’un très bon chapitre, bien rédigé, mais qui relève plus de la spécialité que de votre niveau je crois…alors limitons-nous aux pages d’introduction. * Un peu d’histoire… * Il existe une unité et une interaction entre le corps et l’esprit. * Aussi, des facteurs psychologiques sont impliqués dans le développement de toute maladie physique, que ce soit dans l’initiation, la progression, l’aggravation ou l’exacerbation des symptômes, ou encore dans la prédisposition ou la réaction à la maladie elle-même. * La maladie ne se traite pas uniquement une relation médecin-maladie. * Hippocrate décrit 3 types de relations : * Médecin-Patient * Patient-Maladie * Médecin-Maladie * Historiquement, le mouvement psychosomatique a précédé le mouvement psychiatrique. Il est issu de l’interaction entre la psyché et le corps (soma). * **Aujourd’hui, on accorde une importance moins marquée au facteur psychique et on insiste plus sur le facteur somatique de la maladie.**
294
Médecine psychosomatique
* LE postulat de base est qu’il existe une affection médicale réelle (le contenu) pour le contenant psychologique (maladie psychiatrique / symptôme psychologique).
295
Médecine psychosomatique: Postulat
* LE postulat de base est qu’il existe une affection médicale réelle (le contenu) pour le contenant psychologique (maladie psychiatrique / symptôme psychologique).
296
Influence des facteurs psychologiques sur une problématique somatique
* Les patients qui expriment des problèmes psychosomatiques sont en fait immature au niveau de l’expression de leurs affects, ce que l’on nomme l’alexithymie. * L’expression des émotions, au-delà de l’anxiété, est traduite par des phénomènes physiologiques et corporels chez ses patients, dont le but est la décharge de cette émotion
297
Influence des facteurs psychologiques sur une problématique somatique - alexithymie
* **Les patients qui expriment des problèmes psychosomatiques sont en fait immature au niveau de l’expression de leurs affects, ce que l’on nomme l’alexithymie**. * L’expression des émotions, au-delà de l’anxiété, est traduite par des phénomènes physiologiques et corporels chez ses patients, dont le but est la décharge de cette émotion
298
Influence des facteurs psychologiques sur une problématique somatique - cause de ces problèmes somatiques
* Les patients qui expriment des problèmes psychosomatiques sont en fait immature au niveau de l’expression de leurs affects, ce que l’on nomme l’alexithymie. * **L’expression des émotions, au-delà de l’anxiété, est traduite par des phénomènes physiologiques et corporels chez ses patients, dont le but est la décharge de cette émotion**
299
Concept d’alexithymie développé par Sifnéos et Nemiah
* Sifneos propose ce terme pour les patients qui ne semblent pas avoir de mots pour décrire leurs affects et leurs émois. * Il observe la pauvreté de la vie fantasmatique et un manque d’importance de représentation mentale. * Cette configuration clinique est également observable chez les somatiques sans cause physique objectivable. * La personne semble curieusement étrangère à ses propres affects...
300
Concepts d’alexithymie: développé par qui?
* **développé par Sifnéos et Nemiah** * Sifneos propose ce terme pour les patients qui ne semblent pas avoir de mots pour décrire leurs affects et leurs émois. * Il observe la pauvreté de la vie fantasmatique et un manque d’importance de représentation mentale. * Cette configuration clinique est également observable chez les somatiques sans cause physique objectivable. * La personne semble curieusement étrangère à ses propres affects...
301
Concept d’alexithymie développé - qui propose ce terme en 1er?
* **Sifneos propose ce terme pour les patients qui ne semblent pas avoir de mots pour décrire leurs affects et leurs émois.** * Il observe la pauvreté de la vie fantasmatique et un manque d’importance de représentation mentale. * Cette configuration clinique est également observable chez les somatiques sans cause physique objectivable. * La personne semble curieusement étrangère à ses propres affects...
302
Concept d’alexithymie - ce que Sifneos observe
* **Sifneos propose ce terme pour les patients qui ne semblent pas avoir de mots pour décrire leurs affects et leurs émois**. * **Il observe la pauvreté de la vie fantasmatique et un manque d’importance de représentation mentale**. * Cette configuration clinique est également observable chez les somatiques sans cause physique objectivable. * La personne semble curieusement étrangère à ses propres affects...
303
Concept d’alexithymie développé par Sifnéos et Nemiah - souvent observé chez qui?
* Sifneos propose ce terme pour les patients qui ne semblent pas avoir de mots pour décrire leurs affects et leurs émois. * Il observe la pauvreté de la vie fantasmatique et un manque d’importance de représentation mentale. * **Cette configuration clinique est également observable chez les somatiques sans cause physique objectivable**. * La personne semble curieusement étrangère à ses propres affects...
304
Concept d’alexithymie développé par Sifnéos et Nemiah - définir / décrire
* Sifneos propose ce terme pour les patients qui ne semblent pas avoir de mots pour décrire leurs affects et leurs émois. * Il observe la pauvreté de la vie fantasmatique et un manque d’importance de représentation mentale. * Cette configuration clinique est également observable chez les somatiques sans cause physique objectivable. * **La personne semble curieusement étrangère à ses propres affects...**
305
Médecine psychosomatique s'intéresse à quoi?
* La médecine psychosomatique s’intéresse aux dispositions psychiques (conflits ou tempéraments), qui accompagnent les maladies, voir favorisent et modifient le cours de celles-ci.
306
Trouble factice: Quoi savoir?
Bon…encore un truc qui va pas mal trop loin…contentez-vous de bien maîtriser concept, épidémio et étiologie…et d’apprendre le petit tableau 30.3 de la page 694…
307
Trouble factice: Concept
* Le concept de trouble factice ne sous-tend pas une étiologie commune, mais est un diagnostic qui présente une utilité clinique. * On pense à des patients qui ne collaborent pas honnêtement, qui mentent et recherchent la maladie, ou du moins ses apparences, avec force de symptômes fictifs, simulés ou provoqués, sans égard aux souffrances qu’ils encourent en conséquence. * Il y a une composante de mauvaise volonté et de souffrance ; on qualifie souvent le patient d’auteur de la falsification. * Il est à noter que la présence de gains extérieurs évidents constitue toujours un facteur d’exclusion qui ramène le diagnostic de simulation.
308
Trouble factice: Concept - définir / décrire
* **Le concept de trouble factice ne sous-tend pas une étiologie commune, mais est un diagnostic qui présente une utilité clinique.** * On pense à des patients qui ne collaborent pas honnêtement, qui mentent et recherchent la maladie, ou du moins ses apparences, avec force de symptômes fictifs, simulés ou provoqués, sans égard aux souffrances qu’ils encourent en conséquence. * Il y a une composante de mauvaise volonté et de souffrance ; on qualifie souvent le patient d’auteur de la falsification. * Il est à noter que la présence de gains extérieurs évidents constitue toujours un facteur d’exclusion qui ramène le diagnostic de simulation.
309
Trouble factice: Concept - décrire les patients
* Le concept de trouble factice ne sous-tend pas une étiologie commune, mais est un diagnostic qui présente une utilité clinique. * **On pense à des patients qui ne collaborent pas honnêtement, qui mentent et recherchent la maladie, ou du moins ses apparences, avec force de symptômes fictifs, simulés ou provoqués, sans égard aux souffrances qu’ils encourent en conséquence.** * Il y a une composante de mauvaise volonté et de souffrance ; on qualifie souvent le patient d’auteur de la falsification. * Il est à noter que la présence de gains extérieurs évidents constitue toujours un facteur d’exclusion qui ramène le diagnostic de simulation.
310
Trouble factice: Concept - causes
* Le concept de trouble factice ne sous-tend pas une étiologie commune, mais est un diagnostic qui présente une utilité clinique. * On pense à des patients qui ne collaborent pas honnêtement, qui mentent et recherchent la maladie, ou du moins ses apparences, avec force de symptômes fictifs, simulés ou provoqués, sans égard aux souffrances qu’ils encourent en conséquence. * **Il y a une composante de mauvaise volonté et de souffrance ; on qualifie souvent le patient d’auteur de la falsification**. * Il est à noter que la présence de gains extérieurs évidents constitue toujours un facteur d’exclusion qui ramène le diagnostic de simulation.
311
Trouble factice: Concept - gains extérieurs
* Le concept de trouble factice ne sous-tend pas une étiologie commune, mais est un diagnostic qui présente une utilité clinique. * On pense à des patients qui ne collaborent pas honnêtement, qui mentent et recherchent la maladie, ou du moins ses apparences, avec force de symptômes fictifs, simulés ou provoqués, sans égard aux souffrances qu’ils encourent en conséquence. * Il y a une composante de mauvaise volonté et de souffrance ; on qualifie souvent le patient d’auteur de la falsification. * **Il est à noter que la présence de gains extérieurs évidents constitue toujours un facteur d’exclusion qui ramène le diagnostic de simulation**.
312
Trouble factice: Épidémio
* Environ 1 % en milieu hospitalier, et on dénote une prévalence plus accrue chez les femmes * ≈3 F : 1 H
313
Trouble factice: Épidémio - prévalence
* **Environ 1 % en milieu hospitalier**, et on dénote une prévalence plus accrue chez les femmes * ≈3 F : 1 H
314
Trouble factice: Épidémio - H vs F
* Environ 1 % en milieu hospitalier, et on dénote une **prévalence plus accrue chez les femmes** * **≈3 F : 1 H**
315
Trouble factice: Étiologie
- Biologique - Ø transmission génétique / familiale - Ø étiologie organique connue - Psychologique - Appétence pour le monde médical - Pauvres capacités d’adaptation - Présence d’un TP limite / narcissique / dépendant / antisocial (lié par un manque d’autonomie et d’habiletés sociales) - Étiologies possibles et facteurs interreliés : Carences affectives / dépendance / besoin de contrôle / masochisme / suicide partiel (pseudosuicide) / gratification perverse / réactivation de problèmes de l’enfance / sentiment de vulnérabilité / besoin de se sentir supérieur en trompant une figure d’autorité - Sociale - Histoire passée d’abus - Histoire passée de carence affective
316
Trouble factice: Étiologie - Biologique
- **Biologique** - **Ø transmission génétique / familiale** - **Ø étiologie organique connue** - Psychologique - Appétence pour le monde médical - Pauvres capacités d’adaptation - Présence d’un TP limite / narcissique / dépendant / antisocial (lié par un manque d’autonomie et d’habiletés sociales) - Étiologies possibles et facteurs interreliés : Carences affectives / dépendance / besoin de contrôle / masochisme / suicide partiel (pseudosuicide) / gratification perverse / réactivation de problèmes de l’enfance / sentiment de vulnérabilité / besoin de se sentir supérieur en trompant une figure d’autorité - Sociale - Histoire passée d’abus - Histoire passée de carence affective
317
Trouble factice: Étiologie - Biologique: transmission génétique
- **Biologique** - **Ø transmission génétique / familiale** - Ø étiologie organique connue - Psychologique - Appétence pour le monde médical - Pauvres capacités d’adaptation - Présence d’un TP limite / narcissique / dépendant / antisocial (lié par un manque d’autonomie et d’habiletés sociales) - Étiologies possibles et facteurs interreliés : Carences affectives / dépendance / besoin de contrôle / masochisme / suicide partiel (pseudosuicide) / gratification perverse / réactivation de problèmes de l’enfance / sentiment de vulnérabilité / besoin de se sentir supérieur en trompant une figure d’autorité - Sociale - Histoire passée d’abus - Histoire passée de carence affective
318
Trouble factice: Étiologie - Biologique: étiologie organique
- **Biologique** - Ø transmission génétique / familiale - **Ø étiologie organique connue** - Psychologique - Appétence pour le monde médical - Pauvres capacités d’adaptation - Présence d’un TP limite / narcissique / dépendant / antisocial (lié par un manque d’autonomie et d’habiletés sociales) - Étiologies possibles et facteurs interreliés : Carences affectives / dépendance / besoin de contrôle / masochisme / suicide partiel (pseudosuicide) / gratification perverse / réactivation de problèmes de l’enfance / sentiment de vulnérabilité / besoin de se sentir supérieur en trompant une figure d’autorité - Sociale - Histoire passée d’abus - Histoire passée de carence affective
319
Trouble factice: Étiologie - Psychologique
- Biologique - Ø transmission génétique / familiale - Ø étiologie organique connue - **Psychologique** - **Appétence pour le monde médical** - **Pauvres capacités d’adaptation** - **Présence d’un TP limite / narcissique / dépendant / antisocial (lié par un manque d’autonomie et d’habiletés sociales)** - **Étiologies possibles et facteurs interreliés : Carences affectives / dépendance / besoin de contrôle / masochisme / suicide partiel (pseudosuicide) / gratification perverse / réactivation de problèmes de l’enfance / sentiment de vulnérabilité / besoin de se sentir supérieur en trompant une figure d’autorité** - Sociale - Histoire passée d’abus - Histoire passée de carence affective
320
Trouble factice: Étiologie - Psychologique: en général
- Biologique - Ø transmission génétique / familiale - Ø étiologie organique connue - Psychologique - **Appétence pour le monde médical** - **Pauvres capacités d’adaptation** - Présence d’un TP limite / narcissique / dépendant / antisocial (lié par un manque d’autonomie et d’habiletés sociales) - Étiologies possibles et facteurs interreliés : Carences affectives / dépendance / besoin de contrôle / masochisme / suicide partiel (pseudosuicide) / gratification perverse / réactivation de problèmes de l’enfance / sentiment de vulnérabilité / besoin de se sentir supérieur en trompant une figure d’autorité - Sociale - Histoire passée d’abus - Histoire passée de carence affective
321
Trouble factice: Étiologie - Psychologique: TP
- Biologique - Ø transmission génétique / familiale - Ø étiologie organique connue - Psychologique - Appétence pour le monde médical - Pauvres capacités d’adaptation - **Présence d’un TP limite / narcissique / dépendant / antisocial (lié par un manque d’autonomie et d’habiletés sociales)** - Étiologies possibles et facteurs interreliés : Carences affectives / dépendance / besoin de contrôle / masochisme / suicide partiel (pseudosuicide) / gratification perverse / réactivation de problèmes de l’enfance / sentiment de vulnérabilité / besoin de se sentir supérieur en trompant une figure d’autorité - Sociale - Histoire passée d’abus - Histoire passée de carence affective
322
Trouble factice: Étiologie - Psychologique: Facteurs interreliés
- Biologique - Ø transmission génétique / familiale - Ø étiologie organique connue - Psychologique - Appétence pour le monde médical - Pauvres capacités d’adaptation - Présence d’un TP limite / narcissique / dépendant / antisocial (lié par un manque d’autonomie et d’habiletés sociales) - **Étiologies possibles et facteurs interreliés : Carences affectives / dépendance / besoin de contrôle / masochisme / suicide partiel (pseudosuicide) / gratification perverse / réactivation de problèmes de l’enfance / sentiment de vulnérabilité / besoin de se sentir supérieur en trompant une figure d’autorité** - Sociale - Histoire passée d’abus - Histoire passée de carence affective
323
Trouble factice: Étiologie - Sociale
- Biologique - Ø transmission génétique / familiale - Ø étiologie organique connue - Psychologique - Appétence pour le monde médical - Pauvres capacités d’adaptation - Présence d’un TP limite / narcissique / dépendant / antisocial (lié par un manque d’autonomie et d’habiletés sociales) - Étiologies possibles et facteurs interreliés : Carences affectives / dépendance / besoin de contrôle / masochisme / suicide partiel (pseudosuicide) / gratification perverse / réactivation de problèmes de l’enfance / sentiment de vulnérabilité / besoin de se sentir supérieur en trompant une figure d’autorité - **Sociale** - **Histoire passée d’abus** - **Histoire passée de carence affective**
324
Critères diagnostiques du trouble factice auto-induit
- A. Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies, associée à une tromperie identiée. - B. L’individu se présente aux autres comme malade, invalide ou blessé. - C. Le comportement de tromperie est évident, même en l’absence de bénéfices externes objectivables. - D. Le comportement n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental tel qu’un trouble délirant ou un autre trouble psychotique. - Spécifier si : - Épisode unique - Épisodes répétés(deux événements ou plus de falsification d’une maladie et/ou d’induction d’une blessure)
325
Critères diagnostiques du trouble factice auto-induit - c'est quoi?
- **A. Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies, associée à une tromperie identifiée**. - B. L’individu se présente aux autres comme malade, invalide ou blessé. - C. Le comportement de tromperie est évident, même en l’absence de bénéfices externes objectivables. - D. Le comportement n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental tel qu’un trouble délirant ou un autre trouble psychotique. - Spécifier si : - Épisode unique - Épisodes répétés(deux événements ou plus de falsification d’une maladie et/ou d’induction d’une blessure)
326
Critères diagnostiques du trouble factice auto-induit - sa présentation de lui-même aux autres
- A. Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies, associée à une tromperie identiée. - B. **L’individu se présente aux autres comme malade, invalide ou blessé.** - C. Le comportement de tromperie est évident, même en l’absence de bénéfices externes objectivables. - D. Le comportement n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental tel qu’un trouble délirant ou un autre trouble psychotique. - Spécifier si : - Épisode unique - Épisodes répétés(deux événements ou plus de falsification d’une maladie et/ou d’induction d’une blessure)
327
Critères diagnostiques du trouble factice auto-induit - ce qui est évident
- A. Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies, associée à une tromperie identiée. - B. L’individu se présente aux autres comme malade, invalide ou blessé. - C. **Le comportement de tromperie est évident, même en l’absence de bénéfices externes objectivables**. - D. Le comportement n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental tel qu’un trouble délirant ou un autre trouble psychotique. - Spécifier si : - Épisode unique - Épisodes répétés(deux événements ou plus de falsification d’une maladie et/ou d’induction d’une blessure)
328
Critères diagnostiques du trouble factice auto-induit - exclure quoi?
- A. Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies, associée à une tromperie identiée. - B. L’individu se présente aux autres comme malade, invalide ou blessé. - C. Le comportement de tromperie est évident, même en l’absence de bénéfices externes objectivables. - D. **Le comportement n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental tel qu’un trouble délirant ou un autre trouble psychotique.** - Spécifier si : - Épisode unique - Épisodes répétés(deux événements ou plus de falsification d’une maladie et/ou d’induction d’une blessure)
329
Critères diagnostiques du trouble factice auto-induit - spécifications
- A. Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies, associée à une tromperie identiée. - B. L’individu se présente aux autres comme malade, invalide ou blessé. - C. Le comportement de tromperie est évident, même en l’absence de bénéfices externes objectivables. - D. Le comportement n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental tel qu’un trouble délirant ou un autre trouble psychotique. - **Spécifier si** : - **Épisode unique** - **Épisodes répétés (deux événements ou plus de falsification d’une maladie et/ou d’induction d’une blessure)**
330
Critères diagnostiques du trouble factice imposé à autrui
- A. Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies chez autrui, associée à une tromperie identiée. - B. Le sujet fait passer une autre personne présente (la victime) pour malade, invalide ou blessée. - C. Le comportement de tromperie est évident, même en l’absence de bénéfices externes objectivables. - D. Le comportement n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental tel qu’un trouble délirant ou un autre trouble psychotique. - N.B. :Le diagnostic s’applique au coupable et non à la victime. - Spécifier si : - Épisode unique - Épisodes récurrents(deux événements ou plus de falsification d’une maladie et/ou d’induction d’une blessure).
331
Critères diagnostiques du trouble factice imposé à autrui - c'est quoi?
- A. **Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies chez autrui, associée à une tromperie identifiée**. - B. **Le sujet fait passer une autre personne présente (la victime) pour malade, invalide ou blessée**. - C. Le comportement de tromperie est évident, même en l’absence de bénéfices externes objectivables. - D. Le comportement n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental tel qu’un trouble délirant ou un autre trouble psychotique. - N.B. :Le diagnostic s’applique au coupable et non à la victime. - Spécifier si : - Épisode unique - Épisodes récurrents(deux événements ou plus de falsification d’une maladie et/ou d’induction d’une blessure).
332
Critères diagnostiques du trouble factice imposé à autrui - ce qui doit être évident
- A. Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies chez autrui, associée à une tromperie identiée. - B. Le sujet fait passer une autre personne présente (la victime) pour malade, invalide ou blessée. - C. **Le comportement de tromperie est évident, même en l’absence de bénéfices externes objectivables.** - D. Le comportement n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental tel qu’un trouble délirant ou un autre trouble psychotique. - N.B. :Le diagnostic s’applique au coupable et non à la victime. - Spécifier si : - Épisode unique - Épisodes récurrents(deux événements ou plus de falsification d’une maladie et/ou d’induction d’une blessure).
333
Critères diagnostiques du trouble factice imposé à autrui - exclure quoi?
- A. Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies chez autrui, associée à une tromperie identiée. - B. Le sujet fait passer une autre personne présente (la victime) pour malade, invalide ou blessée. - C. Le comportement de tromperie est évident, même en l’absence de bénéfices externes objectivables. - D. **Le comportement n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental tel qu’un trouble délirant ou un autre trouble psychotique**. - N.B. :Le diagnostic s’applique au coupable et non à la victime. - Spécifier si : - Épisode unique - Épisodes récurrents(deux événements ou plus de falsification d’une maladie et/ou d’induction d’une blessure).
334
Critères diagnostiques du trouble factice imposé à autrui - le dx s'applique à qui?
- A. Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies chez autrui, associée à une tromperie identiée. - B. Le sujet fait passer une autre personne présente (la victime) pour malade, invalide ou blessée. - C. Le comportement de tromperie est évident, même en l’absence de bénéfices externes objectivables. - D. Le comportement n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental tel qu’un trouble délirant ou un autre trouble psychotique. - **N.B. :Le diagnostic s’applique au coupable et non à la victime.** - Spécifier si : - Épisode unique - Épisodes récurrents(deux événements ou plus de falsification d’une maladie et/ou d’induction d’une blessure).
335
Critères diagnostiques du trouble factice imposé à autrui - spécifications
- A. Falsification de signes ou de symptômes physiques ou psychologiques, ou induction de blessures ou de maladies chez autrui, associée à une tromperie identiée. - B. Le sujet fait passer une autre personne présente (la victime) pour malade, invalide ou blessée. - C. Le comportement de tromperie est évident, même en l’absence de bénéfices externes objectivables. - D. Le comportement n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental tel qu’un trouble délirant ou un autre trouble psychotique. - N.B. :Le diagnostic s’applique au coupable et non à la victime. - **Spécifier si** : - **Épisode unique** - **Épisodes récurrents(deux événements ou plus de falsification d’une maladie et/ou d’induction d’une blessure)**.
336
Rôle de la volonté dans la manifestation des symptômes
337
Rôle de la volonté dans la manifestation des symptômes - Troubles à symptomatologie somatique: Intervention de la volonté?
Oui
338
Rôle de la volonté dans la manifestation des symptômes - Troubles à symptomatologie somatique: Conscience du comportement volontaire?
Non
339
Rôle de la volonté dans la manifestation des symptômes - Troubles à symptomatologie somatique: Conscience de la motivation?
Non
340
Rôle de la volonté dans la manifestation des symptômes - Troubles factices: Intervention de la volonté?
Oui
341
Rôle de la volonté dans la manifestation des symptômes - Troubles factices: Conscience du comportement volontaire
Oui
342
Rôle de la volonté dans la manifestation des symptômes - Troubles factices: Conscience de la motivation?
Non
343
Rôle de la volonté dans la manifestation des symptômes - Simulation: Intervention de la volonté?
Oui
344
Rôle de la volonté dans la manifestation des symptômes - Simulation: Conscience du comportement volontaire?
Oui
345
Rôle de la volonté dans la manifestation des symptômes - Simulation: Conscience de la motivation?
Oui
346
Conditions médicales localisées ou généralisées pouvant se manifester par un tr mental: Quoi savoir?
* Ooooooouuuuuufffffffff!! * Méchant chapitre… * C’est là une surspécialisation de la psychiatrie: la consultation liaison et psychosomatique, vous savez ??? * Concentrez-vous sur le tableau 28.5 et pour le tableau 28.6 sur les affections endocriniennes, infectieuses, néoplasiques et neurologiques. * Le tableau 28.7 me semble pas mal pratique… * Pour le reste, c’est pour votre culture médicale. Pour l’instant…
347
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable
348
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable
349
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: Nommez-les
1. Dépression 2. Démence 3. Délirium 4. Catatonie
350
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: PROBLÈME INITIAL - Dépression - Démence - Délirium - Catatonie
- Dépression: Humeur dysphorique - Démence: Tr de mémoire - Délirium: Diminution de la prise de conscience de l'environnement - Catatonie: Stupeur
351
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: PROBLÈME INITIAL - Dépression
- **Dépression: Humeur dysphorique** - Démence: Tr de mémoire - Délirium: Diminution de la prise de conscience de l'environnement - Catatonie: Stupeur
352
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: PROBLÈME INITIAL - Démence
- Dépression: Humeur dysphorique - **Démence: Tr de mémoire** - Délirium: Diminution de la prise de conscience de l'environnement - Catatonie: Stupeur
353
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: PROBLÈME INITIAL - Délirium
- Dépression: Humeur dysphorique - Démence: Tr de mémoire - **Délirium: Diminution de la prise de conscience de l'environnement** - Catatonie: Stupeur
354
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: PROBLÈME INITIAL - Catatonie
- Dépression: Humeur dysphorique - Démence: Tr de mémoire - Délirium: Diminution de la prise de conscience de l'environnement - **Catatonie: Stupeur**
355
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: APPARITION - Dépression - Démence - Délirium - Catatonie
- Dépression: Dsicrète - Démence: Insidieuse - Délirium: Abrupte - Catatonie: Abrupte
356
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: APPARITION - Dépression
- **Dépression: Discrète** - Démence: Insidieuse - Délirium: Abrupte - Catatonie: Abrupte
357
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: APPARITION - Démence
- Dépression: Dsicrète - **Démence: Insidieuse** - Délirium: Abrupte - Catatonie: Abrupte
358
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: APPARITION - Délirium
- Dépression: Dsicrète - Démence: Insidieuse - **Délirium: Abrupte** - Catatonie: Abrupte
359
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: APPARITION - Catatonie
- Dépression: Dsicrète - Démence: Insidieuse - Délirium: Abrupte - **Catatonie: Abrupte**
360
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ÉVOLUTION - Dépression - Démence - Délirium - Catatonie
- Dépression: Persistante - Démence: Progressive - Délirium: Fluctuante - Catatonie: Transitoire ou prolongée
361
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ÉVOLUTION - Dépression
- **Dépression: Persistante** - Démence: Progressive - Délirium: Fluctuante - Catatonie: Transitoire ou prolongée
362
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ÉVOLUTION - Démence
- Dépression: Persistante - **Démence: Progressive** - Délirium: Fluctuante - Catatonie: Transitoire ou prolongée
363
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ÉVOLUTION - Délirium
- Dépression: Persistante - Démence: Progressive - **Délirium: Fluctuante** - Catatonie: Transitoire ou prolongée
364
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ÉVOLUTION - Catatonie
- Dépression: Persistante - Démence: Progressive - Délirium: Fluctuante - **Catatonie: Transitoire ou prolongée**
365
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: VIGILANCE / ÉVEIL - Dépression - Démence - Délirium - Catatonie
- Dépression: Normal - Démence: Normal - Délirium: Perturbé - Catatonie: Normal
366
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: VIGILANCE / ÉVEIL - Dépression
- **Dépression: Normal** - Démence: Normal - Délirium: Perturbé - Catatonie: Normal
367
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: VIGILANCE / ÉVEIL - Démence
- Dépression: Normal - **Démence: Normal** - Délirium: Perturbé - Catatonie: Normal
368
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: VIGILANCE / ÉVEIL - Délirium
- Dépression: Normal - Démence: Normal - **Délirium: Perturbé** - Catatonie: Normal
369
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: VIGILANCE / ÉVEIL - Catatonie
- Dépression: Normal - Démence: Normal - Délirium: Perturbé - **Catatonie: Normal**
370
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ATTENTION - Dépression - Démence - Délirium - Catatonie
- Dépression: Diminuée - Démence: Normale - Délirium: Perturbée - Catatonie: Absente
371
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ATTENTION - Dépression
- **Dépression: Diminuée** - Démence: Normale - Délirium: Perturbée - Catatonie: Absente
372
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ATTENTION - Démence
- Dépression: Diminuée - **Démence: Normale** - Délirium: Perturbée - Catatonie: Absente
373
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ATTENTION - Délirium
- Dépression: Diminuée - Démence: Normale - **Délirium: Perturbée** - Catatonie: Absente
374
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ATTENTION - Catatonie
- Dépression: Diminuée - Démence: Normale - Délirium: Perturbée - **Catatonie: Absente**
375
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ORIENTATION - Dépression - Démence - Délirium - Catatonie
- Dépression: Normale - Démence: Normale - Délirium: Perturbée - Catatonie: Non évaluable
376
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ORIENTATION - Dépression
- **Dépression: Normale** - Démence: Normale - Délirium: Perturbée - Catatonie: Non évaluable
377
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ORIENTATION - Démence
- Dépression: Normale - **Démence: Normale** - Délirium: Perturbée - Catatonie: Non évaluable
378
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ORIENTATION - Délirium
- Dépression: Normale - Démence: Normale - **Délirium: Perturbée** - Catatonie: Non évaluable
379
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ORIENTATION - Catatonie
- Dépression: Normale - Démence: Normale - Délirium: Perturbée - **Catatonie: Non évaluable**
380
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: MÉMOIRE - Dépression - Démence - Délirium - Catatonie
- Dépression: - Inégale, inconsistante - Faible collaboration à l'évaluation - Démence: Perturbée, surtout la mémoire récente - Délirium: - Perturbée - Encodage faible - Catatonie: - Non évaluable - Déficits parfois permanents
381
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: MÉMOIRE - Dépression
- **Dépression**: - **Inégale, inconsistante** - **Faible collaboration à l'évaluation** - Démence: Perturbée, surtout la mémoire récente - Délirium: - Perturbée - Encodage faible - Catatonie: - Non évaluable - Déficits parfois permanents
382
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: MÉMOIRE - Démence
- Dépression: - Inégale, inconsistante - Faible collaboration à l'évaluation - **Démence: Perturbée, surtout la mémoire récente** - Délirium: - Perturbée - Encodage faible - Catatonie: - Non évaluable - Déficits parfois permanents
383
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: MÉMOIRE - Délirium
- Dépression: - Inégale, inconsistante - Faible collaboration à l'évaluation - Démence: Perturbée, surtout la mémoire récente - **Délirium**: - **Perturbée** - **Encodage faible** - Catatonie: - Non évaluable - Déficits parfois permanents
384
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: MÉMOIRE - Catatonie
- Dépression: - Inégale, inconsistante - Faible collaboration à l'évaluation - Démence: Perturbée, surtout la mémoire récente - Délirium: - Perturbée - Encodage faible - **Catatonie**: - **Non évaluable** - **Déficits parfois permanents**
385
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: PLAINTES MNÉSIQUES - Dépression - Démence - Délirium - Catatonie
- Dépression: Soulignées - Démence: Dissimulées, méconnues ou indifférence - Délirium: Absentes - Catatonie: Absentes
386
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: PLAINTES MNÉSIQUES - Dépression
- **Dépression: Soulignées** - Démence: Dissimulées, méconnues ou indifférence - Délirium: Absentes - Catatonie: Absentes
387
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: PLAINTES MNÉSIQUES - Démence
- Dépression: Soulignées - **Démence: Dissimulées, méconnues ou indifférence** - Délirium: Absentes - Catatonie: Absentes
388
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: PLAINTES MNÉSIQUES - Délirium
- Dépression: Soulignées - Démence: Dissimulées, méconnues ou indifférence - **Délirium: Absentes** - Catatonie: Absentes
389
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: PLAINTES MNÉSIQUES - Catatonie
- Dépression: Soulignées - Démence: Dissimulées, méconnues ou indifférence - Délirium: Absentes - **Catatonie: Absentes**
390
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: AFFECTS - Dépression - Démence - Délirium - Catatonie
- Dépression: Triste, variation diurne - Démence: Variable - Délirium: Labile - Catatonie: Restreint
391
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: AFFECTS - Dépression
- **Dépression: Triste, variation diurne** - Démence: Variable - Délirium: Labile - Catatonie: Restreint
392
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: AFFECTS - Démence
- Dépression: Triste, variation diurne - **Démence: Variable** - Délirium: Labile - Catatonie: Restreint
393
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: AFFECTS - Délirium
- Dépression: Triste, variation diurne - Démence: Variable - **Délirium: Labile** - Catatonie: Restreint
394
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: AFFECTS - Catatonie
- Dépression: Triste, variation diurne - Démence: Variable - Délirium: Labile - **Catatonie: Restreint**
395
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ACTIVITÉ PSYCHOMOTRICE - Dépression - Démence - Délirium - Catatonie
- Dépression: Ralentie - Démence: Variable - Délirium: Augmentée ou diminuée - Catatonie: Immobilité ou agitation
396
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ACTIVITÉ PSYCHOMOTRICE - Dépression
- **Dépression: Ralentie** - Démence: Variable - Délirium: Augmentée ou diminuée - Catatonie: Immobilité ou agitation
397
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ACTIVITÉ PSYCHOMOTRICE - Démence
- Dépression: Ralentie - **Démence: Variable** - Délirium: Augmentée ou diminuée - Catatonie: Immobilité ou agitation
398
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ACTIVITÉ PSYCHOMOTRICE - Délirium
- Dépression: Ralentie - Démence: Variable - **Délirium: Augmentée ou diminuée** - Catatonie: Immobilité ou agitation
399
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: ACTIVITÉ PSYCHOMOTRICE - Catatonie
- Dépression: Ralentie - Démence: Variable - Délirium: Augmentée ou diminuée - **Catatonie: Immobilité ou agitation**
400
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: SYMPTÔMES PSYCHOTIQUES - Dépression - Démence - Délirium - Catatonie
- Dépression: Occassionnels - Démence: Fréquents - Délirium: Très fréquents - Catatonie: Occasionnels
401
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: SYMPTÔMES PSYCHOTIQUES - Dépression
- **Dépression: Occassionnels** - Démence: Fréquents - Délirium: Très fréquents - Catatonie: Occasionnels
402
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: SYMPTÔMES PSYCHOTIQUES - Démence
- Dépression: Occassionnels - **Démence: Fréquents** - Délirium: Très fréquents - Catatonie: Occasionnels
403
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: SYMPTÔMES PSYCHOTIQUES - Délirium
- Dépression: Occassionnels - Démence: Fréquents - **Délirium: Très fréquents** - Catatonie: Occasionnels
404
Ddx dépression chez un pt avec une affection médicale probable: SYMPTÔMES PSYCHOTIQUES - Catatonie
- Dépression: Occassionnels - Démence: Fréquents - Délirium: Très fréquents - **Catatonie: Occasionnels**
405
LONGUE LISTE DE CONDITIONS MÉDICALES
p. 50-52
406
Sommeil: C'est quoi?
- Le sommeil est un état naturel de repos, cyclique et réversible, caractérisé par une réactivité réduite aux stimuli. - Au cours des dernières décennies, le temps consacré au sommeil aurait diminué de 20%. - La moyenne de temps de sommeil chez les personnes de 15 ans et plus se situe entre 7,5 et 8h par jour, avec une importante dispersion des valeurs autour de cette moyenne. - 15-19% dorment moins de 6,5h par jour en coupant volontairement leur temps de sommeil - La somnolence diurne interfère avec le fonctionnement de 50% des travailleurs
407
Sommeil: Définition
- **Le sommeil est un état naturel de repos, cyclique et réversible, caractérisé par une réactivité réduite aux stimuli**. - Au cours des dernières décennies, le temps consacré au sommeil aurait diminué de 20%. - La moyenne de temps de sommeil chez les personnes de 15 ans et plus se situe entre 7,5 et 8h par jour, avec une importante dispersion des valeurs autour de cette moyenne. - 15-19% dorment moins de 6,5h par jour en coupant volontairement leur temps de sommeil - La somnolence diurne interfère avec le fonctionnement de 50% des travailleurs
408
Sommeil: Décrire l'état
- Le sommeil est un **état naturel de repos, cyclique et réversible**, caractérisé par une réactivité réduite aux stimuli. - Au cours des dernières décennies, le temps consacré au sommeil aurait diminué de 20%. - La moyenne de temps de sommeil chez les personnes de 15 ans et plus se situe entre 7,5 et 8h par jour, avec une importante dispersion des valeurs autour de cette moyenne. - 15-19% dorment moins de 6,5h par jour en coupant volontairement leur temps de sommeil - La somnolence diurne interfère avec le fonctionnement de 50% des travailleurs
409
Sommeil: Caractérisé par quoi?
- Le sommeil est un état naturel de repos, cyclique et réversible, **caractérisé par une réactivité réduite aux stimuli.** - Au cours des dernières décennies, le temps consacré au sommeil aurait diminué de 20%. - La moyenne de temps de sommeil chez les personnes de 15 ans et plus se situe entre 7,5 et 8h par jour, avec une importante dispersion des valeurs autour de cette moyenne. - 15-19% dorment moins de 6,5h par jour en coupant volontairement leur temps de sommeil - La somnolence diurne interfère avec le fonctionnement de 50% des travailleurs
410
Sommeil: Évolution du temps consacré au sommeil
- Le sommeil est un état naturel de repos, cyclique et réversible, caractérisé par une réactivité réduite aux stimuli. - **Au cours des dernières décennies, le temps consacré au sommeil aurait diminué de 20%**. - La moyenne de temps de sommeil chez les personnes de 15 ans et plus se situe entre 7,5 et 8h par jour, avec une importante dispersion des valeurs autour de cette moyenne. - 15-19% dorment moins de 6,5h par jour en coupant volontairement leur temps de sommeil - La somnolence diurne interfère avec le fonctionnement de 50% des travailleurs
411
Sommeil: Durée moyenne du sommeil par jour
- Le sommeil est un état naturel de repos, cyclique et réversible, caractérisé par une réactivité réduite aux stimuli. - Au cours des dernières décennies, le temps consacré au sommeil aurait diminué de 20%. - **La moyenne de temps de sommeil chez les personnes de 15 ans et plus se situe entre 7,5 et 8h par jour, avec une importante dispersion des valeurs autour de cette moyenne**. - **15-19% dorment moins de 6,5h par jour en coupant volontairement leur temps de sommeil** - La somnolence diurne interfère avec le fonctionnement de 50% des travailleurs
412
Sommeil: Proportion des gens qui dorment moins de 6,5 heures
- Le sommeil est un état naturel de repos, cyclique et réversible, caractérisé par une réactivité réduite aux stimuli. - Au cours des dernières décennies, le temps consacré au sommeil aurait diminué de 20%. - La moyenne de temps de sommeil chez les personnes de 15 ans et plus se situe entre 7,5 et 8h par jour, avec une importante dispersion des valeurs autour de cette moyenne. - **15-19% dorment moins de 6,5h par jour en coupant volontairement leur temps de sommeil** - La somnolence diurne interfère avec le fonctionnement de 50% des travailleurs
413
Sommeil: Impact de la somnolence diurne
- Le sommeil est un état naturel de repos, cyclique et réversible, caractérisé par une réactivité réduite aux stimuli. - Au cours des dernières décennies, le temps consacré au sommeil aurait diminué de 20%. - La moyenne de temps de sommeil chez les personnes de 15 ans et plus se situe entre 7,5 et 8h par jour, avec une importante dispersion des valeurs autour de cette moyenne. - 15-19% dorment moins de 6,5h par jour en coupant volontairement leur temps de sommeil - **La somnolence diurne interfère avec le fonctionnement de 50% des travailleurs**
414
Conséquences physiques du manque chronique de sommeil
Le manque chronique de sommeil peut entraîner d’importante conséquence physique sur la santé : - Complications cardiovasculaires - Troubles métaboliques (intolérance au glucose / obésité / HTA / incompétence immunitaire)
415
Conséquences physiques du manque chronique de sommeil: Nommez-les
Le manque chronique de sommeil peut entraîner d’importante conséquence physique sur la santé : - Complications cardiovasculaires - Troubles métaboliques (intolérance au glucose / obésité / HTA / incompétence immunitaire)
416
Problèmes de sommeil
* Globalement, nous pouvons dire qu’environ 13% des personnes de 15 ans et plus souffrent d’un problème chronique de sommeil et que chaque année, 6-7% de cette population présente un problème occasionnel. * Remettre à plus tard un problème de trouble du sommeil sous prétexte que ce n’est pas la raison de consultation principale ou encore croire que c’est la plainte originale qui mène à ce trouble du sommeil ne sont pas des raisonnements véridiques : * La résolution des troubles du sommeil améliore l’adhésion au traitement et ses chances de succès * Les troubles du sommeil ne sont pas toujours la conséquence d’un autre problème de santé
417
Problèmes de sommeil: Prévalence
* **Globalement, nous pouvons dire qu’environ 13% des personnes de 15 ans et plus souffrent d’un problème chronique de sommeil et que chaque année, 6-7% de cette population présente un problème occasionnel.** * Remettre à plus tard un problème de trouble du sommeil sous prétexte que ce n’est pas la raison de consultation principale ou encore croire que c’est la plainte originale qui mène à ce trouble du sommeil ne sont pas des raisonnements véridiques : * La résolution des troubles du sommeil améliore l’adhésion au traitement et ses chances de succès * Les troubles du sommeil ne sont pas toujours la conséquence d’un autre problème de santé
418
Problèmes de sommeil: Prévalence - Chronique vs occasionnel
* **Globalement, nous pouvons dire qu’environ 13% des personnes de 15 ans et plus souffrent d’un problème chronique de sommeil et que chaque année, 6-7% de cette population présente un problème occasionnel**. * Remettre à plus tard un problème de trouble du sommeil sous prétexte que ce n’est pas la raison de consultation principale ou encore croire que c’est la plainte originale qui mène à ce trouble du sommeil ne sont pas des raisonnements véridiques : * La résolution des troubles du sommeil améliore l’adhésion au traitement et ses chances de succès * Les troubles du sommeil ne sont pas toujours la conséquence d’un autre problème de santé
419
Problèmes de sommeil: Quand consulter?
* Globalement, nous pouvons dire qu’environ 13% des personnes de 15 ans et plus souffrent d’un problème chronique de sommeil et que chaque année, 6-7% de cette population présente un problème occasionnel. * **Remettre à plus tard un problème de trouble du sommeil sous prétexte que ce n’est pas la raison de consultation principale ou encore croire que c’est la plainte originale qui mène à ce trouble du sommeil ne sont pas des raisonnements véridiques** : * **La résolution des troubles du sommeil améliore l’adhésion au traitement et ses chances de succès** * **Les troubles du sommeil ne sont pas toujours la conséquence d’un autre problème de santé**
420
Problèmes de sommeil: Comment les résoudre?
* Globalement, nous pouvons dire qu’environ 13% des personnes de 15 ans et plus souffrent d’un problème chronique de sommeil et que chaque année, 6-7% de cette population présente un problème occasionnel. * Remettre à plus tard un problème de trouble du sommeil sous prétexte que ce n’est pas la raison de consultation principale ou encore croire que c’est la plainte originale qui mène à ce trouble du sommeil ne sont pas des raisonnements véridiques : * **La résolution des troubles du sommeil améliore l’adhésion au traitement et ses chances de succès** * Les troubles du sommeil ne sont pas toujours la conséquence d’un autre problème de santé
421
Problèmes de sommeil: Causés par problème de santé?
* Globalement, nous pouvons dire qu’environ 13% des personnes de 15 ans et plus souffrent d’un problème chronique de sommeil et que chaque année, 6-7% de cette population présente un problème occasionnel. * Remettre à plus tard un problème de trouble du sommeil sous prétexte que ce n’est pas la raison de consultation principale ou encore croire que c’est la plainte originale qui mène à ce trouble du sommeil ne sont pas des raisonnements véridiques : * La résolution des troubles du sommeil améliore l’adhésion au traitement et ses chances de succès * **Les troubles du sommeil ne sont pas toujours la conséquence d’un autre problème de santé**
422
Sommeil: États physiologiques
- Le sommeil est constitué de deux états physiologiques distincts: - Le sommeil paradoxal (REM), qui apparait entre chaque cycle (90 min) de sommeil. - Le sommeil lent (non REM), qui constitue la majorité du temps de sommeil (80%).
423
Sommeil: États physiologiques - Nommez-les
- Le sommeil est constitué de deux états physiologiques distincts: - Le sommeil paradoxal (REM), qui apparait entre chaque cycle (90 min) de sommeil. - Le sommeil lent (non REM), qui constitue la majorité du temps de sommeil (80%).
424
Stades composant le sommeil NREM
1. Éveillé - yeux ouverts 2. Éveillé - yeux fermés 3. Stade 1 - N1 (sommeil lent léger) 4. Stade 2 – N2 (sommeil lent léger) 5. Stade 3-4 – N3 (sommeil lent profond) 6. Sommeil paradoxal - REM
425
Stades composant le sommeil NREM: Nommez les phases éveillées
1. **Éveillé - yeux ouverts** 2. **Éveillé - yeux fermés** 3. Stade 1 - N1 (sommeil lent léger) 4. Stade 2 – N2 (sommeil lent léger) 5. Stade 3-4 – N3 (sommeil lent profond) 6. Sommeil paradoxal - REM
426
Stades composant le sommeil NREM: Nommez les phases de sommeil lent léger
1. Éveillé - yeux ouverts 2. Éveillé - yeux fermés 3. **Stade 1 - N1 (sommeil lent léger)** 4. **Stade 2 – N2 (sommeil lent léger)** 5. Stade 3-4 – N3 (sommeil lent profond) 6. Sommeil paradoxal - REM
427
Stades composant le sommeil NREM: Nommez les phases sommeil lent profond
1. Éveillé - yeux ouverts 2. Éveillé - yeux fermés 3. Stade 1 - N1 (sommeil lent léger) 4. Stade 2 – N2 (sommeil lent léger) 5. **Stade 3-4 – N3 (sommeil lent profond)** 6. Sommeil paradoxal - REM
428
Stades composant le sommeil NREM: Synonyme REM
1. Éveillé - yeux ouverts 2. Éveillé - yeux fermés 3. Stade 1 - N1 (sommeil lent léger) 4. Stade 2 – N2 (sommeil lent léger) 5. Stade 3-4 – N3 (sommeil lent profond) 6. **Sommeil paradoxal - REM**
429
Stades composant le sommeil NREM: Nommez-les en ordre
1. Éveillé - yeux ouverts 2. Éveillé - yeux fermés 3. Stade 1 - N1 (sommeil lent léger) 4. Stade 2 – N2 (sommeil lent léger) 5. Stade 3-4 – N3 (sommeil lent profond) 6. Sommeil paradoxal - REM
430
Stades sommeil: Éveillé – yeux ouverts - Tracé
- EEG: tracé d’ondes rapides et de faibles amplitudes (13-30Hz) - EMG: élevé - EOG: rapide et adapté au comportement
431
Stades sommeil: Éveillé – yeux ouverts - EEG
- **EEG: tracé d’ondes rapides et de faibles amplitudes (13-30Hz)** - EMG: élevé - EOG: rapide et adapté au comportement
432
Stades sommeil: Éveillé – yeux ouverts - EMG
- EEG: tracé d’ondes rapides et de faibles amplitudes (13-30Hz) - **EMG: élevé** - EOG: rapide et adapté au comportement
433
Stades sommeil: Éveillé – yeux ouverts - EOG
- EEG: tracé d’ondes rapides et de faibles amplitudes (13-30Hz) - EMG: élevé - **EOG: rapide et adapté au comportement**
434
Stades sommeil: Éveillé – yeux fermés - Tracé
- EEG: avec onde α (8-12Hz) et disparaissent à l’ouverture des yeux ou au cours d’une tâche mentale
435
Stades sommeil: Éveillé – yeux fermés - EEG
- EEG: avec onde α (8-12Hz) et disparaissent à l’ouverture des yeux ou au cours d’une tâche mentale
436
Stades sommeil: Stade 1 – N1 - Type de sommeil
Sommeil lent léger
437
Stades sommeil: Stade 1 – N1 - Tracé
Sommeil lent léger
438
Stades sommeil: Stade 1 – N1 - Description
- Avec l’assoupissement, le rythme α disparaît pour faire place à un EEG lent (4-7Hz) et synchrone. - EOG présente des mouvements lents - EMG : le tonus musculaire est maintenu - La flèche montre la transition de l’éveil-yeux fermés à N1 - Si réveillée, la personne rapporte une sensation de demi-sommeil et rêverie.
439
Stades sommeil: Stade 1 – N1 - EEG
- **Avec l’assoupissement, le rythme α disparaît pour faire place à un EEG lent (4-7Hz) et synchrone**. - EOG présente des mouvements lents - EMG : le tonus musculaire est maintenu - La flèche montre la transition de l’éveil-yeux fermés à N1 - Si réveillée, la personne rapporte une sensation de demi-sommeil et rêverie.
440
Stades sommeil: Stade 1 – N1 - EOG
- Avec l’assoupissement, le rythme α disparaît pour faire place à un EEG lent (4-7Hz) et synchrone. - **EOG présente des mouvements lents** - EMG : le tonus musculaire est maintenu - La flèche montre la transition de l’éveil-yeux fermés à N1 - Si réveillée, la personne rapporte une sensation de demi-sommeil et rêverie.
441
Stades sommeil: Stade 1 – N1 - EMG
- Avec l’assoupissement, le rythme α disparaît pour faire place à un EEG lent (4-7Hz) et synchrone. - EOG présente des mouvements lents - **EMG : le tonus musculaire est maintenu** - La flèche montre la transition de l’éveil-yeux fermés à N1 - Si réveillée, la personne rapporte une sensation de demi-sommeil et rêverie.
442
Stades sommeil: Stade 1 – N1 - Transition éveil (yeux fermés) à N1
- Avec l’assoupissement, le rythme α disparaît pour faire place à un EEG lent (4-7Hz) et synchrone. - EOG présente des mouvements lents - EMG : le tonus musculaire est maintenu - La flèche montre la transition de l’éveil-yeux fermés à N1 - Si réveillée, la personne rapporte une sensation de demi-sommeil et rêverie.
443
Stades sommeil: Stade 1 – N1 - Senstion si personne réveillée
- Avec l’assoupissement, le rythme α disparaît pour faire place à un EEG lent (4-7Hz) et synchrone. - EOG présente des mouvements lents - EMG : le tonus musculaire est maintenu - La flèche montre la transition de l’éveil-yeux fermés à N1 - **Si réveillée, la personne rapporte une sensation de demi-sommeil et rêverie**.
444
Stades sommeil: Stade 2 – N2 - Description
- Apparaît en quelques minutes à l’EEG des caractéristiques en bouffées - Témoigne de l’inhibition de la réactivité sensorielle par l’inhibition du thalamus - Les complexes K peuvent apparaître spontanément ou en réponse à un stimulus extérieur → preuve que le cerveau reste réceptif - Si la stimulation sensorielle est répétée, les ondes K diminuent en fréquences → preuve que le cerveau traite l’information durant le sommeil - Si la stimulation est signifiante, la personne peut se réveiller abruptement - Le complexe K protège le cerveau en favorisant une activité EEG lente et synchrone - Si réveillée, la personne au N2 à l’impression d’avoir réellement dormi - EOG : Ø de mouvement oculaire - EMG : Tonus musculaire maintenu
445
Stades sommeil: Stade 2 – N2 - EEG
- **Apparaît en quelques minutes à l’EEG des caractéristiques en bouffées** - **Témoigne de l’inhibition de la réactivité sensorielle par l’inhibition du thalamus** - Les **complexes K** peuvent apparaître spontanément ou en réponse à un stimulus extérieur → preuve que le cerveau reste réceptif - Si la stimulation sensorielle est répétée, les ondes K diminuent en fréquences → preuve que le cerveau traite l’information durant le sommeil - Si la stimulation est signifiante, la personne peut se réveiller abruptement - Le complexe K protège le cerveau en favorisant une activité EEG lente et synchrone - Si réveillée, la personne au N2 à l’impression d’avoir réellement dormi - EOG : Ø de mouvement oculaire - EMG : Tonus musculaire maintenu
446
Stades sommeil: Stade 2 – N2 - Complexes K
- Apparaît en quelques minutes à l’EEG des caractéristiques en bouffées - Témoigne de l’inhibition de la réactivité sensorielle par l’inhibition du thalamus - **Les complexes K peuvent apparaître spontanément ou en réponse à un stimulus extérieur → preuve que le cerveau reste réceptif** - **Si la stimulation sensorielle est répétée, les ondes K diminuent en fréquences → preuve que le cerveau traite l’information durant le sommeil** - **Si la stimulation est signifiante, la personne peut se réveiller abruptement** - **Le complexe K protège le cerveau en favorisant une activité EEG lente et synchrone** - Si réveillée, la personne au N2 à l’impression d’avoir réellement dormi - EOG : Ø de mouvement oculaire - EMG : Tonus musculaire maintenu
447
Stades sommeil: Stade 2 – N2 - sensation si personne réveillée
- Apparaît en quelques minutes à l’EEG des caractéristiques en bouffées - Témoigne de l’inhibition de la réactivité sensorielle par l’inhibition du thalamus - Les complexes K peuvent apparaître spontanément ou en réponse à un stimulus extérieur → preuve que le cerveau reste réceptif - Si la stimulation sensorielle est répétée, les ondes K diminuent en fréquences → preuve que le cerveau traite l’information durant le sommeil - Si la stimulation est signifiante, la personne peut se réveiller abruptement - Le complexe K protège le cerveau en favorisant une activité EEG lente et synchrone - **Si réveillée, la personne au N2 à l’impression d’avoir réellement dormi** - EOG : Ø de mouvement oculaire - EMG : Tonus musculaire maintenu
448
Stades sommeil: Stade 2 – N2 - EOG
- Apparaît en quelques minutes à l’EEG des caractéristiques en bouffées - Témoigne de l’inhibition de la réactivité sensorielle par l’inhibition du thalamus - Les complexes K peuvent apparaître spontanément ou en réponse à un stimulus extérieur → preuve que le cerveau reste réceptif - Si la stimulation sensorielle est répétée, les ondes K diminuent en fréquences → preuve que le cerveau traite l’information durant le sommeil - Si la stimulation est signifiante, la personne peut se réveiller abruptement - Le complexe K protège le cerveau en favorisant une activité EEG lente et synchrone - Si réveillée, la personne au N2 à l’impression d’avoir réellement dormi - **EOG : Ø de mouvement oculaire** - EMG : Tonus musculaire maintenu
449
Stades sommeil: Stade 2 – N2 - EMG
- Apparaît en quelques minutes à l’EEG des caractéristiques en bouffées - Témoigne de l’inhibition de la réactivité sensorielle par l’inhibition du thalamus - Les complexes K peuvent apparaître spontanément ou en réponse à un stimulus extérieur → preuve que le cerveau reste réceptif - Si la stimulation sensorielle est répétée, les ondes K diminuent en fréquences → preuve que le cerveau traite l’information durant le sommeil - Si la stimulation est signifiante, la personne peut se réveiller abruptement - Le complexe K protège le cerveau en favorisant une activité EEG lente et synchrone - Si réveillée, la personne au N2 à l’impression d’avoir réellement dormi - EOG : Ø de mouvement oculaire - **EMG : Tonus musculaire maintenu**
450
Stades sommeil: Stade 2 – N2 - Tracé
451
Stades sommeil: Stade 3-4 – N3 - Type de sommeil
Sommeil lent profond
452
Stades sommeil: Stade 3-4 – N3 - Description
- 15-40 min après le N2 - EEG ralentit et devient hypersynchrone avec des ondes delta (σ) très amples (0,5-4Hz et amplitude supérieure à 75uV) - Ondes σ occupent 20 à 49% ou plus de 50% d’un segment de tracé - En plus de σ, on observe : - Ralentissement des fonctions végétatives - Diminution de la TA - Baisse de la température corporelle - Élévation du seuil d’éveil → la personne est confuse en se réveillant - EOG : Ø de mouvements oculaires - EMG : Tonus PSYM
453
Stades sommeil: Stade 3-4 – N3 - Quand?
- **15-40 min après le N2** - EEG ralentit et devient hypersynchrone avec des ondes delta (σ) très amples (0,5-4Hz et amplitude supérieure à 75uV) - Ondes σ occupent 20 à 49% ou plus de 50% d’un segment de tracé - En plus de σ, on observe : - Ralentissement des fonctions végétatives - Diminution de la TA - Baisse de la température corporelle - Élévation du seuil d’éveil → la personne est confuse en se réveillant - EOG : Ø de mouvements oculaires - EMG : Tonus PSYM
454
Stades sommeil: Stade 3-4 – N3 - EEG
- 15-40 min après le N2 - **EEG ralentit et devient hypersynchrone avec des ondes delta (σ) très amples (0,5-4Hz et amplitude supérieure à 75uV)** - Ondes σ occupent 20 à 49% ou plus de 50% d’un segment de tracé - En plus de σ, on observe : - Ralentissement des fonctions végétatives - Diminution de la TA - Baisse de la température corporelle - Élévation du seuil d’éveil → la personne est confuse en se réveillant - EOG : Ø de mouvements oculaires - EMG : Tonus PSYM
455
Stades sommeil: Stade 3-4 – N3 - Ondes delta
- 15-40 min après le N2 - **EEG ralentit et devient hypersynchrone avec des ondes delta (σ) très amples (0,5-4Hz et amplitude supérieure à 75uV)** - **Ondes σ occupent 20 à 49% ou plus de 50% d’un segment de tracé** - En plus de σ, on observe : - Ralentissement des fonctions végétatives - Diminution de la TA - Baisse de la température corporelle - Élévation du seuil d’éveil → la personne est confuse en se réveillant - EOG : Ø de mouvements oculaires - EMG : Tonus PSYM
456
Stades sommeil: Stade 3-4 – N3 - autres choses que l'on observe
- 15-40 min après le N2 - EEG ralentit et devient hypersynchrone avec des ondes delta (σ) très amples (0,5-4Hz et amplitude supérieure à 75uV) - Ondes σ occupent 20 à 49% ou plus de 50% d’un segment de tracé - **En plus de σ, on observe** : - **Ralentissement des fonctions végétatives** - **Diminution de la TA** - **Baisse de la température corporelle** - **Élévation du seuil d’éveil → la personne est confuse en se réveillant** - EOG : Ø de mouvements oculaires - EMG : Tonus PSYM
457
Stades sommeil: Stade 3-4 – N3 - Autres signes / symptômes
- 15-40 min après le N2 - EEG ralentit et devient hypersynchrone avec des ondes delta (σ) très amples (0,5-4Hz et amplitude supérieure à 75uV) - Ondes σ occupent 20 à 49% ou plus de 50% d’un segment de tracé - **En plus de σ, on observe** : - **Ralentissement des fonctions végétatives** - **Diminution de la TA** - **Baisse de la température corporelle** - **Élévation du seuil d’éveil → la personne est confuse en se réveillant** - EOG : Ø de mouvements oculaires - EMG : Tonus PSYM
458
Stades sommeil: Stade 3-4 – N3 - EOG
- 15-40 min après le N2 - EEG ralentit et devient hypersynchrone avec des ondes delta (σ) très amples (0,5-4Hz et amplitude supérieure à 75uV) - Ondes σ occupent 20 à 49% ou plus de 50% d’un segment de tracé - En plus de σ, on observe : - Ralentissement des fonctions végétatives - Diminution de la TA - Baisse de la température corporelle - Élévation du seuil d’éveil → la personne est confuse en se réveillant - **EOG : Ø de mouvements oculaire**s - EMG : Tonus PSYM
459
Stades sommeil: Stade 3-4 – N3 - EMG
- 15-40 min après le N2 - EEG ralentit et devient hypersynchrone avec des ondes delta (σ) très amples (0,5-4Hz et amplitude supérieure à 75uV) - Ondes σ occupent 20 à 49% ou plus de 50% d’un segment de tracé - En plus de σ, on observe : - Ralentissement des fonctions végétatives - Diminution de la TA - Baisse de la température corporelle - Élévation du seuil d’éveil → la personne est confuse en se réveillant - EOG : Ø de mouvements oculaires - **EMG : Tonus PSYM**
460
Stades sommeil: Stade 3-4 – N3 - Tracé
461
Stades sommeil: Sommeil paradoxal - synonyme
REM
462
Stades sommeil: Sommeil paradoxal / REM
- Après 90 min de sommeil lent, la première période de REM survient. - Plusieurs signes d’activation centrale et végétative apparaissent simultanément : - EEG désynchronisé semblable au N1 ou éveil - EMG : Atonie musculaire complète (inhibition active, soutenue et réversible des motoneurones α de la moelle). - EOG : Bouffées de mouvements oculaires rapides - Sur le plan physiologique, on observe : - Prédominance SYM - Irrégularité du pouls et respiration - Clonies irrégulières de la face et des extrémités - Vasodilatation et une érection du pénis ou clitoris - Contractions par bouffées des muscles de l’oreille moyenne - La personne est autant endormie qu’en N3/N4, mais plus sensible aux stimuli
463
Stades sommeil: Sommeil paradoxal / REM - survient quand?
- **Après 90 min de sommeil lent, la première période de REM survient**. - Plusieurs signes d’activation centrale et végétative apparaissent simultanément : - EEG désynchronisé semblable au N1 ou éveil - EMG : Atonie musculaire complète (inhibition active, soutenue et réversible des motoneurones α de la moelle). - EOG : Bouffées de mouvements oculaires rapides - Sur le plan physiologique, on observe : - Prédominance SYM - Irrégularité du pouls et respiration - Clonies irrégulières de la face et des extrémités - Vasodilatation et une érection du pénis ou clitoris - Contractions par bouffées des muscles de l’oreille moyenne - La personne est autant endormie qu’en N3/N4, mais plus sensible aux stimuli
464
Stades sommeil: Sommeil paradoxal / REM - survient après combien de temps de sommeil lent?
- **Après 90 min de sommeil lent, la première période de REM survient**. - Plusieurs signes d’activation centrale et végétative apparaissent simultanément : - EEG désynchronisé semblable au N1 ou éveil - EMG : Atonie musculaire complète (inhibition active, soutenue et réversible des motoneurones α de la moelle). - EOG : Bouffées de mouvements oculaires rapides - Sur le plan physiologique, on observe : - Prédominance SYM - Irrégularité du pouls et respiration - Clonies irrégulières de la face et des extrémités - Vasodilatation et une érection du pénis ou clitoris - Contractions par bouffées des muscles de l’oreille moyenne - La personne est autant endormie qu’en N3/N4, mais plus sensible aux stimuli
465
Stades sommeil: Sommeil paradoxal / REM - EEG
- Après 90 min de sommeil lent, la première période de REM survient. - **Plusieurs signes d’activation centrale et végétative apparaissent simultanément** : - **EEG désynchronisé semblable au N1 ou éveil** - EMG : Atonie musculaire complète (inhibition active, soutenue et réversible des motoneurones α de la moelle). - EOG : Bouffées de mouvements oculaires rapides - Sur le plan physiologique, on observe : - Prédominance SYM - Irrégularité du pouls et respiration - Clonies irrégulières de la face et des extrémités - Vasodilatation et une érection du pénis ou clitoris - Contractions par bouffées des muscles de l’oreille moyenne - La personne est autant endormie qu’en N3/N4, mais plus sensible aux stimuli
466
Stades sommeil: Sommeil paradoxal / REM - Signes d’activation centrale et végétative
- Après 90 min de sommeil lent, la première période de REM survient. - **Plusieurs signes d’activation centrale et végétative apparaissent simultanément** : - **EEG désynchronisé semblable au N1 ou éveil** - EMG : Atonie musculaire complète (inhibition active, soutenue et réversible des motoneurones α de la moelle). - EOG : Bouffées de mouvements oculaires rapides - Sur le plan physiologique, on observe : - Prédominance SYM - Irrégularité du pouls et respiration - Clonies irrégulières de la face et des extrémités - Vasodilatation et une érection du pénis ou clitoris - Contractions par bouffées des muscles de l’oreille moyenne - La personne est autant endormie qu’en N3/N4, mais plus sensible aux stimuli
467
Stades sommeil: Sommeil paradoxal / REM - EMG
- Après 90 min de sommeil lent, la première période de REM survient. - Plusieurs signes d’activation centrale et végétative apparaissent simultanément : - EEG désynchronisé semblable au N1 ou éveil - **EMG : Atonie musculaire complète (inhibition active, soutenue et réversible des motoneurones α de la moelle)**. - EOG : Bouffées de mouvements oculaires rapides - Sur le plan physiologique, on observe : - Prédominance SYM - Irrégularité du pouls et respiration - Clonies irrégulières de la face et des extrémités - Vasodilatation et une érection du pénis ou clitoris - Contractions par bouffées des muscles de l’oreille moyenne - La personne est autant endormie qu’en N3/N4, mais plus sensible aux stimuli
468
Stades sommeil: Sommeil paradoxal / REM - EOG
- Après 90 min de sommeil lent, la première période de REM survient. - Plusieurs signes d’activation centrale et végétative apparaissent simultanément : - EEG désynchronisé semblable au N1 ou éveil - EMG : Atonie musculaire complète (inhibition active, soutenue et réversible des motoneurones α de la moelle). - **EOG : Bouffées de mouvements oculaires rapides** - Sur le plan physiologique, on observe : - Prédominance SYM - Irrégularité du pouls et respiration - Clonies irrégulières de la face et des extrémités - Vasodilatation et une érection du pénis ou clitoris - Contractions par bouffées des muscles de l’oreille moyenne - La personne est autant endormie qu’en N3/N4, mais plus sensible aux stimuli
469
Stades sommeil: Sommeil paradoxal / REM - Sur le plan phsyiologique
- Après 90 min de sommeil lent, la première période de REM survient. - Plusieurs signes d’activation centrale et végétative apparaissent simultanément : - EEG désynchronisé semblable au N1 ou éveil - EMG : Atonie musculaire complète (inhibition active, soutenue et réversible des motoneurones α de la moelle). - EOG : Bouffées de mouvements oculaires rapides - **Sur le plan physiologique, on observe** : - **Prédominance SYM** - **Irrégularité du pouls et respiration** - **Clonies irrégulières de la face et des extrémités** - **Vasodilatation et une érection du pénis ou clitoris** - **Contractions par bouffées des muscles de l’oreille moyenne** - La personne est autant endormie qu’en N3/N4, mais plus sensible aux stimuli
470
Stades sommeil: Sommeil paradoxal / REM - différence avec N3 / N4
- Après 90 min de sommeil lent, la première période de REM survient. - Plusieurs signes d’activation centrale et végétative apparaissent simultanément : - EEG désynchronisé semblable au N1 ou éveil - EMG : Atonie musculaire complète (inhibition active, soutenue et réversible des motoneurones α de la moelle). - EOG : Bouffées de mouvements oculaires rapides - Sur le plan physiologique, on observe : - Prédominance SYM - Irrégularité du pouls et respiration - Clonies irrégulières de la face et des extrémités - Vasodilatation et une érection du pénis ou clitoris - Contractions par bouffées des muscles de l’oreille moyenne - **La personne est autant endormie qu’en N3/N4, mais plus sensible aux stimuli**
471
Stades sommeil: Sommeil paradoxal / REM - Tracé
472
Hypnogramme d'une nuit normale de sommeil
* La figure 32.2 est importante à connaître… * Remarquez notamment la distribution du sommeil réparateur et du REM. * Vous comprendrez pourquoi il est si difficile de se faire réveiller alors qu’on est de garde et qu’on a fait qu’un « petit somme » … * Elle est présente dans le tableau précédent.
473
Hypnogramme d'une nuit normale de sommeil: Séquence des différents stades de sommeil
* La figure 32.2 est importante à connaître… * Remarquez notamment la distribution du sommeil réparateur et du REM. * Vous comprendrez pourquoi il est si difficile de se faire réveiller alors qu’on est de garde et qu’on a fait qu’un « petit somme » … * Elle est présente dans le tableau précédent.
474
Identifiez le.s énoncé.s vrai.s 1) Les ondes delta sont des ondes de faible amplitude, typiques de l’endormissement 2) Les complexes K s’observent dans le stade 2 du sommeil 3) Les ondes rapides en dents de scie caractérisent le tracé d’EEG des stades 3 et 4 4) Les ondes thêta caractérisent le stade 1 du sommeil
1) Les ondes delta sont des ondes de faible amplitude, typiques de l’endormissement 2) **Les complexes K s’observent dans le stade 2 du sommeil** 3) Les ondes rapides en dents de scie caractérisent le tracé d’EEG des stades 3 et 4 4) **Les ondes thêta caractérisent le stade 1 du sommeil**
475
Sommeil: Rôle des neurones cholinergiques
- Plusieurs zones spécifiques et neurotransmetteurs spécifiques ont des rôles à jouer au niveau de l’éveil et du sommeil. - Zones spécifiques : - Hypothalamus : interrupteur qui permet l’alternance entre l’éveil et le sommeil - Thalamus : interrupteur du passage ou du blocage de l’information vers le cortex (utile à partir de la phase N2…) - Tronc cérébral : interrupteur permettant l’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal. - Neurotransmetteurs : - Adénosine : responsable de l’apparition du sommeil en désinhibant la neurotransmission GABAergique - GABA : protection des stimulations du monde extérieur (diminue la sensibilité aux stimuli) - **Neurones cholinergiques (TC) : induction et maintien du sommeil paradoxal** - Neurones aminergiques (TC) : inhibition du sommeil paradoxal
476
Sommeil: Zones spécifiques du cerveau en lien avec le sommeil
- Plusieurs zones spécifiques et neurotransmetteurs spécifiques ont des rôles à jouer au niveau de l’éveil et du sommeil. - **Zones spécifiques** : - **Hypothalamus : interrupteur qui permet l’alternance entre l’éveil et le sommeil** - **Thalamus : interrupteur du passage ou du blocage de l’information vers le cortex (utile à partir de la phase N2…)** - **Tronc cérébral : interrupteur permettant l’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal**. - Neurotransmetteurs : - Adénosine : responsable de l’apparition du sommeil en désinhibant la neurotransmission GABAergique - GABA : protection des stimulations du monde extérieur (diminue la sensibilité aux stimuli) - Neurones cholinergiques (TC) : induction et maintien du sommeil paradoxal - Neurones aminergiques (TC) : inhibition du sommeil paradoxal
477
Sommeil: Zones spécifiques du cerveau en lien avec le sommeil - Nommez-les
- Plusieurs zones spécifiques et neurotransmetteurs spécifiques ont des rôles à jouer au niveau de l’éveil et du sommeil. - **Zones spécifiques** : - **Hypothalamus** : interrupteur qui permet l’alternance entre l’éveil et le sommeil - **Thalamus** : interrupteur du passage ou du blocage de l’information vers le cortex (utile à partir de la phase N2…) - **Tronc cérébral** : interrupteur permettant l’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal. - Neurotransmetteurs : - Adénosine : responsable de l’apparition du sommeil en désinhibant la neurotransmission GABAergique - GABA : protection des stimulations du monde extérieur (diminue la sensibilité aux stimuli) - Neurones cholinergiques (TC) : induction et maintien du sommeil paradoxal - Neurones aminergiques (TC) : inhibition du sommeil paradoxal
478
Sommeil: Zones spécifiques du cerveau en lien avec le sommeil - Rôle de: Hypothalamus
- Plusieurs zones spécifiques et neurotransmetteurs spécifiques ont des rôles à jouer au niveau de l’éveil et du sommeil. - Zones spécifiques : - **Hypothalamus : interrupteur qui permet l’alternance entre l’éveil et le sommeil** - Thalamus : interrupteur du passage ou du blocage de l’information vers le cortex (utile à partir de la phase N2…) - Tronc cérébral : interrupteur permettant l’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal. - Neurotransmetteurs : - Adénosine : responsable de l’apparition du sommeil en désinhibant la neurotransmission GABAergique - GABA : protection des stimulations du monde extérieur (diminue la sensibilité aux stimuli) - Neurones cholinergiques (TC) : induction et maintien du sommeil paradoxal - Neurones aminergiques (TC) : inhibition du sommeil paradoxal
479
Sommeil: Zones spécifiques du cerveau en lien avec le sommeil - Rôle de: Thalamus
- Plusieurs zones spécifiques et neurotransmetteurs spécifiques ont des rôles à jouer au niveau de l’éveil et du sommeil. - Zones spécifiques : - Hypothalamus : interrupteur qui permet l’alternance entre l’éveil et le sommeil - **Thalamus : interrupteur du passage ou du blocage de l’information vers le cortex (utile à partir de la phase N2…)** - Tronc cérébral : interrupteur permettant l’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal. - Neurotransmetteurs : - Adénosine : responsable de l’apparition du sommeil en désinhibant la neurotransmission GABAergique - GABA : protection des stimulations du monde extérieur (diminue la sensibilité aux stimuli) - Neurones cholinergiques (TC) : induction et maintien du sommeil paradoxal - Neurones aminergiques (TC) : inhibition du sommeil paradoxal
480
Sommeil: Zones spécifiques du cerveau en lien avec le sommeil - Rôle de: Tronc cérébral
- Plusieurs zones spécifiques et neurotransmetteurs spécifiques ont des rôles à jouer au niveau de l’éveil et du sommeil. - Zones spécifiques : - Hypothalamus : interrupteur qui permet l’alternance entre l’éveil et le sommeil - Thalamus : interrupteur du passage ou du blocage de l’information vers le cortex (utile à partir de la phase N2…) - **Tronc cérébral : interrupteur permettant l’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal**. - Neurotransmetteurs : - Adénosine : responsable de l’apparition du sommeil en désinhibant la neurotransmission GABAergique - GABA : protection des stimulations du monde extérieur (diminue la sensibilité aux stimuli) - Neurones cholinergiques (TC) : induction et maintien du sommeil paradoxal - Neurones aminergiques (TC) : inhibition du sommeil paradoxal
481
Sommeil: NT en lien avec le sommeil
- Plusieurs zones spécifiques et neurotransmetteurs spécifiques ont des rôles à jouer au niveau de l’éveil et du sommeil. - **Neurotransmetteurs** : - **Adénosine : responsable de l’apparition du sommeil en désinhibant la neurotransmission GABAergique** - **GABA : protection des stimulations du monde extérieur (diminue la sensibilité aux stimuli)** - **Neurones cholinergiques (TC) : induction et maintien du sommeil paradoxal** - **Neurones aminergiques (TC) : inhibition du sommeil paradoxal** - Zones spécifiques : - Hypothalamus : interrupteur qui permet l’alternance entre l’éveil et le sommeil - Thalamus : interrupteur du passage ou du blocage de l’information vers le cortex (utile à partir de la phase N2…) - Tronc cérébral : interrupteur permettant l’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal.
482
Sommeil: NT en lien avec le sommeil - Nommez-les
- Plusieurs zones spécifiques et neurotransmetteurs spécifiques ont des rôles à jouer au niveau de l’éveil et du sommeil. - **Neurotransmetteurs** : - **Adénosine** : responsable de l’apparition du sommeil en désinhibant la neurotransmission GABAergique - **GABA** : protection des stimulations du monde extérieur (diminue la sensibilité aux stimuli) - **Neurones cholinergiques (TC)** : induction et maintien du sommeil paradoxal - **Neurones aminergiques (TC)** : inhibition du sommeil paradoxal - Zones spécifiques : - Hypothalamus : interrupteur qui permet l’alternance entre l’éveil et le sommeil - Thalamus : interrupteur du passage ou du blocage de l’information vers le cortex (utile à partir de la phase N2…) - Tronc cérébral : interrupteur permettant l’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal.
483
Sommeil: NT en lien avec le sommeil - Rôle de: Adénosine
- Plusieurs zones spécifiques et neurotransmetteurs spécifiques ont des rôles à jouer au niveau de l’éveil et du sommeil. - Neurotransmetteurs : - **Adénosine : responsable de l’apparition du sommeil en désinhibant la neurotransmission GABAergique** - GABA : protection des stimulations du monde extérieur (diminue la sensibilité aux stimuli) - Neurones cholinergiques (TC) : induction et maintien du sommeil paradoxal - Neurones aminergiques (TC) : inhibition du sommeil paradoxal - Zones spécifiques : - Hypothalamus : interrupteur qui permet l’alternance entre l’éveil et le sommeil - Thalamus : interrupteur du passage ou du blocage de l’information vers le cortex (utile à partir de la phase N2…) - Tronc cérébral : interrupteur permettant l’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal.
484
Sommeil: NT en lien avec le sommeil - Rôle de: GABA
- Plusieurs zones spécifiques et neurotransmetteurs spécifiques ont des rôles à jouer au niveau de l’éveil et du sommeil. - Neurotransmetteurs : - Adénosine : responsable de l’apparition du sommeil en désinhibant la neurotransmission GABAergique - **GABA : protection des stimulations du monde extérieur (diminue la sensibilité aux stimuli)** - Neurones cholinergiques (TC) : induction et maintien du sommeil paradoxal - Neurones aminergiques (TC) : inhibition du sommeil paradoxal - Zones spécifiques : - Hypothalamus : interrupteur qui permet l’alternance entre l’éveil et le sommeil - Thalamus : interrupteur du passage ou du blocage de l’information vers le cortex (utile à partir de la phase N2…) - Tronc cérébral : interrupteur permettant l’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal.
485
Sommeil: NT en lien avec le sommeil - Rôle de: Neurones cholinergiques (TC)
- Plusieurs zones spécifiques et neurotransmetteurs spécifiques ont des rôles à jouer au niveau de l’éveil et du sommeil. - Neurotransmetteurs : - Adénosine : responsable de l’apparition du sommeil en désinhibant la neurotransmission GABAergique - GABA : protection des stimulations du monde extérieur (diminue la sensibilité aux stimuli) - **Neurones cholinergiques (TC) : induction et maintien du sommeil paradoxal** - Neurones aminergiques (TC) : inhibition du sommeil paradoxal - Zones spécifiques : - Hypothalamus : interrupteur qui permet l’alternance entre l’éveil et le sommeil - Thalamus : interrupteur du passage ou du blocage de l’information vers le cortex (utile à partir de la phase N2…) - Tronc cérébral : interrupteur permettant l’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal.
486
Sommeil: NT en lien avec le sommeil - Rôle de: Neurones aminergiques (TC)
- Plusieurs zones spécifiques et neurotransmetteurs spécifiques ont des rôles à jouer au niveau de l’éveil et du sommeil. - Neurotransmetteurs : - Adénosine : responsable de l’apparition du sommeil en désinhibant la neurotransmission GABAergique - GABA : protection des stimulations du monde extérieur (diminue la sensibilité aux stimuli) - Neurones cholinergiques (TC) : induction et maintien du sommeil paradoxal - **Neurones aminergiques (TC) : inhibition du sommeil paradoxal** - Zones spécifiques : - Hypothalamus : interrupteur qui permet l’alternance entre l’éveil et le sommeil - Thalamus : interrupteur du passage ou du blocage de l’information vers le cortex (utile à partir de la phase N2…) - Tronc cérébral : interrupteur permettant l’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal.
487
Représentation schématique des trois principaux interrupteurs neurophysiologiques de l’éveil et du sommeil
488
Systèmes régulant le sommeil: Nommez-les
1. Horloge biologique circadienne 2. Pression homéostastique
489
Systèmes régulant le sommeil: Horloge biologique circadienne
- Sa composante maîtresse se situe dans les noyaux suprachiasmatiques de l’hypothalamus antérieur. - Elle s’occupe de réguler : - Le cycle veille-sommeil - La T° corporelle - La sécrétion de plusieurs hormones (dont la mélatonine…) - L’humeur - Certaines habiletés cognitives (attention / mémoire / fluidité verbale) - Habiletés psychomotrices (temps de réaction par exemple) - Cette horloge est influencée par plusieurs synchroniseurs extrinsèques (lumière) et intrinsèques (transmissions de certains gènes). - Afin de favoriser un meilleur sommeil, 3 composantes doivent être réunies (T° corporelle, lumière et de la sécrétion de mélatonine). - Il est à noter que la sécrétion de mélatonine est supprimée par la lumière.
490
Systèmes régulant le sommeil: Horloge biologique circadienne - composante principale
- **Sa composante maîtresse se situe dans les noyaux suprachiasmatiques de l’hypothalamus antérieur**. - Elle s’occupe de réguler : - Le cycle veille-sommeil - La T° corporelle - La sécrétion de plusieurs hormones (dont la mélatonine…) - L’humeur - Certaines habiletés cognitives (attention / mémoire / fluidité verbale) - Habiletés psychomotrices (temps de réaction par exemple) - Cette horloge est influencée par plusieurs synchroniseurs extrinsèques (lumière) et intrinsèques (transmissions de certains gènes). - Afin de favoriser un meilleur sommeil, 3 composantes doivent être réunies (T° corporelle, lumière et de la sécrétion de mélatonine). - Il est à noter que la sécrétion de mélatonine est supprimée par la lumière.
491
Systèmes régulant le sommeil: Horloge biologique circadienne - son rôle
- Sa composante maîtresse se situe dans les noyaux suprachiasmatiques de l’hypothalamus antérieur. - **Elle s’occupe de réguler** : - **Le cycle veille-sommeil** - **La T° corporelle** - **La sécrétion de plusieurs hormones (dont la mélatonine…)** - **L’humeur** - **Certaines habiletés cognitives (attention / mémoire / fluidité verbale)** - **Habiletés psychomotrices (temps de réaction par exemple)** - Cette horloge est influencée par plusieurs synchroniseurs extrinsèques (lumière) et intrinsèques (transmissions de certains gènes). - Afin de favoriser un meilleur sommeil, 3 composantes doivent être réunies (T° corporelle, lumière et de la sécrétion de mélatonine). - Il est à noter que la sécrétion de mélatonine est supprimée par la lumière.
492
Systèmes régulant le sommeil: Horloge biologique circadienne - ce qui influence cette horloge
- Sa composante maîtresse se situe dans les noyaux suprachiasmatiques de l’hypothalamus antérieur. - Elle s’occupe de réguler : - Le cycle veille-sommeil - La T° corporelle - La sécrétion de plusieurs hormones (dont la mélatonine…) - L’humeur - Certaines habiletés cognitives (attention / mémoire / fluidité verbale) - Habiletés psychomotrices (temps de réaction par exemple) - **Cette horloge est influencée par plusieurs synchroniseurs extrinsèques (lumière) et intrinsèques (transmissions de certains gènes).** - Afin de favoriser un meilleur sommeil, 3 composantes doivent être réunies (T° corporelle, lumière et de la sécrétion de mélatonine). - Il est à noter que la sécrétion de mélatonine est supprimée par la lumière.
493
Systèmes régulant le sommeil: Horloge biologique circadienne - types de composantes influençant cette horloge
- Sa composante maîtresse se situe dans les noyaux suprachiasmatiques de l’hypothalamus antérieur. - Elle s’occupe de réguler : - Le cycle veille-sommeil - La T° corporelle - La sécrétion de plusieurs hormones (dont la mélatonine…) - L’humeur - Certaines habiletés cognitives (attention / mémoire / fluidité verbale) - Habiletés psychomotrices (temps de réaction par exemple) - **Cette horloge est influencée par plusieurs synchroniseurs extrinsèques (lumière) et intrinsèques (transmissions de certains gènes)**. - Afin de favoriser un meilleur sommeil, 3 composantes doivent être réunies (T° corporelle, lumière et de la sécrétion de mélatonine). - Il est à noter que la sécrétion de mélatonine est supprimée par la lumière.
494
Systèmes régulant le sommeil: Horloge biologique circadienne - composantes favorisant le sommeil
- Sa composante maîtresse se situe dans les noyaux suprachiasmatiques de l’hypothalamus antérieur. - Elle s’occupe de réguler : - Le cycle veille-sommeil - La T° corporelle - La sécrétion de plusieurs hormones (dont la mélatonine…) - L’humeur - Certaines habiletés cognitives (attention / mémoire / fluidité verbale) - Habiletés psychomotrices (temps de réaction par exemple) - Cette horloge est influencée par plusieurs synchroniseurs extrinsèques (lumière) et intrinsèques (transmissions de certains gènes). - **Afin de favoriser un meilleur sommeil, 3 composantes doivent être réunies (T° corporelle, lumière et de la sécrétion de mélatonine)**. - Il est à noter que la sécrétion de mélatonine est supprimée par la lumière.
495
Systèmes régulant le sommeil: Horloge biologique circadienne - ce qui supprime la sécrétion de la mélatonine
- Sa composante maîtresse se situe dans les noyaux suprachiasmatiques de l’hypothalamus antérieur. - Elle s’occupe de réguler : - Le cycle veille-sommeil - La T° corporelle - La sécrétion de plusieurs hormones (dont la mélatonine…) - L’humeur - Certaines habiletés cognitives (attention / mémoire / fluidité verbale) - Habiletés psychomotrices (temps de réaction par exemple) - Cette horloge est influencée par plusieurs synchroniseurs extrinsèques (lumière) et intrinsèques (transmissions de certains gènes). - Afin de favoriser un meilleur sommeil, 3 composantes doivent être réunies (T° corporelle, lumière et de la sécrétion de mélatonine). - **Il est à noter que la sécrétion de mélatonine est supprimée par la lumière**.
496
Systèmes régulant le sommeil: Pression homéostatique
- Pression homéostatique : mécanisme qui facilite le sommeil proportionnellement au temps d’éveil avant le coucher. - C’est la « dette accumulée de besoin de sommeil ». - L’horloge biologique circadienne et la pression homéostatique cumulent leur influence respective et permet un chronotype uniquement à chaque personne qui permet généralement différentes caractéristiques : - Type de matin (maximum de fonctionnement physique et psychologique) - Type du soir (meilleure performance en soirée) - Durée du sommeil (court ou grand dormeur)
497
Systèmes régulant le sommeil: Pression homéostatique - définition
- Pression homéostatique : mécanisme qui facilite le sommeil proportionnellement au temps d’éveil avant le coucher. - C’est la « dette accumulée de besoin de sommeil ».
498
Systèmes régulant le sommeil: Relation entre horloge biologique et pression homéostatique
- L’horloge biologique circadienne et la pression homéostatique cumulent leur influence respective et permet un chronotype uniquement à chaque personne qui permet généralement différentes caractéristiques : - Type de matin (maximum de fonctionnement physique et psychologique) - Type du soir (meilleure performance en soirée) - Durée du sommeil (court ou grand dormeur)
499
Systèmes régulant le sommeil: Relation entre horloge biologique et pression homéostatique
- L’horloge biologique circadienne et la pression homéostatique cumulent leur influence respective et permet un chronotype uniquement à chaque personne qui permet généralement différentes caractéristiques : - Type de matin (maximum de fonctionnement physique et psychologique) - Type du soir (meilleure performance en soirée) - Durée du sommeil (court ou grand dormeur)
500
Systèmes régulant le sommeil: Relation entre horloge biologique et pression homéostatique - Nommez-les types
- L’horloge biologique circadienne et la pression homéostatique cumulent leur influence respective et permet un chronotype uniquement à chaque personne qui permet généralement différentes caractéristiques : - **Type de matin (maximum de fonctionnement physique et psychologique)** - **Type du soir (meilleure performance en soirée)** - Durée du sommeil (court ou grand dormeur)
501
Systèmes régulant le sommeil: Relation entre horloge biologique et pression homéostatique - expliquez
- **L’horloge biologique circadienne et la pression homéostatique cumulent leur influence respective et permet un chronotype uniquement à chaque personne qui permet généralement différentes caractéristiques** : - Type de matin (maximum de fonctionnement physique et psychologique) - Type du soir (meilleure performance en soirée) - Durée du sommeil (court ou grand dormeur)
502
Systèmes régulant le sommeil: Relation entre horloge biologique et pression homéostatique - Type de matin
- L’horloge biologique circadienne et la pression homéostatique cumulent leur influence respective et permet un chronotype uniquement à chaque personne qui permet généralement différentes caractéristiques : - **Type de matin (maximum de fonctionnement physique et psychologique)** - Type du soir (meilleure performance en soirée) - Durée du sommeil (court ou grand dormeur)
503
Systèmes régulant le sommeil: Relation entre horloge biologique et pression homéostatique - Type du soir
- L’horloge biologique circadienne et la pression homéostatique cumulent leur influence respective et permet un chronotype uniquement à chaque personne qui permet généralement différentes caractéristiques : - Type de matin (maximum de fonctionnement physique et psychologique) - **Type du soir (meilleure performance en soirée)** - Durée du sommeil (court ou grand dormeur)
504
Systèmes régulant le sommeil: Relation entre horloge biologique et pression homéostatique - durée du sommeil
- L’horloge biologique circadienne et la pression homéostatique cumulent leur influence respective et permet un chronotype uniquement à chaque personne qui permet généralement différentes caractéristiques : - Type de matin (maximum de fonctionnement physique et psychologique) - Type du soir (meilleure performance en soirée) - **Durée du sommeil (court ou grand dormeur)**
505
Représentation schématique de synchroniseurs circadiens qui déterminent le début du sommeil et sa durée
506
Fonctions du sommeil: Nommez-les
* Fonctions cognitives, notamment sur la mémoire explicite/déclarative, implicite/procédurale, la mémoire de travail et l’attention : * Le sommeil lent et le sommeil paradoxal se succèdent et favorisent une consolidation des apprentissages (les 2 étapes sont nécessaires, d’où l’importance d’une bonne hygiène de sommeil) : * Renforcement des traces mnésiques utiles et effacement de ceux obsolètes dans le sommeil lent * Consolidation des traces mnésiques utiles dans le sommeil paradoxal
507
Fonctions du sommeil: Fonctions cognitives
* Fonctions cognitives, notamment sur la mémoire explicite/déclarative, implicite/procédurale, la mémoire de travail et l’attention : * Le sommeil lent et le sommeil paradoxal se succèdent et favorisent une consolidation des apprentissages (les 2 étapes sont nécessaires, d’où l’importance d’une bonne hygiène de sommeil) : * Renforcement des traces mnésiques utiles et effacement de ceux obsolètes dans le sommeil lent * Consolidation des traces mnésiques utiles dans le sommeil paradoxal
508
Fonctions du sommeil: Fonctions cognitives - types de mémoire
* **Fonctions cognitives, notamment sur la mémoire explicite/déclarative, implicite/procédurale, la mémoire de travail et l’attention** : * Le sommeil lent et le sommeil paradoxal se succèdent et favorisent une consolidation des apprentissages (les 2 étapes sont nécessaires, d’où l’importance d’une bonne hygiène de sommeil) : * Renforcement des traces mnésiques utiles et effacement de ceux obsolètes dans le sommeil lent * Consolidation des traces mnésiques utiles dans le sommeil paradoxal
509
Fonctions du sommeil: Fonctions cognitives - types de sommeil
* Fonctions cognitives, notamment sur la mémoire explicite/déclarative, implicite/procédurale, la mémoire de travail et l’attention : * **Le sommeil lent et le sommeil paradoxal se succèdent et favorisent une consolidation des apprentissages (les 2 étapes sont nécessaires, d’où l’importance d’une bonne hygiène de sommeil)** : * **Renforcement des traces mnésiques utiles et effacement de ceux obsolètes dans le sommeil lent** * **Consolidation des traces mnésiques utiles dans le sommeil paradoxal**
510
Fonctions du sommeil: Fonctions cognitives - ce qui est nécessaire
* Fonctions cognitives, notamment sur la mémoire explicite/déclarative, implicite/procédurale, la mémoire de travail et l’attention : * **Le sommeil lent et le sommeil paradoxal se succèdent et favorisent une consolidation des apprentissages (les 2 étapes sont nécessaires, d’où l’importance d’une bonne hygiène de sommeil)** : * **Renforcement des traces mnésiques utiles et effacement de ceux obsolètes dans le sommeil lent** * **Consolidation des traces mnésiques utiles dans le sommeil paradoxal**
511
Fonctions du sommeil: Fonctions cognitives - impacts d'une nuit fragmentée
* Fonctions cognitives, notamment sur la mémoire explicite/déclarative, implicite/procédurale, la mémoire de travail et l’attention : * Le sommeil lent et le sommeil paradoxal se succèdent et favorisent une consolidation des apprentissages (les 2 étapes sont nécessaires, d’où l’importance d’une bonne hygiène de sommeil) : * Renforcement des traces mnésiques utiles et effacement de ceux obsolètes dans le sommeil lent * Consolidation des traces mnésiques utiles dans le sommeil paradoxal * **Ceci peut expliquer pourquoi une nuit fragmentée de multiples brefs réveils crée plus de dommage sur la consolidation des apprentissages qu’une nuit blanche (Donc, c’est mieux une nuit blanche pré-exam que de se réveiller 4 X 10 min en stressant pour l’exam… RIP)**.
512
Fonctions du sommeil: Fonctions cognitives - ce qui se passe lorsqu'on cumule une dette de sommeil
* **Lorsque l’on accumule une dette de sommeil, on repend TOUT le sommeil lent profond et 50 % du sommeil paradoxal**. * Il est à noter que le nombre de minutes de sommeil lent profond est le même chez les grands dormeurs que chez les petits dormeurs
513
Fonctions du sommeil: Fonctions cognitives - petits vs grands dormeurs: impact sur nb de minutes de sommeil profond
* Lorsque l’on accumule une dette de sommeil, on repend TOUT le sommeil lent profond et 50 % du sommeil paradoxal. * **Il est à noter que le nombre de minutes de sommeil lent profond est le même chez les grands dormeurs que chez les petits dormeurs**
514
Rôles du sommeil profond
* Les rôles du sommeil paradoxal sont la maturation du système nerveux central, la synaptogenèse et la mise en action pendant le rêve de comportements essentiels à la survie. * Effectivement, 80% des rêves sont des rêves d’infortunes et permettent à l’individu de s’entraîner à réagir à des situations conflictuelles réelles diurnes. * Le cerveau travaille et tente d’effectuer des processus aussi efficaces qu’à l’éveil pour apprendre à dominer la peur, mais si l’apaisement de la peur échoue, le rêve se transforme en cauchemar et amène l’éveil. * Il est à noter que la majorité des rêves sont porteurs de sens pour l’individu. * La probabilité d’obtenir un récit de rêve suite au réveil est de 80 – 90 % suite au réveil d’un sommeil paradoxal et 20 % si le patient est en sommeil lent.
515
Rôles du sommeil profond: Nommez-les
* **Les rôles du sommeil paradoxal sont la maturation du système nerveux central, la synaptogenèse et la mise en action pendant le rêve de comportements essentiels à la survie**. * **Effectivement, 80% des rêves sont des rêves d’infortunes et permettent à l’individu de s’entraîner à réagir à des situations conflictuelles réelles diurnes.** * Le cerveau travaille et tente d’effectuer des processus aussi efficaces qu’à l’éveil pour apprendre à dominer la peur, mais si l’apaisement de la peur échoue, le rêve se transforme en cauchemar et amène l’éveil. * Il est à noter que la majorité des rêves sont porteurs de sens pour l’individu. * La probabilité d’obtenir un récit de rêve suite au réveil est de 80 – 90 % suite au réveil d’un sommeil paradoxal et 20 % si le patient est en sommeil lent.
516
Rôles du sommeil profond: Rôle de la plupart des rêves
* Les rôles du sommeil paradoxal sont la maturation du système nerveux central, la synaptogenèse et la mise en action pendant le rêve de comportements essentiels à la survie. * **Effectivement, 80% des rêves sont des rêves d’infortunes et permettent à l’individu de s’entraîner à réagir à des situations conflictuelles réelles diurnes.** * Le cerveau travaille et tente d’effectuer des processus aussi efficaces qu’à l’éveil pour apprendre à dominer la peur, mais si l’apaisement de la peur échoue, le rêve se transforme en cauchemar et amène l’éveil. * Il est à noter que la majorité des rêves sont porteurs de sens pour l’individu. * La probabilité d’obtenir un récit de rêve suite au réveil est de 80 – 90 % suite au réveil d’un sommeil paradoxal et 20 % si le patient est en sommeil lent.
517
Rôles du sommeil profond: Expliquez
* Les rôles du sommeil paradoxal sont la maturation du système nerveux central, la synaptogenèse et la mise en action pendant le rêve de comportements essentiels à la survie. * Effectivement, 80% des rêves sont des rêves d’infortunes et permettent à l’individu de s’entraîner à réagir à des situations conflictuelles réelles diurnes. * **Le cerveau travaille et tente d’effectuer des processus aussi efficaces qu’à l’éveil pour apprendre à dominer la peur, mais si l’apaisement de la peur échoue, le rêve se transforme en cauchemar et amène l’éveil**. * Il est à noter que la majorité des rêves sont porteurs de sens pour l’individu. * La probabilité d’obtenir un récit de rêve suite au réveil est de 80 – 90 % suite au réveil d’un sommeil paradoxal et 20 % si le patient est en sommeil lent.
518
Rôles du sommeil profond: Sens des rêves pour l'individu
* Les rôles du sommeil paradoxal sont la maturation du système nerveux central, la synaptogenèse et la mise en action pendant le rêve de comportements essentiels à la survie. * Effectivement, 80% des rêves sont des rêves d’infortunes et permettent à l’individu de s’entraîner à réagir à des situations conflictuelles réelles diurnes. * Le cerveau travaille et tente d’effectuer des processus aussi efficaces qu’à l’éveil pour apprendre à dominer la peur, mais si l’apaisement de la peur échoue, le rêve se transforme en cauchemar et amène l’éveil. * **Il est à noter que la majorité des rêves sont porteurs de sens pour l’individu.** * La probabilité d’obtenir un récit de rêve suite au réveil est de 80 – 90 % suite au réveil d’un sommeil paradoxal et 20 % si le patient est en sommeil lent.
519
Rôles du sommeil profond: Capable de raconter ses rêves?
* Les rôles du sommeil paradoxal sont la maturation du système nerveux central, la synaptogenèse et la mise en action pendant le rêve de comportements essentiels à la survie. * Effectivement, 80% des rêves sont des rêves d’infortunes et permettent à l’individu de s’entraîner à réagir à des situations conflictuelles réelles diurnes. * Le cerveau travaille et tente d’effectuer des processus aussi efficaces qu’à l’éveil pour apprendre à dominer la peur, mais si l’apaisement de la peur échoue, le rêve se transforme en cauchemar et amène l’éveil. * Il est à noter que la majorité des rêves sont porteurs de sens pour l’individu. * **La probabilité d’obtenir un récit de rêve suite au réveil est de 80 – 90 % suite au réveil d’un sommeil paradoxal et 20 % si le patient est en sommeil lent**.
520
Troubles sommeil-éveil: Ce qu'il faut savoir
* Pour les manifestations cliniques caractérisant les troubles de l’alternance éveil-sommeil… ouin… il y a bien trop de pages à lire, et pas toujours super pertinentes… et en plus, bon, c’est vrai, ce n’est pas la lecture la plus enthousiasmante du Lalonde… peut-être même la plus… endormante… * Faisons donc un peu de ménage pour vous permettre de distinguer ce qui est important pour votre niveau de ce qui ne l’est plus ou moins… ou pas du tout.
521
Troubles sommeil-éveil: Quoi retenir?
* Je vous suggère fortement de retenir grossièrement les critères diagnostics DSM de l’insomnie, hypersomnolence (p 735) et narcolepsie (p 736 sans les sous-types bien sûr), et des parasomnies et troubles secondaires (à une condition médicale ou toxique) du sommeil en oubliant les troubles liés à la respiration qui seront vus en pneumologie… histoire de savoir que ça existe et d’avoir une idée du vocabulaire utilisé. * Pour la thérapeutique, tenez-vous- en aux trois pages de notes suivantes sur l’hygiène du sommeil, les traitements non pharmacologiques et un algorithme d’évaluation des troubles du sommeil rédigées par le Dr Sylvain Faucher. * Vous en aurez bien assez pour l’instant. Vous êtes d’accord, non ?
522
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge
- Le délai d’endormissement augmente progressivement avec l’âge, mais la taille de l’effet statistique est faible. Il n’y a pas de changement notable de l’enfance à l’adolescence et l’allongement est surtout apparent à compter de 60-65 ans : les moyennes obtenues augmentent d’environ 10 minutes de 20 à 80 ans. - La durée totale du sommeil montre une diminution en deux temps. D’abord, de l’enfance à l’adolescence, cette diminution n’est apparente que les jours d’école puisque les adolescents rattrapent, les fins de semaine, le sommeil qu’ils ont perdu pendant les jours de classe, eu égard au délai de phase qui caractérise souvent leur cycle veille-sommeil. Ensuite, on perd 10 minutes de sommeil par décennie de 30 à 60 ans, puis le temps dormi devient un peu plus stable. - Le sommeil léger de stade 1 augmente presque parallèlement à l’allongement du délai d’endormissement : pas de changement de l’enfance à l’adolescence, puis une augmentation significative de 5 % au total de 20 à 70 ans. - Le stade 2 montre peu de changement. - Le sommeil lent profond (stades 3 et 4) diminue significativement tout au long de la vie : la perte est importante dès l’enfance, avec une diminution de 7 % par cinq ans de 5 à 15 ans, puis d’environ 2 % par décennie à compter de 20 ans, pour éventuellement disparaître complètement, quelque part entre 50 et 80 ans. Certains auteurs considèrent qu’au moins une partie de la diminution de sommeil lent profond est attribuable à une perte d’amplitude des ondes lentes de type delta à l’EEG, critère caractéristique de ce stade, alors que leur fréquence serait maintenue. Il s’avère toutefois que l’âge s’accompagne également d’une perte du pic sécrétoire de l’hormone de croissance qui accompagne normalement le sommeil lent profond. - Le délai d’apparition du sommeil paradoxal raccourcit de façon importante de 5 ans (130 minutes) à 25 ans (80 minutes), puis cette diminution devient moins importante, quoiqu’encore significative dans les années suivantes. - La durée du sommeil paradoxal varie inversement selon l’âge : on observe d’abord une augmentation de 2 % de l’enfance à l’adolescence, puis une perte de 4 % de 20 à 60 ans, pour ensuite demeurer plus ou moins stable. - Les réveils nocturnes et l’efficacité du sommeil ne changent pas pendant l’enfance et l’adolescence, mais ces deux mesures se détériorent ensuite avec 10 minutes de plus d’éveil par décennie à compter de 30 ans et 3 % de moins d’efcacité par décennie à compter de 40 ans.
523
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - délai d'endormissement
- Le délai d’endormissement augmente progressivement avec l’âge, mais la taille de l’effet statistique est faible. - Il n’y a pas de changement notable de l’enfance à l’adolescence et l’allongement est surtout apparent à compter de 60-65 ans : les moyennes obtenues augmentent d’environ 10 minutes de 20 à 80 ans.
524
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - délai d'endormissement: effet de l'âge
- **Le délai d’endormissement augmente progressivement avec l’âge, mais la taille de l’effet statistique est faible.** - Il n’y a pas de changement notable de l’enfance à l’adolescence et l’allongement est surtout apparent à compter de 60-65 ans : les moyennes obtenues augmentent d’environ 10 minutes de 20 à 80 ans.
525
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - délai d'endormissement: importance de l'effet de l'âge
- **Le délai d’endormissement augmente progressivement avec l’âge, mais la taille de l’effet statistique est faible**. - Il n’y a pas de changement notable de l’enfance à l’adolescence et l’allongement est surtout apparent à compter de 60-65 ans : les moyennes obtenues augmentent d’environ 10 minutes de 20 à 80 ans.
526
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - délai d'endormissement: enfants vs ados
- Le délai d’endormissement augmente progressivement avec l’âge, mais la taille de l’effet statistique est faible. - **Il n’y a pas de changement notable de l’enfance à l’adolescence et l’allongement est surtout apparent à compter de 60-65 ans : les moyennes obtenues augmentent d’environ 10 minutes de 20 à 80 ans**.
527
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - délai d'endormissement: moyennes
- Le délai d’endormissement augmente progressivement avec l’âge, mais la taille de l’effet statistique est faible. - **Il n’y a pas de changement notable de l’enfance à l’adolescence et l’allongement est surtout apparent à compter de 60-65 ans : les moyennes obtenues augmentent d’environ 10 minutes de 20 à 80 ans.**
528
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - délai d'endormissement: changement marqué à quel âge?
- Le délai d’endormissement augmente progressivement avec l’âge, mais la taille de l’effet statistique est faible. - Il n’y a pas de changement notable de l’enfance à l’adolescence et **l’allongement est surtout apparent à compter de 60-65 ans** : les moyennes obtenues augmentent d’environ 10 minutes de 20 à 80 ans.
529
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - durée totale du sommeil
* La durée totale du sommeil montre une diminution en deux temps. * D’abord, de l’enfance à l’adolescence, cette diminution n’est apparente que les jours d’école puisque les adolescents rattrapent, les fins de semaine, le sommeil qu’ils ont perdu pendant les jours de classe, eu égard au délai de phase qui caractérise souvent leur cycle veille-sommeil. * Ensuite, on perd 10 minutes de sommeil par décennie de 30 à 60 ans, puis le temps dormi devient un peu plus stable.
530
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - durée totale du sommeil: comment évolue-t-elle avec l'âge?
* **La durée totale du sommeil montre une diminution en deux temps**. * D’abord, de l’**enfance à l’adolescence**, cette diminution n’est apparente que les jours d’école puisque les adolescents rattrapent, les fins de semaine, le sommeil qu’ils ont perdu pendant les jours de classe, eu égard au délai de phase qui caractérise souvent leur cycle veille-sommeil. * Ensuite, on perd **10 minutes de sommeil par décennie de 30 à 60 ans**, puis le temps dormi devient un peu plus stable.
531
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - durée totale du sommeil: moments dans la vie où la durée totale du sommeil diminue
* **La durée totale du sommeil montre une diminution en deux temps**. * D’abord, de l’**enfance à l’adolescence**, cette diminution n’est apparente que les jours d’école puisque les adolescents rattrapent, les fins de semaine, le sommeil qu’ils ont perdu pendant les jours de classe, eu égard au délai de phase qui caractérise souvent leur cycle veille-sommeil. * Ensuite, **on perd 10 minutes de sommeil par décennie de 30 à 60 ans**, puis le temps dormi devient un peu plus stable.
532
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - durée totale du sommeil: diminution du sommeil - enfant à l'adolescence
* La durée totale du sommeil montre une diminution en deux temps. * **D’abord, de l’enfance à l’adolescence, cette diminution n’est apparente que les jours d’école puisque les adolescents rattrapent, les fins de semaine, le sommeil qu’ils ont perdu pendant les jours de classe, eu égard au délai de phase qui caractérise souvent leur cycle veille-sommeil.** * Ensuite, on perd 10 minutes de sommeil par décennie de 30 à 60 ans, puis le temps dormi devient un peu plus stable.
533
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - durée totale du sommeil: dimunution - 30 à 60 ans
* La durée totale du sommeil montre une diminution en deux temps. * D’abord, de l’enfance à l’adolescence, cette diminution n’est apparente que les jours d’école puisque les adolescents rattrapent, les fins de semaine, le sommeil qu’ils ont perdu pendant les jours de classe, eu égard au délai de phase qui caractérise souvent leur cycle veille-sommeil. * **Ensuite, on perd 10 minutes de sommeil par décennie de 30 à 60 ans, puis le temps dormi devient un peu plus stable**.
534
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - stade 1
* Le sommeil léger de stade 1 augmente presque parallèlement à l’allongement du délai d’endormissement : pas de changement de l’enfance à l’adolescence, puis une augmentation significative de 5 % au total de 20 à 70 ans.
535
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - stade 1: ce stade est particulièrement touché à quel moment de la vie?
* Le sommeil léger de stade 1 augmente presque parallèlement à l’allongement du délai d’endormissement : pas de changement de l’enfance à l’adolescence, puis une augmentation significative de 5 % au total de 20 à 70 ans.
536
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - stade 2
* Le stade 2 montre peu de changement.
537
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - sommeil profond
* Le sommeil lent profond (stades 3 et 4) diminue significativement tout au long de la vie : la perte est importante dès l’enfance, avec une diminution de 7 % par cinq ans de 5 à 15 ans, puis d’environ 2 % par décennie à compter de 20 ans, pour éventuellement disparaître complètement, quelque part entre 50 et 80 ans. * Certains auteurs considèrent qu’au moins une partie de la diminution de sommeil lent profond est attribuable à une perte d’amplitude des ondes lentes de type delta à l’EEG, critère caractéristique de ce stade, alors que leur fréquence serait maintenue. * Il s’avère toutefois que l’âge s’accompagne également d’une perte du pic sécrétoire de l’hormone de croissance qui accompagne normalement le sommeil lent profond.
538
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - sommeil profond: nommez les stades
* Le sommeil lent profond (**stades 3 et 4**) diminue significativement tout au long de la vie : la perte est importante dès l’enfance, avec une diminution de 7 % par cinq ans de 5 à 15 ans, puis d’environ 2 % par décennie à compter de 20 ans, pour éventuellement disparaître complètement, quelque part entre 50 et 80 ans. * Certains auteurs considèrent qu’au moins une partie de la diminution de sommeil lent profond est attribuable à une perte d’amplitude des ondes lentes de type delta à l’EEG, critère caractéristique de ce stade, alors que leur fréquence serait maintenue. * Il s’avère toutefois que l’âge s’accompagne également d’une perte du pic sécrétoire de l’hormone de croissance qui accompagne normalement le sommeil lent profond.
539
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - sommeil profond: conséquence de l'âge sur le sommeil profond
* **Le sommeil lent profond (stades 3 et 4) diminue significativement tout au long de la vie : la perte est importante dès l’enfance, avec une diminution de 7 % par cinq ans de 5 à 15 ans, puis d’environ 2 % par décennie à compter de 20 ans, pour éventuellement disparaître complètement, quelque part entre 50 et 80 ans**. * Certains auteurs considèrent qu’au moins une partie de la diminution de sommeil lent profond est attribuable à une perte d’amplitude des ondes lentes de type delta à l’EEG, critère caractéristique de ce stade, alors que leur fréquence serait maintenue. * Il s’avère toutefois que l’âge s’accompagne également d’une perte du pic sécrétoire de l’hormone de croissance qui accompagne normalement le sommeil lent profond.
540
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - sommeil profond: moments de la vie les plus affectés
* **Le sommeil lent profond (stades 3 et 4) diminue significativement tout au long de la vie : la perte est importante dès l’enfance, avec une diminution de 7 % par cinq ans de 5 à 15 ans, puis d’environ 2 % par décennie à compter de 20 ans, pour éventuellement disparaître complètement, quelque part entre 50 et 80 ans**. * Certains auteurs considèrent qu’au moins une partie de la diminution de sommeil lent profond est attribuable à une perte d’amplitude des ondes lentes de type delta à l’EEG, critère caractéristique de ce stade, alors que leur fréquence serait maintenue. * Il s’avère toutefois que l’âge s’accompagne également d’une perte du pic sécrétoire de l’hormone de croissance qui accompagne normalement le sommeil lent profond.
541
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - sommeil profond: causes des conséquences sur le sommeil profond
* Le sommeil lent profond (stades 3 et 4) diminue significativement tout au long de la vie : la perte est importante dès l’enfance, avec une diminution de 7 % par cinq ans de 5 à 15 ans, puis d’environ 2 % par décennie à compter de 20 ans, pour éventuellement disparaître complètement, quelque part entre 50 et 80 ans. * **Certains auteurs considèrent qu’au moins une partie de la diminution de sommeil lent profond est attribuable à une perte d’amplitude des ondes lentes de type delta à l’EEG, critère caractéristique de ce stade, alors que leur fréquence serait maintenue**. * **Il s’avère toutefois que l’âge s’accompagne également d’une perte du pic sécrétoire de l’hormone de croissance qui accompagne normalement le sommeil lent profond.**
542
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - sommeil profond: autre particularité
* Le sommeil lent profond (stades 3 et 4) diminue significativement tout au long de la vie : la perte est importante dès l’enfance, avec une diminution de 7 % par cinq ans de 5 à 15 ans, puis d’environ 2 % par décennie à compter de 20 ans, pour éventuellement disparaître complètement, quelque part entre 50 et 80 ans. * Certains auteurs considèrent qu’au moins une partie de la diminution de sommeil lent profond est attribuable à une perte d’amplitude des ondes lentes de type delta à l’EEG, critère caractéristique de ce stade, alors que leur fréquence serait maintenue. * **Il s’avère toutefois que l’âge s’accompagne également d’une perte du pic sécrétoire de l’hormone de croissance qui accompagne normalement le sommeil lent profond.**
543
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - sommeil paradoxal
* Le délai d’apparition du sommeil paradoxal raccourcit de façon importante de 5 ans (130 minutes) à 25 ans (80 minutes), puis cette diminution devient moins importante, quoiqu’encore significative dans les années suivantes. * La durée du sommeil paradoxal varie inversement selon l’âge : on observe d’abord une augmentation de 2 % de l’enfance à l’adolescence, puis une perte de 4 % de 20 à 60 ans, pour ensuite demeurer plus ou moins stable.
544
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - sommeil paradoxal: à quels moments de la vie est-il affecté?
* **Le délai d’apparition du sommeil paradoxal raccourcit de façon importante de 5 ans (130 minutes) à 25 ans (80 minutes), puis cette diminution devient moins importante, quoiqu’encore significative dans les années suivantes**. * La durée du sommeil paradoxal varie inversement selon l’âge : on observe d’abord une augmentation de 2 % de l’enfance à l’adolescence, puis une perte de 4 % de 20 à 60 ans, pour ensuite demeurer plus ou moins stable.
545
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - sommeil paradoxal: moments de la vie affectés
* **Le délai d’apparition du sommeil paradoxal raccourcit de façon importante de 5 ans (130 minutes) à 25 ans (80 minutes), puis cette diminution devient moins importante, quoiqu’encore significative dans les années suivantes**. * La durée du sommeil paradoxal varie inversement selon l’âge : on observe d’abord une augmentation de 2 % de l’enfance à l’adolescence, puis une perte de 4 % de 20 à 60 ans, pour ensuite demeurer plus ou moins stable.
546
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - sommeil paradoxal: durée du sommeil paradoxal
* Le délai d’apparition du sommeil paradoxal raccourcit de façon importante de 5 ans (130 minutes) à 25 ans (80 minutes), puis cette diminution devient moins importante, quoiqu’encore significative dans les années suivantes. * **La durée du sommeil paradoxal varie inversement selon l’âge : on observe d’abord une augmentation de 2 % de l’enfance à l’adolescence, puis une perte de 4 % de 20 à 60 ans, pour ensuite demeurer plus ou moins stable.**
547
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - sommeil paradoxal: durée du sommeil paradoxal - moments de la vie les plus affectés
* Le délai d’apparition du sommeil paradoxal raccourcit de façon importante de 5 ans (130 minutes) à 25 ans (80 minutes), puis cette diminution devient moins importante, quoiqu’encore significative dans les années suivantes. * **La durée du sommeil paradoxal varie inversement selon l’âge : on observe d’abord une augmentation de 2 % de l’enfance à l’adolescence, puis une perte de 4 % de 20 à 60 ans, pour ensuite demeurer plus ou moins stable.**
548
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - efficacité du sommeil
- Les réveils nocturnes et l’efficacité du sommeil ne changent pas pendant l’enfance et l’adolescence, mais ces deux mesures se détériorent ensuite avec 10 minutes de plus d’éveil par décennie à compter de 30 ans et 3 % de moins d’efficacité par décennie à compter de 40 ans.
549
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - réveils nocturnes
- Les réveils nocturnes et l’efficacité du sommeil ne changent pas pendant l’enfance et l’adolescence, mais ces deux mesures se détériorent ensuite avec 10 minutes de plus d’éveil par décennie à compter de 30 ans et 3 % de moins d’efficacité par décennie à compter de 40 ans.
550
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - efficacité du sommeil: moments de la vie les plus affectés
- Les réveils nocturnes et l’efficacité du sommeil ne changent pas pendant l’enfance et l’adolescence, mais ces deux mesures se détériorent ensuite avec 10 minutes de plus d’éveil par décennie à compter de 30 ans et **3 % de moins d’efficacité par décennie à compter de 40 ans**.
551
Principaux changements dans l’organisation du sommeil selon l’âge - réveils nocturnes: moments de la vie les plus affectés
- Les réveils nocturnes et l’efficacité du sommeil ne changent pas pendant l’enfance et l’adolescence, mais ces deux mesures se détériorent ensuite avec **10 minutes de plus d’éveil par décennie à compter de 30 ans** et 3 % de moins d’efficacité par décennie à compter de 40 ans.
552
Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie
- A. Somnolence excessive (hypersomnolence) rapportée malgré une période principale de sommeil d’au moins 7 heures et présence d’au moins un des symptômes suivants : - 1.Périodes de sommeil ou d’assoupissement se répétant au cours d’une même journée. - 2.Une période principale de sommeil prolongée d’au moins 9 heures par jour d’un sommeil non réparateur (ne permettant pas de récupérer). - 3.Difficulté à être totalement éveillé après un réveil brutal. - B. L’hypersomnolence survient au moins 3 fois par semaine, pendant au moins 3 mois. - C. L’hypersomnolence s’accompagne d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement cognitif, social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. L’hypersomnolence n’est pas mieux expliquée par un autre trouble veillesommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble, p. ex. : - narcolepsie ; - trouble du sommeil lié à la respiration ; - trouble du sommeil lié au rythme circadien ; - parasomnie. - E. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament). - F. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’hypersomnolence.
553
Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie - critère de base
- A. **Somnolence excessive (hypersomnolence) rapportée malgré une période principale de sommeil d’au moins 7 heures et présence d’au moins un des symptômes suivants** : - 1.**Périodes de sommeil ou d’assoupissement se répétant au cours d’une même journée.** - 2.**Une période principale de sommeil prolongée d’au moins 9 heures par jour d’un sommeil non réparateur (ne permettant pas de récupérer)**. - 3.**Difficulté à être totalement éveillé après un réveil brutal.** - B. L’hypersomnolence survient au moins 3 fois par semaine, pendant au moins 3 mois. - C. L’hypersomnolence s’accompagne d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement cognitif, social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. L’hypersomnolence n’est pas mieux expliquée par un autre trouble veillesommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble, p. ex. : - narcolepsie ; - trouble du sommeil lié à la respiration ; - trouble du sommeil lié au rythme circadien ; - parasomnie. - E. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament). - F. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’hypersomnolence.
554
Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie - symptôme de base
- A. **Somnolence excessive (hypersomnolence)** rapportée malgré une période principale de sommeil d’au moins 7 heures et présence d’au moins un des symptômes suivants : - 1.Périodes de sommeil ou d’assoupissement se répétant au cours d’une même journée. - 2.Une période principale de sommeil prolongée d’au moins 9 heures par jour d’un sommeil non réparateur (ne permettant pas de récupérer). - 3.Difficulté à être totalement éveillé après un réveil brutal. - B. L’hypersomnolence survient au moins 3 fois par semaine, pendant au moins 3 mois. - C. L’hypersomnolence s’accompagne d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement cognitif, social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. L’hypersomnolence n’est pas mieux expliquée par un autre trouble veillesommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble, p. ex. : - narcolepsie ; - trouble du sommeil lié à la respiration ; - trouble du sommeil lié au rythme circadien ; - parasomnie. - E. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament). - F. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’hypersomnolence.
555
Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie - la personne doit dormir combien de temps dans leur période principale de sommeil?
- A. Somnolence excessive (hypersomnolence) rapportée malgré une période principale de sommeil d’au moins **7 heures** et présence d’au moins un des symptômes suivants : - 1.Périodes de sommeil ou d’assoupissement se répétant au cours d’une même journée. - 2.Une période principale de sommeil prolongée d’au moins 9 heures par jour d’un sommeil non réparateur (ne permettant pas de récupérer). - 3.Difficulté à être totalement éveillé après un réveil brutal. - B. L’hypersomnolence survient au moins 3 fois par semaine, pendant au moins 3 mois. - C. L’hypersomnolence s’accompagne d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement cognitif, social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. L’hypersomnolence n’est pas mieux expliquée par un autre trouble veillesommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble, p. ex. : - narcolepsie ; - trouble du sommeil lié à la respiration ; - trouble du sommeil lié au rythme circadien ; - parasomnie. - E. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament). - F. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’hypersomnolence.
556
Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie - symptômes
- A. **Somnolence excessive (hypersomnolence)** rapportée malgré une période principale de sommeil d’au moins 7 heures et présence d’au moins un des symptômes suivants : - 1.**Périodes de sommeil ou d’assoupissement se répétant au cours d’une même journée**. - 2.**Une période principale de sommeil prolongée d’au moins 9 heures par jour d’un sommeil non réparateur (ne permettant pas de récupérer).** - 3.**Difficulté à être totalement éveillé après un réveil brutal**. - B. L’hypersomnolence survient au moins 3 fois par semaine, pendant au moins 3 mois. - C. L’hypersomnolence s’accompagne d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement cognitif, social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. L’hypersomnolence n’est pas mieux expliquée par un autre trouble veillesommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble, p. ex. : - narcolepsie ; - trouble du sommeil lié à la respiration ; - trouble du sommeil lié au rythme circadien ; - parasomnie. - E. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament). - F. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’hypersomnolence.
557
Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie - durée et fréquence
- A. Somnolence excessive (hypersomnolence) rapportée malgré une période principale de sommeil d’au moins 7 heures et présence d’au moins un des symptômes suivants : - 1.Périodes de sommeil ou d’assoupissement se répétant au cours d’une même journée. - 2.Une période principale de sommeil prolongée d’au moins 9 heures par jour d’un sommeil non réparateur (ne permettant pas de récupérer). - 3.Difficulté à être totalement éveillé après un réveil brutal. - B. **L’hypersomnolence survient au moins 3 fois par semaine, pendant au moins 3 mois**. - C. L’hypersomnolence s’accompagne d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement cognitif, social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. L’hypersomnolence n’est pas mieux expliquée par un autre trouble veillesommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble, p. ex. : - narcolepsie ; - trouble du sommeil lié à la respiration ; - trouble du sommeil lié au rythme circadien ; - parasomnie. - E. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament). - F. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’hypersomnolence.
558
Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie - fréquence
- A. Somnolence excessive (hypersomnolence) rapportée malgré une période principale de sommeil d’au moins 7 heures et présence d’au moins un des symptômes suivants : - 1.Périodes de sommeil ou d’assoupissement se répétant au cours d’une même journée. - 2.Une période principale de sommeil prolongée d’au moins 9 heures par jour d’un sommeil non réparateur (ne permettant pas de récupérer). - 3.Difficulté à être totalement éveillé après un réveil brutal. - B. L’hypersomnolence survient **au moins 3 fois par semaine**, pendant au moins 3 mois. - C. L’hypersomnolence s’accompagne d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement cognitif, social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. L’hypersomnolence n’est pas mieux expliquée par un autre trouble veillesommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble, p. ex. : - narcolepsie ; - trouble du sommeil lié à la respiration ; - trouble du sommeil lié au rythme circadien ; - parasomnie. - E. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament). - F. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’hypersomnolence.
559
Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie - durée
- A. Somnolence excessive (hypersomnolence) rapportée malgré une période principale de sommeil d’au moins 7 heures et présence d’au moins un des symptômes suivants : - 1.Périodes de sommeil ou d’assoupissement se répétant au cours d’une même journée. - 2.Une période principale de sommeil prolongée d’au moins 9 heures par jour d’un sommeil non réparateur (ne permettant pas de récupérer). - 3.Difficulté à être totalement éveillé après un réveil brutal. - B. L’hypersomnolence survient au moins 3 fois par semaine, **pendant au moins 3 mois**. - C. L’hypersomnolence s’accompagne d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement cognitif, social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. L’hypersomnolence n’est pas mieux expliquée par un autre trouble veillesommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble, p. ex. : - narcolepsie ; - trouble du sommeil lié à la respiration ; - trouble du sommeil lié au rythme circadien ; - parasomnie. - E. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament). - F. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’hypersomnolence.
560
Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie - exclure quoi?
- A. Somnolence excessive (hypersomnolence) rapportée malgré une période principale de sommeil d’au moins 7 heures et présence d’au moins un des symptômes suivants : - 1.Périodes de sommeil ou d’assoupissement se répétant au cours d’une même journée. - 2.Une période principale de sommeil prolongée d’au moins 9 heures par jour d’un sommeil non réparateur (ne permettant pas de récupérer). - 3.Difficulté à être totalement éveillé après un réveil brutal. - B. L’hypersomnolence survient au moins 3 fois par semaine, pendant au moins 3 mois. - C. L’hypersomnolence s’accompagne d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement cognitif, social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. **L’hypersomnolence n’est pas mieux expliquée par un autre trouble veillesommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble, p. ex.** : - **narcolepsie** ; - **trouble du sommeil lié à la respiration** ; - **trouble du sommeil lié au rythme circadien** ; - **parasomnie**. - E. **L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament)**. - F. **La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’hypersomnolence**.
561
Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie - spécifications
- Spécifier si : - Avec un trouble mental, y compris les troubles liés à l’usage de substances - Avec une autre affection médicale - Avec un autre trouble du sommeil - Spécifier si : Aigu : - Durée de moins d’un mois. - Subaigu :Durée de 1 à 3 mois. - Persistant :Durée de plus de 3 mois. - Spécifier la sévérité actuelle : - Spécifier la sévérité en se fondant sur la difficulté de maintien de la vigilance diurne se manifestant par la survenue, en un jour donné, de multiples attaques irrépressibles de sommeil, par exemple dans des situations d’inactivité physique, en conduisant un véhicule, lors d’une visite chez des amis ou au travail. - Léger : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 1 à 2 fois par semaine. - Moyen : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 3 à 4 fois par semaine. - Grave : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 5 à 7 fois par semaine.
562
Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie - spécifications: avec ....
- **Spécifier si** : - **Avec un trouble mental, y compris les troubles liés à l’usage de substances** - **Avec une autre affection médicale** - **Avec un autre trouble du sommeil** - Spécifier si : - Aigu: Durée de moins d’un mois. - Subaigu :Durée de 1 à 3 mois. - Persistant :Durée de plus de 3 mois. - Spécifier la sévérité actuelle : - Spécifier la sévérité en se fondant sur la difficulté de maintien de la vigilance diurne se manifestant par la survenue, en un jour donné, de multiples attaques irrépressibles de sommeil, par exemple dans des situations d’inactivité physique, en conduisant un véhicule, lors d’une visite chez des amis ou au travail. - Léger : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 1 à 2 fois par semaine. - Moyen : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 3 à 4 fois par semaine. - Grave : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 5 à 7 fois par semaine.
563
Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie - spécifications: type de durée
- Spécifier si : - Avec un trouble mental, y compris les troubles liés à l’usage de substances - Avec une autre affection médicale - Avec un autre trouble du sommeil - **Spécifier si** : - **Aigu: Durée de moins d’un mois**. - **Subaigu :Durée de 1 à 3 mois.** - **Persistant :Durée de plus de 3 mois**. - Spécifier la sévérité actuelle : - Spécifier la sévérité en se fondant sur la difficulté de maintien de la vigilance diurne se manifestant par la survenue, en un jour donné, de multiples attaques irrépressibles de sommeil, par exemple dans des situations d’inactivité physique, en conduisant un véhicule, lors d’une visite chez des amis ou au travail. - Léger : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 1 à 2 fois par semaine. - Moyen : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 3 à 4 fois par semaine. - Grave : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 5 à 7 fois par semaine.
564
Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie - spécifications: types de durée - AIGU
- Spécifier si : - Avec un trouble mental, y compris les troubles liés à l’usage de substances - Avec une autre affection médicale - Avec un autre trouble du sommeil - Spécifier si : - **Aigu: Durée de moins d’un mois**. - Subaigu :Durée de 1 à 3 mois. - Persistant :Durée de plus de 3 mois. - Spécifier la sévérité actuelle : - Spécifier la sévérité en se fondant sur la difficulté de maintien de la vigilance diurne se manifestant par la survenue, en un jour donné, de multiples attaques irrépressibles de sommeil, par exemple dans des situations d’inactivité physique, en conduisant un véhicule, lors d’une visite chez des amis ou au travail. - Léger : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 1 à 2 fois par semaine. - Moyen : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 3 à 4 fois par semaine. - Grave : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 5 à 7 fois par semaine.
565
Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie - spécifications: types de durée - SUBAIGU
- Spécifier si : - Avec un trouble mental, y compris les troubles liés à l’usage de substances - Avec une autre affection médicale - Avec un autre trouble du sommeil - Spécifier si : - Aigu: Durée de moins d’un mois. - **Subaigu :Durée de 1 à 3 mois**. - Persistant :Durée de plus de 3 mois. - Spécifier la sévérité actuelle : - Spécifier la sévérité en se fondant sur la difficulté de maintien de la vigilance diurne se manifestant par la survenue, en un jour donné, de multiples attaques irrépressibles de sommeil, par exemple dans des situations d’inactivité physique, en conduisant un véhicule, lors d’une visite chez des amis ou au travail. - Léger : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 1 à 2 fois par semaine. - Moyen : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 3 à 4 fois par semaine. - Grave : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 5 à 7 fois par semaine.
566
Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie - spécifications: types de durée - PERSISTANT
- Spécifier si : - Avec un trouble mental, y compris les troubles liés à l’usage de substances - Avec une autre affection médicale - Avec un autre trouble du sommeil - Spécifier si : - Aigu: Durée de moins d’un mois. - Subaigu :Durée de 1 à 3 mois. - **Persistant :Durée de plus de 3 mois**. - Spécifier la sévérité actuelle : - Spécifier la sévérité en se fondant sur la difficulté de maintien de la vigilance diurne se manifestant par la survenue, en un jour donné, de multiples attaques irrépressibles de sommeil, par exemple dans des situations d’inactivité physique, en conduisant un véhicule, lors d’une visite chez des amis ou au travail. - Léger : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 1 à 2 fois par semaine. - Moyen : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 3 à 4 fois par semaine. - Grave : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 5 à 7 fois par semaine.
567
Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie - spécifications: sévérité
- Spécifier si : - Avec un trouble mental, y compris les troubles liés à l’usage de substances - Avec une autre affection médicale - Avec un autre trouble du sommeil - Spécifier si : - Aigu: Durée de moins d’un mois. - Subaigu :Durée de 1 à 3 mois. - Persistant :Durée de plus de 3 mois. - **Spécifier la sévérité actuelle** : - **Spécifier la sévérité en se fondant sur la difficulté de maintien de la vigilance diurne se manifestant par la survenue, en un jour donné, de multiples attaques irrépressibles de sommeil, par exemple dans des situations d’inactivité physique, en conduisant un véhicule, lors d’une visite chez des amis ou au travail.** - **Léger** : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 1 à 2 fois par semaine. - **Moyen** : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 3 à 4 fois par semaine. - **Grave** : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 5 à 7 fois par semaine.
568
Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie - spécifications: sévérité - comment la décrire
- Spécifier si : - Avec un trouble mental, y compris les troubles liés à l’usage de substances - Avec une autre affection médicale - Avec un autre trouble du sommeil - Spécifier si : - Aigu: Durée de moins d’un mois. - Subaigu :Durée de 1 à 3 mois. - Persistant :Durée de plus de 3 mois. - **Spécifier la sévérité actuelle** : - **Spécifier la sévérité en se fondant sur la difficulté de maintien de la vigilance diurne se manifestant par la survenue, en un jour donné, de multiples attaques irrépressibles de sommeil, par exemple dans des situations d’inactivité physique, en conduisant un véhicule, lors d’une visite chez des amis ou au travail**. - Léger : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 1 à 2 fois par semaine. - Moyen : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 3 à 4 fois par semaine. - Grave : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 5 à 7 fois par semaine.
569
Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie - spécifications: sévérité - LÉGER
- Spécifier si : - Avec un trouble mental, y compris les troubles liés à l’usage de substances - Avec une autre affection médicale - Avec un autre trouble du sommeil - Spécifier si : - Aigu: Durée de moins d’un mois. - Subaigu :Durée de 1 à 3 mois. - Persistant :Durée de plus de 3 mois. - Spécifier la sévérité actuelle : - Spécifier la sévérité en se fondant sur la difficulté de maintien de la vigilance diurne se manifestant par la survenue, en un jour donné, de multiples attaques irrépressibles de sommeil, par exemple dans des situations d’inactivité physique, en conduisant un véhicule, lors d’une visite chez des amis ou au travail. - **Léger : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 1 à 2 fois par semaine**. - Moyen : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 3 à 4 fois par semaine. - Grave : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 5 à 7 fois par semaine.
570
Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie - spécifications: sévérité - MOYEN
- Spécifier si : - Avec un trouble mental, y compris les troubles liés à l’usage de substances - Avec une autre affection médicale - Avec un autre trouble du sommeil - Spécifier si : - Aigu: Durée de moins d’un mois. - Subaigu :Durée de 1 à 3 mois. - Persistant :Durée de plus de 3 mois. - Spécifier la sévérité actuelle : - Spécifier la sévérité en se fondant sur la difficulté de maintien de la vigilance diurne se manifestant par la survenue, en un jour donné, de multiples attaques irrépressibles de sommeil, par exemple dans des situations d’inactivité physique, en conduisant un véhicule, lors d’une visite chez des amis ou au travail. - Léger : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 1 à 2 fois par semaine. - **Moyen : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 3 à 4 fois par semaine**. - Grave : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 5 à 7 fois par semaine.
571
Critères dx de l’hypersomnie primaire/narcolepsie sans cataplexie - spécifications: sévérité - GRAVE
- Spécifier si : - Avec un trouble mental, y compris les troubles liés à l’usage de substances - Avec une autre affection médicale - Avec un autre trouble du sommeil - Spécifier si : - Aigu: Durée de moins d’un mois. - Subaigu :Durée de 1 à 3 mois. - Persistant :Durée de plus de 3 mois. - Spécifier la sévérité actuelle : - Spécifier la sévérité en se fondant sur la difficulté de maintien de la vigilance diurne se manifestant par la survenue, en un jour donné, de multiples attaques irrépressibles de sommeil, par exemple dans des situations d’inactivité physique, en conduisant un véhicule, lors d’une visite chez des amis ou au travail. - Léger : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 1 à 2 fois par semaine. - Moyen : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 3 à 4 fois par semaine. - **Grave : Difficulté de maintien de la vigilance diurne 5 à 7 fois par semaine**.
572
Critères diagnostiques de la narcolepsie
- A. Besoin irrépressible de sommeil, assoupissement ou sieste se répétant au cours d’une même journée et survenant au moins 3 fois par semaine au cours des 3 derniers mois. - B. Présence d’au moins un des critères suivants : - 1.Épisodes de cataplexie, défini selon (a) ou (b), survenant au moins plusieurs fois par mois : - a. Chez des individus présentant la maladie de longue date, brefs épisodes (de quelques secondes à quelques minutes) de perte soudaine et bilatérale du tonus musculaire avec maintien de la conscience déclenchés par le rire ou la plaisanterie. - b. Chez l’enfant et les individus présentant la maladie depuis moins de 6 mois, grimaces spontanées ou épisodes d’ouverture de la mâchoire avec protrusion linguale, ou hypotonie généralisée survenant sans lien évident avec un contenu émotionnel. - 2. Déficience en hypocrétine estimée par immunoréactivité de l’hypocrétine-1 dans le liquide céphalorachidien (LCR) (valeur inférieure ou égale à un tiers des valeurs obtenues chez des sujets sains en utilisant le même test, ou inférieure ou égale à 110 pg/ mL). Les taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ne doivent pas avoir été mesurés dans un contexte de lésion cérébrale aiguë, d’inflammation ou d’infection. - 3.La polysomnographie nocturne montre une latence de sommeil paradoxal inférieure ou égale à 15 minutes, ou un test itératif de latence d’endormissement révèle une latence d’endormissement moyenne de moins de 8 minutes et la présence de sommeil paradoxal à au moins deux reprises.
573
Critères diagnostiques de la narcolepsie - symptôme base
- A. **Besoin irrépressible de sommeil, assoupissement ou sieste se répétant au cours d’une même journée et survenant au moins 3 fois par semaine au cours des 3 derniers mois.** - B. Présence d’au moins un des critères suivants : - 1.Épisodes de cataplexie, défini selon (a) ou (b), survenant au moins plusieurs fois par mois : - a. Chez des individus présentant la maladie de longue date, brefs épisodes (de quelques secondes à quelques minutes) de perte soudaine et bilatérale du tonus musculaire avec maintien de la conscience déclenchés par le rire ou la plaisanterie. - b. Chez l’enfant et les individus présentant la maladie depuis moins de 6 mois, grimaces spontanées ou épisodes d’ouverture de la mâchoire avec protrusion linguale, ou hypotonie généralisée survenant sans lien évident avec un contenu émotionnel. - 2. Déficience en hypocrétine estimée par immunoréactivité de l’hypocrétine-1 dans le liquide céphalorachidien (LCR) (valeur inférieure ou égale à un tiers des valeurs obtenues chez des sujets sains en utilisant le même test, ou inférieure ou égale à 110 pg/ mL). Les taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ne doivent pas avoir été mesurés dans un contexte de lésion cérébrale aiguë, d’inflammation ou d’infection. - 3.La polysomnographie nocturne montre une latence de sommeil paradoxal inférieure ou égale à 15 minutes, ou un test itératif de latence d’endormissement révèle une latence d’endormissement moyenne de moins de 8 minutes et la présence de sommeil paradoxal à au moins deux reprises.
574
Critères diagnostiques de la narcolepsie - fréquence
- A. Besoin irrépressible de sommeil, assoupissement ou sieste se répétant au cours d’une même journée et survenant **au moins 3 fois par semaine** au cours des 3 derniers mois. - B. Présence d’au moins un des critères suivants : - 1.Épisodes de cataplexie, défini selon (a) ou (b), survenant au moins plusieurs fois par mois : - a. Chez des individus présentant la maladie de longue date, brefs épisodes (de quelques secondes à quelques minutes) de perte soudaine et bilatérale du tonus musculaire avec maintien de la conscience déclenchés par le rire ou la plaisanterie. - b. Chez l’enfant et les individus présentant la maladie depuis moins de 6 mois, grimaces spontanées ou épisodes d’ouverture de la mâchoire avec protrusion linguale, ou hypotonie généralisée survenant sans lien évident avec un contenu émotionnel. - 2. Déficience en hypocrétine estimée par immunoréactivité de l’hypocrétine-1 dans le liquide céphalorachidien (LCR) (valeur inférieure ou égale à un tiers des valeurs obtenues chez des sujets sains en utilisant le même test, ou inférieure ou égale à 110 pg/ mL). Les taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ne doivent pas avoir été mesurés dans un contexte de lésion cérébrale aiguë, d’inflammation ou d’infection. - 3.La polysomnographie nocturne montre une latence de sommeil paradoxal inférieure ou égale à 15 minutes, ou un test itératif de latence d’endormissement révèle une latence d’endormissement moyenne de moins de 8 minutes et la présence de sommeil paradoxal à au moins deux reprises.
575
Critères diagnostiques de la narcolepsie - durée
- A. Besoin irrépressible de sommeil, assoupissement ou sieste se répétant au cours d’une même journée et survenant au moins 3 fois par semaine **au cours des 3 derniers mois.** - B. Présence d’au moins un des critères suivants : - 1.Épisodes de cataplexie, défini selon (a) ou (b), survenant au moins plusieurs fois par mois : - a. Chez des individus présentant la maladie de longue date, brefs épisodes (de quelques secondes à quelques minutes) de perte soudaine et bilatérale du tonus musculaire avec maintien de la conscience déclenchés par le rire ou la plaisanterie. - b. Chez l’enfant et les individus présentant la maladie depuis moins de 6 mois, grimaces spontanées ou épisodes d’ouverture de la mâchoire avec protrusion linguale, ou hypotonie généralisée survenant sans lien évident avec un contenu émotionnel. - 2. Déficience en hypocrétine estimée par immunoréactivité de l’hypocrétine-1 dans le liquide céphalorachidien (LCR) (valeur inférieure ou égale à un tiers des valeurs obtenues chez des sujets sains en utilisant le même test, ou inférieure ou égale à 110 pg/ mL). Les taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ne doivent pas avoir été mesurés dans un contexte de lésion cérébrale aiguë, d’inflammation ou d’infection. - 3.La polysomnographie nocturne montre une latence de sommeil paradoxal inférieure ou égale à 15 minutes, ou un test itératif de latence d’endormissement révèle une latence d’endormissement moyenne de moins de 8 minutes et la présence de sommeil paradoxal à au moins deux reprises.
576
Critères diagnostiques de la narcolepsie - critères à remplir
- A. Besoin irrépressible de sommeil, assoupissement ou sieste se répétant au cours d’une même journée et survenant au moins 3 fois par semaine au cours des 3 derniers mois. - **B. Présence d’au moins un des critères suivants** : - 1.**Épisodes de cataplexie, défini selon (a) ou (b), survenant au moins plusieurs fois par mois** : - a. **Chez des individus présentant la maladie de longue date, brefs épisodes (de quelques secondes à quelques minutes) de perte soudaine et bilatérale du tonus musculaire avec maintien de la conscience déclenchés par le rire ou la plaisanterie**. - b. **Chez l’enfant et les individus présentant la maladie depuis moins de 6 mois, grimaces spontanées ou épisodes d’ouverture de la mâchoire avec protrusion linguale, ou hypotonie généralisée survenant sans lien évident avec un contenu émotionnel**. - 2. **Déficience en hypocrétine estimée par immunoréactivité de l’hypocrétine-1 dans le liquide céphalorachidien (LCR) (valeur inférieure ou égale à un tiers des valeurs obtenues chez des sujets sains en utilisant le même test, ou inférieure ou égale à 110 pg/ mL). Les taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ne doivent pas avoir été mesurés dans un contexte de lésion cérébrale aiguë, d’inflammation ou d’infection**. - 3.**La polysomnographie nocturne montre une latence de sommeil paradoxal inférieure ou égale à 15 minutes, ou un test itératif de latence d’endormissement révèle une latence d’endormissement moyenne de moins de 8 minutes et la présence de sommeil paradoxal à au moins deux reprises.**
577
Critères diagnostiques de la narcolepsie - critères à remplir: épisodes de cataplexie
- A. Besoin irrépressible de sommeil, assoupissement ou sieste se répétant au cours d’une même journée et survenant au moins 3 fois par semaine au cours des 3 derniers mois. - B. Présence d’au moins un des critères suivants : - 1.**Épisodes de cataplexie, défini selon (a) ou (b), survenant au moins plusieurs fois par mois** : - a. **Chez des individus présentant la maladie de longue date, brefs épisodes (de quelques secondes à quelques minutes) de perte soudaine et bilatérale du tonus musculaire avec maintien de la conscience déclenchés par le rire ou la plaisanterie.** - b. **Chez l’enfant et les individus présentant la maladie depuis moins de 6 mois, grimaces spontanées ou épisodes d’ouverture de la mâchoire avec protrusion linguale, ou hypotonie généralisée survenant sans lien évident avec un contenu émotionnel**. - 2.Déficience en hypocrétine estimée par immunoréactivité de l’hypocrétine-1 dans le liquide céphalorachidien (LCR) (valeur inférieure ou égale à un tiers des valeurs obtenues chez des sujets sains en utilisant le même test, ou inférieure ou égale à 110 pg/ mL). Les taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ne doivent pas avoir été mesurés dans un contexte de lésion cérébrale aiguë, d’inflammation ou d’infection. - 3.La polysomnographie nocturne montre une latence de sommeil paradoxal inférieure ou égale à 15 minutes, ou un test itératif de latence d’endormissement révèle une latence d’endormissement moyenne de moins de 8 minutes et la présence de sommeil paradoxal à au moins deux reprises.
578
Critères diagnostiques de la narcolepsie - critères de cataplexie: détaillez les épisodes de cataplexie
- A. Besoin irrépressible de sommeil, assoupissement ou sieste se répétant au cours d’une même journée et survenant au moins 3 fois par semaine au cours des 3 derniers mois. - B. Présence d’au moins un des critères suivants : - 1.**Épisodes de cataplexie, défini selon (a) ou (b), survenant au moins plusieurs fois par mois** : - a. **Chez des individus présentant la maladie de longue date, brefs épisodes (de quelques secondes à quelques minutes) de perte soudaine et bilatérale du tonus musculaire avec maintien de la conscience déclenchés par le rire ou la plaisanterie**. - b. **Chez l’enfant et les individus présentant la maladie depuis moins de 6 mois, grimaces spontanées ou épisodes d’ouverture de la mâchoire avec protrusion linguale, ou hypotonie généralisée survenant sans lien évident avec un contenu émotionnel.** - 2. Déficience en hypocrétine estimée par immunoréactivité de l’hypocrétine-1 dans le liquide céphalorachidien (LCR) (valeur inférieure ou égale à un tiers des valeurs obtenues chez des sujets sains en utilisant le même test, ou inférieure ou égale à 110 pg/ mL). Les taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ne doivent pas avoir été mesurés dans un contexte de lésion cérébrale aiguë, d’inflammation ou d’infection. - 3.La polysomnographie nocturne montre une latence de sommeil paradoxal inférieure ou égale à 15 minutes, ou un test itératif de latence d’endormissement révèle une latence d’endormissement moyenne de moins de 8 minutes et la présence de sommeil paradoxal à au moins deux reprises.
579
Critères diagnostiques de la narcolepsie - critères de cataplexie: LCR
- A. Besoin irrépressible de sommeil, assoupissement ou sieste se répétant au cours d’une même journée et survenant au moins 3 fois par semaine au cours des 3 derniers mois. - B. Présence d’au moins un des critères suivants : - 1.Épisodes de cataplexie, défini selon (a) ou (b), survenant au moins plusieurs fois par mois : - a. Chez des individus présentant la maladie de longue date, brefs épisodes (de quelques secondes à quelques minutes) de perte soudaine et bilatérale du tonus musculaire avec maintien de la conscience déclenchés par le rire ou la plaisanterie. - b. Chez l’enfant et les individus présentant la maladie depuis moins de 6 mois, grimaces spontanées ou épisodes d’ouverture de la mâchoire avec protrusion linguale, ou hypotonie généralisée survenant sans lien évident avec un contenu émotionnel. - 2.**Déficience en hypocrétine estimée par immunoréactivité de l’hypocrétine-1 dans le liquide céphalorachidien (LCR) (valeur inférieure ou égale à un tiers des valeurs obtenues chez des sujets sains en utilisant le même test, ou inférieure ou égale à 110 pg/ mL). Les taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ne doivent pas avoir été mesurés dans un contexte de lésion cérébrale aiguë, d’inflammation ou d’infection.** - 3.La polysomnographie nocturne montre une latence de sommeil paradoxal inférieure ou égale à 15 minutes, ou un test itératif de latence d’endormissement révèle une latence d’endormissement moyenne de moins de 8 minutes et la présence de sommeil paradoxal à au moins deux reprises.
580
Critères diagnostiques de la narcolepsie - critères à remplir: polysomnographie nocturne
- A. Besoin irrépressible de sommeil, assoupissement ou sieste se répétant au cours d’une même journée et survenant au moins 3 fois par semaine au cours des 3 derniers mois. - B. Présence d’au moins un des critères suivants : - 1.Épisodes de cataplexie, défini selon (a) ou (b), survenant au moins plusieurs fois par mois : - a. Chez des individus présentant la maladie de longue date, brefs épisodes (de quelques secondes à quelques minutes) de perte soudaine et bilatérale du tonus musculaire avec maintien de la conscience déclenchés par le rire ou la plaisanterie. - b. Chez l’enfant et les individus présentant la maladie depuis moins de 6 mois, grimaces spontanées ou épisodes d’ouverture de la mâchoire avec protrusion linguale, ou hypotonie généralisée survenant sans lien évident avec un contenu émotionnel. - 2. Déficience en hypocrétine estimée par immunoréactivité de l’hypocrétine-1 dans le liquide céphalorachidien (LCR) (valeur inférieure ou égale à un tiers des valeurs obtenues chez des sujets sains en utilisant le même test, ou inférieure ou égale à 110 pg/ mL). Les taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ne doivent pas avoir été mesurés dans un contexte de lésion cérébrale aiguë, d’inflammation ou d’infection. - 3.**La polysomnographie nocturne montre une latence de sommeil paradoxal inférieure ou égale à 15 minutes, ou un test itératif de latence d’endormissement révèle une latence d’endormissement moyenne de moins de 8 minutes et la présence de sommeil paradoxal à au moins deux reprises**.
581
Critères diagnostiques de la narcolepsie - spécifications
- Spécifier le type : - Narcolepsie sans cataplexie avec déficience en hypocrétine : Les exigences du critère b concernant la déficience en hypocrétine et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites en l’absence de cataplexie (le critère B1 n’est pas rempli). - Narcolepsie avec cataplexie sans déficience en hypocrétine : Dans ce sous-type rare de la narcolepsie (moins de 5 % des cas de narcolepsie), les exigences du critère B pour la cataplexie et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites et le niveau d’hypocrétine-1 dans le LCR est normal (le critère B2 n’est pas rempli). - Ataxie cérébelleuse autosomique dominante avec surdité et narcolepsie : Une mutation de l’exon 21 de l’ADN (cytosine-5)-méthyltransférase-1 est responsable de ce soustype caractérisé par une apparition tardive de la narcolepsie (entre 30 et 40 ans), une surdité, une ataxie cérébelleuse et finalement par une démence. - Narcolepsie autosomique dominante avec obésité et diabète de type 2 : La narcolepsie, l’obésité, le diabète de type 2 et un taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ont été observés dans de rares cas et sont associés à une mutation du gène de la glycoprotéine myéline oligodendrocyte. - Narcolepsie secondaire à une autre affection médicale : Ce sous-type concerne la narcolepsie qui survient secondairement à une affection médicale responsable d’une infection (p. ex., maladie de Whippie, sarcoïdose), d’un traumatisme ou d’une destruction tumorale des neurones à hypocrétine. - Spécifier la sévérité actuelle : - Léger :Cataplexie peu fréquente (moins d’une fois par semaine), besoin de sieste seulement une ou deux fois par jour, et sommeil nocturne peu perturbé. - Moyen : Cataplexie quotidienne ou presque tous les jours, sommeil nocturne perturbé et besoin quotidien de plusieurs siestes. - Grave : Cataplexie résistante aux traitements avec plusieurs attaques quotidiennes, somnolence quasi constante et sommeil nocturne perturbé (c.-à-d. agitation, insomnie et rêves intenses).
582
Critères diagnostiques de la narcolepsie - spécifications: types
- **Spécifier le type** : - **Narcolepsie sans cataplexie avec déficience en hypocrétine** : Les exigences du critère b concernant la déficience en hypocrétine et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites en l’absence de cataplexie (le critère B1 n’est pas rempli). - **Narcolepsie avec cataplexie sans déficience en hypocrétine** : Dans ce sous-type rare de la narcolepsie (moins de 5 % des cas de narcolepsie), les exigences du critère B pour la cataplexie et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites et le niveau d’hypocrétine-1 dans le LCR est normal (le critère B2 n’est pas rempli). - **Ataxie cérébelleuse autosomique dominante avec surdité et narcolepsie** : Une mutation de l’exon 21 de l’ADN (cytosine-5)-méthyltransférase-1 est responsable de ce soustype caractérisé par une apparition tardive de la narcolepsie (entre 30 et 40 ans), une surdité, une ataxie cérébelleuse et finalement par une démence. - **Narcolepsie autosomique dominante avec obésité et diabète de type 2** : La narcolepsie, l’obésité, le diabète de type 2 et un taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ont été observés dans de rares cas et sont associés à une mutation du gène de la glycoprotéine myéline oligodendrocyte. - **Narcolepsie secondaire à une autre affection médicale** : Ce sous-type concerne la narcolepsie qui survient secondairement à une affection médicale responsable d’une infection (p. ex., maladie de Whippie, sarcoïdose), d’un traumatisme ou d’une destruction tumorale des neurones à hypocrétine. - Spécifier la sévérité actuelle : - Léger :Cataplexie peu fréquente (moins d’une fois par semaine), besoin de sieste seulement une ou deux fois par jour, et sommeil nocturne peu perturbé. - Moyen : Cataplexie quotidienne ou presque tous les jours, sommeil nocturne perturbé et besoin quotidien de plusieurs siestes. - Grave : Cataplexie résistante aux traitements avec plusieurs attaques quotidiennes, somnolence quasi constante et sommeil nocturne perturbé (c.-à-d. agitation, insomnie et rêves intenses).
583
Critères diagnostiques de la narcolepsie - spécifications: Narcolepsie sans cataplexie avec déficience en hypocrétine
- Spécifier le type : - **Narcolepsie sans cataplexie avec déficience en hypocrétine : Les exigences du critère b concernant la déficience en hypocrétine et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites en l’absence de cataplexie (le critère B1 n’est pas rempli)**. - Narcolepsie avec cataplexie sans déficience en hypocrétine : Dans ce sous-type rare de la narcolepsie (moins de 5 % des cas de narcolepsie), les exigences du critère B pour la cataplexie et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites et le niveau d’hypocrétine-1 dans le LCR est normal (le critère B2 n’est pas rempli). - Ataxie cérébelleuse autosomique dominante avec surdité et narcolepsie : Une mutation de l’exon 21 de l’ADN (cytosine-5)-méthyltransférase-1 est responsable de ce soustype caractérisé par une apparition tardive de la narcolepsie (entre 30 et 40 ans), une surdité, une ataxie cérébelleuse et finalement par une démence. - Narcolepsie autosomique dominante avec obésité et diabète de type 2 : La narcolepsie, l’obésité, le diabète de type 2 et un taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ont été observés dans de rares cas et sont associés à une mutation du gène de la glycoprotéine myéline oligodendrocyte. - Narcolepsie secondaire à une autre affection médicale : Ce sous-type concerne la narcolepsie qui survient secondairement à une affection médicale responsable d’une infection (p. ex., maladie de Whippie, sarcoïdose), d’un traumatisme ou d’une destruction tumorale des neurones à hypocrétine. - Spécifier la sévérité actuelle : - Léger :Cataplexie peu fréquente (moins d’une fois par semaine), besoin de sieste seulement une ou deux fois par jour, et sommeil nocturne peu perturbé. - Moyen : Cataplexie quotidienne ou presque tous les jours, sommeil nocturne perturbé et besoin quotidien de plusieurs siestes. - Grave : Cataplexie résistante aux traitements avec plusieurs attaques quotidiennes, somnolence quasi constante et sommeil nocturne perturbé (c.-à-d. agitation, insomnie et rêves intenses).
584
Critères diagnostiques de la narcolepsie - spécifications: Narcolepsie avec cataplexie sans déficience en hypocrétine
- Spécifier le type : - Narcolepsie sans cataplexie avec déficience en hypocrétine : Les exigences du critère b concernant la déficience en hypocrétine et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites en l’absence de cataplexie (le critère B1 n’est pas rempli). - **Narcolepsie avec cataplexie sans déficience en hypocrétine : Dans ce sous-type rare de la narcolepsie (moins de 5 % des cas de narcolepsie), les exigences du critère B pour la cataplexie et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites et le niveau d’hypocrétine-1 dans le LCR est normal (le critère B2 n’est pas rempli).** - Ataxie cérébelleuse autosomique dominante avec surdité et narcolepsie : Une mutation de l’exon 21 de l’ADN (cytosine-5)-méthyltransférase-1 est responsable de ce soustype caractérisé par une apparition tardive de la narcolepsie (entre 30 et 40 ans), une surdité, une ataxie cérébelleuse et finalement par une démence. - Narcolepsie autosomique dominante avec obésité et diabète de type 2 : La narcolepsie, l’obésité, le diabète de type 2 et un taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ont été observés dans de rares cas et sont associés à une mutation du gène de la glycoprotéine myéline oligodendrocyte. - Narcolepsie secondaire à une autre affection médicale : Ce sous-type concerne la narcolepsie qui survient secondairement à une affection médicale responsable d’une infection (p. ex., maladie de Whippie, sarcoïdose), d’un traumatisme ou d’une destruction tumorale des neurones à hypocrétine. - Spécifier la sévérité actuelle : - Léger :Cataplexie peu fréquente (moins d’une fois par semaine), besoin de sieste seulement une ou deux fois par jour, et sommeil nocturne peu perturbé. - Moyen : Cataplexie quotidienne ou presque tous les jours, sommeil nocturne perturbé et besoin quotidien de plusieurs siestes. - Grave : Cataplexie résistante aux traitements avec plusieurs attaques quotidiennes, somnolence quasi constante et sommeil nocturne perturbé (c.-à-d. agitation, insomnie et rêves intenses).
585
Critères diagnostiques de la narcolepsie - spécifications: Ataxie cérébelleuse autosomique dominante avec surdité et narcolepsie
- Spécifier le type : - Narcolepsie sans cataplexie avec déficience en hypocrétine : Les exigences du critère b concernant la déficience en hypocrétine et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites en l’absence de cataplexie (le critère B1 n’est pas rempli). - Narcolepsie avec cataplexie sans déficience en hypocrétine : Dans ce sous-type rare de la narcolepsie (moins de 5 % des cas de narcolepsie), les exigences du critère B pour la cataplexie et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites et le niveau d’hypocrétine-1 dans le LCR est normal (le critère B2 n’est pas rempli). - **Ataxie cérébelleuse autosomique dominante avec surdité et narcolepsie : Une mutation de l’exon 21 de l’ADN (cytosine-5)-méthyltransférase-1 est responsable de ce soustype caractérisé par une apparition tardive de la narcolepsie (entre 30 et 40 ans), une surdité, une ataxie cérébelleuse et finalement par une démence**. - Narcolepsie autosomique dominante avec obésité et diabète de type 2 : La narcolepsie, l’obésité, le diabète de type 2 et un taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ont été observés dans de rares cas et sont associés à une mutation du gène de la glycoprotéine myéline oligodendrocyte. - Narcolepsie secondaire à une autre affection médicale : Ce sous-type concerne la narcolepsie qui survient secondairement à une affection médicale responsable d’une infection (p. ex., maladie de Whippie, sarcoïdose), d’un traumatisme ou d’une destruction tumorale des neurones à hypocrétine. - Spécifier la sévérité actuelle : - Léger :Cataplexie peu fréquente (moins d’une fois par semaine), besoin de sieste seulement une ou deux fois par jour, et sommeil nocturne peu perturbé. - Moyen : Cataplexie quotidienne ou presque tous les jours, sommeil nocturne perturbé et besoin quotidien de plusieurs siestes. - Grave : Cataplexie résistante aux traitements avec plusieurs attaques quotidiennes, somnolence quasi constante et sommeil nocturne perturbé (c.-à-d. agitation, insomnie et rêves intenses).
586
Critères diagnostiques de la narcolepsie - spécifications: Narcolepsie autosomique dominante avec obésité et diabète de type 2
- Spécifier le type : - Narcolepsie sans cataplexie avec déficience en hypocrétine : Les exigences du critère b concernant la déficience en hypocrétine et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites en l’absence de cataplexie (le critère B1 n’est pas rempli). - Narcolepsie avec cataplexie sans déficience en hypocrétine : Dans ce sous-type rare de la narcolepsie (moins de 5 % des cas de narcolepsie), les exigences du critère B pour la cataplexie et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites et le niveau d’hypocrétine-1 dans le LCR est normal (le critère B2 n’est pas rempli). - Ataxie cérébelleuse autosomique dominante avec surdité et narcolepsie : Une mutation de l’exon 21 de l’ADN (cytosine-5)-méthyltransférase-1 est responsable de ce soustype caractérisé par une apparition tardive de la narcolepsie (entre 30 et 40 ans), une surdité, une ataxie cérébelleuse et finalement par une démence. - **Narcolepsie autosomique dominante avec obésité et diabète de type 2** : La narcolepsie, l’obésité, le diabète de type 2 et un taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ont été observés dans de rares cas et sont associés à une mutation du gène de la glycoprotéine myéline oligodendrocyte. - Narcolepsie secondaire à une autre affection médicale : Ce sous-type concerne la narcolepsie qui survient secondairement à une affection médicale responsable d’une infection (p. ex., maladie de Whippie, sarcoïdose), d’un traumatisme ou d’une destruction tumorale des neurones à hypocrétine. - Spécifier la sévérité actuelle : - Léger :Cataplexie peu fréquente (moins d’une fois par semaine), besoin de sieste seulement une ou deux fois par jour, et sommeil nocturne peu perturbé. - Moyen : Cataplexie quotidienne ou presque tous les jours, sommeil nocturne perturbé et besoin quotidien de plusieurs siestes. - Grave : Cataplexie résistante aux traitements avec plusieurs attaques quotidiennes, somnolence quasi constante et sommeil nocturne perturbé (c.-à-d. agitation, insomnie et rêves intenses).
587
Critères diagnostiques de la narcolepsie - spécifications: Narcolepsie secondaire à une autre affection médicale
- Spécifier le type : - Narcolepsie sans cataplexie avec déficience en hypocrétine : Les exigences du critère b concernant la déficience en hypocrétine et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites en l’absence de cataplexie (le critère B1 n’est pas rempli). - Narcolepsie avec cataplexie sans déficience en hypocrétine : Dans ce sous-type rare de la narcolepsie (moins de 5 % des cas de narcolepsie), les exigences du critère B pour la cataplexie et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites et le niveau d’hypocrétine-1 dans le LCR est normal (le critère B2 n’est pas rempli). - Ataxie cérébelleuse autosomique dominante avec surdité et narcolepsie : Une mutation de l’exon 21 de l’ADN (cytosine-5)-méthyltransférase-1 est responsable de ce soustype caractérisé par une apparition tardive de la narcolepsie (entre 30 et 40 ans), une surdité, une ataxie cérébelleuse et finalement par une démence. - Narcolepsie autosomique dominante avec obésité et diabète de type 2 : La narcolepsie, l’obésité, le diabète de type 2 et un taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ont été observés dans de rares cas et sont associés à une mutation du gène de la glycoprotéine myéline oligodendrocyte. - **Narcolepsie secondaire à une autre affection médicale : Ce sous-type concerne la narcolepsie qui survient secondairement à une affection médicale responsable d’une infection (p. ex., maladie de Whippie, sarcoïdose), d’un traumatisme ou d’une destruction tumorale des neurones à hypocrétine**. - Spécifier la sévérité actuelle : - Léger :Cataplexie peu fréquente (moins d’une fois par semaine), besoin de sieste seulement une ou deux fois par jour, et sommeil nocturne peu perturbé. - Moyen : Cataplexie quotidienne ou presque tous les jours, sommeil nocturne perturbé et besoin quotidien de plusieurs siestes. - Grave : Cataplexie résistante aux traitements avec plusieurs attaques quotidiennes, somnolence quasi constante et sommeil nocturne perturbé (c.-à-d. agitation, insomnie et rêves intenses).
588
Critères diagnostiques de la narcolepsie - spécifications: sévérité
- **Spécifier la sévérité actuelle** : - **Léger** :Cataplexie peu fréquente (moins d’une fois par semaine), besoin de sieste seulement une ou deux fois par jour, et sommeil nocturne peu perturbé. - **Moyen** : Cataplexie quotidienne ou presque tous les jours, sommeil nocturne perturbé et besoin quotidien de plusieurs siestes. - **Grave** : Cataplexie résistante aux traitements avec plusieurs attaques quotidiennes, somnolence quasi constante et sommeil nocturne perturbé (c.-à-d. agitation, insomnie et rêves intenses). - Spécifier le type : - Narcolepsie sans cataplexie avec déficience en hypocrétine : Les exigences du critère b concernant la déficience en hypocrétine et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites en l’absence de cataplexie (le critère B1 n’est pas rempli). - Narcolepsie avec cataplexie sans déficience en hypocrétine : Dans ce sous-type rare de la narcolepsie (moins de 5 % des cas de narcolepsie), les exigences du critère B pour la cataplexie et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites et le niveau d’hypocrétine-1 dans le LCR est normal (le critère B2 n’est pas rempli). - Ataxie cérébelleuse autosomique dominante avec surdité et narcolepsie : Une mutation de l’exon 21 de l’ADN (cytosine-5)-méthyltransférase-1 est responsable de ce soustype caractérisé par une apparition tardive de la narcolepsie (entre 30 et 40 ans), une surdité, une ataxie cérébelleuse et finalement par une démence. - Narcolepsie autosomique dominante avec obésité et diabète de type 2 : La narcolepsie, l’obésité, le diabète de type 2 et un taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ont été observés dans de rares cas et sont associés à une mutation du gène de la glycoprotéine myéline oligodendrocyte. - Narcolepsie secondaire à une autre affection médicale : Ce sous-type concerne la narcolepsie qui survient secondairement à une affection médicale responsable d’une infection (p. ex., maladie de Whippie, sarcoïdose), d’un traumatisme ou d’une destruction tumorale des neurones à hypocrétine.
589
Critères diagnostiques de la narcolepsie - spécifications: sévérité - léger
- Spécifier la sévérité actuelle : - **Léger :Cataplexie peu fréquente (moins d’une fois par semaine), besoin de sieste seulement une ou deux fois par jour, et sommeil nocturne peu perturbé**. - Moyen : Cataplexie quotidienne ou presque tous les jours, sommeil nocturne perturbé et besoin quotidien de plusieurs siestes. - Grave : Cataplexie résistante aux traitements avec plusieurs attaques quotidiennes, somnolence quasi constante et sommeil nocturne perturbé (c.-à-d. agitation, insomnie et rêves intenses). - Spécifier le type : - Narcolepsie sans cataplexie avec déficience en hypocrétine : Les exigences du critère b concernant la déficience en hypocrétine et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites en l’absence de cataplexie (le critère B1 n’est pas rempli). - Narcolepsie avec cataplexie sans déficience en hypocrétine : Dans ce sous-type rare de la narcolepsie (moins de 5 % des cas de narcolepsie), les exigences du critère B pour la cataplexie et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites et le niveau d’hypocrétine-1 dans le LCR est normal (le critère B2 n’est pas rempli). - Ataxie cérébelleuse autosomique dominante avec surdité et narcolepsie : Une mutation de l’exon 21 de l’ADN (cytosine-5)-méthyltransférase-1 est responsable de ce soustype caractérisé par une apparition tardive de la narcolepsie (entre 30 et 40 ans), une surdité, une ataxie cérébelleuse et finalement par une démence. - Narcolepsie autosomique dominante avec obésité et diabète de type 2 : La narcolepsie, l’obésité, le diabète de type 2 et un taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ont été observés dans de rares cas et sont associés à une mutation du gène de la glycoprotéine myéline oligodendrocyte. - Narcolepsie secondaire à une autre affection médicale : Ce sous-type concerne la narcolepsie qui survient secondairement à une affection médicale responsable d’une infection (p. ex., maladie de Whippie, sarcoïdose), d’un traumatisme ou d’une destruction tumorale des neurones à hypocrétine.
590
Critères diagnostiques de la narcolepsie - spécifications: sévérité - moyen
- Spécifier la sévérité actuelle : - Léger :Cataplexie peu fréquente (moins d’une fois par semaine), besoin de sieste seulement une ou deux fois par jour, et sommeil nocturne peu perturbé. - **Moyen : Cataplexie quotidienne ou presque tous les jours, sommeil nocturne perturbé et besoin quotidien de plusieurs siestes.** - Grave : Cataplexie résistante aux traitements avec plusieurs attaques quotidiennes, somnolence quasi constante et sommeil nocturne perturbé (c.-à-d. agitation, insomnie et rêves intenses). - Spécifier le type : - Narcolepsie sans cataplexie avec déficience en hypocrétine : Les exigences du critère b concernant la déficience en hypocrétine et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites en l’absence de cataplexie (le critère B1 n’est pas rempli). - Narcolepsie avec cataplexie sans déficience en hypocrétine : Dans ce sous-type rare de la narcolepsie (moins de 5 % des cas de narcolepsie), les exigences du critère B pour la cataplexie et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites et le niveau d’hypocrétine-1 dans le LCR est normal (le critère B2 n’est pas rempli). - Ataxie cérébelleuse autosomique dominante avec surdité et narcolepsie : Une mutation de l’exon 21 de l’ADN (cytosine-5)-méthyltransférase-1 est responsable de ce soustype caractérisé par une apparition tardive de la narcolepsie (entre 30 et 40 ans), une surdité, une ataxie cérébelleuse et finalement par une démence. - Narcolepsie autosomique dominante avec obésité et diabète de type 2 : La narcolepsie, l’obésité, le diabète de type 2 et un taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ont été observés dans de rares cas et sont associés à une mutation du gène de la glycoprotéine myéline oligodendrocyte. - Narcolepsie secondaire à une autre affection médicale : Ce sous-type concerne la narcolepsie qui survient secondairement à une affection médicale responsable d’une infection (p. ex., maladie de Whippie, sarcoïdose), d’un traumatisme ou d’une destruction tumorale des neurones à hypocrétine.
591
Critères diagnostiques de la narcolepsie - spécifications: sévérité - grave
- Spécifier la sévérité actuelle : - Léger :Cataplexie peu fréquente (moins d’une fois par semaine), besoin de sieste seulement une ou deux fois par jour, et sommeil nocturne peu perturbé. - Moyen : Cataplexie quotidienne ou presque tous les jours, sommeil nocturne perturbé et besoin quotidien de plusieurs siestes. - **Grave : Cataplexie résistante aux traitements avec plusieurs attaques quotidiennes, somnolence quasi constante et sommeil nocturne perturbé (c.-à-d. agitation, insomnie et rêves intenses).** - Spécifier le type : - Narcolepsie sans cataplexie avec déficience en hypocrétine : Les exigences du critère b concernant la déficience en hypocrétine et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites en l’absence de cataplexie (le critère B1 n’est pas rempli). - Narcolepsie avec cataplexie sans déficience en hypocrétine : Dans ce sous-type rare de la narcolepsie (moins de 5 % des cas de narcolepsie), les exigences du critère B pour la cataplexie et la polysomnographie/test itératif de latence d’endormissement sont satisfaites et le niveau d’hypocrétine-1 dans le LCR est normal (le critère B2 n’est pas rempli). - Ataxie cérébelleuse autosomique dominante avec surdité et narcolepsie : Une mutation de l’exon 21 de l’ADN (cytosine-5)-méthyltransférase-1 est responsable de ce soustype caractérisé par une apparition tardive de la narcolepsie (entre 30 et 40 ans), une surdité, une ataxie cérébelleuse et finalement par une démence. - Narcolepsie autosomique dominante avec obésité et diabète de type 2 : La narcolepsie, l’obésité, le diabète de type 2 et un taux bas d’hypocrétine-1 dans le LCR ont été observés dans de rares cas et sont associés à une mutation du gène de la glycoprotéine myéline oligodendrocyte. - Narcolepsie secondaire à une autre affection médicale : Ce sous-type concerne la narcolepsie qui survient secondairement à une affection médicale responsable d’une infection (p. ex., maladie de Whippie, sarcoïdose), d’un traumatisme ou d’une destruction tumorale des neurones à hypocrétine.
592
Critères dx de l’insomnie
- A. La plainte essentielle concerne une insatisfaction liée à la quantité ou à la qualité du sommeil, associée à un (ou plusieurs) des symptômes suivants : - 1.Difficulté d’endormissement. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficulté d’endormissement sans l’intervention d’un tiers responsable.) - 2.Difficulté de maintien du sommeil caractérisée par des réveils fréquents ou des problèmes à retrouver le sommeil après un éveil. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficultés à retrouver le sommeil sans l’intervention d’un tiers responsable.) - 3.Réveil matinal précoce assorti d’une incapacité à se rendormir. - B. La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement dans les domaines social, professionnel, éducatif, scolaire ou dans d’autres domaines importants. - C. Les difficultés de sommeil surviennent au moins 3 nuits par semaine. - D. Les difficultés de sommeil sont présentes depuis au moins 3 mois. - E. Les difficultés de sommeil surviennent malgré l’adéquation des conditions de sommeil. - F. L’insomnie n’est pas mieux expliquée par un autre trouble de l’alternance veille-sommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble (p. ex., narcolepsie, trouble du sommeil lié à la respiration, trouble du sommeil lié au rythme circadien, parasomnie). - G. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament). - H. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’insomnie.
593
Critères dx de l’insomnie - plainte essentielle
- A. **La plainte essentielle concerne une insatisfaction liée à la quantité ou à la qualité du sommeil, associée à un (ou plusieurs) des symptômes suivants** : - 1.**Difficulté d’endormissement. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficulté d’endormissement sans l’intervention d’un tiers responsable.)** - 2.**Difficulté de maintien du sommeil caractérisée par des réveils fréquents ou des problèmes à retrouver le sommeil après un éveil. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficultés à retrouver le sommeil sans l’intervention d’un tiers responsable.)** - 3.**Réveil matinal précoce assorti d’une incapacité à se rendormir**. - B. La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement dans les domaines social, professionnel, éducatif, scolaire ou dans d’autres domaines importants. - C. Les difficultés de sommeil surviennent au moins 3 nuits par semaine. - D. Les difficultés de sommeil sont présentes depuis au moins 3 mois. - E. Les difficultés de sommeil surviennent malgré l’adéquation des conditions de sommeil. - F. L’insomnie n’est pas mieux expliquée par un autre trouble de l’alternance veille-sommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble (p. ex., narcolepsie, trouble du sommeil lié à la respiration, trouble du sommeil lié au rythme circadien, parasomnie). - G. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament). - H. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’insomnie.
594
Critères dx de l’insomnie - symptômes en lien avec la qualité / quantité du sommeil
- A. **La plainte essentielle concerne une insatisfaction liée à la quantité ou à la qualité du sommeil, associée à un (ou plusieurs) des symptômes suivants** : - 1.**Difficulté d’endormissement. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficulté d’endormissement sans l’intervention d’un tiers responsable.)** - 2.**Difficulté de maintien du sommeil caractérisée par des réveils fréquents ou des problèmes à retrouver le sommeil après un éveil. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficultés à retrouver le sommeil sans l’intervention d’un tiers responsable.)** - 3.**Réveil matinal précoce assorti d’une incapacité à se rendormir**. - B. La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement dans les domaines social, professionnel, éducatif, scolaire ou dans d’autres domaines importants. - C. Les difficultés de sommeil surviennent au moins 3 nuits par semaine. - D. Les difficultés de sommeil sont présentes depuis au moins 3 mois. - E. Les difficultés de sommeil surviennent malgré l’adéquation des conditions de sommeil. - F. L’insomnie n’est pas mieux expliquée par un autre trouble de l’alternance veille-sommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble (p. ex., narcolepsie, trouble du sommeil lié à la respiration, trouble du sommeil lié au rythme circadien, parasomnie). - G. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament). - H. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’insomnie.
595
Critères dx de l’insomnie - impacts
- A. La plainte essentielle concerne une insatisfaction liée à la quantité ou à la qualité du sommeil, associée à un (ou plusieurs) des symptômes suivants : - 1.Difficulté d’endormissement. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficulté d’endormissement sans l’intervention d’un tiers responsable.) - 2.Difficulté de maintien du sommeil caractérisée par des réveils fréquents ou des problèmes à retrouver le sommeil après un éveil. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficultés à retrouver le sommeil sans l’intervention d’un tiers responsable.) - 3.Réveil matinal précoce assorti d’une incapacité à se rendormir. - B. **La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement dans les domaines social, professionnel, éducatif, scolaire ou dans d’autres domaines importants**. - C. Les difficultés de sommeil surviennent au moins 3 nuits par semaine. - D. Les difficultés de sommeil sont présentes depuis au moins 3 mois. - E. Les difficultés de sommeil surviennent malgré l’adéquation des conditions de sommeil. - F. L’insomnie n’est pas mieux expliquée par un autre trouble de l’alternance veille-sommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble (p. ex., narcolepsie, trouble du sommeil lié à la respiration, trouble du sommeil lié au rythme circadien, parasomnie). - G. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament). - H. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’insomnie.
596
Critères dx de l’insomnie - fréquence
- A. La plainte essentielle concerne une insatisfaction liée à la quantité ou à la qualité du sommeil, associée à un (ou plusieurs) des symptômes suivants : - 1.Difficulté d’endormissement. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficulté d’endormissement sans l’intervention d’un tiers responsable.) - 2.Difficulté de maintien du sommeil caractérisée par des réveils fréquents ou des problèmes à retrouver le sommeil après un éveil. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficultés à retrouver le sommeil sans l’intervention d’un tiers responsable.) - 3.Réveil matinal précoce assorti d’une incapacité à se rendormir. - B. La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement dans les domaines social, professionnel, éducatif, scolaire ou dans d’autres domaines importants. - C. **Les difficultés de sommeil surviennent au moins 3 nuits par semaine**. - D. Les difficultés de sommeil sont présentes depuis au moins 3 mois. - E. Les difficultés de sommeil surviennent malgré l’adéquation des conditions de sommeil. - F. L’insomnie n’est pas mieux expliquée par un autre trouble de l’alternance veille-sommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble (p. ex., narcolepsie, trouble du sommeil lié à la respiration, trouble du sommeil lié au rythme circadien, parasomnie). - G. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament). - H. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’insomnie.
597
Critères dx de l’insomnie - durée
- A. La plainte essentielle concerne une insatisfaction liée à la quantité ou à la qualité du sommeil, associée à un (ou plusieurs) des symptômes suivants : - 1.Difficulté d’endormissement. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficulté d’endormissement sans l’intervention d’un tiers responsable.) - 2.Difficulté de maintien du sommeil caractérisée par des réveils fréquents ou des problèmes à retrouver le sommeil après un éveil. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficultés à retrouver le sommeil sans l’intervention d’un tiers responsable.) - 3.Réveil matinal précoce assorti d’une incapacité à se rendormir. - B. La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement dans les domaines social, professionnel, éducatif, scolaire ou dans d’autres domaines importants. - C. Les difficultés de sommeil surviennent au moins 3 nuits par semaine. - D. **Les difficultés de sommeil sont présentes depuis au moins 3 mois.** - E. Les difficultés de sommeil surviennent malgré l’adéquation des conditions de sommeil. - F. L’insomnie n’est pas mieux expliquée par un autre trouble de l’alternance veille-sommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble (p. ex., narcolepsie, trouble du sommeil lié à la respiration, trouble du sommeil lié au rythme circadien, parasomnie). - G. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament). - H. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’insomnie.
598
Critères dx de l’insomnie - doit survenir malgré quoi?
- A. La plainte essentielle concerne une insatisfaction liée à la quantité ou à la qualité du sommeil, associée à un (ou plusieurs) des symptômes suivants : - 1.Difficulté d’endormissement. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficulté d’endormissement sans l’intervention d’un tiers responsable.) - 2.Difficulté de maintien du sommeil caractérisée par des réveils fréquents ou des problèmes à retrouver le sommeil après un éveil. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficultés à retrouver le sommeil sans l’intervention d’un tiers responsable.) - 3.Réveil matinal précoce assorti d’une incapacité à se rendormir. - B. La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement dans les domaines social, professionnel, éducatif, scolaire ou dans d’autres domaines importants. - C. Les difficultés de sommeil surviennent au moins 3 nuits par semaine. - D. Les difficultés de sommeil sont présentes depuis au moins 3 mois. - E. **Les difficultés de sommeil surviennent malgré l’adéquation des conditions de sommeil.** - F. L’insomnie n’est pas mieux expliquée par un autre trouble de l’alternance veille-sommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble (p. ex., narcolepsie, trouble du sommeil lié à la respiration, trouble du sommeil lié au rythme circadien, parasomnie). - G. L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament). - H. La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’insomnie.
599
Critères dx de l’insomnie - exclure quoi?
- A. La plainte essentielle concerne une insatisfaction liée à la quantité ou à la qualité du sommeil, associée à un (ou plusieurs) des symptômes suivants : - 1.Difficulté d’endormissement. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficulté d’endormissement sans l’intervention d’un tiers responsable.) - 2.Difficulté de maintien du sommeil caractérisée par des réveils fréquents ou des problèmes à retrouver le sommeil après un éveil. (Chez l’enfant, il peut s’agir de difficultés à retrouver le sommeil sans l’intervention d’un tiers responsable.) - 3.Réveil matinal précoce assorti d’une incapacité à se rendormir. - B. La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement dans les domaines social, professionnel, éducatif, scolaire ou dans d’autres domaines importants. - C. Les difficultés de sommeil surviennent au moins 3 nuits par semaine. - D. Les difficultés de sommeil sont présentes depuis au moins 3 mois. - E. Les difficultés de sommeil surviennent malgré l’adéquation des conditions de sommeil. - F. **L’insomnie n’est pas mieux expliquée par un autre trouble de l’alternance veille-sommeil ni ne survient exclusivement au cours de ce trouble (p. ex., narcolepsie, trouble du sommeil lié à la respiration, trouble du sommeil lié au rythme circadien, parasomnie)**. - G. **L’insomnie n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament)**. - H. **La coexistence d’un trouble mental ou d’une autre affection médicale n’explique pas la prédominance des plaintes d’insomnie**.
600
Critères dx de l’insomnie: Spécification
- Spécifier si : - Avec une comorbidité d’un trouble mental non lié au sommeil, y compris les troubles de l’usage de substances - Avec une autre comorbidité médicale - Avec un autre trouble du sommeil - Spécifier si : - Épisodique : Symptômes présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois. - Persistant: Symptômes présents depuis 3 mois ou plus. - Récurrent: Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
601
Critères dx de l’insomnie: Spécification - comorbidités
- **Spécifier si** : - **Avec une comorbidité d’un trouble mental non lié au sommeil, y compris les troubles de l’usage de substances** - **Avec une autre comorbidité médicale** - **Avec un autre trouble du sommeil** - Spécifier si : - Épisodique : Symptômes présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois. - Persistant: Symptômes présents depuis 3 mois ou plus. - Récurrent: Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
602
Critères dx de l’insomnie: Spécification - fréquence / durée
- Spécifier si : - Avec une comorbidité d’un trouble mental non lié au sommeil, y compris les troubles de l’usage de substances - Avec une autre comorbidité médicale - Avec un autre trouble du sommeil - **Spécifier si** : - **Épisodique : Symptômes présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois**. - **Persistant: Symptômes présents depuis 3 mois ou plus**. - **Récurrent: Au moins deux épisodes sur une période d’un an**.
603
# [](http://) Critères diagnostiques des troubles de l’éveil: Nom dans le DSM V
Trouble de l’éveil en sommeil non paradoxal
604
Critères dx des troubles de l’éveil: Nommez-les
- A. Épisodes récurrents de réveil incomplet, survenant habituellement pendant le premier tiers de la période principale de sommeil, accompagnés par l’un des deux critères suivants : - 1.Somnambulisme :Épisodes répétés au cours desquels la personne quitte son lit et déambule pendant son sommeil. Au cours de ses déambulations, le sujet a un visage inexpressif, le regard fixe et ne réagit guère aux efforts de son entourage pour communiquer avec lui ; il ne peut être réveillé qu’avec beaucoup de difficultés. - 2.Terreurs nocturnes :Épisodes récurrents de réveils brutaux et terrifiants, débutant habituellement par un cri d’effroi. Présence au cours de chaque épisode d’une peur intense et d’une activation neurovégétative se traduisant par des signes tels que mydriase, tachycardie, polypnée, transpiration. Pendant l’épisode, la personne ne réagit que peu aux efforts faits par son entourage pour la réconforter. - B. Il n’y a pas ou très peu (p. ex., seulement une scène visuelle unique) de souvenir d’un rêve. - C. La personne garde une amnésie de l’épisode. - D. Les épisodes sont à l’origine d’une détresse significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - E. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament). - F. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes de somnambulisme ou de terreurs nocturnes.
605
Critères dx des troubles de l’éveil: Critères nécessaires
- A. **Épisodes récurrents de réveil incomplet, survenant habituellement pendant le premier tiers de la période principale de sommeil, accompagnés par l’un des deux critères suivants** : - 1.**Somnambulisme** :Épisodes répétés au cours desquels la personne quitte son lit et déambule pendant son sommeil. Au cours de ses déambulations, le sujet a un visage inexpressif, le regard fixe et ne réagit guère aux efforts de son entourage pour communiquer avec lui ; il ne peut être réveillé qu’avec beaucoup de difficultés. - 2.**Terreurs nocturnes** :Épisodes récurrents de réveils brutaux et terrifiants, débutant habituellement par un cri d’effroi. Présence au cours de chaque épisode d’une peur intense et d’une activation neurovégétative se traduisant par des signes tels que mydriase, tachycardie, polypnée, transpiration. Pendant l’épisode, la personne ne réagit que peu aux efforts faits par son entourage pour la réconforter. - B. Il n’y a pas ou très peu (p. ex., seulement une scène visuelle unique) de souvenir d’un rêve. - C. La personne garde une amnésie de l’épisode. - D. Les épisodes sont à l’origine d’une détresse significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - E. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament). - F. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes de somnambulisme ou de terreurs nocturnes.
606
Critères dx des troubles de l’éveil: Critères nécessaires - Somnambulisme
- A. Épisodes récurrents de réveil incomplet, survenant habituellement pendant le premier tiers de la période principale de sommeil, **accompagnés par l’un des deux critères suivants** : - **1.Somnambulisme :Épisodes répétés au cours desquels la personne quitte son lit et déambule pendant son sommeil. Au cours de ses déambulations, le sujet a un visage inexpressif, le regard fixe et ne réagit guère aux efforts de son entourage pour communiquer avec lui ; il ne peut être réveillé qu’avec beaucoup de difficultés**. - 2.Terreurs nocturnes :Épisodes récurrents de réveils brutaux et terrifiants, débutant habituellement par un cri d’effroi. Présence au cours de chaque épisode d’une peur intense et d’une activation neurovégétative se traduisant par des signes tels que mydriase, tachycardie, polypnée, transpiration. Pendant l’épisode, la personne ne réagit que peu aux efforts faits par son entourage pour la réconforter. - B. Il n’y a pas ou très peu (p. ex., seulement une scène visuelle unique) de souvenir d’un rêve. - C. La personne garde une amnésie de l’épisode. - D. Les épisodes sont à l’origine d’une détresse significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - E. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament). - F. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes de somnambulisme ou de terreurs nocturnes.
607
Critères dx des troubles de l’éveil: Critères nécessaires - Terreurs nocturnes
- A. Épisodes récurrents de réveil incomplet, survenant habituellement pendant le premier tiers de la période principale de sommeil, **accompagnés par l’un des deux critères suivants** : - 1.Somnambulisme :Épisodes répétés au cours desquels la personne quitte son lit et déambule pendant son sommeil. Au cours de ses déambulations, le sujet a un visage inexpressif, le regard fixe et ne réagit guère aux efforts de son entourage pour communiquer avec lui ; il ne peut être réveillé qu’avec beaucoup de difficultés. - 2.**Terreurs nocturnes :Épisodes récurrents de réveils brutaux et terrifiants, débutant habituellement par un cri d’effroi. Présence au cours de chaque épisode d’une peur intense et d’une activation neurovégétative se traduisant par des signes tels que mydriase, tachycardie, polypnée, transpiration. Pendant l’épisode, la personne ne réagit que peu aux efforts faits par son entourage pour la réconforter.** - B. Il n’y a pas ou très peu (p. ex., seulement une scène visuelle unique) de souvenir d’un rêve. - C. La personne garde une amnésie de l’épisode. - D. Les épisodes sont à l’origine d’une détresse significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - E. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament). - F. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes de somnambulisme ou de terreurs nocturnes.
608
Critères dx des troubles de l’éveil: Survient à quel moment de la nuit?
- A. Épisodes récurrents de réveil incomplet, survenant habituellement **pendant le premier tiers de la période principale de sommeil**, accompagnés par l’un des deux critères suivants : - 1.Somnambulisme :Épisodes répétés au cours desquels la personne quitte son lit et déambule pendant son sommeil. Au cours de ses déambulations, le sujet a un visage inexpressif, le regard fixe et ne réagit guère aux efforts de son entourage pour communiquer avec lui ; il ne peut être réveillé qu’avec beaucoup de difficultés. - 2.Terreurs nocturnes :Épisodes récurrents de réveils brutaux et terrifiants, débutant habituellement par un cri d’effroi. Présence au cours de chaque épisode d’une peur intense et d’une activation neurovégétative se traduisant par des signes tels que mydriase, tachycardie, polypnée, transpiration. Pendant l’épisode, la personne ne réagit que peu aux efforts faits par son entourage pour la réconforter. - B. Il n’y a pas ou très peu (p. ex., seulement une scène visuelle unique) de souvenir d’un rêve. - C. La personne garde une amnésie de l’épisode. - D. Les épisodes sont à l’origine d’une détresse significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - E. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament). - F. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes de somnambulisme ou de terreurs nocturnes.
609
Critères dx des troubles de l’éveil: Critère essentiel
- A. **Épisodes récurrents de réveil incomplet**, survenant habituellement pendant le premier tiers de la période principale de sommeil, accompagnés par l’un des deux critères suivants : - 1.Somnambulisme :Épisodes répétés au cours desquels la personne quitte son lit et déambule pendant son sommeil. Au cours de ses déambulations, le sujet a un visage inexpressif, le regard fixe et ne réagit guère aux efforts de son entourage pour communiquer avec lui ; il ne peut être réveillé qu’avec beaucoup de difficultés. - 2.Terreurs nocturnes :Épisodes récurrents de réveils brutaux et terrifiants, débutant habituellement par un cri d’effroi. Présence au cours de chaque épisode d’une peur intense et d’une activation neurovégétative se traduisant par des signes tels que mydriase, tachycardie, polypnée, transpiration. Pendant l’épisode, la personne ne réagit que peu aux efforts faits par son entourage pour la réconforter. - B. Il n’y a pas ou très peu (p. ex., seulement une scène visuelle unique) de souvenir d’un rêve. - C. La personne garde une amnésie de l’épisode. - D. Les épisodes sont à l’origine d’une détresse significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - E. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament). - F. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes de somnambulisme ou de terreurs nocturnes.
610
Critères dx des troubles de l’éveil: Particularité des rêves
- A. Épisodes récurrents de réveil incomplet, survenant habituellement pendant le premier tiers de la période principale de sommeil, accompagnés par l’un des deux critères suivants : - 1.Somnambulisme :Épisodes répétés au cours desquels la personne quitte son lit et déambule pendant son sommeil. Au cours de ses déambulations, le sujet a un visage inexpressif, le regard fixe et ne réagit guère aux efforts de son entourage pour communiquer avec lui ; il ne peut être réveillé qu’avec beaucoup de difficultés. - 2.Terreurs nocturnes :Épisodes récurrents de réveils brutaux et terrifiants, débutant habituellement par un cri d’effroi. Présence au cours de chaque épisode d’une peur intense et d’une activation neurovégétative se traduisant par des signes tels que mydriase, tachycardie, polypnée, transpiration. Pendant l’épisode, la personne ne réagit que peu aux efforts faits par son entourage pour la réconforter. - B. **Il n’y a pas ou très peu (p. ex., seulement une scène visuelle unique) de souvenir d’un rêve**. - C. La personne garde une amnésie de l’épisode. - D. Les épisodes sont à l’origine d’une détresse significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - E. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament). - F. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes de somnambulisme ou de terreurs nocturnes.
611
Critères dx des troubles de l’éveil: Se souvient de son rêve?
- A. Épisodes récurrents de réveil incomplet, survenant habituellement pendant le premier tiers de la période principale de sommeil, accompagnés par l’un des deux critères suivants : - 1.Somnambulisme :Épisodes répétés au cours desquels la personne quitte son lit et déambule pendant son sommeil. Au cours de ses déambulations, le sujet a un visage inexpressif, le regard fixe et ne réagit guère aux efforts de son entourage pour communiquer avec lui ; il ne peut être réveillé qu’avec beaucoup de difficultés. - 2.Terreurs nocturnes :Épisodes récurrents de réveils brutaux et terrifiants, débutant habituellement par un cri d’effroi. Présence au cours de chaque épisode d’une peur intense et d’une activation neurovégétative se traduisant par des signes tels que mydriase, tachycardie, polypnée, transpiration. Pendant l’épisode, la personne ne réagit que peu aux efforts faits par son entourage pour la réconforter. - B. **Il n’y a pas ou très peu (p. ex., seulement une scène visuelle unique) de souvenir d’un rêve.** - C. La personne garde une amnésie de l’épisode. - D. Les épisodes sont à l’origine d’une détresse significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - E. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament). - F. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes de somnambulisme ou de terreurs nocturnes.
612
Critères dx des troubles de l’éveil: Mémoire de l'épisode
- A. Épisodes récurrents de réveil incomplet, survenant habituellement pendant le premier tiers de la période principale de sommeil, accompagnés par l’un des deux critères suivants : - 1.Somnambulisme :Épisodes répétés au cours desquels la personne quitte son lit et déambule pendant son sommeil. Au cours de ses déambulations, le sujet a un visage inexpressif, le regard fixe et ne réagit guère aux efforts de son entourage pour communiquer avec lui ; il ne peut être réveillé qu’avec beaucoup de difficultés. - 2.Terreurs nocturnes :Épisodes récurrents de réveils brutaux et terrifiants, débutant habituellement par un cri d’effroi. Présence au cours de chaque épisode d’une peur intense et d’une activation neurovégétative se traduisant par des signes tels que mydriase, tachycardie, polypnée, transpiration. Pendant l’épisode, la personne ne réagit que peu aux efforts faits par son entourage pour la réconforter. - B. Il n’y a pas ou très peu (p. ex., seulement une scène visuelle unique) de souvenir d’un rêve. - C. **La personne garde une amnésie de l’épisode**. - D. Les épisodes sont à l’origine d’une détresse significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - E. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament). - F. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes de somnambulisme ou de terreurs nocturnes.
613
Critères dx des troubles de l’éveil: Impacts
- A. Épisodes récurrents de réveil incomplet, survenant habituellement pendant le premier tiers de la période principale de sommeil, accompagnés par l’un des deux critères suivants : - 1.Somnambulisme :Épisodes répétés au cours desquels la personne quitte son lit et déambule pendant son sommeil. Au cours de ses déambulations, le sujet a un visage inexpressif, le regard fixe et ne réagit guère aux efforts de son entourage pour communiquer avec lui ; il ne peut être réveillé qu’avec beaucoup de difficultés. - 2.Terreurs nocturnes :Épisodes récurrents de réveils brutaux et terrifiants, débutant habituellement par un cri d’effroi. Présence au cours de chaque épisode d’une peur intense et d’une activation neurovégétative se traduisant par des signes tels que mydriase, tachycardie, polypnée, transpiration. Pendant l’épisode, la personne ne réagit que peu aux efforts faits par son entourage pour la réconforter. - B. Il n’y a pas ou très peu (p. ex., seulement une scène visuelle unique) de souvenir d’un rêve. - C. La personne garde une amnésie de l’épisode. - D. **Les épisodes sont à l’origine d’une détresse significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants**. - E. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament). - F. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes de somnambulisme ou de terreurs nocturnes.
614
Critères dx des troubles de l’éveil: Quoi exclure?
- A. Épisodes récurrents de réveil incomplet, survenant habituellement pendant le premier tiers de la période principale de sommeil, accompagnés par l’un des deux critères suivants : - 1.Somnambulisme :Épisodes répétés au cours desquels la personne quitte son lit et déambule pendant son sommeil. Au cours de ses déambulations, le sujet a un visage inexpressif, le regard fixe et ne réagit guère aux efforts de son entourage pour communiquer avec lui ; il ne peut être réveillé qu’avec beaucoup de difficultés. - 2.Terreurs nocturnes :Épisodes récurrents de réveils brutaux et terrifiants, débutant habituellement par un cri d’effroi. Présence au cours de chaque épisode d’une peur intense et d’une activation neurovégétative se traduisant par des signes tels que mydriase, tachycardie, polypnée, transpiration. Pendant l’épisode, la personne ne réagit que peu aux efforts faits par son entourage pour la réconforter. - B. Il n’y a pas ou très peu (p. ex., seulement une scène visuelle unique) de souvenir d’un rêve. - C. La personne garde une amnésie de l’épisode. - D. Les épisodes sont à l’origine d’une détresse significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - E. **La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament)**. - F. **Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes de somnambulisme ou de terreurs nocturnes.**
615
Critères dx des troubles de l’éveil: Spécifications
- Spécifier le type : - Type somnambulisme - Spécifier si : - Avec alimentation liée au sommeil - Avec comportement sexuel lié au sommeil (sexsomnie) - Type terreur nocturne
616
Critères dx des troubles de l’éveil: Spécifications - Types
- Spécifier le type : - Type somnambulisme - Spécifier si : - Avec alimentation liée au sommeil - Avec comportement sexuel lié au sommeil (sexsomnie) - Type terreur nocturne
617
Critères dx des cauchemars: Nommez-les
- A. Survenues répétées de rêves prolongés, extrêmement dysphoriques, dont le souvenir persiste lors de l’éveil, qui impliquent généralement des efforts pour éviter des menaces contre la survie, la sécurité ou l’intégrité physique et qui surviennent habituellement pendant la deuxième partie de la principale période de sommeil. - B. Lorsque le sujet se réveille immédiatement après un rêve dysphorique, il est rapidement orienté et pleinement éveillé. - C. La perturbation du sommeil provoque une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. Les symptômes du cauchemar ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à un abus, médicament). - E. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas convenablement la plainte principale de rêves dysphoriques.
618
Critères dx des cauchemars: Critère principal
- A. **Survenues répétées de rêves prolongés, extrêmement dysphoriques, dont le souvenir persiste lors de l’éveil, qui impliquent généralement des efforts pour éviter des menaces contre la survie, la sécurité ou l’intégrité physique et qui surviennent habituellement pendant la deuxième partie de la principale période de sommeil.** - B. Lorsque le sujet se réveille immédiatement après un rêve dysphorique, il est rapidement orienté et pleinement éveillé. - C. La perturbation du sommeil provoque une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. Les symptômes du cauchemar ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à un abus, médicament). - E. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas convenablement la plainte principale de rêves dysphoriques.
619
Critères dx des cauchemars: Critère principal - décrivez les rêves
- A. **Survenues répétées de rêves prolongés, extrêmement dysphoriques, dont le souvenir persiste lors de l’éveil, qui impliquent généralement des efforts pour éviter des menaces contre la survie, la sécurité ou l’intégrité physique et qui surviennent habituellement pendant la deuxième partie de la principale période de sommeil**. - B. Lorsque le sujet se réveille immédiatement après un rêve dysphorique, il est rapidement orienté et pleinement éveillé. - C. La perturbation du sommeil provoque une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. Les symptômes du cauchemar ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à un abus, médicament). - E. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas convenablement la plainte principale de rêves dysphoriques.
620
Critères dx des cauchemars: Critère principal - survient à quel moment de la nuit?
- A. Survenues répétées de rêves prolongés, extrêmement dysphoriques, dont le souvenir persiste lors de l’éveil, qui impliquent généralement des efforts pour éviter des menaces contre la survie, la sécurité ou l’intégrité physique et **qui surviennent habituellement pendant la deuxième partie de la principale période de sommeil.** - B. Lorsque le sujet se réveille immédiatement après un rêve dysphorique, il est rapidement orienté et pleinement éveillé. - C. La perturbation du sommeil provoque une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. Les symptômes du cauchemar ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à un abus, médicament). - E. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas convenablement la plainte principale de rêves dysphoriques.
621
Critères dx des cauchemars: Ce qui se passe après le cauchemar
- A. Survenues répétées de rêves prolongés, extrêmement dysphoriques, dont le souvenir persiste lors de l’éveil, qui impliquent généralement des efforts pour éviter des menaces contre la survie, la sécurité ou l’intégrité physique et qui surviennent habituellement pendant la deuxième partie de la principale période de sommeil. - B. **Lorsque le sujet se réveille immédiatement après un rêve dysphorique, il est rapidement orienté et pleinement éveillé**. - C. La perturbation du sommeil provoque une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. Les symptômes du cauchemar ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à un abus, médicament). - E. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas convenablement la plainte principale de rêves dysphoriques.
622
Critères dx des cauchemars Impacts
- A. Survenues répétées de rêves prolongés, extrêmement dysphoriques, dont le souvenir persiste lors de l’éveil, qui impliquent généralement des efforts pour éviter des menaces contre la survie, la sécurité ou l’intégrité physique et qui surviennent habituellement pendant la deuxième partie de la principale période de sommeil. - B. Lorsque le sujet se réveille immédiatement après un rêve dysphorique, il est rapidement orienté et pleinement éveillé. - C. **La perturbation du sommeil provoque une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants**. - D. Les symptômes du cauchemar ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à un abus, médicament). - E. Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas convenablement la plainte principale de rêves dysphoriques.
623
Critères dx des cauchemars: Exclure quoi?
- A. Survenues répétées de rêves prolongés, extrêmement dysphoriques, dont le souvenir persiste lors de l’éveil, qui impliquent généralement des efforts pour éviter des menaces contre la survie, la sécurité ou l’intégrité physique et qui surviennent habituellement pendant la deuxième partie de la principale période de sommeil. - B. Lorsque le sujet se réveille immédiatement après un rêve dysphorique, il est rapidement orienté et pleinement éveillé. - C. La perturbation du sommeil provoque une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. **Les symptômes du cauchemar ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à un abus, médicament)**. - E. **Des troubles mentaux et médicaux concomitants n’expliquent pas convenablement la plainte principale de rêves dysphoriques**.
624
Critères dx des cauchemars: Spécifications
- Spécifier si : - Aigu : La durée de la période de cauchemars est de 1 mois ou moins. - Subaigu : La durée de la période de cauchemars est supérieure à 1 mois mais inférieure à 6 mois. - Persistant : La durée de la période de cauchemars est de 6 mois ou plus. - Spécifier la sévérité actuelle : - La sévérité peut être évaluée selon la fréquence avec laquelle les cauchemars se produisent : - Léger : Moins d’un épisode par semaine en moyenne. - Moyen : Un ou plusieurs épisodes par semaine mais pas toutes les nuits. - Grave : Épisodes toutes les nuits
625
Critères dx des cauchemars: Spécifications - durée
- **Spécifier si** : - **Aigu : La durée de la période de cauchemars est de 1 mois ou moins**. - **Subaigu : La durée de la période de cauchemars est supérieure à 1 mois mais inférieure à 6 mois**. - **Persistant : La durée de la période de cauchemars est de 6 mois ou plus**. - Spécifier la sévérité actuelle : - La sévérité peut être évaluée selon la fréquence avec laquelle les cauchemars se produisent : - Léger : Moins d’un épisode par semaine en moyenne. - Moyen : Un ou plusieurs épisodes par semaine mais pas toutes les nuits. - Grave : Épisodes toutes les nuits
626
Critères dx des cauchemars: Spécifications - sévérité
- Spécifier si : - Aigu : La durée de la période de cauchemars est de 1 mois ou moins. - Subaigu : La durée de la période de cauchemars est supérieure à 1 mois mais inférieure à 6 mois. - Persistant : La durée de la période de cauchemars est de 6 mois ou plus. - **Spécifier la sévérité actuelle** : - **La sévérité peut être évaluée selon la fréquence avec laquelle les cauchemars se produisent** : - **Léger : Moins d’un épisode par semaine en moyenne**. - **Moyen : Un ou plusieurs épisodes par semaine mais pas toutes les nuits**. - **Grave : Épisodes toutes les nuits**
627
Critères dx du tr du comportement en sommeil paradoxal
- A. Épisodes répétés de réveils pendant le sommeil associés à des vocalisations et/ou des comportements moteurs complexes. - B. Ces comportements surviennent pendant le sommeil paradoxal et apparaissent donc généralement plus de 90 minutes après l’endormissement ; ils sont plus fréquents pendant les dernières parties du sommeil et surviennent exceptionnellement pendant les siestes diurnes. - C. Au moment du réveil de ces épisodes, le sujet est complètement réveillé, alerte et il n’est pas confus ni désorienté. - D. L’une ou l’autre des conditions suivantes : - 1.Sommeil paradoxal sans atonie sur l’enregistrement polysomnographique. - 2.Des antécédents évoquant des troubles du comportement liés au sommeil paradoxal et un diagnostic établi de synucléopathie (p. ex., maladie de Parkinson, atrophie multisystémique). - E. Les comportements provoquent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants (qui peut inclure des blessures sur soi ou sur le partenaire). - F. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. substance donnant lieu à un abus, médicament) ou à une autre affection médicale. - G. Des troubles mentaux ou médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes.
628
Critères dx du tr du comportement en sommeil paradoxal: C'est quoi?
- A. **Épisodes répétés de réveils pendant le sommeil associés à des vocalisations et/ou des comportements moteurs complexes**. - B. Ces comportements surviennent pendant le sommeil paradoxal et apparaissent donc généralement plus de 90 minutes après l’endormissement ; ils sont plus fréquents pendant les dernières parties du sommeil et surviennent exceptionnellement pendant les siestes diurnes. - C. Au moment du réveil de ces épisodes, le sujet est complètement réveillé, alerte et il n’est pas confus ni désorienté. - D. L’une ou l’autre des conditions suivantes : - 1.Sommeil paradoxal sans atonie sur l’enregistrement polysomnographique. - 2.Des antécédents évoquant des troubles du comportement liés au sommeil paradoxal et un diagnostic établi de synucléopathie (p. ex., maladie de Parkinson, atrophie multisystémique). - E. Les comportements provoquent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants (qui peut inclure des blessures sur soi ou sur le partenaire). - F. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. substance donnant lieu à un abus, médicament) ou à une autre affection médicale. - G. Des troubles mentaux ou médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes.
629
Critères dx du tr du comportement en sommeil paradoxal: Sx primordiaux
- A. Épisodes répétés de réveils pendant le sommeil associés à des **vocalisations et/ou des comportements moteurs complexes.** - B. Ces comportements surviennent pendant le sommeil paradoxal et apparaissent donc généralement plus de 90 minutes après l’endormissement ; ils sont plus fréquents pendant les dernières parties du sommeil et surviennent exceptionnellement pendant les siestes diurnes. - C. Au moment du réveil de ces épisodes, le sujet est complètement réveillé, alerte et il n’est pas confus ni désorienté. - D. L’une ou l’autre des conditions suivantes : - 1.Sommeil paradoxal sans atonie sur l’enregistrement polysomnographique. - 2.Des antécédents évoquant des troubles du comportement liés au sommeil paradoxal et un diagnostic établi de synucléopathie (p. ex., maladie de Parkinson, atrophie multisystémique). - E. Les comportements provoquent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants (qui peut inclure des blessures sur soi ou sur le partenaire). - F. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. substance donnant lieu à un abus, médicament) ou à une autre affection médicale. - G. Des troubles mentaux ou médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes.
630
Critères dx du tr du comportement en sommeil paradoxal: Décrire
- A. Épisodes répétés de réveils pendant le sommeil associés à des vocalisations et/ou des comportements moteurs complexes. - B. **Ces comportements surviennent pendant le sommeil paradoxal et apparaissent donc généralement plus de 90 minutes après l’endormissement ; ils sont plus fréquents pendant les dernières parties du sommeil et surviennent exceptionnellement pendant les siestes diurnes**. - C. Au moment du réveil de ces épisodes, le sujet est complètement réveillé, alerte et il n’est pas confus ni désorienté. - D. L’une ou l’autre des conditions suivantes : - 1.Sommeil paradoxal sans atonie sur l’enregistrement polysomnographique. - 2.Des antécédents évoquant des troubles du comportement liés au sommeil paradoxal et un diagnostic établi de synucléopathie (p. ex., maladie de Parkinson, atrophie multisystémique). - E. Les comportements provoquent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants (qui peut inclure des blessures sur soi ou sur le partenaire). - F. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. substance donnant lieu à un abus, médicament) ou à une autre affection médicale. - G. Des troubles mentaux ou médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes.
631
Critères dx du tr du comportement en sommeil paradoxal: Survient quand?
- A. Épisodes répétés de réveils pendant le sommeil associés à des vocalisations et/ou des comportements moteurs complexes. - B. Ces comportements surviennent pendant le **sommeil paradoxal et apparaissent donc généralement plus de 90 minutes après l’endormissement ; ils sont plus fréquents pendant les dernières parties du sommeil et surviennent exceptionnellement pendant les siestes diurnes**. - C. Au moment du réveil de ces épisodes, le sujet est complètement réveillé, alerte et il n’est pas confus ni désorienté. - D. L’une ou l’autre des conditions suivantes : - 1.Sommeil paradoxal sans atonie sur l’enregistrement polysomnographique. - 2.Des antécédents évoquant des troubles du comportement liés au sommeil paradoxal et un diagnostic établi de synucléopathie (p. ex., maladie de Parkinson, atrophie multisystémique). - E. Les comportements provoquent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants (qui peut inclure des blessures sur soi ou sur le partenaire). - F. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. substance donnant lieu à un abus, médicament) ou à une autre affection médicale. - G. Des troubles mentaux ou médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes.
632
Critères dx du tr du comportement en sommeil paradoxal: Décrire le patient au moment du réveil
- A. Épisodes répétés de réveils pendant le sommeil associés à des vocalisations et/ou des comportements moteurs complexes. - B. Ces comportements surviennent pendant le sommeil paradoxal et apparaissent donc généralement plus de 90 minutes après l’endormissement ; ils sont plus fréquents pendant les dernières parties du sommeil et surviennent exceptionnellement pendant les siestes diurnes. - C. **Au moment du réveil de ces épisodes, le sujet est complètement réveillé, alerte et il n’est pas confus ni désorienté**. - D. L’une ou l’autre des conditions suivantes : - 1.Sommeil paradoxal sans atonie sur l’enregistrement polysomnographique. - 2.Des antécédents évoquant des troubles du comportement liés au sommeil paradoxal et un diagnostic établi de synucléopathie (p. ex., maladie de Parkinson, atrophie multisystémique). - E. Les comportements provoquent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants (qui peut inclure des blessures sur soi ou sur le partenaire). - F. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. substance donnant lieu à un abus, médicament) ou à une autre affection médicale. - G. Des troubles mentaux ou médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes.
633
Critères dx du tr du comportement en sommeil paradoxal: Conditions nécessaires
- A. Épisodes répétés de réveils pendant le sommeil associés à des vocalisations et/ou des comportements moteurs complexes. - B. Ces comportements surviennent pendant le sommeil paradoxal et apparaissent donc généralement plus de 90 minutes après l’endormissement ; ils sont plus fréquents pendant les dernières parties du sommeil et surviennent exceptionnellement pendant les siestes diurnes. - C. Au moment du réveil de ces épisodes, le sujet est complètement réveillé, alerte et il n’est pas confus ni désorienté. - D. **L’une ou l’autre des conditions suivantes** : - 1.**Sommeil paradoxal sans atonie sur l’enregistrement polysomnographique**. - 2.**Des antécédents évoquant des troubles du comportement liés au sommeil paradoxal et un diagnostic établi de synucléopathie (p. ex., maladie de Parkinson, atrophie multisystémique)**. - E. Les comportements provoquent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants (qui peut inclure des blessures sur soi ou sur le partenaire). - F. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. substance donnant lieu à un abus, médicament) ou à une autre affection médicale. - G. Des troubles mentaux ou médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes.
634
Critères dx du tr du comportement en sommeil paradoxal: Conditions nécessaires - sommeil paradoxal
- A. Épisodes répétés de réveils pendant le sommeil associés à des vocalisations et/ou des comportements moteurs complexes. - B. Ces comportements surviennent pendant le sommeil paradoxal et apparaissent donc généralement plus de 90 minutes après l’endormissement ; ils sont plus fréquents pendant les dernières parties du sommeil et surviennent exceptionnellement pendant les siestes diurnes. - C. Au moment du réveil de ces épisodes, le sujet est complètement réveillé, alerte et il n’est pas confus ni désorienté. - D. L’une ou l’autre des conditions suivantes : - 1.**Sommeil paradoxal sans atonie sur l’enregistrement polysomnographique**. - 2.Des antécédents évoquant des troubles du comportement liés au sommeil paradoxal et un diagnostic établi de synucléopathie (p. ex., maladie de Parkinson, atrophie multisystémique). - E. Les comportements provoquent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants (qui peut inclure des blessures sur soi ou sur le partenaire). - F. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. substance donnant lieu à un abus, médicament) ou à une autre affection médicale. - G. Des troubles mentaux ou médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes.
635
Critères dx du tr du comportement en sommeil paradoxal: Conditions nécessaires - ATCD
- A. Épisodes répétés de réveils pendant le sommeil associés à des vocalisations et/ou des comportements moteurs complexes. - B. Ces comportements surviennent pendant le sommeil paradoxal et apparaissent donc généralement plus de 90 minutes après l’endormissement ; ils sont plus fréquents pendant les dernières parties du sommeil et surviennent exceptionnellement pendant les siestes diurnes. - C. Au moment du réveil de ces épisodes, le sujet est complètement réveillé, alerte et il n’est pas confus ni désorienté. - D. L’une ou l’autre des conditions suivantes : - 1.Sommeil paradoxal sans atonie sur l’enregistrement polysomnographique. - 2.**Des antécédents évoquant des troubles du comportement liés au sommeil paradoxal et un diagnostic établi de synucléopathie (p. ex., maladie de Parkinson, atrophie multisystémique).** - E. Les comportements provoquent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants (qui peut inclure des blessures sur soi ou sur le partenaire). - F. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. substance donnant lieu à un abus, médicament) ou à une autre affection médicale. - G. Des troubles mentaux ou médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes.
636
Critères dx du tr du comportement en sommeil paradoxal: Impacts
- A. Épisodes répétés de réveils pendant le sommeil associés à des vocalisations et/ou des comportements moteurs complexes. - B. Ces comportements surviennent pendant le sommeil paradoxal et apparaissent donc généralement plus de 90 minutes après l’endormissement ; ils sont plus fréquents pendant les dernières parties du sommeil et surviennent exceptionnellement pendant les siestes diurnes. - C. Au moment du réveil de ces épisodes, le sujet est complètement réveillé, alerte et il n’est pas confus ni désorienté. - D. L’une ou l’autre des conditions suivantes : - 1.Sommeil paradoxal sans atonie sur l’enregistrement polysomnographique. - 2.Des antécédents évoquant des troubles du comportement liés au sommeil paradoxal et un diagnostic établi de synucléopathie (p. ex., maladie de Parkinson, atrophie multisystémique). - E. **Les comportements provoquent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants (qui peut inclure des blessures sur soi ou sur le partenaire)**. - F. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. substance donnant lieu à un abus, médicament) ou à une autre affection médicale. - G. Des troubles mentaux ou médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes.
637
Critères dx du tr du comportement en sommeil paradoxal: exclure quoi?
- A. Épisodes répétés de réveils pendant le sommeil associés à des vocalisations et/ou des comportements moteurs complexes. - B. Ces comportements surviennent pendant le sommeil paradoxal et apparaissent donc généralement plus de 90 minutes après l’endormissement ; ils sont plus fréquents pendant les dernières parties du sommeil et surviennent exceptionnellement pendant les siestes diurnes. - C. Au moment du réveil de ces épisodes, le sujet est complètement réveillé, alerte et il n’est pas confus ni désorienté. - D. L’une ou l’autre des conditions suivantes : - 1.Sommeil paradoxal sans atonie sur l’enregistrement polysomnographique. - 2.Des antécédents évoquant des troubles du comportement liés au sommeil paradoxal et un diagnostic établi de synucléopathie (p. ex., maladie de Parkinson, atrophie multisystémique). - E. Les comportements provoquent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants (qui peut inclure des blessures sur soi ou sur le partenaire). - F. **La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. substance donnant lieu à un abus, médicament) ou à une autre affection médicale**. - G. **Des troubles mentaux ou médicaux concomitants n’expliquent pas les épisodes**.
638
Critères dx du synd des jambes sans repos
- A. Un besoin pressant de bouger les jambes, en général accompagné par ou en réponse à des sensations pénibles et désagréables dans les jambes, caractérisé par l’ensemble des éléments suivants : - 1.Le besoin de bouger les jambes commence ou s’aggrave pendant les périodes de repos ou d’inactivité. - 2.Le besoin de bouger les jambes est partiellement ou totalement soulagé par le mouvement. - 3.Le besoin de bouger les jambes est pire dans la soirée ou la nuit que pendant la journée, ou ne survient que dans la soirée ou la nuit. - B. Les symptômes du critère A surviennent au moins trois fois par semaine et persistent au moins 3 mois. - C. Les symptômes du critère A sont accompagnés par une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, pédagogique, scolaire, comportemental ou dans d’autres domaines importants. - D. Les symptômes du critère A ne sont pas imputables : - à un autre trouble mental ou - à une affection médicale (p. ex., arthrite, œdème des membres inférieurs, ischémie périphérique, crampes des jambes) et - ne peuvent pas être mieux expliqués par une condition comportementale (p. ex., inconfort lié à la position, tapotement habituel du pied). - E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance donnant lieu à un abus ou d’un médicament (p. ex., akathisie).
639
Critères dx du synd des jambes sans repos: Symptômes nécessaires
- A. **Un besoin pressant de bouger les jambes, en général accompagné par ou en réponse à des sensations pénibles et désagréables dans les jambes, caractérisé par l’ensemble des éléments suivants** : - 1.**Le besoin de bouger les jambes commence ou s’aggrave pendant les périodes de repos ou d’inactivité.** - 2.**Le besoin de bouger les jambes est partiellement ou totalement soulagé par le mouvement.** - 3.**Le besoin de bouger les jambes est pire dans la soirée ou la nuit que pendant la journée, ou ne survient que dans la soirée ou la nuit**. - B. Les symptômes du critère A surviennent au moins trois fois par semaine et persistent au moins 3 mois. - C. Les symptômes du critère A sont accompagnés par une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, pédagogique, scolaire, comportemental ou dans d’autres domaines importants. - D. Les symptômes du critère A ne sont pas imputables : - à un autre trouble mental ou - à une affection médicale (p. ex., arthrite, œdème des membres inférieurs, ischémie périphérique, crampes des jambes) et - ne peuvent pas être mieux expliqués par une condition comportementale (p. ex., inconfort lié à la position, tapotement habituel du pied). - E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance donnant lieu à un abus ou d’un médicament (p. ex., akathisie).
640
Critères dx du synd des jambes sans repos: Décrire le besoin de bouger ses jambes
- A. **Un besoin pressant de bouger les jambes, en général accompagné par ou en réponse à des sensations pénibles et désagréables dans les jambes, caractérisé par l’ensemble des éléments suivants** : - 1.**Le besoin de bouger les jambes commence ou s’aggrave pendant les périodes de repos ou d’inactivité.** - 2.**Le besoin de bouger les jambes est partiellement ou totalement soulagé par le mouvement**. - 3.**Le besoin de bouger les jambes est pire dans la soirée ou la nuit que pendant la journée, ou ne survient que dans la soirée ou la nuit**. - B. Les symptômes du critère A surviennent au moins trois fois par semaine et persistent au moins 3 mois. - C. Les symptômes du critère A sont accompagnés par une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, pédagogique, scolaire, comportemental ou dans d’autres domaines importants. - D. Les symptômes du critère A ne sont pas imputables : - à un autre trouble mental ou - à une affection médicale (p. ex., arthrite, œdème des membres inférieurs, ischémie périphérique, crampes des jambes) et - ne peuvent pas être mieux expliqués par une condition comportementale (p. ex., inconfort lié à la position, tapotement habituel du pied). - E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance donnant lieu à un abus ou d’un médicament (p. ex., akathisie).
641
Critères dx du synd des jambes sans repos: Décrire le besoin de bouger ses jambes - provoqué par quoi?
- A. Un besoin pressant de bouger les jambes, en général accompagné par ou en réponse à des sensations pénibles et désagréables dans les jambes, caractérisé par l’ensemble des éléments suivants : - 1.**Le besoin de bouger les jambes commence ou s’aggrave pendant les périodes de repos ou d’inactivité**. - 2.Le besoin de bouger les jambes est partiellement ou totalement soulagé par le mouvement. - 3.Le besoin de bouger les jambes est pire dans la soirée ou la nuit que pendant la journée, ou ne survient que dans la soirée ou la nuit. - B. Les symptômes du critère A surviennent au moins trois fois par semaine et persistent au moins 3 mois. - C. Les symptômes du critère A sont accompagnés par une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, pédagogique, scolaire, comportemental ou dans d’autres domaines importants. - D. Les symptômes du critère A ne sont pas imputables : - à un autre trouble mental ou - à une affection médicale (p. ex., arthrite, œdème des membres inférieurs, ischémie périphérique, crampes des jambes) et - ne peuvent pas être mieux expliqués par une condition comportementale (p. ex., inconfort lié à la position, tapotement habituel du pied). - E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance donnant lieu à un abus ou d’un médicament (p. ex., akathisie).
642
Critères dx du synd des jambes sans repos: Décrire le besoin de bouger ses jambes - symptôme accompagnateur
- A. Un besoin pressant de bouger les jambes, en général **accompagné par ou en réponse à des sensations pénibles et désagréables dans les jambes**, caractérisé par l’ensemble des éléments suivants : - 1.Le besoin de bouger les jambes commence ou s’aggrave pendant les périodes de repos ou d’inactivité. - 2.Le besoin de bouger les jambes est partiellement ou totalement soulagé par le mouvement. - 3.Le besoin de bouger les jambes est pire dans la soirée ou la nuit que pendant la journée, ou ne survient que dans la soirée ou la nuit. - B. Les symptômes du critère A surviennent au moins trois fois par semaine et persistent au moins 3 mois. - C. Les symptômes du critère A sont accompagnés par une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, pédagogique, scolaire, comportemental ou dans d’autres domaines importants. - D. Les symptômes du critère A ne sont pas imputables : - à un autre trouble mental ou - à une affection médicale (p. ex., arthrite, œdème des membres inférieurs, ischémie périphérique, crampes des jambes) et - ne peuvent pas être mieux expliqués par une condition comportementale (p. ex., inconfort lié à la position, tapotement habituel du pied). - E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance donnant lieu à un abus ou d’un médicament (p. ex., akathisie).
643
Critères dx du synd des jambes sans repos: Décrire le besoin de bouger ses jambes - pallié par quoi?
- A. Un besoin pressant de bouger les jambes, en général accompagné par ou en réponse à des sensations pénibles et désagréables dans les jambes, caractérisé par l’ensemble des éléments suivants : - 1.Le besoin de bouger les jambes commence ou s’aggrave pendant les périodes de repos ou d’inactivité. - 2.**Le besoin de bouger les jambes est partiellement ou totalement soulagé par le mouvement**. - 3.Le besoin de bouger les jambes est pire dans la soirée ou la nuit que pendant la journée, ou ne survient que dans la soirée ou la nuit. - B. Les symptômes du critère A surviennent au moins trois fois par semaine et persistent au moins 3 mois. - C. Les symptômes du critère A sont accompagnés par une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, pédagogique, scolaire, comportemental ou dans d’autres domaines importants. - D. Les symptômes du critère A ne sont pas imputables : - à un autre trouble mental ou - à une affection médicale (p. ex., arthrite, œdème des membres inférieurs, ischémie périphérique, crampes des jambes) et - ne peuvent pas être mieux expliqués par une condition comportementale (p. ex., inconfort lié à la position, tapotement habituel du pied). - E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance donnant lieu à un abus ou d’un médicament (p. ex., akathisie).
644
Critères dx du synd des jambes sans repos: Décrire le besoin de bouger ses jambes - survient à quel moment?
- A. Un besoin pressant de bouger les jambes, en général accompagné par ou en réponse à des sensations pénibles et désagréables dans les jambes, caractérisé par l’ensemble des éléments suivants : - 1.Le besoin de bouger les jambes commence ou s’aggrave pendant les périodes de repos ou d’inactivité. - 2.Le besoin de bouger les jambes est partiellement ou totalement soulagé par le mouvement. - 3.**Le besoin de bouger les jambes est pire dans la soirée ou la nuit que pendant la journée, ou ne survient que dans la soirée ou la nuit.** - B. Les symptômes du critère A surviennent au moins trois fois par semaine et persistent au moins 3 mois. - C. Les symptômes du critère A sont accompagnés par une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, pédagogique, scolaire, comportemental ou dans d’autres domaines importants. - D. Les symptômes du critère A ne sont pas imputables : - à un autre trouble mental ou - à une affection médicale (p. ex., arthrite, œdème des membres inférieurs, ischémie périphérique, crampes des jambes) et - ne peuvent pas être mieux expliqués par une condition comportementale (p. ex., inconfort lié à la position, tapotement habituel du pied). - E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance donnant lieu à un abus ou d’un médicament (p. ex., akathisie).
645
Critères dx du synd des jambes sans repos: Durée / fréquence
- A. Un besoin pressant de bouger les jambes, en général accompagné par ou en réponse à des sensations pénibles et désagréables dans les jambes, caractérisé par l’ensemble des éléments suivants : - 1.Le besoin de bouger les jambes commence ou s’aggrave pendant les périodes de repos ou d’inactivité. - 2.Le besoin de bouger les jambes est partiellement ou totalement soulagé par le mouvement. - 3.Le besoin de bouger les jambes est pire dans la soirée ou la nuit que pendant la journée, ou ne survient que dans la soirée ou la nuit. - B. **Les symptômes du critère A surviennent au moins trois fois par semaine et persistent au moins 3 mois**. - C. Les symptômes du critère A sont accompagnés par une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, pédagogique, scolaire, comportemental ou dans d’autres domaines importants. - D. Les symptômes du critère A ne sont pas imputables : - à un autre trouble mental ou - à une affection médicale (p. ex., arthrite, œdème des membres inférieurs, ischémie périphérique, crampes des jambes) et - ne peuvent pas être mieux expliqués par une condition comportementale (p. ex., inconfort lié à la position, tapotement habituel du pied). - E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance donnant lieu à un abus ou d’un médicament (p. ex., akathisie).
646
Critères dx du synd des jambes sans repos: Fréquence
- A. Un besoin pressant de bouger les jambes, en général accompagné par ou en réponse à des sensations pénibles et désagréables dans les jambes, caractérisé par l’ensemble des éléments suivants : - 1.Le besoin de bouger les jambes commence ou s’aggrave pendant les périodes de repos ou d’inactivité. - 2.Le besoin de bouger les jambes est partiellement ou totalement soulagé par le mouvement. - 3.Le besoin de bouger les jambes est pire dans la soirée ou la nuit que pendant la journée, ou ne survient que dans la soirée ou la nuit. - B. Les symptômes du critère A surviennent **au moins trois fois par semaine** et persistent au moins 3 mois. - C. Les symptômes du critère A sont accompagnés par une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, pédagogique, scolaire, comportemental ou dans d’autres domaines importants. - D. Les symptômes du critère A ne sont pas imputables : - à un autre trouble mental ou - à une affection médicale (p. ex., arthrite, œdème des membres inférieurs, ischémie périphérique, crampes des jambes) et - ne peuvent pas être mieux expliqués par une condition comportementale (p. ex., inconfort lié à la position, tapotement habituel du pied). - E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance donnant lieu à un abus ou d’un médicament (p. ex., akathisie).
647
Critères dx du synd des jambes sans repos: Durée
- A. Un besoin pressant de bouger les jambes, en général accompagné par ou en réponse à des sensations pénibles et désagréables dans les jambes, caractérisé par l’ensemble des éléments suivants : - 1.Le besoin de bouger les jambes commence ou s’aggrave pendant les périodes de repos ou d’inactivité. - 2.Le besoin de bouger les jambes est partiellement ou totalement soulagé par le mouvement. - 3.Le besoin de bouger les jambes est pire dans la soirée ou la nuit que pendant la journée, ou ne survient que dans la soirée ou la nuit. - B. Les symptômes du critère A surviennent au moins trois fois par semaine et **persistent au moins 3 mois.** - C. Les symptômes du critère A sont accompagnés par une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, pédagogique, scolaire, comportemental ou dans d’autres domaines importants. - D. Les symptômes du critère A ne sont pas imputables : - à un autre trouble mental ou - à une affection médicale (p. ex., arthrite, œdème des membres inférieurs, ischémie périphérique, crampes des jambes) et - ne peuvent pas être mieux expliqués par une condition comportementale (p. ex., inconfort lié à la position, tapotement habituel du pied). - E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance donnant lieu à un abus ou d’un médicament (p. ex., akathisie).
648
Critères dx du synd des jambes sans repos: Impacts
- A. Un besoin pressant de bouger les jambes, en général accompagné par ou en réponse à des sensations pénibles et désagréables dans les jambes, caractérisé par l’ensemble des éléments suivants : - 1.Le besoin de bouger les jambes commence ou s’aggrave pendant les périodes de repos ou d’inactivité. - 2.Le besoin de bouger les jambes est partiellement ou totalement soulagé par le mouvement. - 3.Le besoin de bouger les jambes est pire dans la soirée ou la nuit que pendant la journée, ou ne survient que dans la soirée ou la nuit. - B. Les symptômes du critère A surviennent au moins trois fois par semaine et persistent au moins 3 mois. - C. **Les symptômes du critère A sont accompagnés par une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, pédagogique, scolaire, comportemental ou dans d’autres domaines importants**. - D. Les symptômes du critère A ne sont pas imputables : - à un autre trouble mental ou - à une affection médicale (p. ex., arthrite, œdème des membres inférieurs, ischémie périphérique, crampes des jambes) et - ne peuvent pas être mieux expliqués par une condition comportementale (p. ex., inconfort lié à la position, tapotement habituel du pied). - E. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance donnant lieu à un abus ou d’un médicament (p. ex., akathisie).
649
Critères dx du synd des jambes sans repos: Exclure quoi?
- A. Un besoin pressant de bouger les jambes, en général accompagné par ou en réponse à des sensations pénibles et désagréables dans les jambes, caractérisé par l’ensemble des éléments suivants : - 1.Le besoin de bouger les jambes commence ou s’aggrave pendant les périodes de repos ou d’inactivité. - 2.Le besoin de bouger les jambes est partiellement ou totalement soulagé par le mouvement. - 3.Le besoin de bouger les jambes est pire dans la soirée ou la nuit que pendant la journée, ou ne survient que dans la soirée ou la nuit. - B. Les symptômes du critère A surviennent au moins trois fois par semaine et persistent au moins 3 mois. - C. Les symptômes du critère A sont accompagnés par une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, pédagogique, scolaire, comportemental ou dans d’autres domaines importants. - D. **Les symptômes du critère A ne sont pas imputables** : - **à un autre trouble mental ou** - **à une affection médicale (p. ex., arthrite, œdème des membres inférieurs, ischémie périphérique, crampes des jambes) et** - **ne peuvent pas être mieux expliqués par une condition comportementale (p. ex., inconfort lié à la position, tapotement habituel du pied).** - E. **Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance donnant lieu à un abus ou d’un médicament (p. ex., akathisie)**.
650
Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien
- A. Fractionnement persistant ou récurrent du sommeil qui s’explique principalement par une perturbation du système circadien ou par un décalage entre le rythme circadien endogène et l’horaire veille-sommeil approprié à l’environnement physique d’un individu, ou à ses activités sociales ou professionnelles. - B. La perturbation du sommeil entraîne de la somnolence excessive et/ou de l’insomnie. - C. La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
651
Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Décrire
- A. **Fractionnement persistant ou récurrent du sommeil qui s’explique principalement par une perturbation du système circadien ou par un décalage entre le rythme circadien endogène et l’horaire veille-sommeil approprié à l’environnement physique d’un individu, ou à ses activités sociales ou professionnelles**. - B. La perturbation du sommeil entraîne de la somnolence excessive et/ou de l’insomnie. - C. La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
652
Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: C'est quoi?
- A. **Fractionnement persistant ou récurrent du sommeil qui s’explique principalement par une perturbation du système circadien ou par un décalage entre le rythme circadien endogène et l’horaire veille-sommeil approprié à l’environnement physique d’un individu, ou à ses activités sociales ou professionnelles**. - B. La perturbation du sommeil entraîne de la somnolence excessive et/ou de l’insomnie. - C. La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
653
Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Impact sur sommeil / éveil
- A. Fractionnement persistant ou récurrent du sommeil qui s’explique principalement par une perturbation du système circadien ou par un décalage entre le rythme circadien endogène et l’horaire veille-sommeil approprié à l’environnement physique d’un individu, ou à ses activités sociales ou professionnelles. - B. **La perturbation du sommeil entraîne de la somnolence excessive et/ou de l’insomnie.** - C. La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
654
Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Impacts
- A. Fractionnement persistant ou récurrent du sommeil qui s’explique principalement par une perturbation du système circadien ou par un décalage entre le rythme circadien endogène et l’horaire veille-sommeil approprié à l’environnement physique d’un individu, ou à ses activités sociales ou professionnelles. - B. La perturbation du sommeil entraîne de la somnolence excessive et/ou de l’insomnie. - C. **La perturbation du sommeil est à l’origine d’une détresse marquée ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.**
655
Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications
- Spécifier le type : - 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel. - Familial :Antécédents familiaux de retard de phase. - Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures. 307.45 - 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel. - Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase. - 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil. - 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil. - 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels). - 6.Type non spécifié - Spécifier le type : - Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois. - Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus. - Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
656
Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications - nommez les types
- Spécifier le type : - 1.**Type avec retard de phase** :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel. - Familial :Antécédents familiaux de retard de phase. - Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures. 307.45 - 2.**Type avec avance de phase** :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel. - Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase. - 3.**Type rythme veille-sommeil irrégulier** :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil. - 4.**Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures** : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil. - 5.**Type travail posté** :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels). - 6.**Type non spécifié** - Spécifier le type : - Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois. - Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus. - Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
657
Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications - Type avec retard de phase
- Spécifier le type : - 1.**Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel**. - **Familial :Antécédents familiaux de retard de phase.** - **Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures**. - 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel. - Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase. - 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil. - 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil. - 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels). - 6.Type non spécifié - Spécifier le type : - Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois. - Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus. - Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
658
Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications - Type avec retard de phase: types de causes
- Spécifier le type : - 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel. - **Familial** :Antécédents familiaux de retard de phase. - **Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures** : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures. 307.45 - 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel. - Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase. - 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil. - 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil. - 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels). - 6.Type non spécifié - Spécifier le type : - Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois. - Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus. - Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
659
Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications - Type avec retard de phase: définir / décrire
- Spécifier le type : - 1.**Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel**. - Familial :Antécédents familiaux de retard de phase. - Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures. - 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel. - Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase. - 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil. - 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil. - 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels). - 6.Type non spécifié - Spécifier le type : - Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois. - Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus. - Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
660
Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications - Type avec retard de phase: Familial
- Spécifier le type : - 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel. - **Familial :Antécédents familiaux de retard de phase**. - Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures. - 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel. - Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase. - 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil. - 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil. - 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels). - 6.Type non spécifié - Spécifier le type : - Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois. - Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus. - Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
661
Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications - Type avec retard de phase: Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures
- Spécifier le type : - 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel. - Familial :Antécédents familiaux de retard de phase. - **Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures**. - 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel. - Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase. - 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil. - 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil. - 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels). - 6.Type non spécifié - Spécifier le type : - Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois. - Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus. - Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
662
Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications - Type avec avance de phase
- Spécifier le type : - 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel. - Familial :Antécédents familiaux de retard de phase. - Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures. - 2.**Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel**. - **Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase**. - 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil. - 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil. - 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels). - 6.Type non spécifié - Spécifier le type : - Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois. - Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus. - Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
663
Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications - Type avec avance de phase: décrire
- Spécifier le type : - 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel. - Familial :Antécédents familiaux de retard de phase. - Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures. - 2.**Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel**. - Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase. - 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil. - 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil. - 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels). - 6.Type non spécifié - Spécifier le type : - Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois. - Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus. - Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
664
Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications - Type avec avance de phase: types de causes
- Spécifier le type : - 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel. - Familial :Antécédents familiaux de retard de phase. - Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures. - 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel. - **Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase**. - 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil. - 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil. - 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels). - 6.Type non spécifié - Spécifier le type : - Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois. - Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus. - Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
665
Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications - Type avec avance de phase: Type familial
- Spécifier le type : - 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel. - Familial :Antécédents familiaux de retard de phase. - Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures. - 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel. - **Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase**. - 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil. - 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil. - 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels). - 6.Type non spécifié - Spécifier le type : - Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois. - Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus. - Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
666
Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications - Type rythme veille-sommeil irrégulier
- Spécifier le type : - 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel. - Familial :Antécédents familiaux de retard de phase. - Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures. - 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel. - Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase. - 3.**Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil**. - 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil. - 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels). - 6.Type non spécifié - Spécifier le type : - Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois. - Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus. - Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
667
Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications - Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures
- Spécifier le type : - 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel. - Familial :Antécédents familiaux de retard de phase. - Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures. - 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel. - Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase. - 3.**Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil**. - 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil. - 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels). - 6.Type non spécifié - Spécifier le type : - Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois. - Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus. - Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
668
Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications - Type travail posté
- Spécifier le type : - 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel. - Familial :Antécédents familiaux de retard de phase. - Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures. - 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel. - Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase. - 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil. - 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil. - 5.**Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels).** - 6.Type non spécifié - Spécifier le type : - Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois. - Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus. - Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
669
Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications - Type non spécifié
- Spécifier le type : - 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel. - Familial :Antécédents familiaux de retard de phase. - Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures. - 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel. - Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase. - 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil. - 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil. - 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels). - 6.**Type non spécifié** - Spécifier le type : - Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois. - Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus. - Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an.
670
Critères dx tr de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien: Spécifications - durée / fréquence épisodes
- Spécifier le type : - 1.Type avec retard de phase :Endormissements et réveils tardifs persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus précocement selon un horaire plus conventionnel. - Familial :Antécédents familiaux de retard de phase. - Superposé à une alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Le type retard de phase peut se superposer à un autre trouble de l’alternance veille-sommeil lié au rythme circadien, l’alternance veille-sommeil différente de 24 heures. - 2.Type avec avance de phase :Endormissements et réveils précoces persistants avec incapacité de s’endormir ou de s’éveiller plus tardivement selon un horaire plus conventionnel. - Familial :Antécédents familiaux d’avance de phase. - 3.Type rythme veille-sommeil irrégulier :Désorganisation temporelle des rythmes veille-sommeil caractérisée par une variabilité quotidienne des périodes de veille et de sommeil. - 4.Type alternance veille-sommeil différente de 24 heures : Absence de synchronisation entre les cycles veille-sommeil et les variations environnementales reposant sur un cycle de 24 heures, avec une dérive constante (en général un retard croissant) de l’heure du coucher et du réveil. - 5.Type travail posté :Insomnie pendant la principale période de sommeil et/ou somnolence excessive (y compris l’endormissement involontaire) durant la principale période de veille en rapport avec un travail posté (c.-à-d. nécessitant des horaires de travail non conventionnels). - 6.Type non spécifié - **Spécifier le type** : - **Épisodique : Symptômes sont présents depuis au moins 1 mois mais moins de 3 mois**. - **Persistant : Symptômes présents depuis 3 mois ou plus**. - **Récurrent : Au moins deux épisodes sur une période d’un an**.
671
Hygiène du sommeil: Éléments
- Activité physique - Activité intellectuelle - Nutrition - À éviter - Organisation du temps de sommeil - Heure du coucher - Heure du lever - Éveil dans la nuit - Sieste - Environnement - Travail
672
Hygiène du sommeil: Utilité
Chercher et corriger, si possible, dans l'environnement et le comportement de l'individu ce qui pourrait altérer le rythme veille-sommeil.
673
Hygiène du sommeil: Activité physique
Au matin peu de rôle sur le sommeil, en après-midi favorise le sommeil, en soirée altère le sommeil donc préférence d'activités de détente en soirée.
674
Hygiène du sommeil: Activité intellectuelle
* Attention à l'hyperactivité intellectuelle en fin de soirée (par exemple lecture prolongée au lit) ou au retour introspectif sur la journée ou sur 1'agenda du lendemain lors du coucher. * L'utilisation de technique de relaxation.
675
Hygiène du sommeil: Nutrition
* Repas du soir léger. * En cas d'éveil nocturne: manger peu pourrait avoir un effet anxiolytique comme utiliser un lait chaud.
676
Hygiène du sommeil: Quoi éviter?
* Cigarettes, thé, café, chocolat, tisane à saveur de menthe et l'alcool. * Cette dernière substance favorise certes l'endormissement, mais procure un sommeil de mauvaise qualité (fractionné, léger et instable).
677
Hygiène du sommeil: Organisation du temps de sommeil
* La fin de journée doit préparer au sommeil en évitant toute stimulation excessive.
678
Hygiène du sommeil: Heure du coucher et lever
* Heure du coucher: Varie selon le besoin et le désir de s'endormir. N'a pas à être fixe. * Heure du lever: Régulière. Ne pas tenter de rattraper le sommeil perdu... cercle vicieux de l'insomnie.
679
Hygiène du sommeil: Heure du coucher
* **Heure du coucher: Varie selon le besoin et le désir de s'endormir. N'a pas à être fixe**. * Heure du lever: Régulière. Ne pas tenter de rattraper le sommeil perdu... cercle vicieux de l'insomnie.
680
Hygiène du sommeil: Heure du lever
* Heure du coucher: Varie selon le besoin et le désir de s'endormir. N'a pas à être fixe. * **Heure du lever: Régulière. Ne pas tenter de rattraper le sommeil perdu... cercle vicieux de l'insomnie**.
681
Hygiène du sommeil: Éveil dans la nuit
- Tenter de se rendormir, après 10 ou 15 minutes, se lever et faire une activité neutre.
682
Hygiène du sommeil: Sieste
* Peut être utile si tôt en journée, nuit au sommeil nocturne si plus tard en après-midi.
683
Hygiène du sommeil: Sieste - quand la faire?
* Peut être utile si tôt en journée, nuit au sommeil nocturne si plus tard en après-midi.
684
Hygiène du sommeil: Environnement
À vérifier: Bruit, température ambiante et qualité du lit.
685
Hygiène du sommeil: Travail
À éviter : Horaire variable, travail de soirée et de nuit.
686
Traitement non pharmaco: Nommez-les
1. Thérapie de contrôle des stimuli 2. Thérapie de restriction de sommeil 3. Thérapie cognitive 4. Traitement de relaxation
687
Traitement non pharmaco: Thérapie de contrôle des stimuli
* Veiller à éviter que l'environnement n'influe négativement sur le sommeil et à favoriser un rythme veille - sommeil stable. * Le lit et la chambre à coucher sont réservés au sommeil et aux activités sexuelles; on se couche seulement si on est somnolent; on quitte sa chambre après 15 ou 20 minutes si le sommeil tarde puis on y retourne seulement si on est somnolent; on se lève à la même heure chaque matin, peu importe la durée du sommeil; on ne fait pas de sieste.
688
Traitement non pharmaco: Thérapie de contrôle des stimuli - c'est quoi?
* **Veiller à éviter que l'environnement n'influe négativement sur le sommeil et à favoriser un rythme veille - sommeil stable**. * Le lit et la chambre à coucher sont réservés au sommeil et aux activités sexuelles; on se couche seulement si on est somnolent; on quitte sa chambre après 15 ou 20 minutes si le sommeil tarde puis on y retourne seulement si on est somnolent; on se lève à la même heure chaque matin, peu importe la durée du sommeil; on ne fait pas de sieste.
689
Traitement non pharmaco: Thérapie de contrôle des stimuli - chambre à coucher est réservée à quoi?
* Veiller à éviter que l'environnement n'influe négativement sur le sommeil et à favoriser un rythme veille - sommeil stable. * **Le lit et la chambre à coucher sont réservés au sommeil et aux activités sexuelles; on se couche seulement si on est somnolent; on quitte sa chambre après 15 ou 20 minutes si le sommeil tarde puis on y retourne seulement si on est somnolent; on se lève à la même heure chaque matin, peu importe la durée du sommeil; on ne fait pas de sieste**.
690
Traitement non pharmaco: Thérapie de restriction de sommeil
* Vise à restreindre le temps passé au lit au temps de sommeil estimé pour empêcher la fragmentation du sommeil et en augmenter l'efficacité. * La privation de sommeil qui en résulte, favorise un endormissement plus rapide et contribue à l'augmentation de l'efficacité du sommeil. * Ainsi, un sujet qui mentionne dormir seulement quatre heures alors qu'il en passe neuf au lit, devra rester seulement quatre heures au lit; au fur et à mesure que se consolide son sommeil, le temps passé au lit est accru d'une quinzaine de minutes par semaine.
691
Traitement non pharmaco: Thérapie de restriction de sommeil - Objectif
* **Vise à restreindre le temps passé au lit au temps de sommeil estimé pour empêcher la fragmentation du sommeil et en augmenter l'efficacité**. * La privation de sommeil qui en résulte, favorise un endormissement plus rapide et contribue à l'augmentation de l'efficacité du sommeil. * Ainsi, un sujet qui mentionne dormir seulement quatre heures alors qu'il en passe neuf au lit, devra rester seulement quatre heures au lit; au fur et à mesure que se consolide son sommeil, le temps passé au lit est accru d'une quinzaine de minutes par semaine.
692
Traitement non pharmaco: Thérapie de restriction de sommeil - fonctionnement
* Vise à restreindre le temps passé au lit au temps de sommeil estimé pour empêcher la fragmentation du sommeil et en augmenter l'efficacité. * La privation de sommeil qui en résulte, favorise un endormissement plus rapide et contribue à l'augmentation de l'efficacité du sommeil. * Ainsi, un sujet qui mentionne dormir seulement quatre heures alors qu'il en passe neuf au lit, devra rester seulement quatre heures au lit; au fur et à mesure que se consolide son sommeil, le temps passé au lit est accru d'une quinzaine de minutes par semaine.
693
Traitement non pharmaco: Thérapie cognitive
* Cible les attentes réalistes ainsi que les conceptions erronées concernant les causes et les conséquences de l'insomnie. * La crainte de souffrir des conséquences de l'insomnie est un souci majeur. * Or, bien que l’insomnie puisse occasionner fatigue et irritabilité, particulièrement chez les sujets soucieux, les mesures objectives de performance et de somnolence indiquent peu de déficits. * La thérapie cognitive permet ainsi de modifier les attentes irréalistes, d'imputer à d'autres causes les conséquences présumées de l'insomnie et de favoriser un sentiment de contrôle sur son sommeil.
694
Traitement non pharmaco: Thérapie cognitive - sert à quoi?
* **Cible les attentes réalistes ainsi que les conceptions erronées concernant les causes et les conséquences de l'insomnie**. * **La crainte de souffrir des conséquences de l'insomnie est un souci majeur**. * Or, bien que l’insomnie puisse occasionner fatigue et irritabilité, particulièrement chez les sujets soucieux, les mesures objectives de performance et de somnolence indiquent peu de déficits. * La thérapie cognitive permet ainsi de modifier les attentes irréalistes, d'imputer à d'autres causes les conséquences présumées de l'insomnie et de favoriser un sentiment de contrôle sur son sommeil.
695
Traitement non pharmaco: Thérapie cognitive - fonctionnement
* Cible les attentes réalistes ainsi que les conceptions erronées concernant les causes et les conséquences de l'insomnie. * La crainte de souffrir des conséquences de l'insomnie est un souci majeur. * Or, bien que l’insomnie puisse occasionner fatigue et irritabilité, particulièrement chez les sujets soucieux, les mesures objectives de performance et de somnolence indiquent peu de déficits. * La thérapie cognitive permet ainsi de modifier les attentes irréalistes, d'imputer à d'autres causes les conséquences présumées de l'insomnie et de favoriser un sentiment de contrôle sur son sommeil.
696
Traitement non pharmaco: Thérapie cognitive - impacts
* Cible les attentes réalistes ainsi que les conceptions erronées concernant les causes et les conséquences de l'insomnie. * La crainte de souffrir des conséquences de l'insomnie est un souci majeur. * Or, bien que l’insomnie puisse occasionner fatigue et irritabilité, particulièrement chez les sujets soucieux, les mesures objectives de performance et de somnolence indiquent peu de déficits. * **La thérapie cognitive permet ainsi de modifier les attentes irréalistes, d'imputer à d'autres causes les conséquences présumées de l'insomnie et de favoriser un sentiment de contrôle sur son sommeil**.
697
Traitement non pharmaco: Traitement de relaxation
- Sous forme de relaxation progressive, de training autogène ou de rétroaction biologique, permet de réduire l'éveil et les tensions somatiques; ils améliorent la qualité du sommeil en quatre à six semaines et leur efficacité est plus durable que celle des somnifères.
698
Traitement non pharmaco: Traitement de relaxation - c'est quoi?
- **Sous forme de relaxation progressive, de training autogène ou de rétroaction biologique, permet de réduire l'éveil et les tensions somatiques**; ils améliorent la qualité du sommeil en quatre à six semaines et leur efficacité est plus durable que celle des somnifères.
699
Traitement non pharmaco: Traitement de relaxation - impacts
- Sous forme de relaxation progressive, de training autogène ou de rétroaction biologique, permet de réduire l'éveil et les tensions somatiques; **ils améliorent la qualité du sommeil en quatre à six semaines et leur efficacité est plus durable que celle des somnifères.**
700
Évaluation et traitements des tr du sommeil
701
Identifier, en se référant aux critères utilisés dans le DSM 5, les manifestations cliniques en relation avec l’intoxication et le sevrage liés aux substances suivantes (Lalonde 874 à 908) :
Identifier, en se référant aux critères utilisés dans le DSM 5, les manifestations cliniques en relation avec l’intoxication et le sevrage liés aux substances suivantes (Lalonde 874 à 908) : - 143.Amphétamines - 144.Cannabis - 145.Cocaïne - 146.Anxiolytiques, hypnotiques, sédatifs - 147.Phencyclidine (PCP) - 148.Nicotine - 149.Inhalants et hallucinatoires - 150.Caféine - 151.Procéder à l'application de la démarche clinique dans un cas d’abus de substances présenté sur vignette