Troisième et quatrième temps de la cure de revitalisation Flashcards
Troisième temps : apport de compléments nutritionnels
Objectif : combler les carences liées au stress professionnel, climatique et familial et palier la pauvreté de notre alimentation
→ Solution individualisée selon bilan
→ Utilisation tantôt des complexes polyvalents tels qu’eau de mer, pollen frais, algues, huiles végétales rares, jus de légumes ou de plantes, tantôt des compléments plus spécifiques présentés sous forme orthomoléculaire ou non.
Troisième temps : types de compléments
- Alicaments: (Aliments remèdes) graines germées, algues, HVPPF, vin rouge jus de légumes, de plantes. Citron.
- Compléments alimentaires polyvalents à large spectre : pollen frais (Pollenergie), eau de mer, sérum de Quinton. Argousier.
- Compléments spécifiques normo-dosés : naturel ou de synthèse, notion d’AJR : apport journalier recommandé. Acérola.
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Compléments macro-dosés = orthomoléculaire : naturel ou de synthèse, compléments US très concentrés, action pharmaco-dynamique. Percutant , agressif : Acide
ascorbique.
Quatrième temps : suppression des dévitalisants
En tant que praticien : expliquer le plus clairement possible au consultant les dangers des dévitalisants afin de le responsabiliser et l’inviter à envisager les différents sevrages par étapes et avec bon sens pour éviter les phénomènes de frustration ou de compensation.
Facteurs dans la dévitalisation progressive des individus : intrinsèques ou extrinsèques, ils font barrage au flot de la vie. Leurs conséquences associent des tableaux cliniques immunodéprimés et hyper-perméables au stress, sur un fond d’asthénie ou de déprime chronique.
Une cure de revitalisation bien construite par le praticien, doit donc tenir compte, dès l’anamnèse, de ces différents paramètres et proposer les outils nécessaires aux différentes corrections.
Liste des dévitalisants
Daniel Kieffer a recensé dix-huit facteurs de dévitalisation :
1. Fatigues digestives chroniques
2. Alimentation dévitalisée
3. Sources intoxinantes (fermentations et putrescences digestives, taux d’urée d’acide urique, triglycérides etc accru) et **intoxicantes diverses ** (café, alcool, sucres, coca, viandes, graisses saturées, métaux lourds, médicaments, pollutions chimiques).
4. Surmenage musculaire conscient (excès de travail physique, sport, compétition)
5. Surmenage musculaire inconscient (tensions, micro-contractures liées aux situations de stress mal gérées)
6. Surmenage sexuel (chez l’homme en particulier, peut entraîner pertes de zin, sélénium et vitamine Eà
7. Perturbations de l’écosystème intestinal (dysmicrobismes affectant flore intestinale, parasites, mycoses liées aux erreurs alimentaires, diarrhées ou viroses digestives + médicaments et stress)
8. Sédentarité
9. Sous stimulation professionnelle
10. Carences solaires
11. Sources de stress oxydatif (UV, infections ou inflammations chroniques, métaux lourds, radioactivité, ozone, certains médicaments, allcol, tabac…)
12. Barrages énergétiques (cicatrices, amalgames dentaires mercuriels, vaccins abusifs, foyers infectieux chroniques banalisés ou ignorés, blocages osthéo…)
13. Fuites énergétiques
14. Facteurs géobiologiques (lignes à haute tension, proximité avec générateur éléctrique ou de centrale nucléaire, utilisation répétée des ordinateurs ou écrans cathodiques, téléphone portable…)
15. Surmenage mental
16. Isolement psychoaffectif (perte de convivialité, expériences de rejet, d’abandon ou d’exclusion.
17. Rupture avec le mileu naturel
18. Perte de l’idéal
Faire choisir aux personnes deux ou trois items sur lesquels concentrer leur engagement. Car sinon, on a envie de tout régler, et on ne fait rien ! Il importe donc de prioriser.
