Transformations Economiques et financières Flashcards
La loi de Baumol “ loi de fatalité des couts” 1967
L’économie est composée de deux secteurs, l’un progressif ou l’introduction de technologie permet des gains de productivité et l’autre non progressif dans lequel le travail présenté une productivité stationnaire. selon la loi de Baumol le secteur non progressif absorbe progressivement l’essentiel de la main d’œuvre si les salaire progresse au même rythme dans les deux secteurs. Il s’en suit un ralentissement des gains de productivité puisque le secteur non progressif devient dominant, ce qui a terme, conduit à un ralentissement de la croissance économique
Tertiarisation ne signifie pas moins de gains de productivité (a partir des années 70 et l’essor des NTIC
La productivité connaît un nouvel essor avec l’avènement des TIC notamment dans l’économie américaine qui est de plus en plus tournée vers les services. De plus, le secteur des services connait d’importante transformation et devient de ce fait très hétérogène avec au côté des anciennes activités (santé, éducation, etc) l’essor de service marchand auprès des firmes. Ce phénomène s’explique par les pratique d’externalisation qui sont de plus en plus utilisée par les firmes, et paradoxalement la progression de secteur tertiaire masque paradoxalement un phénomène d’industrialisation des services: certaines entreprises spécialisées dans une production. De services adoptent une structure de développement proche des firmes industrielles en matière d’organisation du travail ce qui leur permet de réaliser des économies d’échelles.
En dernier lieu, la progression du tertiaire est indépendamment des gains de productivité immédiat qu’elle suscite, un déterminant important de la croissance économique. C’est ainsi le cas de la recherche et développement, de la formation et de l’éducation qui sont fondamentaux pour développer la technologie le capital humain et les innovation futur.
Le déversement sectoriel:
A. Sauve dans la machine et le chômage 81 insiste sur les facteurs d’offre qui sont à l’œuvre dans l’évolution sectoriel. Il montre que l’emploi se sévère d’un secteur à l’autre vers celui qui connaît les plus faibles gains de productivité.
Désindustrialisation: une perte de compétitivité ?
D’une point de vue macroéconomique, la désindustrialisation se caractérise par une baisse de la part de l’industrie dans le Pib. Ce phénomène touche particulièrement mais inégalement les pays d’Europe d’Amérique du nord depuis les année 1970. Il peut se traduire par des phénomène de rose économique et de chômage massif mais également transformée l’économie du pays concernée en une économie post-industrielle, Cest a dire de services.
Depuis quelques années en Europe et natal ment en France, un vif débat se développe autour de la question de la désindustrialisation des pays de l’union européenne et de leur perte de compétitivité à la fois vis à vis des etat unis et des pays émergents.
Cependant il n’est pas recevable de rechercher les causes de ce phénomène uniquement dans l’évolution sectorielle du système productif
La désindustrialisation une perte de compétitivité ?
Les difficultés actuelles de l’économie française doivent donc être appréhendées comme une combinaison de facteurs conduisant à une dégradation de la compétitivité. En premier lieu, ce sont bien les activités industrielles associées aux activité de service de pointe qui sont les principaux foyers de recherche et développement, d’innovation de gains de productivité (en France 85% des dépenses en RD des entreprises sont réalisés dans l’industrie en 2001). Il apparaît toute fois que la perte de la compétitivité de l’offre de l’économie française via une insuffisance des innovations et des gains de productivité découle du fait qu’en France ce sont essentiellement les grandes entreprises qui concentrent l’essentiel des activité de RD. Or leur stratégies d’implantation territoriale dans la mondialisation ne permettent pas de dynamiser l’activité des petites et moyennes entreprises située en France.
Dans un rapport récent r. Aghion, G. cette publie en 2011, montrent que les ressorts de la compétitivité françaises doivent notamment être recherche du côté de l’intensification du nombre d’entreprises intermédiaires. L’objectif, est selon les auteurs de refonder une politique industrielle de sorte que les capacités d’innovation des PME pussent s’améliore et que ces entreprises de taille intermédiaire puissent orienter davantage leur a to te vers le marché extérieur. Des travaux récents montre qu’il existe une forte corrélation entre la moclosation du marché d’une entreprise et sa capacité à innover: 66% des entreprise dont le marché est situé à l’étranger sont innovantes contre seulement 37% de celle dont le marché best situe que dans l’hexagone.
Désindustrialisation et compétitivité: quel lien ?
La France est désormais le pays de la zone euro dont “la part de la valeur ajoutée de l’industrie manufacturière dans le PIB est la plus faible” . La désindustrialisation constitue une menace pour la croissance future, alerte Coe-rexecode. Environ 85% de l’effort de recherche privée est réalisée Dans l’industrie. “Plus la base industrielle se réduit, moins le pays dispose d’atout pour soutenir la croissance, la recherche appliquée” note l’étude. Dès lors perte de compétitivité et désindustrialisation s’entraînent mutuellement.
De 1945 à nos jours les systèmes financiers entre règlementation et globalisation
Les trente glorieuses: des systèmes financiers sous contrôle
–> intervention de l’état (intensité différentes selon les pays) mais leçon tirée de la crise de 29.
Traite de breton Woods signe en 44, organise la stabilité des changes et permet aux Etats de mieux contrôler le mouvement des capitaux.
Ente la fin des années 1960 et le début des années 70, la France s’engage dans un vaste projet de réforme de son système bancaire et financier. Cette réforme vise pour l’essentiel à réduire l’intervention de l’état au profit d’un recours plus important à la régulation marchande et à la concurrence bancaire. Cette tendance est défendue par le fameux rapport Marjorin-Sadrin-Wormser, ses auteurs prônent une politique monétaire moins réglementaire qui agirait davantage par l’intermédiaire des taux d’intérêt. Croyant la mise en œuvres des orientation libérales de ce rapport est contrecarrée par le contexte des années 70 (inflation instabilité des changes) il faudra attendre les années 80 pour la déréglementation soit effective
La théorie des 3D
L’expression des « 3D » ou théorie de 3D a été inventée par Henri Bourguinat dans Finance Internationale et a été particulièrement en vogue dans les années 1980 et 1990, période où elle a touché les pays industrialisés. Les « 3D », Désintermédiation, Décloisonnement, Déréglementation, sont à la racine du phénomène de globalisation financière. On peut a posteriori y ajouter un 4e D : Dématérialisation, par l’intermédiaire du développement rapide des technologies de l’information dans les années 1990.
Déréglementation : suppression des règlements et contrôles sur les prix des services bancaires afin de permettre une circulation plus fluide des flux financiers.
Désintermédiation : accès direct des entreprises aux financements par émission de titres plutôt que par endettement auprès des acteurs institutionnels.
Décloisonnement : suppression des divisions classiques entre banques de dépôt et banque d’investissement,
Glass Steagall Act aux Etat-Unis
En France la loi de 1984
Séparait les activités de dépôt et d’investissement des banques, est de plus en plus battu en brèche, jusqu’à son abrogation en 1999 –> décloisonnement
Loi de 1984 désigne toutes les entreprises du secteur financier sous le vocable “établissement de crédit” toutes peuvent se livrer aux activités qui étaient autrefois l’apanage des banques seules.
Externalisation et TIC
Le mouvement d’externalisation a été faciliter par le développement des TIC. Ces éruptions de donnes permettent aux grandes groupes donneurs d’ordre de coordonner une production qui est éclatée sur plusieurs sites et sur plusieurs partenaire. Les TIC ont accéléré le processus dexternalisation a tel point que certaine firmes sont devenu des Hollow corporation, à l’image des fabless, elles n’ont plus d’activité de fabrication. Dans Made in monde, Susan Berger prend l’exemple de l’iPod d’Apple qui est passé en moins d’un an du stade de concept à celui de produit tout simplement Parce qu’apple n’a fait que combiner des composantes achetés à des fournisseurs. Apple ne se charge que la commercialisation et la
Conception.
La fin du travail Rifkin
Victime de la révolution technologique, plus de 800 millions d’être humain sont actuellement sans emploi.
Il existe selon une relation inversement proportionnelle entre l’évolution de la productivité d’une économie et celle de ses emplois.
Ainsi les emplois sont condamnés à disparaître en grande partie: nous entrons dans l’âge de l’informatisation qui ne pourra jamais absorber les millions de travailleurs qu’ employait l’agriculture et l’industrie et puis le tertiaire.
Dans le chapitre “le prix du progrès” il oppose deux forces irréconciliables, D’un côté les faibles broyés pas le progrès et de l’autre une élite de manipulateur d’abstraction et la montée de l’angoisse et de la violence qui en résultent.
La fin de la valeur travail au sociologique du terme selon d. Méda (le travail une valeur en voie de disparition)
Cest au 19ème que le travail a été constitué comme facteur d’intégration. Source de revenu, facteur de production, moyen de réalisation de l’homme, source de statut. Or les mutations économique contemporaines atteignent lo homme dans ce qui le définit, chômage précarité inégalité. Il devient urgent de diminuer l’importance de la valeur travail pour donner plus de place à d’autres valeurs permettant l’épanouissement des individus et la restauration du Lié social.
Les secteurs d’activité :
Ce sont les économistes A. Fisher et C. Clark qui ont les premiers proposé une description de système productif en secteurs d’activités. C. Clark considère comme primaire les “activité agricole, minière, forestière et maritime” comme secondaire les activité manufacturières et la construction” il regroupe par défaut dans le secteur tertiaire toutes les aitres activités. Fourastié dans le grand espoir du 20ème ajoute à cette classification le progrès technique (moyen dans le 1er, fort dans le second, et faible dans le tertiaire.)