Croissance Economique Flashcards
Développement:
Selon F. Perroux 1961, le capitalisme au XXe siècle
“La combinaison des changements mentaux et sociaux d’une population qui la rendent apte à faire croître, cumulativement et durablement le produit net Global”
La nouvelle économie:
Ensemble de branches liées à l’essor des nouvelles technologies de l’information et de la communication ou nouveau régime de croissance. Aux USA, la nouvelle économie désigne la hausse de la croissance générée a partir de la fin des années 1990 par les. Nouvelles TIC. Cette économie se caractérise par une absence d’inflation et plein-emploi. Le chiffre d’affaire généré par internet atteint 318 milliard d’€ en 1998, ce qui ramène le chiffre d’affaire d’Internet au niveau des industries phares de l’économie américaine, comme l’automobile.
Le capitalisme:
Le capitalisme est un concept à la fois économique, sociologique et politique qui caractérise un système s’appuyant sur la propriété privée des moyens de production. Sa définition donne lieu à des variations dans l’espace et dans le temps, et en fonction des sensibilités politiques des personnes qui emploient le terme. Par ailleurs, l’un de ses fondements est l’accumulation du capital productif au travers de la réalisation du profit.
Croissance économie plus rapide que la croissance démographique:
Depuis le début du XIXe, la croissance économique est plus rapide que celle de la population ce qui permet une hausse du niveau de vie mesurée par la production par tête. Ainsi d’après A. Maddison, de 1802 à 2008, la production mondiale est multipliée par 73, la population par 6 et la production par tête par 11.
Les gains de productivité entretiennent la croissance:
Depuis la révolution industrielle, la croissance s’inscrit dans un contexte favorable à l’intégration des marchés nationaux puis mondiaux (progrès des transports et ouverture des économies) et à la réorganisation permanente des entreprises. Il en résulte une croissance auto-entretenue des gains de productivité.
Croissance inégale dans le temps et dans l’espace:
Les dotations initiales pour décoller sont inégalement réparties entre les pays.
La croissance à l’origine d’écart important entre les pays :
R. Easterling montre que la croissance est a l’origine d’une rupture significative, qu’il nomme la “grande divergence” et dont l’économie mondiale commence à peine à sortir. Avant la révolution industrielle, les transformations sont sporadiques et précaires; les niveaux de vie varient peur d’un pays à l’autre. L’industrialisation commencée en G-B ne s’étend que très progressivement. Dans un deuxième temps les temps a industrialisation tardive (le Japon a l’ère Meiji, l’Allemagne bismarckienne) comblent la différence en adoptant, à moindre couts, les avancées technologiques des pays avancés. Ce n’est que depuis la seconde moitié du XXe siècle que le processus de croissance se diffuse, principalement en Asie de l’est NPIA à parti des an’‘es 70 puis les pays émergents,
Innovation:
Application industrielle et commerciale d’une invention. Concept clé chez Schumpeter, l’innovation se présente pour lui comme :
•de nouvelles méthodes de production et de transports,
•de nouveaux produits,
•de nouveaux marchés,
•de nouveaux types d’organisation industrielle,
•de nouvelles sources de matières premières et d’énergie
Elle constitue le principal facteur du cycle des affaire et du changement économique propre au capitalisme: la destruction créatrice.
Elle résulte de l’initiative de l’entrepreneur dynamique.
–> les progrès techniques sont responsable de la hausse du niveau de vie et sont la conséquences d’invention qui produisent des idées nouvelles et d’innovations qui sont la traduction concrète des inventions. On distingue les innovations radicales, de grande ampleur, des innovations incrémentales comme l’adaptation d’un logiciel existant. Ces innovations trouvent leurs origines dans la recherches mais aussi dans l’apprentissage par la pratique, l’imitation ou l’achat d’une technologie.
L’éclatement de la bulle internet 2000 (bulle spéculative qui a affectée les valeurs “technologiques”:
Selon P, Romer, un long cycle de croissance est amorce aux USA à la fin des années 80 jusqu’à l’éclatement de la bulle internet. L’intégration dans le processus de production des TIC a contribué à l’expansion des économies ou les dépenses de recherche et développement sont les plus élevés.
Croissance connaît des déséquilibres:
Depuis le XIXe siècle, la croissance est ponctuée par de nombreuses crises: crises mixtes, agricoles et industrielles dans la premières moitié du XIXe, crises de surproduction industrielle et crises financière dans la 2ème moitié, crises pétrolières et crises fonciers récurrentes depuis les années 80.
Croissance potentielle:
La croissance que connaîtrait un pays si ces facteurs de production, la capital et le travail étaient utilisée à 100% sans que cette croissance ne provoque des tensions inflationnistes.
La transition dans les pays d’Europe centrale et orientale (PECO) un exemple de la croissance déséquilibrée:
Les PECO abandonnent l’économie planifiée au début des années 90, sont confrontés à une exigence forte de renouvellement de leur appareil productif. Pour réaliser les gains de productivité indispensables dans une économie ouverte, ils décident d’introduire les technologies les plus performantes maîtrisées dans les pays développés. Cependant le qualification de l’offre de travail est inadaptée et les moyens de financement réduits. Soutenir la demande de biens par le crédit interne et le recours aux capitaux étrangers, sans croissance de l’offre domestique, fait apparaître de forte tensions inflationnistes (hausse des prix de 70% en Pologne en 96). Ces déséquilibres sont le prix à payer, durant la transition, pour que l’économie soir placée sur un nouveau Sentier de croissance.
Schumpeter, la dynamique du capitalisme :
Capitalisme, socialisme et démocratie 1942
Il n’interprète pas le cycle économique, l’alternance de phase d’expansion et de récessions, comme un écart a une norme qui serait la croissance équilibrée, mais accepte l’idée ces fluctuations, ponctuées de crises, sont inhérentes à un mode de développement rythmé par des vagues d’accumulation et des périodes de liquidations.
Il va jusqu’à prédire la mort du capitalisme mais pour des raisons différentes de celle avancées par Marx.
En effet, selon S la capitalisme ne succombera pas à ses contradictions économiques internes, à la polarisation des richesses, à l’ampleur des crises… Au contraire il sera victime des effets pervers de ses succès économiques, des conséquences sociales et idéologiques que son développement à engendrer. Son succès mine les institutions sociales nécessaires à sa survies.
Schumpeter : l’évolution du capitalisme est cyclique
Non seulement le capitalisme “n’est jamais stationnaire, mais il ne pourra jamais le devenir” il évolue sans cesse, qualitativement et quantitativement. Au phases de prospérité succèdent les phases de récessions. Il distingue 3 cycles.
Innovations Schumpeter :
Elles apparaissent en grappes, et représentent pour les entreprises d’importantes opportunités de profits, ce qui les incitent z investir, à créer des capacités de production des emplois. Ce qui engage l’économie dans un processus cumulatif de croissance soutenue. Cette évolution s’accompagne ainsi d’une transformation du tissu industriel et des structures de l’économie: les entreprises à la pointe de l’innovation éliminent les entreprise en retard, des emplois sont créés fautes sont supprimés.
Finalement Cest Parce qu’elles apparaissent groupées et qu’elles induisent une dynamique cumulative que le système économiques les absorbe ensuite par des dépressions périodiques, qui absorbe les excès passés.