THÉRAPIE COGNITIVO-COMPORTEMENTALE Flashcards
v ou f
le TCC est limitées dans le temps et axée sur le passé comme la psychanalyse
f
oui limité dans le temps mais focus sur le maintenant
rôle système limbique
émotion / mémoire
sous-cortical, primitif et rxn rapide, réponse viscérale (fight/flight sans planification ou inhibition par le cortex)
rôle cortex préfrontal
décision
planif
logique
inhibition comportementale
toujourts en interaction avec système limbique: quelque chose qui ne devrait pas faire peur, pas réellement une menace, on est capable de se ramener à l’ordre et de se rassurer
phobie =
- rxn ou pensée dysfonctionnelle
- dysfonction cortex ou amygdale
rxn dysfonctionelle => amygdale
dépression =
- rxn ou pensée dysfonctionnelle
- dysfonction cortex ou amygdale
pensée dysfonctionnelle => cortex
béhaviorisme
l’humain se construit à partir de ce qu’il apprend et à partir de son environnement
étude des humains via l’analyse de leur comportement
opposé du subjectif de l’intrapsychique (psychanalyse)
Conditionnement Pavlov
réponse inconditionnelle (RI):
naturel, dans les gènes: saliver en voyant de la nourriture
à un stimulus inconditionnel (SI):
bouffe
Ajout d’un stimulus neutre (SN):
bruit clochette
Asso SI + SN = SC = Réponse conditionnée (RC)
= salivation en entendant la clochette sans le stimulus inconditionnel initial de bouffe
Petit Albert
- aime animaux, pas peur
- son fort avec présence de rat blanc
- son fort = peur développementale nourrisson
- asso peur son & peur rat
- peur généralisée à tout ce qui fait penser au rat
principe extinction
nécessaire d’avoir un renforcement positif si on ne veut pas perdre une asso (chien & drogue)
après le conditionnement, si stimulus conditionné est trop souvent là sont le stimulus inconditionnel (clochette sans bouffe), on perd la rxn conditionnée peu à peu
application principe extinction en contexte de thérapie de phobie
expérience de l’événement épeurant sans la source initiale de la peur ou la grande conséquence = peu à peu on perd l’asso et on diminue la peur
(agoraphobe exposé à sa peur sans la crise de panique qui s’ensuit)
principe d’habituation
exposition prolongée et répétée sans “conséquence”: organisme finit par se calmer et s’habituer, moins de peur
réponse exposition brève à la phobie
peur dans le futur
++ rythme cardiaque & respiration
méthode d’habituation pour les TOC, phobies et anxiété sociale
in vivo: on met les patients dans la réalité
méthode d’habituation pour les TAG ou SSPT (PTSD)
en imagination: exposition à tous leurs scénarios imaginaires, pas dans la réalité pcq dur à reproduire.
pour PTSD, souvenir traumatisant sont cherchés pcq souvenirs sont instables, on peut les modulés pour se sentir maintenant en sécurité
méthode d’habituation pour les troubles de panique
rxn physiologique à la peur: on veut s’habituer aux sensations des crises pour savoir qu’on est pas en train de mourir/ crise cardiaque.
v ou f
dans une exposition prolongée et répétée on empêche le patient de vivre de l’anxiété immédiate face à sa peur
f
anxiété chaque fois qu’on affronte la peur mais de plus en plus on répète l’exposition, l’anxiété diminue
sans anxiété et action, on n”avance pas
traitement TOC
exposition in vivo graduée combinée à la prévention de la réponse dans TOC.
s’abstenir de faire les compulsions (comportements)
GRADUELLEMENT et apprendre à tolérer l’anxiété que ça créé.
on apprend que ce n’est pas dangereux
TOC
idées obsédantes enhavissantes = obsession
comportements répétitifs = compulsion
anxiété
compulsion peut être en rapport à l’obsession mais pas nécessairement
v ou f
on peut exposer un patient très très anxieux à sa peur directement (TAG, phobies, anxiété liées aux dysfonctions sexuelles)
f
graduellement sinon risque de dépersonnalisation, pensées suicidaires, vrm déconnectés
on veut relaxer ces patients avant de les exposer tranquillement: exercices de relaxation (moins efficace que seulement exposition)
impo de relaxer et anxiété en même temps: antagoniste à l’anxiété défait le lien entre l’agent anxiogène et le sentiment d’anxiété
v ou f
en TCC on retire les circuits de peur pour en créer de nouveau antagoniste de sentiment d’anxiété
f
on développe de nouveaux contre la peur mais on efface pas les autres dans le système limbique:
explique les RECHUTES
conditionnement opérant Skinner
environnement nous module,
c’est pas nous qui choisi/créer notre environnement librement
tous nos comportements sont conditionnés par les conséquences, patho ou normaux:
- conseq agréable: on répète
- conseq désagréable: on l’élimine vite
- conseq neutres: on l’élimine lentement
renforcement
augmente la probabilité qu’événement arrive
on peut inculquer un truc
punition
diminue la probabilité qu’événement arrive
on veut arrêter un truc
principe contingence
conditionnement seulement si le stimulus survient après un comportement (en conséquence) pour créer une asso stimulus-comportement
ex jules frappe son frère, stimulus = retirer des privilèges = punition
principe contiguïté
stimulus près de la conséquence dans le temps
qu’est-ce qui explique “l’addictance” de la nicotine
contiguïté: rapidement au cerveau au centre de la récompense. comportement et stimulus en conséquence très rapide dans le temps (8 sec après inhalation)
ordre “addictance” méthode drogues
- IV ou fumé
- snif
- oral
- transdermal
renforcement positif
but = augmenter répétition d’un comportement
conséquences positives après une action = on la répète
étude = succès académique succès = conséquence succès = renforçateur, pousse à plus étudier pour arriver au sccès
renforcement négatif
pas ce qu’on souhaite: encourage un comportement bof en donnant ce qu’on veut à l’enfant
enlever/diminuer le stimulus = + comportement
ex:
enfant crache ses légumes. enlève l’assiette. enfant apprend qu’il peut cracher ses légumes tout le temps pcq ça fait en sorte qu’il n’a plus de légumes à manger.
aider copine ménage = - critique
moins de critique (stimulus) encourage à faire plus de ménage (+ comportement)
punition positive
ajoute un événement, un stimulus qui a pour but de freiner le comportement
alex crie = corvées de plus
corvées de plus = stimulus
crier = comportement
moins de fréquence du comportement pcq sait que sinon punition
tâche si pas gentil
punition négation
enlève un événement agréable pour diminuer un comportement inapproprié
alex crie = privé de dessert
va donc arrêter de crier pour ne pas manquer de dessert
privé si pas gentil
un rat appuie sur le levier parce qu’il a appris que ça lui donnait de la bouffe en récompense
a. punition positive
b. renforcement positif
c. punition négative
d. renforcement négatif
b. renforcement positif
augmente le stimulus agréable si augmente comportement
un rat appuie sur le levier et ça fait en sorte que sa bouffe disparaît. il arrête.
a. punition positive
b. renforcement positif
c. punition négative
d. renforcement négatif
c. punition négative
arrête stimulus pour arrêter comportement
un rat appuie sur levier et reçoit un choc donc il arrête
a. punition positive
b. renforcement positif
c. punition négative
d. renforcement négatif
a. punition positive
ajoute stimulus pour arrêter comportement
un rat appuie constamment sur le levier parce qu’il a appris que ça l’empêche de recevoir les chocs électriques autrement donnés via le plancher.
a. punition positive
b. renforcement positif
c. punition négative
d. renforcement négatif
d. renforcement négatif
enlève le stimulus aggressant s’il augmente son comportement
réseaux sociaux sont un exemple de quel type de punition/renforcement
renforcement positif
likes (stimuli) = + posts (comportement)
ou punition négative si
trop de posts en peu de temps :
likes (stimuli) diminue pour que la personne diminue ses partages
récompenses variables dans le renforcement positif
garde le tease: plus addictif
tinder ou casino ou tu gagnes pas tout le temps, pousse à recommencer toujours plus
récompenses qui varient renforcent, augmentent la probabilité de dépendance
type de renforcement ou punition utilisé pour pédophiles ou troubles paraphiliques
punition positive: on administre un stimulus désagréable pour diminuer et arrêter le comportement:
choc électrique devant photos enfants nus
(+/- efficace)
approche préférable punition/renforcement pour les enfants
renforcement positif»_space;
moins d’attention aux comportements négatifs, on ne les nourrit pas
approche avec CONSTANCE = vrm important
v ou f
les drogues activent plus les circuits dopaminergiques que les substances naturelles puisque le système limbique est atteint et ne peut faire son inhibition adéquate
f
difficile d’inhiber par le CORTEX
vrai que ça active + que naturel
thérapie pour encourager la sobriété
thérapie à la contingence:
renforçateurs positifs liés à la sobriété
abstinence désirée pcq renforcée directement, immédiatement
activation comportementale
composante active & significative dans TCC pour trouble dépressif.
on doit modifier la contingence où se trouve l’individu (comportement qui n’offrent aucun renforçateurs)
apprentissage social
reproduction de comportements selon un modèle imaginaire ou réel observé
par raisonnement cognitif, renforcement positif ou négatif et mémorisation
concept à la base de TCC
comment je pense influence comment je me sen
comment je me sens influence comme j’agis
humain responsable de sa détresse s’il entretient & accentue des croyances irrationnelles
théorie Epictète
pas les événements qui troublent mais leurs jugements sur les événements
hypothèse thérapie cognitive
entraînement + motivation + attention = conscients du contenu/processus mental de notre esprit.
comment on perçoit environnement, nos pensées, influencent notre rxn émotionnelle + comportement
quand on reconnait nos comportements dysfonctionnels et on comprend que c’est une blessure qu’on traîne dans un contexte où il n’y a plus le danger, on peut s’ADAPTER et devenir plus fonctionnel
biais cognitifs basés sur quoi
expériences passées et génétique
troubles mentaux = surexpression biais cognitifs
théorie Albert Ellis
Élément déclencheur => croyance => conséquence
triade de Beck
idées négatives p/r à soi, au monde et au futur = rumination très dépressive = idée suicidaire
pensée négative cause et est sx de la dépression
schémas cognitifs
- structures stables venant de l’interaction génétique & expériences.
- ancrage inconscient.
- futur influencé par ces schémas: on se met dans des situations qui perpétuent les schémas cognitifs pcq on perçoit plus d’info qui valident nos croyances fondamentales, les crystalise et s’auto-active
types de schémas cognitifs
- interprétation négative des éven. : dépression
- schémas danger: TAG, panique
- schémas sur-responsabilité: TOC
niveaux de cognition Beck
niveau cognition = niveau croyance
- fondamentales, rigides sujettes au biais cognitif: impuissance, monde dangereux
- intermédiaires et règles: sentiment d’obligation pour ne pas se faire rejeter
- automatiques dans situation spécifique: il m’en veut pcq il ne me parle pas
comment utilisent-on les pensées automatiques en clinique
on aide la personne a les nommer pcq elles mènent aux croyances intermédiaires et fondamentales
but = augmenter les pensées diversifiées, corriger les distorsions qui contribuent à sa souffrance
distorsion cognitive
biaise interprétation réalité
pensée dichotomique
ou/ou: pas de nuances, blanc ou noir
surgénéralisation
toujours et partout
extrapolation ++
un événement unique = constant et permanent
inférence arbitraire ou conclusion hâtive
boule de crystal:
intuition devient conviction: conclusion sans preuve
pratique de lire l’avenir ou les pensées des gens
abstraction sélective
on retient juste les détails déplaisants d’une situation
disqualification du positif
un peu comme syndrome de l’imposteur
éven positif en notre faveur = coup de chance
éven négatif = je le méritais
rejette le + pour le rendre neutre/négatif
catastrophisme
pire du pire
scénarios désastreux à partir d’un tout petit incident
(pente fatale)
amplification de la gravité, pas d’autre possibilité que la pire
personnalisation
surestimer sa responsabilité dans un événement , peut créer une interprétation de l’éven de toute pièce
raisonnement émotionnel
je sens = conclusion = véritable preuve
fausses obligations
règles fixes et arbitraire avec exigences rigides envers soi et autres
ÇA DEVRAIT
étiquetage
jugements sur la valeur de qqun,
juger la personne et non son comportement
” elle m’a fait un compliment sur le repas préparé parce qu’elle a eu pitié de moi”
” je suis en méd par coup de chance “
disqualification du positif
” je suis sûr qu’il pense que je suis minable”
“ si elle ne me parle pas, c’est qu’elle me trouve lourde”
inférence arbitraire ou conclusion hâtive
“je me sens coupable donc j’ai fait quelque chose de mal”
raisonnement émotionnel
” après ce que j’ai fait pour lui, il devrait m’aimer”
“ je ne devrais jamais faire d’erreur”
fausses obligations
” si ma fille échoue, c’est que j’ai été mauvais parent”
“ si mes élèves de comprennent pas, c’est à cause de mon mauvais enseignement”
personnalisation
” il m’a oublié, il est une personne horrible”
“ je suis nul”
“ je ne sais pas garder mon sang froid)
étiquetage
” ma mère ne répond pas, c’est qu’elle s’est perdue en forêt et qu’un ours l’a mangé”
catastrophisme
“même si 100 followers ont like ma photos, 1 a laissé un mauvais commentaires donc je la supprime, je n’étais pas à la hauteur”
abstraction sélective
” je n’ai pas réussi à gagner cette compétition, je n’en gagnerai jamais”
surgénéralisation
” si je ne l’ai pas du premier coup, je suis nulle”
“ si j’ai 80%, je me trouve nulle”
pensée dichotomique