Théories socio 3 Flashcards
COURS 10 - Qu’est ce qu’est un problème social ?
🐈Difficile de pointer du doit et dire qu’un objet est un problème. C’est une série de suppositions sur la définition du concept de problème, résiste mal à l’analyse.
🐈Conceptions courantes :
- Conventionnelle : problème social est ce que les gens définissent comme un problème. MAIS répond pas question comment en arrive-t-on la ? Qu’est ce qui dérange, menace ?
- Normative : problème pour majorité gens, encontre des valeurs dominantes. MAIS même problème que conventionnelle. Majorité ignore différentiel de pouvoir. Tautologie : problématique car c’est problématique.
- Néo-conservatrice : pas de problème sociaux, juste individuel et individu à problème. MAIS dit que gens ont un pouvoir entier sur eux-mêmes, devrait régler leur problème eux même et jamais s’en remettre a l’état.
- Durkheimmienne : Problème est une dysfonction dans le corps social. Désorganisation par un comportement déviant. MAIS qui décide ce qui est dysfonctionnel ou désorganisé ? Merton dit sociologue, donc question autorité.
🐈Si public voit problème et sociologue non, faux problème. Si public voit problème et sociologue aussi, problème manifeste. SI sociologue voit problème et public non, problème latent. Si sociologue voit pas problème, et public aussi, situation normale. Sociologue toujours raison. Public sait pas ses valeurs et ce qui est dysfonctionnel.
🐈Spector et Kitsue dit que le sociologue fait une assertion, (a claim, affirmation qui vise un résultat.). Becker dit qu’il devient un entrepreneur moral. Qu’il est raison ou pas, important est qu’il a changé la nature du phénomène et la transforme en problème. Devient un objet politique.
🐈Peut s’appliquer a criminalité. Mais explique pas comment champ politique prenez objet et en fait un problème et leur trouver des solution. Ex. Cressey qui dit que crime organisé doit devenir problème social.
Conception constructiviste du problème social.
🐈Pour Spector et Kitsuse, Problème social pas ensemble de conditions objective, c’est un processus d’interaction entre divers groupes et individus faisant des assertions sur un objet qu’ils appellent un problème et réclame des solutions. Pas obliger qu’objet existe ou soit problématique. Ce qui intéresse, c’est comme un phénomène social est remonté a la surface et consideré comme un problème.
🐈DU pdv administratif conventionnel, fonctionnaire voit problème et font remonter au ministre. MAIS c’est simpliste et tient pas en compte de la sociologie des organisations, ni fonction des groupes de pressions, média.
🐈Points de vue : Ce qui est problème pour un peut être solution pour autre.
- Ex 1 . Désubordination. Augmentation corresponds avec criminalité. Mais c’est une monté de nouvelle forme démocratie. Certains penseur juge que la désurbodination est source de crime, donc un problème et que la solution est + d’ordre dans la société. C’est un PDV. Autre PDV + de crime petit prix a payer pour la démocratie. Nous, on regarde la naissance et monté de ces PDV.
- Ex. 2. Marijuana : vu comme problème physiologique, ensuite psychologique ensuite risque santé, retour a physiologique. Quand mari perd caractéristique de dépendance, d’autre objet la gagne ex. Le jeu. En réalité objet ont pas changer. C’est le discours qui change. Vocabulaire de la dépendance est premièrement politique. Selon personne qui parle, souligne ou fait disparaître des problèmes sociaux. Outil de pouvoir pour certains individus ou groupe.
🐈Problème social donc une activité, pas un état de faits. Définition : 1. Activités 2. d’individus ou groupe 3. qui présentent des assertions, réclamations et plaintes 4. au sujet d’un phénomène 5. qu’ils disent observer.
🐈Émergence problème dans groupe social est dépendant des activités des membres.
🐈Doit expliquer comment apparaissent et organise ses activités. Cas par cas, pas
de formule. S’agit d’une lutte de pouvoir. Solutions disponibles font toujours partie des outils qu’on utilise pour définir les problèmes.
Joseph Gusfield (1989) : l’« industrie » du problème social
🐈Notion de problème social est une catégorie de pensé incontournable, automatique en occident. Gens accepte que role du gouvernement est de s’occuper des problèmes sociaux. Sûrement pourquoi on a full problème sociaux. Le role du gouv est de s’occuper des problèmes sociaux,
🐈Culture des droits a transformé des problèmes personnels en problème sociaux qui nécessite l’état. Droit moyen de mobiliser état, exercer pouvoir sur le gouv. (Si discours convainc que devrait etre un droit, gouv va agir. C’est une mobilisation politique que de créer des droits fondamentaux.)
🐈Création industrie de l’aide, qui existe grace aux problèmes qu’elle prétend rémédier. Comme la crimino, elle tentent de résoudre un problème qui justifie son existence. Conflit d’intérêt. Si trouve la solution parfaite, carrière disparaît. Si crimino réussit à prévenir la criminalité, pu de travail. Crée tension entre objectifs pro et mandats professionnels.
🐈A quel point ça affecte l’approche d’un crimino d’intervention ? + on cherche problèmes, + on en trouve. Paradoxe vient de la facon dont le travail du crimino est défini.
🐈Professionnels de problème sociaux définissent problème de manière a mobiliser + de ressources en leur faveur, à conserver la possession du problème et imposer la solution qu’ils ont déjà à offrir.
🐈Professionnel du problème doit montrer que possède un problème, revendique une compétence particulière. Il doit survivre en : continuer d’affirmer existence du problème, montrer qu’il possède connaissance privilégiée de sa nature, soutenir qu’il possède moyen de s’y attaquer.
🐈Aspect irrévocablement péjoratif de la façon dont le problème social est articulé. Ex. Crime et criminologue. Le mot lui-même oblige une approche défavorable de la situation, souligne l’urgence. PAs que le crime est une bonne chose, mais que la formulation du problème dirige déjà la recherche et l’intervention, avant d’en savoir quoi que ce soit.
🐈Professionnels du crime se situent dans un champ politique. Dans la mesure où s’ils désirent articuler un savoir scientifique, ils devrait commencer par analyse les présupposés et leur fonction dans l’industrie des problèmes sociaux. Bref, doit se questionner sur son rôle dans l’industrie.
🐈Pas de recette magique pour régler conflit.
COURS 11 - Chiffre noir et criminalité.
🐈Chiffre noir, controversé. Définition : ensemble des actes enfreignant c.cr mais non traité par système justice. Depuis premiere stats, sait que la cour ramasse pas tout les crimes. Pensait que portion caché était constante, donc que le nombre trouvé était plus ou moins similaire au nombre réel. Supposer que criminalité caché est constante, c’est dire que police extraie échantillon représentatif du crime, que leur activité est neutre.Suppose que élément déclencheur est neutre (appel citoyen etc). Peu probable car facteurs influences les stats.
🐈Facteurs influent : 1. Stratégies policière, 2. Campagne pub et sensibilisation, 3. Paniques morales, 4. Changement attitude morale dominantes, 5. Structure du système de justice qui favorise judiciarisation de certains actes au lieu d’autre, 6. Disponibilité service sécurité et justice privé qui prenne en charge cas qui aurait pu être criminalisé.
🐈Idée pour pallier au problème, sondage de victimisation. Mais problème car : 1. Ignorance crimes sans victime (ex. Drogue), 2. Ignorance crimes institutionnels, 3. Ignorance crimes avec corporation comme victime, 4. Surreprésentation crime grave, 5. Télescopage : entrée de crimes hors de la période d’étude.
🐈Proportion énorme méconnue de la criminalité par le système. Du aux caractéristiques du renvoi. Gens sont sélectifs dans leur appel au pénal et cette sélectivité est culturellement localisée.
Facteurs d’appel au système de justice et de réussite de la mobilisation de l’état.
🐈Citoyen tente de régler leur conflit seul. Appel a la justice seulement quand leur options de contrôles informelles sont épuisés.
🐈Contrôle informelles : 1. Négociation, 2. Imposer son autorité pour avoir conclusion satisfaisante, 3. Faire appel a autre pour réussir, souvent figure autorité locale, 4. Imposer sanction social (exclusion), 5. Faire appel a une autre forme de controle par une autre institution (ex. École, service sociaux), 6. Appel a organisation privé spécialisé, 7. Imposer sanction violence (qui devient a son tour un crime) Plusieurs crime sont des réponses a des situations jugé injuste par l’auteur.
🐈Si ses démarches marche pas, renvoi au système pénal (pas tous citoyen vont faire ca, certain appel jamais ou direct la police.) 2 résultats : 1. Citoyen satisfait, problème règle selon lui, 2. Individus insatisfaits intervention policière et retourne a des moyens informels (souvent conseiller par la police, dispute entre amis etc)
🐈Fait appel au système si croit qu’il sera bénéfiques. Au niveau pratique : 1. Policier arrête la situation, 2. Système compensera la victime, ou fera justice, 3. Situation produira pu, 4. Assurance réclame constat d’infraction, 5. Police peut servir ses intérêts (dealers rivaux). Au niveau morale : 1. Acte assez grave pour susciter système, 2. Devoir citoyen de coopérer avec police.
🐈Fait pas appel au système si croit que sera pas bénéfique. Niveau pratique : 1. Policier pas intéressées par la situation, 2. Système mènera nulle part, 3. Système pourrait se retourner contre eux (Prostitué.), 4. Système exagéra les actes, 5. Déclarer actes publiquement peut être embarrassant. Niveau pratique : 1. Acte peu de gravité, 2. Policier peu digne de confiance / corrompus, 3. Pas d’apparence de devoir.
🐈Succès de l’appel a la police dépend aussi de certains facteurs : 1. Policiers d’accord avec individu sur sujet de la nature de l’acte. Témoin peut juger que crime commis, mais police non. 2. Police accord pouvoir de référer (difficile pour marginalisé de convenance police qu’ils ont été victimisé. Ex. Sdf) 3. Police peut décider de pas criminaliser le cas. Peut refuser pour plusieurs raisons, dont plaintes frivoles, certitude que cause tiendra pas en cour etc.
Renvois non fondés ou accessoires
🐈Doit se demander si acte criminel doit vraiment être commis avant une mobilisation du système. Cas sur lesquels réfléchir :
🐈Instigation : police entrain ou facile commission acte pour arrête personne sous surveillance.
🐈Suspicion : accusation sous soupçon. Courant pour crime graves.
🐈Mensonge : 15 a 20% dénonciation sont fausse (erreur ou volontaire.)
🐈Urgence et conflit non-criminel : 80% appel 911, pas acte criminel mais urgence ou réclamation. Ses appels mènent parfois a des accusations formelles quand police juge que bon moyen de régler le problème.
🐈Sur-policing et profilage : surveillance accrue motivé par logique profilage géographique, démographique ou ethnique produira + d’infraction.
🐈Une fois situation identifié, doit attribuer a un individu car système est fait pour se concentrer sur des individus en particulier, pas des situations ou contexte.
🐈Acte doit être commis au su de la police ou d’un citoyen. Souvent citoyen, police seulement 3%. Police pas proactive.
🐈Conclusion : Implication système justice dans conflit est contingente (peut se produire ou pas) et dépend de facteurs sociaux interreliés.
Cours 12 - Discours public sur le contrôle sociale
🐈Perspective contrôle social 21e siècle : Analyse le discours du contrôle et les technologies de production de l’ordre social. Constats :
🐈Apres ere thérapeutique, maintenant discours est sur la justice et le risque.
- Risque = sens ou incarcération et libération anticipé sont outil statistiques. Si détenue dangereux, continue a neutraliser. Citoyen doit gérer ses risques de victimisation.
- Justice = sens ou peine est pour faire payer, dans un objectif de rétribution. Dans média, gens se plaigne de peine trop clémente.
🐈1980, Cohen remarque que sanctions alternative élargisse filet pénal. Elle remplace pas prison, s’y ajoute pour crime plus mineur.
🐈Contrôle du crime est devenu une industrie. Populations carcérales augmente, US, budget très haut, plein d’employeurs.
- Canada moins pire, pas prison privé, taux d’incarcération stable.
- Même au CAN, discours public avec droits des victimes. Présenté comme contraire aux droits des accusés. Comme si un empêche l’autre, ce qui est faux.
Un changement de perspective, culture de contrôle Garland.
🐈Garland dit que si pris au sérieux critique système pénale, aurait du corriger programmes réhab, les évaluer et de meilleur garantie protection du public. A la place, réhab mis de coté.
🐈Changement pas dût a meilleure info ou développement scientifique, mais a un changement socio-culturel entrainé par suite de phénomène econo, démographique et techno.
🐈1950 a 1973 age d’or de la société de consommation. Gens achète, était provident, média informe gens du dys-fonctionnement de leur institutions.
🐈Désubordination générale = perte généralisé d’autorité des structures sociales trad comme famille, école, église, religion, état. Morale absolue perde leur pouvoir. Durant cette période, taux criminalité monte en flèche, police pas capable prévenir crime, - de controle, + opportunité, - surveillance, + population a risque.
🐈1973 crise du pétrole. Récession, classe moyenne touché.
🐈Carrière en voie de disparition depuis 1980. Risque perte emploi à tout moment, gig economy ou plein de petites taches a contrat. Insécurité empire avec arrivé AI.
🐈Classe moyenne toujours majoritaire, mais se sent menacé par problème sociaux et conditions économique, alors que l’état continue de taxer ses revenues.
🐈État providence mène paradoxe : instituions créer pour gens difficulté en trouve + en +, chef. Offre service fait monter la barre de ce qui est défavorisé. Bureaucratie cause problème administratif et semble inefficace. Met en relief nouveau problème et donne impression de les causer.
Critique état-providence, modele crimino réhab critiqué plusieurs aspect. Grand retour du thérapeutique
🐈Critique état providence propose de remplacer par libéralisme prônant responsabilité individuelle et retrait état de nombreux champ économique, pour laisser la place aux entrepreneurs.
🐈Modèle crimino basé sur rehab critiqué sous plusieurs aspects :
- Fait partie état providence, approche aide. Néolibéralisme voit comme un frein au développement individuel. Aide remplacé par gestion du risque. Risque prime, aide seulement si ça baisse le risque.
- Taux criminalité augmentant, politicien et public veut + de contrôle. Mouvement néoconservateur tente réaffirmer valeurs morale absolues et modèle penal punitif fondé 1) dissuasion et réforme pour ceux choisissant le crime, 2) neutralisation pour irrécupérable. Discours du Mal revient.
- Néoconservateur au niveau social mais néolibéral au niveau économique. Comme criminalité au carrefour des deux, modifié par les deux. Crime est vu comme un défaut de conduite des pauvres. Solution ; discipliner les pauvres, obliger a étudié (mais technique utile), obliger travailler, tolérance zéro crime etc.
🐈Depuis années 2010, certain retour approche thérapeutique. Exemple : site d’injection supervisé dans espace urbain plus accompagné d’un discours moral.
🐈Légalisation cannabis sans opposions majeur, outre que sur certains conceptions de la santé et vocabulaire de risque. Contrairement au autre tentative, pas d’histoire de loi et l’ordre.
🐈emprise discours controle medical. cherche solution medicale a divers risque, incluant lié a internet. (dépendance, crime, environ etc.)
Politique de la surveillance et de la sécurité
🐈Existe foyer d’activité ou se rencontre uni, compagnie, armé, instituions renseignement, police. But de développer technologique de surveillance et sécurité. Inclus connaissance en optique, informatique, télécommunications.
🐈Projet de surveillance érode distinction classique entre public (visible) et privé (personnel). Ce qu’on fait laisse des traces, des données. Info a notre sujet est un produit commercial échangeable.
🐈Société sécurité max a 6 aspects.
- 1. Société programmée : technologie utilisé pour transformer social en machine. castration chimique, protocole sécurité, organisation précise environnement dans but sécuritaire etc. But : rendre fonctionne des organisé et individus + prévisible possible et savoir comme les manipuler.
- 2. Société de dossiers, avec ordi facile de créer, intégrer base de données et de donner accès décentralisé a leur contenu. Presque toute activité laisse de traces numérique qui sont enregistré quelques part, sans savoir ou ou si elles sont partagés.
-3. Société actuarielle : tout passe par gestion risque. Individu défini selon appartenance stats a un groupe.
-4. Société d’auto-surveillance. Nous demandons a être surveillés pour notre bien. Peur que voisin pedo etc. Donc gov surveille tout et controle activité, avec justification de protection. Protège contre pedo, contre terrorisme etc. Mais ses appareils de surveillance surveille tout le monde au finale.
- 5. (audio?) Société poureuse, + en + accès a toute nos infos.
-6. (audio?) Société suspiseuse : danger envers tout le monde, même gens proche.
🐈Dangers. Regarder conséquences de la surveillance mur a mure dont nous sommes l’objet. Ex :
- Croire que moyens sans effet sur selection des fins. Solution détermine façon dont on définit le problème (police adopte voiture et radio, donc mesure d’efficacité devient le temps de réponse.) Donc, achat électronique génère banque donnés multiple. Ensuite, exploration de donné né. En intégrant bande de données et analysant, on peut trouver des patterns criminels ou terroristes.
- Concentrer sur effet (crime) plutôt que sur ses causes connues. Ensemble de la prévention situationnelle qui se concentre sur moyens de dernière chance d’empêcher un crime, plutôt que réfléchir a comment ajuster contexte criminogène. Utilisation max de technologie de prévention comme rayon x.
-Idée que si techno donne pas résultat voulu, pas au point. Solution: + de techno. Pas de recherche sur nature situation.
- Idée dominante que seul criminel ont des choses a caché. Permet a l’état de traiter tout la population comme une masse de criminel potentiel.
Cours 13 - sociologie du droit, Criminisalition et décriminliastion
🐈Processus politique de criminalisation et décriminalisation voit le résultat de conflit intergroupes et jeu pouvoir politique. Se battent pour faire reconnaître ce qu’ils voient comme un défaut de la loi, ils offrent de solution pour y remédier. Criminalisation c’est particulier. C’est pas juste le rendre illégal, c’est aussi les peines, casier, stigmatisation etc
🐈Exemples décriminalisation : 🐈⬛1. Homosexualité : décriminalise entre adulte consentement en 69. (Hétéro 14 puis 16). Conservateur voit comme complot. Ajd, débat sur mariage et droit d’exclure, pu sur le coté criminelle. 🐈⬛2. avortement. 69 légal si mere va mourir, sinon illégal. 89, article rendu inconstitutionnel avec arrêt Morgentaler. Morgentaler est un entrepreneur moraux, soutenu par cause féministe, campagne juridique qui a fini par rendre l’article inconst. Ensuite, avortement devient sujet que personne veut toucher, jusqu’à 2019 ou loi c-39 abroge les articles inconstitutionnels, les effaçant du code. 🐈⬛3. Décriminaliser : retirer ou infirmer article du c.cr Peut être suivi de nouveau règlements ou non. Si nouveau règlement, nouveau processus politique enclenché.
🐈Exemples criminalisation :
🐈⬛1. Violence conjugale : Violence contre épouse qui était avant accepté avec modération, devient un objet policier sous pression groupe féministe. 1983, viol épouse devient un crime. Ensuite, voit inaction policière, groupe veulent forcer la police a arrêté si violent. Conflit entre ceux qui veulent criminalisation automatique en cas de violence, ceux qui veulent pas (veut pas que mari prison) et les groupes masculinistes. Bon exemple des difficultés avec la criminalisation de la vie privé et intervention de l’état dans des individus. Question a progressé, mais pas réglé toujours des féminicides etc
🐈⬛2. Alcool au volant : utilisation pénal pour décourager et punir conduite saoul. Si criminaliser, doit avoir des limites pour coupables et non coupable donc 0.08mg. Pas compatible pour tous, mais bon.
Certains veulent diminution, discutions en cours 0.05mg. Faculté peuvent être affaibli par d’autre chose ex. Fatigue.
- Conduire avec faculté affaibli par alcool peu compatible avec droit criminel et intention. Savent patiner autour de la question, si vos facultés sont affaiblie, faculté de formuler intentions réfléchie le sont aussi.
- Limite tout incapacité autre que celle par alcool. Sensibilise pas sur les autres. Jamais la faute de l’état, toujours les automobiliste. (Autre cible téléphone au volant). Nous sommes devenues incapable de penser sécurité routière a l’extérieur de l’intention des automobilistes.
🐈Exemple de rédéfinition : Redéfinition de viol a agression sexuelle. Passe de crime sexuel a crime de violence. Permet de réduire stigmatisation et rendre + facile défense car peut pas consentir a une agression. Viol est désormais une agression sexuelle dans les infractions contre la personne.
- Résultat : dans 10 prières années de la loi, agression sexuelle progresse de 300%.
- Débat entre groupe féministe et droit homme a cause du dossier sexuel et psychologique de la victime et des fausses accusations qui sont + haute que pour les agressions normales.
Naissance d’une loi, exemple l’aide aux victimes.
🐈Naissance d’une loi, ex de l’aide au victimes. Conférence en 1981, conclut que victime sont revictimisé par passage a travers système et mesures immédiat doivent être adopté. Résultat d’une campagne pour aider victime et promesse + sévère pénal après abolition peine de mort en 76.
🐈Politicien souvent mobilisé quand initiative semble répondre a forte demande ou déjouer attaque. politique était gestion des crises, on attend une crise pour se positionner comme sauveur. Edelman disait pareil, et que souvent dire une impression de solution de façon¸enthousiaste était suffisant.
🐈Quand faire programme, aucune groupe pour victime existait et personne était intéressé. groupe principal NOVA au US.
🐈groupe de recherche victime devienne groupe de pression. Nouvelle discipline la victimologie. Ils sont isolé, personne reconnaît leur discipline. Font des conférences.
🐈Entrain d’inventer objet sociopolitique, la victime du crime. Avant, c’était des individus sans caractéristique commune. Maintenant, groupe formé défini par caractéristiques, avec des problèmes et demandant des solutions.
🐈Élément déclencheur, entrepreneur moral Irvin Waller, employé à sécurité public. Recherche et dit que effet des cambriolage sur les victimes sont moindre, disparaît après quelques semaines et petite perte. ll se fait taper sur les doigts par tout le monde, car on juge qu’il banalise l’expérience de victimisation.
🐈Waller devient alors pro-victime. Commence a travailler un série au et a sensibiliser. Échoue, initiative sera adopté au conseil d’un autre. Rock dit qu’il a échouer, car il agissait seul, malgré son poste a la division de la recherche.
🐈Conclusion : Production d’une loi est contingent de plusieurs facteurs, très peu en rapport avec l’objet. Question de structure organisationnelle, personnalité d’acteur, faits extérieurs, représentation médiatique mais pas ou peu de recherche. Expert doit pas présenter conclusions scientifique, mais un discours politique.
Sociologie fonctionnement justice criminelle.
🐈Fonctionnement de la cour de justice criminelle. Plusieurs groupe pro avec différents objectifs, méthode et résultat. C’est un écheveau de relation sociables qui a un impact non négligeable sur déroulement du procès, donc sur les conséquences pour la victime, accusé etc.
🐈Black décrit la loi (controle social officiel) comme une variable quantitative. Il peut y avoir + ou - de loi selon le moment, endroit, individu. Appeler police, poursuivre etc, c’est augmentation de la loi.
🐈Capacité de mobiliser la oui dépend de facteur sociaux :
- 1. Stratification social. + on est haut dans l’échelle, + facile de mobilier + de loi. Surtout si adversaire bas dans échelle. Mobilise + de procédure, appel, expert etc.
- 2. Morphologie sociale. + gens sont près des autres, - mobilise la loi. SI tout le monde se connaît, contrôle informel prime. État - présent, explique pk moins en milieu rurale et entre conjoints.
- 3. Culture. Loi + mobilisé quand victime + éduqué d’agresseur et vice versa. Éducation : mieux s’exprimer, mieux suivre débat et comprendre.
- 4. Organisation. + facile mobiliser loi si partie d’une organisation et si adversaire est seul. Organisation protège avec finance, expertise etc
🐈La loi a un style.
1. Style compensatoire. Idée que crime est acte dommageable et peut être réparé direct ou indirectement. Dépend d’évaluation des dommages causé douteuse. Possible logiquement, mais pratique impossible. Assez rare.
2. Conciliatoire : idée que dommage pas matériel, mais relationnel. Crime fragilise communauté. Remède est réparer relation. rare, mais à la mode. Fonction best avec disputes famille. Problème est qu’on suppose qu’il existe une communauté réel et que victime et accusé en font partie.
3. Style thérapeutique. Idée que crime est résultat d’une pathologie criminel (ou de son milieu parfois). Dominant jusqu’en 1970, car résultats mitigé critiqué par pénal. Souvent souligné que crime pas résultat d’une pathologie, n’importe qui capable de crime. Mais plusieurs contrevenants ont des vulnérabilités (similaire a pathologie).
4. Style pénale. Collectivé impose peine a individu responsable. Fondé sur style morale sur blâme et autorité, sujet varier selon attitude dominante. Style principal en occident. Peine qui “parvient” à venger, satisfaire victime, punir, neutraliser et lancer un message. Mais si parfait, pourquoi chercher autre chose?
Désocialisation de la loi
🐈Procédure pénale dépendante de facteurs sociaux, sans rapport avec c.cr qui provienne d’interaction social entre les parties. Ex. Race aggresseur et victime. Si noire et l’autre blanc, sentence + severe et l’inverse. C’est le différentiel qui détermine. Alors que contraventions stationnement égale. Profilage avant même arrestation.
🐈Perspective réalisme juridique dit que résultat d’une cause dépend + du déjeuner du juge que des précédents. Effets sociaux en cause :
* Proximité social des acteurs (stratification, lien comme parler tantôt)
* Effets d’avocats : Réputation d’un avocat influence le déroulement et issue d’une cause. Avocat = représentant social du client. Peut exagère ou atténuer effets stratification et lien sociaux. Ex. Conflit entre intimes, avocat créer une distance et augmentation de quantité de loi.
* Effets de tiers : caractéristiques sociales des autres participants sont importants. (Juge, police, juré). Raison que avocat prend soin de choisir juré etc.
* Effets de langage : Façon acteurs de s’exprimer importe. Bien parler et confiance.
🐈Conclusion : Justice est rendu en fonction information sociale dispo sur accusé et victimes. Donc pour vraiment rendre justice, s’y prendre de façon que juré et juge ignore caractéristique socioéconomique des acteurs.
🐈Désocialiser les cours, retirées acteurs de la cour et donner juste info au juge et juré. Mais ca laisse les effets sociaux liés au juge et jury. Extrême, ordinateur utilisé. Mais la loi continuerai de se limiter a surveiller les pauvres. Bref, les cours seront toujours des théâtres d’influence socioculturelle et jamais des expressions neutres de droits et des faits en cause.
🐈Carol Smart étudie causes agression sexuelle. Même conclusion, sauf idée de désocialiser. Ajoute que le droit est un système de savoir qui modèle expérience individus pour appliquer une solution artificielle et rigide. Loi = discours qui disqualifie expérience et discours non compatible. ex. Dichotomie consentement absence de consentement correspond pas a réalité sexualité, force a ignorer a quoi consentement est donné. Donc malgré caractère relationnel la loi produite une vérité déterminant dans vie des gens, car vue comme objective.